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Fr., 3.11.2023 21:00 Uhr: MITRAILLE (BE) + THE CAVE RIOT (HH) Komet Musik Bar, Hamburg
MITRAILLE
The city of Antwerp, Belgium may be primarily known for it’s harbour, cathedral and diamond trade, but anyone who scratches beneath the surface can find a thriving and vibrant underground scene. Especially in the last few years the great output of hardcore and garage punk bands makes one suspect that, besides massive PFOS pollution and record breaking cocaine residuelevels, there must be something in the water. Mitraille burst unto this scene in 2018 with a sound that takes the bursting-at-the-seams energy of modern day basement hardcore and injects it into a strain of diseased garage- and post punk. Think Sleaford Mods if they released 7 inches on Total Punk, Ty Segall Band’s Slaughterhouse if it was recorded at 4 AM in a beer-drenched living room or Uranium Club if they were Motörhead roadies with anger management issues. Mitraille have since released three EP’s before recruiting Rafael Valles Hilario (Tuff Guac, Brorlab, MOAR) behind the drums and recording their debut full-length ‘Mitraille’. The album was released May 25th on Ronny Rex and Belly Button Records and followed up by a nine day tour of Germany and Switzerland, and spots on the mainstage of the legendary Sjock Festival and the Street Stage of Rock Herk. As ever, Mitraille are ready to blast their way through as many European stages as possible. So crank that album, get one of those three idiots on the phone and get ready for a wild fucking ride.
THE CAVE RIOT
The Cave Riot, founded in 2016, from the south of Hamburg is a four-piece band that ranges somewhere between indie rock and Britpop. With their driving guitars and danceable beats they get the audience moving. Their influences can be found in 60s Garage Rock bands, 80s Wave bands or newer bands like The Black Keys.The Cave Riot write English lyrics about everyday observations and little stories from life. Through their unique blend of melodic hooks and a rocking energy, they manage to inspire their listeners and provide a good time.The 4 describe themselves as an „uncomplicated band that only writes potential hits“ and are eager to tour the clubs again after the difficult last 3 years.The big goal, according to themselves, is a tour of Belgium and Japan. When asked why there, they just say: „They will love us there“.
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Court-Saint-Etienne. Parc à Mitrailles. Le MR fête le 1er mai en 2018
#Court-Saint-Etienne#MR#Mouvement Réformateur#Politique#Parc à Mitrailles#Fête#1er mai#Charles Michel#Louis Michel#Denis Ducarme#Florence Reuter#Willy Borsus#François Bellot#Didier Reynders#Olivier Chastel
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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Le vent s'engouffre avec insolence par les planches disloquées du vieil hôtel. Edgar, le tenancier à la gueule burinée, frotte un verre avec un torchon qui a connu des jours meilleurs. — Tu crois qu'ils vont pointer leur nez aujourd'hui ? lâche Clara tout en jouant avec le vieux poste qui crachote un air de jazz. Edgar pose le verre et contemple la poussière dansante dans un rayon de lumière. — Ils reviennent toujours ! Pour le charme de l'ancien monde. La porte couine et Monsieur Léon, l’habitué, fait son entrée. — T'as gardé mon poison préféré d'avant-guerre, Edgar ? Son clin d'œil est aussi brillant que sa calvitie. — Pour toi, toujours, rétorque Edgar en tirant une bouteille cachée sous le comptoir. Clara sourit. — Et comment va votre dame ? — Mieux qu'ce vieux rafiot ! s’esclaffe Léon. Elle pense que je vais taquiner le goujon. Si elle savait que je viens m'abreuver d'réminiscences… Soudain, une gamine à l’air débrouillard et au reflex en bandoulière débarque. — Je peux shooter ? C'est d'la balle, on se croirait flanqué dans une autre époque ! Edgar lui lance un regard entendu. — Vas-y, mitraille. Mais même en rafale, ton appareil ne capturera jamais les histoires… La gamine s'installe, son œil vif cherchant l'angle parfait. — J'suis là pour les histoires cachées, moi. Léon lève son verre, amusé. — Alors, t'es au bon endroit, môme. Ici, chaque recoin a son récit. La porte grince une nouvelle fois. Une silhouette encapuchonnée s'avance, brandissant un avis de démolition. — Dernière tournée les croulants ! crache-t-elle d'une voix sinistre. Les regards se croisent, voguant sur le silence lourd que l'intrus vient d’imposer. L'éclat de rire de Léon résonne, défiant le futur. — Immortalise ça, gamine ! Quand les murs tomberont, nos fantômes danseront encore. À la vôtre pour l'éternité !
