#max ernst & marie-berthe aurenche
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Victor Brauner, Portrait of André Breton, 1934
Max Ernst and Marie Berthe Aurenche, Portrait d'André Breton, 1930
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安德烈·布勒東 André Breton (1896-1966),《超現實主義宣言》中是否有超現實主義第三次宣言的序言(1942).
▪︎ He was a French writer and poet, the co-founder, leader, and principal theorist of surrealism.
《 這個世界一直被理性壓抑,因此我們要超越現實。
The world has been suppressed by reason, so we have to go beyond reality. 》 ─ André Breton
▪︎ Portrait of André Breton (1934) by Victor Brauner
▪︎ Portrait of André Breton by Max Ernst & Marie-Berthe Aurenche at Bonhams Surrealist Sale in Paris
❝ Tant que les hommes n’auront pas pris conscience de leur condition — je ne dis pas seulement de leur condition sociale mais de leur condition en tant qu’hommes et de l’extrême précarité de celle-ci : durée dérisoire par rapport au champ d’action de l’espèce tel que l’esprit croit l’embrasser, soumission plus ou moins en cachette de soi-même à des instincts très simples et très peu nombreux, pouvoir de penser, oui mais d’un ordre infiniment surfait, pouvoir frappé d’ailleurs de routine, que la société veille à canaliser dans des directions déjà définies où sa surveillance peut s’exercer et, de plus, pouvoir sans cesse défaillant en chaque homme et sans cesse équilibré par un pouvoir au moins égal de ne pas penser (par soi-même) ou de penser mal (seul ou, de grande préférence, avec les autres) ; tant que les hommes s’obstineront à se mentir à eux-mêmes ; tant qu’ils ne feront pas la part sensible de l’éphémère et de l’éternel, du déraisonnable et du raisonnable qui les possèdent, de l’unique jalousement préservé en eux et de sa diffusion enthousiaste dans le grégaire ; tant que sera départi aux uns, en Occident, le goût de risquer dans l’espoir d’améliorer, aux autres en Orient la culture de l’indifférence; tant que les uns exploiteront les autres sans même en tirer de jouissance appréciable — l’argent est entre eux en tyran commun — l’argent est entre eux en serpent qui se mord la queue et mèche de bombe — ; tant qu’on ne saura rien en faisant mine de tout savoir, la bible d’une main et Lénine de l’autre ; tant que les voyeurs parviendront à se substituer aux voyants, au cours de la nuit noire, et tant que… (je ne puis non plus le dire, ayant moins que quiconque la prétention de tout savoir; il y a plusieurs autres tant que, énumérables), ce n’est pas la peine de parler, c’est encore moins la peine de s’opposer les uns aux autres, c’est encore moins la peine d’aimer sans contredire à tout ce qui n’est pas l’amour, c’est encore moins la peine de mourir et — printemps à part, je songe toujours à la jeunesse, aux arbres en fleurs, tout cela scandaleusement décrié, décrié par les vieillards — je songe au magnifique hasard des rues, même de New York, c’est encore moins la peine de vivre. Il y a, je songe à cette belle formule optimiste de reconnaissance qui revient dans les derniers poèmes d’Apollinaire : il y a la merveilleuse jeune femme qui tourne en ce moment, toute ombrée de ses cils, autour des grandes boîtes de craie en ruine de l’Amérique du Sud, et dont un regard suspendrait pour chacun le sens même de la belligérance; il y a les Néo-Guinéens, aux premières loges dans cette guerre — les Néo-Guinéens dont l’art a toujours subjugué tels d’entre nous bien plus que l’art égyptien ou l’art roman — tout au spectacle qui leur est offert dans le ciel — pardonnez-leur, ils n’avaient à eux seuls que les trois cents espèces de paradisiers — il paraît qu’ils « s’en payent », ayant à peine assez de flèches de curare pour les blancs et les jaunes ; il y a de nouvelles sociétés secrètes qui cherchent à se définir au cours de multiples conciliabules, au crépuscule, dans les ports ; il y a mon ami Aimé Césaire, magnétique et noir, qui, en rupture avec toutes les rengaines, éluardienne et autres, écrit les poèmes qu’il nous faut aujourd’hui, à la Martinique. Il y a aussi les têtes de chefs qui affleurent à peine de la terre et, ne voyant encore que leurs cheveux, chacun se demande quelle est cette herbe qui vaincra, qui aura raison de la sempiternelle « peur de changer pour que ça recommence ». Ces têtes commencent à poindre quelque part dans le monde — tournez-vous sans fatigue et sans cesse de tous les côtés. Nul ne sait avec certitude qui sont ces chefs, d’où ils vont venir, ce qu’historiquement ils signifient — et peut-être serait-il trop beau qu’ils le sachent eux-mêmes. Mais ils ne peuvent manquer d’être déjà : dans la tourmente actuelle, devant la gravité sans précédent de la crise sociale aussi bien que religieuse et économique, l’erreur serait de les concevoir comme produits d’un système