#niais
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hylst · 10 months ago
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Ondes positives (on Wattpad) https://www.wattpad.com/story/361625826-ondes-positives?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_myworks&wp_uname=GeoffroyStreit Je vous présente une nouvelle fantasque volontairement un peu niaise crée pour accompagner une de mes créations musicales destinée à vous envoyer une grande bouffée d'ondes positives ! La lirez vous ? L'écouterez vous en même temps ? Donnez moi vos impressions :)
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sorrydupuis · 3 months ago
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avakkins-alter · 18 days ago
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ディシア | 芹江ニ愛
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soeurdelune · 6 months ago
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l'adaptation du comte de monte cristo est tellement emo ça me termine
(bien sûr que je vais m'en inspirer pour mes rp)
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donttpanic · 2 months ago
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mi más sincero comentario como vocal este año, qUÉ CHUCHA ESTÁ PASANDO CON LOS DEL 2005? qué comen que están saliendo tan lindos y cutes? (μ_μ)
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sw5w · 1 year ago
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Niai Fieso
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STAR WARS EPISODE I: The Phantom Menace 01:03:08
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depression-napping · 6 months ago
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FFVII Ever Crisis has a Japanese-only dub right now, so just in case anyone wants to know what Vincent says during battles, I did a quick translation below. This is by no means complete or perfect, but you can get a sense for what he might say in the next installment of FFVIIR :)
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Before battle
これも私の罰か
Kore mo watashi no batsu ka?
Is this also my punishment?
(OK SO I could not make out “batsu” for the longest time because he has kind of a lisp (so cute) and it sounds like he’s saying “bashhu” instead (which makes zero sense) so when I looked up the possible phonetics, “batsu” came up and I was like OF COURSE HE WOULD SAY THAT 😭)
さあ、やるか
Saa, yaru ka?
Well, shall we (do it)? (“It” being battle haha)
お出ましか
O-demashi ka?
Are you coming?
(This is likely is addressed to his teammates as in, are you going (to fight)? I’m still trying to think of a better translation…)
(Edit: He drops the last vowel in demashi so I was wondering if he maybe said o-demashou which would change the meaning to something like “shall we begin?” Still not 100% sure on this one)
フ… 面白い Hm… interesting
Hu… Omoshiroi
(Omoshiroi can also mean “how amusing”.)
During battle
呼んだか?
Yonda ka?
You called?
(When switching to his character in battle)
こうたいだ - Fall back!
Koutai da
(Edit: 7/21: I keep going back and forth about what this means specifically, whether he is saying 後退“Fall back/retreat” or something more like 交代 “My turn”. Both sound the same in Japanese but I don’t have kanji to help here lol. Usually “my turn” is translated as 私の出番 “watashi no deban” which is what Aeris says incidentally, but deban is kind of a childish word, so this sounds like Vincent’s more formal way of saying the same thing.)
Special attack:
動くな Ugoku na - Don’t move.
さらば Saraba - Farewell.
受け取れ Uketore - Take this!
じゃ、な Jya na - Goodbye.
After Battle - Victory:
終わったな 
Owatta na
It’s over.
こんなものだ。
Konna mono da.
It’s something like that.
(I’d translate this as something punchier... Like he’s saying“No sweat” but cooler ✨)
Defeat
フ… 似合いの結末だ
Hu… Niai no ketsumatsu da
Hmph… A fitting ending.
ついに終わりか?
Tsui ni owari ka?
At last, is this the end?
(7/21: Here’s the one I was missing. This is like identical to one of his Dirge defeat lines ❤️)
If he falls in battle:
闇が近い
Yami ga chikai…
Darkness is near…
(Edit 7/21: I misheard this line the first couple of times due to battle sound effects, but I finally heard him clearly this time and it’s so perfect ❤️ haha)
If you retire from battle:
今度こそ、永遠の眠りを…
Kondo koso, eien no nemuri wo…
This time, forever will I sleep…
—-
Kinda standard stuff, but anything he says sounds so good in Suzuki-san’s voice ❤️
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clhook · 3 months ago
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les gens me demandent h24 "alors ça fait quoi d'être mariée ?" et je pense qu'ils s'attendent à ce que je dise "oh pas grand chose de plus qu'avant" mais en fait on est ultra niais on se regarde tout le temps en se disant "ça va mon époux ?" ou "bonjour ma femme" et on met nos mains gauches devant nous l'une à côté de l'autre pour regarder nos alliances en riant bêtement et aussi je lui dis tout le temps qu'il est méga sexy avec son alliance et les gens sont limite déçus ou deg que je dise ça lol mais dsl on se kiffe c'est pour ça qu'on s'est mariés en fait
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male-spirit · 11 months ago
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Perso Flaubert je ne peux plus...