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Il y a une quinzaine de jours, Christine, son neveu Sébastien avec ses 2 enfants et moi sommes partis à Fontarrabie (Hondarribia). Sébastien nous mitraille !
La suite (et fin) dans peu de jours !
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Quand Nastasja est là tu mitrailles à tout va. On ne sait jamais.
#portrait#noir et blanc#ombre#chevelure#polaroid#cheveux#carnet#motifs#polaroid sx70#sx70sonar#sx70film#sx70
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« On a massacré la moitié de la France, la plus jeune, la plus virile pour ravigoter les basses moelles de quatre magots anatomiques. Il faut ce qu’il faut ! C’est la gloire ! Tous les grands vampires durent cent ans ! Et la prochaine ce sera bien mieux ! bien plus implacable encore, bien plus fignolé, plus saignant, plus torrentiel, ça sera la fin du cheptel. La haine des Juifs pour les animaux que nous sommes est à ce point virulente, d’une telle ardeur contenue, concentrée, que nous serons projetés, embrasés, dépiautés, éparpillés dans la mitraille, tout vifs, avant d’avoir tiqué d’un œil… »
Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937)
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"Je n'ai pas peur de la route Faudrait voir, faut qu'on y goûte Des méandres au creux des reins Et tout ira bien là Le vent nous portera
Ton message à la Grande Ourse Et la trajectoire de la course Un instantané de velours Même s'il ne sert à rien va Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais Le vent nous portera
La caresse et la mitraille Et cette plaie qui nous tiraille Le palais des autres jours D'hier et demain Le vent les portera
Génétique en bandoulière Des chromosomes dans l'atmosphère Des taxis pour les galaxies Et mon tapis volant, dis? Le vent l'emportera Tout disparaîtra mais Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes Ce qui peut frapper à ta porte Infinité de destins On en pose un et qu'est-ce qu'on en retient? Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte Et que chacun refait ses comptes J'emmène au creux de mon ombre Des poussières de toi Le vent les portera Tout disparaîtra mais Le vent nous portera"
Noir Désir
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Mon OMELETTE AUX GIROLLES - De saison ! - Un délice d'Automne - Mère Mit... RECIPE: Autumn is the starting point for picking mushrooms in the forest! Chanterelles, Ceps, Trumpets of Death... A terrible delight that you should enjoy quickly in this season. La Mère Mitraille offers you her recipe, like a childhood memory, the famous chanterelle omelette on Sunday morning. The list of ingredients is in the video. Enjoy!. Christophe.
