#moi et mes idées à la con
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Well this is it then. Le grand départ.
#je peux pas faire plus grand comme départ#moi et mes idées à la con#trouver un stage à l'autre bout du monde (littéralement) d'abord et réfléchir ensuite
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J'ai lu le dernier roman de Mélissa da Costa parce que j'avais jamais lu ce qu'elle écrit et je voulais me faire une idée mais wahou comment j'ai détesté la suite ci-dessous pour ne pas spoiler
déjà ça part mal parce que le type principal a 42 ans, il trompe sa femme avec une meuf de 24 ans et il décide de la quitter pour elle j'étais 🙄 ensuite il a un accident de scooter (entièrement sa faute, il grille une priorité à droite et se prend un bus) qui le laisse paraplégique et il devient infect, ce qui pour moi est compréhensible après un traumatisme, mais infect au point d'abuser les gens qui veulent l'aider genre sa nouvelle meuf : il lui jette des trucs à la tête, il lui fait des crises de jalousie et même il l'étrangle ?? et elle elle reste avec lui la grande folle ? bref il divorce ils s'installent ensemble en banlieue quand il sort de rééducation lui il pète des cables régulièrement il est violent avec sa meuf du coup elle déprime et il ose dire "on est pas mieux l'un que l'autre" bah tg françois elle est mille fois mieux que toi ok ! Son ex-femme devient pote avec eux elle vient manger toutes les semaines mais isabelle qu'est-ce que tu fous le mec se barre avec une jeunette avec qui il t'a trompée coupe les ponts je sais pas :/ ensuite françois dit "je veux un enfant" sa meuf veut pas trop parce que bah elle a 25 ans elle s'occupe de tout chez eux son mec est détestable mais elle finit par dire ok pour "le sauver" BIIIP grossière erreur !! Elle accouche puis elle fait une dépression post-partum parce que c'est clairement pas la vie qu'elle voulait et tout le monde lui tombe dessus en mode oh la la quelle mauvaise mère mais WTF prenez vous-en à l'autre con de françois qui a fait que des caprices depuis le début !!!! Il la respecte pas, à la fin elle suit des cours d'écriture elle part 3 jours par semaine elle est heureuse et la première chose qu'il se dit c'est "ok elle me trompe avec son prof beau gosse" françois je vais te tuer froidement
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Rant et plagiat
Je ne serais pas surpris si ce tumblr devenait un tumblr de plainte...
Je pense que je peux affirmer sans trop trembler des genoux que je suis assez compréhensif. Mon personnage ne convient pas pour un pl ? Y'a pas de soucis. On a un rp et maon partenaire veut arrêter ? Changer de ship ? Changer de rp ? Y'a pas de soucis. Si on m'en parle, la réponse sera toujours "y'a pas de soucis". Toujours. Je ne discute jamais les refus.
Cela dit, faut quand même pas me prendre pour un con.
J'ai fait l'erreur d'envoyer un mp à quelqu'un sur un forum qui disait -en gros- : "hey, j'adore ton personnage, j'ai cette idée de DC, ça te dit un lien?"
Pas de réponse (bon, en soi je comprends, parfois moi aussi j'oublie de répondre et puis même, t'as pas envie de me répondre, je comprends aussi)
MAIS
Voir mon idée de DC avec certains passages repris mot pour mot dans un PL du dit membre en question avec EN PLUS le même lien que je lui proposais avec son perso ??? Là va falloir m'expliquer le but
(J'ai évidemment envoyé un mp au staff du forum qui m'a en gros répondu qu'ils préféraient croire le membre et que j'aurais très bien pu trafiquer un mp -c'est vrai que j'ai que ça à foutre-), je suis parti du fo dans la journée )
-Ce qui me fait rire c'est que, sur PRD, quand la fondatrice propose le forum dans la catégorie "recherche de forums", elle se prend souvent des réflexions de personnes racontant être passées sur le forum et avoir vécu de mauvaises expériences et elle ose encore faire la surprise...-
Bref, c'est tout pour moi
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Je trouve que la jeunesse française, à cause des réseaux sociaux, s’est américanisée, c’est-à-dire hystérisée. Tous ont un avis, des idées, des valeurs, le doute n’est pas permis, le dialogue impossible, la violence juste derrière la porte… Tout ce qui fait la noblesse des valeurs dont ils se croient les défenseurs est galvaudé. Et pourtant ils sont les premiers à s’offusquer quand elles leur semblent bafouées.
La véhémence, la haine aveugle, l’intolérance me semble bien du côté de ce qui pensent les combattre le plus.
J’en reviens toujours à la même conclusion : il suffit d’observer les centres d’intérêts de tous ces gens, de gauche comme de droite, pour comprendre qu’ils sont bel et bien à la pointe de la décadence humaine, civilisationnelle, intellectuelle et spirituelle, comparé à ce à quoi l’espèce humaine a pu aspirer auparavant.
Tout ce cirque politique ne fait que brasser du vent et ne changera rien à rien. Il n’y aura ni fascisme ni rien, et la société du spectacle (de consommation) va se poursuivre encore un peu plus et continuera gentiment à tout faire dégénérer.
Qu’on puisse trouver les enjeux politiques, sociaux et économiques actuels intéressants m’est incompréhensible. Le problème est idéologique. Quel est l’idéal qu’on propose ? Il n’y a qu’une question et c’est celle-ci. Le reste, les moyens, tout cela n’est qu’accessoire et ne devrait même pas faire débat. On oublie pourquoi on se confronte politiquement, pourquoi nos avis divergent, on oublie réellement pourquoi. Un « avenir meilleur » ? Une « terre respirable » ? Vraiment ? Redéfinissons radicalement nos idéaux avant de nous battre pour savoir qui va continuer à scier la branche sur lequel notre pays est assis.
Vous tous qui, aujourd’hui, de gauche comme de droite, prenez position pour tel ou tel parti. je vous le dis, vous n’avez rien compris. Vous jouez à un jeu dont vous ignorez les règles. Mais le mal est plus grand encore : c’est l’humain, en définitif, qui s’est rendu trop con, à l’heure où il croit être plus intelligent et évolué que jamais. Au fond de mon cœur je n’ai aucune haine contre tous ces idiots et les pardonne d’office. Seulement, un immense désarroi, un immense abattement que les choses soient ainsi. J’ai, bien évidement, un réflexe d’agacement, de haine, face à la connerie absolument omniprésente. C’est humain paraît-il. Et je ne suis pas bouddha, du moins pas encore.
Je ne connais qu’un homme qui a exprimé ce que j’ai tenté d’exprimer ici (et bien mieux que moi) : Théodore Kaczynski. Du moins c’est celui qui m’a semblé le plus clair et direct sur la question.
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Lettre à ma Solitude...
Ma chère,
Ça fait longtemps que j’ai envie te parler,
Est-ce que j’ai le droit de m’adresser à toi directement ?
Je sais que je ne t’ai pas habituée à ça,
J’imagine que ma familiarité soudaine t’incommode
et que ce tutoiement te surprend.
Je le sais en fait, je te connais bien.
À vrai dire, on se ressemble beaucoup toi et moi.
Mais aujourd’hui il me semble important
de faire ce pas vers toi.
Je crois que j’ai beaucoup de choses à te dire
et que j’ai déjà trop attendu.
Allez, fais pas cette tête !
Ce n’est pas comme si on ne se connaissait pas.
Ça fait bientôt vingt-trois ans qu’on cohabite.
Je conçois que cette lettre va te paraitre un peu étrange, comme aux autres qui la liront d’ailleurs.
On ne parle pas souvent de toi ici.
À vrai dire, quand il s’agit de toi,
le sujet est un peu tabou.
La plupart des gens te présentent comme un monstre
à abattre ou une maladie incurable.
Ils sont prêts à toute sorte d’arrangement pour t’éviter.
Je m’étonne de leur entêtement,
Je m’en irrite parfois.
Quand je sors des arguments en ta faveur,
On me répond que c’est si triste d’être seul.
On me parle de ces mamans célibataires
qui galèrent ou des SDF,
de ces gens au chômage, à la retraite.
Tu sais, ces vieux qui meurent tout seuls chez eux,
qu’on ne remarque qu’un an après à cause de l’odeur. Pourtant, ton prénom, quand il sort de ma bouche,
n’a rien à voir avec tout ça.
Je crois qu’ils te confondent avec l’abandon
ou l’isolement, avec une sorte de manque.
Pour moi, tu représentes avant tout un retour à soi.
Un appel à découvrir ses désirs, ses rêves, sa liberté.
Une pause dans ces relations qui sont toujours plus compliquées, dans ce monde qui s’essouffle,
cette société qui s’effrite.
Très tôt, on nous éduque à vivre ensemble, à jouer ensemble, à travailler ensemble.
On nous inculque le compromis,
la patience, on nous apprend à communiquer,
à mentir surtout.
On nous convainc que tu es incompatible avec le bonheur, avec l’amour, et que, contrairement au dicton,
il vaut mieux être avec n’importe qui, plutôt que seul.
Alors j’ai essayé moi aussi.
De faire partie d’un groupe,
d’une communauté, d’un couple.
J’ai passé des années à supporter des compagnies
que je jugeais ennuyeuses pour me sentir acceptée, normale.
Le plus généralement parce qu’on me le demandait et que ça inquiétait ma mère de me voir avec toi. Mais la vérité c’est que je me sens bien plus seule en soirée, entourée par le monde, les lumières, les sons. Je me mêle aux autres, je parle avec ces gens, je me sens vraiment bien parfois, mais souvent, d’un coup, j’ai le sentiment d’être seule au monde. J’ai l’impression que nos paroles sont insensées, tellement superficielles, et qu’il n’y a aucun espoir que l’on se comprenne un jour. Ça t’ai déjà arrivé à toi aussi ?
On rabâche sans cesse les mêmes propos stériles, entendus à la télé, dans les médias, sortis de la bouche des plus cons de ce monde.
On s’emporte les uns contre les autres pour des broutilles et on évite soigneusement les vrais sujets.
Je crois qu’à vivre continuellement en groupe on finit par régresser intellectuellement.
On laisse les autres réfléchir à notre place,
parce que c’est plus simple sur le moment.
Mais avec les années on perd tout esprit critique. Comment veux-tu qu’on soit capable de tolérance,
de jugement, si l’on n’est même pas aptes
à nous faire nos propres idées ?
Malgré ça, je m’interroge :
est-ce que je suis folle ?
Est-ce que je suis la seule à te trouver belle,
et plutôt positive ?
Est-ce que ça fait vraiment de moi quelqu’un d’asocial
de passer du temps avec toi ?...
Net
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Tiens, on est le 21 avril aujourd'hui?
Ca va faire l'anniversaire des 22 ans de Jean-Marie au second tour et où pas mal de personnes censées se sont rendues compte qu'il y avait toute une frange de cons en France : "moi pas content moi mettre coup de pied dans fourmilière alors moi voter pour vieux monsieur qui a formé son parti avec des anciens Waffen-SS et qui a torturé en Algérie et compare les homosexuels au "sel dans la soupe" parce que moi vraiment pas content "
Et depuis on a de plus en plus de cons à tous les niveaux - mais bon, je reste un blog fandom donc parler trop de politique ça va me transformer en bloc de sel géant.
Par contre, avec le fandom actuel sur Fodlan, ben je vois que c'est une tendance de fond apparemment, et ça dépasse nos frontières (ouais on est pas les seuls cons au monde! Youpi!) et c'est toujours aussi inquiétant - je ne parle pas des délurés dans leur caniveau dans un certain serveur de Discord(e) - mais juste un commentaire banal genre :
"J'ai vraiment aimé ta fic du coup j'ai écris la mienne!"
Je me sens un peu flattée qu'un des trucs randoms que j'avais posté ai pu rendre des gens contents ?
"Du coup j'ai aussi repris l'idée de Lycaon l'hybride Nabatéen"
Cool, enfin c'est pas juste moi, les demi dragons, c'est un peu une tradition dans FE et les mondes de fantasy, et puis Fodlan le sous-entend avec certains persos et dialogues et...
"Alors dans mon idée, les hybrides tombent tout le temps malade, jusqu'à que leur descendance ait moins de sang de Nabatéen parce que c'est ça qui les rend fragiles"
... Attends, quoi ??
(gros gros sel sous la coupure)
Moi dans mes délires c'est l'histoire clichée du "il a du sang de créature magique donc ça les rends plus forts/demi-dieux etc etc" avec l'analogie traditionnelle du "ben s'ils peuvent faire des bébés c'est qu'ils ont pas si différents et les deux peuples peuvent s'entendre au lieu de se foutre sur la gueule tout le temps" - il n'a jamais été question de "oui ben l'hybride est mal foutu génétiquement parce que le sang d'une des races n'est pas bon et il survit que s'il se débarrasse de sa partie "autre" " !