Trop cucul la praline
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À mesure que nous vivons ensemble, ce sera comme une étreinte chaque jour plus serrée, plus complète.
Flaubert
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a-room-of-my-own · 3 months ago
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#oui les hommes s’en foutent#mais rassurez-vous ils se foutent aussi de tout le reste Je trouve ce que tu as dit hyper intéressant. C'est honnêtement ma thèse, de plus en plus, à mesure que j'avance dans la vie, sans que j'ai quoi que ce soit d'autre que mon expérience pour la soutenir. Je ne sais pas à quoi ça tient, mais j'ai le sentiment que nous, les hommes, les mâles humains, peu importe, ne tenons pas à la vie matérielle autant que les femmes. J'entends "tenir" au sens premier du terme. On y est moins connectés, ou on s'y connecte moins, je ne sais pas. Des religieux radicaux aux fans supposément ultra-rationalistes d'Elon Musk, par exemple, il y a toujours un gouffre de l'idéal vers le réel qui doit être franchi. L'idéal, c'est où le quotidien devrait être vécu, et le contact avec le réel est toujours difficile. C'est le moment des larmes, ou de la colère, ou, dans les pires des cas, de la destruction, j'entends la destruction entendue pour rectifier le décalage entre l'idée et le concret, ou signer un manifeste en faveur de l'idée au détriment du concret. J'ai la conviction que les hommes peuvent vivre une existence entière purement au travers de symboles et de structures esthétiques qui auront déterminé leur _histoire_. Je pense que la structure principal d'un homme, en général et pas en particulier, c'est une structure narrative. Je pense que si on sort de sa narration, il y a désarroi. Au mieux, pour lui-même, au pire, pour les autres.
Alors c’est juste mon hypothèse, mais je pense que ça a beaucoup à voir avec le fait de vouloir remplir le vide créé par l’incapacité de concevoir / d’engendrer.
D’un côté il faut contrôler les femmes et leur capacité à engendrer, de l’autre il faut créer de multiples formes de conception, voire tenter grâce à la technologie de les remplacer : par les mères porteuses puis les utérus artificiels, par la robotique, par la technologie …
Tout dans la nature rappelle que ce qui est nourricier au sens premier du terme est féminin. Plus les hommes se distancient du féminin pour essayer de trouver leur identité propre, plus ils peuvent se réfugier dans l’abstrait ou l’artificiel. Ou dans le mensonge, en racontant dans leurs mythes que les femmes ne sont que des fours, que l’âme vient de la semence masculine, que les femmes sont des hommes ratés etc…
C’est un mensonge et ils le savent. Mais pour le maintenir il faut non seulement se tenir à distance du féminin mais aussi le dévaloriser. Tout ce qui a trait aux femmes est humiliant, inférieur, niais, ce qui rentre en confrontation directe avec l’orientation sexuelle de la majorité d’entre eux. Comment réconcilier le fait d’être attiré sexuellement par un être qu’on jalouse et qu’on méprise?
En considérant que le sexe est par nature un péché. Que la femme est tentatrice, que son corps est sale, qu’elle est impure. Encore une raison de se réfugier dans l’abstrait et l’artificiel ! Mais ça ne protège pas de la colère, qui s’abat sur les femmes qui même quand elles n’ont rien ont toujours trop.