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Les dames de Brassens
Sur l'air (approximativement) de la chanson Mélanie
Les coquines de l'ami Georges dans ses airs drôles autant qu'osés qu'il racontait à pleine gorge qu'il savait si bien composer,
s'appelaient Ninon ou Fernande sans perdre de vue Mélanie ces joyeuses filles en bande imaginons-les réunies
Quand c'est l'oreille que l'on rince ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Avec leurs prénoms de grand-mères elles avaient des charmes infinis pour les soldats de toutes guerres qu'on voit sur les clichés jaunis
quand ils mouraient sous la mitraille en Algérie à Diên Biên Phu ils ne rêvaient pas de médaille mais à leur enchantement fou
Que les culs serrés se décoincent ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces oiselles de bon augure qui narguaient un ordre établi héroïnes toutes en luxure ne tomberont pas dans l'oubli
car sous leurs manières peu sages les bidasses et les carabins imaginaient sous les corsages dont elles s'allégeaient pour le bain
Qu'elles soient de Paris de province ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces ombres dans les cimetières font bander à coup sûr les morts qui se branlent tous dans leur bière devant ces jolis petits corps
Quelquefois elles ressuscitent sous la guitar' d'un vieux poète voici leurs appas d'Aphrodites quand ce gars leur chante fleurette
Elles sont pour les gueux pour les princes ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
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Chapters: 1/1 Fandom: Men's Football RPF Rating: Teen And Up Audiences Warnings: Graphic Depictions Of Violence Relationships: Olivier Giroud & Luka Romero Characters: Olivier Giroud, Luka Romero Additional Tags: Alternate Universe, Alternate Universe - War, War, Soldiers, Blood and Injury, Enemies to Friends, Blood, Angst, Whump, Febuwhump, Febuwhump 2024 Series: Part 3 of Febuwhump 2024 Summary:
The uniform draped over the boy's tiny, slender frame is stained with both dirt and blood, and it’s everything but in order. It just hangs on him, and where his weapons should be, there is literally nothing. It seems like he’s barely keeping himself upright.
Day 3 of Febuwhump 2024: "Bite down on this."
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Les Grandes oubliées. Pourquoi l’Histoire a effacé les femmes, Titiou Lecocq
Première incursion pour moi dans les sciences-humaines, et DAMN !
« Les femmes ont fait l'histoire, elles ont régné, elles ont gouverné, combattu, elles ont milité, écrit, crié parfois. Elles n'ont jamais été les spectatrices d'un monde que les hommes dirigeaient. Ça, c'est une fable historique. Même quand elles ont été exclues des sphères de pouvoir, elles ont continué à résister. C'est aussi cela, notre histoire commune. Et l'histoire des femmes, ce n'est pas que l'histoire des femmes. C'est également la vôtre, messieurs. Vous êtes, vous aussi, les descendants de ces femmes qu'on a oubliées et réduites au silence. »
Je sors de ma lecture des Grandes oubliées avec le cerveau en compote et un goût d’injustice. Je connaissais Titou Lecocq de nom, je défendais déjà ses ouvrages à la librairie et encore plus celui-ci, et j’ai enfin pris le temps de le lire. Je sais pas pourquoi, je pensais avoir compris qu’on allait nous parler des femmes oubliées, genre les inventeuses, les autrices, etc. (Désolée !) En fait, pas du tout, enfin, si, mais pas tellement. C’est l’histoire des femmes. Point.
Des femmes dans l’Histoire. Vous saviez que les femmes pendant la Préhistoire n’étaient pas enfermées dans les grottes avec l’éducation des marmots, mais qu’elles chassaient, cueillaient et peignaient aussi ? Et que tout le monde s’occupait des enfants ? Et que les femmes pendant l’Antiquité avaient (aussi) un rite de passage à l’âge adulte qui consistait à se déguiser en ourses, sacrifier une chèvre et courir nues ? Et qu’au Moyen Âge, les femmes régnaient, étaient autrices, enlumineuses, bardes, chevaleresses, bâtisseuses de cathédrales et j’en passe ? Et que la chasse aux sorcières du XVIe siècle vient des hommes du clergé qui… quoi d’ailleurs ? avaient peur des femmes ? Et que c’est sévère parti en cacahouètes avec les Lumières et Napoléon ?
