#mon médecin me rend malade
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Les influenceurs de couaccins se retrouvent dans de beaux draps. Tous des cas vides de sens.
#big pharma est toujours en bonne santé#big pharmla#covid&corruption#covid de sens#covid au cerveau#mon ministre est sinistre#mon inf#mon médecin me rend malade
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
3/15
Ce qui est certain, c'est qu'il l'a aidé à traverser son deuil, et elle parle toujours de lui en bien, quelle que soit la tension qui ait pu exister précédemment. Ils traversent au quotidien les mêmes difficultés, les opérations chirurgicales périlleuses, la détresse des malades et leurs propres angoisses. C'est selon elle un quotidien étrange, où l'on côtoie à la fois la misère des vies brisées par les batailles et la nécessité de rappeler aux patients que les statues du collection du hall d'entrée ne sont pas un support à graffiti.
Transcription :
Rose « Par quoi commencer… Je le connais depuis toujours, nous avons presque grandit ensemble. C’est un grand timide et pourtant, nous nous ressemblons beaucoup. Nous voulions tous les deux quelque chose qui semblait hors de notre portée, alors nous nous sommes naturellement rapprochés. L’amour est… oui je dirai qu’il est venu naturellement, comme une sorte d’évidence. Il a un optimisme indécrottable, il m’a rassurée et soutenue tant de fois que je serai bien en peine de les compter, avant même que je me rende compte de ce qu’il est réellement pour moi, avant que je ne réalise qu’il a toujours eu tendance à s’oublier pour moi. Quand on m’a remis dans les mains mon diplôme, j’ai vu tant d’amour et de fierté dans ses yeux que je me suis jurée que ce serait son rêve que nous réaliserions après cela. Pourtant, au final, ce n’est jamais arrivé. »
Armand « La guerre... »
Rose « Cette saleté de guerre oui ! Dans sa famille, on est militaire de carrière, il n’a pas pu y échapper. Crois moi pourtant quand je te dis que j’ai essayé. Mais il n’y avait pas que cela. Il a renoncé, lui le grand optimisme qui m’a toujours vue devenir médecin, il s’est enterré dans cette carrière héréditaire qu’il a toujours considérée comme médiocre. Sans doute étais-je aveuglée par ma propre réussite, ou alors je me disais qu’une fois la guerre finie, il pourrait démissionner et faire fis des convenances. Tout cela a été balayé quand cette tranchée s’est effondrée sur lui. »
Armand « Il est arrivé la même chose à un de mes cousins. Il venait d’avoir vingt ans et il voulait passer un brevet de pilote quand tout serait fini. ��
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#sims 3#decades challenge#nohomechallenge#ts3#simblr#sims stories#Albertine Le Bris#Jules Le Bris#Rose Le Bris#Zéphir de Chastel
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mon médecin a vu que j'étais anémiée du coup il m'a prescrit du fer et moi je me sentais pas particulièrement mal ou fatiguée mais bon je prends le fer docilement. Fer qui me rend ULTRA malade !!!!!!!! j'ai mal au ventre je suis nauséeuse je mange que dalle est-ce vraiment le prix à payer pour être une personne au taux de fer dans la normale ??????
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A toi, mon petit papa.
Je sais que tu ne comprends pas pourquoi je m’inflige ça. Encore. Encore une fois. Que malgré le stress qui m’empêche de manger, les crises de paniques qui me volent le sommeil et malgré toutes les fois où j’ai vomi à cause de ça, je continue à m’infliger ça. Ca. La PACES. Tu penses probablement que je ne fais pas suffisamment attention à moi, que je n’ai pas le mental pour. “Tu devrais faire infirmière” tu me dis souvent. Bon, je sais que là dessous se cache quelques propos sexistes de ton époque, mais tu ne comprends pas.
Tu ne comprends pas que je me rends malade moi. Moi, parce que cette chose, ce concours, cette voie, c’est la seule chose que j’arrive à projeter depuis des années. Parfois, quand je retourne chez maman, et que je vois toutes mes anciennes peluches recousues, je me rappelle que je n’ai pas réellement choisi. Ca a toujours été ça, même quand j’avais cinq ans. Mes peluches jouaient au foot et poum, il y avait une fracture, alors il fallait que je fasse un trou, que j’enlève toute la mousse et que je la remette avec du journal dedans. Ensuite, je descendais les escaliers et je me faufilais dans le bureau pour fouiller dans la boite à couture. J’avoue, je me suis souvent piquée avec les aiguilles. Mais c’était ça le jeu.
Tu ne comprends pas que ça fait partie de moi, et c’est tellement important à mes yeux, parce que c’est mon identité que je suis en train de jouer, j’ai peur. Je suis effrayée. Pour moi. Mais pour toi aussi.
Parce que je sais comment tu ignorais mes pleurs l’an dernier et que tu es revenu ce jour là en me disant tout simplement que ce n’était pas grave et que tu étais fier de moi. Mais je veux que tu sois réellement fier de moi. Pour de vrai. Pas juste pour que je me sente un peu mieux. Je veux te rendre cet honneur. Quand j’avais dix ans et que tu m’as amené à l’hôpital par la main et que ton docteur m’a montré des reins de cochon pour m’expliquer ta maladie, je t’ai dit que je te soignerai. Maintenant je sais qu’il y ait peu de chance que ça arrive. Et même si cela arriverait, tes années seraient toujours comptées. On dit que ce qui motive les progrès en médecine de nos jours, c’est la peur de la mort. Je ne fais pas exception, hormis que j’ai peur de ta mort.
Papa, tu es mon meilleur ami. Et comme un père, comme un ami, j’aimerai que tu me suives toute ma vie, parce que je ne peux m’imaginer sans tes yeux gris souriants et ton mauvais caractère. Je ne te le dis pas, mais dès qu’un numéro que je ne connais pas m’appelle, j’ai toujours peur pour toi. Mais pour moi. Pour moi sans toi, plutôt. Tu fais partie de l’une des rares personnes a qui je tiens réellement, pour qui je pense à te faire don d’un organe. Je veux que tu vives toute ma vie, que tu m’accompagnes quand je me marierai, que tu m’applaudisses à mon doctorat, que je puisse t’appeler quand ma voiture fait un bruit bizarre. Je veux pouvoir t’appeler tard le soir, et t’entendre me raconter quelle soupe tu as mangé.
