#mange rien
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etsicetaitmavie · 10 months ago
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Madrid jour 1.
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lilias42 · 10 months ago
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Avancement des travaux : BD de Pyrkaïa
Nouveau billet sur cette BD ! Cette fois, c'est la suite directe du dernier billet qui montrait où j'en étais (à retrouver ici) et c'est tout ce que j'ai fait depuis, donc... bah y a un mois tout pile aujourd'hui... ô Déesse, le temps passe vite... enfin, pour le moment, je suis plutôt contente du résultat même si c'est encore à bien nettoyer, remettre les oreilles visibles au bon endroit, faire les bras MUSCLES de Pyrkaïa, ses petites veines de lave... puis passer au noir et coloré tout ça... bref, j'en ai encore pour un moment mais, j'espère que ces pages vous plairont !
Juste des petites précisions avant de commencer :
Oui, il n'y a pas d'archer qui entoure Lonato dans les renforts, qu'il a une épée au lieu d'un arc, il y a deux combattants à hache dans le jeu (et ils ont un masque plutôt qu'un casque intégrale) et le placement est différent mais, pour avoir certaines images spécifiques que je voulais faire, j'ai modifié la composition de l'armée. On va dire que comme on roule tellement pas sur l'or à Gaspard, même les soldats bien placés sont équipés avec les moyens du bord et de toute façon, l'uniforme n'existe pas au Moyen-Âge donc, ça tient qu'ils n'en aient pas non plus ici.
J'ai aussi modifié les noms qu'utilise Lonato pour désigner ses ennemis. Il appelle notamment Rhéa "sorcière" quand il attaque des unités qui ne sont ni Ashe, ni Dimitri, ni Catherine. Cependant, comme dans mon univers, c'est le nom de ceux qui pratique la magie ancienne, la sorcellerie, et que c'est un terme qui pourait être attribué aux Braves étant donné qu'ils l'étaient tous, je l'ai retiré et Lonato utilise bien plus les mots "démone" et "hérétique", ce qui mène au point suivant
Pyrkaïa est originaire d'une cité qui s'inspire de Sparte / Lacédémone, elle parle donc le grec ancien normalement à son époque (et pour la compréhension ici, j'avoue, c'est un énorme "ta gueule, c'est magique" même si je préfère d'habitude faire en sorte que les personnages du passé continue à parler leur langue et qu'il faille quelqu'un pour traduire mais, ça aurait annulé tous les dialogues de cette histoire donc, on passe outre) Il y a donc des mots qui ont des origines grecques qu'elle entend dans la bouche de personnages du présent qui parle français mais, qui n'ont pas la même signification pour elle qu'ls l'ont actuellement, d'où le fait qu'il y ait parfois des incompréhensions entre elle et les autres et qu'elle s'énerve quand on l'appelle de tel ou tel façon.
Pour celui-là, je vais directement tiré mes définitions du Bailly, le dictionnaire grec ancien-français de référence en France. J'ai plus fait bien plus de latin que de grec et de base, je suis pas douée en langue du tout alors, il y a plus de risque que je fasse des erreurs alors, je préfère mettre mes sources :
démone : vient du grec "δαίμων, ονος (ὁ, ἡ)" et à l'époque de Pyrkaïa (après Homère vu que la Guerre de Troie a eu lieu dans cet univers 200 ans avant sa naissance) "après Hom. : 1) οἱ δαίμονες, sorte de dieux inférieurs (entre θεός et ἥρως), PLAT. Leg. 738d ; cf. Rsp. 342a ; placés à la suite des dieux, PLAT. Leg. 848d ; nés des dieux, mais non dieux eux-mêmes, ARSTT. Rhet. 3, 18, 2 ; cf. PLAT. Ap. 27d. /  2) postér. mauvais esprit, démon, NT. Matth. 8, 31 ; Marc. 5, 12 ; Luc. 8, 29 ; JOS. A.J. 8, 2, 5, etc. " Elle, elle le comprend comme "divinité mineure"
hérétique : vient du grec "αἱρετικός, ή, όν" et dans le Bailly, c'est dans sa première définition "apte à choisir, qui choisit, gén. PLAT. Def. 412a.", et c'est également pris comme le "factieux" mais, les auteurs qui l'utilisent dans ce sens ont l'air plus récent, si le Porp est Porphyre de Tyr, c'est le 3e siècle de notre ère, là où Platon est à cheval entre le 5e et le 4e siècle AVANT notre ère. J'ai donc gardé le fait que pour Pyrkaïa, ce mot désigne avant tout celui qui fait un choix
Rhéa, évidemment, elle la prend pour Ῥέα, ας (ἡ), la Rhéa mythologique, épouse de Cronos, mère des divinités olympiennes... (ou alors, elle pourrait aussi entendre ça "ῥέα" l'adverbe pour dire "facilement, sans peine")
