#niais
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Ondes positives (on Wattpad) https://www.wattpad.com/story/361625826-ondes-positives?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_myworks&wp_uname=GeoffroyStreit Je vous présente une nouvelle fantasque volontairement un peu niaise crée pour accompagner une de mes créations musicales destinée à vous envoyer une grande bouffée d'ondes positives ! La lirez vous ? L'écouterez vous en même temps ? Donnez moi vos impressions :)
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#spirou#fantasio#my art#q#spirou et fantasio#spip#marsupilami#ouuuuuuuuuuuu#il est niais celui ci </////3#et j'aime pas les couleurs snif
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l'adaptation du comte de monte cristo est tellement emo ça me termine
(bien sûr que je vais m'en inspirer pour mes rp)
#c'était hyper fun#mais niais à pleurer#et oof les acteurs français y en a qui devraient apprendre#à déclamer un texte avec un peu plus de naturel#not pierre niney though#c'est vraiment un très bon acteur#blabla
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mi más sincero comentario como vocal este año, qUÉ CHUCHA ESTÁ PASANDO CON LOS DEL 2005? qué comen que están saliendo tan lindos y cutes? (μ_μ)
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Je t'aime plus que tous les garçons du monde
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HAPPY BIRTHDAY!!!!! TAKE THIS COOKIE NOW
Niais (the mod) says thank you bestie 💅
On a normal day they wouldn't eat cookies from stores that aren't Kroger but anyways-
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Niai Fieso
STAR WARS EPISODE I: The Phantom Menace 01:03:08
#Star Wars#Episode I#The Phantom Menace#Tatooine#Mos Espa Grand Arena#Boonta Eve Classic#Niai Fieso#Xextese#Xexto#Veterned#Troiken#Freon Drevan#Corporate Sector Authority Security Police#unidentified Quarren#unidentified Pacithhip#unidentified creature#unidentified Weequay#unidentified Rodian#unidentified Klatooinian#viewscreen#gorg#Aldar Beedo's podracer#Mark IV Flat-Twin Turbojet#podrace
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FFVII Ever Crisis has a Japanese-only dub right now, so just in case anyone wants to know what Vincent says during battles, I did a quick translation below. This is by no means complete or perfect, but you can get a sense for what he might say in the next installment of FFVIIR :)
Before battle
これも私の罰か
Kore mo watashi no batsu ka?
Is this also my punishment?
(OK SO I could not make out “batsu” for the longest time because he has kind of a lisp (so cute) and it sounds like he’s saying “bashhu” instead (which makes zero sense) so when I looked up the possible phonetics, “batsu” came up and I was like OF COURSE HE WOULD SAY THAT 😭)
さあ、やるか
Saa, yaru ka?
Well, shall we (do it)? (“It” being battle haha)
お出ましか
O-demashi ka?
Are you coming?
(This is likely is addressed to his teammates as in, are you going (to fight)? I’m still trying to think of a better translation…)
(Edit: He drops the last vowel in demashi so I was wondering if he maybe said o-demashou which would change the meaning to something like “shall we begin?” Still not 100% sure on this one)
フ… 面白い Hm… interesting
Hu… Omoshiroi
(Omoshiroi can also mean “how amusing”.)
During battle
呼んだか?
Yonda ka?
You called?
(When switching to his character in battle)
こうたいだ - Fall back!
Koutai da
(Edit: 7/21: I keep going back and forth about what this means specifically, whether he is saying 後退“Fall back/retreat” or something more like 交代 “My turn”. Both sound the same in Japanese but I don’t have kanji to help here lol. Usually “my turn” is translated as 私の出��� “watashi no deban” which is what Aeris says incidentally, but deban is kind of a childish word, so this sounds like Vincent’s more formal way of saying the same thing.)
Special attack:
動くな Ugoku na - Don’t move.
さらば Saraba - Farewell.
受け取れ Uketore - Take this!
じゃ、な Jya na - Goodbye.
After Battle - Victory:
終わったな
Owatta na
It’s over.
こんなものだ。
Konna mono da.
It’s something like that.
(I’d translate this as something punchier... Like he’s saying“No sweat” but cooler ✨)
Defeat
フ… 似合いの結末だ
Hu… Niai no ketsumatsu da
Hmph… A fitting ending.
ついに終わりか?
Tsui ni owari ka?
At last, is this the end?