Mais tout ça, peut-être qu’on ne le vivra pas. Peut-être que je ne serai plus là. Peut-être que tu ne seras plus là. Et si tel est le cas, j’aurais besoin de ça. De ce travail omniprésent. De quelque chose à faire pour ne plus penser à toi, papa. Pour les années qu’on n’aura peut-être pas, je veux que tu sois là quand on m’appelera ce matin là. Que tu m’accompagnes, que tu sourisses et que tu m’applaudisses. Pour les années qu’on n’aura peut-être pas, j’ai besoin de ça.
Donc oui, tu ne comprends pas, parce que tout ça je ne te le dis pas. Je le fais pour moi. Et pour toi. A cause de toi. Grâce à toi.
Cette fois, tu seras réellement fier de moi, mon papa. Finalement je serai fière de moi.
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🌊 Vue sur mer 🌊
Pas de vacances sous chimio ? Que nenni ! Se cacher du soleil ? Ok, vêtements longs et grand chapeau 🤠, indice 50... Et HOP 48h après la chimio, direction Lacanau, 3 nuits réservées dans un studio avec... VUE SUR MER 😎 !
On a fait le plein de balades à vélo 🚲, de vagues stimulantes 🌊, de boules de glace🍦, de couchers de soleil☀️, de châteaux de sable ⛱️, de fous rires en famille 😂 !
Les enfants sont heureux 🤩 et (belle)maman est exténuée de...BONNE FATIGUE 💤🎉
[Mon coup de coeur : louer une épaisse combi et nager* parmi les surfeurs...😜]
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Côté traitement : non, je ne sais pas si la chimio fait effet, aucune imagerie prévue ça n'est pas utile aux médecins d'ici l'opération.
- 11 séances hebdo de chimio faites depuis le 09/02, la dernière est ce mardi 25/04. Fin de la première phase de chimio.
- Démarrage de la 2e phase de chimio le 11 mai (J'ai donc une semaine de pause début mai 🥳!) : 4 séances, plus 'hard', mais espacées de 3 semaines, ce qui laisse du temps pour s'en remettre. Ça pousse donc jusqu'à fin juillet.
- Début août : opération
➡️ Ablation des deux seins (le malade, et le sain par prévention), pas de reconstruction dans l'immédiat car non compatible avec la radiothérapie.
➡️ Curage axillaire car mes ganglions sous l'aisselle ont été touchés par le cancer. Grosse rééducation du bras à prévoir.
➡️ Ovarectomie (acte préventif, car ma mutation génétique BRCA1 me rend aussi à haut risque de déclarer un cancer des ovaires). Ce qui veut dire ménopause précoce.
Un mois d'août sous le signe du repos, de la rééducation.
Si les analyses des masses prélevées donnent une réponse complète à la chimio (c'est-à-dire que je n'ai plus de cellules cancéreuses), je démarre la radiothérapie en septembre (4 mois), sinon je poursuis sur une autre chimio.
Réponse début septembre lors d'un rdv avec l'oncologue 🤞🤞🤞
*nager ou plutôt rester au-dessus des vagues !!!
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Il y a deux enseignements dans l'Évangile qui se complète, et je vous encourage à les lire.
Je connais ta vie : tu n’es ni froid ni bouillant. Comme je voudrais que tu sois l’un ou l’autre !
Mais puisque tu es tiède, c’est-à-dire ni froid ni bouillant, je vais te vomir de ma bouche.
Tu prétends : « Je suis riche ! J’ai fait des affaires ! J’ai amassé des trésors ! Je suis arrivé ! J’ai tout ce qu’il me faut », mais tu ne te rends pas compte à quel point tu es misérable et pitoyable : s’il y a quelqu’un qui est pauvre, aveugle et nu, c’est bien toi !
C’est pourquoi je te donne un conseil : achète chez moi de l’or purifié au feu pour devenir réellement riche, des vêtements blancs pour te couvrir afin de ne pas laisser apparaître ton indécente nudité, et un collyre pour oindre tes yeux afin que tu voies clair.
Ceux que j’aime, je les reprends et je les éduque sévèrement. Secoue donc ton indifférence, ranime ton zèle, et change !
Me voici debout devant la porte : je frappe. Si quelqu’un est sensible à mon appel et s’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et nous dînerons en tête-à-tête : moi près de lui, et lui près de moi.
Au vainqueur, j’accorderai de siéger à mes côtés sur mon trône : il régnera avec moi, comme moi-même, après ma victoire, j’ai pris place auprès de mon Père sur son trône et j’ai pris le gouvernement avec lui.
Que celui qui est capable d’écouter prête attention à ce que l’Esprit dit aux Églises. Apocalypse 3: 15-22 POV
Jésus les a entendus et il leur dit : « Les gens en bonne santé n’ont pas besoin de médecin, ce sont les malades qui en ont besoin. Je ne suis pas venu appeler ceux qui se croient justes, mais ceux qui se reconnaissent pécheurs. Marc 2: 17 PDV
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Méchant Malade
Fandom : Dans une galaxie près de chez vous Event : Sicktember 2023 Prompt : 7 - You're a jerk when you're sick Word count : 620
Brad a attrapé les oreillons. Malgré un scan complet du vaisseau et une analyse approfondie des échantillons prélevés sur la dernière planète visitée, personne ne sait comment il a pu entrer en contact avec le virus qui cause la maladie.
Comme on pouvait s’y attendre, Brad n’est pas un patient facile. Il devient méchant quand il est malade. Bob irait jusqu’à dire qu’il devient un méchant malade. Mais les membres de l’équipage commencent à se demander si les gémissements prolongés du scientifique ne seraient pas dûs à une cause valable, pour une fois.
En l’absence d’un médecin de bord, Valence a ressorti le livre La médecine pour les nuls laissé par Mirabella, et Flavien aide le capitaine Patenaude à rebrancher l’interface vocale de Gervais, l’ordinateur de bord. Le tout dans le but de comprendre les complications possibles de cette maladie qu’on croyait disparue.
“Ben voyons donc, ça marche donc ben mal c’te patente-là!”
Devant la frustration de son supérieur, Flavien intervient timidement : “Heu… Capitaine… Si vous mettez la switch à ON, ça marche mieux, d’habitude.”
“Ha. Ben oui, hein? Bon. Et puis, Gervais, dites-nous quelque chose.”’
