#maison de la pensée
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Affiche Henri Matisse 1950 (et moi)
Maison de la Pensée, Paris
#henri matisse#affiche#chapelle#1950#vintage posters#maison de la pensée#poster art#paris#chapelle rosaire
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Henri Matisse: Maison de la Pensée Francaise, Paris. 24.09.1950
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Je pensais pas voir le père de Silvia mais je suis content de voir qu'il est fier d'elle et la félicite pour son travail. C'est bien ça, j'espère que du coup on verra un peu plus le père par la suite vu que la dernière fois, de mémoire c'était avec Baal. D'ailleurs j'étais étonnée de voir Bachiko effrayée par la maison hantée. J'aurai pensé que ça la ferait rire. Mais avec Mephisto qui dit qu'il est possible qu'il monte de rang, je me demande si il y avait pas avoir un petit trucage concernant les résultats.
I didn't expect to see Silvia's father, but I'm glad to see that he's proud of her and congratulates her for her work. That's good, I hope we'll see a bit more of the father afterwards, because last time, from what I remember, it was with Baal. By the way, I was surprised to see Bachiko frightened by the haunted house, I thought it would make her laugh. But with Mephisto saying it's possible he'll rank up, I wonder if there wasn't a little rigging going on with the results.
#mairimashita! iruma kun#mairimashita manga#m!ik#m!ik spoilers#mephisto#barbatos bachiko#suzuki iruma
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L��ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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C’est à moi.
À la demande de @sayresse17 j’espère que ça va le faire 👀
23« Est-ce ma chemise ? »
Lilia X reader
Reader était une jeune orpheline de 25 ans, marquée par des années de vie en famille d'accueil. Elle avait toujours rêvé d'une vie stable, mais chaque nouvelle maison ne faisait qu'accentuer son sentiment d'instabilité. Aujourd'hui, elle avait décidé de fuir ses parents adoptifs, ne supportant plus leur indifférence.
Elle avait trouvé un petit travail dans la boutique de Lilia, Lilia avait tout de suite remarqué la douceur et la détermination de Reader. Avec le temps, un lien s'était tissé entre elles, si bien que Lilia avait proposé à Reader de s'installer dans sa chambre d’amie.
Cela faisait maintenant quelques mois que les deux femmes cohabitaient. Leur quotidien était rythmé par des rires, des discussions autour d'un café, et des soirées passées à lire ensemble. Reader se sentait enfin chez elle, entourée de chaleur et de compréhension. Pourtant, au fil des jours, un sentiment troublant commençait à s'installer en elle. Plus elle passait de temps avec Lilia, plus elle réalisait qu'elle l'aimait d'une manière qu'elle ne pouvait pas contrôler.
Reader se surprenait à la regarder plus longtemps, à apprécier chaque geste, chaque sourire de Lilia. Elle se sentait coupable de ces pensées, consciente que ce lien affectif pouvait être dangereux. "Je ne devrais pas ressentir ça," se répétait-elle en silence, mais son cœur avait déjà pris le dessus sur sa raison. Les moments passés ensemble, les éclats de rire partagés, tout cela la rapprochait d'une affection qu'elle n'avait jamais connue auparavant.
Reader avait enfin terminé de faire le ménage dans la maison, un sentiment de satisfaction l'envahissant. Elle se dirigea vers la salle de bain, impatiente de se plonger dans une bonne douche bien chaude. L'eau chaude coula sur sa peau, apaisant toutes les tensions accumulées de la journée. Elle ferma les yeux, profitant de chaque goutte, laissant la vapeur envelopper la pièce.
Après un moment de pur bonheur, Reader sortit de la baignoire, se sentant rafraîchie et revigorée. Elle s'enroula dans une serviette douce, absorbant l'humidité de sa peau. Une fois sèche, elle se mit à chercher ses vêtements, le cœur léger. Elle commença à enfiler son pantalon, soudain, un frisson de surprise la parcourut
. "Oh non, j'ai oublié de prendre un haut !" s'exclama-t-elle, réalisant qu'elle était restée là, à moitié vêtue, sans rien pour couvrir son buste.
Reader se sentit soudainement prise au dépourvu. Elle ne pouvait pas sortir ainsi, et la panique s'installa un instant. Ses yeux parcoururent la salle de bain, cherchant désespérément une solution. C'est alors qu'elle aperçut une chemise de Lilia accrochée au porte-manteau. "C'est mieux que rien", se dit-elle en l'enfilant rapidement, se sentant un peu plus à l'aise.