(7/21: Here’s the one I was missing. This is like identical to one of his Dirge defeat lines ❤️)
If he falls in battle:
闇が近い
Yami ga chikai…
Darkness is near…
(Edit 7/21: I misheard this line the first couple of times due to battle sound effects, but I finally heard him clearly this time and it’s so perfect ❤️ haha)
If you retire from battle:
今度こそ、永遠の眠りを…
Kondo koso, eien no nemuri wo…
This time, forever will I sleep…
—-
Kinda standard stuff, but anything he says sounds so good in Suzuki-san’s voice ❤️
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les gens me demandent h24 "alors ça fait quoi d'être mariée ?" et je pense qu'ils s'attendent à ce que je dise "oh pas grand chose de plus qu'avant" mais en fait on est ultra niais on se regarde tout le temps en se disant "ça va mon époux ?" ou "bonjour ma femme" et on met nos mains gauches devant nous l'une à côté de l'autre pour regarder nos alliances en riant bêtement et aussi je lui dis tout le temps qu'il est méga sexy avec son alliance et les gens sont limite déçus ou deg que je dise ça lol mais dsl on se kiffe c'est pour ça qu'on s'est mariés en fait
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Perso Flaubert je ne peux plus...
Trop cucul la praline
À mesure que nous vivons ensemble, ce sera comme une étreinte chaque jour plus serrée, plus complète.
Flaubert
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#oui les hommes s’en foutent#mais rassurez-vous ils se foutent aussi de tout le reste Je trouve ce que tu as dit hyper intéressant. C'est honnêtement ma thèse, de plus en plus, à mesure que j'avance dans la vie, sans que j'ai quoi que ce soit d'autre que mon expérience pour la soutenir. Je ne sais pas à quoi ça tient, mais j'ai le sentiment que nous, les hommes, les mâles humains, peu importe, ne tenons pas à la vie matérielle autant que les femmes. J'entends "tenir" au sens premier du terme. On y est moins connectés, ou on s'y connecte moins, je ne sais pas. Des religieux radicaux aux fans supposément ultra-rationalistes d'Elon Musk, par exemple, il y a toujours un gouffre de l'idéal vers le réel qui doit être franchi. L'idéal, c'est où le quotidien devrait être vécu, et le contact avec le réel est toujours difficile. C'est le moment des larmes, ou de la colère, ou, dans les pires des cas, de la destruction, j'entends la destruction entendue pour rectifier le décalage entre l'idée et le concret, ou signer un manifeste en faveur de l'idée au détriment du concret. J'ai la conviction que les hommes peuvent vivre une existence entière purement au travers de symboles et de structures esthétiques qui auront déterminé leur _histoire_. Je pense que la structure principal d'un homme, en général et pas en particulier, c'est une structure narrative. Je pense que si on sort de sa narration, il y a désarroi. Au mieux, pour lui-même, au pire, pour les autres.
Alors c’est juste mon hypothèse, mais je pense que ça a beaucoup à voir avec le fait de vouloir remplir le vide créé par l’incapacité de concevoir / d’engendrer.
D’un côté il faut contrôler les femmes et leur capacité à engendrer, de l’autre il faut créer de multiples formes de conception, voire tenter grâce à la technologie de les remplacer : par les mères porteuses puis les utérus artificiels, par la robotique, par la technologie …
Tout dans la nature rappelle que ce qui est nourricier au sens premier du terme est féminin. Plus les hommes se distancient du féminin pour essayer de trouver leur identité propre, plus ils peuvent se réfugier dans l’abstrait ou l’artificiel. Ou dans le mensonge, en racontant dans leurs mythes que les femmes ne sont que des fours, que l’âme vient de la semence masculine, que les femmes sont des hommes ratés etc…
C’est un mensonge et ils le savent. Mais pour le maintenir il faut non seulement se tenir à distance du féminin mais aussi le dévaloriser. Tout ce qui a trait aux femmes est humiliant, inférieur, niais, ce qui rentre en confrontation directe avec l’orientation sexuelle de la majorité d’entre eux. Comment réconcilier le fait d’être attiré sexuellement par un être qu’on jalouse et qu’on méprise?
En considérant que le sexe est par nature un péché. Que la femme est tentatrice, que son corps est sale, qu’elle est impure. Encore une raison de se réfugier dans l’abstrait et l’artificiel ! Mais ça ne protège pas de la colère, qui s’abat sur les femmes qui même quand elles n’ont rien ont toujours trop.