La voix nasillarde de l’ordinateur s’élève dans le poste de pilotage : 1-2, 1-2, testing. J’pense que tout est correct, Capitaine . Et merci de me redonner la voix. C'est plus dur de faire du stand-up juste par écrit entre deux rapports de sonde...
“Bien, bien! Valence c’est vous la mieux placée pour nous parler de santé. Faites donc un résumé de la situation à Gervais.”
La psychologue ferme son livre d’un coup sec en déclarant : “Brad a bien les ganglions un peu enflés sous la mâchoire, mais il ne fait même pas de fièvre. Si on n’avait pas lu le diagnostic sur le scanner de l’infirmerie, on ne saurait même pas qu’il a les oreillons. Apparemment la majorité des personnes affectées ne s’en rend même pas compte.”
“ C’est vrai, mais selon ma base de données que j’ai pu consulter en 0.03 seconde, c’est une maladie contagieuse pendant au moins les neuf jours suivants les premiers symptômes et qui peut avoir des complications très douloureuses, comme une inflammation des testicules chez un patient mâle sur cinq. ”
En entendant Gervais, Flavien grimace et porte instinctivement la main à son entrejambe tandis que le capitaine croise subitement les jambes.
“Et bien dans ce cas, ce serait peut-être mieux de l’isoler dans sa capsule de régénérescence durant la période d’incubation, vous ne pensez pas, Valence?”
“Bonne idée, Charles. Ça aurait au moins l’avantage qu’on ne l’entendrait plus”, convient la jeune femme.
Sur ce, Bob entre dans le poste de pilotage, une cuisse de dinde à la main, suivi de près par Brad qui se traîne les pieds.
“Capitaine, Brad dit qu’il n’a pas faim. Est-ce que je peux manger sa part du souper?”
“Il n’en est pas question!” proteste Brad tout en portant la main à son cou et en grimaçant de douleur. “Selon l’annexe 3A, sous-article 42 du code de conduite des officiers, j’ai droit à du manger mou de qualité supérieure, fait à partir des repas réguliers. Ça n’a pas d’importance, que je n’ai pas faim. Vous ne me priverez pas de mes droits! Je vais faire une plainte officielle à la Fédération planétaire, je …”
Instinctivement, le capitaine Patenaude assène le tranchant de sa main sur le cou du scientifique avec un ‘Non, Brad!” bien senti. Le résultat est immédiat : Brad s’écroule sur le sol. Tous les membres de l’équipage présents poussent un soupir de soulagement dans le silence qui suit. Bob grommèle un “Méchant malade!’
Puis on entend la voix grésillante de Gervais, le ton un peu pincé : “ Si vous voulez mon avis, c’est à l’officier scientifique Spitfire que vous auriez dû retirer l’interface vocale plutôt qu’à votre dévoué ordinateur central… ”
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unknown
SANS VIVRE DE GRANDES SOUFFRANCES PERSONNELLES, L'ÊTRE HUMAIN NE CHANGERA JAMAIS, TELLEMENT IL EST DUR ET TRÈS MÉCHANT.
Car l’Éternel parcourt toute la terre du regard pour soutenir ceux dont le cœur est tourné vers lui sans partage. Tu as agi comme un insensé, et à cause de cela, tu ne cesseras plus d’être en guerre. - 2 Chroniques 16:9 BDS
Autres version biblique :
Car les yeux du Seigneur vont et viennent sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le cœur est tout entier à lui. En cela, vous avez agi de façon insensée ; c'est pourquoi, désormais, vous aurez des guerres. " - 2 Chroniques 16:9 AMP
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Si mon peuple, qui est appelé par mon nom, s'humilie, prie et cherche (réclame, exige comme une nécessité) ma face et se détourne de ses mauvaises voies, alors je l'écouterai des cieux, je pardonnerai son péché et je guérirai son pays. - 2 Chroniques 7:14 AMP
Autre version biblique :
si alors mon peuple qui est appelé de mon nom s’humilie, prie et recherche ma grâce, s’il se détourne de sa mauvaise conduite, moi, je l’écouterai du ciel, je lui pardonnerai ses péchés et je guérirai son pays. - 2 Chroniques 7:14 BDS
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Savais-tu que le Créateur seul connaît la vérité et que tout être humain ne connaît ce qu'il sait, qu'à travers sa perception humaine, mais on a aucune idée de la perception divine.
Ce qui fait qu'aucun de nous ne connaît réellement ce qu'il sait, comme il le devrait, car nous n'en avons qu'une interprétation personnelle humaine.
Si tu réalises ce qui est dit ici, cela devrait t'obliger ou te pousser à être humble, car aucun de nous ne comprend ce que le Créateur dit et veut comme lui-même.
Si tu n'es pas humble, le devenir devrait désormais être ta priorité, car un jour devant le Créateur tu t'apercevras ou tu te rendras compte, que tu n'a rien compris du tout à la vie et au sujet de ce que veut le Créateur.
Car les pensées du Créateur n'ont aucune commune mesure avec les nôtres, mes chers amis.
Le jour que tu te rendras compte que ton arrogance et tout ce qui te rend fier est basé sur du vent.
Le jour que tu réaliseras que seul le Créateur sait réellement tout ce qui se passe et ce qu'il considère bien ou mal à ses yeux.
Le jour que tu te rendras compte que seul l'avis ou l'opinion du Créateur compte.
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Toi qui es malade ou toi qui ne crois qu'aux médecins.
Notre arrogance et notre orgueil nous font négliger le Créateur, au point de persister dans ce que l'on sait ne pas être bien, de peur de s'humilier devant l'Éternel Dieu Tout-Puissant.
Au cours de la trente-neuvième année de son règne, Asa contracta une maladie des pieds. Sa maladie était grave, mais même dans sa maladie, il n'a pas cherché l'Éternel, mais [s'est appuyé uniquement sur] les médecins. - 2 Chroniques 16:12 AMP
Libre à toi de ne compter que sur les êtres humains et ce qu'ils peuvent faire, cher ami(e).
Mais sache que dans ces temps, chercher uniquement le Créateur et ne faire que ce qu'il te dit personnellement, est ce qui comptera surtout.
N'est-ce pas la vie que notre modèle parfait, le Seigneur Jésus-Christ, a vécu ?
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SANS VÉRITABLE RELATION SPIRITUELLE AVEC LE CRÉATEUR LUI-MÊME, TU NE POURRAS PAS COMPRENDRE LES LIVRES SAINTS, NI RIEN D'AUTRE DANS LA VIE, CHER AMI(E).