Et enfin, celui-là, je suis moins sûre mais, le nom de famille Charon vient surement de "Χάρων, ωνος (ὁ) / Khâron / Charon", passeur des enfers de la mythologie grecque (même si ça aurait aussi pu venir de " χάρων, ωνος (ὁ, ἡ)" qui s'écrit de la même manière mais qui veut dire "gai, joyeux, seul. en parl. de la couleur, particul. de la couleur fauve du lion") alors, je ne pouvais pas le mentionner dans cette histoire. Cependant, Pyrkaïa est très prudente avec la notion d'hubris, comme la très grande majorité des sorciers de sa région car, c'est un des pires crimes à son époque : le fait d'être tellement arrogant et orgueilleux qu'on se prend pour au-dessus des dieux. Elle déteste même quand on suppose que son père ne serait pas le sien mais, un dieu (comme Arès, ce qui l'énerve encore plus vu que c'est pas un dieu très bien vu, ou une autre divinité de la guerre) afin d'expliquer comment une femme peut être aussi puissante qu'elle l'ait alors, elle ne pouvait pas prendre le nom du passeur des morts comme ça. Je suis donc parti sur le fait que le nom "Διονύσιος " signifie "de Dionysos", j'ai rajouté un "ι" pour que son nom ressemble plus à un possessif, même si je ne suis clairement pas sûre que cela se tienne en grec ancien...
Bon, après ça, je pense qu'on peut commencer ! (ah et si les pages sont assez jaune, c'est normal, c'est que j'ai renforcé les contrastes et baisser la luminosité après coup pour qu'elles soient plus visible, je les ai pris en photo avec un téléphone)
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#écriture de curieuse#dessin de curieuse#fe3h#fe3h oc#j'espère que ça vous plait surtout !#fans de Lonato... les 3 fans de Lonato... passez votre chemin !#ça faisait du bien de dessiner cette scène ! Qu'il mange de la terre Lonato !#Surtout que bon dans ma version si Christophe a été arrêté et exécuté c'est qu'il faisait partie d'un groupuscule complotiste#+qui soutenait évidemment le massacre des Duscuriens et était de mèche avec la pire faction de l'Eglise / secte occidentale#+qui allait faire un attentat sur Rhéa + a tenté de faire rentrer des armes à GM -donc école + hospice- pour la tuer avec ses fidèles#+tout ça parce qu'elle a condamné le massacre systématique des duscuriens et excommunié les responsables#+et quand son ami Théo Charon -petit frère de Catherine- a tenté de lui parler en privé plutôt que dans son bureau au tribunal#+il l'a accusé d'être du complot et s'est enfui en l'envoyant dans une bibliothèque qui lui ait tombé dessus pour qu'il ne le poursuive pas#-Théo est paraplégique et en fauteuil roulant c'était gratuit et pour ralentir les autres en le blessant-#+et quand Cath l'a rattrapé et arrêté- il lui a hurlé les pires insultes notamment sur le fait que les Charon sont des monstres#+car elles ont gardés pas mal de traits nabatéens et vivent vraiment très longtemps#Donc très clairement il n'a pas été condamné à mort pour rien#Et Lonato mérite de se prendre la colère de Pyrkaïa et de tout le monde#Il a juste agi de manière égoïste en jetant ses citoyens à la mort et en tuant tout le monde pour se venger personnellement#alors avec le coup de la magie noire des agarthans en plus de son comportement de tyran...#tu m'étonnes que Pyrkaïa veuille le réduire en cendres... mais bon quand elle fait une promesse- elle la tient#en tout cas j'espère que ça vous aura plu ! merci encore !
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sobillyboy · 2 years ago
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Cyprien est en déplacement pour 12 jours, on en est au jour 3, j'ai déjà envie de crever.
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corneille-moisie · 2 years ago
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oh hey ! im hungry and not nauseous today ! hashtag progress
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the-intergalactic-titanic · 2 years ago
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Naaaah c'est vraiment dans l'épisode ça? xDDD
AFJDKSKL JÉRÉMIE
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greedandenby · 7 months ago
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light 
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants, – Allons dit le soldat, aux armes ! C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l’Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacré-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
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crococookie · 10 months ago
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
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aisakalegacy · 10 days ago
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Automne 1933, Hylewood, Canada (1/9)
Ma très chère cousine,
C’est Lucien qui m’a dit de t’écrire. Il dit que tu seras meilleure conseillère que lui, vu qu’il n’entend rien à ces choses-là.
