#marc zermati
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Open Market, record store in Paris (1974)
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Marc Zermati and Joe Strummer
Goodbye Marc
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RIP Marc Zermati (1945 - 2020)
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Jusqu’en 1976, la scène rock et pop progressive française, malgré son succès auprès de la jeunesse, qu’on songe aux groupes Magma, Ange, Triangle ou aux Variations, ne bénéficie presque d’aucune promotion de la part des maisons de disques. Et par conséquent d’aucun passage à la radio ni à la télé. L’explosion du mouvement punk en Grande-Bretagne allait sacrément rebattre les cartes… 💋 SeXy Yesterday...
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Iggy and The Stooges “Metallic KO” 8 Disc Boxed Set Coming Soon
Proto-Punk rock legends Iggy and the Stooges will see an amazing 8 disc boxed set celebrating their final show in 1976, before their reunion 29 years later, Metallic KO and French label Skydog. Now all of the Skydog label’s Iggy releases, remastered, in a clam-shell box set containing seven CDs and a DVD – a fitting tribute to the label’s punk pioneer boss Marc Zermati,who passed away in June.…
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POST-SCRIPTUM 728
AGITATION FRITE 2 : DASHIELL HEDAYAT Y PASSAIT LA PLUPART DE SES APRÈS-MIDIS
Agitation Frite 1, Témoignages de l’underground français est donc sorti chez Lenka lente. Un second volume est en préparation. La forme en est la même : un peu moins d’une quarantaine d’entretiens dont la plupart, cette fois, sont inédits. On en trouvera ici des extraits, régulièrement. Par exemple, Gilles Yéprémian (Front de Libération de la Rock-Music, 30 Ans d’agitation musicale en France)…
EXTRAIT…
Quel âge as-tu en 1968 ?
17 ans et je suis au lycée.
Tu manifestes alors ?
Oui. Et encore maintenant !
Étais-tu Stones ou Beatles ?
Rolling Stones dirais-je… Ou plutôt Kinks, en fait ! Je n’ai aucun souvenir précis du premier disque acheté : peut être « Dandy » le single sur PYE, ou « Dead End Street » des mêmes Kinks sur le même label ?
Tes disques préférés de la fin des années 1960 / début des années 1970 ?
En vrac : le premier Soft Machine, le premier Hendrix, le premier Doors et Absolutely Live… Ummagumma du Floyd, Eric Burdon Declares War, Psychedelic Lollypop des Blues Magoos… Le premier Electric Prunes, le premier Moby Grape, le premier Beefheart, le premier MC5, le second Third World War… Joy Of A Toy de Kevin Ayers, le premier Big Brother, Village Green des Kinks. Ceux là et beaucoup d’autres !
Des concerts ?
Ceux qui m'ont marqué à vie ? Eric Burdon & War, les Byrds, la première fois que j'ai vu Captain Beefheart (c’était au Bataclan, pour Pop 2), Kevin Ayers et le Whole World au festival du Bourget, la première fois où j'ai vu Sun Ra au Théâtre du Châtelet. Par contre, la première fois que j'ai entendu les Doors en 1967, c’était à la radio, sur RTL, dans l'émission de Président Rosko, Minimax : ma tête à explosé ! Mes regrets ? Ne jamais avoir vu Hendrix et les Doors sur scène !
Écoutais-tu du free jazz ?
Oui. J'ai commencé par m'acheter des disques Byg : Archie Shepp, Sun Ra, Don Cherry, Art Ensemble Of Chicago, Sunny Murray, Alan Silva, Paul Bley, Clifford Thorton, Sonny Sharrock… Puis les Futura Records produits par Gérard Terronès : Anthony Braxton, Michel Portal, François Tusques, Jacques Thollot, Steve Lacy…
En matière de presse, que lisais-tu à l'époque ? Actuel, la première formule, sous-titrée "Jazz, Pop Music, Théâtre, Poésie" ? Avant que Jean-François Bizot ne rachète le titre et en fasse ce que tout le monde connaît...
Je n’ai pas connu Claude Delcloo mais, oui, je lisais le premier Actuel – on y découvrait plein de choses – puis le second… Je lisais également Rock & Folk, Best, Jazz Magazine, Rolling Stone US lorsque je le trouvais, NME et Melody Maker toutes les semaines, parfois Sounds, IT (International Times) et OZ que j'achetais à Londres lorsque j'y allais, Le Pop (de Max Peteau), le journal Tout, Libé bien évidemment, Action, L’Enragé, Pop Hebdo… Et d'autres dont j'ai oublié les noms...