Les Pharisiens ou les religieux du temps du Christ, connaissaient très bien le Texte Sacré, mais leur connaissance intellectuelle humaine, ne les a pas changé en bien ou ne les a pas aider à plaire au Créateur.
En effet, c'est le Créateur qui se laisse trouver par nous et lui seul peut nous conduire à lui faire entièrement plaisir.
Donc, tu peux suivre la religion, tu peux suivre les Livres Saints, tu peux suivre des dirigeants spirituels humains et tu peux aller aux assemblées de croyants ou faire tout ce que tu veux.
Mais tant que tu ne trouveras pas grâce ou faveur aux yeux du Créateur lui-même, afin qu'il te laisse le trouver et qu'il te dise personnellement ce que tu dois faire, qu'il a prévu pour toi personnellement.
Sache que tu n'as que ta religion, tu n'as que tes Livres Saints, tu n'as que tes dirigeants spirituels humains, tu n'as que tes assemblées de croyants et tu n'as que tout ce que tu fais d'autres.
Mais en réalité, tu n'as rien du tout, car tu ne sais pas si le Créateur est satisfait de ta vie personnelle.
Car seul celui qui trouve le Créateur lui-même dans sa vie personnelle, a atteint l'objectif de la vie humaine.
Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Éternel - Jérémie 29:13-14 LSG
Quand comprendrons-nous que la religion, les Livres Saints, les dirigeants spirituels humains, les assemblées de croyant et toutes autres choses ne sont pas des fins en soi ?
Mais que seul le Créateur et le fait de ne faire que ce qu'il nous dit personnellement compte.
N'est-ce pas là le résumer des vies de tous les personnages des Livres Saints ?
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À tous ces idiots qui refusent de se faire vacciner ...
#big pharma est toujours en bonne santé#big pharmla#covid&corruption#covid de sens#covid au cerveau#mon infirmier est un fumier#mon medecin joue au malin#mon médecin me rend malade#mon ministre est sinistre
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24 décembre
c’est la malédiction de noël qui revient, je paie pour mon trop beau trop doux mois de décembre de pré-noël. c’est cette maison qui m’angoisse, hier soir j’étais angoissée et archi fatiguée par le voyage et pendant le repas je me suis rendu compte qu’il me manquait des parties de dent là où j’ai ma dent morte, c’était tout vide et j’avais l’impression que j’étais en train de m’évanouir dans le vrai monde mais que j’étais tellement fatiguée que je m’en rendais pas compte, comme quand je crois que je suis en train de me faire écraser par une voiture mais que dans ma réalité je m’en rends pas compte, que le temps se désynchronise, se sépare en deux, se partage en deux comme des cellules, ou la langue d’un serpent. Le temps fourchu. J’étais plongée dans mon temps fourchu et j’arrivais pas à manger l’infâme gratin de coquillettes au chou violet froid dans mon assiette et les ampoules led non tamisées au dessus de ma tête me faisaient mal aux yeux et en écoutant ma playlist de noël j’avais presque peur pour elle, peur de l’exposer à une maison aussi peu noël-compatible, j’avais l’impression qu’elle allait se perdre, ou perdre son essence, mais qu’est-ce qu’il m’arrive cette année?
je me suis réveillée au milieu de la nuit à cause de mon oreille gauche qui me faisait mal parce que j’avais dormi dessus trop longtemps, j’ai l’impression que tout la côté gauche de mon visage est détraqué, l’oeil le nez le sinus l’oreille la mâchoire et les dents, et je suis hantée par ma non-couverture par la sécurité sociale, et si je commence à avoir vraiment mal aux dents? est-ce que je devrai vider mon compte épargne pour me soigner? et la résidence que je veux faire en estonie en juillet? j’en suis arrivée à la conclusion que je devais trouver un job à mi-temps dès que je rentre, juste le temps d’aller chez le dentiste. même dans un café. servir des cappuccinos et des cafés latte en échange d’un soin dentaire. et des séances de kiné pour drainer mon visage. j’aimerais pouvoir en discuter avec ivan illich. j’ai repris tools for conviviality à la bibliothèque et il peste autant contre l’institutionnalisation de la médecine et le complexe industriel de la santé que contre celui de l’éducation. il dit qu’on est à sa merci et qu’elle rend autant malade qu’elle soigne, qu’elle nous enlève tout notre pouvoir et nous dépossède d’un savoir et nous tient en vie trop longtemps. je crois qu’il est mort d’un cancer des ganglions de la gorge qu’il a pas voulu soigner, il prenait juste de la morphine pour la douleur.
autre truc qui n’est pas noël-compatible: toute la ville de narbonne. noël dans le sud devient moche. toutes les images que j’ai de noël de quand j’étais petite sont moches, peut être que c’est pour ça que j’aime pas les chansons de tino rossi. f. m’a envoyé une photo d’elle en train de faire des petits gâteaux de noël à l’amaretto et j’ai présumé que c’était chez sa copine parce que j’ai pas reconnu le mur derrière elle et j’ai fait de mon mieux pour repousser l’envie de mourir et essayer de m’accrocher à ce que j’ai, m’accrocher à moi, à mon monde que je me construis tous les jours. dans la voiture j’ai souri parce que j’ai pensé au mois de janvier et à la bibliothèque et à mon livre. j’en ai parlé à la musicienne qui m’a ramenée de la maison de retraite d’echternach, bientôt tout le pays sera au courant. elle me demandait ce que je faisais dans la vie et après lui avoir sorti tout le truc de l’artiste non officielle et non professionnelle je lui ai dit que j’écrivais un livre.
a. m’a donné le top dix de ses chansons de noël tristes préférées pour pleurer assise devant le sapin et apprivoiser sa tristesse en douceur, et je me suis rendu compte que justement, pour moi, noël était très strictement réservé à la joie, à la bonne humeur et à la douceur, mais la douceur d’aise, la douceur de la vie est belle, la douceur de mon petit monde enchanté. je laisse aucune place à la tristesse, surtout dans mes playlists de noël, zéro chanson triste, quelle horreur, même silent night sur l’album de michael bublé je la passe, alors quand j’arrive ici et que tout mon petit monde n’est plus là pour me soutenir, pour me garder au chaud dans mon temple de noël joyeux et confortable et parfaitement contrôlé et orchestré par moi-même, c’est toute la tristesse repoussée qui m’explose à la figure. voilà pourquoi tous mes noëls sont déprimants depuis quelques années, c’est la faute à michael bublé.
