#maladie invisible
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compulsion-dexpression · 2 years ago
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Modérations groupes Facebook numéro 15
Une pensée pour ceux et celles qui…N’ont pas un super réseau de soutien, d’aide,Qui sont épuisés d’être malade, Ont vécu du gaslighting médical,Qui sont obligés d’être fonctionnels meme si ils sont malades,Doivent toujours expliquer c’est quoi leur maladie et les symptômes,Ont eu une semaine difficile et ont besoin de soutien. Confessions d’un jeune adulte vivant avec une maladie chronique: -Je…
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harriet-de-g · 1 year ago
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Toujours mal quelque part
Avoir mal, quand ça dure depuis longtemps, c’est jamais juste avoir mal : c’est devoir adapter son quotidien, gérer l’incompréhension des proches, et faire plein de petits deuils, tout en gardant des espaces de joie. La douleur chronique est un truc qui touche énormément de gens. Pourtant, en dehors des recommandations médicales habituelles, peu de ressources s’attardent sur la gestion du quotidien. Comment on fait quand on n’a pas une thune ? Comment on en parle autour de soi, comment on adapte son existence à une donnée aussi imprévisible ?
Ce zine est un début de piste, qui s’adresse autant aux personnes qui vivent avec des douleurs chroniques, ainsi qu’à celle qui les entoure. Il te dira pas d’aller voir un médecin ou de faire du yoga, tu fais bien comme tu veux. Il existe juste pour te dire qu’il est possible de se rendre la vie plus facile et moins solitaire, même quand on a mal.
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Il a aussi été pensé comme un outil pratique qu'on a envie de garder pas loin, avec des espaces de prises de notes et des illustrations pour accompagner sa lecture 🌱.
"Toujours mal quelque part" est disponible en pré-commande à prix libre. Il suffit de m'envoyer un message privé en précisant ce qu’on veut payer, son mail & selon le mode d'envoi : une adresse. Ce soutient financier servira en premier lieu à imprimer et diffuser ce zine. Plus largement, il contribue à l’existence de mon travail et j’en suis très reconnaissant·e. Comme d’hab, une version en ligne est est disponible en fin d'article.
À titre indicatif ✉️ Pour la poste française, le coût d'envoi est à partir de 2,90€ selon le volume, (1€ pour le reste de l'Europe).
Le zine fait une quarantaine de pages, imprimé sur papier bouffant, intégralement en couleur.
Toutes les références à la fin et bien plus sont répertoriées dans ce post.
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Lien de téléchargement :
En page par page.
En cahier à imprimer et relier.
J’espère que vous aurez autant de plaisir à le lire que moi à le créer, à très vite!
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tmc-consulting-club · 3 months ago
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"Qui et que sommes-nous face à la maladie ?...Sommes-nous prêt à combattre un mal invisible surpuissant ?...et comment ?...et jusqu'où ?... #OctobreRose Bravo et courage à toutes celles qui se sont battu contre, qui se battent contre, ou qui devront malheureusement un jour, se battre contre." #ThibautMarcCAPLAIN
“Qui et que sommes-nous face à la maladie ?…Sommes-nous prêt à combattre un mal invisible surpuissant ?…et comment ?…et jusqu’où ?… #OctobreRose Bravo et courage à toutes celles qui se sont battu contre, qui se battent contre, ou qui devront malheureusement un jour, se battre contre.” #ThibautMarcCAPLAIN
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lesouffleurdemots · 1 year ago
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l'ABC des handicaps invisibles
26 lettres pour vous parler des handicaps invisiblesEt pourtant… Ce fut galère de trouver et je vous laisse trouver les intrus ! ⚠ Pour rappel, les handicaps invisibles concernent 80% des handicaps. 🚹 Un handicap invisible est un handicap non détectable, qui ne peut pas être remarqué si la personne concernée n’en parle pas. Les handicaps invisibles regroupent :🔸 les maladies invalidantes…
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musographes · 2 years ago
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Se plonger dans l’histoire des modèles vivants, c’est aussi se rendre compte de choses comme cela (clin d’œil à l’actu sur la réforme des retraites).
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kiryoutann · 18 days ago
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warning(s): MDNI, sexual contents, mental breakdown, ANGST.
Watching Simon hold another woman the same way he used to hold you. Anyone?
Summoning what little courage is left, you stand up and begin retracing their invisible footprints, making your way towards the backdoor. As you pushed it open, you were greeted by the sight of a dark, empty alley, with your ragged breath as the only sound.
