#mitraille
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wildwaxshows · 2 years ago
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Fr., 3.11.2023 21:00 Uhr: MITRAILLE (BE) + THE CAVE RIOT (HH) Komet Musik Bar, Hamburg
MITRAILLE
The city of Antwerp, Belgium may be primarily known for it’s harbour, cathedral and diamond trade, but anyone who scratches beneath the surface can find a thriving and vibrant underground scene. Especially in the last few years the great output of hardcore and garage punk bands makes one suspect that, besides massive PFOS pollution and record breaking cocaine residuelevels, there must be something in the water. Mitraille burst unto this scene in 2018 with a sound that takes the bursting-at-the-seams energy of modern day basement hardcore and injects it into a strain of diseased garage- and post punk. Think Sleaford Mods if they released 7 inches on Total Punk, Ty Segall Band’s Slaughterhouse if it was recorded at 4 AM in a beer-drenched living room or Uranium Club if they were Motörhead roadies with anger management issues. Mitraille have since released three EP’s before recruiting Rafael Valles Hilario (Tuff Guac, Brorlab, MOAR) behind the drums and recording their debut full-length ‘Mitraille’. The album was released May 25th on Ronny Rex and Belly Button Records and followed up by a nine day tour of Germany and Switzerland, and spots on the mainstage of the legendary Sjock Festival and the Street Stage of Rock Herk. As ever, Mitraille are ready to blast their way through as many European stages as possible. So crank that album, get one of those three idiots on the phone and get ready for a wild fucking ride.
THE CAVE RIOT
The Cave Riot, founded in 2016, from the south of Hamburg is a four-piece band that ranges somewhere between indie rock and Britpop. With their driving guitars and danceable beats they get the audience moving. Their influences can be found in 60s Garage Rock bands, 80s Wave bands or newer bands like The Black Keys.The Cave Riot write English lyrics about everyday observations and little stories from life. Through their unique blend of melodic hooks and a rocking energy, they manage to inspire their listeners and provide a good time.The 4 describe themselves as an „uncomplicated band that only writes potential hits“ and are eager to tour the clubs again after the difficult last 3 years.The big goal, according to themselves, is a tour of Belgium and Japan. When asked why there, they just say: „They will love us there���.
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batatoooooo · 26 days ago
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Le DIVIN 💋❤️🔥👙⭐️🎗️🎩👑
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batatoooooo · 27 days ago
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Le Cocotte 🇫🇷🇫🇷🇫🇷♠️♠️♠️🖤🖤🖤
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Ekaterina Novikova
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agence-photo-imatext · 2 years ago
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Court-Saint-Etienne. Parc à Mitrailles. Le MR fête le 1er mai en 2018
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ekman · 2 months ago
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Nous tous savons très bien que ce Noël a des accents un peu particuliers. Il ressemble à une veille de bataille, quand les hommes passaient de tente en tente, une bouteille à la main, flanqué de quelque compère, au fait de la situation et de son issue possible, probable, certaine. Équipage à la dérive, la peur au ventre et l’orgueil à fleur de sabre.
Boire et rire, boire un peu trop et rire trop fort, à tenir la camarde éveillée, à l’agonir d’insultes et de mots gros comme des boulets. Saloperie qui affute sa faux, qui veillera personnellement à ce que personne ne sorte vivant de ce rang – qui fauché par la mitraille, qui éparpillé par le canon, gerbes de sang, puanteurs tripardes. Le tambour bat au rythme des cœurs, cœurs frénétiques pompant pour chaque pas, pas de plomb dans la boue sale du matin, semelles tenues, valves dilatées, artères tendues... 
La France sait bien que cet assaut est sans issue. Crise de régime, oligarchie, médiocratie. La flûte des gamins sonne l’assaut au loin, sonne pour rien, sonne pour BFM et TF1. Déficits abyssaux, illusoires, fictions financières qui voudraient dire aux peuples la fin de leur histoire. Français, réveillez-vous, ne soyez pas les derniers à vous révolter, montrez à l’Europe qu’il coule encore en vous un accent de vérité, un amour du vrai, une parole de justice, une envie d’avenir. 