si a. faisait partie de ma vie de manière constante j’ai l’impression que je comprendrais beaucoup mieux ma vie et la vie en général. peut être qu’elle m’aiderait même à trouver la clé du mystère de La Situation. on dit qu’il faut pas attendre d’une relation/partenaire amoureuse qu’elle règle tous les problèmes de la vie mais je crois que ça m’aiderait quand même à résoudre beaucoup de choses. même si ça règlerait peut être pas mes insécurités d’artiste qui me font encore et toujours me présenter comme non officielle et non professionnelle, mais quand je trouve le courage de faire semblant de m’y connaître dans un domaine je me retrouve dans des situations comme mardi avec l’organisateur du spectacle de noël à la maison de retraite qui m’a prise pour une pro et puis qui s’est rendu compte que je savais pas me servir d’un micro. je sais pas comment trouver le juste milieu. dix minutes avant le début du spectacle il m’a dit alors tu fais du théâtre spécialisé dans le chant et le storytelling? et quand j’ai dit ah non pas du tout j’ai commencé le théâtre au mois d’octobre, j’ai vu la panique dans ses yeux ah oui le mois d’octobre ça fait vraiment pas longtemps et je me faisais des petits hochements de tête fermes et affirmatifs de contrôle de la situation pour m’empêcher de m’évanouir de stress.
je me suis rendu compte que j’aimais bien faire la lecture, je le savais déjà mais je suis rendu compte que j’aimais bien le faire même en luxembourgeois, même si les histoires étaient un peu nulles, même si j’étais obligée de lire en faisant le tour de la salle et de marcher entre les tables et que la moitié des vieux ne m’écoutaient pas. je me suis dit que je pourrais essayer de le faire plus souvent. l’autre jour on regardait burn after reading et dans le film la femme de george clooney est auteure de livres pour enfants et dans une scène elle présente son livre dans une émission de télé à seattle et elle fait la lecture à un public d’enfants et c’est un peu culcul parce que c’est la télé américaine mais je sais pas pourquoi ça m’avait donné envie. peut être que c’était juste seattle et le fait qu’un chauffeur vienne la chercher devant sa maison pour l’amener à l’aéroport pour faire son book tour. quel rêve. la musicienne qui m’a ramenée dans sa voiture m’a dit qu’il existait très peu de livres pour enfants en luxembourgeois et que les parents se plaignaient de toujours devoir lire les mêmes. c’est pas comme si j’avais travaillé au rayon enfants d’une librairie luxembourgeoise y a quatre ans. je suis un peu nouille de jamais m’y être mise sérieusement quand j’avais décidé d’en écrire un juste après qu’ils m’aient virée.
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE
jeudi 4 juillet 2024
SUJET : UNE FOI DÉTERMINER
BIBLE EN UN AN : Psaume 78, Psaume 79, Psaume 80, 2 Corinthiens 12, 2 Corinthiens 13
ÉCRITURE DE FEU : Marc 5:25-34
VERSET DE MÉMOIRE :
Luc 1:37 - "Car rien n`est impossible à Dieu."
CITATIONS INSPIRANTES :
Le désespoir provoque parfois l'inspiration, mais avec Dieu nous appelons cela la foi.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :
Si vous croyez en Dieu et en son prophète, votre foi produira des miracles, au nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Aujourd’hui, nous examinons la place de la foi dans la recherche de solutions à une situation désespérée. En tant qu'êtres humains, nous allons à l'hôpital chaque fois que nous sommes malades pour consulter le médecin. Il pose un diagnostic et prescrit des médicaments ; nous le croyons, l'utilisons et nous sommes guéris. Il en va de même pour un passager d'un bus, d'un bateau ou d'un avion, voyageant d'une destination à l'autre. Dans la plupart des cas, nous ne connaissons pas l'homme derrière le volant, mais nous restons assis calmement et pensons au moins que nous sommes en sécurité, attendant avec impatience notre destination.
Cher lecteur de la dévotion d'aujourd'hui, comme ce serait beau si vous pouviez démontrer ce genre de foi chaque fois que vous êtes devant Dieu, quelle que soit la situation. Lui seul possède une solution permanente à tous les problèmes humains. Souvent, de nombreux chrétiens recherchent l'aide humaine et font de Dieu le dernier recours, comme dans l'Écriture de Feu d'aujourd'hui. Il ne s’agit pas pour autant d’annuler la médecine orthodoxe ou la guérison. Pas du tout! Nous parlons plutôt de chercher Jésus avec foi, en croyant qu’il peut répondre à tous nos besoins. Si la femme syrophénicienne pouvait courir vers Jésus, s'abandonner humblement et démontrer une grande foi, pourquoi un croyant en Christ ne pourrait-il pas faire de même ?
La femme souffrant d'une perte de sang a souffert pendant douze ans, elle a consulté de nombreux médecins, dépensé tout ce qu'elle avait, mais aucune solution à son problème. Culturellement, en raison de son impureté, elle est devenue une paria, inapte à vivre parmi les purs, un objet de honte et de disgrâce. C'était suffisant pour la frustrer et lui faire croire que tout espoir était perdu. Un jour, elle entendit parler du passage de Jésus au milieu d’une grande foule. Elle a mis sa foi à l'œuvre, une foi désespérée ! Elle ne pouvait pas se soucier de la foule, où beaucoup l'évitaient, en raison de son état de détérioration et repoussant. Elle n’était pas non plus découragée en réalisant à quel point il était difficile de se présenter devant Jésus. Au contraire, elle a insisté, après avoir dit dans son cœur : « Si seulement je pouvais toucher le bord de son vêtement. » Qui croirait qu’elle pourrait recevoir sa guérison en faisant exactement cela. La foi a rendu cela possible !
Pensez à ce bien-aimé, démontrez une foi inébranlable qui dit : « Je crois que c'est mon dernier espoir et je ne peux pas me permettre de rater cette grande opportunité... quoi qu'il m'en coûte. Faites preuve d’une foi désespérée et gagnez.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. O Dieu, lève-toi et rends les impossibilités possibles dans ma vie, au nom de Jésus.