Encore un autre exemple hyper parlant (pour moi), désolée l’extrait est un peu long :
« Il faut également parler d'Émilienne Moreau-Évrard. Sacrée femme, Émilienne. Elle est née en 1898 dans le Pas-de-Calais. Elle habite dans la ville de Loos, près de Lille, et veut être institutrice quand éclate la Première Guerre mondiale. Loos est occupée par les Allemands, et Émilienne décide d'organiser dans une cave une école clandestine pour les enfants. Elle a 17 ans. En septembre 1915, alors que les Écossais attaquent pour reprendre la ville, elle va à leur rencontre pour leur donner les positions des troupes allemandes. Puis, avec un médecin écossais, elle organise dans sa propre maison un poste de secours et y soigne les blessés de l'assaut. Ensuite, je cite sa fiche biographique sur le site de l'ordre du Mérite : ‘‘Pour sauver un soldat anglais pris sous la mitraille, elle n'hésite pas à sortir de chez elle, armée de grenades, et parvient, avec l'aide de quelques soldats anglais, à mettre hors d'état de nuire deux soldats alle-mands, embusqués dans une maison voisine. Un peu plus tard, alors que la maison est cernée, elle se saisit d'un révol ver et abat à travers la porte deux fantassins ennemis.’’ »
Comment diable est-ce qu’après avoir passé 15 ans de ma vie à vivre juste à côté de Loos je n’entends parler de cette femme que maintenant ?????
Bon, je m’arrête là avec les exemples, mais vous voyez le topo : Titiou Lecocq nous invite à nous pencher et à redécouvrir l’Histoire des femmes, et comment on les a invisibilisées, réduites au silence et oubliées. Le tout en s’appuyant sur des exemples concrets et des travaux d’historiennes et de quelques historiens. C’est hyper hyper intéressant, j’ai appris énormément de choses et mon cerveau a surchauffé. J’ai adoré. J’ai mis du temps à me pencher dessus, mais alors je ne regrette absolument pas ! J’avais aussi peur que, étant un ouvrage de sciences-humaines, ce soit incompréhensible et/ou compliqué à lire comme des articles universitaires, mais pas du tout ! C’est hyper fluide, très bien écrit, bien construit, et abordé presque comme une histoire. C’est un grand coup de cœur inattendu ! Et maintenant j’ai très envie de lire son dernier ouvrage Le couple et l’argent 👀
05/11/2023 - 11/11/2023
#livres#books#livre#book#sciences humaines#littérature féministe#féminisme#titiou lecocq#les grandes oubliées#les grandes oubliées pourquoi l’histoire a effacé les femmes#éditions l’iconoclaste#coup de cœur#coup de cœur littéraire
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I know nobody is going to see this but I NED to talk about something or rather someone.
Daniel Balavoine, a late seventies, early eighties french singer who I love with all my silly little hurt.
He started singing in 1975 and died in 1986 but managed to stay one of the most loved singer from this era till today. He became famous with the musical « Starmania » produced by Michel Berger who saw him singing « Lady Marlene »for the TV in 1977. He immediately saw how much talent this young man had and decided to give him one of the lead roles. Daniel then managed to make some of the most iconic albums in French history ( no I’m not just saying that because I love him, literally everyone in France knows like ten of his songs). He stood out with his very powerful voice and his mannerisms as he acted out his songs on stage.
He is also known for yelling at socialist French president Mitterrand for five minutes on live TV. Iconic.( although it made him look like a prick in the eyes of many socialists). But don’t get my wrong, he’s still a very engaged leftist whom will yell at his public when they didn’t sing loud enough for immigrants. (It happened multiple times).
But in truth what made him what he is today are is lyrics. « Leurs évangiles ont fait de moi un non-croyant » « Quand les cris des femmes s’accrochent à mes larmes, c’est pour m’aider à mieux porter tous mes chagrins » « Qu’en est-il des idéaux sous la mitraille, quand les prêcheurs sont à l’abris de la bataille ».
Translation :- Their gospel made me a non believer.
-When the women’s cries hold at my tears, I know it’s to help me to bear all my sorrows.
-What about ideals under the fire when preachers are away from the fight.
( It all sounds better in French)
And of course, he was also fucking unhinged.
I love him.
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La France aura fait semblant jus qu’au bout. Comme un bataillon qui avance sous la mitraille, comme le rocher qui roule au gouffre, comme une cinquantenaire lancée dans sa dernière joute amoureuse, la vieille France qui n’espère plus rien mais persiste à faire front, et espère encore, dans le sacrifice de ses enfants perdus, espère plus la rédemption que la sauvegarde, pleure et rit, gronde et soupire, déclame puis se tait. La France dans un dernier combat, qui se souvient de Rameau et de Racine, d’Hugo et de Ravel, de Trenet et de Debussy, de Dard et d’Audiard aussi. “Pauvre France” disaient nos chers Anciens pour un rien. Que diraient-ils aujourd’hui ? J.-M. M.
