#kp72
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KEBAB PASSION 72 – ÉPISODE 6 – EDESSA ? ET DÉÇU
Rapport de police – Couëffort – 20 Novembre 2018
Le document ci-joint à été retrouvé dans les bois de Changé, dans la nuit du 18 au 21 novembre, dans un document de type disquette floppy. A côté de la disquette, se trouvaient deux objets : une fourchette colorée en plastique ensanglantée, ainsi qu'un porte-clé Ganesh.
Face à l'incompréhension de nos enquêteurs, nous avons préféré faire remonter l’enquête au niveau national.
Le brigadier-chef S. Ouraï.
Ce soir, c'est Halloween.
Toute la ville tremble, saisie d'une torpeur morbide.
Ne craignant pas la purge, la grosse équipe, composée de Billy-Bouffe, Rick, Rock et en spécial guest "monsieur Bouffar", j'ai nommé Jumbo, s'en va étriper du kebab. Nous errons sans but dans les rues moites du Mans. Ces dernières sont quasiment désertes, et nous nous égarons dans une brume épaisse.
Étourdis par la brume, sûrement maléfique, nous perdons conscience.
Lorsque nos esprits nous reviennent, nous peinons à nous orienter.
Une enseigne clignote. A notre gauche, la gare. Devant nous, un Kebab.
Sur la devanture, deux mots. "Restaurant Edessa". Apeurés, nous pénétrons dans l'enseigne.
Un refuge ? Rien n'est moins sûr.
Un phare dans la pénombre ?
A l'intérieur, une lumière. Le bout du tunnel ? Ou juste un néon de chiottes de boîte de nuit qui réfléchit sur un carrelage trop blanc ?
Un maître-Kebab, le nez entre deux broches, nous accueille sans le moindre signe d'hospitalité. Nous passons commande et comme dans tout bon film d'horreur, le groupe décide de se séparer en deux; la team kebab et la team tacos.
Nous prenons place entre un tuyau de gaz et une arrière cuisine qui n'est pas sans rappeler “Irréversible” du petit Noé (pas celui des animaux, celui des films).
Un kebab qui sent le ... On vous laisse deviner.
Après une attente incertaine et l'une des deux broches réduite à néant, les sandwiches chauds arrivent, servis en assiettes (!).
Devant Rick&Rock, deux kebabs sauce algérienne. La viande, majoritairement du poulet, manque cruellement de cuisson. C'est quasiment saignant; d'aucuns diront des cadavres encore chauds. On notera l'aspect de la sauce algérienne. Elle ne nous fait penser à rien que l'on ait déjà pu voir. Les frites semblent honnêtes, à côté de leurs comparses à l'allure suspecte.
Nous mordons dans la bête. Ce n'était pas du sang. C'est du curry ! Les effluves du Gange nous arrivent dans la gorge. C'est confirmé, le tueur vient de Bombay.
La viande semble plus déchiquetée que découpée. Ça manque de cuisson et le curry ne nous trompera pas. Agacé par celui-ci, nous saisissons une frite à pleine main et trempons notre patatas fritas dans la sauce algérienne.
Nous nous rendons compte à cet instant qu'il est déjà trop tard.
Car il était là aussi, tapis dans la sauce aux allures marécageuse. Oui c'est bien lui ! C'est le curry !
Tel un Freddy Curry-ger de contrefaçon bollywoodienne, où que nous allions, quoi que nous fassions, il est là, avec toujours une saveur d'avance. Épices c'est tout.
L'arme du crime est là, clairement identifiée.
Vient l'heure de la team Tacos. Même si ... avec de la salade à l'intérieur, c'est plutôt la team roquette !
Ici la tradition est bafouée : nous nous contentons d'une vulgaire pita, sans sauce. Pas même de sauce fromagère, remplacée par l'emmental au feeling plastique. Une vraie torture, le marquis de Salade. Comme une grosse fessée, le plaisir en moins.
Le nugget du tacos de Billy-bouffe, prenant conscience de la futilité de son existence, essaiera même, dans une ultime tentative, de se donner la mort en glissant hors de l'assiette.