2. Puissance de Dieu qui guérit d'une manière inhabituelle, viens sur moi et rétablis-moi, au nom de Jésus.
3. Alors que je mets ma foi en action, Seigneur Jésus, écoute-moi quand je crie vers toi et résout mes problèmes.
SOIR
4. O Seigneur mon Père, ma confiance est en Toi, ne me laisse pas avoir honte au nom de Jésus.
5. Affliction qui m'a transformé en objet de ridicule, aujourd'hui est ta fin, meurs par le feu, au nom de Jésus.
6. Où est le Seigneur Dieu d’Élie ? Lève-toi et affronte les problèmes qui ne me lâchent pas, au nom de Jésus.
7. Mon cri attirera la visite céleste dans ma vie, au nom de Jésus.
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On me demande de trier ce que l’on me force à acheter emballé.
On me demande d’acheter des ampoules basse consommation et d’éteindre ces ampoules qui ne consomment rien alors que je vois fleurir partout des écrans publicitaires lumineux, qui fonctionnent 24h/24 et consomment autant qu’une famille.
On m’interdit le glyphosate pour ma cour alors que des millions d’hectares en sont aspergés sur ma nourriture.
On met au rencard ma voiture fonctionnelle pour bosser parce qu’elle pollue un peu trop mais on agrandit les aéroports.
On me demande de consommer local et sain tout en signant des traités qui permettent l’importation massive de denrées de mauvaise qualité à bas coût qui envahiront les étals et les plats des cantines de mes enfants.
On me demande d’arrêter de boire de l’eau en bouteille mais l’eau à mon robinet est polluée, et Nestlé peut légalement assoiffer Vittel.
On me demande de limiter mes déplacements quand l’air est irrespirable, mais on autorise encore ce qui le sature de poisons.
On me demande d’arrêter le feu de bois pour ne plus émettre de particules fines, mais je vois passer des avions pleins de touristes survoler des champs recevant des engrais volatils.
On augmente le prix de mon carburant qui me sert à travailler ou déplacer mes enfants dont l’école est lointaine, mais les bateaux qui amènent les biens inutiles depuis la Chine le font avec un carburant détaxé en polluant à chaque voyage autant que le parc automobile mondial.
On me demande de comprendre qu’il est normal d’attendre aux urgences des infirmiers et médecins épuisés et rares car on n’a plus d’argent, et l’on déploie des forces de polices inouïes qui coûtent des millions pour juguler toute contestation sociale.
On me dit de ne pas boire trop d’alcool et de ne pas fumer parce que c’est cancérigène, mais on me vend encore alcool et cigarettes en prélevant des taxes dessus.
On me dit que je coûte trop cher à l’État quand je suis malade d’un cancer, mais on installe la 5 G, on n’a pas encore fait la liste des produits émis par l’industrie, on n’a pas encore testé la nocivité de 90% des ingrédients des produits ménagers et cosmétiques du quotidien.
On m’interdit de manger le poisson de la Seine parce qu’il est dangereusement pollué aux PCB, mais on vend partout celui pêché à son estuaire, où les mêmes polluants sont bien plus concentrés.
On me dit que mon élevage est non conforme aux normes de bien-être animal , alors qu’on m’a subventionné pour le construire ainsi et que je suis endetté pour une vie de l’avoir ainsi réalisé, conformément aux souhaits du législateur et de la chambre d’agriculture.
On m’accuse d’être un monstre parce que j’élève du bétail, mais on hurle dès qu’on coupe une haie ou que disparaît le bocage.
On me demande d’être à jour de mes cotisations sans retard, mais on en invente toujours plus, tout en rendant les aides auxquelles j’ai droit toujours plus difficiles à obtenir, en ne les distribuant qu’avec un retard parfois effarant.
On me demande de faire barrage à l’extrême-droite et de soutenir la démocratie, quand celle-ci tabasse ses manifestants et noie les migrants à ses frontières pour ne pas les voir arriver sur son sol.
On me demande d’obéir, alors que chaque jour je vois que les puissants ne le font pas.
On me demande de payer des impôts dont les plus grandes entreprises et ceux qui les détiennent parviennent à s’affranchir.
On demande à ma famille d’être un ensemble de consommateurs responsables, mais on l’assomme de messages publicitaires incessants pour l’inciter à acheter de la merde, des aliments mauvais, des marchandises inutiles ou destructrices.
On me demande d’être en règle sur tout, mais on m’a privé d’interlocuteurs en chair et en os pour y parvenir, en les remplaçant par des robots ou des algorithmes auxquels je ne comprends rien.
On me demande de vieillir sans emmerder personne et en continuant de consommer aussi tard que possible, mais on rend ma vieillesse terrible à force de dénuement, de peur d’un monde qui court et d’isolement.
On me demande d’être compétitif, mais on ne me dit pas en quoi j’en vivrai mieux, et je n’en profite pas.
On me demande de travailler à n’importe quel poste, pourvu que je puisse consommer, mais on ne punit pas les entreprises géantes qui détruisent les emplois tout en ayant touché aides et subventions, tout en ayant été affranchies des taxes locales que payent les petits entrepreneurs locaux qui, eux, créent plus d’emplois proportionnellement à leur chiffre d’affaires.
Dès lors, pourquoi ferais-je un quelconque effort? Pourquoi changerais-je ma façon de faire tandis qu’on me méprise, qu’on ne m’écoute ni me comprend, tandis qu’on laisse faire à d’autres des choses dix fois pires que les pires que je pourrais commettre, et qu’on me rend la vie bien plus compliquée qu’à eux tout en continuant à les enrichir?
Peut-être par civisme, par conviction, par citoyenneté consciente.
Parce que je ne veux pas laisser le déchet d’une vie dégueulasse pour avenir à ceux qui me suivent.
Mais, nom de dieu, qu’il m’est insupportable de devoir tolérer que la rigueur et le civisme doivent être majoritairement supportés par le petit peuple, les classes moyennes et supérieures basses tandis que les tenants du reste de la puissance économique peuvent à ce point s’en affranchir.
Qu’on se nappe de jaune fluo, de vert ou de rien du tout, l’enjeu social actuel pour lequel nous nous battons est celui-ci : établir ou rétablir l’équité. Et notre société n’est actuellement équitable ni face aux services publics, ni face aux enjeux environnementaux.
— Eric Lenoir
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S'il y a quelque chose que la religion sanitariste faucienne a su inculquer inoculer à la race humaine, c'est la notion légaliste du viol. Il s'avère quand la victime est en position [politique, économique, culturelle, médiatique] nettement inférieure. Heureusement que François L'Égo peut compter sur des chasseurs de sorciers.hier subtils et discrets comme Dominique Scali du whore-nal.