J’ai toujours envie de rigoler quand je vois des hommes écrire des scénarios catastrophe sur les robots qui tueraient l’humanité et dont il faudrait restreindre le libre arbitre. On voit bien ce que les hommes pensent d’eux-mêmes. Aucune femme n’a jamais pensé que ce serait une bonne chose de briser le libre arbitre de ses enfants et d’en faire des serviteurs dociles. Il n’y a qu’un homme pour se dire « je ferai mieux que les femmes » (une créature sur mesure) « qui ensuite me tuera » (parce que je suis incapable de l’aimer correctement).
Le jour où les hommes auront dépassé leur trauma collectif de ne pas avoir d’utérus on pourra peut-être avancer mais c’est pas pour demain.
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avakkins-alter · 1 month ago
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チャスカ | 芹江ニ愛
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papillondusublime · 4 months ago
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
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je-suis-ronflex · 4 months ago
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Je suis en train de regarder la télé-réalité asiatique The Boyfriend sur Netflix ce sont plusieurs hommes gays ou bi qui habitent et travaillent ensemble afin de potentiellement trouver l'amour c'est tellement niais j'ai envie de taper les candidats mais maintenant je suis trop impliqué il faut que je finisse de regarder
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mfaizs · 1 year ago
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(2/365)
Menata Niat
Di zaman yang serba digital ini betapa tidak mudah menata niat. Betapa mudah mungkin amal-amal kita kebaikannya hangus begitu saja ketika ada sedikit saja niat yang salah.
Aku masih ingat beberapa kali dalam pesantren subuh, kajian selasa malam, juga halaqah bainal isyaain, guru kami Ustadz Afri sering mengingatkan kami terkait hal ini.
Sebuah nasihat yang pernah disampaikan Imam Abdullah bin Alawy Al Haddad sebagaimana dikutip oleh salah satu murid beliau, Syaikh Ahmas bin Abdul Karim Assyajjar bahwa kadar pahala kita sesuai kadar niay dan tujuan kita dalam beramal, bukan berdasarkan kadar amal kita.
Seandainya amal kita ditentukan oleh kadar amal, sudah tentu kita tidak apa-apanya dengan para malaikat Allah yang sejak awal diciptakan tanpa henti bersujud bertasbih memuji asmaNya hingga hari akhir nanti.
Dikisahkan dalam Kitab Ad-Dawah An Nahdliyah, bahwa dahulu, seekor katak tertatih tatih membawa air untuk memadamkan api yang berkobar yang membakar Sang Kholilullah Nabi Ibrahim, yang tentu saja akhirnya sia-sia. Tapi Allah mencatat niat baik tersebut hingga syariat melarang membunuh katak hingga saat ini. Pun demikian sebaliknya cicak yang justru meniup api kobaran Nabi Ibrahim dengan harapan api membesar, yang juga tentu saja sia-sia. Tapi niat buruknya tercatat di sisiNya hingga menjadi syariat anjuran untuk membunuh cicak, bahkan 100 kebaikan bagi yang membunuhnya dalam sekali pukulan.
Lebih jauh lagi jika kita mengambil hikmah, karena satu niat dari nenek moyang cicak dan katak, maka itu berpengaruh kepada anak cucunya. Demikian pun barangkali dengan kita, betapa kita tidak tahu jika niat kebaikan atau keburukan yang kita lakukan dampaknya bisa jauh hingga ke anak dan keturunan kita kelak.
Semoga kita selalu diberikan kekuatan dan keteguhan untuk senantiasa menjaga niat. Niat melakukan segala sesuatu karenaNya, agar segala sesuatu akan senantiasa bernilai ibadah di sisiNya.
#30haribercerita #30hbc2402
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lossinvivo · 7 months ago
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Samedi 1er juin 2024,
Je me souviens de toi. Tu me paraissais immense. Homme de soixante-et-onze ans aux signes d'âge apparents. Des rides et des cheveux blancs. Une longue barbe. Tu cristallisais l'hiver en un faciès, alliant le ciel et la neige. Pourtant, aucune preuve de faiblesse ne transparaissait. N'importe quel mot sortant de ta bouche semblait décuplé par ton savoir. Tu m'as parlé de communisme, de tes œuvres architecturales. De ton fils. Je buvais tes paroles et ne refusais jamais ton vin, et encore moins tes cigarettes. Tu remplissais toujours mon verre, je finissais tes bouteilles. Mon cœur débordait de ta générosité, affûté par ta tendresse. Encore aujourd'hui, j'arrive à te trouver un air affable.