But when you reached the other end of the alley, the silence faded away as hushed whispers and soft sounds filled the air. Alarms went off in the back of your head—it only meant one thing—but you ignored it. Instead, you slowed your steps, hiding behind the crumbling brick wall, and peeked around the corner.
There they were. Simon and the woman, locked in a deep, passionate kiss. His body pressed against hers as she wrapped her legs around his waist in a way that made your stomach churn. The hands you knew so well cupped her jaw like he did to you as he dragged his lips down her exposed neck. Just like he did to you.
A strangled sound escaped your mouth; you covered it to prevent another. You felt your eyes burning, yet you couldn’t tear your gaze away from the show. Spare me, your heart begged, yet you let your ears continue to listen to them.
The sound of a zipper being lowered cuts through the air. Simon lifted her dress, and you watched in morbid fascination as he snapped his hips forward. She lets out a loud moan. Your head throbbed, the pulsing pain matching the rapid beating of your heart. The burn inside you was almost unbearable, and you felt your breath shortening, vision blurring as you grew lightheaded.
You couldn’t bear to watch anymore. With shaking limbs, you walk away from them. The acid reaches your throat—the next second, you're hunched over, vomiting onto the cold, hard concrete.
And suddenly, everything feels like a fever dream—a repetitive loop that leaves you feeling both light and heavy. You exist, but you don't really exist; you're breathing, but you're not really breathing. The cobblestones stare back at you, their edges thickened, spreading like black blood. Beside them, your hands are shaking, and when you turn them over, you realize they’ve always been this way—open, fingers stretched to their maximum.
Like they're grasping for something out of reach.
Here you are.
Surrounded by unfamiliar buildings in an even more unfamiliar city. Yet, the hollowing abyss within you is anything but a stranger. In truth, it's probably all you've truly known throughout your entire life before you dared to believe you could become something beyond this yawning emptiness—the chasm where every ounce of love and all the things you've held dear have been mercilessly flushed away.
When you sob again, you choke. Gravel scrapes your skin as you kneel down,  resembling a devout soul pleading to the heavens. It isn't devotion that drives your supplications, but rather fear—and perhaps that's why your fervid entreaties never find an answer.
“Why did you let that man walk away?”
Change the prophecy, change the prophecy, you beg. Make him love me, let him love me.
(But, is it his love you truly seek, or simply the proof that it brings?
Or is it a bit of both?)
Surrounded by unfamiliar buildings in an even more unfamiliar city, you taste the saltiness of your own tears on your lips. Release me. Release me from this pain—from this curse. Make him love me. Prove me right, prove herwrong. All these demands, and yet, the voracious pain continues to spread like an all-consuming malady.
It gave you an open eye.
How pathetic you must’ve looked—like a crumpled, wretched thing, curled on the dirty sidewalk while Simon was still there in the alley, digging his fingers into the hips of another woman. You could almost feel it—the phantom of his touch, the sounds he used to make. You knew he would kiss her just as he had kissed you—he would make her feel good, the way he had always made you feel.
And you knew—you just knew—that she would fall for him, just as you had.
But this time, he would love her back.
Because she wasn’t you.
[sneak peek of chapter 12 of "A MAN'S HEART IS TRULY A WRETCHED, WRETCHED THING.". FULL VERSION OUT NOW.]
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au-jardin-de-mon-coeur · 17 days ago
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EN CE JOUR DE NOËL
Aujourd'hui, je veux adresser un mot à tous.
A ceux dont la pièce est remplie de rire, à ceux qui cheminent seuls, accompagnés d'une douleur qui ne se dit pas. A vous, dont le silence de l'absence pèse lourd comme un manteau d'hiver.
Pour les cœurs en deuils, que la douceur d'un souvenir vienne doucement vous effleurer, comme une étoile discrète au ciel de vos pensées. Que l'absence laisse place l'espace d'un instant à une tendresse pour nos regrettés absents.
Pour les âmes esseulées, que ce jour de Noël vous murmure combien vous êtes importants, qu'il y a quelque part une lumière qui brille pour vous et se rapproche à chaque instant.
A vous qui luttez contre la maladie, je vous souhaite de trouver la force de croire en des jours meilleurs, et le réconfort dans les petits instants de paix.