#money talks bullshit walks (or pedals)#big pharmla#mon ministre est sinistre#mon médecin me rend malade#mon infirmier est un fumier
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Hiver 1842 - Champs les Sims
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Mon oncle,
J’ai une bien mauvaise nouvelle à t’annoncer et je suis navré. Papa est tombé très malade l’hiver dernier. J’ai utilisé ce qu’il nous restait d’économies pour payer un médecin et ce dernier n’a pas été rassurant. Pour lui, sa maladie est autant à mettre au crédit du froid (malgré la cheminée et les murs de pierre, la maison n’en reste pas moins glaciale dès les premières neiges) que de son épuisement au travail. Il lui a prescrit du repos mais aussi une canne pour l’aider à se déplacer. Comme tu le faisais remarquer il n’y a pas si longtemps, vous avez tous deux à peine atteint la quarantaine, et pourtant Papa a déjà l’air d’un vieillard. En six mois, il a semblé prendre vingt ans, ce que sa démarche boitillante et saccadée n’arrange pas et me fait souffrir rien qu’en l’apercevant.
Je regrette ce que j’ai pu te dire autrefois. A voir mon père si usé, je me rend compte du sacrifice qu’il a fait pour moi, mes frères et mes sœurs. Et nous l’avons tous senti. Ygerne s’est montrée plus complaisante et obéissante envers nos parents, ce sournois d’Antoine s’est métamorphosé en fils parfait et Pierre Aimé ne cesse de répéter que tout ce labeur ne sera pas vain, et qu’il est déterminé à rendre ses parents fiers en devenant prêtre. D’ailleurs, cela fait beaucoup plaisir à Papa quand il récite de tête des passages entiers de la Bible. De même que ton daguerréotype, qui l’a beaucoup ému. Pour les autres membres de la famille, c’était une joie de pouvoir enfin voir notre lointaine famille. Encore merci, nous en prendront soin.
#lebris#lebrisgens2#legacy challenge#decades challenge#history challenge#nohomechallenge#Sims 3#ts3#simblr
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Travailler sur soi, un investissement vital
J’avais 15 ans lorsque j’ai approché ma mère, tremblotante pour lui confier que je désirais voir un psychologue, que j’en avais besoin. J’avais préparé un speech, un power point mental, des arguments en béton pour qu’elle accepte. Ridicule pourtant comme démarche car c’était la première à m’envoyer chez le médecin lorsque j’avais un léger rhume. La première aussi à soupirer d’inquiétude au téléphone lorsque je lui disais que j’avais une rhino-pharyngite. Pourtant, là, j’étais coincée. Coincée à l’idée de lui dire, « maman, je ne vais pas bien, j’ai besoin d’aide et tu ne peux pas m’aider ». Ma mère avait une perception erronée des psychologues et je ne pouvais pas la blâmer. Elle avait grandi avec une éducation différente de la mienne, des conditions précaires et malgré son insertion dans la culture française, certaines idées continuaient d’appartenir au passé. J’ai toujours été la rebelle de la famille, celle qui refusait de se soumettre à ces idées préconçues partagés par l’ensemble de ses membres ayant eu un parcours migratoire que je qualifierais de défaillant. Tout cela pour dire que ma mère pensait que les psychologues étaient réservés aux fous. Quelques années plus tôt, elle avait eu affaire à une psychologue. Il lui a suffit d’un commentaire de la part de celle-ci pour être persuadée que le rôle d’un psychologue était non seulement de soigner les fous mais en plus, de remettre en question ses capacités à être mère. En conséquence, il était judicieux de ma part de préparer une argumentation pour cette demande.
J’avais 15 ans et cela faisait quelques mois que j’avais fait ma rentrée dans un lycée à quelques minutes en transport de mon quartier. J’avais sombré dans un mutisme sélectif avec mes pairs, entravant la possibilité de nouer de nouvelles relations. La bonté et la bienveillance de mes pairs m’avaient tout de même permis de créer des liens sociaux mais ma parole s’éteignait dès lors que près de moi plus de deux personnes étaient présentes. Je m’arrêtais de parler. Dans ces moments-là, il m’était impossible de dire quelque chose. Mon cerveau était en court-circuit. L’avantage c’est qu’on me qualifiait tout bonnement de timide, de personne très réservée. Moi, je savais qu’il y avait un problème. Je n’avais jamais été de celles que l’on qualifie de sociable. Il est vrai que j’avais peur des autres et que pour la contrer, j’avais toujours à mes côtés ma meilleure amie d’enfance qui était mon opposé. Elle n’avait peur de rien. Lorsque je stagnais, elle me tirait par la main pour que l’on avance. Au point qu’en CM2, on nous sépara pour cette raison. Mon ancienne maîtresse souhaitait que je m’individualise, que je prenne en indépendance. Cela n’a duré qu’une année. Au lycée, ma meilleure amie n’était plus là et tous mes repères étaient chamboulés. Je devais apprendre à vivre avec les autres, sans elle. Il n’y avait plus personne pour terminer mes phrases lorsque je ne trouvais pas les mots. Il n’y avait plus personne pour approcher les autres. J’étais livrée à moi-même et pour me protéger de ce monde inconnu, j’avais décidé de me taire. Ma mère m’écouta malgré la maladresse de mes propos. Il m’était difficile de lui expliquer pourquoi je souhaitais un suivi psychologique. Probablement en partie car cela l’incriminait d’une certaine façon. Elle n’était pas convaincue et me proposa de consulter un médecin généraliste en premier lieu. Néanmoins, j’étais sûre de moi et comme les médecins le savent, le patient est détenteur d’un savoir que eux non pas, sur son propre état. Contrairement à ma mère, je n’ai pas eu besoin de convaincre le médecin qui m’a dirigé vers un Centre Médico-Psychologique de mon arrondissement.