Elle attacha rapidement ses cheveux en un chignon désordonné, essayant de donner une impression de calme avant de sortir de la salle de bain. En marchant dans le couloir, elle espérait que personne ne la croiserait. Malheureusement, au moment où elle tournait le coin, Lilia apparut, surprise de la voir ainsi vêtue.
Reader se figea, le cœur battant. La gêne l'envahit, et elle ne savait pas quoi dire. Ses joues prirent une teinte rosée alors qu'elle cherchait des mots, mais rien ne venait. Elle se contenta de sourire timidement, espérant que Lilia ne poserait pas trop de questions sur sa tenue improvisée.
Lilia se tenait dans l'embrasure de la porte, un sourire malicieux sur le visage.
"Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un coin de sa bouche se relevant en un sourire espiègle, ses yeux pétillants de curiosité.
Reader, encore un peu gênée par la situation, baissa les yeux sur la chemise ample qui flottait autour d'elle.
"Eh bien, je… je l'ai empruntée sans vraiment demander," commença Reader, sa voix hésitante trahissant son embarras. Elle se gratta la nuque, cherchant les mots justes. "Je n'avais rien d'autre à mettre, et je me suis dit que ça pourrait faire l'affaire le temps que j’aille chercher quelque chose dans mon placard.."
Lilia, cependant, ne semblait pas se soucier de l'explication. Ses yeux parcouraient le corps de Reader avec une admiration inattendue. Elle se rapprocha lentement, ses pas légers sur le sol.
"Tu sais," dit-elle, son regard ancré dans celui de Reader, "je trouve que ça te va vraiment bien."
Reader sentit son cœur s'emballer sous le compliment, ses joues s'empourprant légèrement. "Tu penses vraiment ?" demanda-t-elle, surprise mais flattée.
"Absolument," affirma Lilia, un sourire sincère illuminant son visage. "Garde-la, elle te va bien. Tu devrais porter des chemises comme ça plus souvent."
Reader, touchée par la gentillesse de son amie, ne put s'empêcher de sourire. "Merci, Lilia. Je vais réfléchir à ta suggestion," répondit-elle, se sentant à la fois gênée et heureuse.
Lilia lui fit un clin d'œil complice avant de s'éloigner, laissant Reader avec une nouvelle confiance, réalisant que même les moments les plus embarrassants peuvent se transformer en compliments inattendus.
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Le Petit écho de la mode, no. 9, vol. 12, 2 mars 1890. 11. Robe de dîner en crêpe de Chine lilas clair. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(11.) Robe de dîner en crêpe de Chine lilas clair, brodé de chenille et soie pensée rehaussée d’or. — Robe forme princesse; le corsage se découpe sur des plis de velours pensée enveloppant les épaules. Manches presque longues garnies seulement de broderie pensée et or, la jupe ouvre à gauche sur un panneau très étroit de velours pensée. (Modèle de la maison Rouff.)
(11.) Dinner dress in light lilac crepe de chine, embroidered with chenille and pansy silk enhanced with gold. — Princess-shaped dress; the bodice is cut into folds of pansy velvet enveloping the shoulders. Almost long sleeves trimmed only with pansy and gold embroidery, the skirt opens on the left onto a very narrow panel of pansy velvet. (Model from the Rouff house.)
#Le Petit écho de la mode#19th century#1890s#1890#on this day#March 2#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#princess
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Il y a des gens qui te lisent comme un livre ouvert......✨✨
qui te ferme comme un livre lu,
qui t'écrit comme un livre blanc,
Qui a perdu son marque-page,
qui voulait te lire
mais les émotions n'étaient pas en vente,
Qui est passé et vous a mis sur l'étagère.....✨✨✨
qui t'a ramené à la maison et mis à la bibliothèque.