Et puis merde, je sais qu'on est dans une fanfic et une oeuvre de fiction, mais c'est super inconfortable de lire ce genre de trucs! Sans rentrer dans les "théories" à la con, ce genre de saloperies a été utilisé dans la vraie vie pour justifier de la merde!
Enfin quoi, on est sur de la fiction, mais on explique que "il est malade parce qu'il n'est pas de sang pur ??" Et ça c'est censé être, genre, normal, et pas un twist où en fait c'est un super raciste qui a "créé" cette maladie pour garder des gens "purs"? C'est juste, euh, "naturel"????
oui bon j'ai relu bleach récemment
Comment un de mes posts a pu inspirer ça?
Tiens, ça me fait penser à cette autre fic qui m'intéressait bien aussi :
Guerre des Héros? Check
Willy ? Check
Lycaon est un hybride? Triple check
Et puis dans les notes de l'auteur "ah oui c'était compliqué pour l'élever en tant que bébé, mais une fois qu'il avait passé sa phase de nabatéen* ça passait"
*Ok, c'est de l'anglais et j'ai peut-être mal compris le "grew out of his nabatean traits" ???
Bordel ça commençait tellement bien, et ça finit comme les épinards de la cantine.
Encore une fois, on est sur de la fanfic alors bon, si quelqu'un écrit sur quelque chose ça ne veut pas forcément dire qu'il est d'accord avec tout ce qu'il écrit ou veut les promouvoir, j'entends bien.
Mais tout de même, je trouve que parler de ça, dans un fandom qui comporte des latrines comme ce fameux sous-serveur, et dont l'oeuvre principale est centrée autour d'une "waifu qui est en fait méchant mais trop kawaii alors tu te sens tristoune de la dégommer mais comme elle trop kawaii personne va lui dire de la boucler ou tout ceux qui le font sont dépeints comme des vilains pas beaux méchants qui à la fin trouvent qu'elle avait pas tort" dont le leitmotiv reste tout de même la volonté de débarrasser le monde du "sang de dragon" (Et personne dans le jeu ne tique ou ne remarque ça pour sortir - à l'époque ce que j'aurais appelé une tarte à la crème mais vu le fandom et les temps actuels ce n'est en fait pas si commun??? - "le racisme ce n'est pas bien" et que tous les persos mettent à leur sauce des "oui mais c'est vrai que le sang de dragon ce n'est pas bien"!) franchement c'est très très bof.
Est-ce que ces "théories racialistes" sur les "hybrides Nabatéens" c'est juste de la liberté littéraire dans le genre de la "darkfic" ou du "dead dove do not eat", ou est-ce que ce sont des effluves nauséabondes qui émanent des toilettes, ou des personnes qui ont joué au jeu et ne se rendant pas compte des énormités de Dedel - qui sont malgré tout passées sous silence par les développeurs et scénaristes eux-mêmes parce qu'il faut vendre des goodies ?
Ça me gonfle parce que normalement, je me dis toujours qu'il faut consommer des choses auxquelles on est pas forcément attirés dès le départ pour élargir ses horizons et peut-être apprécier d'une autre manière quelque chose - mais avec cet univers, avec un fandom (et des jeux) qui nous bassinent en long, en large et en travers "ouin ouin tout ce qui ne va pas dans le monde c'est à cause du sang de Nabatéens" et chie sur, ben, les persos Nabatéens eux-mêmes, une fic qui a part sur un postulat "les hybrides Nabatéens existent, mais ne sont pas viables/en bonne santé/gérables s'ils ont trop de sang Nabatéen", je ne peux/veux plus les lire/voir/écouter.
Comme pour l'utilisateur de Tumblr que j'avais bloqué, sans avoir jamais interagit avec cette personne, mais parce que j'avais lu un billet en mode "oulala rien que de penser à Dedel qui aurait du sang de Nabatéen [encore dans un contexte de demi-nabatéens] ça me rend physiquement malade!" parce que, non seulement, ben ça veut dire que cette personne n'a visiblement pas compris ce qu'est un Emblème dans le jeu, et surtout, parce que ce genre de trucs avec le fandom de FE16, avant même que je ne découvre le trou à fange qu'est le sous-serveur de la Discorde, c'est un gros gros signe que cette vision qu'à cet utilisateur du jeu et la mienne sont tellement incompatibles qu'on ne pourra jamais discuter sereinement dessus, donc blocage automatique.
Je vois le "fandom" comme quelque chose de relaxant où j'ai envie d'être chill et de juste, apprécier des trucs plutôt que de râler (j'ai déjà la vraie vie pour ça), mais là c'est juste, je pense, de la déception (une origo gentis sur les Hresvelg! Un des trucs sur lesquels j'avais déblatéré il y a longtemps! C'est tellement génial de voir que quelqu'un d'autre a eu l'idée d'en faire une! Si seulement il n'y avait pas eu ce foutu commentaire "et en fait les métisses sont malades parce qu'ils ne sont pas viables à cause du sang de l'un de leurs parents mais si ce sang se dilue ils vont mieux"...) et la simple coincidence qu'aujourd'hui on est le 21 avril qui vaut ce bloc de sel.
#french post#rant#attention c'est salé il faut prendre un citron#pour les fanfics en général je suis plus en mode j'aime pas je lis pas et puis voilà chacun ses gouts#mais le 'c'est à cause du sang de cette race que les petits métisses sont malades les pauvres' c'est complètement lunaire#il y a des théories de merde qui circulent actuellement dans la vraie vie et utilisent ça#je pense quand même qu'il y a une différence entre faire de la fiction sur des demi dieux qui vivent des aventures et ont des pouvoirs#grâce au sang d'une race d'êtres fantastiques#et une fiction où on t'explique que des demi-humains sont malades parce qu'ils ne sont pas humains#à cause du sang 'autre' qu'ils ont mais que si ce sang est dilué leur futurs enfants iront mieux#et que par ailleurs ce 'sang autre' est décrié dans l'oeuvre de base comme la lie de la société et la source de tous les maux#je pense que je vais rendre en muet cette fic sur Ao3#je ne sais pas ce qui m'a le plus agacée avec cette histoire#le fait que je suis déçue par une fic mais bon il reste toujours l'adage du si t'es pas contente t'as qu'à écrire#ou le fait de tomber sur une fanfic rédigée par radio courtoisie#Allez pour la route je mets les tag#FE16#fandom woes
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J'étais un homme... avant, quand c'était mieux...
Aujourd'hui, 21 novembre 2124, je dois m'accuser en public d'un péché horrible : cela fait si longtemps que j'ai même failli l'oublier ! Pourtant, je vous assure : j'ai été un homme. Vraiment, homme et même pas honteux de l'être et même si cela se perd dans la nuit des temps, en ces jours où l'humanité, proprement rééduquée, reprogrammée et reconditionnée comme il faut, a oublié la préhistoire, au temps où les occupants de la planète Terre n'avaient pas encore découvert les vraies lois de l'anti-nature, où les mots avaient un sens, et où le ''penser correct'' n'avait pas encore éradiqué les idées mortifères d'avant ''l'ordre nouveau''...
Il faut un certain courage pour avoir l'audace de revendiquer une telle appartenance --ou un simple lien, fut-il lointain-- avec ce groupe marqué par l'infâââmie hystéro-historique la plus absolue, ce groupe sans doute le plus bas et le plus laid dans la hiérarchie des espèces où il se situe en dessous --même-- des crapauds. Les hommes ? Beurrrk ! Je me souviens encore du jour où j'ai pris conscience qu'un groupe de groupies groupées avait fait paraître une ''tribune'' (qui était déjà un tribunal), sans doute dans Libé ou dans l'Obs -- seuls torchons capables de tels déshonneurs, érigés en grandes causes pour les besoins des abjections qu'ils promeuvent.
C'était une déclaration de guerre (en tout cas, ''une ouverture des hostilités'') qui annonçait la condamnation à mort --de préférence dans des souffrances énormes, à l'échelle de ses vices-- de la partie masculine du monde : tous n'étions pas morts (le mot ''hélas'' suintait, entre les lignes), mais le temps des mecs (on peut aussi dire : ''des porcs'') était compté. Nous étions clairement en sursis : le modèle de société sexuée qui avait traversé les siècles et les millénaires pour le plus grand bonheur de la génération-en-cours, qui en profitait et pour le plus grand bien, de celle à venir (puisqu'elle existerait grâce à lui !) avait fait son temps. Le vieux monde était mort.
Les femmes, enfin conscientes que tous les âges qui ont précédé le nôtre n'étaient peuplés que de sombres brutes et de masochistes au féminin, se réveillaient enfin ! O mecs insupportables, ô tyrans sanguinaires, vous allez voir ce que vous allez déguster : il n'y avait rien, absolument rien de bon, en vous, tout est à jeter, y a rien à garder, car tout individu de sexe mâle n'est, au fond, qu'un bourreau potentiel, un féminicide-qui-s'ignore, et les seuls ''hommes'' (?) que l'on peut tolérer sur Terre sont les ''homos'', qui souffrent, depuis la nuit des temps, de la domination violente des ''mâles'' --blancs, cela va de soi.
Je vous parlais il y a peu des mésaventures de notre ancêtre commun l'Homo neanderthalensis. Eh ! bien... L'image que cherchent à en donner les harpies qui ont juré notre disparition totale fait très fortement penser aux représentations caricaturales que donnent de lui Hollywood et certaines BD : un truc vraiment grossier, qui doit faire peur, qui ne sait que tirer sa femelle par les cheveux (ce qu'elle est bien con d'accepter : il lui suffirait de se mettre debout !), et qui doit sans doute --c'est nettement suggéré-- puer très fort... Je suis sur que ces charmantes personnes tout en bonté, en don de soi à défaut de porter des bas de soie, ne nous voient, aujourd'hui, marchant dans la rue ou au Super marché que vêtus de peaux de bêtes tout juste arrachées à leur ancien propriétaire aurochs ou urus... que de prétendus animalistes rêvent d'enrôler...
Quand on pense que des êtres comme moi (je veux dire : aussi laids et aussi vils que je devrais l'être si leur discours avaient un sens) pratiquaient, en ces temps barbares, le ''base-main'' --en prétendant que c'était ''en hommage à la féminité", alors que ce n'était que par envie de les humilier --en les mangeant, peut-être ?--, on est en droit d'être révulsés. Pensez que les gens de mon espèce poussaient leur désir de viol jusqu'à ouvrir la portière des voitures, à s'effacer au passage d'une porte, à payer au restaurant, à porter les paquets... bref (Summum protectionem) à être à chaque instant ''galants'' et ''bien élevés''... Mais heureusement pour le futur de la planète, une katiba de grandes intelligences a ''réveillé'' (c'est le sens du verbe ''to wake -woke-woke'') le monde à notre vilenie... ce qui devrait me permettre de me proclamer ''tout, sauf un homme'' !
Pour les partisans de la guerre totale entre les sexes --leur rêve, et donc le cauchemar des gens normaux-- il ne peut avoir existé d'homme bien élevé : ces deux notions, antinomiques, sont incompatibles. Toute relation sexuelle, avant le réveil-woke de ces con-sciences,n'a pu avoir lieu que sous la contrainte, la femme-victime qui la subissait se bouchant le nez en pensant à son militantisme bafoué. Comme il faudrait plaindre toutes les victimes apparemment consentantes de la galanterie, de la courtoisie, de la bonne éducation, ou... horribile scriptu sed peius lectu (traduction : horrible à écrire mais pire encore à lire) de l'amour ''courtois'' qui a enchanté le moyen-âge... et notre année en classe de cinquième...
Mais il faut que nous cessions d'avoir honte : il existe une porte de sortie à notre condition si peu enviable : la ''déprogrammation''. Le semi-monstre que nous sommes au fond de nous (mais j'y pense : de quel droit est-ce que j'écris ''semi'' ? C'est ''monstre'', le nom qui convient ! Et pas ''au fond'', mais même en surface !) vient de se voir offrir une chance de ne plus être le rebut de l'humanité : il suffit de se porter volontaire (avec moult cris de joie, de préférence) à des programmes, non remboursés par la Sec-soc (il ne manquerait plus que ça !), de rééducation totale... comme vient de le faire le ''compagnon'' de la sandrine rousseau... [car on peste, on râle, on insulte... mais on a tout de même besoin d'un toutou, d'un nounours ou d'un doudou quand on rentre à la maison, ne serait-ce que pour avoir fait la vaisselle et préparé le repas ! Un reste de ''charité chrétienne'', en moi, me susurre de plaindre ce garçon... même si je le tiens pour un pauvre con, sans avoir besoin de le connaître pour ça].