J’ai été pris en charge rapidement et c’est là que mon parcours thérapeutique a débuté. En 9 ans, j’ai consulté 8 psychologues. Je n’ai pas honte d’énoncer ce chiffre. En effet, la thérapie n’est financièrement pas accessible à tous. J’ai été suivi en CMP jusqu’à mes 18 ans, en trois ans, j’avais eu 2 psychologues. Après quelques mois de suivi, mon mutisme sélectif avait disparu. Ensuite, ma psychologue est partie à la retraite. Lorsque j’ai vu la première fois celle qui prenait sa relève, elle me dit « Madame X m’a confié que vous aviez toujours quelque chose à dire et que vous étiez très bavarde ». J’ai alors souri parce que j’avais arrêté de me taire. À mon entrée à l’Université, je me suis inscrite pour être pris en charge au BAPU, réservé aux étudiants. Comme à mon entrée au lycée, l’entrée à l’Université m’était difficilement vivable. Ma nouvelle psychologue m’était aussi difficilement vivable. Je ne supportais pas son regard lorsque je venais à son cabinet, je ne supportais pas ses remarques, ses manies, sa manière de se tenir sur la chaise et encore moins ses interprétations. Malgré mes études de psychologie entamée, j’ignorais ce qu’était le transfert négatif et j’étais en plein dedans. Malgré mon mutisme soigné, il m’était impossible d’arrêter mon parcours thérapeutique. Il était nécessaire pour moi de le poursuivre. Sans me décourager, j’ai consulté un psychiatre (donc un médecin) qui pratiquait également la psychanalyse. Étant donné que mes parents ne pouvaient pas financer ma thérapie, j’avais besoin d’avoir recours à un service gratuit (CMP, BAPU) ou bien de passer par un médecin (psychiatre) pratiquant des thérapies (psychothérapies) ou bien la psychanalyse (analyse personnelle). Erreur de ma part de ne pas avoir consulté les avis au préalable. Après quelques séances de 15 minutes où il ne parlait pas ne me regardait pas, regardait parfois son Ipad et pire encore, ne se souvenait pas de moi et répétait « Bon, vous rêvez de quoi ? Vous ne vous souvenez pas ? Vous me les écrivez pour la semaine prochaine. Votre fiche de soin, au revoir », j’ai arrêté de le voir. Je suis retournée en CMP pour adultes cette fois-ci, j’ai été pris en charge par une fantastique psychologue qui arrêta d’y travailler quelques mois plus tard. La relève ne lui arrivait pas aux chevilles, à nouveau le transfert négatif empiétait sur mon travail mais surtout ma difficulté à reconnaître que je souffrais des départs des psychologues qui m’avaient suivies. Deux retraites, une grossesse. La psychologue en question, en miroir à mon transfert négatif, avait un fort contre-transfert négatif car quelques mois plus tard, c’est elle qui me mit à la porte. Désemparée, j’ai fini par trouver à nouveau un psychiatre pratiquant la psychothérapie. Après quelques séances presque adaptés et ma persuasion que ses interventions étaient correctes, bénéfiques, il fit quelque chose qui me paralysa. Il m’embrassa les mains pour me féliciter de mes résultats scolaires. J’étais en fin de cursus universitaire, je maitrisais parfaitement l’art du cadre, le rôle d’un thérapeute, les règles, les normes, le processus thérapeutique. S’il y avait quelqu’un qu’il ne pouvait pas berner à ce sujet, c’était bel et bien moi. Consternée, je n’y ai jamais remis les pieds.
Depuis le début de mon cursus universitaire, je travaillais. Certes, j’enchainais les emplois étudiants précaires et encore aujourd’hui, ma situation est précaire. Je n’ai jamais gagné le SMIC et au détriment de ma santé psychique, je suis restée habiter chez mes parents en attendant d’avoir un vrai travail (peu importe ce que cela signifie). Il m’était difficile d’investir dans une thérapie, payer pour celle-ci. Tout d’abord car je ne voyais pas la thérapie comme un investissement mais quelque chose qui m’était dû. Mon parcours de vie difficile, ma souffrance quotidienne m’incitait à penser de la sorte: je ne vais pas payer pour me soigner car ce n’est pas de ma faute si je suis malade. Néanmoins, avec le temps, j’ai compris que l’on ne choisit pas ce qui nous arrive mais on peut choisir comment réagir. J’ai alors décidé d’investir en moi-même. Alors oui, je sonne comme ces fameuses pubs d’actionnaires, de BitCoin lorsque vous regardez un film sur un site en streaming mais c’est le meilleur investissement que j’ai pu faire. Après de longues semaines de recherche sur Doctolib, j’ai fini par trouver un psychologue à une demie-heure en transport de chez moi ayant un tarif convenable. Malgré cela je m’étais dit que financièrement je ne pourrai y aller qu’une semaine sur deux. Il a tout de même réussi à me convaincre de venir chaque semaine. Cela fait un an à présent et je ne le regrette jamais. L’argent que je dépense durant mes séances fait parti de mes dépenses quotidiennes, essentielles, nécessaires. Je ne les compte pas comme des factures qui entravent ma possibilité de vivre convenablement: non, c’est grâce à elles que je vis petit à petit mieux.
En sélectionnant mon psychologue j’avais écarté toutes les possibilités que mon passé se répète: il est jeune donc il ne peut pas partir à la retraite, c’est un homme, il ne peut pas tomber enceinte. Hormis la mort ou un possible déménagement, jusque-là j’avais fait un pas en avant, j’avais choisi que mes traumatismes ne se répètent pas. D’autant plus, qu’il ne m’embrasse pas les mains. D’ailleurs, grâce au covid, il ne me serre même plus la main.
Alors non, une thérapie ce n’est pas un miracle. Il y a des séances où on dit beaucoup de choses, parfois trop de choses, parfois on ne dit rien. Parfois on vient en avance, parfois on vient en retard. Parfois on a pas envie d’y aller et parfois on aimerait y aller un jour avant. Parfois on aime notre thérapeute, on l’idéalise, le transfert positif et parfois on le déteste, transfert négatif. Parfois on sort de thérapie et on se sent mieux, parfois on en sort et le monde s’écroule. Il se peut que l’on pense que cela ne sert à rien, que l’on est toujours au même stade et il y a d’autres jours où l’on se rend compte que cela fait trois jours que l’on a pas eu de crises d’angoisse alors qu’à une période on en faisait cinq par jour. Il y a des séances où on répète en boucle la même chose que les semaines précédentes et il y a des séances où on se rend compte que l’on dit d’autres choses, que l’on pense différemment.
Parfois notre thérapeute nous dit 100 fois la même chose et c’est à la 101ème fois que l’on comprend ce qu’il veut dire.
Et ainsi, on avance.
La thérapie n’est pas une honte: c’est un choix que l’on fait pour soi. C’est un investissement de soi. C’est la preuve que l’on croit en soi et que l’on peut s’en sortir.
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