A ces parents, qui en ces fêtes n'ont pas leurs enfants à leurs côtés. Que votre amour voyage, invisible mais puissant comme un fil d'étoiles tendu entre vos âmes. Que chaque pensée que vous leur envoyez les atteigne peu importe où ils se trouvent.
Pour ceux qui cherchent encore un sens à cette fête, sachez que Noël n'est pas seulement une célébration bruyante. C'est aussi une promesse, celle d'une lumière qui revient même dans les nuits les plus noires.
A vous tous, je vous souhaite un joyeux Noël dans toutes ses nuances. Je lève mon verre à ceux qui nous manquent, que notre amour voyage à travers l'espace.
Jennifer.K
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buckyclevens · 9 months ago
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john confesses to gale (excerpt from my postwar fic)
inspired by the line in the movie tropical malady, "when i gave you the clash tape, i forgot to give you my heart. you can have it today"
John reaches out in the darkness and carefully places a hand on Gale’s warm shoulder. He doesn’t stir. His skin is soft.
“When I gave you my lucky deuce,” John whispers. ���I forgot to give you my heart. You can have it today.”
The words are out. Doesn’t matter if Gale is asleep, John reasons, he said the words and they’re out. An invisible weight lifts itself from his shoulders and a vice unclenches from around his heart. John exhales softly. He closes his eyes, leaving his hand on Gale’s shoulder, grateful that he hasn’t stirred.
A moment before John falls into unconsciousness, he feels Gale’s hand come up to cover his own. He feels the mattress shift and opens his eyes to see Gale’s face inches from his own, lit up by the moonlight streaming bright through the window. At their feet, Cinnamon curls herself into a tight bun, purring softly.
“You’ve always had my heart, John,” he says, taking John’s hand and bringing his fingers to his lips. He holds his breath, spellbound as Gale presses his lips to each of John’s knobby knuckles, Gale’s eyes closed as he does so. Gale’s lips are so soft, though chapped, and John’s too tired to resist the thought of imagining his lips on his own.
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lisaalmeida · 7 months ago
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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compulsion-dexpression · 1 year ago
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Modérations numéro 17
Traduction: pendant ma formation, un docteur a dit Juste parce que vos patients sont résilient ça ne veut pas dire qu’ils ne souffrent pas. Ce concept de co existence m’a reveillé. Le concept de résilience vient souvent du fait que c’est nécessaire pour survivre et ça ne veut pas dire que quelqu’un est correct… La personne que tu connais qui vit avec une maladie, un trouble chronique , que ce…
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harriet-de-g · 1 year ago
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Ressources autour de la gestion de la douleur.
Cette Bibliographie est issue du zine "Toujours mal quelques part" sortie en janvier 2024. Les catégories reprennent les différents chapitres de celui-ci. La liste est régulièrement mise à jour et complétée. N'hésitez pas à partager vos propres ressources pour la faire évoluer!
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C’est quoi la douleur ?
L’Institut national de la santé et de la recherche médicale a un dossier qui reprend des informations générales sur la douleur.
La douleur, quelle chose étrange, Steve Hains & Sophie Standing, livre, 32p.
La douleur chronique perturbe l’équilibre cérébral, Rev Med Suisse, 2008/145 (Vol.-6), p. 493a–493a.
Lien entre douleur et trauma
Le Trauma, quelle chose étrange, Steve Haines & Sophie Standing, livre, 32p.
Le corps n’oublie rien. Bessen Van Der Kolk. Il existe une version résumée en zine nommé « Ressources sur le traumatisme » (Morgan.e).
Comment les traumatismes d’enfance impacte la santé tout au long de l’existence (« How childhood trauma affects health across a lifetime ») Nadine Burke Harris.
Qu’est ce que le trauma? L’auteur de le corps n’oublie rien explique («What is trauma? The author of “The Body Keeps the Score” explains,) Bessel van der Kolk.
Childhood exposure to violence and lifelong health: clinical intervention science and stress-biology research join forces. Moffitt, T. E., & Klaus-Grawe 2012 Think Tank (2013). Development and psychopathology, 25(4 Pt 2), 1619–1634.
Mécanismes d’adaptation 
Pain-determined Dissociation Episodes, David A. Fishbain, R. B. Cutler, H. L. Rosomoff, R. Steele Rosomoff, Pain Medicine, Volume 2, Issue 3, September 2001, Pages 216–224.