que nous connaissons entièrement. Qu’ils viennent de tel horizon conjecturable, nul doute : encore leur aura-t-il fallu faire leurs plusieurs programmes adjacents de revendication dont les partis jusqu’ici ont estimé n’avoir que faire — ou l’on retombera vite dans la barbarie. Il faut, non seulement que cesse l’exploitation de l’homme par l’homme, mais que cesse l’exploitation de l’homme par le prétendu « Dieu », d’absurde et provocante mémoire. Il faut que soit révisé de fond en comble, sans trace d’hypocrisie et d’une manière qui ne peut plus rien avoir de dilatoire, le problème des rapports de l’homme et de la femme. Il faut que l’homme passe, avec armes et bagages, du côté de l’homme. Assez de faiblesses, assez d’enfantillages, assez d’idées d’indignité, assez de torpeurs, assez de badauderie, assez de fleurs sur les tombes, assez d’instruction civique entre deux classes de gymnastique, assez de tolérance, assez de couleuvres ! Les partis : ce qui est, ce qui n’est pas dans la ligne. Mais si ma propre ligne, fort sinueuse, j’en conviens, du moins la mienne, passe par Héraclite, Abélard, Eckhard, Retz, Rousseau, Swift, Sade, Lewis, Arnim, Lautréamont, Engels, Jarry et quelques autres ? Je m’en suis fait un système de coordonnées à mon usage, système qui résiste à mon expérience personnelle et, donc, me paraît inclure quelques-unes des chances de demain.❞
— André Breton, Prolégomènes à un troisième manifeste du surréalisme ou non (1942) in Manifestes du surréalisme
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Marie-Berthe Aurenche, Max Ernst, Lee Miller, Man Ray
c. 1930
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Josef Breitenbach
Max Ernst and his wife, Marie-Berthe Aurenche
Paris, 1936
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"Autoportrait dans un Photomaton" de Jean Aurenche, Marie-Berthe Aurenche et Max Ernst (circa 1929) à l'exposition “Surréalisme" au Centre Pompidou, Paris, novembre 2024.
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Portrait of André Breton by Max Ernst and Marie-Berthe Aurenche at Bonhams Surrealist sale in Paris
Paris – Portrait d’André Breton by Max Ernst (1891-1976) and his then-wife Marie-Berthe Aurenche (1906-1960), leads Bonhams La Révolution Surréaliste sale on the 29 March in Paris. The rare joint work by the pair has an estimate of €400,000 – 600,000. Following the outstanding results for Bonhams’ latest sales dedicated to Surrealism in 2021 and 2022 in London, Bonhams is delighted to present the…
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Marie-Berthe Aurenche, Max Ernst, Lee Miller, and Man Ray c.1932 (photo: Man Ray)
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Marie-Berthe Aurenche, Max Ernst, Lee Miller and Man Ray, Paris. Source
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Max Ernst and his wife, Marie-Berthe Aurenche, Paris, Photo by Josef Breitenbach, 1936
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jean aurenche, marie-berthe aurenche, max ernst follow the light
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Marie-Berthe Aurenche, Max Ernst, Lee Miller, Man Ray
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Photo booth shots of Marie-Berthe Aurenche, Max Ernst’s second wife, c.1929. She would later become the mistress of artist Chaim Soutine, whom she was buried with after her suicide in 1960. Not much else is known about her life.
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Jean Aurenche, Marie Berthe Aurenche and Max Ernst, 1929
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Leonora Carrington 1917-2011
Do You Know My Aunt Eliza? 1941 ‘There was a romantic rivalry between Carrington and Marie-Berthe Aurenche, the wife of fellow artist Max Ernst. The tensions of this relationship and Ernst’s imprisonment, contributed to Carrington’s mental collapse as she escaped occupied France. She eventually reached New York and the work she may have created there relate closely to the artworks she drew while in therapy in Spain 1940.’
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Marie-Berthe Aurenche, wife of Max Ernst (ca. 1929)
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Portrait of André Breton by Max Ernst & Marie-Berthe Aurenche at Bonhams Surrealist Sale in Paris
Paris – Portrait d’André Breton by Max Ernst (1891-1976) and his then-wife Marie-Berthe Aurenche (1906-1960), leads Bonhams La Révolution Surréaliste sale on 29 March in Paris. The rare joint work by the pair has an estimate of €400,000 – 600,000. Following the outstanding results for Bonhams’ latest sales dedicated to Surrealism in 2021 and 2022 in London, Bonhams is delighted to present the…
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