Le programme de ce programme ? Je cite Bertrand de Saint-Vincent, qui s'est penché sur cette bouée de sauvetage de la connerie du temps : ''Après avoir confessé ses péchés, l'homme nouveau doit abandonner tous ses privilèges, suivre à la lettre les leçons des féministes (les ''pathologiques'', les seules vraies femmes, d'après elles !), s'engager à ne plus manger de viande --un terrible accélérateur de féminicide prémédité-- et vouloir sincèrement s'autodétruire. Il doit aussi promettre de ne plus se sentir en sécurité que au milieu de gens ''de couleur de peau différente'' --cette énormité est du député LFI Aurélien Bellanger-- et ''déconstruire en eux la partie des préjugés racistes inculqués par la société patriarcale''. Je pense que le chemin doit être long, mais d'un autre côté, ''ne pas le sauter'' vaut damnation éternelle...
Mais j'aimerais bien qu'une de ces ''remetteuses en pages'' me dise ce qu'il reste, après lavage et reprogrammation, de l'horrible cervelle de l'épouvantable créature qui était rentrée dans la machine à déconstruire. Certains --et c'est la preuve évidente qu'ils sont des cas désespérés-- vont aggraver leur cas en s'étonnant que pour devenir un parfait ''Homo feministis'', il faille faire des détours dans le racisme, le spécisme, le travelo-isme (?) et le ''drag-queen-isme'' (?, bis), l'écologie punitive, la GPA, la PMA, le ''mourir dans la dignité-isme''... et toutes les idées ''sociétales'' qui ne peuvent mener la pauvre humanité qu'à la mort (''cons le veuillent ou non'' -- si j'ose !).
Finalement, tout bien réfléchi, je crois que je vais continuer à me revendiquer ''Homme''... en attendant que ce tsunami de bêtise majuscule meure d'une mort que je lui souhaite douloureuse, après tout le mal qu'il a fait ! Et si ça doit mettre longtemps à arriver... tant pis pour moi : On peut tout perdre... ''fors l'honneur'', disait notre grand François Premier (le Roi, pas le Pape !). Et puis qui sait... l'élection de Trump, cette figure honnie de tout ce qui pense de traviole sur terre, va peut-être accélérer la remise en service de la ''machine-à-baffes'' qui nous a manqué depuis et pendant si longtemps ?
H-Cl.
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser !
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre.
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut être ?
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
2/2 suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé… je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé en une énorme onde de plaisir, après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup, je venais de jouir pour la première fois de ma vie.
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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17 juillet
au téléphone maman me demandait si j'étais déçue de berlin. j'ai dit que j'avais pas vraiment l'impression d'être déçue, je savais à peu près à quoi m'attendre en partant. le problème c'est que je partais déjà braquée. je lui ai dit de pas venir en août, elle devait venir en voiture avec m. pour m'apporter des trucs mais je préfère rester la plus légère possible et pouvoir repartir en transportant toutes mes affaires dans ma valise. tant pis pour mes tapis. elle m'a dit qu'une chambre se libèrerait peut être dans la coloc au dessus de m. mais est-ce que ça me donne autant envie que la coloc de l'ami de r.? non. j'ai ma réponse. si j'avais jamais rencontré r. est-ce que je serais heureuse à berlin aujourd'hui? mais la maison me manque et ma routine me manque et chanter fort me manque. hier n. chantait fort dans la salle de bain mais moi j'y arrive pas encore. en allant au cimetière j'écoutais modern love par zaho de sagazan en boucle et je me disais qu'il suffirait que je chante cette chanson à une soirée karaoké pour me guérir.
un point très positif que j'ai relevé tout de même: j'ai écrit à l'ami de r. pour la coloc. alors que l'année dernière j'avais pas osé écrire à camille b. les deux annonces m'ont fait pleurer mais au moins cette fois-ci j'ai agi. même si ça va rien donner. berlin a déjà déclenché quelque chose en moi. aussi: j'ai fait des efforts sur bumble. même si je reverrai probablement jamais cette fille, c'est pas grave. tout ce que je veux c'est être entourée de gens qui me stimulent et qui se conforment pas à la norme, qui font leur truc, des gens un peu foufous qui me font rire qui s'intéressent à plein de choses et qui ont un regard un peu décalé sur les choses, qui voient le monde à leur façon et qui ont des choses intéressantes à dire dessus, bon là je suis en train de penser à a. à chaque fois que j'ouvre telegram je vois sa tête choupinette à côté d'un phoque, je sais pas pourquoi ils me l'ont mise dans mes chats alors qu'on s'est jamais écrit sur telegram. à chaque fois j'ai envie de lui écrire mais comme c'est elle qui a rompu le contact j'ose pas. quand j'étais amoureuse d'elle j'arrivais à m'intéresser à absolument personne d'autre non plus. je dois être la personne la moins polyamoureuse de tout l'univers.
18 juillet
pas eu le courage d'aller jusqu'à mon cimetière préféré. celui-là est un peu moins beau et on entend le bruit de la route. j'en peux plus de mes journées à la con, j'arrête les transports en commun, je reste zoner dans les cimetières des alentours maintenant. ce matin quand je me suis levée j'ai eu une impression de vide mélangé à de la lourdeur et j'avais encore envie de pleurer. j'ai fait un peu de ménage dans la cuisine j'ai jeté la poubelle organique dégueulasse et je suis partie en excursion au malchower see pour me changer les idées. j'avais prévu d'écrire et de m'occuper des lettres de motivation aujourd'hui mais j'avais trop peur du vide, alors j'ai essayé de le remplir.
j'ai pris le mauvais tram et j'ai marché pendant une heure pour arriver au lac en passant par des petits chemins verts entre des grands immeubles très moches et quand je suis arrivée au lac c'était très bof, y avait que quelques endroits accessibles au bord de l'eau et ils étaient tous pris, alors j'ai continué et je suis arrivée dans une forêt humide infestée de gros moustiques marrons qui faisaient mal quand ils piquaient quelle horreur mais j'étais quand même un peu contente de me retrouver dans la nature. je suis ressortie sur la route de l'autre côté et j'ai pris le bus. le chauffeur portait une casquette de chauffeur et j'ai pas osé lui demander si j'étais dans le bon bus alors je me suis rongée les sangs pendant quelques kilomètres à l'idée d'atterrir encore plus loin de berlin que ce que j'étais déjà à mesure que je voyais les champs de blés et les éoliennes défiler par la fenêtre. il expliquait chaque manoeuvre qu'il faisait à son apprentie à côté de lui. à un moment on est passés sur une route très arborée et il lui disait qu'il adorait passer là parce qu'il était fasciné par les forêts et qu'il les trouvait un peu magiques. il disait qu'il avait jamais eu ni entendu d'expérience négative de la forêt, à part dans les contes de fée comme le chaperon rouge par exemple.
je regardais les maisons aux tuiles rutilantes dehors et je me disais que je pourrais avoir mille raisons de me trouver dans ce bus. je pourrais avoir un rdv à la clinique où on s'est arrêtés en chemin, je pourrais être ici pour mon oeil, pour voir un chirurgien spécialisé. je pourrais être au pair dans une famille qui vit en dehors de berlin. je pourrais être allemande et vivre dans le coin avec ma mère, comme au luxembourg mais ici. j'avais mon sac de la librairie de sète avec le poulpe rose fluo sur l'épaule. ce matin quand j'ai ouvert tumblr quelqu'un avait liké un post de septembre dernier quand j'étais à la mer et je l'ai relu mais j'aurais pas du. après une éternité dans ce bus j'ai trouvé la s bahn pour rentrer, j'ai vu mon reflet dans un train sur le quai et j'ai dit mmh pas mal. je me suis arrêté dans un nouveau supermarché parce que j'avais rien mangé depuis le matin et j'avais l'impression d'être toute faible et la caissière m'a compté un truc en trop et ça m'a chiffonnée jusqu'à la maison. je crois que c'était deux euros et quelques et je me disais deux euros c'est beaucoup mais deux euros c'est rien, alors c'est beaucoup ou c'est rien et est-ce que ça vaut la peine d'être chiffonnée pour deux euros?
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Et si Cyril était un dieu ?
C'est ce que je me suis posée comme question alors que ça commençait à devenir le chaos à mon ancien travail. J'avais besoin de me vider la tête et d'écrire des histoires un peu stupide. Je regardais même plus trop youtube à ce moment là, mais prendre des gens déjà existants était bien plus simple pour moi que de créer des personnages (d'où le fait que je poste sur ..). J'ai commencé à l'écrire en mai 2022, on est actuellement en novembre 2023, j'aimerais beaucoup la finir avant la fin de l'année :)
L'histoire sera découpé en plusieurs parties (3 ou 4 je pense).
Ce sera pas ma dernière ff, vu que je me suis beaucoup amusée à faire un design de Cyril en Dieu, et j'aimerai bien écrire quelques OS sur son lore !
La fiction est basé dans un univers alternatif, où certains youtubers travaillent dans une entreprise douteuse où de mystérieux événements arrivent aux employés.
Bonne lecture !
À mille cieux de nos pieds, se trouvait un Dieu, qui s'ennuyait fortement. Rempli de malice et d'entrain, ce Dieu aux ailes rousses était un peu spécial et avait un sens du karma assez ludique.
Depuis plusieurs années ce Dieu suivait de près certains de ses humains, oui les humains était une de ses créations et l'une des plus complexe et incompréhensible après l'ornithorynque bien sûr. Il était épaté de ce que cette création - incroyable- était capable de faire pour se complexifier l'existence, des impôts, des taxes, des petits papiers avec leur nom, prénom, photo, et âge. Des boulots sacrément étranges qui ne servent honnêtement à rien, mais qui sont une façade pour des petites arnaques, que leur Dieu trouve pathétique si bien qu'il hésiterait presque à descendre sur Terre pour les aider avec leur arnaque qui va finir en justice d'ici deux mois.
Il avait hésité pendant longtemps, voilà déjà depuis deux années qu'il observe de là haut, ces petits humains imprimer, photocopier, signer et re-copier des dossiers sans intérêt dans le but de cacher des détournements de fonds de boîtes toute aussi frauduleuse que celle-ci. Il y a six mois il y était allé en Dieu -donc invisible pour les humains- et avait été contraint de tuer deux employés qui avaient découvert le poteau rose, et qui allait faire disparaître l'entreprise et faire séparer certaines personnes. Et ça, le Dieu ne voulait pas. Il prenait plaisir à observer un groupe d'humain, il s'y était attaché ! Un dieu de plus de 100 000 ans s'était attaché à des humains, humains qui n'avaient rien de particulier aux premiers abords, mais qui se révéleraient plein de ressources une fois qu'on les connaissait.
Le fameux groupe était composé d'une dizaine de personnes qui travaillaient dans les bureaux administratifs (plus décoratif qu'autre chose), dans les bureaux des différents services proposés et au RH. Des travaux peu intéressants et vraiment chiants d'après notre Dieu. Lui aussi était passé par là durant la création des humains et bon dieu que c'était long et inintéressant, recruter ou plutôt sélectionner les humains les moins cons, dit ''sélection naturelle'', écrire sur une pierre 10 choses à ne pas faire, pour qu'au final lui même ne les respecte pas, et pour finir gérer les broutilles entre humains.. Et pourtant il s'était retrouvé fasciné à observer des humains faire ce travail.
Mais voilà, un matin d'avril, le directeur des Ressources Humaines dû partir à la retraite à 56 ans ! On aurait dit le début d'une blague mais non, le vieux bougre devait partir et un poste était à prendre. Une idée traversa l'esprit du Dieu et un sourire mesquin apparut sur son visage.
Et s'il venait sur Terre en tant que directeur des Ressources Humaines ?
Et c'est ainsi que Cyril - Aka le Dieu- arriva à Angers, très jolie ville de France, pays du fromage, du pain et du vin rouge, tout ce que le Dieu appréciait.
Il se présenta un matin au patron de la boîte, sourire au lèvre et avec un tour de passe-passe (ou plutôt proposa tout ce que le type désirait c'est à dire de l'argent, une belle voiture et faire renaître Coco son perroquet décédé qu'il conservait dans une petite boîte pour qu'on l'enterre avec.) Et voilà que le Dieu finit directeur des ressources humaines d'une société frauduleuse, qui est vouée à disparaître d'ici quelques mois.