Tu ne lisais ces titres que pour te tenir au courant de l'actualité musicale ? Cette presse était aussi un outil de contestation. Et la contre-culture ne s'incarnait pas que dans la musique. N'y voyais-tu pas également une manière de t'émanciper du système, voire de le remettre en cause ?
Bien sûr, c'était sous-entendu !
Quand et dans quelles circonstances découvres-tu Le Parapluie ?
À l'époque il y avait deux cents ou trois cents mecs qui faisaient tous les concerts, et à force de se croiser ici ou là, on se connaissait tous plus ou moins. C’est comme ça que nous nous sommes connus, Henri-Jean Enu et moi. D’ailleurs, je connaissais déjà Le Parapluie sans savoir que c'était son journal : je l'achetais devant les salles de concerts à des vendeurs à la criée, ou à la librairie Actualité, rue Dauphine, qui vendait à peu près toute la presse marginale. Un jour il m'a proposé de le rejoindre. Il y avait Hervé Delilia, qui ensuite écrira sur le ciné dans Rock & Folk sous le nom de Jonathan Farren ; Marc Zermati, sous le nom de Doctor Muzak ; Alain Pacadis, Yves Adrien pour Le Manifeste de la panthère électrique, Jean-Louis Brau ; et d’autres encore dont j’ai oublié les noms. Il y avait un dessinateur, qui avait lui-même son journal, Vanilla Free Press : Dominique Mulhem, qui m'a d’ailleurs fait connaitre Lard Free en m'emmenant un soir au Golf Drouot.
Tu as connu le lettriste Jean-Louis Brau ? J'aime beaucoup son bouquin Les Mauvais lieux de Londres que tu dois connaitre aussi. Le 45 tours sur le label Achele, Instrumentation verbale, est terrible !
J'ai dû le rencontrer une fois, mais j'ignorais qu'il avait fait un disque : je vais essayer de le trouver, il doit être rare et valoir une blinde j'imagine !
Il a été réédité et augmenté par Alga Marghen sur un LP vinyle monoface.
Je ne connais pas non plus le bouquin que tu évoques. Je connaissais surtout son fils : mao-spontex et imprévisible ! Et j'ai bien connu Maurice Lemaître… Il m'avait offert son disque sorti chez Saravah, et voulait faire « quelque chose » avec Lard Free : ça ne c'est pas fait, je ne me souviens plus pourquoi. Avec Henri-Jean Enu, on allait de temps en temps aux réunions lettristes dans un café du Boulevard Saint-Michel.
En quoi consistaient ces réunions ?
Ils parlaient entre eux. Ma mémoire est en panne pour te dire de quoi. Enu et moi n'étions que spectateurs.
Tu connaissais, j'imagine, Maurice Lemaître acteur chez Jean Rollin...
Avant de le rencontrer, je ne connaissais que le nom de Lemaître, sans en savoir plus. Evidemment je connaissais certains films de Jean Rollin, mais je ne savais pas que c'était le même Lemaître : je n'ai fait le rapprochement qu'après l'avoir connu !
Le Pop, que tu lisais donc, avait le format d'un quotidien traditionnel. On y parlait entre autres musique, ce journal affirmant en parallèle son adhésion au mode de vie hippie. Tu te sentais concerné ?
Par l’adhésion au mode de vie hippie ? Pas vraiment. Cependant c'était quand même sympathique, et la musique psyché défendue, pour pas mal de groupes, s’avérait plutôt intéressante. De plus, Le Pop organisait des concerts à La Bourse du Commerce une fois par semaine.
À partir de quel numéro participes-tu au Parapluie ?
Si je me souviens bien c'est à partir du n° 3.
Quels étaient tes sujets (musicaux) de prédilection ?
Ça remonte quand même à quarante-cinq ans ! J'ai écrit sur Lard Free, Third World War, Mormos ; j'écrivais aussi les news (annonces de concerts, sorties de disques)...
Tu fréquentes, dis-tu, la librairie de Pierre Scias, rue Dauphine, mais qu'en est-il de celle de Maspero, Joie de lire ? N'y trouvait-t-on pas également la presse underground ?
Oui, j'allais également chez Maspero, mais on y trouvait surtout la presse révolutionnaire. Actualité, c'était surtout la presse underground, c'est là que Le Parapluie se vendait le plus, et Dashiell Hedayat y passait la plupart de ses après-midis : c.'était sympa d'échanger avec lui.
