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So the boys arent in MiamiX anymore???? Alright ladies where did they relocate too? From Christophers ig story it appears to be an older apartment. The bathroom sink looks older.
still in miami i guess i didn’t care much and still don’t care
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KEBAB PASSION 72 – ÉPISODE ORNE-SERIE – ISTANBUL, LA RUÉE VERS L'ORNE
Une rumeur court dans les bas-fonds du Mans depuis quelques temps. Un bruit, qui parle d'une terre fertile, où un homme pourrait facilement s'engraisser. Où il serait simple de devenir prospecteur, il suffirait de mettre sa famille dans une caravane, de s'acheter une pioche, et de revendiquer une parcelle.
Billy-bouffe tournait fou. Il n'en dormait plus la nuit. Le chant des sirènes Ornaises l'appelait sans cesse, et lorsqu'il fermait les yeux, des frites partout.
Un soir pluvieux de novembre, la fièvre nous gagna également. Nous décidâmes de nous affranchir de notre condition sartho-sarthoise, et nous partîmes, Billy-bouffe, Miamix, et moi, Rock, fiers colons de la malbouffe.
Cap au Nord, direction Alençon'gelès. La ruée vers l'Orne.
Je n'ai besoin de personne, en 106 Col'Orne Line.
Le trajet fût long. Très long. Très très long, mais vraiment, très très très long.
Mais long.
Long.
Très long.
Puis nous arrivons.
Istanbul se dresse devant nous. Aurons-nous bientôt les poches remplies d'Ornes ?
Une façade sobre, sans Orne-ment.
"Howdy", s'exclama Billy-bouffe en poussant les portes battantes. "Servez-nous de votre kebab le plus fort".
Nous prenons ensuite place dans le saloon. La décoration est du meilleur goût. A côté de notre table, une photo de bateau démesurée; probablement le vestige d'un précédent établissement. Autant à sa place que du curry dans un kebab.
Notons que le kebab propose des binouzes et Rock fait cavalier solitaire en choisissant d'être un Despérados. Les assiettes arrivent plus vite qu'en Pony Express. Epuisés que nous sommes par notre périple, le kebab sera rapidement englouti. La présentation est simple, efficace. Nous les mangeons sans un mot, le silence est d'Orne.
Vu comme ça, il ne paie pas de mine, mais c'est une mine d'Orne.
Parlons des ingrédients. Car il y a des choses à dire.
La première chose que l'on remarque, ce sont les frites. Elles n'on pas cette rigidité propre aux frites surgelées, ici on a affaire à du fait maison. Personnellement, elles me rappellent celles que faisait ma maman le dimanche midi, avec le poulet rôti. Celles que l'ont venait de découper dans de grosses pommes de terres, et qu'on jetait dans la vieille friteuse Moulinex familiale. Des souvenirs jaunis, mais pas ternis.
La viande est fondante. Elle n'a pas d'arrière gout méconnaissable, non. Si les boeufs de Kobe se faisaient brocher, le résultat n'aurait sûrement rien à voir, mais nous aimons à penser que c'est ce à quoi le goût s'en rapprocherait le plus.
En complément de tout cela, le pain est frais, ainsi que les légumes. Ces derniers savent même rester à leur place, et ne s'accaparent pas le sandwich.
Décidément, à la table de poker du saloon, nous avons cinq as en main.
Alors que nous pensions le repas fini, Billy-bouffe en décida autrement. C'est ainsi que le deuxième service commença, avec une pita bonus, ainsi qu'une barquette de viande, en toute simplicité.
Est-ce qu'on est pas bien, paisible ? à la graisse ? décontracté de la barquette, et on bouffera quand on aura envie de bouffer.
Quand il n'y en a plus, il y en a enc'Orne.
Et pour achever cette soirée, le gros chat du Kebab nous fera des gros poutous alors que nous sortions de l'établissement. Une délicate attention, venant certainement d'une future broche.
