#musique amérindienne
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Découvrez la Sagesse Amérindienne à travers la Musique de Relaxation
La culture amérindienne est un trésor d’anciennes traditions et de sagesse qui a résisté à l’épreuve du temps. Les peuples autochtones d’Amérique du Nord ont toujours été profondément connectés à la nature et ont développé une philosophie de vie unique, qui peut inspirer et apaiser nos esprits agités. Dans cet article, nous explorerons la sagesse amérindienne à travers trois proverbes inspirants.…
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Voyage sur un pendentif
Il a le droit d’être beau le chemin de notre regard sur une photo. Quand on se rue sur un boulevard qui nous emmènera finalement sur des sentiers que l’on n’imaginait pas a priori. En ouvrant en grand les portes de notre imaginaire. Elle est là aussi la poésie du quotidien.
La mise en scène de son majeur pointé sur son téton pour cacher ce sein que l’on ne saurait voir, un doigt (bien choisi) de provocation… voilà pour le boulevard. Et comme je ne m’attarde sur les grands boulevards que par obligation ou contrainte et que dans mes ensauvagements de Robinson je leur préfère sans commune mesure les sentes aux herbes folles livrées aux vents, non seulement je ne me suis pas attardé sur ce doigt pointé sur son sein… mais mon regard a instantanément été happé par son pendentif, là, aux confins de son cou et de ses longs blés tendres qui lui servent de cheveux.
Un pendentif arborant une empreinte. Les voici donc les sentiers sauvages de l’aventure ! Et l’explication implacable du chemin de mon regard, happé par ce détail plutôt que par un doigt sans honneur sur un sein.
Je me suis instantanément demandé de quelle empreinte il s’agissait. Une patte griffue de trop pour le loup que j’aime, mais cinq longues griffes assez bien placées pour être celles d’un plantigrade : je me suis mis à rêver au destin de ce supra-mini ours, traces noires sur fond blanc comme les neiges du Montana… En remerciant ce hasard qui m’a conduit sur les chemins d’un mystérieux message, une sorte de grand voyage, là, sur ce tout petit pendentif mais une immense porte ouverte vers un imaginaire que j’ai situé quelque part chez les Amérindiens.
Magie d’un petit pendantif, il m’a conduit direct vers la question de la trace, de l’empreinte, de l’héritage.
Que laisse-t-on de notre passage ici bas ? Dois-je préciser que la question n’a rien d’un égotisme de mâle en quête de postérité prêt à marquer au fer rouge la terre, la matrice qui l’a vu naître, quitte à foutre en l’air cette terre de toutes ses empreintes lors de son passage sur la planète bleue ? Non, dans l’esprit de cette petite coquetterie amérindienne, je me suis demandé ce qu’il restera du parfum de notre âme quand on aura mis les voiles. Quels souvenirs, quelle petite musique dépose-t-on auprès de nos chères âmes sœurs ? Est-ce qu’être conscient de cette question invite à agir mieux encore au quotidien ?
Petites empreintes, merci. La curiosité aurait pu me désoler de ne pas découvrir ces yeux (son regard), là, à quelques centimètres au-dessus du pendentif… mais ce long voyage au pays de l’âme a fait mon bonheur du jour. Robinson chez Geronimo, sur les traces fraîches d’un si petit ours, c’est déjà un bien beau voyage.
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ANGÉLIQUE KIDJO & YO-YO MA | SARABANDE AFRICAINE
Deux immenses musiciens, Yo-Yo Ma et Angélique Kidjo se réunissent sur la scène de la Philharmonie de Paris le 3 décembre prochain dans « Sarabande Africaine ». Un concert atypique mêlant la voix puissante d’Angélique Kidjo et la pureté du violoncelle de Yo-Yo Ma, pour explorer les époques et les lieux où les musiques classiques et africaines se sont croisées.
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Pour définir sa collaboration avec Angélique Kidjo, Yo-Yo Ma décline un concept écologique, celui du « edge effect », l’effet « lisière », ou comment la rencontre de deux écosystèmes en produit un troisième, générateur de nouvelles formes de vie. Ce processus, dit le violoncelliste, a donné naissance au jazz, ou dans un passé plus lointain, à la sarabande.
« Nous sommes des chercheurs culturels », explique Yo-Yo Ma. Des curieux patentés qui, plutôt que de cultiver leurs différences, ont décidé d’explorer les zones de convergence. « Angélique Kidjo est née au Bénin, elle est passée par la France, les États-Unis. Moi, je suis né à Paris de parents Chinois partis à New-York. Nous sommes des migrants, voilà l’identité profonde que nous partageons ».
Voici donc réunis nos deux impétrants d’excellence — pour chacun, plusieurs Grammy Awards et le Polar Music Prize. Elle, chanteuse populaire, lui musicien classique, ont en commun de se soucier de la genèse de leurs musiques. Ce faisant, ils ont tissé une toile d’humanité, de folle humeur, de hasards et de vagabondages. Au fil de leur quête, ils ont prouvé que l’africanité avait traversé les siècles. Ils ont, dit Angélique, découvert que « la musique africaine et la musique classique avaient une histoire commune riche et inédite que nous avons décidé de raconter ». Afin que cesse l’occultation systémique de l’apport africain, ils ont conçu Sarabande Africaine.
Avant de se projeter vers l’Orient, en fondant en 2000 le Silkroad Ensemble, Yo-Yo, le brillant élève de la Juilliard School, avait fait une incursion chez les bushmen Kung du désert du Kalahari, à la frontière de la Namibie et de le Botswana, parce qu’il en il admirait la musique. Pendant ce temps, Angélique Kidjo, projetée dans la lumière de la pop africaine et de la sono mondiale depuis la sortie en 1991 de Logozo chez Island Records n’avait rien lâché, construisant une trilogie discographique basée sur les routes de l’esclavage (Oremi, Black Ivory Soul, Oyaya !).
Pour Yo-Yo Ma, le clan des passeurs, qu’elle et il, ont rejoint, est de la plus haute importance. Il y inscrit tout autant Antonín Dvořákque Nadia Boulanger, la professeure française de Leonard Bernstein, Pierre Henry, Quincy Jones, Astor Piazzolla, Philip Glass, et tant de génies contemporains, dont elle a libéré la pensée par son exigence de décloisonnement des musiques. Dans la même logique, Angélique Kidjo n’a pas craint de faire des incursions dans le domaine a priori clos des musiques dites « savantes », notamment en collaborant avec Philip Glass, avec qui elle a créé Ifé, Three Yoruba Songs en 2014. De Glass, elle a aussi interprété la Symphonie n°12, dite Lodger, sur des paroles de David Bowie, en y apportant la force d’une voix ancrée dans la tradition orale du Golfe de Guinée.
Dans le même désir de rupture, Yo-Yo Ma a intensément interprété les œuvres d’Antonín Dvořák. « Dvořák, qui a dirigé le Conservatoire National de musique de New York, avait pour assistant Harry T Burleigh, chanteur et grand connaisseur des negro spirituals », très présents dans la Symphonie du Nouveau Monde. Dvorak était convaincu qu’il fallait puiser dans l’ensemble des cultures populaires, en particulier les cultures amérindienne et afro-américaine. « J’en suis maintenant convaincu, écrivait-il dans le New York Herald en mai 1893. L’avenir de la musique de ce pays s’appuiera sur ce que l’on appelle les mélodies noires. J’y ai découvert tout ce dont j’ai besoin pour imaginer une grande et noble musique qui peut faire école. » La génération suivante, Duke Ellington, George Gershwin, héros musicaux qu’Angélique Kidjo chante, créa ce « edge effect », écosystème libre de la musique américaine, marqué par l’héritage des diasporas africaines.
Angélique Kidjo et Yo-Yo Ma se sont rencontrés le 11 novembre 2018 sous l’arc de Triomphe, lors du centenaire de l’armistice de la Première Guerre mondiale. Au premier regard, ils s’entendent, ils s’écoutent, ils se reconnaissent. Ils ont des valeurs communes : la paix, la protection de « Mother Nature » (titre du dix-huitième album d’Angélique, paru en 2021), et l’éducation. « Et puis, dit encore Yo-Yo Ma, nous ne sommes pas coincés. Nos pensées ne sont pas rigides, pas catégoriques, et ainsi nous trouvons une sorte de vérité musicale ».
Devant plus de soixante-dix chefs d’États, Yo-Yo Ma interprète la Sarabande de la Suite n°5 pour violoncelle en do mineur de J.S. Bach. En hommage aux combattants africains de la première Guerre mondiale, Angélique Kidjo choisit Blewu, une chanson de paix et de patience écrite en langue mina par la Togolaise Bella Bellow, incluse dans son répertoire dès 1989. « Nous étions tous là, parce que, à la fin de la Grande Guerre, on a dit plus jamais, mais il y a eu la Seconde Guerre mondiale, puis à chaque grande tragédie, et à chaque fois, on oublie, c’est très pénible. », poursuit Yo-Yo Ma.
Pour résister aux effets mortifères du confinement de 2020, nos deux désormais complices enregistrent ce Blewu, en duo, voix, violoncelle – que Yo-Yo Ma a inclus dans son album Notes for The Future. « Ce dont nous avons parlé immédiatement avec Angélique, ce fut de la sarabande », poursuit Yo-Yo Ma. Puisant ses origines sans doute ses origines dans le Royaume andalou (Maures, Juifs, Wisigoths…) démantelée par les Rois Catholiques en 1492, la sarabande est apparue en Espagne à la fin du 16ème siècle. L’Inquisition voyait dans cette danse débridée la main Diable, un cadeau fait aux sorcières pour le sabbat. La sarabande migra chez les esclaves africains du Panama, revint en France sous une forme ralentie, proche du menuet de Cour. Au début du 18ème siècle, elle inspira brillamment Haendel, et devint, selon Yo-Yo Ma, le « cœur des six Suites pour violoncelle seul de Bach », qu’il a enregistrées dès 1983.
Croisements de hasards : Angélique Kidjo adore Bach. En 2008, elle entend un mouvement du concerto pour clavier BWV 1056 de Bach, inséré dans le documentaire d’animation Valse avec Bachir, de Ari Folman. Elle y place des paroles en mina, et l’intitule Aisha. « Je l’ai beaucoup chantée dans Mots d’Amour, le récital conçu avec le pianiste classique français Alexandre Tharaud », où figure également La Foule. Archétype de la chanson française, ce titre culte d’Edith Piaf est en réalité l’adaptation par le parolier Michel Rivgauche de Que nadie sepa mi sufrir, composé par l’argentin Angel Cabral, d’après une valse péruvienne.