J’ai toujours envie de rigoler quand je vois des hommes écrire des scénarios catastrophe sur les robots qui tueraient l’humanité et dont il faudrait restreindre le libre arbitre. On voit bien ce que les hommes pensent d’eux-mêmes. Aucune femme n’a jamais pensé que ce serait une bonne chose de briser le libre arbitre de ses enfants et d’en faire des serviteurs dociles. Il n’y a qu’un homme pour se dire « je ferai mieux que les femmes » (une créature sur mesure) « qui ensuite me tuera » (parce que je suis incapable de l’aimer correctement).
Le jour où les hommes auront dépassé leur trauma collectif de ne pas avoir d’utérus on pourra peut-être avancer mais c’est pas pour demain.
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You are my hero for using the phrase 'perfidious Albion' in your tags. What is the French obsession with Alexandrine meter?
:) Well it's just that for a very long time France considered the 12-syllable verse known as the alexandrine to be the pinnacle of versification. For your poetry or play to be considered high literature it had to be in alexandrines (I was recently reading an English jstor article about translations of Shakespeare in the early 19th century and it went “[French translator] prefers to translate in verse, which means, of course, in alexandrines.” Of course!) We've moved on now and they’re out of style, but we’re still secretly fond of them I think. We were held hostage by alexandrines for so long a lot of French people still have a Stockholm-syndrome preference for their specific flow over other kinds of poetic metre.
They left a strong legacy in our language too—a lot of French sayings / proverbs are alexandrine verses because they’re excerpts from classical theatre and poetry (e.g. “A vaincre sans péril on triomphe sans gloire” from Corneille; “La raison du plus fort est toujours la meilleure” from La Fontaine; “Qui veut voyager loin ménage sa monture” from Racine; “Chassez le naturel, il revient au galop” from Destouches, “Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage” from Boileau...)
The alexandrine had a long golden age, from the Classicists to the Parnassians (mid-17th to late 19th century)—the Romantics in between were advocating for a kind of “free verse” but it still meant alexandrines and pretty rigid ones at that! (Victor Hugo’s “J’ai disloqué ce grand niais d’alexandrin” was subversive—but it’s still an alexandrine.) Their verse was only considered rebellious because it ignored some of the many rules that went into a perfect classical alexandrine (e.g. no overflow, 4 rests per line, rhyme purity must be respected when it comes to mute consonants, no liaison between the last word of an alexandrine and the first word of the next, the hemistiches of two successive alexandrines mustn’t rhyme, no prepositions or other tool words at the end of a hemistich, etc. etc.)
Then in the 19th century we liberated ourselves from the tyranny of the alexandrine after Verlaine shot them dead (insert Rimbaud joke) by doing things like placing the caesura on the 3rd syllable of a 5-syllable word (“WTF”—Racine) or ending an alexandrine in the middle of a word and treating the first half of the truncated word like a legit rhyme, which made all the Classicists roll over in their grave.
I really like alexandrines personally! I admit they can sound plodding after a while especially with classical rhymes, but they have such a soothing flow. I also love that they are often French at its Frenchest. By which I mean, there are some gorgeous alexandrines that are genuinely the French language at its best and most graceful, and then you have those that can’t help but highlight how absurd our syntax can get.
My favourite types of alexandrines are the ones with a diaeresis in each hemistich because saying them normally feels like walking down the street, while saying them as an alexandrine feels like doing a figure skating routine (e.g. in Racine, “La nation chérie a violé sa foi”); the ones with an AB-BA structure (“Et le fuyant sans cesse incessamment le suit”), the ones with a ternary structure (“Je suis le ténébreux, le veuf, l’inconsolé”, “Je renonce à la Grèce, à Sparte, à ton empire”) and the ones where 1 word sprawls over an entire hemistich (“Voluptueusement dans cette paix profonde...”).
The worst alexandrines imo are the ones that force you to acknowledge how many tiny grammatical bricks are involved in the building of a French sentence. Orally we tend to squish them together so we can forget about them but the merciless alexandrine will demand that you mortify yourself pronouncing all of them, e.g. “O nuit, qu’est-ce que c’est que ces guerriers livides ?” (thank you Victor Hugo for this ignominy) (<- here’s an alexandrine), or “Si ce que je te dis ne se dit pas ainsi”... “Ce que je te (...) ne se” is a horrible succession of words by poetical standards but wait I’ve got worse!
Tu m’as pris mon trésor et t’étonnes tout bas De ce que je ne te le redemande pas
“De ce que je ne te le”—see? French at its Frenchest.