Nous remontons dans notre caravane, et repartons vers le soleil couchant.
Merci mimi pour ce bon repas. L'Istanbul à tout de l'El Dorado du bouffar. C'est la première fois qu'on souhaite à tous. Comme si, du bout du doigt, nous avions touché à quelque chose qui nous dépasse. Ce n'est qu'un Or(ne) revoir, nous reviendrons ! Le retour au pays sera rude : c'est limite Red Bled Redemption ici. Mais nous revenons grandis. Tous ces territoires lointains sont autants de promesses de succulents kebabs.
Et pour conclure ce Orne-série, nous vous laissons avec les mots d'un autre : "C'est loin mais c'est beau".
Pour Bouffar-3000, Billy-Bouffe, Rick, et Miamix.
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[STAR PEOPLE NEWS] Petit rappel, tous les Samedis, retrouvez votre émission Star People dans sa version radio ! C'est sur Magik9 dans le cadre de Miamix WITH Nickymix, tous les Samedis à 16h00 en #Haïti / 22h00 en France ! Et si vous avez manqué l'émission, le #podcast est d'ores et déjà dispo, listen ! Et pour info, #Magik9 à Port-au-Prince, sur le 100.9 FM, à demain !
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PARA ONE - Miamix 2013
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#miamix @misomarketing team #veryperry @mcyokim @jamesbrowninmiami @cyndeguz @laurapieretti @copypolice @frankyarriola @napdogmedia (at ToroToro Pan Latin Steakhouse & Latin Spirit Lounge)
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[resto] King Kebab au Mans #KEBAB-PASSION-72
KEBAB PASSION 72 – EPISODE 2 – LE KEBAB EST MORT, VIVE LE KEBAB ?
Une douce soirée d’été.
Nous sommes cinq bouffars : Rick, Rock, Miamix, Lolopizza ainsi que Granana. La team KP72 est quasiment au complet.
Le kebab nous appelle, l’hypercentre sera notre repère. Après la déconvenue de deux kebabs aoûtistes, nous errons en quête d’un établissement qui saura ravir nos papilles. Nous arrivons rue du port, tels des marins à Amsterdam cherchant le cœur des frites, et sommes ensorcelés par le chant tutoyé d’un Kebabiste. C’est ainsi que nous pénétrons dans le fief du King Kebab.
Le blason d'un royaume à conquérir.
Nous passons notre commande: Mon royaume pour un kebab !
Le verdict tombe, Ce sera deux kebab sauce algérienne, un sauce blanche, une pita à l’algérienne ainsi qu’un panini spécialité fromagère quadruple, pour notre malgré elle « amie » végétarienne.
Le kebab se fait attendre et le panini encore plus. Nous serons servis en terrasse. Notons le confort des chaises ainsi que les boutades du patron quant à la petite taille de Rick. Ambiance PMU de campagne épicé.
Le Roi saura-t-il accueillir des convives tels des semblables ?
Après une légère attente pour les carnivores, nous voyons la terre dans notre longue vue : les kebabs arrivent. Face à la bête, nous l’auscultons. Tranches généreuses, chichement grillés, le kebab semble au premier coup d’œil plutôt garni. Les frites sont bien grillés et la sauce arrive à la moitié de la barquette qui lui sert de nid. Le kit-kebzouz est complet, tout est là à sa place, même l’argenterie plastique est plantée telle la fourche d’un trident au milieu de notre sandwich chaud.
Chaud ? Pas tant que ça. Nous nous apercevons vite que les kebab sont au mieux tièdes. Au pire, froids comme le cœur de la veuve d’un marin qui ne reviendra plus. Au niveau du pain, c’est mou. Comme Rick après deux bières, nous fait remarquer Lolopizza. Regards complices et tensions derrière les oignons. Saluons néanmoins la tentative noble d’assaisonnement de la viande.
Le King se veut au dessus du peuple.
Un kebab qui mérite ses deux points de présentation.