Le dieu dû changer son apparence en arrivant sur Terre (parce que les ailes c'est bien mais compliqué à cacher dans les ascenseurs ou assis dans un bureau). Il était important pour lui qu'il garde le peu d'apparence humaine qu'il avait c'est-à-dire ses magnifiques cheveux roux, ainsi que le visage et le corps qu'il utilisait quand il rendait visite aux fantômes malencontreusement bloqués sur Terre.
Et c'est un lundi matin que le Dieu se rendit dans les bureaux de la Fenêtre et il rencontra physiquement pour la première fois le petit groupe d'employés.
Quelques temps avant l'arrivé du Dieu sur Terre…
La Fenêtre c'est une boîte créée il y a quelques années par un escroc qui s'est dit qu'il pourrait créer une entreprise où il y proposerait tout type d'arnaque, des formations CPF, des isolations pour 1€, en passant par la vente de faux panneaux photovoltaïques, des panneaux de publicité inexistants, du dropshipping, aux arnaques plus classiques qui consistent à appeler des vieux et leurs demander leurs coordonnées bancaires.
Une start-up française des plus basiques en soit.
Le directeur actuel de l'entreprise n'était pas le créateur de l'entreprise, mais juste un homme de paille assez naïf pour croire que l'entreprise était une start-up innovante avec plusieurs cordes à son arc pour proposer autant de services.
Pauvre homme, si il ne se retrouvait pas d'ici quelques mois en garde à vue, cela se relèverait d'un miracle.
Quant au créateur de l'entreprise, il vivait à Dubaï où il proposait les services de son entreprise à des influenceurs peu scrupuleux au niveau éthique et moral dans leur travail.
Comment notre Dieu avait-il pu s'intéresser à cette boîte ? Simple : il devait s'occuper du karma de notre escroc et en regardant de plus près sa vie, il vu qu'il y aurait des dommages collatéraux sur des gens qui ne méritaient pas de perdre leur travail. Alors il attendit le bon moment pour « punir » le patron.
Le bon moment n'arrivant pas et même la situation commençait à s'envenimer ; deux employés commençaient à se poser de sérieuses questions sur leur travail, est-ce que demander les numéros de carte bleu de mamie Jacqueline à moitié sourde un mercredi soir alors qu'il y avait question pour un champion en même temps était vraiment acceptable ?
Yvan se posait de plus en plus la question de s'il pouvait démissionner. La réponse était non, Yvan était dans un CDD de 8 mois, il ne pouvait pas quitter son travail aussi facilement et de plus il avait galéré à avoir son appart alors qu'il n'était même pas en CDI. Il essayait d'être positif, et même s' il ne faisait pas le meilleur travail au monde, il était tout de même heureux d'être tombé sur des collègues tels que Thomas, Étienne ou même Maxime.
C'était Maxime qui l'avait recruté. C'était avec Maxime qu'il avait passé son entretien et qu'au final même si Yvan était stressé, ils avaient bien rigolé. Un entretien un peu surréaliste avec deux gars dans la même tranche d'âge et avec le même humour.
« Honnêtement c'est une boîte de merde mais y a une bonne ambiance et le café est bon. »
Yvan repensait à cette phrase que Maxime lui avait dit pendant l'entretien.
Au final le café était plus du jus de chaussettes que du café mais l'ambiance était bonne.
Son responsable, Étienne est un type assez cool mais qui, quand il n'est pas en arrêt maladie, ne fait pas grand chose. Disons qu'il part papoter avec ses collègues à la moindre occasion et qu'appeler des vieux n'était pas dans ses priorités.
Et puis il y avait Thomas, le type qui bossait en face de lui, gentil et drôle mais qui jouait le rôle du mec un peu stupide qui était tout le temps en mode second degrés pour faire rire ses collègues.
Un matin Thomas ne réussit pas à faire rire Yvan.
La veille Yvan avait entendu, ou plutôt écouter à la porte du créateur de l'entreprise qui passait en France pour des frais médicaux, une discussion téléphonique qui indiquait qu'une victime d'arnaque s'était suicidée et que la famille était tombée sur le numéro de l'entreprise.
Yvan était vraiment mal. Était-ce de sa faute ? Est-ce que c'était la première victime à en arriver là? Trop de questions et d'émotions négatives l'envahissaient.
Yvan était en train d'oublier son casse-croûte dans le micro-onde quand Maxime le tira de ses pensées.
« - Yvan ? T'es redescendu sur Terre ou toujours dans les étoiles ?
- Oui, excuse moi, j'étais dans la lune !
- Tu es sûr que ça va? Y a Thomas qui s'inquiète pour toi.. si tu veux m'en parler je suis dans mon bureau !
- Mmh.. peut-être plus tard.. » répondit-il, hésitant, avec ses yeux de chien battu.
Yvan partit s'installer sur une des tables de la salle de pause, et fût rapidement rejoint par son acolyte Thomas.
« - Thomas tu t'es jamais dit que ton taff c'était nul? Et que c'était malhonnête ce que l'on faisait ?
- Tous les jours. Répondit-il avec la plus grande franchise et le plus sérieusement possible.
- Et tu t'es jamais dit que tu pourrais faire quelque chose de mieux ailleurs ?
Thomas mis un peu de temps pour répondre à cette question, il se doutait bien des tourments de son collègues, cela faisait deux ans qu'il était dans la boîte et ses collègues avant Yvan ne restaient pas plus de deux semaines. Yvan étant l'exception, il était là depuis trois mois.
- Au début oui, j'ai voulu partir. Mais au bout de deux semaines j'ai arrêté d'appeler les gens, une sorte de rébellion. J'étais en CDD et je n'avais pas d'autre choix que de me faire virer pour partir. Finalement, personne n'a jamais vérifié mon travail. Et ça fait deux ans que je suis ici, à imprimer des coloriages pour m'occuper.
Yvan était déconcerté. Trois mois qu'il s'embêtait et se torturait la conscience à appeler de pauvres gens et voilà que son collègue lui avouait qu'il passait son temps à faire des coloriages.
- Donc je peux rien faire et personne ne me dira rien?
- C'est ça. Enfin je te conseille plus de faire semblant de travailler que de regarder le plafond, mais dans l'idée c'est ça.
- Cool. Enfin pas cool pour le patron mais cool pour nous.
- Et du coup tu vas me dire ce qu'il ne va pas ? Ou tu vas arrêter de venir comme tes prédécesseurs ?
Yvan regarda son collègue dans les yeux et vu que Thomas ne lâcherai pas l'affaire, il souffla et raconta ce qu'il avait entendu la veille.
Les jours passèrent et nos deux amis commencèrent à enquêter sur leur propre entreprise, en posant des questions discrètes à leurs collègues sur leur travail dans les autres bureaux.
Ils découvrirent beaucoup de choses, dont l'arnaque aux panneaux photovoltaïques, que quand ils avaient discuté avec leurs collègues, Damien et Thomas (n°2) ils avaient beaucoup de mal à expliquer aux clients ce qu'était un panneau photovoltaïque vu qu'eux mêmes n'avaient jamais vu un panneau photovoltaïque. Leur journée se résumait à appelaient deux - trois personnes puis ils passaient leur journée à jouer à cs:go.
Yvan pensait souvent à la pauvre personne qui avait mis fin à ses jours probablement parce qu'elle s'était retrouvée endettée à cause d'un de ses collègues ou pire à cause de lui.
La soif de découverte pendant cette enquête lui faisait oublier quelques instants cette bien triste nouvelle. A chaque pause déjeuner ils allaient discuter avec leurs collègues, sauf les responsables parce qu'ils n'arrivaient pas à savoir de quel côté ils étaient. Probablement qu'ils étaient coincés entre les deux, pour l'instant ils ne préféraient pas s'en approcher. Même si Étienne avait l'air plus de leur côté que les autres, ils se sentaient mal de ne pas pouvoir lui en parler, mais ils voulaient d'abord en apprendre davantage sur les arnaques de la boîte avant de lui en parler.
Étienne n'était pas bête et se rendit bien compte que les deux loustics avaient des comportements suspects à son égard. Au début, il pensait qu'ils étaient homosexuels, en couple et il se disait que c'était probablement pour ça qu'ils étaient un peu mal à l'aise avec Lui.
Pour en avoir le cœur net, il partit demander à Maxime.
Maxime éclata de rire.
« - Je ne sais pas où es-tu allé chercher ça mais c'est très drôle !
- Je suis sûr que c'est pas si improbable ! Et puis ils sont supers suspects depuis quelques semaines ! Il faut bien que je trouve des théories..
- Suce pet?
- Cette blague est interdite depuis 2015.
- Roh ça vaaa ! T'es vexé parce que je me suis foutu de toi c'est ça ? Et puis comment ça suspect ?
- Ils ont un comportement étrange vis à vis de moi mais ils passent tout leur temps de pause à aller discuter avec tous les collègues de tous les services..
- Aaah ! C'est pour ça que tu te turlupines ? C'est rien, ils se posent des questions sur la boîte, Yvan est curieux mais un peu méfiant !
- Il se méfie de moi ?!
- T'es leur responsable, ils ne savent pas de quel côté tu es, enfin si il y a des côtés.
- D'acc' je vois, merci Max'. »
Étienne se sentit un peu bête d'avoir pu imaginer ses deux collègues ensembles. Il se sentit aussi inquiet pour ses deux collègues. Ils ne savaient vraiment pas dans quoi ils avaient mis les pieds.
Il allait devoir les surveiller, Étienne baby-sitter de Thomas et Yvan, ça n'allait pas être de tout repos mais au moins ça allait occuper ses journées.
Maxime était employé aux ressources humaines depuis presque trois années, il avait vu passer beaucoup de personnes plus ou moins compétentes qui venait postuler pour des postes où la seule qualification demandée était de savoir parler (et lire un texte).
À chaque entretien Maxime était honnête avec les gens qui se présentaient à l'entretien. Déjà que l'entreprise avait du mal à recruter, si en plus les entretiens étaient stressants, alors personne n'accepterait le job.
Maxime a presque recruté tous ses collègues, sauf quelques exceptions et bientôt notre cher Cyril.
Maxime savait tout ce qu'il pouvait se savoir sur l'entreprise, les magouilles, les arnaques, les potins et ragots entre collègues.
Les enquêteurs continuaient à interroger leurs collègues sur les services de la boîte, commençant même à dépasser sur les heures de travail. Étienne s'amusait à les surveiller, à prendre l'ascenseur avec les deux, leur demander ce qu'ils faisaient à l'étage des services de publicité, voir les regards suspects et embarrassés des deux détectives étaient particulièrement amusants à voir et à vivre, surtout quand Maxime se ramenait dans la partie.
« - Alors les amoureux, on fait une escapade dans le service pub'? Vous voulez devenir influenceur les gars?
- Et oui exactement, tu as percé notre secret Maxou ! »
Yvan roula des yeux face au surnom que Thomas avait donné à Maxime.
Finalement, Étienne n'avait pas eu tout à fait tort. Peut-être qu'il y avait vraiment quelque chose entre Thomas et Yvan.
Yvan et Thomas venaient de rendre visite à Jordan et Théo, du service publicité qui consistait à mettre en avant des boutiques de drop-shipping par des influenceurs.
Le service publicité avait ce nom là pour flouter les réelles activités, ce qui marchait plutôt bien parce qu'à part les RH et les gens qui bossaient dans le service concerné, personne n'était au courant.
Yvan prenait de plus en plus de risques, il commençait à fouiller dans les bureaux des différents étages, à la recherche de documents qui pourraient faire couler la boîte. Yvan avait été profondément touché par la victime qui était décédée, plus il en apprenait, plus il avait envie d'envoyer le type qui avait créé cette boîte en prison.
Il aurait dû être détective privé, ou travailler à l'inspection du travail !
Mais oui ! L'inspection du travail pourrait les aider dans leur enquête, il attendit la fin de la journée mais le temps était long quand on ne faisait pas de coloriage, alors il se décida à envoyer un mail à l'inspection du travail. Le scanner avait enfin une vraie utilité pour envoyer toutes les preuves d'escroquerie de la boîte. Yvan avait envoyé plusieurs mails conséquents pour l'entreprise, leurs semaines d'enquêtes allaient enfin mener à quelque chose de concret, enfin c'est ce qu'il espérait.
Il était 17h30 et c'était la fin de journée pour Yvan et Thomas.
« - Thomas j'ai quelque chose à te dire ! »
Thomas un peu perturbé par cette phrase finit par rentrer dans l'ascenseur accompagné par Yvan.