#ask#language tag#(french speakers tell me your favourite alexandrine if you have one!)#ce dernier couplet provient d'un livre sur la poésie de hugo qui m'a surtout marquée parce qu'à un moment#l'auteur consacre plusieurs pages à citer des vers dont le contenu terre à terre contraste ridiculement avec#la grandiloquence inévitable de l'alexandrin#et c'est vrai que certains sonnaient plus comme une réplique de trissotin qu'un vers de la légende des siècles#mais quand même t'écris un bouquin sur victor hugo et tu décides de passer 20 pages à lui mettre la honte
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
#poesie#poetry#french literature#arthur rimbaud#verlaine x rimbaud#riverside#storm#night#sea#drown me#love#sunlight#dream#lightning#florida#rainbow#waves#ocean#oceancore#perfume#fish#birds#freedom#europe#glacier#coast#sky#gold#im cryin#moon
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Je suis en train de regarder la télé-réalité asiatique The Boyfriend sur Netflix ce sont plusieurs hommes gays ou bi qui habitent et travaillent ensemble afin de potentiellement trouver l'amour c'est tellement niais j'ai envie de taper les candidats mais maintenant je suis trop impliqué il faut que je finisse de regarder
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Menata Niat
Di zaman yang serba digital ini betapa tidak mudah menata niat. Betapa mudah mungkin amal-amal kita kebaikannya hangus begitu saja ketika ada sedikit saja niat yang salah.
Aku masih ingat beberapa kali dalam pesantren subuh, kajian selasa malam, juga halaqah bainal isyaain, guru kami Ustadz Afri sering mengingatkan kami terkait hal ini.
Sebuah nasihat yang pernah disampaikan Imam Abdullah bin Alawy Al Haddad sebagaimana dikutip oleh salah satu murid beliau, Syaikh Ahmas bin Abdul Karim Assyajjar bahwa kadar pahala kita sesuai kadar niay dan tujuan kita dalam beramal, bukan berdasarkan kadar amal kita.
Seandainya amal kita ditentukan oleh kadar amal, sudah tentu kita tidak apa-apanya dengan para malaikat Allah yang sejak awal diciptakan tanpa henti bersujud bertasbih memuji asmaNya hingga hari akhir nanti.
Dikisahkan dalam Kitab Ad-Dawah An Nahdliyah, bahwa dahulu, seekor katak tertatih tatih membawa air untuk memadamkan api yang berkobar yang membakar Sang Kholilullah Nabi Ibrahim, yang tentu saja akhirnya sia-sia. Tapi Allah mencatat niat baik tersebut hingga syariat melarang membunuh katak hingga saat ini. Pun demikian sebaliknya cicak yang justru meniup api kobaran Nabi Ibrahim dengan harapan api membesar, yang juga tentu saja sia-sia. Tapi niat buruknya tercatat di sisiNya hingga menjadi syariat anjuran untuk membunuh cicak, bahkan 100 kebaikan bagi yang membunuhnya dalam sekali pukulan.
Lebih jauh lagi jika kita mengambil hikmah, karena satu niat dari nenek moyang cicak dan katak, maka itu berpengaruh kepada anak cucunya. Demikian pun barangkali dengan kita, betapa kita tidak tahu jika niat kebaikan atau keburukan yang kita lakukan dampaknya bisa jauh hingga ke anak dan keturunan kita kelak.
Semoga kita selalu diberikan kekuatan dan keteguhan untuk senantiasa menjaga niat. Niat melakukan segala sesuatu karenaNya, agar segala sesuatu akan senantiasa bernilai ibadah di sisiNya.
#30haribercerita #30hbc2402
instagram
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Name(s) : Roger/Rory/Rowan
Relatives: My identical twin @kroger-fr and I exist only to promote the brand and hate on our enemy @the-official-publix (apparently they're going to be my sibling in law smh), My beloved father @thekrogercompany is the only one who supports my claims of Pupkik's many crimes. Also in a current rivalry with @big-mayo-official about whether Mayo is good on chicken tenders (they're not)
Pronouns: They/them (@kroger-fr my gender in the supermarket womb)
Occupation: Shitposter, every now and then I gain an enemy.
The gimmick (Roger's) birthday: January 23rd
The mod (Niais's) is also they/them btw so just let them know when you're referring to them
The way I look:
FRESH FOR EVERYONE, SHOP AT KROGER TODAY
DNI List:
Racists
Homophobes
Transphobes
Peedos (MAP's etc)
R3pesexuals
Terfs
Zionists
People who hate @its-sanrio-official
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