Et si nous avons retenu une chose de notre street-héritage, c'est bien que "Laisse pas trainer ton nuggets, si tu ne veux pas qu'il glisse".
Un monstre sous son masque.
A mi-parcours, le son de la télé se coupe. Trace Urban laisse place à un silence gênant. Nos regards se croisent. Nous savons déjà que nous sommes en train de participer à un rite païen. A un kebab contre nature. A un tacos malhonnête.
Nous sortons de l'établissement dépités. Peut être que ce kebab devrait profiter de sa proximité avec la gare pour faire ses valises ?
Billy-bouffe est en colère. Rick à encore du mal à croire à ce qui vient de se passer. Jumbo tient des propos incohérents.
En fermant les yeux, nous voyons des images de Gandhi en train de pleurer.
Nous tentâmes de sauver la soirée en achetant de la ginger ale dans la supérette de nuit de l'autre côté de la rue, mais même l'infect breuvage au gingembre ne noya pas notre effroi (NDRC : les infidèles seront châtiés pour leurs propos désobligeants, et le nouveau règne de la ginger ale sera éternel).
Plusieurs jours ont passé depuis la soirée, et des flashbacks nous reviennent encore. Tel un vétéran du 'Nam, il m'arrive encore de me réveiller en sueur, la nuit. De revoir ces atrocités. Ces images me hantent. Mais c'est fini maintenant. Nous somme en sécurité. Il ne peut plus rien nous arriver.
Plus rien ?
Pour Bouffar 3000, Billy-Bouffe, Rick, Rock et Jumbo.
En réponse au courrier du brigadier-chef S. Ouraï :
Nous vous remercions d'avoir pris le temps d'analyser cette affaire, et d'en avoir fait suivre les éléments. Cependant, nous vous demanderons de bien vouloir en effacer toutes traces, et d'oublier à jamais cette correspondance.
Si vous tenez à votre poste, et pour votre bien.
Le préfet.
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kp72
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24 cm x 30 cm
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《KAZUYUKI KUMAGAI》入荷情報。8/26
おはようございます。
本日は、KAZUYUKI KUMAGAIの秋冬最新作が
入荷いたしましたので、ご紹介致します。
10/1x20/1ハイパーストレッチツイル サルエルパンツ(KP72-004)
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80/2度詰天竺 レイヤード Tee長袖
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15,120円(税込)
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KEBAB PASSION 72 – ÉPISODE ORNE-SERIE – ISTANBUL, LA RUÉE VERS L'ORNE
Une rumeur court dans les bas-fonds du Mans depuis quelques temps. Un bruit, qui parle d'une terre fertile, où un homme pourrait facilement s'engraisser. Où il serait simple de devenir prospecteur, il suffirait de mettre sa famille dans une caravane, de s'acheter une pioche, et de revendiquer une parcelle.
Billy-bouffe tournait fou. Il n'en dormait plus la nuit. Le chant des sirènes Ornaises l'appelait sans cesse, et lorsqu'il fermait les yeux, des frites partout.
Un soir pluvieux de novembre, la fièvre nous gagna également. Nous décidâmes de nous affranchir de notre condition sartho-sarthoise, et nous partîmes, Billy-bouffe, Miamix, et moi, Rock, fiers colons de la malbouffe.
Cap au Nord, direction Alençon'gelès. La ruée vers l'Orne.
Je n'ai besoin de personne, en 106 Col'Orne Line.
Le trajet fût long. Très long. Très très long, mais vraiment, très très très long.
Mais long.
Long.
Très long.
Puis nous arrivons.
Istanbul se dresse devant nous. Aurons-nous bientôt les poches remplies d'Ornes ?
Une façade sobre, sans Orne-ment.
"Howdy", s'exclama Billy-bouffe en poussant les portes battantes. "Servez-nous de votre kebab le plus fort".
Nous prenons ensuite place dans le saloon. La décoration est du meilleur goût. A côté de notre table, une photo de bateau démesurée; probablement le vestige d'un précédent établissement. Autant à sa place que du curry dans un kebab.