Yvan était surexcité, il parlait très vite, mais Thomas comprit que l'inspection du travail avait bien reçu le mail et qu'un inspecteur s'intéresserait et irait probablement enquêter.
Yvan était heureux, Thomas aussi et puis les lumières de l'ascenseur s'éteignirent, se rallumant laissant un ascenseur vide.
..
Le lendemain, Étienne arriva avec trente minutes de retard, non pas parce qu'il y avait des bouchons mais parce qu'il était parti acheter des croissants et des pains au chocolat, pour les collègues.
Il fut plus que surpris quand il arriva dans le bureau et qu'il vit qu'il était seul dans la pièce. Thomas était peut-être en retard, mais Yvan était assez ponctuel. Étienne était inquiet, et s' ils leurs étaient arrivés quelque chose de grave, de très grave ? Étienne avait un mauvais pressentiment. Il vérifia s'il avait reçu de récents sms ou appels des deux zigouigouis mais sa messagerie était vide, et il n'avait eu aucun autre texto depuis hier matin. Il essaya de les appeler mais pas de réponse, il leur laissa des messages et des textos, en espérant avoir une réponse assez rapide.
Étienne posa les croissants dans la salle de pause et se dirigea vers le bureau de Maxime.
« - Max? T'es là ? »
Max sortit de la tête de ses mails.
- Ouais ça va? T'en fais une de ses têtes dis donc !
- T'as des nouvelles de Yvan et Thomas? Ils ne sont pas là, j'ai essayé de les appeler, mais je n'ai pas eu de réponse..
- Non, désolé pas de nouvelles depuis que je les ai vu partir à 17h30. »
Est ce qu'ils avaient fait un abandon de poste? C'est ce que Etienne pensa, mais ça ne collait absolument avec l'enquête qu'ils menaient, ils étaient si proche du but, ils ne pouvaient pas disparaître comme ça… Si?
« -Comment ça disparu ? »
Maxime haussa un sourcil après avoir écouté le récit d'Etienne.
Yvan et Thomas n'avaient plus donné de signe de vie depuis plus de 12h, ce qui était quand même courant au vu de tous les abandons de poste qu'il y avait eu dans cette entreprise, les gens qui ne donnaient plus de nouvelles du jour au lendemain ; ils y étaient habitués.
Maxime trouvait ces absences bizarres, pourquoi abandonner maintenant?
Alors lui aussi, essaya de les contacter. En vain.
Finalement c'est Thomas qui répondit, - la tête dans le cul, pour parler poliment.- à Maxime qui lui demanda si ça allait.
« - Heu.. alors là tout de suite je pense pas pouvoir venir parce que-
Il fût vite couper par Maxime qui prit sa voix de type chiant qui lui cria limite dans les oreilles, accentuant la forte migraine de Thomas.
- ALORS ON BOIT COMME UN TROU ?
-..Max, mes oreilles…
- AH OUI PARDON, j'imagine que tu n'iras pas voir de médecin ?
- ah bah ça.. tu crois il peut me mettre en arrêt maladie parce que j'ai mal à la tête?
- Essaye toujours, et si non, t'as des nouvelles d'Yvan ? Il n'est pas là aujourd'hui non plus.
- A vrai dire… Je n'ai plus aucun souvenir depuis que je suis rentré dans l'ascenseur.
- Ah ouais sale black out, bah écoute bois de l'eau et prends de l'aspirine ! »
Etrange, vraiment étrange cette histoire.
Avant de signaler, l'absence de Thomas et la disparition d'Yvan, Etienne s'occupa de l'ordinateur d'Yvan, celui-ci devaient contenir beaucoup de choses compromettantes pour l'entreprise mais qui mettrait aussi en mauvaise posture Yvan.
Il alluma le pc, après avoir tapé le mot de passe, qui est la date de naissance de l'employé à qui appartient la cession, il cliqua sur la boite mail, un nouveau mail était apparu ce matin, un certain inspecteur du nom de Monsieur Donzé, avait contacté Yvan pour lui indiquer la date où il viendrait.
5 Jours, soit mardi prochain.
Etienne ne savait pas quoi faire, devait-il répondre au mail en se faisant passer pour Yvan ou il devait être est expliquer la situation ? La situation est : L'employé qui vous a contacté a mystérieusement disparu et la dernière personne à l'avoir vu ne se souvient de rien.
Concentré devant l'écran d'Yvan, Etienne se tenait les mains en croix, il réfléchit bien dix minutes avant de répondre à l'inspecteur.
Il choisit l'honnêteté, quitte à perdre son poste où à avoir des soucis. Il était temps pour lui de quitter ce « travail » malhonnête et de se libérer la conscience.
« Bonjour Monsieur Donzé,
Je n » Expliquer la situation était assez compliqué parce qu'il n'avait aucune idée d'où était Yvan, et toutes les phrases qu'il avait tourné et re-tourné dans sa tête, ne mettait clairement pas le destinataire du mail en confiance.
Il devait en savoir un peu plus, lui aussi devait mener son enquête.
Etienne prit un carnet et alla questionner ses collègues qui était d'astreinte ? Quand avez vous vu Yvan pour la dernière fois ? Est ce qu'il vous avait parlé de quelque chose de particulier ? Avez vous eu de ses nouvelles ce matin ?
Hier c'était Jordan qui était d'astreinte. Il était parti à 17h46 mais il avait oublié ses clés, il s'en était rendu compte arrivé devant sa voiture, en faisant demi tour il avait eu une impression d'être observé, que quelque chose le suivait, mais il oublia vite cette sensation quand après avoir fait quelques mètres dans les locaux, l'alarme retentit. Oui, il avait oublié de désactiver l'alarme.
Finalement il quitta les lieux vers 18h. Pas d'Yvan dans les parages.
Thomas n°2 apporta que la dernière fois qu'il vu Yvan s'était quand ils se sont engouffrés, lui et Thomas (l'autre), dans l'ascenseur. Quand l'ascenseur ouvrit ses portes au rez-de-chaussé c'est Damien qui vu Thomas qui sortit seul de l'ascenseur. Avec un comportement étrange, yeux dans le vide, paroles incohérentes et démarche aléatoire un peu comme un pnj.
L'ascenseur. Est-ce qu'Yvan était magicien ?
Etienne avait écrit cette phrase sur son carnet sans réelle conviction. Déjà parce qu'Yvan avait jamais parlé de magie et que truquer un ascenseur dans une entreprise ça n'a aucun sens. Il entra dans l'ascenseur pour voir si il y avait une trappe ou quelque chose qui sortirait de l'ordinaire, mais partout où ses yeux se posèrent, il ne vit qu'un banal ascenseur.
Arrachant la page où se trouvait cette phrase, réduisant en boulette cette théorie ridicule, il l'envoya droit au but : dans la poubelle.
Et puis quoi encore ? Il aurait était kidnappé par des aliens ? Et Thomas aurait eu un lavage de cerveau suite à ce qu'il aurait vu ?
De pire en pire ses théories.
Le meilleur moyen de savoir ce qu'il s'est réellement passé c'est d'aller voir la dernière personne qui a vu Yvan, soit Thomas.
Attendant patiemment 17h30, Etienne commença à farfouiller dans le pc d'Yvan, voir toutes les preuves qu'il a trouvé, les preuves envoyé à l'inspecteur, ses recherches sur l'entreprise, les schémas dignes d'une théorie du complot, les témoignages de certains des collègues… Le contenu de ce pc était précieux, si quelqu'un d'autre que les personnes qui étaient de « leur côtés » tombaient sur ça, c'était dangereux. Il prit la décision de tout mettre sur sa clé personnelle. Et de supprimer l'intégralité des preuves. Il glissa les dossiers compromettant dans la poubelle et éteignit l'ordinateur.
Une autre théorie lui traversa l'esprit, et si Thomas était un tueur en série ? Décidément il devait vraiment arrêter de regarder « Faite entrer l'accusé » le soir, son cerveau très imaginatif se faisait des films très rapidement.
C'est vrai que ça pourrait expliquer le comportement étrange de Thomas à la sortie de l'ascenseur, mais pas de comment il aurait pu faire disparaître le corps de ce pauvre Yvan.
Et pourquoi Thomas avait-il mal à la tête ? Max' a pensé directement à une gueule de bois. C'est vrai qu'il y a des meurtriers qui après ce mettent des cuites. Mais Thomas n'a pas mentionné d'alcool, il a juste parlé d'un mal de tête.
- Interlude de l'Autre Côté -
Celui qui avait bien mal à la tête c'était Yvan.
Il s'était réveillé chez lui dans son lit, jusque là tout est normal, mis à part l'horrible mal de crâne, tout était normal, il se leva, puis se dirigea vers la salle de bain.
Arrivé devant le miroir, il n'y avait pas son reflet.
Les souvenirs de la veille lui reviennent la discussion avec Thomas, l'excitation d'enfin piéger la boîte, puis les lumières qui s'éteignent, quelque chose qui le tire vers le haut, une sensation de quitter son corps et le vide.
Le Néant exactement. Il fait noir, sombre, il y a de l'écho, le temps semble éternel. Est ce que c'est ça la mort ? Finir seul dans le noir éternellement ?
Il cria, pleura et se déplaçant à l'aveugle dans cette immensité, le temps passait très vite, il avait l'impression que cela faisait dix années qu'il était bloqué ici.
Soudain il sentit une chaleur, quelque chose approchait. La chose en question dévoila deux iris verts , puis deux immenses ailes et enfin un humain ou plutôt une créature à l'apparence humaine.
« Un ange ! » s'écria Yvan, reculant, choqué de la créature céleste qui se trouvait devant ses yeux.
La créature s'approcha d'Yvan, l'entourant de ses ailes, l'emprisonnant et l'interdisant de s'échapper dans cet obscur monde.
Entouré de chaleur et de plumes aux nuances orangées, la créature le fixait intensément dans les yeux. Yvan avait l'impression que l'« ange » qui se trouvait face à lui pouvait lire au plus profond de lui, décryptant son âme.
L'homme céleste prit enfin la parole
« Je ne suis pas un ange, très loin de là même. » répondit la créature avec un visage fermé.
« Qui êtes-vous ? Où suis-je ? » Une dernière question démangeait Yvan, il n'eut pas le temps de la poser que la Chose y répondit.
« Tu es mort, enfin sur le plan terrestre. T'es un fantôme quoi. » lui dit-il avec un sourire sur les lèvres.
« Mais comment est ce possible ? J'étais dans l'ascenseur avec Thomas ? Si je suis mort Thomas aussi ?! » pensa-t-il, trop tétanisé pour ouvrir la bouche.
Yvan commençait à blanchir, complètement angoissé à l'idée d'être mort, et en plus dans l'incapacité de faire un malaise, vu qu'il n'avait plus de corps, forcément c'est compliqué…
La créature prit le bras d'Yvan dans ses mains et un flot d'énergie parcouru dans son corps comme une décharge électrique.
Le monde obscur où ils se trouvaient commença à s'illuminer avec des milliers de couleurs, la chaleur qui s'était installée depuis quelques temps commençait à brûler Yvan, il avait l'impression de se désintégrer, sa vision commençait à s'aveugler, les couleurs bien trop lumineuses devenaient blanches. Il ferma les yeux un instant, quand il ouvrit les yeux, il était dans une pièce entièrement blanche, pratiquement vide, seul une clé dorée trônait sur une table, elle aussi d'un blanc immaculée.
Yvan s'approcha de la table, méfiant, après avoir eu une sensation d'être brûlé vif, ce qui n'est guerre agréable. Il commença à approcher sa main de la clé et commença à entendre des voix.
Des voix qui lui étaient familières, des voix qui quand il était encore en vie, ils les entendaient tout les jours.
La créature réapparu en une fraction de seconde, dévoilant un peu plus à quoi il ressemblait exactement. Pour Yvan c'était un homme blanc, avec des cheveux de feu, avec un style vestimentaire bloqué à l'époque romaine, c'est-à-dire une tunique bleu-verte avec un corset piqué à une dame du XIXe siècle. Des parures de bijoux de perles recouvraient son torse ainsi que des chaînes dorées sur ses épaules. Un goût vestimentaire douteux, mais est ce qu'Yvan était autorisé de le juger alors que lui même avait une passion pour les pantalons pattes d'éléphant et qu'il aurait secrètement aimé naître dans les années 70 ?
« J'ai un peu de peine pour ce qu'il t'est arrivé… Tu étais si près du but, accomplir quelque chose de bien dans ta vie de petit être de chair. »
Perplexe sur l'honnêteté de la divinité, Yvan répondit d'un petit merci.