Tu as connu Jean-Pierre Lentin, ton alter-ego dans Actuel. Echangiez-vous sur vos articles ? Vous influenciez-vous l'un l'autre ?
Oui, j'ai connu Jean-Pierre… Ses articles m'ont fait découvrir beaucoup de musiques intéressantes… Bien que nous ayons eu les mêmes goûts, nous n'échangions pas sur les articles, mais sur la musique en général. Nous nous retrouvions dans beaucoup de concerts, et d’ailleurs, j’en cherchais pour son groupe, le très important Dagon. Vite, retrouvons..., ..., ...
( Maurice Lemaître, par là )
#gilles yéprémian#the kinks#the rolling stones#the beatles#the doors#lard free#third world war#mormos#maurice lemaître#jean rollin#henri-jean enu#jean-louis brau#alain pacadis#yves adrien#marc zermati#hervé delilia#jonathan farren#eric burdon#agitation frite 2#philippe robert#lenke lente#sun ra#war#captain beefheart#claude delcloo#archie shepp#art ensemble of chicago#le parapluie#sunny murray#alan silva
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« Speedball » « une histoire illustrée des drogues » par Judith Kush Speedball une esthétique subversive, un guide illustré de 248 pages, c’est plus de 200 images qui retracent une culture fantasmée à l'imagerie stupéfiante dont l’iconographie terrifiante est ici magnifiée par sa luxure morbide.
Hommage à Jimmy Kempfer, pionnier de la réduction des risques !
REMERCIEMENTS : Une forte pensée pour Nicolas Lévy, sa chaleureuse amitié et à sa générosité. Un grand merci à toutes les personnes qui m’ont soutenue pour réaliser ce livre : Marie-Pierre Rigondeau-Kempfer que je remercie pour m’avoir généreusement ouvert ses archives. Marilyne Chanaud pour son aide spirituelle, Éric Thealet pour ses encouragements et sa spiritualité, Michèle Larue pour ses précieux conseils. À Anne Coppel, sociologue, auteure, actrice de terrain pour ses écrits incontournables sur les questions des drogues et autour de la civilisation des drogues, qui y a consacré une partie de sa vie. Merci à Marc Zermati, Béatrice Budin, Vincent Scali, Michka Seeliger-Chatelain, Deborah thePotmother,Julien Thiolley à Martine Caron pour son soutien et à Rachel Hardouin pour son aide et sa rapidité !
Aux associations : Hôpital Marmottan, Techno+, ASUD, Narcotic Anonyme, NORML, Addictions, Toxicomanies, Hépatites et sida, SOS Addictions…
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marc zermati, johnny thunders & jimmy k in london.
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Flamin’ Groovies - Dog Meat - 1973
Recorded on a two-track recorder in Cyril Jordan's flat in San Francisco. Released by Marc Zermati on his Skydog label in April 1973.
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Vitrina dedicada a la tienda contracultural Open Market, de Marc Zermati, en Les Halles, París. (en Musée national de l'histoire de l'immigration) https://www.instagram.com/p/B1gW4lZogjJ/?igshid=ew36oabkg1xm
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“If you want me to be down-to-earth, we can be as soulful as can be. I range from Mars to 125th Street…”
— Al Green (Rock Scene, 1973)
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Bazooka est un collectif d’artistes, né aux ateliers graphiques des Beaux-Arts de Paris en 1974. Il est constitué de Kiki Picasso, Loulou Picasso, Olivia Clavel, Lulu Larsen, Bernard Vidal et TI5 Dur.
Indissociables de la vague punk qui déferle sur l’Europe, les Bazooka publient leurs propres magazines : Bazooka production (1975), Bulletin Périodique (1976), créent des affiches, des pochettes de disques, notamment pour le label Skydog de Marc Zermati (fondateur du Festival punk de Mont de Marsan) et investissent entre 1976 et 1978 de nombreuses revues (Métal Hurlant, l’Echo des savanes, Hara Kiri, Charlie, Rock & Folk etc…). En 1977, en véritable commando, ils instaurent leur « dictature graphique » à Libération en réagissant à chaud à l’actualité, tout d’abord dans les colonnes du journal, puis entre février et juin 1978 dans le mensuel Un regard Moderne.
En 1979 le groupe éclate, et les membres de Bazooka poursuivent chacun leur travail individuellement, même s’ils se retrouvent pour de ponctuelles collaborations.
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#bazooka#punk graphics#punk art#1975#1976#1977#1978#1979#Kiki Picasso#loulou picasso#underground art
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Numéro #36 de mon journal graphique de la semaine.