Angélique est née à Ouidah, elle a fui en France la dictature marxiste du président Kérékou. Yo-Yo est de famille chinoise, et fut très tôt repéré pour sa virtuosité par, entre autres, le violoncelliste catalan et antifranquiste Pablo Casals. Ils sont Français et partage un amour vif de la langue française. Angélique a inclus dans son programme la lecture de L’Horloge, un poème de Charles Baudelaire qui fut le compagnon d’une vie de la comédienne Jeanne Duval, femme créole née à La Réunion.
Trait d’union encore, le plaisir de la musique. Admirateur de la Philosophie des Lumières, Yo-Yo Ma lui retire cependant un point : la séparation du corps et de l’esprit, et la prédominance de ce dernier. « Or, la musique en scelle la fusion, il faut des muscles efficaces pour jouer Bach. Ou pour chanter. Le groove doit être ressenti dans le corps, qui n’est pas un métronome ». Angélique danse, s’empare avec volupté des rythmes, chante sans limites. Yo-Yo Ma joue, partout, avec gourmandise. « Le violoncelle est charnel, je n’essaie pas de sortir le plus beau son du violoncelle, mais de suggérer le son d’un tambour, d’une voix, de l’eau, de l’acier. La flexibilité du violoncelle me permet de suggérer tout ce qui existe dans la nature ».
Angélique Kidjo et Yo-Yo Ma auraient pu se limiter à un duo. Mais ils ont choisi de faire groupe, avec deux musiciens d’origine caribéenne, compagnons de route de la chanteuse, David Donatien (percussions) et Thierry Vaton (piano). Donc, une foi encore, il a fallu inventer, adapter. « Michael Riesman [directeur du Philip Glass Ensemble] a fait un travail remarquable en transcrivant les 110 musiciens de l'orchestre philharmonique en un trio », s’amuse Angélique Kidjo, un nouveau « edge effect » en perspective.
Véronique Mortaigne, Novembre 2023
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3 Proverbes Amérindiens Puissants à Connaître
https://soundcloud.com/intuitionlibre-com/3-proverbes-amerindiens-puissants-a-connaitre 3 Proverbes Amérindiens Puissants à Connaître Découvrez la sagesse Amérindienne à travers la Musique de relaxation Découvrez la Sagesse Amérindienne à travers la Musique de Relaxation #sagesseAmérindienne #Musiquederelaxation #pratiquespirituelle #connaissancesancestrales #harmonieinterieure #zen…
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Options de divertissement hors jeu limitées Spectacles et concerts en direct Places de parking limitées, surtout pendant les périodes de pointe Hôtel et hébergement de luxe Certains visiteurs peuvent trouver le niveau de bruit global trop fort Salle de poker dédiée Le casino peut être accablant pour les nouveaux arrivants ou les joueurs inexpérimentés Promotions régulières et programme de récompenses Mises minimales plus élevées par rapport aux casinos plus petits ou locaux Emplacement idéal Options de transport en commun limitées pour ceux qui n'ont pas de voiture Conclusion Hard Rock Casino Tampa est votre billet pour une soirée inoubliable d'excitation, de victoire et d'opulence. Ce complexe de renommée mondiale ne manquera pas d'impressionner les clients avec son riche passé, ses possibilités de jeu palpitantes, ses divertissements spectaculaires, sa délicieuse cuisine et ses hébergements luxueux. Trouvez la combinaison idéale de sensations fortes, de friandises et de temps d'arrêt dans un seul endroit pratique. Faites des plans pour visiter le Hard Rock Casino Tampa et préparez-vous pour une expérience que vous n'oublierez jamais. Pour les autres jeux, consultez Logiciel de prédiction de casino. Questions et réponses standard L'âge minimum pour entrer dans un casino et participer à des jeux de hasard est de 21 ans. Bien qu'il n'y ait pas de règle stricte sur ce qu'il faut porter, le casino recommande aux clients de s'habiller de manière élégante et décontractée. Il y a un fumoir disponible au Hard Rock Casino Tampa pour les clients qui choisissent de s'allumer pendant qu'ils jouent. Aucun animal n'est autorisé dans les chambres; cependant, les animaux d'assistance sont toujours les bienvenus. Oui, il y a beaucoup de places de stationnement au casino, à la fois avec voiturier et en libre-service. [ad_2] Source link
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82. Joe Rainey | Niineta
🇺🇸 Etats-Unis | 37d03d | 47 minutes | 10 morceaux
Baigné dans la culture amérindienne depuis son plus jeune âge (plus précisément celle de la tribu indigène Red Lake Ojibwe), Joe Rainey pratique le chant pow-wow depuis ses 5 ans. Son premier album vient projeter tout cet héritage dans le champ d’une musique post-industrielle unique en son genre, embrassant de manière cinématographique mais aussi chaotique la spiritualité de ses ancêtres.
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Huron 'Beltane' Fire Dance
Huron ‘Beltane’ Fire Dance
Paru en 1989, Parallel Dreams est le 3ème album de Loreena McKennitt auteure et compositeure canadienne. La chanson Huron ‘Beltane’ Fire Dance Est une fusion entre musiques celtique et amérindienne.
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L'échec du succès - ( II ) : Retour sur images.
L'Histoire est un formidable fournisseur d'explications pour qui veut bien écouter ce qu'elle dit, sans lui imposer une ''grille de lecture'' préalable. Malheureusement, cette idée simple est rejetée par des gens dont la micro-culture historique et autre tiendrait dans un dé à coudre... Pourtant, il faut se souvenir que, avant celle qui nous ronge, l'Histoire a connu nombre de crises, parfois très graves, dont la plupart ont été le signal séparateur entre une civilisation déclinante et celle qui veut la remplacer. Et si les crises précédentes nous semblent ''moins pires'' que celle qui nous frappe, chaque drame qu’a vécu l’humanité a été ''à nul autre comparable''.
En simplifiant un peu les complications inhérentes à tout ce qui met un facteur humain en cause, l'Histoire nous laisse voir, à défaut de l'enseigner clairement, que la succession des ''paradigmes'' qui ont caractérisé les ''civilisations'' successives, a toujours été ponctuée par des crises violentes, presque à chaque fois qu’un nouveau paradigme prenait la place de celui qui se croyait jusque là bien installé, pour durer. Cette caractéristique se vérifie pour toutes les civilisations, qu’elles aient été européennes, asiatiques, amérindiennes, africaines (On nomme paradigme une représentation du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent).
Les rapports entre une civilisation, une culture et une religion (c'est la même chose sous des noms différents), qui ont fait couler beaucoup d'encre, sont de nature épistémologique, mais incontestables. Nous mourons de refuser cette évidence : l'Homme ne vit pas que de ''nourritures terrestres''. Les musulmans s'en souviennent, mais nous l'avons oublié... d'où leur supériorité apparente sur nous, si nous ne nous ressaisissons pas très vite : ils ont un avenir, et nous, pas, en l'état actuel du mouvement des idées. Et pourtant, comme le disait Serge Reggiani dans une bien jolie chanson : ''Il suffirait de presque rien''...
L'exemple le plus frappant de la force de l'esprit sur la chair se situe il y a 2000 ans environ, dans un monde où régnait ''la Sagesse'', socle et modèle de la civilisation grecque qui avait séduit les romains qui lui avaient ajouté une composante : la force. Cette référence a été bouleversée par l'explosion de la Révélation chrétienne (traumatisme brutal mais fort) : il ne fait pas de doute que la naissance d'un petit enfant juif près de Jérusalem, vers ce qui allait devenir à jamais ''l'an Zéro'', a été le plus grand choc jamais reçu par l'humanité. Aucun autre événement, ni avant, ni depuis, n'a eu des conséquences aussi énormes. Le puissant, l'immense Imperium romanum s'est adapté, et un nouveau paradigme a remplacé l'ancienne ''Sagesse'' : ''l'Ordre'' romain s'est imposé comme le modèle d'un monde nouveau (ils parlaient de ''Pax romana'', dont nous avons fait, longtemps après, une ''Pax franca'' lorsque l'ordre et la paix régnaient dans l'Empire français, pour le bien de tous --et surtout pour le bien des plus pauvres. Mais ça... c'était avant ‘’le début de la fin’’...).
Toujours est-il que le théologien Origène (''le plus grand génie du christianisme antique avec saint Augustin'', disait le cardinal Daniélou, oubliant Saint Paul) affirmait, en l'an 248 : ''Tout le monde sait que [Jésus] naquit sous l'empereur Auguste qui, ayant soumis à sa domination la plus grande partie des hommes, les avait comme ramassés en un seul corps'' (rappel : Octave-Auguste (27 avJC /14 apJC) fut. le premier des Empereurs romains). C'est peut-être le moment où jamais de rappeler qu'une civilisation est d'abord ''la cristallisation d’une spiritualité'' (M. Onfray)... ce qui devrait inquiéter tous les ''assassins de Dieu'', les adorateurs du dieu ''Progrès'', les laïcards extrêmes et les ''libres-penseurs'' pitoyables... Et même, un tout petit peu, les athées sincères.
Quelque 500 ans plus tard, ce monde s'est effondré dans les secousses terribles de la fin du monde romain, et un autre modèle a remplacé cette formidable civilisation qui semblait éternelle. ''Sic transit gloria mundi...''. Reposant principalement sur ''la Foi'' (alors exclusivement catholique --καθολικός, katholikos, veut dire ''universel'' ), on l'a appelé ''moyen-âge'', longtemps regardé de haut et dont les historiens redécouvrent la spiritualité. Cinq siècles plus tard, il se finira dans le ''bas moyen-âge'', avec les famines, les violences et les pestes des 14 et 15 ème siècles. Seule certitude de ce temps : la mort était partout, et c'est donc ''le Salut'' de l'âme qui devient ‘’LE’’ paradigme jusqu’en 1492 où l'islam, triomphant à l'orient, est stoppé en Europe et où l'or des Amériques inonde l'Espagne, le Portugal, puis l'Europe : les ‘’galions’’ transportent 20 000 tonnes de ''Tumbaga'', or et argent mélangés, qui amènent l'éclosion du ''Cinquecento'' et la Renaissance, période faste s'il en fut.