« Quand tu tiendras cette clé, tu pourras être écouté, ainsi que faire bouger des objets. N'en abuses pas, celle-ci n'est pas éternelle. Fais les bons choix. »
Yvan mit le collier de la clé autour de son cou, puis la créature, du bout de ses deux doigts placés sur le front d'Yvan, le téléporta chez lui, dans son lit.
La magie céleste ne lui réussissant pas, Yvan sombra dans les bras de Morphée dans son lit.
- Fin de l'interlude -
Accoudé sur son lavabo, face au miroir, Yvan regarde dans le vide, littéralement dans le vide vu qu'il n'y a personne dans le miroir, ou plus exactement ses toilettes et sa cuvette en résine époxy où il y est intégré des coquillages et des dauphins.
Yvan souffla, est ce que c'était réel tout ce qu'il avait vécu ? Est ce que cette créature était réelle ou avait-il imaginé toute cette histoire ? Il avait beaucoup d'imagination depuis tout petit, il s'imaginait des histoires avec des anges, des chevaliers, des petits poneys recouverts de fleurs… Pour lui les anges étaient des créatures douces et rassurantes, tout l'inverse de ce que la créature lui avait fait ressentir. Bien heureusement celle-ci avait démentie être un ange, enfin il ne savait toujours pas ce qu'était cette chose mais si cette chose était un Dieu, il comprenait pourquoi beaucoup de chose sur Terre ne tournait pas rond.
Sérieusement, il lui avait donné une clé. Une clé magique, mais une clé. Si il était vraiment peiné par sa mort il aurait pu faire un peu plus, non ? Par exemple, juste un petit exemple lui rendre son corps, un petit geste de rien du tout se dit Yvan.
Qu'est-ce que ça coûterait à un Dieu de lui redonner une intégrité physique, alors qu'il a probablement décidé de pleins de truc super important comme peut-être la création de l'univers, et qui a quand même prit la peine de donner et de voir un humain alors qu'il était sans doute super occupé !
Yvan souffla une nouvelle fois.
Glissant ses doigts sur la clé autour de son cou, il choisi de déverrouiller son téléphone, découvrit les 15 appels en absences, les nombreux textos d'Etienne et de Max', mais par contre, aucun de la part de Thomas.
Ses craintes sur le fait qu'il soit mort empiraient.
Alors pour vérifier ses craintes, au lieu de l'appeler parce que pour l'instant expliquer qu'il est mort et qu'il peut communiquer grâce à une clé magique donné par un type à plumes n'est pas la meilleure option pour rassurer ses collègues.
Alors naturellement, il se rendit chez Thomas, enfin dans son quartier vu qu'il ne connaissait pas l'adresse précieuse.
Sur le chemin, il croisa d'autres « fantômes » errant dans les rues, certains ne semblaient pas se rendre compte qu'ils étaient des fantômes. Une vieille femme râlait parce que les nouveaux locataires de l'appartement où elle logeait avaient décidé de repeindre sa chambre couleur « jaune pisse » ce qui lui déplaisait fortement donc elle criait sur les nouveaux habitants. Bien-sûr ceux-là n'entendaient absolument rien.
Continuant sa route, il suivit un peu son intuition mais surtout il se fit aux indications que Thomas lui avait laissé, inconsciemment quand il lui racontait les potins et commérages de la résidence où il vivait.
Un arbre mort, avec un canapé qui pu la mort, adossé contre l'arbre. Trouvé. Le couple infidèle que Thomas a vu des frasques de leur ébats dans la fenêtre des toilettes. Vu, il aurait préféré ne pas voir pour le coup.
Bon il avait au moins trouvé l'immeuble, l'avantage d'être un fantôme c'est de pouvoir passer à travers les murs. 1er Etage, il commença par le 14, un jeune homme qui visiblement était parti travailler et avait oublier de faire sa vaisselle, le 16 une férue de plantes où son appartement était une véritable jungle, le 18, des volets fermés, à première vu, personne dans l'appartement. Mais dans le noir, on ne distingue pas grand-chose, alors Yvan choisit de tenir sa clé, et d'allumer une lumière. Mauvaise idée.
Il choisit d'allumer la lumière de la chambre. Tenant la clé dans sa main, il ne fût pas assez rapide et Thomas l'a vu.
La lumière toujours allumée, Yvan maintenant invisible, n'osant pas bouger ni quoi faire, reste planter dans l'encadrement de la porte. Est-ce que la clé le rendait visible ? La créature n'aurait quand même pas oublier de lui indiquer cette partie très importante de la clé ?!
C'est finalement Thomas qui prit la parole d'une petite voix
« Eu, Yvan ? » Thomas perplexe sur la situation qui venait de se produire se demanda si il n'était pas entrain d'halluciner ou d'avoir rêvé.
« Je deviens fou c'est pas possible… Il faut vraiment que je prenne rendez-vous. »
Thomas avait l'impression de devenir fou, entre la disparition d'Yvan dans l'ascenseur, la lumière qui s'allume avec Yvan qui apparaît en face de lui, c'est bon il était au bord de la folie.
De son côté Yvan, réfléchissait si c'était une mauvaise idée de prendre possession du téléphone de Thomas et de lui expliquer la situation, peut-être allait sombrer dans la folie si il découvrait qu'Yvan était réellement un fantôme.
Alors il partit, avec un pincement au coeur de ne pas pouvoir se confier à son Dr. Watson, son compagnon d'enquête. Il se rendit à la Fenêtre, voir ses autres collègues, Etienne et Maxime, ceux qui lui avait laissé beaucoup de messages.
Arrivé là-bas, il préféra prendre les escaliers, l'ascenseur lui rappelant trop son traumatisme de la veille.
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(Previously, on the HPI rewatch...)
Cet épisode m'a détruite la première fois que je l'ai vu et toutes les suivantes. Accessoirement c'est aussi un des épisodes qui m'a causé le plus de fous rires. Allez comprendre, et surtout priez pour moi 😭
Céline qui dort en T-shirt Che Guevara ça restera à jamais l’un des plus grandes énigmes de ce show. I have SO MANY questions.
Deux mois.
........................
Attendez, je la refais pour que tout le monde se représente bien ce que ça fait. DEUX MOIS. Morgane a cessé de venir pendant deux mois, sans que Adam (ni personne en fait ?) ne prenne de ses nouvelles ? 😱 Je veux bien que Céline leur ait fait des updates réguliers, mais genre, personne ne lui a envoyé un petit texto, on n’a pris la peine de venir la voir en sortant du boulot ? Personne s’est dit “tiens, on devrait lui organiser une soirée tous ensemble, ça lui changerait les idées”, non ? Personne 😭 Aled
On notera que Morgane bade sur le canapé de Céline, mais avec des faux-cils. Tout espoir n'est donc pas perdu 🤗
"Bonjour Morgane, content de vous voir." Mec, c'est CA que tu trouves à lui dire ??? Encore une fois, ça fait DEUX MOIS qu'elle est pas venue au boulot, et c'est tout ? Mais au secours... 😩
Deux mois putain...
Par contre Céline est juste trop mignonne a essayer de remotiver Morgane, je l'aime 🥰
"Elle aurait préféré mourir plutôt que renoncer à son intégrité" "Oui bah du coup c'est un peu ce qui s'est passé" 😅 Cet enchaînement me fait toujours autant mourir de rire
Sandra Weber my beloved!!!!! 🥰
La façon dont Morgane revendique un droit de regard sur la vie sexuelle d'Adam me fume complètement, elle est déjà teeeeeellement possessive c'est dingue 🥹 Parce que "Vous comptiez me le dire quand, que vous vous tapiez Miss IGPN ?", Morgane ma chérie, en vrai il était même pas obligé de t'en parler, hein, ça le regarde, SAUF ! QUE ! Adam lui-même ne remet pas cette affirmation en question et confirme implicitement qu'il doit des explications à Morgane, Mr. "La vie perso ça reste perso" de l'épisode d'avant est tout penaud "bah, heu, oui, je comptais vous en parler à votre retour..." mais putain il s'écrase c'est comme s'il se sentait coupable, ça me détruit 😱
Parce que oui il se sent coupable au fond
Coupable d'avoir renoncé à Morgane
.....................Je crois que je fais un AVC
Et puis oh bordel "A quel moment elle vous a séduit exactement ? Quand elle a essayé de vous virer, ou quand elle a demandé ma tête ?", la violence du truc, là on rentre dans le dur, mais que j’aime cette franchise de Morgane, PLUS de quatre vérités comme ça pour la saison 3 siouplait 🤩
Et puis pardon de revenir là-dessus, mais je rappelle à tout hasard que Morgane a appris pour Roxane il y a DEUX MOIS. Oui parce que nous on voit ça entre la fin d'un épisode et le début d'un autre, mais la meuf ça fait DEUX MOIS qu'elle rumine que Adam sort avec Roxane quand elle lui demande des comptes. Girl, your obsession is showing! 🫠
Pardon, mais si la mère de la victime et la juge recevaient des menaces depuis des semaines, c'était pas un truc à mentionner pendant le procès ? Fin je sais pas, hein, mais là comme ça, je me dis que ça aurait pu jouer dans le verdict, non ? Qui reçoit des menaces pendant un procès sans le dire à personne ? C'est complètement con.
"Moi en maternelle je faisais beaucoup d'asthme" Gilles je t'aime, ne change rien 😂❤️
Morgane vs. le philodendron c'est un des grands moments de cette saison. Je pourrais disserter pendant des heures de la symbolique de cette plante à la place de Morgane, de savoir si c'était une manœuvre volontaire de la part de Roxane ou pas, du philodendron comme victime expiatoire de la jalousie de Morgane, de... Nan mais je vais pas le faire, sinon on y est encore la semaine prochaine 🥺
Vous remarquerez qu’entre le philodendron et le ficus, on a quand-même une obsession botanique dans cette série 🪴
C'est marrant parce que TOUT dans le personnage de Roxane crie not girly, et pourtant la meuf a redécoré le bureau avec des petits cœurs roses quand-même... #characterizationwho?
Je suis désolée mais je dois souligner une nouvelle fois l'absurdité du shipname Karaxane, genre même sa meuf l'appelle par son nom de famille ? Alors que Roxadam était RIGHT HERE ??? 🤦
Vous réalisez que c'est littéralement la première fois que quelqu'un se rappelle que Karadec a un prénom (au bout de 13 épisodes il était temps). Et que c'est dit par Roxane ? tuez-moi
LA. JALOUSIE. DE. MORGANE. DANS. CET. ÉPISODE. 🙊🙊🙊 Elle est tellement jalouse et elle s'en rend même pas compte, oh bordel
Au passage c'est aussi l'épisode où Morgane est alcoolique 🙃
Le fait que Morgane a utilisé un des post-it en forme de petit cœur rose de Roxane pour dessiner une teub dessus et le mettre sur la photo du mec à poil, ça restera à jamais l'un de ses plus grands petty moves 🤣
Et puis rien que pour la scène où Morgane crie "LE SEXE !" aux oreilles de Karadec, ça valait le coup
Si quelqu'un sait ce que Adam articule silencieusement à Morgane au moment où il quitte le bureau avec Roxane, venez me le dire, je vous en supplie. Ça fait un an que j'essaye de savoir 😱
"Prends ça dans ta gueule, toi" aka mon fou rire numéro 1 de l'épisode 🤣
Eliott qui passe tout l'épisode à lire un bouquin de criminologie tout en conspuant sa mère, mhhh, something something Freud reviens 🤔😅
N’empêche, c'est trop mignon que même bourrée, Morgane respecte à la lettre les consignes de Karadec sur le fait de pas parler de l'enquête à Sandra 🥹💕
"Morgane, c'est Karadec" putain mais le mec lui-même a oublié qu'il avait un prénom, en fait....
"Le mec écrivait ses messages de la main gauche parce que sa main droite était occupée à autre chose..." aka mon deuxième fou rire 😅
Alors là je voudrais quand-même qu'on m'explique, parce que chez la juge on a des cartons de pizza et des cornets de frites sur la table, et on nous dit qu'en plus Morgane a cuit un kilo de coquillettes ? Je veux bien que ça mange, les enfants, mais là ça fait un peu beaucoup, non ?