Trop à l’aise avec nos diagnostics, zinzinzine,
Et toi, tu fais quoi dans la vie ?, Harriet de G, brochure, 4p.
Quand tout va bien
Une introduction en français à la technique du pacing.
Laziness Does does not exist, Devon Price, livre, 256p.
La culture du Valide Occidental, Zig Blanquer,
Les thérapies alternatives
A claire voie : manuel de savoir être fou en société, zine, 91p. Comporte un chapitre spécifique pour les premiers entrevus avec un·e thérapeute (dans un cadre psychiatrique).
Pour les proches
La théorie des cuillères, article wikipédia.
The spoon theory (La théorie des cuillères), Christine Miserandino, essai.
Soutien mutuel : les bases
Paillettes Toxiques et Sérum Phy : des pistes pour repérer des dynamiques de pouvoir dans nos relations (pas cis hétéro), zine, 275p.
Point drogue
Une carte interactive pour savoir où tester ses produits
Relation entre tabagisme et douleur : revue narrative de la littérature scientifique, D. Balayssac, Revue des Maladies Respiratoires, Volume 38, Issue 3, 2021, Pages 269-277.
Se faire mal : comment prendre soin de toi lorsque tu ressens le besoin de te blesser, Icarus Projets, zine, 56p.
Alternatives à l’auto-mutilation, Traduction de Choose recovery par Dandelion Guide pour décrocher des médicaments psychotropes en réduisant les effets nocifs, zine, Icarus project, 70p. Tumer Fue : Une méthode libre pour en finir avec la clope, Robin, zine, 80p.
Toxicophobie mon amour, Pour déconstruire ses préjugés sur l'usage de produits.
Pendant la tempête
Le manuel de sevrage des psychotropes, livre, Soutien Benzo, 196p.
Aider ses ami.e.x.s qui ont parfois envie de mourir à ne peut-être pas mourir, traduction par ezekiel and the weirdos, zine, 33p.
Le mouvement death positiv tente de réduire les tabous autour de la mort et d’explorer les façons de préparer sa fin de vie sereinement.
Living with depression, Kat Amarië, vidéo (traduite).
Dépression comment te quitter, Luks, zine, 20p.
En vrac :
Chroniques des chroniques : une émission autour des maladies chroniques (douloureuses), radio rageuse.
La souffrance: que ressent-on quand quelqu’un nie notre douleur ?, podcast Emotion.
The Cancer Journals (Journal du cancer), Audre Lorde, livre, 96p. Fragments, Fatou S, livre, 150p.
Guide de navigation en eau trouble : se fabriquer des ressources quand on vit une crise ou un moment pas cool, zine, 40p.
Les ateliers groupe soin, volume 1, 2 et 3, zines, groupe soin. Du partage de savoir et vulgarisation de concepts médicaux issus de rencontre en groupe pour s’autonomiser.
My Body Is a Prison of Pain so I Want to Leave It Like a Mystic But I Also Love It & Want it to Matter Politically, Johanna Hedva, vidéo et transcript.
Hollow, Mia Mingus, Traduction d'Emma Bigé et Harriet de g, zine. De la science fiction avec des handi·es autonomes.
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yandere-wishes · 7 months ago
Note
Hello there! I hope you're doing well! All I wanted to say was, your fic is 🔥. You cooked so well in Boothill fic, that you kinda inspired me to do the same. This isn't an ask, more so sharing of an idea.
Currently, I am drafting the fic and tinkering with the idea of Yandere! Boothill and self-annihilator darling. Boothill could immediately recognize his darling, since they both have shared history but the opposite can't be the same.
Since his darling memories and sense of self is gradually eroding thanks to the shadow of IX (Aeon of Nihility) and the only way she could suppress it’s influence is by wax seal from a doctor of chaos (specialized doctors for self annihilators), which boothill murdered him since the doctor happened to be a cohort with the IPC.
I kinda wanted to share my idea with you, since you are a fellow boothill enjoyer.
Here’s a synopsis for it;
Synopsis: Plagued with a malady, since you were a wee child, that slowly gnawed on your conscious and senses with it’s invisible mandibles. It was only a matter of time, before you succumbed to it’s influence.
In a desperate mean, you seek a doctor of chaos to cure your terminal illness. Instead of a doctor, you were met by the presence of a cybernetic outlaw; Who had gunned down what was your only chance at survival.
Yet, his white and red crosshair was familiar for some reason almost as if you had seen it somewhere in a fleeting dream perhaps.