Gizelle est un peu bizarre, elle est toujours triste, elle se plaint beaucoup, elle ne mange rien. Quand j’étais enfant, elle voulait toujours jouer avec mes amies et moi, et nous jouions avec elle souvent, mais parfois nous souhaitions rester entre nous sans petites, et Gizelle le prenait très mal. Bref, elle n’a pas beaucoup d’amies non plus, voire pas du tout. Lucien s’est alors dit que pour l’anniversaire de ses quatorze ans, il serait agréable d’organiser un bal. Il a invité tous les jeunes de l’île et leur famille pour essayer de la socialiser un peu.
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 340
Février le Ski-2
Jour 2
La seconde journée est plus fun que la première. Après une vérification que les conseils de la veille avaient été bien mémorisés, notre militaire nous emmènent vers une piste de bosses. Arrivés en haut, c'est impressionnant. Certaines bosses sont très prononcées et rien que d'imaginer la descente, on sait qu'on va se faire secouer. Petit briefing avant d'entamer la descente. Rester souple sur ses cuisses, légèrement en arrière et dans un premier temps ne pas se focaliser sur la ligne droite ! Merci quand même. En fin de matinée, nous nous en sortons honorablement mais les batteries épuisées. On décide d'une pause. Le chalet d'altitude propose une carte réduite mais suffisante. Les prix sont inversement proportionnels ! Un vrai racket, même si les charges sont élevées. Avant que le réflexe " économie " de notre moniteur se manifeste, je commande pour lui. Comme il fait beau, on mange en terrasse et nos combinaisons grandes ouvertes sur nos torses imberbes (pour faciliter la production de vitamine D bien sûr) attirent les regards. Sans se jeter des fleurs, nous étions la plus belle brochette de jeunes mecs de la terrasse. Et quand l'équipe N°1 est arrivée, c'est devenu plus chaud. Quelques jeunes filles ont été déçues quand Ludovic et PH m'ont roulé une pelle avant d'aller commander dans le chalet. On parle de nos descentes. Eux se sont fait quelques noires partantes du sommet. Jona qui voudrait enchainer dessus l'après-midi se fait calmer par notre Lieutenant qui nous dit que nous devons encore faire des progrès. L'après-midi est plus calme et c'est tant mieux pour nos cuisses qui commencent à chauffer dur. Entre les courbatures de la veille plus le travail de la journée, nous investissons le spa de l'hôtel afin de dénouer nos muscles martyrisés. Clem se dévoue et nous sommes quelques-uns à bénéficier de la magie de ses mains. João et Sosthène nous dévoilent leurs talents cachés de masseurs et viennent à sa rescousse. Nous avons juste le temps de  monter nous habiller pour le dernier service du diner. Avant de remonter, nous prenons un alcool au bar. Il ne faut pas beaucoup de temps pour nous faire aborder les uns les autres, aussi bien par des meufs que des mecs, dont quelques étrangers que notre groupe intrigue. Alors que nous pensions y rester 1/2 heure, finalement nous ne remontons qu'1h1/2 plus tard et certains avec un n° de téléphone supplémentaire. Sur notre palier je préviens que chacun est libre de baiser avec qui il veut en dehors du groupe mais pas à cet étage. C'est la seule contrainte que j'y mets avec le port de kpotes évidemment. Ils comprennent tous pourquoi. En attendant les couples se mélangent pour la nuit. Ce n'est pas souvent qu'ils se retrouvent tous ensemble au même endroit aussi longtemps. Ça leur rappelle le 1er de l'an qui a duré 3 jours pour certains. Mes deux russes se font coiffer au poteau par Max et Enguerrand. Quand ils arrivent pour leur 2ème nuit avec nos lieutenants, ils trouvent les deux benjamins déjà coulés au fond du lit alors que leurs hôtes sont encore dans la salle de bain. Je surveille l'explication de texte qui s'ensuit. Au final les jeunes gagnent et Viktor et Nicolaï arrivent se faire consoler chez nous. Ils ne vont pas regretter leur changement de plan. Nous sommes 6 à pouvoir les satisfaire. Et ça ne manque pas. Entre la défonce de leurs rondelles et l'usage immodéré de leurs bites autant dans des bouches que dans des culs, ils s'effondrent cassés définitivement.