On oublie aussitôt la mort, le Salut et même la Foi, et on se tourne vers la Beauté, la Culture (antique, de préférence : c'est plus rassurant !), et, grande nouveauté, l'Homme : c'est le triomphe d'un premier ''Humanisme'' qui, sous de formes assez stables, durera jusqu'à la fin du XVIII ème siècle (l'Encyclopédie date de 1772, la Terreur de 1793), où un nouveau dieu va naître, le dieu ''Progrès''... qui n'atteindra pas, non plus, les 500 ans fatidiques, le ''Progrès'' dont on va parler après la seconde révolution industrielle n'ayant plus rien à voir avec le dieu-Progrès des Lumières : celui dont rêveront la fin du XIX ème puis le XX ème siècles sera technique d'abord, et social ensuite... alors que celui dont parlait Voltaire était avant tout ''humain''. Chose étrange, nous en sommes à peu près restés là, et force est de constater que, depuis un siècle, très peu d'idées qui ne soient pas de nature technique ont vu le jour... Est-il si surprenant que ''tout craque'' autour de nous ?
Nous nous demandions hier s'il y a eu d'autre périodes de ''crise'' dans l'Histoire, et la réponse est : ''Oui'' : une à chacun des sauts de civilisation, au moins. Chaque changement de modèle a en effet été accompagné de convulsions plus ou moins violentes qui caractérisent chaque ''apparition d'un nouveau paradigme''... La question qui surgit aussitôt est ''Serions-nous dans le cas de figure où un nouveau changement de paradigme est possible, prévisible, voire visible, déjà ?'', et la réponse devrait faire peur, car n'en déplaise à tous les cuistres qui ratiocinent et pontifient sur un ''monde d'après'' dans lequel ils projettent tous leurs fantasmes irréalisables, indésirables et dont aucun n'est, même, souhaitable... chaque nouveau paradigme est arrivé précédé ou escorté de périodes de violences et de malheurs, dont nos contemporains n'ont évidemment ni envie, ni besoin !
Il faut une belle myopie pour ne pas voir que le monde dans lequel nous vivons a perdu tous ses repères, hypothèse qui semble la plus évidente, la plus incontournable, puisque nous avons tourné le dos à la Sagesse et à l'Ordre et que nous avons perdu la Foi (je parlerai de l'Islam une autre fois), puisque nous avons totalement égaré la Beauté en chemin (l'Art contemporain et les musiques actuelles donnent envie de souscrire à cette idée...) et que nous sommes en train de perdre tout espoir dans le Progrès (et avec juste raison... C'était, avec sa dégénérescence en ''--isme'', sans doute le pire de tous les dieux de substitution, les Veaux d'Or et les fausses religions athées (en ‘’--isme’’) auxquels nous nous sommes adonnés)...
Il nous reste à comprendre le ''pourquoi'' de cette déchirure : elle a beau ''coller'' avec le rythme cyclique (autour de 500 ans) que nous avons pu constaté, sa brutalité est pour le moins déconcertante. Quand et pourquoi avons-nous laissé tomber la confiance (toujours imméritée, trop souvent excessive) que nous avions dans le faux dieu Progrès ? Et ensuite ? (à suivre)
H-Cl.
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Le magazine NEW WITCH #1 ; { review }
🌛 Présentation 🌜
New Witch est un magazine trimestriel d’une petite centaine de pages, tout nouveau dans les kiosques, avec une équipe entièrement féminine à sa réalisation ! 💪
Ceci est ma review du numéro 1 ; gardez à l’esprit qu’il ne s’agit que de mon humble avis, que vous avez le droit de ne pas le partager ou ne pas vous y fier (car oui évidemment je ne parlerais pas de tout, c’est pourquoi vous pouvez totalement l’acheter pour 6,45€ pour vous faire votre propre avis, découvrir les autres articles dont je n’ai pas parlé, ou soutenir financièrement le magazine s’il vous intéresse ^^ ✌️).
L’édito annonce d’entrée de jeu la couleur : ce sera un magazine pour les femmes (alors même qu’on peut ne pas en être une et quand même être sorcière 🤷🏻), mais attention : les femmes libres, fortes, assumées (oserait-on sous-entendre “féministes” ?) et qui se sentent connectées à leur spiritualité.
🌛 Esthétiquement 🌜
L’aspect visuel général m’a fait pensé à toute cette flopée de magazines féminins autour du bien-être qui ont vu le jour ces derniers années (styles les magazines « flow », « respire » et autres dans la même gamme de prix, magazines que j’aime bien soit dit en passant). Ici, la couverture a l’air un brin plus « new age » dans son esthétique, ce qui ne m’a pas spécialement mis en confiance haha, même si je sais que ça plait à certain.e.s. Néanmoins, je dois reconnaître que l’intérieur du magazine était très agréable à l’œil, ça se feuillette sans aucun soucis et c’est joliment amené, avec de belles illustrations.
Le titre « New Witch » m’intrigue : est-ce qu’il s’agit de s’adresser à toutes les personnes sorcières mais qui le sont dans une esthétique 2.0, qui recherchent une spiritualité modernisée, ou bien plutôt aux personnes qui sont nouvelles et débarquent complètement dans le domaine ésotérique ? (les baby witches, cœur sur vous 🤍) Quoique les deux peuvent se rejoindre : faire office d’introduction à la magie pour ceux qui débutent complètement tout comme offrir un espace pour repenser la spiritualité sous un angle plus moderne. Après lecture complète, je pense que c’est cette ambivalence qui a été souhaitée pour ce nouveau projet.
🌛 Ce que j’ai apprécié 🌜
Les petites pages de sélection de produits en début de magazine, code typique des magazines dits “féminins”, mais ici revisité sous une trinité plutôt intéressante : “mon style” : double-page de produits divers mode, accessoires mais aussi déco / “mon esprit” : double-page de produits tels que des pierres, tarots, musique, diffuseur d’huiles essentielles... / “mon corps” : double-page sur des soins corporels, de l’alimentaire (tisanes, sablés artisanaux aux plantes, boissons fermentées). Ce qui est appréciable, c’est que tous les produits présentés suivent une direction “feel good” et éco-responsable, ce qui n’est pas toujours le cas. Un bon point du coup (même si ça reste cher de ouf de mon point de vue de prolo haha, mais il suffit de penser en terme d’investissement pour tout ce qui est produits éthiques et ça va mieux 👌).
L’article concernant les deux sabbats de l’été, Litha et Lammas, qu’est-ce qu’ils symbolisent, quelles sont leurs origines, comment les fêter. Très concis, clair et utile 👌 (Surtout si vous êtes un.e “baby witch”, ce genre d’articles est une bonne base pour s’approprier la roue de l’année si c’est ce que vous souhaitez dans votre pratique, mais que vous vous sentez perdu.e sur quoi mettre en place à ces occasions. Ya même un ptit tableau des correspondances dans la marge)
L’article sur l’alimentation ayurvédique, issue de la médecine traditionnelle indienne. Je fais partie des gens qui pensent que l’alimentation joue un grand rôle dans l’équilibre mental et spirituel d’une personne, qu’on est ou devient - en quelque sorte - ce que l’on choisit de manger. Ici, on présente les règles de bases (toutes simples) de la cuisine en ayurveda, et vous parle de trois « types » de constitutions auxquels la cuisine va s’adapter. Le magazine vous invite à chercher par vous même sur le site Ayurveda-france.org pour faire le test et connaître votre type, et vous donne ensuite quelques directives et aliments à privilégier en fonction. Personnellement j’utilise déjà un système avec trois principes qui vient de l’alimentation yogi, et qui me convient mieux, mais j’ai pris le temps de faire le test par curiosité (et parce que j’ai pas mal de temps libre aussi). Cet article était intéressant même s’il manquait de précision à mon goût : souvent les conseils d’aliments selon les 3 types se recoupaient entre eux, ce qui fait se questionner sur l’utilité de ces catégories. Peut-être juste une petite confusion au moment de l’écriture 🤫
Une introduction un peu simple sur le chamanisme (ou plutôt néochamanisme), mais : avec des petits exercices pratiques à la fin pour développer ses aptitudes, ainsi qu’une interview très intéressante de Marine Grasseli Meier, autrice* (le magazine préfère « auteure », on n’est pas dans le même camp féministe à ce niveau haha 😁) du livre « Devenir chaman, même pas peur ! ». Petit bémol cependant sur ce long dossier de plusieurs pages : on parle à un moment de fabriquer son propre « smudge stick », or il s’agit là d’une « appellation contrôlée » si on peut ainsi dire, car appartenant à la culture amérindienne, une culture fermée ayant beaucoup souffert de l’appropriation culturelle rappelons-le. Bon, en soit, la recette qu’elles donnent plus bas n’a rien à voir avec le traditionnel smudge stick, c’est donc juste une petite erreur d’appellation. ✌️
Des présentations d’artistes trop cool, notamment le collectif artistique et féministe Gang of Witches ! Que j’adore et dont je vous avais déjà parlé ici pour leur merveilleux podcast. Mais aussi une artiste multi-casquettes dont j’ignorais tout jusqu’à présent : Adèle Jacques, qui se qualifie de « mermologiste », un joli néologisme pour parler de sa revendication de la figure de la sirène comme icône écoféministe en lien avec l’élément Eau - et par extension la cause de la préservation des océans, et utilisant sa voix et son art pour se faire l’écho de la nature brimée 🧜♀️🐚 j’ai adoré son concept ; à suivre !
Un article sur Brocéliande, racontant les légendes et traditions druidiques qui sont associées à chaque lieu emblématique. Étant à moitié d’origine bretonne j’ai évidemment apprécié dans toute ma non-objectivité 🥰
Dernier très bon point : des petits rappels des lunaisons importantes à venir dans les prochains mois, avec des paragraphes explicatifs et conseils pour tirer au mieux profit de l’énergie de ces lunaisons, + des très belles pages illustrées, présentant deux pierres et quatre plantes ! Je suppose que ce sera le cas à chaque numéro, et je trouve ça très sympa, en plus d’être beau et utile.