Peut-être qu'un jour quelqu'un te lira sérieusement,
de la couverture à la dernière page,
et il vous portera avec lui comme le plus précieux cadeau......💞✨🥀
Tiré de "Le trafiquant de pensées"
par Francesco Paolo Ettari
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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Ces derniers temps je pense beaucoup à ma meilleure amie d'enfance et d'adolescence avec qui j'ai plus trop de contact parce qu'elle sera pas à mon mariage et ça me travaille beaucoup, pas parce que j'aurais aimé l'inviter mais plutôt par nostalgie de la relation qu'on avait petites, quand on pensait à l'avenir on était persuadées qu'on vivrait dans la même ville je serais bibliothécaire et elle fleuriste (ça ça s'est bien réalisé pour le coup mdr) et on serait témoin au mariage l'une de l'autre et on serait marraine des enfants de l'autre mais ça s'est pas passé comme ça je suis partie et elle est restée là où on a grandi, on voulait plus les mêmes choses de la vie et surtout j'ai commencé à assumer de vouloir des trucs qu'elle ne voulait pas alors qu'avant je m'écrasais pour faire comme elle. Je pense pas que la relation était spécialement toxique mais en tout cas très déséquilibrée elle était la meneuse extravertie jolie etc et moi la suiveuse réservée un peu cheum lol je pense que ça la flattait d'avoir toujours quelqu'un avec elle qui la rendait encore mieux par comparaison. Moi je disais rien parce que j'avais trop peur d'être seule mais maintenant j'ai ma vie ma maison mon keum mon travail et je suis loin donc on s'est pas quittées en mauvais termes mais juste on s'est éloignées et maintenant se suivre sur instagram c'est le seul aperçu de la vie de l'autre qu'on a. Bref tout ça pour dire que je rumine beaucoup sur le fait de vivre mon mariage sans elle tout en étant sûre que j'ai pas envie qu'elle soit là non plus c'est difficile à appréhender mais j'étais trkl dans mon coin avec mes pensées sauf que ma mère m'a dit hier qu'elle avait laissé une lettre pour moi chez mes parents et ça m'a mis dans un état d'angoisse pas possible parce que j'ai peur de lire cette lettre et d'être assaillie de sentiments pas sains pour moi ou être obligée de reprendre contact (parce que j'ai clairement pas envie, je suis très bien maintenant avec seulement la nostalgie de ce qu'on avait) et en même temps ne pas la lire me rendrait foldingue parce que je suis la meuf la plus curieuse de la terre bref je sais pas quoi penser de cette histoire 🤪🤪🤪 oui vous avez lu jusque là pour cette conclusion je suis bien désolée pour vous
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"La force de cette surveillance est de s’être installée partout, dans n’importe quel support, dans nos poches et nos maisons, jusque dans nos crânes. Elle s’immisce sous forme de slogans dans chaque conversation et traque la mauvaise conscience de Monsieur Moyen jusque dans l’isoloir, voire jusque dans la mort "digne", sans haine, sans se faire remarquer, sans même réagir. On pense évidemment à l’œil de Caïn. Le fameux chantage à l’extrême droite, notre damnation, se traduit par des alarmes mentales, de véritables flics dans nos cerveaux, quand viennent sur la table les sujets "délicats". Quand notre pensée nous menace de mort sociale, on apprend vite à ne plus penser… Nous sommes des êtres sociaux, aisément culpabilisés, notre réputation dépend du jugement des autres, de nos pairs, de notre groupe. Notre première terreur est celle de l’ostracisme, arrêt de mort de l’animal domestique, trop dépendant pour survivre seul. Nous avons donc tendance à faire nôtres des jugements conformes, prudents, à suivre l’opinion qui semble dominante, celle de Big Brother. Quand untel dit "pas d’amalgame", il répète un slogan appris, comme une publicité, un dressage. Ce n’est pas une pensée. Une simple posture de supériorité morale. Et quand la correction sociale se fait menaçante, peut vous coûter vos proches, votre emploi, votre compte en banque, ou encore un bon lynchage en règle sur les réseaux sociaux, il est évident que beaucoup en perdent leur début de courage."
Laurent Obertone « La dictature est proche », in la revue éléments n°206, février-mars 2024.
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Trouver un endroit pour se détendre est une grande bénédiction. Un endroit où vous pouvez aller vivre le moment présent, loin de tout stress ou souci. Cet endroit peut être n'importe quoi, d'un café ou d'un parc préféré à un endroit tranquille à la maison ou à l'extérieur. Il est important de créer une atmosphère sans distraction, vous permettant de vous concentrer sur votre paix intérieure et votre bien-être. Cela pourrait impliquer des chandelles, des huiles essentielles et de la musique apaisante. Une fois que vous aurez trouvé votre place spéciale, vous pourrez mieux gérer vos émotions, vous connecter avec vos propres pensées et trouver la clarté. Prendre ce temps pour soi est un élément essentiel des soins personnels et peut vous aider à rester équilibré et concentré. La vidéo ci-dessous montre un café unique au Qatar qui donne aux clients l'impression d'être entrés dans un monde en 2D. Avez-vous un espace unique où vous diriger pour vous détendre et vous relaxer? 10 janvier 2023
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saga: Soumission & Domination 345
João-2, Romain
La vie d'organise avec João au blockhaus. Une semaine à suffit pour qu'il prenne ses marques. Pour plus de pratique, je lui achète un scooter alors qu'il passe l'évaluation en urgence avec Éric.
Sur les conseils de Daniel, j'opte pour un électrique de chez Govecs le GO ! S2.4+ capable de le propulser à 60 Km/H de chez nous à sa Fac. Au moins les jours de beau temps.