Jour 3
Le réveil est plus dur pour certains ce matin. Les plus inexpérimentés ont des courbatures et les moniteurs leur promettent une journée plus cool où ils vont peaufiner les techniques apprises
Le nôtre nous prévient qu'il va passer à la vitesse supérieure. Si nous voulons rejoindre le groupe 1 et le laisser avec juste Jona et François, il ne nous en voudra pas. Je regarde mes autres collègues à qui s'adresse cet avertissement. Ils refusent de laisser tomber et espèrent bien en apprendre encore plus. Nous montons au plus haut de la station et partons en hors-piste. Nous commençons à descendre une combe quand nous sommes rejoints par une demi-douzaine d'autres chasseurs alpins en uniformes eux. Chacun de nous se fait " cornaquer " par un des militaires. Dans l'ensemble, ils sont aussi jeunes que les nôtres et très pros aussi. Les premières 10aines de mètres nous chutons, le temps d'adapter notre position sur les skis à la surface poudreuse de la neige. Je comprends pourquoi notre lieutenant a appelé du renfort. Nous progressons tous à une vitesse différente et du coup nous sommes en sécurité avec notre " moniteur " personnel. Le mien est très bon car je ne mets pas longtemps avant de prendre le coup. Un peu plus en arrière que normalement, les fesses vers les talons, je progresse bien et mes lacets perdent rapidement en amplitude. Le mec me félicite d'avoir pris le coup aussi vite. A mes côtés ça se défend pas mal non plus.
Jona et François sont eux encore plus encadrés. Une première pause nous est octroyée à mi-chemin de la station à la limite haute des sapins. Les militaires sortent de leurs sacs à dos des barres de protéines. Ils nous en offrent. Je ne sais pas ce qu'il y a dedans mais c'est bon et nous redonne des forces. Il y a sûrement des sucres rapides aussi. On fait plus connaissance le cul isolé de la neige par des branches de sapin. Ils sont tous militaires de métier bien sûr et depuis 6 à 7 ans. Et tous célibataires aussi / surtout ! Nous finissons la matinée de combe en combe pour rejoindre la station. Il est encore tôt, à peine midi. Notre lieutenant propose que nous déjeunions avant de remonter. Alors qu'ils sortent de nouvelles barres, je vise le restau du bas des pistes vide encore. Sans manger à se faire éclater l'estomac, prendre un plat chaud ne sera pas du luxe. J'impose ma décision. Mon " lieutenant " nous suit alors que ses collègues nous disent qu'ils attendront dehors. Hors de question que le groupe se scinde ! Je les invite et notre militaire doit les convaincre que c'est OK. Sans alcool, la tartiflette remplis les deux offices : nous réchauffer et remplir les batteries. Une tarte aux myrtilles plus tard nous sommes prêts à partir. Enfin dès que Enguerrand et son coach seront sortis des toilettes. C'est chose faite avant que nous chaussions tous nos skis. Mon Enguerrand tout sourire et le militaire un peu rouge quand même. S'il ne s'est pas fait le cul de mon beau-frère, je veux bien être pendu !
Nous repartons pour le sommet de la station et partons sur l'autre versant. Nous sommes plus à l'aise et nous enchainons les parties nues et boisées sans plus de problème. La traversée d'un bois plus touffu nous disperse tous. Quand nous en sortons, c'est en ordre dispersé et il nous manque Max et son chasseur. Quand ils nous rejoignent, l'excuse est que Max s'était empêtré dans une taille de sapin et qu'il avait mis du temps à remonter. Je crois qu'avec lui aussi je vais avoir une conversation. En fin de journée, ils nous donnent rendez-vous pour le lendemain puisqu'ils restent jusqu'à la fin de notre semaine. Ils sont logés à la gendarmerie de la station. Ils se font tirer l'oreille pour accepter de diner avec nous à l'hôtel. Mais je sais qu'ils vont affoler mes autres comparses et je sens mes " benjamins " demandeur. Comme je ne peux rien leur refuser à ces deux-là...
En rentrant à l'hôtel je réserve une de leur salle de réunion pour notre dîner. On retrouve l'équipe dont certains sont déjà sous la douche. Je préviens Marc et les autres de nos invités pour le dîner. D'une seule voix, Max et Enguerrand disent aux autres qu'ils sont super sympas et super canon aussi. Je les retrouve après ma douche. Ils sont encore sous l'eau tous les deux. Je les questionne sur les " viols " qu'ils ont opérés sur leurs " chasseurs " particuliers. Max éclate de rire et nous dit que le sien était bon et heureusement car les fesses à l'air, il n'avait pas fait chaud sauf pour sa rondelle. Enguerrand renchéri que le sien était super bien monté en plus. Deux " chaudasses " !! Mes escorts et nous même apportons un soin particulier à nos tenues, effets des invités probablement. Les jeans les plus slims sortent des valises, les t-shirt collent les pecs et les abdos mieux que des combinaisons de lutte !
Quand nos invités nous rejoignent, eux aussi ont fait des efforts. Mon lieutenant y est sûrement pour quelque chose, tout comme le choix des Chasseurs alpins.  En civil, ils gardent un intérêt pour les vêtements moulants eux aussi. Et ce sont de vraiment beaux bestiaux ! Ils sont sous-officiers mais loin d'être bourrins pour autant.