🌛 Ce que je n’ai pas aimé et pourquoi 🌜
Il y a un article en particulier qui m’a dérangé, celui intitulé « La femme, cette super-héroïne qui s’ignore ! », qui s’annonçait comme un manifeste féministe empouvoirant, mais dont l’essentialisme et les informations erronées m’ont profondément dérangé lors de la lecture. D’après cet article : les femmes sont douces et les hommes combattifs par nature (haaa les hormones) ; les femmes ont des compétences innées pour prendre soin des autres, planifier des tâches (on la sent la charge mentale des femmes à tout gérer ? Et si on disait que c’était naturel en fait lol) ; la phrase « Menteuses, nous ? Non. Juste plus subtiles ! » qui m’a fait levé les yeux au ciel si fort 🙄 ; l’intuition présentée comme le fameux « sixième sens féminin » ; la maternité offrant aux femmes des superpouvoirs grâce à l’ocytocine ; le clitoris, la vulve et les cycles menstruels sont présentés comme des « apanages de la femme », ce qui exclue et nie totalement la réalité des personnes transgenres, binaires comme non-binaires... Bref, beaucoup trop de « détails » accumulés qui n’ont pas pu m’empêcher de cringe un max à la lecture de cet article précis, qui se voulait pourtant féministe je pense à la base. 🤔 Ce qui me dérange, c’est que l’article ne nie pas que certains de ces traits sont liés à notre conditionnement socio-culturel, mais malheureusement tous les traits présentés comme liés aux hormones, au fonctionnement du cerveau ET au conditionnement social ne sont en général QUE des traits influencés par les stéréotypes et rôles genrés de notre société. Si ce sujet vous intéresse, je vous recommande le livre Cerveau Bleu, Cerveau Rose de la neuroscientifique Liz Eliot. J’ai plus confiance en elle et son livre de 400 pages que dans le psychiatre homme cité dans l’article, qui dit juste que « hommes et femmes ont des logiciels différents », et qu’il s’agit juste d’une « affaire de software ». (Bientôt on va citer le torchon « les femmes viennent de Vénus, les hommes viennent de Mars » ou quoi 😬)
Un autre point qui m’a gêné : le manque de représentation et d’inclusivité dans le choix des photos présentées tout au long du magazine. Une trentaine de photos où figurent des personnes blanches, contre 3 photos avec des personnes noires (dont 2 de ces photos sont des toutes petites vignettes dans le cadre de l’article sur Gang of Witches). Aussi, une seule personne plus-sized en pleine page (et une autre parmi les petites vignettes citées plus haut) contre toutes les autres photos présentant des corps minces, blancs. Je note aussi la photo en pleine page pour l’interview de Marianne Grasselli Meier, dans la catégorie « corps ni gros ni mince ». Ça reste quand même bien peu de représentation. 😥 Je sais qu’on est dans un magazine féminin donc la diversité n’est pas forcément le but recherché (même si wtf, ça pourrait quand même 🤔 et ça devrait 😢 par exemple le magazine féminin Paulette fait bien mieux pour ça en comparaison !)
Quelques petits bémols ici et là, rien de bien méchant. L’article sur la nudité j’étais hypé car je réfléchissais à un article sur le skyclad (nudité dans la pratique magique) donc j’avais hâte d’en lire plus, et bon petite déception parce que ça n’allait pas vraiment en profondeur sur le sujet. J’ai plus appris en une page sur le sujet en fin de magasine avec la rubrique “l’humeur witchy de Judith” qu’avec le dossier de 5 pages en début de mag. 🤷🏻Autre petit bémol pas bien méchant : des citations sur les femmes sensées être inspirantes et empouvoirantes mais écrites par des hommes cis. (J’attendais d’un magazine qui se veut féministe de sortir du “male gaze”, et pour le moment ce petit détail traduit que c’est pas encore ça. Mais je ne m’avance pas, peut-être que le prochain numéro me surprendra à ce niveau ! ^^)
Ce numéro 1 se termine sur un petit tuto fabrication d’attrape-rêves, inspiré des Néréides avec des coquillages rentrant dans sa réalisation. Le hic, c’est qu’encore une fois le terme “attrape-rêves” renvoie à un élément spécifique de la culture amérindienne, et qu’encore une fois on utilise juste le mauvais terme pour désigner autre chose (peut-être parce que c’est plus vendeur ? Toujours est-il que ce n’est pas un attrape-rêves mais une jolie suspension murale qu’on nous propose de faire. On m’a offert un attrape-rêves qui venait d’une réserve amérindienne du Canada, et c’est très loin d’être la même chose - en terme de visuel mais aussi d’impact spirituel derrière. C’était donc un tuto mignon, mais comme pour le smudge stick plus tôt on vient donner un terme culturel fort et précis pour le sortir de son contexte originel, et si ça ne suffit pas pour être de l’appropriation culturelle pour certains, ça reste un manque de respect je trouve pour la culture d’origine en l’invisibilisant.
🌛 Conclusion 🌜
En somme, le bilan me laisse un goût un peu doux-amer malgré l’étendue des rubriques que j’ai vivement apprécié. Je pense que ce magazine a du potentiel, et certes ses forces mais aussi des faiblesses. Gardons en tête que ce n’est que le premier numéro, les erreurs sont permises, encore heureux haha 😉
C’est pour cette raison que je pense quand même lire le numéro 2 quand il sortira, pour voir ce que l’équipe de rédaction a à nous proposer et si les petites erreurs du premier volume vont être corrigées. ^^
L’image de la sorcière moderne fait vendre (on se rappelle le tollé de Sephora qui s’était essayé à l’esthétique #witchy pour faire sa com 😂), c’est pourquoi j’ai eu peut-être une certaine méfiance au premier abord, je ne savais pas forcément à quoi m’attendre. Après lecture complète, je pense qu’il y a matière à un réel engouement et une démocratisation autour de cette figure de la sorcière moderne. Ce sujet passionne de plus en plus, et s’élargit à des horizons de plus en plus variés. Le magazine Paulette dont j’ai parlé plus haut avait même sorti un numéro intitulé “Spirituel”, dans cette même vibe. Va-t-on bientôt voir fleurir des tas de bébés magazines pour bébés sorcières ? J’avoue qu’en lisant celui-ci, j’ai pensé à créer un fanzine (Ouais pas un magazine mega pro non plus hahaha, j’ai pas les moyens pour des projets de cette envergure) qui pallierait à tous les petits détails qui m’ont gêné à sa lecture. Un fanzine principalement queer, féministe et inclusif autour de la sorcellerie. (Idée lancée comme ça à l’Univers haha. On dit bien que quand on est pas content du système, il faut créer le sien dans son coin 🤗)
J’attends tout de même de voir comment New Witch va évoluer. 🙂 Et vous, l’avez-vous lu ? Si oui qu’en avez-vous pensé ? Si non, pensez-vous vous laisser tenter par ce nouveau magazine (ou un de ce genre, abordant les thèmes de la spiritualité et de la sorcellerie) ? ✨🧙♀️
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Symbolique
Animaux :
Abeille : Elle représente l’ordre, le zèle, le travail, l’action intelligente, l’immortalité et la collaboration.
Agneau : L’agneau du sacrifice illustre le Christ offrant sa vie pour le salut du monde. L’agneau est le symbole universel de l’innocence, il incarne la pureté, la rédemption, la douceur et l’humilité.
Aigle : Roi des oiseaux, symbole du soleil, emblème de pouvoir et de souveraineté. Ses qualités physiques et sa grande réputation de chasseur le rattachent au symbolisme du guerrier et aux divinités de la guerre. Il désigne l’autorité, la force, la victoire, la fierté.
Araignée : Elle définit la Mère qui tisse les fils de la destinée. En Chine, une araignée filant sa toile est un signe de chance.
Baleine : Elle symbolise la puissance de la mer. Chez les Maoris, la baleine, principale source de nourriture, est associée à l’abondance.
Bélier : Le bélier incarne la virilité, la force masculine et l’énergie créatrice.
Bouc : Il est la représentation du pêcheur, du damné. Au Moyen-âge, le bouc, animal puant et lubrique, désignait l’impureté et le démon.
Carpe : Au Japon et en Chine, la carpe représente le courage, la persévérance et l’endurance. Elle symbolise également la patience et la longévité.
Chat : Il est considéré comme un animal prophétique. Le chat noir au Moyen-âge était apparenté à la sorcellerie. De nos jours, des pouvoirs bénéfiques ou maléfiques lui sont attribués. Pour les peuples du Nord, il est signe de liberté.
Chauve-souris : Elle est rattachée à la duplicité. En Occident, elle est liée aux vampires, au diable et à la sorcellerie.
Cheval : Il est signe de noblesse d’esprit, de rapidité, de liberté, de grâce, de beauté.
Chien : Il interprète la fidélité, la protection, l’amour aveugle et l’obéissance.
Chouette : Oiseau nocturne, elle est associée à l’obscurité, à la mort, aux malheurs, à la sorcellerie mais aussi à la sagesse.
Coccinelle : Porte-bonheur, elle est symbole de chance. Elle est également rattachée à la fertilité et la maternité.
Colibri : Considéré comme un joyeux messager des dieux, le colibri évoque la gaieté. Il désigne aussi la renaissance et la guérison.
Colombe : Elle est l’emblème de la paix, de l’innocence, de la douceur et la pureté. Elle est associée à l’esprit divin et au baptême. Un couple de colombe représente le bonheur conjugal et la fidélité.
Coq : Il désigne l’aurore, la lumière naissante, la vigilance, la fierté masculine, le combat, la fertilité et le courage. Son chant évoque la domination, la victoire du jour sur l’obscurité.
Corbeau : Bien que considéré le plus souvent comme un oiseau de mauvais augure, signe de guerre, de discorde, de méchanceté, de maladie et de mort, le symbolisme du corbeau est double, il représente soit le Soleil et la sagesse, soit l’obscurité et la destruction.
Crabe : Sa carapace protectrice est associée à l’utérus et à la maternité. Sa mue est signe de renouveau. Sa démarche latérale lui attribue la symbolique de la fuite, la tromperie et la malhonnêteté.
Cygne : Il définit la beauté, la virginité, la fécondité, la lumière et la pureté. Parce qu’il s’accouple à vie, il représente la fidélité. En Extrême-Orient, il est élégance, noblesse et courage.
Dauphin : Il désigne la vertu, la sagesse et l’intelligence. Parce qu’il sauve les naufragés de la noyade, il est rattaché à la sécurité et à la vitesse. Il est également associé à la transformation et à l’amour.
Eléphant : Il symbolise la force, la sagesse, la stabilité, le pouvoir, la longévité. Il représente également la patience, la sagesse et la chasteté. L’éléphant blanc, associé au Bouddha, est symbole de royauté.
Etoile de mer : Elle décrit l’amour éternel. Sa faculté de régénération l’associe à la renaissance.
Faucon : Il symbolise la virilité, la puissance masculine, la guerre. Son vol ascensionnel illustre la liberté de l’âme. Il représente également la noblesse et la discipline.
Fourmi : Elle définit l’effort, le travail acharné et la vie communautaire. Elle illustre également la prévoyance pouvant conduire à l’égoïsme et l’avarice.
Gecko : Il incarne la sagesse, l’agilité, l’adaptation. La repousse de sa queue représente le renouveau.
Grenouille : Elle est associée à la fécondité, à l’univers féminin, à la magie. Son processus de métamorphose est signe de résurrection et de renouveau.
Hippocampe : Il indique la confiance, le courage en mer, la puissance de l’océan et les traversées calmes.
Hirondelle : Elle annonce le printemps, elle est signe d’espoir et de chance, symbole de fécondité, de liberté, d’évasion, de fidélité. Sa migration conjuguée à son retour à l’endroit de son départ, lui confère la symbolique de départ et d’arrivée ; d’alternance et de renouveau ; de mort et de résurrection.