Que m'as-tu fait ? Ce soir-là, qu'est-ce que Mehdi a mis dans mon verre ?
De ses yeux aussi, je me souviens. De grands yeux. Globuleux, certainement. Comme s'ils avaient beaucoup à regarder et à transmettre, incapables de tenir en place. Son expression me hante. Personne ne m'a observé avec tant de lubricité. Il y avait quelque chose de véritablement pervers dans sa façon de me sourire et m'observer.
Un an après, j'ai lu Lolita. Peut-être que j'essayais de comprendre ce que tu pouvais voir chez moi. Je me suis projetée sur Dolorès. J'ai cru que je t'avais provoqué, que c'était ma faute. On me l'a souvent dit.
Lundi 3 juin 2024,
L’idée que les monstres possèdent un même et répugnant visage est fausse. Au contraire, ils ont l’air sympathiques. Ils le sont aussi. Le diable ne séduit pas en étalant ses mauvais plans. Il sait prendre son temps et jouer de sa musique. C’est son charme, l’envahisseur. Le début de tout anéantissement, la raison de finir par tout craindre.
Le mal est habile et rôde sur les traits des anges. Ce n’est pas pour rien qu’il est si divinement représenté. Regarde le tableau de Cabanel. On aurait presque envie de se jeter dans ses bras, de le sentir tout entier. Lorsque je suis allée le voir l’an dernier, j’ai de suite compris que Lucifer en personne pourrait me tenter, surtout avec une telle gueule.
C’était pareil pour toi. Les vieillards sont souvent pardonnés pour leur lubricité. Je suppose que leur apparence fait serment de faiblesse, mais toi, tu ne m’as jamais paru inoffensif. À quinze ans, je me doutais de tes penchants, et quand je regarde des types comme Matzneff, l’horreur me frappe du coup de l’évidence. Toi, tu semblais sortir d’une carte postale. Une caricature du père Noël, mais avec un bagage plus lourd, plus intéressant. J’aimais les gens intelligents, me sentir petite et bête. Je pense que c’est en partie pour ça que tu m’attendrissais et que je niais tant les faits se présentant à moi.
Je pense souvent à toi. Peut-être tous les jours. Et à ton fils et à ses amis et à mes anciens amis et aux hommes qui n’ont jamais cessé de me malmener. Quand j’ai peur de marcher dehors, je me rappelle que le vrai danger réside au plus près. Qu’il suffit d’un instant de confiance pour tout chambouler.
J’ai voulu croire que tu voulais mon bien.
Un baiser, c’est doux. Les lèvres sont comme deux petits coussins, deux parcelles de paradis. Nuageuses et veloutées.
Et puis, derrière, il y a trente-deux dents. Des bouts d’émail fixes et toujours prêts à déchirer, voire liquider. Une stature qui réduit aisément en bouillie.
Quand tu me faisais la bise, une certaine chaleur émanait de toi. La chaleur de ton corps, celle qu’il contient et qui menaçait de prendre l’intégralité du mien. Ça a quelque chose de dégoûtant, au fond. Déborder ainsi sur quelqu’un. Sur moi. Sur la petite amie de ton fils. Son ex, ensuite.
J’ai lu Ma Sombre Vanessa. Immédiatement, j’ai trouvé Jacob Strane affreux et prévisible. Nabokov a de nombreuses fois été cité au cours de cette lecture, dont son œuvre la plus connue, Lolita, et quelques vers de Feu pâle.
« Ma sombre Vanesse, aux zébrures carminées, Mon papillon adorable et béni… »
Je ne sais plus trop. Disons que Nabokov m’a toujours rampé sous la peau. C’est la première plume qui m’a transcendé de par sa virtuosité. Lolita m’a hanté, aussi. Il… Elle, m’a fait questionner la légitimité de ma position, et à quel point j’ai pris part à tout ça. Est-ce que je me rendais compte que c’était une sorte de jeu ? Oui. J’avais quinze ans et j’ai toujours été précoce, alors je m’en doutais bien. Je pense que j’aimais les hommes plus âgés, le fait de plaire. J’avais besoin d’une échappatoire, de trouver une utilité à ce qui faisait de moi une adolescente triste et franchement pitoyable. Il m’est arrivé de préférer te parler plutôt que traîner avec ton fils. Trouves-tu que je t’ai provoqué ? Et est-ce que ça fait de moi le problème ?