Le plus jeune intéresse vraiment mon Marc. Evidemment !! Ernesto, lui, semble fixer l'intérêt d'un des nouveaux, surtout ce qui est outrageusement moulé en haut de ses cuisses. Ils se répartissent entre mes escorts autour de la grande table. Ils acceptent un apéro avant le diner. Ils sont venus à pied. Ils se mettent vite dans l'ambiance et c'est parce que je fais particulièrement attention que je m'aperçois qu'il en manque un, celui d'Enguerrand et bien sûr ce dernier ! Je m'esquive vers les toilettes réservées à notre salle. Ils y sont évidemment. Un seul WC est fermé. Je prends celui d'à côté et monté sur le siège, je mate par-dessus la cloison. Mon petit beau-frère est en train de tailler une pipe sur une bite bien épaisse. Quand il la sort complètement, je vois qu'elle est aussi d'une bonne longueur, a vue de nez dans les 20cm x 6. Il me voit alors qu'il lève la tête et demande à son militaire si ses gorges profondes lui plaisaient. Son clin d'oeil ne passe pas inaperçu et le pompé lève à son tour la tête et panique à voir ma tête. Enguerrand le retient par les fesses et je descends et frappe à la porte. Ils m'ouvrent.
Je tombe sur un fessier bien rond, musclé par des années de ski et de sport.je bandais déjà de les mater. Là, ça devient inhumain. Le temps d'ouvrir mes jeans, de kpoter ma bite et je la pousse entre les fesses. En voulant sortir, il recule et s'encule par la même occasion. Enguerrand a suivi me mouvement et ne lâche pas le morceau. Sa déglutition sur le gland enfoncé dans sa gorge distrait le militaire juste à point nommé pour que je conclue l'enculage. Je ne sais pas s'il est uniquement actif où même un hétéro qui s'était fait dans l'après-midi un petit cul de mec, mais là, je sens bien qu'il n'utilise pas souvent sa rondelle dans cette activité. Je suis super serré et même bloqué le temps qu'il se détende. Enguerrand fait tout ce qu'il peut pour cela. Il suce sa bite mieux qu'une pompe à vide ! Je me presse car on va bientôt s'apercevoir de nos absences. Je l'encule à petits coups rapides et jouis en 5mn chrono. Enguerrand se recule juste au moment fatidique et s'en prend plein la figure. On se rajuste, se rafraichit et Enguerrand lui roule une pelle avant que nous sortions.
Notre retour n'est perçu que par Marc, Ludovic et mon lieutenant. Je vois l'enculeur de Max retrouver son pote et l'écarter pour le questionner. Diner sympa et après avoir discuté avec le chef du détachement (mon lieutenant), je décide de les inviter tous à prendre un dernier verre à notre étage. Mon initiative à l'air de plaire à tous. Mes escorts et ma petite " famille " c'est évident mais aussi aux militaires qui ont sympathisé. Les deux qui étaient moins chauds se sont fait entrainer par les autres. Les nouveaux venus trouvent leurs collègues nettement mieux logés qu'eux qui dorment sur des lits de camps militaires. Les installations sanitaires aussi sont plus luxueuses. Cognac, Jet 27, Génépi coulent dans les verres. Nos militaires font baver leurs collègues en ajoutant qu'ils disposent en plus des autres installations de l'hôtel, piscine, spa, sauna...
Mes escorts se mettent à l'aise c'est-à-dire en shortys et boxers. Leurs plastiques tout comme les nôtres appellent des commentaires. Quand ils apprennent que nous savons nous battre, il y a comme une ironie de leur part. Jona leur demande alors de désigner leur meilleur élément et qu'il allait se le faire. Piqués dans leur virilité / spécificité (ce sont des combattants) / orgueil, ils désignent le plus lourd d'entre eux. Alors qu'on dégage le mobilier du salon de notre suite, le militaire se met en slip (blanc réglementaire). Je pense un moment que mon Jona va avoir du fil à retordre. Le mec doit lui prendre au moins 15 Kg de muscle !