Chassez de la maison les monstres calculateurs, les faiseurs de prince, princes d’illusion, narcissiques fossoyeurs de votre histoire. Hurlez à pleins poumons votre envie d’exister, de chasser les intrus, de punir les assassins. Soyez-vous et re-vous, enfants de putain. Battez-vous, bordel, gagnez votre pain, élevez vos enfants et célébrez Noël, enfin.
J.-M. M.
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Le vent s'engouffre avec insolence par les planches disloquées du vieil hôtel. Edgar, le tenancier à la gueule burinée, frotte un verre avec un torchon qui a connu des jours meilleurs. — Tu crois qu'ils vont pointer leur nez aujourd'hui ? lâche Clara tout en jouant avec le vieux poste qui crachote un air de jazz. Edgar pose le verre et contemple la poussière dansante dans un rayon de lumière. — Ils reviennent toujours ! Pour le charme de l'ancien monde. La porte couine et Monsieur Léon, l’habitué, fait son entrée. — T'as gardé mon poison préféré d'avant-guerre, Edgar ? Son clin d'œil est aussi brillant que sa calvitie. — Pour toi, toujours, rétorque Edgar en tirant une bouteille cachée sous le comptoir. Clara sourit. — Et comment va votre dame ? — Mieux qu'ce vieux rafiot ! s’esclaffe Léon. Elle pense que je vais taquiner le goujon. Si elle savait que je viens m'abreuver d'réminiscences… Soudain, une gamine à l’air débrouillard et au reflex en bandoulière débarque. — Je peux shooter ? C'est d'la balle, on se croirait flanqué dans une autre époque ! Edgar lui lance un regard entendu. — Vas-y, mitraille. Mais même en rafale, ton appareil ne capturera jamais les histoires… La gamine s'installe, son œil vif cherchant l'angle parfait. — J'suis là pour les histoires cachées, moi. Léon lève son verre, amusé. — Alors, t'es au bon endroit, môme. Ici, chaque recoin a son récit. La porte grince une nouvelle fois. Une silhouette encapuchonnée s'avance, brandissant un avis de démolition. — Dernière tournée les croulants ! crache-t-elle d'une voix sinistre. Les regards se croisent, voguant sur le silence lourd que l'intrus vient d’imposer. L'éclat de rire de Léon résonne, défiant le futur. — Immortalise ça, gamine ! Quand les murs tomberont, nos fantômes danseront encore. À la vôtre pour l'éternité !
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philoursmars · 7 months ago
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Il y a une quinzaine de jours, Christine, son neveu Sébastien avec ses 2 enfants et moi sommes partis à Fontarrabie (Hondarribia). Sébastien nous mitraille !
La suite (et fin) dans peu de jours !
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datura21 · 2 years ago
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Quand Nastasja est là tu mitrailles à tout va. On ne sait jamais.
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aurevoirmonty · 1 year ago
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« On a massacré la moitié de la France, la plus jeune, la plus virile pour ravigoter les basses moelles de quatre magots anatomiques. Il faut ce qu’il faut ! C’est la gloire ! Tous les grands vampires durent cent ans ! Et la prochaine ce sera bien mieux ! bien plus implacable encore, bien plus fignolé, plus saignant, plus torrentiel, ça sera la fin du cheptel. La haine des Juifs pour les animaux que nous sommes est à ce point virulente, d’une telle ardeur contenue, concentrée, que nous serons projetés, embrasés, dépiautés, éparpillés dans la mitraille, tout vifs, avant d’avoir tiqué d’un œil… »
Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937)
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wildwaxshows · 1 year ago
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Fr., 23.5.2025, 21:00 Uhr: MITRAILLE (BE) + SENKRECHTSTARTER (HH) – Komet Musik Bar, Hamburg
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MITRAILLE
The city of Antwerp, Belgium may be primarily known for its harbour, cathedral and diamond trade, but anyone who scratches beneath the surface can find a thriving underground scene. Especially in the last few years the great output of hardcore and garage punk bands makes one suspect that - besides massive PFAS pollution and record breaking cocaine residue levels - there must be something in the water. Mitraille burst unto this scene in 2018 with a sound that takes the bursting-at-the-seams energy of modern day basement hardcore and injects it into a strain of diseased garage- and post punk. Think Uranium Club if they were Motörhead roadies with anger management issues. The band has been shredding its way through Europe since day one, releasing three EP's and a full album in the process. With a new album due for autumn 2024, Mitraille is ready to spread the Belgian garagecore gospel once more. 'MITRAIILLE' is the second full album by Mitraille. Out 20/09 on Spastic Fantastic Records, Belly Button Records, Ronny Rex and Rockerill Records.