Notons que le kebab propose des binouzes et Rock fait cavalier solitaire en choisissant d'être un Despérados. Les assiettes arrivent plus vite qu'en Pony Express. Epuisés que nous sommes par notre périple, le kebab sera rapidement englouti. La présentation est simple, efficace. Nous les mangeons sans un mot, le silence est d'Orne.
Vu comme ça, il ne paie pas de mine, mais c'est une mine d'Orne.
Parlons des ingrédients. Car il y a des choses à dire.
La première chose que l'on remarque, ce sont les frites. Elles n'on pas cette rigidité propre aux frites surgelées, ici on a affaire à du fait maison. Personnellement, elles me rappellent celles que faisait ma maman le dimanche midi, avec le poulet rôti. Celles que l'ont venait de découper dans de grosses pommes de terres, et qu'on jetait dans la vieille friteuse Moulinex familiale. Des souvenirs jaunis, mais pas ternis.
La viande est fondante. Elle n'a pas d'arrière gout méconnaissable, non. Si les boeufs de Kobe se faisaient brocher, le résultat n'aurait sûrement rien à voir, mais nous aimons à penser que c'est ce à quoi le goût s'en rapprocherait le plus.
En complément de tout cela, le pain est frais, ainsi que les légumes. Ces derniers savent même rester à leur place, et ne s'accaparent pas le sandwich.
Décidément, à la table de poker du saloon, nous avons cinq as en main.
Alors que nous pensions le repas fini, Billy-bouffe en décida autrement. C'est ainsi que le deuxième service commença, avec une pita bonus, ainsi qu'une barquette de viande, en toute simplicité.
Est-ce qu'on est pas bien, paisible ? à la graisse ? décontracté de la barquette, et on bouffera quand on aura envie de bouffer.
Quand il n'y en a plus, il y en a enc'Orne.
Et pour achever cette soirée, le gros chat du Kebab nous fera des gros poutous alors que nous sortions de l'établissement. Une délicate attention, venant certainement d'une future broche.
Nous remontons dans notre caravane, et repartons vers le soleil couchant.
Merci mimi pour ce bon repas. L'Istanbul à tout de l'El Dorado du bouffar. C'est la première fois qu'on souhaite à tous. Comme si, du bout du doigt, nous avions touché à quelque chose qui nous dépasse. Ce n'est qu'un Or(ne) revoir, nous reviendrons ! Le retour au pays sera rude : c'est limite Red Bled Redemption ici. Mais nous revenons grandis. Tous ces territoires lointains sont autants de promesses de succulents kebabs.
Et pour conclure ce Orne-série, nous vous laissons avec les mots d'un autre : "C'est loin mais c'est beau".
Pour Bouffar-3000, Billy-Bouffe, Rick, et Miamix.
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[resto] King Kebab au Mans #KEBAB-PASSION-72
KEBAB PASSION 72 – EPISODE 2 – LE KEBAB EST MORT, VIVE LE KEBAB ?
Une douce soirée d’été.
Nous sommes cinq bouffars : Rick, Rock, Miamix, Lolopizza ainsi que Granana. La team KP72 est quasiment au complet.
Le kebab nous appelle, l’hypercentre sera notre repère. Après la déconvenue de deux kebabs aoûtistes, nous errons en quête d’un établissement qui saura ravir nos papilles. Nous arrivons rue du port, tels des marins à Amsterdam cherchant le cœur des frites, et sommes ensorcelés par le chant tutoyé d’un Kebabiste. C’est ainsi que nous pénétrons dans le fief du King Kebab.
Le blason d'un royaume à conquérir.
Nous passons notre commande: Mon royaume pour un kebab !
Le verdict tombe, Ce sera deux kebab sauce algérienne, un sauce blanche, une pita à l’algérienne ainsi qu’un panini spécialité fromagère quadruple, pour notre malgré elle « amie » végétarienne.
Le kebab se fait attendre et le panini encore plus. Nous serons servis en terrasse. Notons le confort des chaises ainsi que les boutades du patron quant à la petite taille de Rick. Ambiance PMU de campagne épicé.
Le Roi saura-t-il accueillir des convives tels des semblables ?