Again. Sorry, if I yapped a lot.
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OMG, that is like the BIGGEST complement ever!! I'm so glad my little old-Hollywood story inspired you!!
The angst potential is super uncanny!! The reader's sense of hopelessness when her only hope has been gunned down!! Boothill's heartbreak when the lover he could never forget can't even remember his name!! The build-up is so solid, I love it!!
Just from that synopsis, I can tell this is going to be a great fic. The words and sentence structure are immaculate and the emotions are coming through loud and clear!!
I can hardly wait to read it!! Please tag me when you're finished.💞💜 💞💜
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sinvulkt · 5 months ago
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Edmond se tournait et se retournait sur la pauvre paille qui lui servait de lit depuis les longues années qu’il habitait le cachot. Il avait perdu le compte des jours quelques temps après sa captivité, mais cela devait faire plusieurs années, n’est-ce-pas ?
Une nouvelle crampe lui crispa le dos, et il changea encore de position dans le vain espoir de dénouer le nœud qui s’y était formé. La douleur ne partait pas, et le sommeil ne vint pas, alors, abandonnant l’idée de dormir, Edmond se leva et se mit à marcher en cercle.
Depuis quelques jours, une sensation de brûlure pulsait entre ses omoplates. Au départ, le dérangement n’était que très faible, la sensation à peine plus perturbante qu’une piqûre de moustique. Mais la situation avait petit à petit empiré, et désormais sa peau le démangeait terriblement. Edmond se serait bien gratté d'avantage, mais il en avait déjà irrité la zone douloureuse jusqu’au sang, et la moindre touche aggravait le sentiment de brûlure qui grouillait sous sa peau.
Il se résolut d’en parler au porte clé qui venait lui apporter sa soupe.
Ce dernier, mis au courant de l’étrange maladie qui frappait le prisonnier et soucieux de ne pas voir sa mort prélevée à sa paye, s'empressa de signaler à Edmond de se déshabiller.
“Je ne vois rien,” dit le geôlier une fois qu’Edmond eut enlevé sa chemise pour révéler son dos nu.
“Regardez encore !” demanda Edmond, désespéré de trouver la source du mal qui le tourmentait tant.
Le geôlier se pencha, lorgnant le dos du prisonnier. Les repas frugales de la prison d’If avaient rendu le prisonnier maigre, les os saillants, mais l’on pouvait encore apercevoir la silhouette des solides muscles qu’on les marins.
“Non, vraiment. Je ne vois rien.”
“Merci.” soupira le prisonnier en s’écartant tristement. 
Le geôlier n’avait aucune raison de se moquer de lui. Après tout, les portes-clés n’avaient que peu d’intérêt à le voir mort, emprisonné comme il était. C’était donc que l’homme disait la vérité, et que le mal qui déchirait le dos d’Edmond demeurait invisible.
Une fois son geôlier parti, promettant qu’il appellerait le docteur si les choses s’aggravaient, Edmond écarta sa soupe. Il n’avait pas faim. La douleur qui vrillait juste sous ses omoplates s'étendait maintenant sur toute la longueur de son torse, comme pour se moquer de sa faiblesse. Pis encore, une nausée montante rendait ses mains tremblantes et sa vue trouble. Même si son estomac avait été d’humeur, Edmond doutait qu’il eut pu porter la nourriture à sa bouche. 
Le reste de la journée s'échappa dans un flou nauséeux. Edmond était trop fatigué pour bouger, mais trop agité pour rester allongé. Il alternait donc entre les deux, plongé dans une vague brume cauchemardesque. Son cœur battait la chamade et son corps était secoué de frisson, sans que cela n’empêche la brûlure annexant son échine de le tourmenter. La fraîcheur de la nuit, loin de le soulager, empira encore son malheur.
Des vagues de crampes successives mettaient son dos à l'agonie, le laissant pantelant sur le sol froid et humide. Le moindre frottement était décuplé. Bientôt, Edmond ne supporta plus le tissu rêche de ses haillons, et avec un de ces regains d’énergies que la fièvre donne parfois, il s’empressa de les jeter au sol.
Edmond ne savais combien de temps il passa dans cet état intemporel que donne la maladie. Quelque chose de froid et gluant s’était mis à lui couler sur le dos, mais il n’avait plus la force de vérifier si ce n’était que de la sueur, ou bien du sang. Une sensation de douleur bien plus pénétrante que les autres le traversa, et Edmond ne put réprimer un hurlement.