SENKRECHTSTARTER
Beautiful new Punkband from Hamburg. Get excitedddddd!
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icariebzh · 11 months ago
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"Je n'ai pas peur de la route Faudrait voir, faut qu'on y goûte Des méandres au creux des reins Et tout ira bien là Le vent nous portera
Ton message à la Grande Ourse Et la trajectoire de la course Un instantané de velours Même s'il ne sert à rien va Le vent l'emportera
Tout disparaîtra mais Le vent nous portera
La caresse et la mitraille Et cette plaie qui nous tiraille Le palais des autres jours D'hier et demain Le vent les portera
Génétique en bandoulière Des chromosomes dans l'atmosphère Des taxis pour les galaxies Et mon tapis volant, dis? Le vent l'emportera Tout disparaîtra mais Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes Ce qui peut frapper à ta porte Infinité de destins On en pose un et qu'est-ce qu'on en retient? Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte Et que chacun refait ses comptes J'emmène au creux de mon ombre Des poussières de toi Le vent les portera Tout disparaîtra mais Le vent nous portera"
Noir Désir
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batatoooooo · 25 days ago
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Le D I V I N 🎩🎩🎩🎗️🎗️🎗️💋💋💋
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batatoooooo · 27 days ago
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Le Sacre 👑👑👑👑👑👑🎩🎗️
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gourmandisestv-paris · 5 months ago
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Mon OMELETTE AUX GIROLLES - De saison ! - Un délice d'Automne - Mère Mit... RECIPE: Autumn is the starting point for picking mushrooms in the forest! Chanterelles, Ceps, Trumpets of Death... A terrible delight that you should enjoy quickly in this season. La Mère Mitraille offers you her recipe, like a childhood memory, the famous chanterelle omelette on Sunday morning. The list of ingredients is in the video. Enjoy!. Christophe.
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calpurnia612 · 9 months ago
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Les dames de Brassens
Sur l'air (approximativement) de la chanson Mélanie
Les coquines de l'ami Georges dans ses airs drôles autant qu'osés qu'il racontait à pleine gorge qu'il savait si bien composer,
s'appelaient Ninon ou Fernande sans perdre de vue Mélanie ces joyeuses filles en bande imaginons-les réunies
Quand c'est l'oreille que l'on rince ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Avec leurs prénoms de grand-mères elles avaient des charmes infinis pour les soldats de toutes guerres qu'on voit sur les clichés jaunis
quand ils mouraient sous la mitraille en Algérie à Diên Biên Phu ils ne rêvaient pas de médaille mais à leur enchantement fou
Que les culs serrés se décoincent ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces oiselles de bon augure qui narguaient un ordre établi héroïnes toutes en luxure ne tomberont pas dans l'oubli
car sous leurs manières peu sages les bidasses et les carabins imaginaient sous les corsages dont elles s'allégeaient pour le bain
Qu'elles soient de Paris de province ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces ombres dans les cimetières font bander à coup sûr les morts qui se branlent tous dans leur bière devant ces jolis petits corps
Quelquefois elles ressuscitent sous la guitar' d'un vieux poète voici leurs appas d'Aphrodites quand ce gars leur chante fleurette
Elles sont pour les gueux pour les princes ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
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ekman · 11 months ago
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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