Mais jamais, jamais je n’aurais cru qu’il m’arriverait ça. Que je serais forcée dans cette spirale qui, je suppose, m’a retourné le cerveau. D’abord, il y a eu l’autre, deux semaines plus tôt. Qui avait mis ses doigts en moi, s’est tordu entre mes jambes. Qui a dit qu’il m’aimait, qu’il n’avait jamais vu de fille aussi parfaite que moi. J’avoue avoir été flattée. Moi, je me détestais.
Je n’avais envie de rien, pourtant. Ce que l’on pense être une réaction positive n’est qu’une façon de faire glisser la chose plus facilement. La mouille devient alors comme de la rouille. Horripilant, n’est-ce pas ? Pour surmonter la peur, je sais que le corps se raidit. Au fil des années, j’ai aussi vu jusqu’où ma mémoire allait pour me détourner de la honte et de la répression.
Ton locataire… Ah, je ne sais pas. Je ne sais pas ce qu’il m’a fait. Je ne sais pas ce que tu m’as fait non plus. Ni toi, ni les autres. Vous êtes une image floue dans mon esprit, un nombre d’heures que je me passe encore et encore. Un épisode en replay ? On n’oublie rien de rien, finalement. Cette peur gravée dans mon ventre, cette éclipse qui sous mes paupières s’imprime à peine on me touche. Je suis encombrée.
La mécanique du viol, je dois dire qu’elle est vraiment spéciale. Elle m’étonne sans cesse.
Les années se sont écoulées et qu’est-ce que j’en ai perdu, du temps. Tellement à essayer de me réparer, d’enfouir ce souvenir et même à l’accabler d’autres impasses. On a dû me voir comme une fille facile mais moi, j’ai surtout cherché à recréer quelque chose. Rejouer la scène et me convaincre que ce n’était pas si désagréable. J’ai cru à ma mascarade, cru à l’idée que moi, ce que j’aimais, c’était les monstres.
Je n’ai jamais su dire non, ni penser à moi. Longtemps, j’ai véritablement cru que mon corps était un objet qu’il fallait user. Un torchon fait pour essuyer des marées de foutre et d’illusions. Tu sais, il m’arrive encore de penser que mon destin est scellé sur les trottoirs et que je pourrais tout foutre en l’air n’importe quand, mais je crois que ça a changé.
Aujourd’hui, j’ai vingt-et-un ans. Ça va faire six ans depuis, et j’ai envie de te le dire : non, tu ne m'as pas eue. Ni toi, ni les autres. Ni la mort, ni les envies de suicide, ni les tentatives, ni l’échec. La gamine que j’étais, je l’ai prise par la main pour la foutre à la porte. Je n’ai plus de temps à accorder à ce que vous m’avez fait, et mon cœur n’essaie plus de vous pardonner.
J’avance enfin. Mon existence ne s’est pas arrêtée et c’est franchement marrant de le constater. Quand je me réveille et que je me sens à peu près bien, je me surprends. Ça me révolte presque. Combat acharné qui a pris plus de la moitié de mes jours. Je ne suis peut-être pas vouée au déclin, ni condamnée à vendre mon corps. Je vais enfin bouger. Je vais partir loin de vous. Ne plus passer devant ta maison, ne plus redouter de vous croiser. Je vais vivre près de la mer et entendre les vagues me mener partout où vous ne pourrez jamais m’atteindre.
J’ai plusieurs fois écrit à votre propos. Désormais, ma plume dépeindra des miracles. Et quand je serai au sommet, j’humilierai votre condition un par un. Tout ce que vous avez tu, je le révélerai. Je vais éclore des milliers de fois. Ce sera ma vengeance.
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haditavenenosa · 10 months ago
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Toi niai con los weones que solo buscan tirar, no soi pa esoooo, si no te keri casar conmigo, chao vv
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