Puis un second. 
Puis un troisième. 
C’était comme si une valve fermée s’était soudainement ouverte, libérant l'expression de toute la souffrance qui le secouait et lui coupait le souffle. Edmond se recroquevilla sur le sol, front a terre, tirant désespérément sur ses cheveux pour échapper à la torture qui le dechirait de l’intérieur. Des pas accoururent, mais perdu dans la fièvre et la douleur, Edmond ne les entendit pas.
“Mais bon sang, que se passe t-il ?!”
On le secoua, sans pouvoir provoquer plus que des gémissements. Puis, les doigts charnus qui l'avaient malmené le quittèrent. Il y eut une pause, puis d’autres cris; qui cette fois ne venaient pas de lui; puis une main contre son épaule alors qu’il tentait de se retourner pour frotter la zone brûlante au sol délicieusement froid.
“Ne bougez pas.” 
Edmond s’accorda très bien de cet ordre. Maintenant que la personne le disait, se retourner semblait en effet une bien mauvaise idée. Et puis, le sol était trop froid. Il préférait bien plus la main chaude qui était restée posée près de son cou. Une seconde vint se poser sur son front. Elle s’en éloigna presque aussitôt, et Edmond regretta la fraîcheur qui l’avait brièvement envahi à son contact.
“Mais c’est qu’il a de la fièvre, ce pauvre garçon.” Le geôlier leva la voix. “Appelez un médecin !”
Le cri, trop fort pour les sens surmené d’Edmond, lui fit l’impression d’un ballon qui éclatait dans son crâne. Ses gémissements reprirent de plus belle.
“Que se passe-t-il?” Une nouvelle voix lui transperça les tympans.
“Le prisonnier est souffrant.”
“Ça, je l’entend bien qu’il est souffrant. Cela fait une demi-heure qu’il nous casse les oreilles. Mais avez-vous une idée du mal?”
“Non. Ce matin, il parlait encore.”
Le flot de parole fut bientôt enseveli sous la vague de fièvre qui l'envahit comme un nouvel accès de crampe, tel une cruelle lance brûlante qui le perça de toute part. Sa gorge était rauque à force de crier, et le son ne sortait que par accoups étranglés. 
“Allons, allons.”
Les porte-clés, bien embêtés, tentèrent tant bien que mal d’aider lorsque ce dernier se releva sur ses coudes pour tousser. Ils ne réussissent qu'à le perturber davantage. 
Edmond voulait fuir toutes ces mains inconnues, bien trop moites, bien trop épaisses pour être celles qu’il cherchait. Il se languissait de la douceur du toucher de Mercedes contre sa peau. De lointains souvenirs remontaient le long de ses pensées confuses, prenant le pas sur les voix bien réelles qui l'entouraient.’
“C’est le milieu de la nuit. Ne peut-il pas tenir jusqu’au matin ?” l’une d’entre elle grommela. “C’est la prison, ici, pas l’hôpital.”
Une douleur, au moins dix fois plus terrible que toutes les autres, foudroya Edmond. Un cri final s’échappa de sa gorge desséchée. Il lui sembla, l’espace d’un instant, que sa peau se déchirait, mettant à nu la structure osseuse de ses omoplates et de sa colonne vertébrale. Que tout le sang de son corps se déversait le long de cette plaie sanglante, le laissant vide, sans vie.
Aussi vite qu’elle était apparue, la tortueuse agonie s’en alla, ne laissant derrière elle que les traces lancinantes d’un écho. Edmond était trop faible pour remarquer le silence qui pesa soudain entre les deux geôliers.
Le premier se tourna vers le second.
“Dites au médecin que c’est pour un ange. Il viendra.”
Le monde semblait bien lourd à présent, sans l’aiguille de la misère pour le garder éveillé. Les paupières d'Edmond se fermèrent au rythme des pas qui s’éloignent. Exténué, à bout de souffle, il ne réfléchit pas deux fois au répit qui s’offrait à lui et se laissa tomber dans le clément oubli de l’inconscience.
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dailyunsolvedmysteries · 5 months ago
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The Bell Witch Haunting
In the early 1800s, John Bell moved his family from North Carolina to the Red River bottomland in Robertson County, Tennessee, settling in the Red River community, which later became the present-day Adams, Tennessee.  Bell purchased some land and a large house for his family. 