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Automne 1905. Tagak est occupé à avoir l'air triste et badass.
Sans rire, j'adore Tagak. Je l'ai crée pour être un stéréotype du guide local taiseux, et au final, je passais tellement ma vie à le mitrailler de screenshots que je ne pouvais que lui donner un plus grand rôle dans l'arc, et que je me suis retrouvé à écrire une bromance.
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“A force d'aller en avant, il parvint au point où le brouillard de la fusillade devenait transparent. Si bien que les tirailleurs de la ligne rangés et à l'affût derrière leur levée de pavés, et les tirailleurs de la banlieue massés à l'angle de la rue, se montrèrent soudainement quelque chose qui remuait dans la fumée.
Au moment où Gavroche débarrassait de ses cartouches un sergent gisant près d'une borne, une balle frappa le cadavre.
- Fichtre ! dit Gavroche. Voilà qu'on me tue mes morts. Une deuxième balle fit étinceler le pavé à côté de lui. Une troisième renversa son panier. Gavroche regarda, et vit que cela venait de la banlieue. Il se dressa tout droit, debout, les cheveux au vent, les mains sur les hanches, l'œil fixé sur les gardes nationaux qui tiraient, et il chanta :
On est laid à Nanterre,
C'est la faute à Voltaire,
Et bête à Palaiseau,
C'est la faute à Rousseau.
Puis il ramassa son panier, y remit, sans en perdre une seule, les cartouches qui en étaient tombées, et, avançant vers la fusillade, alla dépouiller une autre giberne. Là quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta :
Je ne suis pas notaire,
C'est la faute à Voltaire,
Je suis petit oiseau,
C'est la faute à Rousseau.
Une cinquième balle ne réussit qu'à tirer de lui un troisième me couplet :
Joie est mon caractère,
C'est la faute à Voltaire,
Misère est mon trousseau,
C'est la faute à Rousseau.
Cela continua ainsi quelque temps.
Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade. Il avait l'air de s'amuser beaucoup. C'était le moineau becquetant les chasseurs. Il répondait à chaque décharge par un couplet. On le visait sans cesse, on le manquait toujours. Les gardes nationaux et les soldats riaient en l'ajustant. Il se couchait, puis se redressait, s'effaçait dans un coin de porte, puis bondissait, disparaissait, reparaissait, se sauvait, revenait, ripostait à la mitraille par des pieds de nez, et cependant pillait les cartouches, vidait les gibernes et remplissait son panier. Les insurgés, haletants d'anxiété, le suivaient des yeux. La barricade tremblait ; lui, il chantait. Ce n'était pas un enfant, ce n'était pas un homme ; c'était un étrange gamin fée. On eût dit le nain invulnérable de la mêlée. Les balles couraient après lui, lui, il était plus leste qu'elles. Il jouait on ne sait quel effrayant jeu de cache-cache avec la mort ; chaque fois que la face camarde du spectre s'approchait, le gamin lui donnait une pichenette.
Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l'enfant feu follet. On vit Gavroche chanceler, puis il s'affaissa. Toute la barricade poussa un cri ; mais il y avait de l'Antée dans ce pygmée ; pour le gamin toucher le pavé, c'est comme pour le géant toucher la terre ; Gavroche n'était tombé que pour se redresser ; il resta assis sur son séant, un long filet de sang rayait son visage, il éleva ses deux bras en l'air, regarda du côté d'où était venu le coup, et se mit à chanter :
Je suis tombé par terre,
C'est la faute à Voltaire,
Le nez dans le ruisseau,
C'est la faute à...
Il n'acheva point. Une seconde balle du même tireur l'arrêta court. Cette fois il s'abattit la face contre le pavé, et ne remua plus. Cette petite grande âme venait de s'envoler.��
Les Misérables, Victor Hugo
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