Il roule un peu des mécaniques et est soutenu par ses collègues. De notre côté nous encourageons Jona. Seul François garde son calme et demande si on fait des paris. Les provocations fusent, sexuelles bien sûr. On en arrive à ce qu'ils mettent en jeu leurs culs contre les nôtres. J'interviens. Je leur dis que les nôtres, ce ne sera pas un problème, ils les auraient eu même sans gagner, du moins certains. Je propose alors de les loger comme leurs collègues puisqu'il reste encore trois chambres inoccupées à cet étage. L'hôtel ne fera surement aucunes difficultés à me les louer. La moquette est épaisse, elle amortira les chutes. Ils commencent par se tourner autour. Jona le laisse venir. Le militaire prend l'initiative. Il attaque et est surpris de ne trouver que le vide. Par contre il sent bien le coup de pied qui lui " tue " la cuisse droite. Il vient de se rendre compte que son adversaire a du répondant. Les attaques se succèdent des deux côtés. Il est bon en défense aussi le milit. Mon lieutenant qui avait eu un aperçu de nos capacités souri de voir son collègue en difficulté. Ils combattent pendant une demi-heure avant que je fasse signe à Jona de donner le coup de grâce. 30 secondes plus tard, le milit est sur le ventre, le pied de Jona entre ses omoplates et le bras droit en extension arrière prêt à la luxation.
Arrêt du combat après comptage jusqu'à 10.
Jardinier
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co-workers
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on the work-place ~~
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egnidres · 2 years ago
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
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exhaled-spirals · 2 months ago
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« Il y a une passion si dévorante qu'elle ne peut se décrire. Elle mange qui la contemple. [...] On frémit de la nommer : c'est le goût de l'absolu. On dira que c'est une passion rare, et les amateurs frénétiques de la grandeur humaine ajouteront : malheureusement. [...] Elle est l'absence de résignation. Si l'on veut, qu'on s'en félicite, pour ce qu'elle a pu faire faire aux hommes, pour ce que ce mécontentement a pu engendrer de sublime.
Mais [...] qui a le goût de l'absolu renonce par là même à tout bonheur. Quel bonheur résisterait à ce vertige, à cette exigence toujours renouvelée ? Cette machine à critiquer les sentiments [...] [C'est] la maladie de [...] celui qui meurt de délicatesse et celui qui se rend impossible de grossièreté. Ils sont ceux pour qui rien n'est jamais assez quelque chose.
Le goût de l'absolu... [Son] symptôme est une incapacité totale pour le sujet d'être heureux. De ce qui ferait son bonheur, il exige toujours davantage. Il détruit par une rage tournée sur elle-même ce qui serait son contentement. Il est dépourvu de la plus légère aptitude au bonheur. J'ajouterai qu'il se complaît dans ce qui le consume. Qu'il confond sa disgrâce avec je ne sais quelle idée de la dignité, de la grandeur, de la morale [...].
On m'aura très mal compris si l'on déduit de ce qui a été dit de ce goût de l'absolu qu'il se confond avec le scepticisme. Il prend parfois le langage du scepticisme comme du désespoir, mais c'est parce qu'il suppose au contraire une foi profonde, totale, en la beauté, la bonté, le génie, par exemple. Il faut beaucoup de scepticisme pour se satisfaire de ce qui est. Les amants de l'absolu ne rejettent ce qui est que par une croyance éperdue en ce qui n'est peut-être pas. »
— Louis Aragon, Aurélien
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rollinginthedeep-swan · 4 months ago
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Plagier des idées.
(Je bloque les reblog de ce poste, néanmoins, on peut discuter en commentaires tant que c'est dans le respect.) Je vous préviens, les dramas sont interdits suite à ce poste. Je ne veux aucun buzz, aucun déchaînement, juste qu'on lise ce que j'ai à dire sur le sujet.
Ça fait 15 ans pratiquement que je fais du rpg et 22 que je graph. Ces mots que je pose ici, ça n'est jamais arrivé. Je tiens bien à le souligner, que vous vous rendiez bien compte. Je n'ai jamais posté ce genre de messages, affirmé ce que je vais affirmer. Je le précise par prévention pour toutes formes de Gaslighting potentiel. (Je vais clairement pas avoir la patience pour ça.) J'ai toujours laissé le bénéfice du doute (Bon en vrai j'estime que les gens n'ont en général aucun intérêt à s'inspirer de mon taf dans tous les cas, l'herbe est plus verte ailleurs) et, en toute franchise, je suis persuadée que moi-même, inconsciemment et avec ce fichu mécanisme d'adaptation, j'ai déjà sûrement involontairement reproduit des trucs. C'est un peu ma hantise personnelle car on a beau me dire que mon style et reconnaissable et unique, il n'en reste pas moins que je suis humaine, neuroA et qu'on se laisse tous-tes influencer par notre quotidien, ce qu'on voit et ce qui nous fait vibrer. Et parfois, on se trouve juste à avoir des goûts très similaires ou à choisir les mêmes types d'identité graphique. C'est comme ça, ça arrive. Ça fait même de belles rencontres, parfois.