On change de gouvernement, mais franchement, ça ne va pas nous changer beaucoup… En vrai, je m'en fous...
C'est le début des vacances et qui dit vacances, dit : abandon des animaux domestiques.
La France a le triste record des abandons d'animaux en Europe.
Comment peut-on abandonner un animal pour pouvoir partir en vacances ? C'est bien au-delà de mon schéma de compréhension. J'aimerais en tenir un entre mes mains, un de ces salopards… Pour lui dire ma façon de penser.
Et puis le roi des “Canards de Luxe" nous a quitté très discrètement. Je me souviens avoir acheté le 45 tours de Tyla Gang “Suicide Jockey” à l'Open Market de Marc Zermati, il y a bien longtemps avec en face B l'excellent “Cannons of the Boogie Night”, l'avoir vu avec son Gang au festival de Mont de Marsan. Et puis avoir vu les Ducks Deluxe en banlieue parisienne au début des années 2000 et avoir fait deux affiches pour leur tournée 2009 que la production a oublié de me payer, ah, ah.
Quelques pseudos punks, rockers, révisionnistes, ultra réactionnaires, “gardiens du temple” et futur collabos des identitaires (en vrai, ils ont déjà commencés) sévissent sur le net et Facebook en particulier. Qu'ils sachent bien que je combattrais toujours, ces usurpateurs. No Pasaran !
Pour ceux qui peuvent partir en vacances, profitez en et amusez vous !
Et n'oubliez pas le CoronaVirus est toujours là, donc protégez-vous et protégez les autres (sauf les fascistes bien sur, qu'ils crèvent, ah, ah).
Le port du masque dans les rassemblements et chez les commerçants n'est pas superflu.
Allez, bonne semaine, et écoutez de la musique !
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Marc Zermatti
“I’ve never worn a jean”
Marc Zermatti (with Jo Strummer), anglophile dandy, shop owner, promoter, manager …
https://www.theguardian.com/music/2020/jun/17/marc-zermati-farewell-to-the-hippest-man-in-paris?CMP=Share_iOSApp_Other
https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/
Painting news project
Les tableaux du peintre
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/les-stooges-fetent-leur-demi-siecle/
Les Stooges fêtent leur demi-siècle
Il y a 50 ans jour pour jour, le 5 août 1969, sortait discrètement Raw Power, le premier album des Stooges. Sans le savoir, ils venaient de révolutionner le rock. Hommage
Ce sont les années qui ont fait de cet album un disque incontournable, un de ces 33 tours majeurs qui ont compté dans l’histoire du rock. Si le MC5 de Detroit les ont devancé d’une courte tête, Iggy et sa bande s’imposeront comme les pères du punk avant l’heure.
Produit par John Cale, Raw Power marque l’acte de naissance d’un son brut, primaire et excitant, totalement en rupture avec son époque : basse et batterie hyper lourdes, beat hypnotique, guitares de Ron Asheton sinueuses, étincelantes, crades, violentes et la voix inimitable d’Iggy Pop…
Trois titres en particulier entreront dans l’histoire : “1969”, “I Wanna Be Your Dog” et “No Fun”, repris par les punks de la terre entière: « ‘I Wanna Be Your Dog’ est devenue la chanson fétiche de la jeune génération. (…) Je crois que quand les Sex Pistols ont commencé, c’était le seul morceau qu’ils savaient jouer » dira même Danny Fields, manager des Ramones.
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Chrissie Hynde de The Pretenders résumera bien l’importance de quelques disques cultes : “Quand je suis partie en Angleterre, j’avais trois albums dans ma valise : Fun House, Raw Power et White Light White Heat.” Le dernier concert du groupe, chez lui, le 9 février 1974 au Michigan Palace, fera l’objet d’un album live posthume et mythique, Metallic K.O., sorti par Marc Zermati sur son label Skydog au début 1976, qui sait de quoi il parle: “Les punks anglais ont surtout découvert les Stooges avec Metallic K.O. Mais Iggy était le premier vrai punk.”
Abel Coroyer
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Allocution de Philippe Manoeuvre aux Obsèques de Marc Zermati https://t.co/jW2sCrL1b2
Allocution de Philippe Manoeuvre aux Obsèques de Marc Zermati https://t.co/jW2sCrL1b2
— Kyoga.fr (@civisur) June 19, 2020
source https://rss.app/articles/862477a672d6712ebc10cce6db5e7481ee1ab70449f51661561fc4bf5a10c39c5aa8c14cd03d79e98d68eb81c95447e70416af139598
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