Jaguar : Emblème des grandes divinités amérindiennes, il illustre le soleil dans sa course nocturne à l’intérieur de la terre. Il est considéré comme le seigneur de la nuit, un gardien, un protecteur.
Léopard, appelé également panthère : Représente le courage, la fierté, la férocité, la cruauté, l’instinct sauvage.
Libellule : Elle est signe de fragilité, d’inconstance, de manque de fiabilité. Au Japon, elle annonce la joie, elle est emblème impérial.
Lion : Considéré comme le roi des animaux, il incarne la sagesse, la force, le courage, la justice, l’immortalité et le pouvoir. Le lion peut aussi évoquer l’excès de puissance et de protection qui mène à la tyrannie.
Loup : Il illustre la protection maternelle, le courage, la victoire mais il définit également la férocité, la cruauté et la méchanceté.
Martin-pêcheur : Il est associé au bonheur conjugal, à la fidélité, à la grâce et la rapidité.
Moineau : Il est considéré comme un symbole de solitude. Il est aussi associé à la luxure et la fécondité. Parce que le moineau est un oiseau sociable, il incarne la loyauté au Japon.
Ours : Associé aux divinités guerrières, l’ours symbolise la force, la puissance et le courage. Parce qu’il hiberne pour se réveiller au printemps, il désigne la résurrection. Il peut également être signe de gaucherie et d’ignorance.
Panthère : Voir symbolique du léopard.
Papillon de jour : Il illustre le bonheur, la légèreté, la grâce et la beauté. Son processus de métamorphose évoque l’âme, la renaissance et la résurrection.
Papillon de nuit : Il est lié à l’obscurité. Attiré par la lumière comme l’âme est attirée par la vérité divine, le papillon de nuit symbolise la quête de la vérité. Il représente également la fragilité.
Perroquet : Par l’éclat de son plumage, il décrit la beauté de la vie, le printemps. Il signifie également la fertilité et la moquerie pour ses talents d’imitateur.
Pieuvre : De par ses tentacules, elle représente les tourbillons, les cyclones et le déchaînement des éléments. Son encre noire incarne les esprits infernaux. Son mimétisme est associé à l’inconstance et au surnaturel.
Rat : Il est associé à la pourriture, la mort, la destruction, l’avarice et la cupidité.
Renard : Il définit la ruse et la tromperie.
Requin : Il incarne la puissance masculine, la férocité, la violence.
Salamandre : Elle est symbole du feu. Elle définit la chasteté et le courage. Elle est également accusée d’être une créature maléfique.
Scarabée : Animal sacré dans l’Egypte Antique, il illustre la sagesse et l’immortalité.
Scorpion : Il représente le diable, la mort et la destruction. Vivant caché sous les pierres, il est associé à la traîtrise, à la haine, à l’envie et à l’obscurité. Il incarne l’esprit belliqueux, l’humeur méchante et la rapidité à tuer.
Serpent : Par la déchéance d’Adam et Ève, il illustre la duplicité, le mensonge, la tentation et le pêché. Le serpent enroulé autour d’un bâton est l’emblème de la guérison. Sa mue incarne le renouvellement et la régénération. Il représente également la connaissance, la sagesse, la fertilité, il est emblème sexuel. Il peut aussi désigner le mal.
Singe : Il est associé à la tromperie, la malice, la curiosité et la vanité. Au Japon, les trois singes sont vénérés pour leur sagesse, l’un se bouche les oreilles, le second cache ses yeux et le dernier ferme sa bouche.
Tigre : Il symbolise la royauté, le courage, la rapidité, la puissance, la beauté mais aussi la cruauté et la férocité.
Tortue : Elle incarne la longévité, la fécondité, la stabilité, la ténacité et la réussite.
Animaux fabuleux et créatures légendaires :
Ange : Messager de Dieu, il est l’intermédiaire entre le divin et l’humain. Il personnifie la pureté et la bienveillance céleste. Son apparence lui attribue des valeurs symboliques ; ses vêtements blancs lui confèrent la pureté, ses ailes insufflent sa nature spirituelle et sa proximité avec Dieu, sa harpe, ou autre instrument de musique, est un emblème d’harmonie, son auréole, aura qui l’éclaire, détermine sa divinité, son rayonnement.
Angelot : Il définit l’innocence, la pureté. Ses ailes lui confèrent une dimension spirituelle.
Basilic : Symbole du diable, il est associé à la luxure, la maladie, la mort.
Centaure : Il décrit la dualité de l’homme déchiré entre son instinct et sa raison. Il possède une double signification ; bon, doux et sage ou brutal, adultère, satyre et belliqueux.
Cerbère : Il incarne le savoir mystérieux lié à la mort et la résurrection.
Chimère : Elle évoque le déchaînement des éléments naturels, le danger, la confusion. Unissant les apparences du lion (le printemps), de la chèvre (l’été), du serpent (l’hiver), elle est symbole de l’année.
Démon : Il est rattaché aux ténèbres, l’inconnu, la malchance, la malveillance, la maladie, le mal et la mort.
Dragon occidental : Il incarne bien souvent l’image du gardien. Symbole ambivalent, il représente aussi bien la création et la renaissance que le chaos, la destruction et peut être associé au démon. La lutte qui l’oppose au héro illustre le combat entre le bien et le mal. Chez les peuples du Nord, il définit la vaillance, la puissance, la protection.
Dragon oriental : Il est associé à la sagesse, la puissance, la force créatrice de la nature, la joie, la fertilité, la connaissance spirituelle et l’immortalité.
Fée : Messagère du monde féérique et magique, elle est porteuse de bonnes nouvelles. Elle incarne la joie, le bonheur. Maîtresse de la magie, elle est symbole de l’imagination et de la destinée.
Faucheuse : Elle représente la mort.
Griffon : Il symbolise la vigilance, la protection, le courage, la sagesse. Il détient souvent le rôle de gardien. Il peut également incarner le châtiment divin.
Harpie : Elle est associée au destin, à la mort, au châtiment divin. Elle est aussi messagère de la mort soudaine.
Hydre : Lorsqu’on coupait une tête à l’hydre, deux nouvelles poussaient immédiatement, c’est pourquoi elle incarne les vices sans cesse renaissants. Elle définit également la fertilité.
Licorne : Elle représente le Christ, la pureté, la chasteté, l’incorruptibilité, la connaissance de soi. Elle est emblème de l’amoureux dont le désir éperdu ne sera jamais satisfait. En Chine, elle est rattachée à la fertilité, l’amabilité, la sagesse, la bienveillance, la pureté et la longévité.
Loup-garou : Il traduit la peur de l’homme à succomber à son instinct animal ainsi que ses liens avec le monde occulte.
Minotaure : Il définit l’aspect sauvage de l’homme et ses instincts les plus primitifs.
Pégase : Il représente la dualité de la nature humaine ; l’instinct animal et son désir d’élévation. Il symbolise également la rapidité de la pensée et la vitesse.
Phénix : Il incarne la résurrection et l’immortalité de l’âme. Il traduit également la délicatesse car il se nourrit uniquement de rosée. Au Moyen-âge, il était l’emblème des alchimistes qui aspiraient à utiliser le feu.
Salamandre : Elle illustre la droiture de l’âme qui peut sortir indemne des flammes de la tentation. Elle incarne l’indestructibilité. Elle est liée au feu.
Sirène : Elle représente les désirs inconscients de l’homme qui le conduisent à sa perte, la passion funeste, la traîtrise, la perte de l’âme, la tentation, l’habilité à séduire, la luxure. Elle est également liée à la fertilité, l’amour, l’espoir, la transformation, la protection.
Sphinx : Il symbolise la royauté, le pouvoir, la sagesse, les énigmes, la volupté. Emblème funéraire, il surveille, protège et met en fuite les esprits qui hantent les cimetières.
Astres :
Etoile : Elle est associée au divin en tant que guide spirituel, au chemin à suivre, au destin, à la protection, à l’esprit qui perce la nuit, à l’espoir, aux vœux, à la sagesse. Elle est apparentée aux âmes des défunts qui brillent dans le ciel.
Etoile à cinq branches (pentacle ou pentagramme) : Dans le monde spirituel, le pentacle est bienfaisant lorsque sa pointe est dirigée vers le haut, il symbolise alors la lumière, l’aspiration. Inversé, il est associé à la magie noire, au diable. L'étoile définit l’homme universel ; une branche pour la tête, deux pour les bras et les deux autres pour les jambes.
Etoile à six branches (étoile de David) : Elle est constituée de deux triangles qui sont l’union des contraires ; la Terre et le ciel, le féminin et le masculin.
Etoile filante : Symbole divin, elle est messager du ciel. Elle est de bon augure et annonce la naissance.
Lune : Elle incarne l’espoir, la chance, le mystère de la féminité et de la procréation. Sa face cachée illustre le monde occulte. Elle est liée à la naissance, à la mort et la résurrection. Changeante et lunatique, on la dit menteuse mais fidèle au lien du serment. Comme elle crée les marées, elle assure le rôle de la fécondité.
Soleil : Symbole impérial, il est l’intelligence du monde, l’énergie vitale, l’image du bien dans le monde réel et visible. Il est associé à la naissance, à la mort, à la résurrection, à l’immortalité. Il illustre l’énergie masculine, la lumière, l’illumination, la chaleur, la passion, la jeunesse.
Terre : Centre spirituel, elle incarne la déesse Mère nourricière, source de la vie, elle reçoit la pluie fécondante, elle accouche des récoltes et allaite l’humanité. Elle est fixe, stable, immuable.
Chiffres :
Zéro : Symbolisé par un cercle, c’est une sorte de non-chiffre qui représente le rien, qui signifie le non-être et l’éternité. De nos jours, un zéro désigne une personne nulle et sans envergure.
Un : Il représente le commencement, l’origine, l’absolu et la création. En langage populaire, être numéro 1 signifie être le premier, le meilleur. Le chiffre 1 correspond à la créativité, au courage, à l’indépendance et la détermination. Il représente l’unité à laquelle toute chose vivante doit retourner. Il indique également un comportement agressif, égoïste et dominateur.
Deux : Il désigne le partenariat, la coopération, l’adaptation, l’union, le couple, l’ordre, l’harmonie et l’équilibre. Il illustre également l’alternative, la dualité, le conflit, les forces qui s’opposent ; la vie et la mort, la lumière et les ténèbres, l’enfer et le paradis, le masculin et le féminin, le yin et le yang. Le 2 dans sa stylisation correspond au cygne synonyme de lumière. Il peut également illustrer la timidité, la soumission et le manque d’assurance.