Pourtant, il y a quelques mois, je me suis rendu compte qu'on m'avait plagié une idée. Certes, pas révolutionnaire, sûrement déjà utilisée dans d'autres domaines que les avatars 400x640, mais une idée chouette que j'étais hyper contente d'avoir réussi à mettre en place. Et contente de vous l'avoir montré. Je ne dirais pas quelle idée, je ne dirais pas quelle personne. (Et merci de ne pas me demander, de ne pas chercher, de ne pas faire je ne-sais-quoi sans mon consentement. Je ne tolère aucune forme de harcèlement.) Ce que je partage ici, c'est assez difficile comme ça. J'ai peur d'en parler alors même que je sais être légit. Mais on sait tous-tes que ce sujet - tabou partout dans le rpg et surtout dans le graphisme - déchaîne les passions. J'ai toujours voulu en rester très très loin de mon côté.
Et je le répète, je n'ai jamais affirmé une telle chose en plus d'une décennie de RPG. En deux, dans le graphisme. Les inspirations ici et là, ça arrive à tout le monde. J'en ai déjà parlé dans un poste sur l'art, d'ailleurs. Ici, c'est surtout dans la manière dont les choses se sont déroulés. Le timing, le combo, le tout. J'ai même eu beaucoup de mal à grapher durant quelques semaines après cette découverte. J'ai attendu très très longtemps avant d'écrire ce poste, j'ai sincèrement pris le temps de la réflexion pour ne rien écrire à chaud. Et parfois encore, mon manque de confiance me chuchote que je me suis fait des idées. Que c'est moi, et donc, complètement illogique. Mais ce soir, je lui colle une baffe, à ce moi belliqueux.
Honnêtement, que ça soit le cas ou pas, il n'y a qu'une conclusion à ça pour moi : Si vous voulez vraiment et volontairement reprendre une idée, que c'est complètement conscient, gros comme une verrue sur un pif, dites-le ? Si c'est inconscient, ça arrive ! Mais tout le processus ici fait que ça me paraît vraiment, vraiment improbable.
Citer une personne en mention, juste pour dire 'Voilà, je me suis volontairement inspiré-e d'untel-le', ça ne mange pas de pain et en vrai, ça fait même plaisir. C'est même pas honteux tant que la personne en face est d'accord avec ça. Si iel vous dit 'Écoute, je suis flâtté-e mais pas à l'aise avec ça', et bien vous aurez tenté et vous saurez que ça ne sera plus possible avec iel.
Ce poste va dormir, le temps que je me décide et que je sache si oui ou non, je vais le publier.
Si je vois que ça part en vrille, je supprimerais ce poste !
En attendant j'espère que vous passez un super été, et courage à celleux qui bossent sous cette chaleur. Hydratez-vous !
Edit : J'ai clairement attendu assez longtemps. Décidé de ne rien poster et puis, je ne sais pas, ce soir, je me dis que je suis légitime. Mais aussi que c'est normal d'être en rogne dans ce genre de situation et de taper un peu du poing. J'essaie juste de le faire de manière utile et constructive. J'espère que ce poste peut aider. Je me dis qu'il faut souligner certaines choses, mettre les points sur les i, parfois. Je déteste ça. Mais je n'arrive toujours pas à passer outre. Vraiment pas. Je ne prétend rien changer. Mais j'ai besoin de le dire "à voix haute'.
Bonne soirée,
Swan.
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perduedansmatete · 4 months ago
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que dire des hommes je suis dégoûtée incapable de fréquenter quelqu’un je sais quand quelqu’un est attiré par moi et même si je le suis aussi je suis de plus en plus bloquée j’ai trop peur qu’il croit que c’est acté, que je ne suis qu’un corps, de devoir lui expliquer s’il n’est pas con comme beaucoup pourquoi certaines choses ne fonctionnent pas sur moi et pourquoi je suis bizarre, qu’il ne prenne pas en compte ce que je dis ou qu’il soit gentil mais en fait non comme cet hiver ou bien le banquier, de devoir encore rester dans le contrôle, je ne me sens à l’aise qu’avec youcef car il sait et on fait des choses tellement crades et il pourrait tellement tout me faire mais même juste coucher avec un gars me donne tellement pas envie alors que j’aimerais bien, que des gars m’ont déjà plu dernièrement mais j’en ai juste marre de n’être que ça et d’avoir peur de faire encore des crises d’angoisse de voir encore des choses de ne pas réussir à éteindre mon cerveau ou qu’on me demande comment je fonctionne car je n’en sais foutrement rien j’ai eu peur presque toute ma vie presque personne ne m’a jamais écouté ou n’a jamais essayé de comprendre ce que mon corps disait, j’ai accepté beaucoup de choses que je n’acceptais pas et ça me suit sauf avec youcef mais j’aimerais pouvoir réussir à aller de l’avant sauf que ça me semble juste impossible car je suis trop cassée trop traumatisée j’aimerais ne plus avoir de corps souvent et je sais que quand je ne mange pas c’est en partie pour ça j’aimerais juste disparaître qu’on ne me voit plus qu’on n’ait plus envie de moi qu’on ne m’agresse plus
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jamie-007 · 6 months ago
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Tumblr media
« Laisse les choses se briser, arrête de t'efforcer de les garder. Laisse les gens s'énerver.