Les frites semblent épargnées par ce soucis, et croustillent sous nos dents avides. On notera cependant que la jauge d’huile reste timide au niveau des patates, voire sur le plat complet. En plus d’être froide, nous notons que la viande de notre kebab manque de cuisson. Bien que les morceaux soient généreux, ils manquent d’effectif. Entre chaque morceau se trouve de l’air, qui ne fait même pas office de bouffée d’oxygène, ce qui rendra malheureux un certain Jean Michel.
C’est la douche froide.
Comme quoi, l'habit ne fait pas le moine.
Et la pita parlons en ! Celle-ci est à la bonne température, elle se trouve épargnée de ce vice de conception, cela grâce à son architecture élaborée, et sa petite couverture de survie en aluminium qui conserve sa chaleur.
A mi-parcours, Miamix trouve l’ingrédient surprise: le fromage… Que fait il ici? Aurions nous ici affaire à un pitacos ?
Ce mélange qui n’existait selon moi que dans les livres, se vit matérialisé sous nos yeux. Avec l’arrivée de ce régal laitier, un surplus du jus se fit sentir à l’autre extrémité du wrap. La capote de la pita craque. Le plateau prend l’eau. Et Miamix aussi par la même occasion.
Une véritable faciale culinaire. L’histoire de la vie. Sale histoire.
Des images terribles.
Ne nous attardons pas trop longtemps sur les pérégrinations végétariennes de notre comparse Granana, puisque nos hôtes l’on déjà fait suffisamment fait attendre. Nous retrouvons le concept Malabar Bigoût dans le panini, avec une répartition stéréo du fromage : le roquefort à bâbord, et du simili-plastique à tribord.
Le plastique c’est fantastique, mais que nenni, dans un panini.
Notons quand même le croustillant du pain, qui selon Granana est « Ok ».
Bref, le navire coule.
En même temps, quelle idée de prendre ça.
En fin de parcours, on nous apporte un thé à la menthe pour se faire excuser de l’attente. Offrande ultime. Celui-ci à beau être chaud, il est malgré tout beaucoup trop sucré. Même s’il est gratuit, ce qui est un bon prix, celui-ci n’a de bon que son tarif.
Le souper se termine et les estomac crient. Le kebab laisse un goût amer au fond de l'estomac, prémices d'une lendemain au petit coin.Voici la promesse du King: Le discours d'un roi se passera sur le trône. Le King Kebab serait-il encore un kebab qui jouit de sa position plus que d’un véritable savoir-faire? Cette dégustation nous prête à croire que ces deux moussaillons submergés par un ruissellement de commandes n’ont rien de vrais maîtres Kebabistes.
Pour résumer le souper, un kebab fait un peu comme on honore bobonne en fin de mois : il faut le faire, mais on le fait sans passion.
Pour Bouffar 3000, Rick, Rock, Lolopizza, Miamix et Granana.
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Para One - Miamix 2013
Tracklist:
Kenny Dope - That Sound
Myd feat. Boston Bun - Same Old Brand New You
Bobmo - Werk It
Logo - Cardiocleptomania (Para One remix)
Crackboy - User
Daniel Avery - Naive Reception
Nick Monaco - Set The Table (feat. Travie Bobby)
L-vis 1990 - Circuits
Copy Paste Soul - Let It Go
Sophie - Eeehhh
Surkin - Tiger Rhythm
Mz Thang - Club Music (dirty)
Djedjotronic - Kaiko
Detroit Grand Pubahs - The Clapper
DJ Deeon - Lightspeed
Expect No Less - Trick
Expect No Less - Humpin
Bambounou - Let Me Get (feat. French Fries)
High Powered Boys - Girly
Sweater Beats - Mlln Dllr
Para One - Every Little Thing Remix (feat. Cam'ron, Irfane & Teki Latex)
Para One - Every Little Thing (Canblaster remix feat. Cam'ron, Irfane & Teki Latex)
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