Trois : Il incarne l’harmonie, la perfection, l’expression artistique, la communication, l’inspiration, la sensibilité, la sensualité, l’optimisme. Dans la Franc-maçonnerie, il possède un triple symbolisme ; liberté, égalité et fraternité ou force, beauté et sagesse. Dans quasiment toutes les religions, le chiffre 3 désigne des triades ; la naissance, la vie et la mort, au passé, présent et futur, à l’homme, la femme et l’enfant. Il peut aussi décrire l’esprit trop critique et soupçonneux.
Quatre : Il est rattaché à la stabilité, la méthodologie, l’organisation, l’universalité. Il illustre les 4 éléments ; eau, terre, air et feu. Les 4 points cardinaux. Les 4 vertus cardinales ; tempérance, force, prudence et justice. Il peut encore indiquer l’inflexibilité et l’incapacité à progresser.
Cinq : Il est dédié à l’être humain ; 5 activités humaines : gestes, paroles, vue, ouïe, et volonté, les 5 sens : ouïe, toucher, vue, goût, odorat, les 5 vertus humaines : gravité, bon ordre, sagesse, bonne entente et sainteté, les 5 extrémités du corps : la tête et les membres, les 5 doigts. Grâce à l’amour, l’humain est le fameux 5ème élément ! Le chiffre 5 définit la liberté, la discipline, l’imagination, le changement et l’adaptation mais aussi l’impatience.
Six : Il symbolise l’équilibre, le mouvement, la puissance, l’amour, le cercle familial, la beauté, l’harmonie, la pureté, l’équilibre, l’altruisme, la santé, la chance. Il est également associé à l’obstination, la domination, la critique.
Sept : Chiffre sacré, il représente l’union de la divinité et de la terre, il est emblème de la plénitude, de la sagesse, de la confiance et de la perfection. Chacune des phases de la lune dure 7 jours, une semaine comprend 7 jours, les 7 étapes de la vie ; petit enfant, enfant, adolescent, jeune homme, homme mur, homme âgé, vieillard, les 7 péchés capitaux ; l’avarice, la luxure, la gourmandise, la paresse, l’orgueil, la colère et l’envie, les 7 notes de la gamme, les 7 couleurs de l’arc-en-ciel, le sang se renouvelle tous les 7 ans. Il désigne aussi un caractère distant, sarcastique et moqueur.
Huit : Considéré comme un chiffre parfait, il illustre l’abondance, l’autorité, le pouvoir, la domination, l’excès d’ambition. Un 8 couché est la représentation de l’infini.
Neuf : Estimé chiffre de la puissance céleste et mystique, le 9 est rattaché à la perfection, l’éternité, l’achèvement, la plénitude, l’épanouissement, il est synonyme d’intelligence, de sagesse, d’intégrité, de dévouement, d’altruisme, de vérité. Sa forme stylisée est celle du fœtus, il est signe de germination. Il peut dénoter une nature possessive et négative, l’indécision.
Classiques :
Aile : Elle est symbole de légèreté, de libération, de dégagement, de victoire, de connaissance et d’intelligence.
Ancre : Elle illustre la stabilité, la sécurité, la force, l’espoir, le salut.
Auréole : Elle est signe de divinité. Elle rappelle l’aura. Elle est apparentée à la valorisation et la reconnaissance de l’exercice spirituel.
Arme à feu : Elle incarne l’agressivité, la puissance masculine et phallique. La violence de ses projectiles en fait un symbole viril. Elle est l’archétype de l’individu machiste.
Balance : Elle désigne la justice, le jugement et l’équité.
Bouclier : Il définit la protection, le pouvoir de la femme et de la chasteté.
Boule de billard no 8 : Elle décrit la chance dans la vie, le dernier à mourir, le but à atteindre, la volonté.
Chaîne : Elle illustre les liens entre deux extrêmes, entre deux êtres. Lorsqu’elle est brisée, elle représente la libération. A l’inverse, elle peut également signifier l’asservissement.
Clé : Elle incarne la sagesse, la connaissance, la maturité, le succès, la libération.
Cœur : Siège des sentiments humains, il symbolise l’amour, la joie, la peine, la compassion.
Couronne : Elle représente la souveraineté.
Couteau : Il est symbole de mort, de sacrifice. Il est apparenté à la rupture, à la libération.
Dé : Il est lié au hasard, à l’imprévisibilité de l’existence, au destin. Selon le numéro qui le compose, il peut être chance ou malchance.
Diamant : Il est associé à la pureté, la fidélité, l’éternité, la force. Son éclat est rattaché au Soleil.
Epée : Elle définit la puissance royale, le pouvoir militaire, l’honneur et la justice. Elle partage le bien du mal et tranche le tissu de l’ignorance.
Eventail : Il est apparenté à la féminité, à la séduction. Il dénote la distinction et la noblesse. Il éloigne les esprits maléfiques. Pour les taoïstes, il illustre la libération de l’âme.
Faux : Elle est rattachée à la mort qui fauche les vies terrestres. Elle représente également la libération des âmes.
Guitare électrique : Emblème phallique, elle est liée à la virilité masculine. Elle définit également la rébellion de la jeunesse.
Hache : Associée à de nombreuses divinités, elle est apparentée au pouvoir, à l’autorité, à la mort ordonnée. En Chine, elle illustre la justice, l’autorité, la punition.
Poignard : Il est emblème phallique. Il suggère l’image de la mort sanglante.
Plume : Elle est apparentée au savoir, à la créativité. Elle marque le destin sur la page blanche de la vie.
Sablier : Il est lié à la mortalité ; la vie qui décline avec le temps qui s’écoule.
Tête de mort : Elle désigne la mort, la vanité humaine, l’inéluctable destin, le caractère éphémère de l’existence. Elle est symbole universel de danger. Elle est aussi un talisman pour se protéger de la mort.
Toile d’araignée : Située au niveau du coude, elle décrit les piliers de bar accoudés trop longtemps sur le comptoir. Elle définit aussi la renaissance, le refus de l'ordre établi. Elle désigne le piège, la capture, la lutte pour se libérer.
Yin yang : Il représente les forces complémentaires, antagonistes et indissociables. Le yin est la femelle, sombre, docile, associée à la nuit, le yang est le mâle, clair, fort, associé au jour.
Couleurs :
Blanc : Le blanc symbolise la pureté, l’innocence, la virginité, la perfection, le divin, la sagesse, l’absolu. En Chine, en Inde et au Japon, le blanc est lié au deuil, à la mort.
Bleu : Le bleu est la couleur de l’eau et du ciel serein. Il illustre l’infini, le divin, le calme, la réflexion, l’intelligence, la sagesse, la sérénité, la persévérance, le rêve, la candeur, la naïveté et la mélancolie. Comme l’eau limpide qui ne cache rien, le bleu incarne la vérité, la loyauté et la fraîcheur.
Brun : Le brun évoque la terre, l’automne, la douceur, la neutralité, l’humilité mais il suggère aussi la putréfaction.
Gris : Le gris est rattaché à la tristesse, la solitude, la monotonie, l’anonymat, l’incertitude, le calme, la douceur et la médiation.
Jaune : Le jaune symbolise l’or, l’éclat, l’illumination, le Soleil. Il évoque la vie, le mouvement, le renouveau, la chaleur, la joie, l’intelligence, la raison. Il peut également être synonyme d’envie, de lâcheté, de traîtrise, de jalousie, d’adultère et de mensonge. En Chine, le jaune est l’emblème de la royauté.
Noir : Le noir représente le deuil, la mort, la tristesse, le désespoir, le vide, l’obscurité, le mal, le monde des ténèbres, la magie noire mais il est aussi associé à l’élégance, la simplicité, l’humilité, la sobriété, la morale, le mystère.
Orange : Mélange de rouge et de jaune, l’orange puise sa symbolique au travers de ces deux couleurs. Il incarne la créativité, la communication, l’optimisme, l’ouverture d’esprit, la sécurité, le dynamisme, la bonne humeur, la splendeur. En Chine et au Japon, il est symbole d’amour et de bonheur.
Pourpre : Le pourpre illustre la richesse, le luxe, le prestige, le pouvoir, la fierté, la grandeur et la justice.
Rose : Le rose incarne la séduction, le romantisme, la féminité, la sensualité, la tendresse, la jeunesse.
Rouge : Le rouge définit la vie, la passion, l’amour, le feu, l’énergie, la sexualité, la virilité, la fertilité, la renaissance, le courage, l’ardeur, le triomphe. On l’associe aussi à la colère, au sang, à la luxure, à l’agressivité, à la guerre, à l’interdiction, au danger, au feu de l’enfer.
Vert : Le vert représente le printemps, la jeunesse, la santé, l’espoir, la chance, la joie, la santé, la concentration, la stabilité, le commencement, la fertilité. Il est encore rattaché à l’échec, l’infortune, la pourriture, la jalousie.
Violet : Le violet est la couleur de la douceur, du rêve, de la modestie, de la tempérance, de l’amitié, de la méditation. Il symbolise également la mélancolie et la solitude.
Eléments :
Air : L’air est lié au mental, il illustre la mobilité, la subtilité, la communication, la légèreté, l’adresse, la rapidité, la liberté, le renouveau, l’adaptation, la souplesse, la spontanéité, l’altruisme. Il indique également la frivolité, le mensonge, la nervosité, la superficialité, la malhonnêteté, l’exubérance, le caprice, la désinvolture.
Eau : L’eau est rattachée à l’âme, elle symbolise la vie, la sagesse, l’harmonie, la sensibilité, la bonté, la régénération, l’imagination, la créativité, la sensibilité, le tact, la générosité. Elle illustre aussi la paresse, l’inertie, l’indétermination, la timidité, l’immaturité, l’abandon, la fuite.
Feu : Le feu est associé à l’esprit, il incarne l’intelligence, la puissance, la volonté, l’énergie, la passion. Il évoque encore le châtiment, la domination, l’ambition, la destruction, la vanité, la violence, la vanité, la colère.
Terre : Elle est apparentée au corps, elle représente la fécondité, la fertilité, la régénération, la stabilité, l’endurance, la fidélité, la prévoyance, la sécurité, la persévérance. Elle incarne également l’obstination, la rancune, la rigidité, le pessimisme, la bestialité.
Formes :
Carré : Il représente la Terre et ses quatre points cardinaux. Il définit la perfection de la création, la nécessaire opposition des contraires.
Cercle : Il est rattaché au ciel et au sacré. Il incarne l’unité, l’infini, la perfection, l’éternité. Il est souvent employé pour désigner Dieu.