Laisse-les te critiquer, leur réaction n'est pas ton problème
Laisse tout s'effondrer, et ne t'inquiète pas pour l'après.
Où vais-je aller ? Qu'est-ce que je vais faire ?
Ce qui doit partir partira de toute façon. Tout ce qui doit rester restera.
Ce qui part laisse toujours de la place à quelque chose de nouveau, c'est la loi universelle.
Et ne pense jamais qu'il n'y a plus rien de bon pour toi, juste que tu dois arrêter de contenir ce qui doit être lâché. »
🎬 Mange, prie, aime (2010)
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sabinerondissime · 4 months ago
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Journal
Depuis plus d'un an, je fais un jeûne intermittent. Je ne mange rien entre 20h et midi le lendemain. Je ne bois rien de sucré pendant cette période non plus. Je fais seulement relâche le dimanche. J'ai perdu 7kg dans l'année. Sauf que pendant les vacances, je ne me suis rien refusé et j'ai coupé le jeûne. Résultat, plus 4 kg sur la balance. Depuis mon retour, le 15 aout, j'essaie de les perdre mais pour le moment je n'en ai perdu que 2. Toute ma vie, depuis mes 6 ans et un traitement à base d'injections d'hormones, j'ai eu un problème de poids. Je ne compte plus les régimes que j'ai fais, des plus farfelues au plus sérieux. J'ai toujours repris le poids perdu, plus quelques kilos. Quand je vois sur les réseaux des personnes qui se moquent de celles en surpoids, en disant qu'il suffit de faire un régime pour maigrir, ça me fait doucement rigoler. Déjà, faire pencher la balance du bon coté, c'est vivre dans la frustration et la faim jour après jour. Il faut une motivation sans faille et perso, le plus que j'ai tenue c'est 9 mois. J'avais perdu 20 kg, que j'ai repris petit à petit, car on ne peut pas passer sa vie à se priver, à compter les calories et à rester motiver sans arrêt. Quand on est petit, il ne suffit pas d'étirer les membres pour prendre des centimètres, quand on est grand, ce n'est pas parce qu'on va porter du poids sur la tête que l'on va perdre en hauteur. Même quand on est maigre, il ne suffit pas toujours de se goinfrer pour grossir. Et bien quand on est gros, perdre du poids est très loin d'être seulement une histoire de bouffe ! Même en diminuant nos assiettes de moitié, la perte de poids n'est pas extraordinaire. Moi par exemple, je ne grignote pas entre les repas, je ne bois pas de soda ni de boisson sucré. Je ne mets pas de sucre dans mon café. J'évite les biscuits et tout ce qui n'apporte que du sucre. Mais oui, je mange bien à table, parce que j'ai faim ! Parce que mon organisme me le réclame. Les légumes et les fruits, ça ne coupe pas la sensation de faim. Et puis on est pas tous égaux face à la perte de poids. Pour moi,c'est un très très long parcours, pas agréable du tout et que j'ai décidé de laisser derrière moi. Je fais attention, mais je ne me prive pas. Et pour le moment, malgré mes 56 ans et mon obésité morbide, j'ai moins de soucis de santé que beaucoup de personne.
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e642 · 4 months ago
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Cette relation je la ressens comme un aliment que tu aimes bien, sans plus, que tu manges fréquemment et que tu arrêteras de manger seulement au moment où tu l'auras tellement consommé que auras la nausée à la simple vue. Tu t'en dégoûtes doucement. À chaque fois que tu le manges, tu te demandes pourquoi tu trouvais ça aussi bon. Ça te frustre parce que tu te rappelles à quel point ça a été bon mais tu ne te rappelles pas exactement quand c'est devenu aussi fade, écoeurant. Juste après l'avoir englouti, été déçu, tu te demandes déjà si la prochaine fois ce sera aussi mauvais ou s'il n'y a pas un petit espoir que ça change de goût. Pourtant, s'il y a bien une chose qui fluctue peu, c'est le goût des aliments. À force, tu te demandes si tu fais pas une allergie pour saturer autant. À la fin, t'as même plus faim d'autre chose, t'as juste envie de plus rien ingérer pour être certaine que les hauts le cœur cesseront définitivement. Une lente perte d'appétit. Tu sais que quand t'auras plus envie de ça, t'auras plus envie de rien. Peut-être que les évictions alimentaires ont du bon.
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