Le gros plan sur le visage d'Adam et son petit sourire amer genre j’aurais dû m’en douter quand il comprend que c'est Morgane qui a squatté chez la juge... 🥹
TOUTES LES RÉACTIONS DE GILLES CHEZ LA JUGE
Les couches
Les coquillettes
LA PAT PATROUILLE 🤣🤣🤣🤣🤣
Que quelqu’un donne une récompense à Bruno Sanches, n’importe laquelle, parce qu’il est juste extraordinaire 😍
Cette scène c'est mon plus gros fou rire de TOUTE la série, la première fois que je l'ai vue j'ai littéralement hurlé de rire pendant dix minutes sans pouvoir m'arrêter
"J'ai pas fini de vous engueuler !" c'est un peu l'histoire de sa vie, à Karadec, ça... 😏
"Une touche de violence policière rendrait encore cette histoire plus croustillante" je laisse ceux qui savent™ appr��cier...
L'article de Sandra, si ça vous intéresse (si, si, en zoomant un peu on arrive à lire) :
Karadec qui se marre quand Morgane se fait défoncer par l'équipe au sujet de l'article, c'est drôle, et en même temps, en sachant que la prochaine fois qu'il la revoit c'est en train de chialer à 4 grammes, ça me fend un peu le cœur... 😰
Et là on arrive à LA scène qui mérite un Emmy à elle tout seule
.................................
😱😰💔
Parce que phewww, déjà qu'elle est tragique en soi, mais en plus en SACHANT que Romain est un connard ? Et que Morgane ? Picole toute seule devant sa tombe ? Gnnnnnnnn, laissez-moi sortir...
J'ai tellement à dire sur cette scène, je pourrais disserter sur chaque réplique, mais vraiment juste wow, on peut dire ce qu’on veut sur HPI mais l’écriture de cette scène = perfection
"TU PENSES QUE T'AURAIS FINI PAR TE BARRER TOI AUSSI ?" .................................Appelez le SAMU
Le jeu d'Audrey putain, le jeu d'Audrey me met les larmes aux yeux à chaque fois, la justesse !! La retenue !! La façon dont l'émotion monte subtilement sans en faire des caisses, je -- les personnes qui ont écrit, joué, et dirigé cette scène savent ce que c'est que le deuil, c'est tout ce que j'ai à dire
Évidemment que NON c'est pas tout ce que j'ai à dire !! Vous y avez cru ?
"Avec toi c'était simple" vs. "Avec Kristin, c'est simple", uuuuuuuuuuuuuuuuh, laissez-moi CREVER 😭😭😭
"Mais là j'y arrive plus" 😰
.......................................................
Elle est TELLEMENT en dépression ça me tabasse... que quelqu'un donne de l'amour à Morgane, là, c'est urgent ! 💔
On est d'accord que vu ce qu'elle picolait trois scènes plus tôt, c'est pas avec une bouteille de crémant qu'elle va tomber dans les pommes, hein ? Hein. Voilà, je voulais juste établir ce point.
Bon alors question importante : qu'est-ce qu'elle fout dans son lit ? Non parce qu'on sait grâce à l'épisode d'après qu'il y a un canapé chez Karadec (et même si Sofiane s'est fait aspirer dans un trou du scénario, en théorie il a aussi une chambre). Vous le voyez, vous, le Karadec de deux heures du matin, déjà bien saoulé d'être allé chercher Morgane et d’avoir dû nettoyer son vomi, lui prêter son lit en plus ? Non, hein, faudrait pas déconner. Donc, je repose la question, qu'est qu'elle fout dans son lit ? 👀
(et à quel moment elle a changé de boucles d'oreilles aussi)
Morgane : *tombe sur Karadec à poil* Morgane : *darde sa langue* (si si, je vous assure, c'est dans le dernier plan de l'épisode. Je dois aller me javelliser les yeux, j’en a trop vu je crois, tu m’étonnes qu’elle fasse une fixette sur les brosses à dents, après, ce show fait clairement une fixation orale)
(encore une fois Freud reviens)
Nan mais vraiment un jour j’écrirai un analyse sur tous les trucs que Morgane fait avec sa langue dans la série et ça sera pas du tout PG13, je vous préviens
Bon allez je vous laisse je dois aller me préparer psychologiquement pour revoir une certaine scène de brossage de langue, justement...
😘
#hpi#tf1 hpi#julia rewatches hpi#french post#This ep is probably in my top 3 favourites#backyard scene -> top 3 fave angsty scene#top tier Gilles content#top 3 comedic moments#😘😘😘😘#oh and it's the Sandra episode so
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«Mourir pour une satisfaction parfaite, on peut parfaitement venir le faire valoir comme étant un geste pas moins riche et précieux: la Dame chérie enfin saisie dans une étreinte mortelle, qu'y a-t-il de plus beau?
J.-P. L. - J'entends bien ce que vous dites.
Mais en nous transmettant l'enseignement de Freud et de Lacan, vous nous avez quand même amenés à penser qu'il y avait une limite à tout cela. Que cela devait toujours être tempéré. Or, aujourd'hui, vous êtes en train de me dire que le champ de la jouissance s'élargit tellement, qu'il arrive à tellement s'amplifier, que le parlêtre est en passe d'obtenir ce qu'il veut, et que de ce fait, nous ne savons plus comment le concilier avec le champ du désir, dont nous savons bien qu'il n'est pas construit de la même façon, ou en tout cas qu'il ne peut exister, lui, qu'à se soutenir de la limite.
Ch. M. - Est-ce que l'on va concilier les deux?
Vous avez été frappé comme moi par le fait que, durant cette pandémie, il y en a qui manifeste-ment, et comme si c'était un geste bravache, un geste de bravoure, de défi, témoignaient qu'ils n'entendaient pas choisir le parti de la vie, c'est-à-dire ce qui se résume banalement dans les gestes de protection et dans la vaccination, mais qu'ils choisissaient délibérément l'aspiration vers la mort.
C'est quand même un phénomène surprenant de voir qu'aient pu se tenir, grâce aux réseaux sociaux, des réunions de milliers de personnes... pour venir provoquer des contaminations massives, venues ensuite encombrer les hôpitaux. Je suis frappé aussi que dans un grand pays comme le Brésil, par exemple, le président Bolsonaro ait clairement pris le parti de privilégier le maintien de l'économie sur la préservation de la vie. Le Brésil est sûrement le lieu où le nombre non pas officiel mais réel des morts de la Covid est le plus considérable. C'est un choix qui a été fait. Et qui mérite de nous interroger.
Il faut croire que l'humanité - pardonnez-moi puisque je sais que vous en êtes un ardent et actif défenseur - semble en avoir assez d'elle-même. C'est vrai qu'on est mal foutu»…
Le Ch. M. c’est Charles Melman, le J.P. L. Jean-Pierre Lebrun.
Tout ça pour ça! Quelle prose aberrante de bêtise socio-moralisatrice... On dirait Bouvard et Pécuchet...
Melman qui démontre qu’il n’a jamais rien compris à "l’enseignement de Freud et de Lacan" qu’il "transmet" au point de n’avoir pas la moindre idée du désir comme désinence du dire, à savoir que la psychanalyse est une clinique du discours et un Discours… Il ne comprend manifestement pas que la notion de "discours" est le nerf de l’enseignement lacanien, que le discours dans son acception lacanienne c’est le lien social dégagé de toute nécessité de groupe… Il nous avait gratifié d’une consternante confusion entre Discours de l’Analyste et …Discours Capitaliste! Rien que ça! Au prétexte que "l’objet a" est en position d’agent… après avoir repris à son compte l’élucubration universitaire délirante d’un certain Nestor A. Braunstein…
Et ce crétin de Lebrun qui s'est vanté d'avoir dénoncé des jeunes qui jouaient dehors pendant le "con-finement".
Lacan avait raison: la psychanalyse est sans effet sur la connerie.
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Après la barge je suis rentrée chez Pops, on s'est installés dans le lit et on a beaucoup beaucoup discuté
On a aussi fini par mettre 2 épisodes d'une série policière à la con avec un humour un peu à la The office
On était installés en cuillère, il me faisait des papouilles et il me serrait fort dans ses bras, et même si je sais que c'était pas la meilleure des idées de chercher du réconfort auprès de Pops vis a vis de toutes les histoires qu'il y a déjà eu, je me sentais en sécurité
Je me sentais en sécurité, je me sentais appréciée et sereine
Il a essayé de me faire manger un beignet aussi, c'était mims, mais c'est pas du tout passé j'arrivais même pas à le mâcher mdr
J'ai fini quand même par rentrer à l'appartement, parce que je voulais voir mon amoureux, je voulais faire abstraction de tout ce qui s'était dit avec Estelle, je voulais juste le voir, le serrer contre moi comme si je n'allais plus jamais le revoir, me blottir dans ses bras et qu'on s'endorme ensemble, paisibles
Finalement quand je suis arrivée (les escaliers étaient vraiment durs à monter mdrrrr) il n'était pas encore rentré du travail, je l'ai appelé et il m'a dit qu'il arrivait, qu'il était avec des collègues parce que c'était l'anniversaire d'un d'entre eux
Je me suis endormie super rapidement le temps qu'il rentre et je me suis réveillée quelques temps après
C'est sa présence qui m'a réveillé
Il était assis au bord du lit à côté de moi, et il me serrait fort dans ses bras. Sa respiration était saccadée, je crois qu'il pleurait. Il m'a couverte de baisers et il a fait que de répéter à quel point il m'aimait. Il m'a dit qu'au réveil il faudrait qu'on parle tous les deux, je me souviens avoir pleuré et le voir sécher mes larmes tendrement. Il s'est couché tout contre moi et on s'est endormis comme ça
Au réveil j'étais terriblement faible physiquement à cause du manque de nourriture (parce qu'Estelle est arrivée quand je m'apprêtais a manger, du coup j'avais rien avalé du tout de toute la journée, de toute la nuit et du reste de journée jusqu'à ≈15h), j'ai revomi plusieurs fois de la bile et j'ai fini par réussir à me motiver à aller acheter quelque chose à manger
Quand je suis rentrée on s'est installés confortablement dans le lit et on a eu notre discussion, la fameuse, celle qui me faisait si peur
Et on en a appris des choses
Les versions ne collent pas
Elle m'a menti
Elle a menti à Loane
Et elle a menti à Fred
Elle joue double jeu depuis le début, et on a des preuves concrètes et matérielles de ça
Fred était vraiment très en colère, et moi aussi
J'ai pas mal pleuré au début puis les révélations se sont enchaînées comme une tempête
On sait pas encore quelle sera l'issue de tout ça
On s'est dit que pour l'instant le mieux c'était de prendre de vraies distances, pas de la confronter de but en blanc mais de voir comme elle elle réagit vis à vis de tout ça
Mais le plus important
C'est que maintenant on sait
Et maintenant on est prêt à repartir
On est prêt à continuer à avancer
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Faut que je trouve l'énergie pour lâcher twitter et l'attaque du Hamas. J'y arrive pas. Mais comme toujours, les très gauchistes (de mon bord donc, en théorie) très sont toujours aussi cons.
Selon eux, Hamas = résistants. Ca laisse coi.
Ils sont incapables de penser que le Hamas est un cancer religio-fasciste tout en restant convaincus que l'état d'Israël est un état d'apartheid colonialiste qui par ses actions, galvanise les organisations terroristes de la région.
Les deux idées ne s'excluent pourtant pas l'une l'autre mais non, leurs opinions ne sont pas une question de réflexion, mais une question de dogme, d'idéologie, de ligne narrative. Avoir une opinion nuancée et risquer d'être vu comme un traître aux luttes? Jamais de la vie, voyons!
Je suis trop neurodivergent que pour pouvoir tolérer la pensée dogmatique. Elle me sort des yeux qu'elle soit d'extrême gauche ou d'extrême droite. Les moutons et moi ça n'a jamais fait bon ménage, pas en primaire, pas en secondaire, pas dans ma vie d'adulte. Peut-être que l'autisme joue un role dans le fait de pouvoir reconnaître le dogmatisme et d'y avoir développé une certaine immunité? Je me souviens déjà tout petit, de cette impression très claire d'être poussé dans certains schémas de pensées par les gens qui m'entouraient. Cela m'a toujours été très désagréable.
L'Ukraine et ce genre de situations comme ce weekend c'est ce qui m'a dégouté de la politique internationale des partis d'extrême gauche, que l'on peut tout à fait entendre lorsqu'il s'agit d'idées de justice socio-économique, mais alors, à l'international c'est la catastrophe.
Ils ont tous un cas de "vers de cerveau" (brainworms) anti-américain, par principe. USA=BAD donc tout ce qui est ANTIUSA=GOOD. C'est de la logique de bac à sable, c'est usant et ce n'est pas une question d'intelligence car ce genre de positions sont tenues par tellement de gens brillants aussi *tousse* Noam Chomsky, vieille crevure *tousse*.