Pyramide : Elle est apparentée à l’ascension de l’homme à la spiritualité ; sa pointe indique la fin du parcours tandis que sa structure illustre les degrés de son ascension. Elle incarne également la Terre et le sommet du ciel.
Sphère : Comme le cercle, la sphère désigne le ciel et l’univers sacré.
Spirale : Elle définit l’énergie physique et spirituelle. Elle est la forme tourbillonnante des tempêtes et des cieux. Pour les Polynésiens, elle était signe d’immortalité.
Triangle : Il symbolise des triades ; le corps, l’âme et l’esprit, l’homme, la femme et l’enfant, le commencement, le milieu et la fin.
Plantes :
Arbre : Il est apparenté à la fertilité, la longévité, la force, la stabilité, la solidité, la régénérescence de l’univers. Il désigne la dynamique de la vie, la mort, le renouveau, la Mère protectrice, l'autonomie, l’harmonie. Il lie le monde souterrain à la terre et au ciel. L’arbre fruitier représente l’arbre de vie. L’arbre à feuilles persistantes est associé à l’immortalité tandis que l’arbre à feuilles caduques à la renaissance.
Blé : Il incarne la résurrection, la fertilité, l’immortalité.
Bonsaï : Il définit la maîtrise de l’homme sur la nature, la longévité, la spiritualité.
Cannabis : Il illustre la pureté, la fertilité et le sacré.
Coquelicot : Il symbolise le dernier sommeil. Il rend hommage aux hommes morts au combat car les champs de bataille sont couverts de coquelicots.
Cerise : Elle est apparentée à la volonté, au courage, l’art du combat chevaleresque. Pour les samouraïs, elle représentait le don de soi. Elle est associée à l’amour physique, charnel et sensuel.
Edelweiss : Il désigne la protection de la nature.
Fleur de cerisier : Elle définit la douceur éphémère de la jeunesse, le printemps et la féminité.
Gui : Il incarne l’immortalité, la régénération, la protection, la fertilité, l’amour, la santé. Lors des fêtes de Noël et de Nouvel An, s’embrasser sous du gui est un gage de bonheur et de prospérité.
Hibiscus : Elle représente la beauté féminine, le bonheur, l’amour charnel, la gloire.
Iris : Il est associé à l’espoir, la purification et la protection.
Laurier : Il symbolise l’immortalité, la purification, la divination, la victoire, la gloire, la paix.
Lierre : Il est rattaché à l’immortalité, la vertu, la gloire, la fidélité, l’amitié constante mais aussi la dépendance.
Lis : Il désigne la pureté, la virginité, la chasteté, l’innocence, la dignité, la noblesse, la paix. Il est emblème de la royauté.
Lotus : Il illustre la pureté, la perfection, la beauté immaculée, la fécondité, le pouvoir royal, le soleil émergeant, la création.
Marguerite : Elle définit la modestie, la simplicité, l’innocence, la fraîcheur, la pureté, l’amour fidèle.
Orchidée : Elle symbolise la perfection, le raffinement, le luxe, la grâce féminine, la beauté, la fécondité, la sensualité, la passion.
Pensée : Elle est liée aux pensées, aux souvenirs, à l’amour. Elle est aussi la fleur de la Saint-Valentin.
Rose blanche : Elle représente la pureté, la virginité, la vénération, le charme, l’intimité, le secret.
Rose jaune : Elle incarne l’amitié, la joie, le Soleil. Elle définit également la jalousie, l’infidélité et l’amour finissant.
Rose rouge : Elle est rattachée à la beauté, l’amour, la passion. Elle est également liée au sang des martyrs.
Roseau : Il symbolise l’adaptabilité car il plie sous le vent sans se rompre. Il illustre aussi la purification. Les Egyptiens l’associaient à la royauté et au Nil.
Tournesol : Il représente l’adoration, l’amour servile. Il incarne aussi le manque de fiabilité. En Chine, il est lié à l’immortalité.
Trèfle à quatre feuilles : Il est symbole de chance. Ses quatre feuilles désignent l’espoir, la foi, l’amour et la chance.
Tulipe : Elle est rattachée aux déclarations d’amour, à l’amour parfait. Elle est également apparentée à la richesse et la beauté.
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Posseder une culture
C’est quoi la culture ?
Au sens premier, la culture est crée par l’Homme, et regroupe toute les activités humaines. Le mot Culture provient du Latin «Colere», signifiant « cultiver et honorer ». Ce terme latin définissant les deux activités principales des hommes à partir du Néolithique.
Philosophiquement, la culture s’oppose à la nature, et sur l’Homme agit comme un médiateur entre ce qu’il est (nature) et ce qu’il apprend (culture). Elle est donc un héritage entre plusieurs individus, et agit comme fondement de la Société, dirigeant l’Homme dans ses paroles, ses pensées, ses croyances et ses actions.
Les définitions de Culture sont pourtant floues. Une culture peut être globale si l’on parle de savoir, elle peut être plus spécifique si l’on parle de traditions et d’Héritage : elle regroupe langues parlées et écrits, tout comme elle regroupe habits et croyances. Le champ est très vaste et pourtant il est recoupé en sous catégories.
La culture d’un peuple ou d’un groupe pourrait être définie par toutes les valeurs et les traditions partagées par les membres du groupe. Ce que ce groupe a développé. Il s’agit de toutes les spécificités propres aux localités : Ainsi l’art, (peinture, écrits ou architecture) est un élément important pour définir la Culture d’un groupe.
L’Histoire est aussi la bannière culturelle de chaque communauté : La culture d’un peuple est d’une certaine manière la progéniture de l’Histoire du peuple. Les activités et des évènements liés au passé du groupe définissent leur présent et leur manière de vivre. La culture d’un pays est donc un ensemble d’héritages conservés par les générations actuelles, qui gardent en mémoire les souffrances, les découvertes, les croyances et les conflits de leurs aïeux.
Il est donc normal d’affirmer que chaque individus fait partie d’un groupe ayant un passé et un présent, ce passé et ce présent variant d’une personne à une autre.
Il faut comprendre que chacun revendique sa manière de vivre. C’est d’un sens ce qui est précieux pour chacun. La culture nous construit et permet de nous définir, donnant une raison de vivre et une explication de la manière dont chacun vit. C’est une fierté propre à tous.
Entre partage et conservation : la difficulté de garder une culture fixe
La notion d’héritage implique la notion de partage et d’échange. Les être humains vivant dans des régions différentes ou cohabitant au même endroit sont amenés à se croiser, se rencontrer, et se mélanger. Il est d’autant plus vrai que l’homme est un être qui se déplace, (que ce soit en tant qu’Homme Nomade ou simplement grâce au moyen de transport toujours plus rapide et performant). La volonté d’explorer et d’occuper un territoire est dans la nature humaine, en témoigne les flux migratoire actuel ou antique. Il est donc logique que des cultures différentes se rencontrent et finissent par se mélanger. Cela se voit en Art ou en Architecture. La tour ronde apparait au XIIème siècle suite aux Croisades, ou les Occidentaux redécouvrent l’Orient d’alors. Des mouvements artistiques et Art Appliqués s’exportent à travers plusieurs régions, avant d’en influer d’autre, à l’instar du Mouvement Shaker ou de la perspective italienne au XVIème siècle.
Chaque rencontre entre plusieurs groupes à menés à la cohabitation, au mariage ou au conflit, où le vainqueur pouvait engloutir le vaincu, et ainsi s’approprier leur possessions à la fois territorial comme culturel.
La culture de chacun est donc composée de mélange et d’échange. Il est difficile d’avancer qu’une culture est fixe, car elle est issue d’un mélange d’autres plus anciennes, toujours présentes ou disparue à jamais. Le Blues, né dans les quartiers noir-américains au XIXe a crée le Jazz, puis le Rock,’n Roll qui passe donc de la culture Afro-Américaine à la culture blanche. Que se soit de la fascination ou de la revendication, chaque élément (musique, coutume, croyance) est le mélange de plusieurs valeurs et culture étrangère. L’Homme s’inspire de l’Autre, et privatise ce qu’il possède. C’est un principe qui affirmerait que chacun s’approprie sa culture comme il le souhaite.
Il y a donc un paradoxe : la culture d’un peuple n’est qu’un brassage de ce qui l’entoure, pourtant celle-ci la revendique comme propre et spécifique.
La culture d’un peuple est donc représentative d’une culture dominante ?
Comme nous venons de voir, de nombreux élément étrangers à un groupe se sont vus intégrés suite à la domination d’un groupe sur un autre : le peuple de la Rome antique a assimilé les dieux helléniques, La Grèce devenue province romaine, pour en faire leur divinités majeures. Les Incas ont construit leur civilisation sur les ruines de colonies vaincues. De même la pomme de terre, introduite au XVIème avec les conquêtes amérindiennes devient le plat principal de nombreuses spécialités européennes.
Une culture dominante finie par être assimilée dans d’autre groupe et renforce d’une même manière les liens entre différentes communautés. Pourtant l’inverse existe : il y a de nombreux cas de croyances et de coutumes communes à certains peuples mais qui se différencient d’une région à une autre. Histoire d’exportation ou d’interprétation, certains us ont des points communs mais diffèrent dans leur activités : Noel, (fête traditionnelle hyper-démocratisée) ne se fête pas de la même manière aux Etat Unis qu’en Espagne ou au Sénégal. Certaines religions prennent source sur les mêmes écrits mais varient d’une communauté à une autre.
Trois caractéristiques semblent émerger quand aux échange interculturel : Il peut s’agir d’un rapport de force, le groupe dominant influant sur les groupe dominés ; il peut s’agir de fascination d’un groupe par rapport a une culture ; et il peut s’agir d’inspiration et d’adaptation d’us et coutumes étrangères.
C’est pourtant complexe, car ces trois caractéristiques sont étroitement liée les unes au autre.
Article 1A , Julien Monnet
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Musique de RELAXATION : Séance de MEDITATION profonde pour dormir - Retrouver calme et sérénité
Un instant pour soi met à votre disposition cette vidéo gratuitement d'un voyage intérieur pour retrouver son calme et sa sénérité.
1h de magnifique flûte amérindienne et des sons de la nature pour vous détendre profondément et profiter de l'instant présent.
Vous allez pouvoir Harmoniser votre corps et votre esprit. Exercice de relaxation à pratiquer dès que vous avez la sensation de perdre pied. Technique de pensée positive et d'ancrage puissant EMC (Etat Modifié de Conscience) Cet exercice consiste à bander un à un ses muscles puis à les décontracter brutalement avec la répétition de phrases positives.