Après une légère attente pour les carnivores, nous voyons la terre dans notre longue vue : les kebabs arrivent. Face à la bête, nous l’auscultons. Tranches généreuses, chichement grillés, le kebab semble au premier coup d’œil plutôt garni. Les frites sont bien grillés et la sauce arrive à la moitié de la barquette qui lui sert de nid. Le kit-kebzouz est complet, tout est là à sa place, même l’argenterie plastique est plantée telle la fourche d’un trident au milieu de notre sandwich chaud.
Chaud ? Pas tant que ça. Nous nous apercevons vite que les kebab sont au mieux tièdes. Au pire, froids comme le cœur de la veuve d’un marin qui ne reviendra plus. Au niveau du pain, c’est mou. Comme Rick après deux bières, nous fait remarquer Lolopizza. Regards complices et tensions derrière les oignons. Saluons néanmoins la tentative noble d’assaisonnement de la viande.
Le King se veut au dessus du peuple.
Un kebab qui mérite ses deux points de présentation.
Les frites semblent épargnées par ce soucis, et croustillent sous nos dents avides. On notera cependant que la jauge d’huile reste timide au niveau des patates, voire sur le plat complet. En plus d’être froide, nous notons que la viande de notre kebab manque de cuisson. Bien que les morceaux soient généreux, ils manquent d’effectif. Entre chaque morceau se trouve de l’air, qui ne fait même pas office de bouffée d’oxygène, ce qui rendra malheureux un certain Jean Michel.
C’est la douche froide.
Comme quoi, l'habit ne fait pas le moine.
Et la pita parlons en ! Celle-ci est à la bonne température, elle se trouve épargnée de ce vice de conception, cela grâce à son architecture élaborée, et sa petite couverture de survie en aluminium qui conserve sa chaleur.
A mi-parcours, Miamix trouve l’ingrédient surprise: le fromage… Que fait il ici? Aurions nous ici affaire à un pitacos ?
Ce mélange qui n’existait selon moi que dans les livres, se vit matérialisé sous nos yeux. Avec l’arrivée de ce régal laitier, un surplus du jus se fit sentir à l’autre extrémité du wrap. La capote de la pita craque. Le plateau prend l’eau. Et Miamix aussi par la même occasion.
Une véritable faciale culinaire. L’histoire de la vie. Sale histoire.
Des images terribles.
Ne nous attardons pas trop longtemps sur les pérégrinations végétariennes de notre comparse Granana, puisque nos hôtes l’on déjà fait suffisamment fait attendre. Nous retrouvons le concept Malabar Bigoût dans le panini, avec une répartition stéréo du fromage : le roquefort à bâbord, et du simili-plastique à tribord.
Le plastique c’est fantastique, mais que nenni, dans un panini.
Notons quand même le croustillant du pain, qui selon Granana est « Ok ».
Bref, le navire coule.
En même temps, quelle idée de prendre ça.
En fin de parcours, on nous apporte un thé à la menthe pour se faire excuser de l’attente. Offrande ultime. Celui-ci à beau être chaud, il est malgré tout beaucoup trop sucré. Même s’il est gratuit, ce qui est un bon prix, celui-ci n’a de bon que son tarif.
Le souper se termine et les estomac crient. Le kebab laisse un goût amer au fond de l'estomac, prémices d'une lendemain au petit coin.Voici la promesse du King: Le discours d'un roi se passera sur le trône. Le King Kebab serait-il encore un kebab qui jouit de sa position plus que d’un véritable savoir-faire? Cette dégustation nous prête à croire que ces deux moussaillons submergés par un ruissellement de commandes n’ont rien de vrais maîtres Kebabistes.
Pour résumer le souper, un kebab fait un peu comme on honore bobonne en fin de mois : il faut le faire, mais on le fait sans passion.
Pour Bouffar 3000, Rick, Rock, Lolopizza, Miamix et Granana.
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《KAZUYUKI KUMAGAI》入荷情報。8/5
おはようございます。
長い間のお休みありがとうございました。
OVUMは、本日より通常営業です。
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本日は、KAZUYUKI KUMAGAIの秋冬最新作が
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