Je crois que les élections qui viennent je serai plutôt à géométrie variable, entre vote utile (social démocrate) et vote pour des personnes dont j'aime le travail en général (peu importe leur parti). Mais le vote de protestation à gauche de la gauche, c'est terminé.
Les relents stalinistes et la myopie volontaire pour ne pas froisser son électorat, ça me sort par tous les pores.
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Le Choix - chapitre 9
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
- Oui bon bah ça va c’est pas non plus la peine de démonter la porte !
La voix de Merlin était tout engoncée de sommeil. Arthur ne pouvait pas lui en vouloir ; il n’était même pas tout à fait six heures du matin.
- Ah mais c’est vous seigneur Lancelot ? Je savais que vous étiez un lève-tôt mais enfin quand même…
- Je peux entrer là ?
- Si c’est encore pour m’engueuler que votre potion pour avoir les dents blanches est pas encore prête ça sert à rien, je peux pas aller plus vite que la musique !
- Ma… ? Nan mais c’est pas ça là, laissez-moi entrer deux minutes.
Merlin s’écarta de l’encadrement de la porte pour le laisser passer. Arthur fut immédiatement pris à la gorge par une odeur presque insoutenable.
- Mais qu’est-ce que c’est, vous faites mijoter de la bouse là-dedans ?
- Ah commencez pas, vous savez bien que c’est votre potion d’épaississement des cheveux qui fait ça, donc avec tout le respect ce serait mal venu de me faire ch-
- Bon bref, c’est pas pour ça que je suis là, d’autant que l’épaississement des cheveux je m’en fous pas mal. Bon accrochez-vous parce que ç’en est une sévère celle-là. Vous pensez que je suis le seigneur Lancelot, là comme ça. Eh ben en fait non, je suis le roi Arthur.
Merlin resta silencieux quelques secondes.
- Là vous êtes le roi Arthur ?
- Comment ça là, je suis le roi Arthur, c’est tout. Mais j’ai pris l’apparence de Lancelot.
- Pourquoi vous avez fait ça ?
- Mais j’ai pas fait exprès espèce de con ! On s’est pris un sortilège sur le coin du pif et on a échangé d’apparence, c’est pas la meilleure de l’année celle-là ?
- Un sortilège ? Ça a l’air puissant comme sortilège ça, je serais pas rassuré si j’étais vous, ya peut-être des effets secondaires…
- Ah bah super, merci, heureusement que je viens vous voir !
- Et pourquoi vous êtes pas venus tous les deux, peut-être que j’aurais pu mieux vous aider ?
- Nan mais parce qu’on s’est frittés là, bon… Pourquoi, vous avez une solution où il faut qu’on soit tous les deux ensemble c’est ça ?
- Ah bah une solution non, mais bon j’aurais pu me faire une idée… Vous vous êtes frittés à cause de quoi ? ajouta-t-il tandis qu’Arthur levait les yeux au ciel.
- Je vous en pose des questions ?
- Oh allez, vous pouvez bien me dire… Et le roi il en pense quoi ?
- Le roi ? Mais non mais c’est moi le roi ! s’emporta Arthur. Je vous dis qu’on a échangé de corps, j’ai le corps de Lancelot mais c’est moi, le roi Arthur ! Donc vous allez me trouver une solution pour que je retrouve mon apparence, ou je vous fais catapulter par-dessus le mur fortifié de l’arrière-cour !
- Ah oui oui pardon, bon bah ça va je me suis planté c’est pas la peine de gueuler ! C’était pour voir si vous suiviez, de toute façon.
- Pour voir si ? Je suivais ?
- Ben oui, continua Merlin, comment je peux savoir que vous êtes pas tout simplement Lancelot qui voudrait que je le transforme en roi Arthur ? C’est pas comme si ça s’était jamais vu !
- Comment ça, parce que ça s’est déjà vu que Lancelot veuille que vous le transformiez en roi Arthur ?
- Nan mais pas Lancelot, mais vous êtes le mieux placé pour connaître l’histoire, Uther, le duc de Gorlais, tout ça, je vais pas vous la refaire ! Alors moi, je suis désolé, mais je ne préférerais pas m’immiscer dans vos petites histoires.
Arthur ne pouvait pas nier que le parallèle était malheureux. Mais que répondre à Merlin, si ce n’était qu’il était bien Arthur ?
- Comment je peux vous prouver que je suis bien le roi Arthur ?
- Ah ben ça j’en sais rien c’est à vous de me le dire !
- Bon écoutez, si je reviens vous voir avec Lancelot, qui pourra vous expliquer qu’il est bien Lancelot et que je suis bien Arthur, vous verrez bien que c’est pas juste moi qui vous mens !
- Qui ça « moi » ?
- Ben moi quoi, moi, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise !
- Nan mais je vous embête sire. Revenez me voir avec Lancelot, mais je peux vous dire que s’il a la tronche du roi Arthur, ça m’étonnerait qu’il ait envie de l’abandonner si vite que ça. Vous imaginez ce que ça doit lui faire ?
- Ah bah j’imagine assez bien ce que ça fait d’avoir la tronche du roi Arthur, oui, ironisa Arthur.
Ce n’était pas comme si ce doute ne lui était jamais venu à l’esprit. Il savait tout ce que Lancelot lui enviait, et à quel point sa droiture devait lutter contre sa détermination à toujours obtenir tout ce qu’il voulait. Lancelot avait toujours été sur le fil, et les dieux seuls savaient ce que ce genre de sortilège pouvait créer dans son esprit. Il repensa avec ce que Lancelot lui avait jeté au visage quelques instants plus tôt, et il fut gagné par l’amertume. Essayez de commencer à donner des ordres, vous verrez si on vous rit pas au nez. Les sous-entendus étaient nombreux et lourds, et Arthur fut surpris lui-même par la colère qui l’envahissait. Sans même parler de ce qu’il avait vu en entrant dans la chambre… Commencer à essayer de démêler ses sentiments à ce point de vue là était tout bonnement inutile.
- Quoi qu’il en soit. Vous pensez pouvoir nous trouver une solution dans combien de temps, à peu près ?
- Je vais faire de mon mieux sire, je vais retourner tous les vieux bouquins qui traînent là-dedans, mais honnêtement j’aurais du mal à dire… Revenez avec Lancelot dans une ou deux heures et pis on verra…
- Oui d’autant que d’ici là Elias sera probablement arrivé, compléta Arthur, sarcastique.
- Si vous voulez un conseil d’ami sire, à votre place j’éviterais que ça s’ébruite cette histoire. Si Elias est au courant ça risque de tomber dans les oreilles de n’importe qui avec un peu de pognon, et ce serait le meilleur moyen de semer le boxon dans le royaume.
Hm. Décidément, Merlin avait dû se réveiller ce jour-là avec l’envie de dire des trucs pas trop cons.
- Alors vous êtes d’accord, vous pensez qu’on devrait faire comme si de rien n’était ?
- Ben faites gaffe quand même, comme je vous disais Lancelot ça risque de lui monter à la tête d’être vous. Mais en attendant, le mieux ce serait quand même qu’il fasse semblant d’être vous et que vous fassiez semblant d’être lui jusqu’à ce que je vous aie concocté une solution. C’est le meilleur moyen de préserver la paix, si vous voulez l’avis de quelqu’un de confiance.
- Euh quelqu’un de confiance, ne poussez pas trop non plus.
- Vous me faites pas confiance, sire ?
- Je vous fais pas confiance pour pas faire ou dire de connerie non.
- Nan mais à part les conneries ? C’est quand même votre bon vieux Merlin que vous êtes venu trouver avec votre problème.
Arthur prit une seconde pour réfléchir.
- Oui oui non mais ya pas à dire, je sais que vous vous me voulez pas de mal, quoi.
Il eût aimé pouvoir en dire autant de Lancelot. Lorsqu’il quitta le laboratoire de Merlin quelques secondes plus tard, il ruminait. Il n’avait pas décoléré à son égard depuis leur altercation. Le comportement de Lancelot était complètement inacceptable, et il n’était même pas surprenant. Et Merlin avait raison. Lancelot voulait le pouvoir, il avait déjà fait des avances à Guenièvre par le passé s’il en croyait le calme de cette dernière lors de leur entrevue. Qui savait ce qui s’était déjà passé entre eux. Il n’avait aucune raison de vouloir régler le problème. Il pouvait enfin assouvir tous ses désirs secrets dont il ne pouvait rien dire à Arthur et qui gangrénaient leurs relations silencieusement depuis tant de temps. Il savait Lancelot capable de défendre ce qu’il venait de gagner avec toute la force de son être. Alors, Arthur n’avait pas d’autre choix que de faire en sorte que Lancelot soit pressé de récupérer son corps. Il ferait de l’image de Lancelot tout ce que Lancelot ne voulait pas voir en lui. Après tout, pourquoi ne pas malmener un peu l’enveloppe extérieure du chevalier parfait et noble qu’il prenait tant de soin à cultiver. Ça lui apprendrait à de moquer de lui.
Soudain, Arthur pensa à quelque chose. Une évidence, quelque chose qui ne lui était pas venu à l’esprit auparavant mais qu’il lui fallait absolument vérifier. Excalibur. Il se précipita jusqu’à sa chambre pour retrouver son Épée.
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Donc le film sur Poirot à Venise...
C'est sans doute mon préféré de trois, sans doute parce que, bien que ce soit inspiré d'un roman d'Agatha Christie, le film réécrit 99% de l'histoire. De plus, j'avais oublié ce roman, ce qui fait que j'étais plus intéressée et surprise par les twists, la révélation finale etc.
Tout le monde joue bien, y a des chouettes scènes, très fortes visuellement, Kenneth Branagh est... il n'y a pas de flashbacks en noir et blanc sur son amour perdu donc c'est forcément mieux que les deux films précédents. L'ambiance est super dans ce palazzio vénitien, les décors sont sublimes.
Ariadne Oliver est très chouette - j'aime beaucoup l'utilisation qu'ils font de son personnage, en appuyant vraiment sur son côté meta. C'est véritablement l'avatar d'Agatha Christie et sans trop en dire, j'ai été surprise d'à quel point le film poussait la relation amour/haine Christie/Poirot.
Concernant les aspects plus négatifs... l'enquête, de nouveau, ne me convient pas, j'avais deviné le.a coupable mais plus disons par connaissance des romans de Christie que grâce aux indices. Je vais pas trop en dire pour pas spoiler mais je ne trouve pas du tout l'enquête satisfaisante, comme les précédents. C'est une suite d'entretiens, sans déductions progressives comme Christie sait si bien le faire. Le mobile est..... presque indevinable je trouve, ce qui est un gros problème.
En vrai, j'ai pas grand chose à reprocher au film, sauf l'enquête en elle-même et c'est con, parce que c'est ce que j'attends d'une adaptation de roman policier.
Spoilers en-dessous !!!
Pour être plus précise sur la meurtrière : j'avais deviné que c'était la mère simplement parce que le scénario insiste lourdement sur son deuil, sa tristesse etc pour que tu te dises "oh la la, ça peut vraiment pas être elle". Et ayant lu tous les Agatha Christie, je me suis dit "c'est la plus insoupçonnable donc c'est elle" et bingo !
Et à la limite, ça ne me dérange pas, tout le monde ne pense pas comme moi, et tout le monde n'a pas lu une tonne de romans policiers de 12 à 16 ans. Par contre, sans ça, jamais je n'aurais deviné. Du miel hallucinatoire ??? Comment deviner ça ??? Aucun indice ne l'accuse, Poirot dit "vous étiez victime de chantage", comment aurait-on pu le deviner ? C'est les mêmes travers que Sherlock (BBC), où on nous montre un personnage intelligent en le faisant deviner des choses indevinables. Je n'ai même pas compris comment Poirot le comprenait.
C'est dommage d'autant plus que j'aime vraiment le twist sur Ariadne Oliver et sa discussion avec Poirot, qu'elle a "créé". J'aime sa part d'ombre, sa cruauté même. Toute la première partie du film, je la trouvais super, très drôle mais étrange dans sa manière d'appuyer sur les prouesses de la voyante, sa façon de parler de célébrité, des tics de Poirot, un peu trop brusque parfois. Et le plot twist était satisfaisant parce qu'il expliquait tout ça ! Excellente idée, vraiment. Et encore plus dommage que le meurtre n'ait pas été aussi bien écrit.
J'ai vu que des gens étaient déçus mais j'avoue n'avoir jamais apprécié Ariadne Oliver plus que ça. Elle a toujours écrite comme une caricature de Christie par elle-même - cette variante ne me dérange pas.
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