Installez-vous confortablement (assis ou couché) et Go Inspirer et expirer profondement une dizaine de fois avant de pratiquer l'exercice ci-dessous:
1. Serrer le poing droit très fort… vous pouvez sentir la chaleur qui envahit vos doigts, votre main, votre poignet, peut-être tout votre bras. Puis, desserrez votre poing d’un seul coup : des picotements se font sentir en même temps que la tension disparaît. Ensuite gardez votre main décontractée. Répétez-vous à plusieurs reprises je suis beau/belle, fort(e) et intélligent(e).
2. Maintenant, serrez le poing gauche ; de la même façon que lors de la contraction du poing droit, ressentez la chaleur envahir vos doigts, le dos de votre main, votre poignet, peut-être tout votre bras. Puis, desserrez votre poing d’un seul coup : des picotements se font sentir en même temps que la tension disparaît. Gardez votre main décontractée. Répétez-vous à plusieurs reprises je suis beau/belle, fort(e) et intélligent(e).
3. Continuez l’exercice en contractant puis relâchant de la même manière tous les muscles de votre corps : bras, front, yeux, bouche, mâchoire, lèvres, cou, épaules, poitrine, estomac, mollets… Répétez-vous à plusieurs reprises je suis beau/belle, fort(e) et intélligent(e).
Après 15/20 minutes de pratique vous pouvez profiter de cet instant pour pratiquer le voyage intérieur, celui-ci ne sera que plus puissant! Vider votre esprit et observer le déroulement ...
L'équipe un instant pour soi vous souhaite une belle séance
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Alex (n’est pas à la) Maas
Après un retour en forme en 2017, Alex Maas laisse de côté les Black Angels pour s’afficher en solo. Et c’est réussi. Influencé par les musiques amérindiennes et sans son armada psychédélique, le chanteur des Black Angels offre un visage apaisé : « J’essaie de trouver un équilibre dans le monde insensé dans lequel nous vivons. Est-ce que toute cette merde fait peur ? Oui. La vie est-elle belle et remplie d’espoir et d’inspiration ? Oui. Il faut aller dans le noir pour apprécier la lumière, et vice versa. Il est normal d’avoir peur, d’être triste : vous en avez besoin pour apprécier toute la beauté que le monde a à offrir ‘Un jour, vous marchez dans un beau champ et vous vous faites mordre par un serpent à sonnette parce que vous êtes aveuglé par les fleurs colorées. »
“Strangers’ hands all over my chest Strangers’ lips saying what I love the best
You should’ve been struggling like all of the rest You should have been struggling, she said, like all of the rest of them boys
When we woke to the pearl-gray dawn of winter Then we spoke, on the silence that turned to laughter Waiting for the sleep, the sun Waiting for the day to come
You should’ve been struggling like all of the rest You should have been struggling, she said, like all of the rest of them boys You should’ve been struggling like all of the rest You should have been struggling, she said, like all of the rest
When we woke to the pearl-gray dawn of winter Then we spoke, on the silence that turned to laughter Waiting for the sleep, the sun Waiting for the day to come
You should’ve been struggling like all of the rest You should have been struggling, she said, like all of the rest of them boys You should’ve been struggling like all of the rest You should have been struggling, she said, like all of the rest
Oh oh oh x 2 La La la la, La la la x2″
Luca d’Alex Maas sera disponible le 4 décembre 2020 chez Innovative Leisure.
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1. Serrer le poing droit très fort… vous pouvez sentir la chaleur qui envahit vos doigts, votre main, votre poignet, peut-être tout votre bras. Puis, desserrez votre poing d’un seul coup : des picotements se font sentir en même temps que la tension disparaît. Ensuite gardez votre main décontractée. Répétez-vous à plusieurs reprises je suis beau/belle, fort(e) et intélligent(e).
2. Maintenant, serrez le poing gauche ; de la même façon que lors de la contraction du poing droit, ressentez la chaleur envahir vos doigts, le dos de votre main, votre poignet, peut-être tout votre bras. Puis, desserrez votre poing d’un seul coup : des picotements se font sentir en même temps que la tension disparaît. Gardez votre main décontractée. Répétez-vous à plusieurs reprises je suis beau/belle, fort(e) et intélligent(e).
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Voici Jim né autour des années 1900 en Amérique du Nord, il a été victime de racisme. Son frère jumeau est mort à l’âge de 9 ans sa mère et son père sont décédés quelques années plus tard il est devenu orphelin regardez bien la photo vous pouvez voir qu’il porte des chaussures et des chaussettes différentes pourquoi ? et bien ce n’était pas un moyen d’être fashion ou à la mode. Cette photo a été prise au Jeux Olympiques de Stockholm en 1912, Jim, d'origine Amérindienne, n’avait pas d’argent le jour de sa course au Jeux Olympiques, il s’est fait voler ses chaussures, par chance il trouve deux chaussures dans une poubelle proche du stade une chaussure était trop grande, donc il a dû porter une chaussette supplémentaire ce jour-là, il gagne 2 médailles d’or une pour le pentathlon une pour le décathlon pas de Nike, pas d’Adidas, pas de massages sportifs, pas de smartphone pour écouter de la musique pour se mettre dans l’ambiance rien. 1 rêve 2 chaussures trouvées dans une poubelle et sa rage de vaincre. C’est un rappel parfait que quelle que soit votre situation actuelle, il n’y a pas besoin d’attendre le moment parfait ou idéal. La vie n’a pas été agréable ces derniers temps?. Ça arrive. Donc qu’est-ce que vous allez en faire aujourd’hui?. Attendre la paire de chaussure parfaite rentrer à la maison parce que vous n’aviez pas vos chaussures de course ou prendre ce que vous avez autour de vous et gagner 2 médailles d’or?. Son nom est Jim Thorpe, né en 1887 et décédé en 1953. Premier Amérindien médaillé d’Or aux Jeux Olympiques. Un des athlètes les plus polyvalents de l’Histoire. Tout ça avec 2 chaussures pourries, trouvées dans une poubelle. Alors je demande à tous ceux qui attendent le moment parfait quelle est votre excuse?. A méditer
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Kanien'kehá:ka.
Les anglais nous appelaient « Mohawk », terme qui désigne toujours le peuple Kanien'kehá:ka en kanien'kéha (la langue iroquoienne des Mohawks). Kanien'kehá:ka veut dire « peuple des silex ».
Les Mohawks sont à la base de la création de la Confédération Rotinonhsyón:nih communément appelé Confédération Iroquoise des Six-Nations. Les Iroquois vivaient dans une société matriarcale ou la femme était libre. Le chef Mohawk Hiawatha les unifias et 50 chefs le suivirent. La société Iroquoise était pacifique, mais aussi plus guerrière que ses voisins. Ils étaient craints et respectés, vivaient au sein de clans; Sédentaires, ces clans vivaient dans de grandes maisons longues. Ils cultivaient et chassaient. La caste des guerriers, reconnu pour leur coupe de cheveux qui fera fureur chez les groupes punks au tournant des années 70, étaient craints comme la peste par les français et les anglais. Ils pratiquaient une forme d’adoption des étrangers pour combler leurs morts lors de guerres ou d’épidémies, après un rituel de passage sacré. Ils pratiquaient aussi une forme de cannibalisme en mangeant le corps de leurs ennemis.
Mon papa est né dans la réserve Mohawk d’Akwesasne, dans l’état de New York, réserve qui longe la frontière canado-américaine. Lorsqu’il est arrivé au Canada a 18 ans pour y chercher du travail, il ne savait pas qu’il allait comme sa future fille, tomber amoureux du Québec. Il s’est d’abord installé à kahnawake, puis à Montréal où il a appris le français. La décision de nous rendre bilingue est sa décision et il n’a jamais revendiqué un quelconque statut d’indien pour vivre au Canada. Il a bâti sa vie seul avec honneur et courage, affrontant les difficultés avec pragmatisme. Il est finalement lui aussi devenu un Québécois. Les Mohawks donnent deux prénoms à leurs enfants, un en anglais et l’autre en kanien'kéha, la langue Iroquoienne des Mohawks. Mon père a préféré choisir pour ses enfants des prénoms francophone, ce fu Sandrine pour moi. Mais il n’a pas négligé de nous donner un prénom Mohawk et de nous enseigner le Kanien'kéha, cette langue en voie de disparition. Mon prénom Mohawk est Katsitsano’ron et signifie « fleur précieuse ». Il n’aurait pas dû, car chez les Mohawks, on ne donne jamais le même prénom a deux personnes vivantes. Mais mon père n’a jamais respecté les conventions et a imposé son choix.
Malgré son assimilation exemplaire mon père nous emmenait tous les ans aux pow wow de la nation Mohawk a Akwesasne; Grand rassemblement culturel et surtout spirituel. Là-bas, nous nous rassemblions autour des chants, de la musique amérindienne avec son tambour collectif, ses tambours à eau, ses hochets musicaux, ses repas collectifs aux abords du grand casino, ou bien encore lors de la danse de la fumée qui se pratique autour d’un grand brasier, le mouvement des danseurs faisant tournoyer l’air et donc la fumée. Enfant je m’y suis à chaque fois sentie libre et moins soumise à l’autorité parentale, déambulant partout, fumant en cachette, apprenant à tirer au fusil de chasse avec des oncles. J’était intriguée par les regalia, ces costumes traditionnels, et par tous ces contes et mythes fondateurs décrits au coin des feux le soir. Je pourrais être juridiquement une autochtone ou une métisse si je le désirais, aussi bien au Canada qu’aux États-Unis, mais j’avance dans les traces dessinées par mon père, celui de l’assimilation. Mes enfants seront libres de la faire valoir ou pas.
Je suis née au Québec et j’ai la chance d’être et de me sentir québécoise. La culture québécoise, ce dernier bastion de la langue de Voltaire en Amérique du nord me fascine toujours autant. Par choix, nos parents nous ont rendus bilingue, c’est je pense, dans une famille anglo, la décision la plus intelligente qui soit. Mais nous avons tous des origines, que nous le voulions ou pas. Je ne suis pour ma part, pas intégrée à la société québécoise, j’y suis assimilée; Je mange de la poutine, je parle français tout le temps, je ne pratique pas le « bonjour/hi », je suis souverainiste, j’ai à cœur nos avantages, même s’ils ne sont pas parfaits. Je suis donc une québécoise aux origines autochtones en majorité, j’ai d’autres origines, mais la culture de mon père m’a toujours tout autant fasciné que la culture francophone. Je ne fais plus les pow wow, par manque de temps surtout. Il m’arrive de songer à y retourner de temps en temps a l’occasion, j’y remet les pieds au moins une fois par an, mais uniquement pour voter ou rencontrer de vieilles tantes.
S.D
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