One day in 1817, John Bell was inspecting his corn field when he encountered a strange-looking animal sitting in the middle of a corn row. Shocked by the appearance of this animal, which had the body of a dog and the head of a rabbit, Bell shot several times. The animal vanished. This was the first documented manifestation of the entity. Bell thought nothing more of the incident, at least not until after dinner. That evening, the family began hearing "beating" sounds on the outside walls of their log home.
The mysterious sounds continued with increased frequency and force each night. Bell and his sons often hurried outside to catch the culprit but always returned empty-handed.  In the weeks that followed, the Bell children began waking up frightened, complaining that rats were gnawing at their bedposts. Not long after that, the children began complaining of having having their bed covers pulled from them and their pillows tossed onto the floor by a seemingly invisible entity.
As time went on, the Bells began hearing faint, whispering voices, which too weak to understand but sounded like a feeble old woman singing hymns. The encounters escalated, and the Bells’ youngest daughter, Betsy Bell, began experiencing brutal encounters with the invisible entity. It would pull her hair and slap her relentlessly, often leaving welts and hand prints on her face and body.  The disturbances, about which John Bell had vowed his family to secret, finally escalated to the point that he shared his "family trouble" with his closest friend and neighbor, James Johnston.
Sceptical at first, Johnston and his wife spent the night at the Bell home. Things began peacefully, but once they retired for the evening, they were subjected to the same terrifying disturbances that the Bells had been experiencing. After their bedcovers were yanked off and James was slapped, he sprang out of bed, exclaiming, "In the name of the Lord, who are you and what do you want!" The entity did not respond; the rest of the night was peaceful. The next morning, Mr. Johnston explained to the Bells that the culprit was likely an "evil spirit, the kind that the Bible talks about." The entity's voice strengthened over time and became loud and unmistakable. It sang hymns, quoted scripture, carried on intelligent conversation, and once even quoted, word-for-word, two sermons that were preached at the same time on the same day, thirteen miles apart. 
The spirit grew stronger and more aggressive over time, particularly picking on John Bell claiming to want to kill him. Bell had been experiencing episodes of twitching in his face and difficulty swallowing for almost a year, and the malady grew worse with time. By the fall of 1820, his declining health had confined him to the house, where the malicious entity continuously removed his shoes when he tried to walk, and slapped his face when he recovered from his numerous seizures. Her shrill voice was heard all over the farm, cursing and chastising "Old Jack Bell," the nickname she had given him. John Bell breathed his last breath on the morning of December 20, 1820, after slipping into a coma a day earlier. Immediately after his death, his family found a vial of strange black liquid in the cupboard. John, Jr. sprinkled two drops on the cat's tongue. The cat jumped up into the air, rolled over in mid air, and was dead when it hit the floor. The entity then exclaimed, "I gave Ol' Jack a big dose of that last night, which fixed him!" John, Jr. tossed the mysterious vial into the fireplace. It burst into a bright blue flame and shot up the chimney.
John Bell's funeral was one of the largest ever held in Robertson County, Tennessee. People attended from miles away, and three preachers (two Methodist, and one Baptist) eulogized him. As the crowd of mourners began leaving the graveyard, the Bell Witch entity laughed and sang a song about a bottle of brandy. Her fervent singing didn't stop until the last mourner had left the graveyard. The entity's presence was almost non-existent after John Bell's demise, as though it had fulfilled its purpose.
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ltalaynareor · 2 months ago
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Baudouin UA moderne
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Baudouin marchait d'un pas déterminé à travers les couloirs de la faculté d'histoire, ses livres serrés contre sa poitrine. Les regards curieux et les chuchotements n'avaient plus le pouvoir de le faire vaciller comme avant. Il avait appris à vivre, à affronter les regards de ceux qui ne comprenaient pas.
Alors qu'il traversait l'amphithéâtre, un visage familier attira son attention. C'était Alix ! Alix qui avait partagé sa nourrice, Alix qui avait été la seule à rester près de lui, alors qu'il avait la lèpre et qu'aucun médicament ne fonctionnait. Alix qui était là quand enfin quelque chose avait fonctionné mais que la moitié de son visage avait disparu. Alix qui avait décidé de se battre pour lui, quand au collège, les autres se moquaient de lui. Alix qui avait la chance de partir à la Sorbonne mais qui avait refusé pour lui. Toutefois, Baudouin ne voulait pas qu'elle sacrifie son avenir et il avait fait des pieds et des mains pour qu'elle accepte. Elle était partie il y a deux ans et même s'ils s'envoyaient régulièrement des nouvelles par SMS, il ressentait toujours son absence.
Il perçut immédiatement la surprise dans son regard, mais pas de pitié, pas de jugement. Juste de la sincérité et de la chaleur.
"Baudouin ?" s'exclama Alix, se levant de son siège pour le rejoindre. "Tu es là !"
Baudouin sourit, soulagé de retrouver son amie si chère. "Alix, c'est tellement bon de te revoir. Comment es-tu arrivée ici ?"
Alix lui fit un rapide résumé de son changement de faculté, évoquant ses projets d'avenir et ses nouvelles découvertes. Baudouin sentit une bouffée de fierté pour elle, s'émerveillant de sa force et de sa détermination.
"Et puis, il faut avouer que tu m'as manqué. Je ne pensais pas que ce serait si dur d'être sans toi.", murmura la jeune femme.
"Tu m'as manqué aussi Lizzie."
Alix sourit brillamment et fit une blague à propos de l'emplacement de la fac et de la bibliothèque. Cela entraîna un rire de la part de son compagnon.
Pendant qu'ils discutaient, Baudouin remarqua qu'Alix ne fixait pas ses cicatrices comme les autres le faisaient. Au contraire, elle semblait se concentrer sur ses yeux, sur ses paroles, sur lui en tant que personne et non en tant que sujet de curiosité.
"Alix, tu es la seule qui ne me regarde pas comme si j'étais un monstre," confessa-t-il, un poids invisible se soulevant de ses épaules.
Alix lui prit doucement la main, la serrant avec compassion. "Baudouin, tu es bien plus que tes cicatrices. Tu es courageux et intelligent. Ne laisse jamais personne te faire sentir autrement."
Les mots d'Alix résonnèrent en lui, apaisant ses doutes et renforçant sa confiance en lui-même. Elle lui avait vraiment manqué.
Tandis qu'ils poursuivaient leur conversation, riant et se rappelant des souvenirs de leur enfance, Baudouin ne sentit plus cette pression dans sa poitrine. Alix l'avait toujours connu, même avant sa maladie et elle n'était partie que parce qu'il lui avait dit que tout irait bien pour lui. Tout n'avait pas été bien, mais tout irait mieux maintenant.
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ask-felix-aberg · 5 months ago
Note
*Looking at the cloth-bound volume on Felix's desk, Andrew chewed his lip and finally stepped back. He had spent the last minute mentally debating whether or not he should personally return the book to his roommate, but then decided that the conversation regarding how Andrew came to the conclusion that it belonged to Felix was one he would very much like to avoid.
A copy of Advanced Potion Making sat atop the desk with a note accompanying it:*
Hello Felix!
I picked this up outside the library today and thought it might be yours since it had this written in the margins: "Are you a dragon tonic? Because you make my dragon rise, baby."
They are um- selling invisible ink in Hogsmeade if you would like to pick some up for next time.
Your friend,
Andrew
Felix pushed open the door to the dorm room. His robes, already loosened at the collar, now hung limply as he dragged himself across the threshold, his shoulders sagging under the weight of a long day spent in the sweltering heat. Even with the castle's cool stone walls, the warmth seemed to seep in through the cracks, making the long hours of studying almost unbearable.
The Ravenclaw kicked off his shoes, half-wishing he could just collapse onto his bed and let the day fade away, but something on his desk caught his eye - a cloth-bound volume resting there with a note perched atop it.
Curious, he walked over, his fingers tracing the spine of the book as he picked up the note. As his eyes skimmed over the words, a slow smirk curled the corners of his lips. 
"Are you a dragon tonic? Because you make my dragon rise, baby."
Andrew, of all people, with a line like that. Felix shook his head, chuckling under his breath as he pictured his friend, red-eared and flustered as he scribbled that line.
But as the initial amusement faded, Felix' brow furrowed slightly. "Outside the library?" he murmured, running his thumb along the edge of the note. 
He recalled seeing Madam Scribner earlier that day, clutching this very book and muttering something under her breath. It was hard to miss with the various garters she sometimes used as markers jutting out from the pages, like overgrown grass.
It was possible she’d dropped it. He made a mental note to return the book the next time he visited the library, together with the copy of Magical Maladies: A Healer’s Guide to Poking and Prodding he still had.
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