Avec Ammed et Samir, il a trouvé ses marques. Mais pour tous c'est le " petit frère " de la maison. Avec 5 mecs à le surveiller, il bosse quand il n'est pas avec nous à faire du sport ou en prestation. Son français s'améliore à notre contact mais heureusement il garde son accent chantant. Il faut dire que ça discute tout le temps dans la maison. Des études ou du taf en passant par la politique, les nouvelles du monde sont commentées tout comme les locales. C'est sûr que seul dans sa chambre il avait moins l'occasion de parler !
On apprend qu'il n'est pas encore retourné dans son pays depuis qu'il est en France. Du coup on lui promet d'y aller avec lui aux prochaine vacances, je ne connais pas le Brésil ni mes amours. Ça le rend perplexe. Comme nous nous en rendons compte, il nous explique que sa favela a été de celles détruite pour le mondial de foot et qu'il n'est pas sûr de vouloir voir ça. L'ambiance s'est refroidie d'un coup. Je le prends dans mes bras et je ressens qu'il maitrise des sanglots. C'est un gros gros câlin que je lui fais, sans arrière-pensée sexuelle.
Pour le moment on sursoit à ce voyage Trop mignon ce petit mec !
Il s'est plus vite habitué à Marc. Peut-être le fait qu'il ne soit là quasiment que les WE et en plus 1 sur 2 ! Marc aussi le considère comme un petit frère depuis qu'il est au blockhaus. João s'attendait à faire l'amour avec lui et c'est tout juste s'il n'a pas été vexé que cela ne se produise pas. J'aime autant, je ne sais pas pourquoi mais je trouve João différents des autres garçons, un peu comme Enguerrand.
Au bout d'une semaine, il vient me voir tout gêné. Il tourne autour du pot, ne sachant pas par où commencer. Je le laisse trouver ses mots. Il commence par me remercier de le faire vivre avec nous. Je lui dis de laisser tomber ça il l'avait déjà dit/fait.
Il prend son souffle et d'une seule traite me dit que ce qui lui manque c'est d'avoir un mec dans son lit. Pendant son passage à la coloc, il avait retrouvé la chaleur des nuits avec son mentor car il y en avait toujours un des deux autres colocs pour dormir contre lui.
Je réfléchis vite. Je lui réponds que si je dors avec lui, c'est sûr qu'au matin il se réveillera avec ma queue dans ses fesses. Si, lui, ça le dérange pas moi si. En plus je l'aime beaucoup mais je ne l'AIME pas. Il comprend. Je lui propose de retourner à la coloc mais là, c'est lui qui refuse.
Je lui propose alors un truc fou.
Je trouve un gymnaste qui lui plait et qui serait capable d'être escort et je l'autorise à le ramener de temps en temps dans sa chambre et même à y passer la nuit.
Je fais tourner la base de données et nous obtenons 5 noms avec photo d'identité.
2 sont en fac de sport et nous avons de la chance c'est celle de Jona, les 3 autres sont de bons amateurs en club. Tous issus de famille modeste à ouvrière, ils rentrent dans les critères de potentiels intéressés par mes propositions. Physiquement ce ne sont pas des géants comme beaucoup de gymnastes. Par contre ils compensent en largeur d'épaules !
J'appelle Jona pour les deux de son école. La réponse arrive dès le soir même. Ils font partie de la propre sélection de Jona. Ce dernier comptait m'en parler. Lui aussi avait trouvé que ce genre de sportifs ferait merveille auprès de mes clients. Il voit bien ceux que j'ai pointés. Ce ne sont pas parmi les plus grands mais ils sont dans le top 10 de leur cours. L'un deux lui semble intéressé par les mecs vu les coups d'oeil qu'il a reçu sous les douches, contrairement à l'autre au comportement neutre.
Pour les autres, il connait le club de nom mais pas plus. Il me dit qu'il va y faire un tour ce soir.
Rappel de Jona : il a rencontré un des encadrants qui est aussi intervenant à sa fac. Du coup ça lui a facilité la recherche. Sur les 3 il y en a deux de moyen plus et un très bon. En plus d'après lui c'est le plus beau des trois !
On se retrouve avec un choix de 2 petits mecs canons pour mon João. Il arrive avec des photos prises sur son smartphone. João fixe son attention sur le collègue de Jona.
Moi, ça m'arrange car il sera plus libre les soirs et WE qu'un mec en club qui pratique en plus de son cursus d'étude.
Jona a bien bossé. Son dossier est quasiment rempli !
Prénom : Romain
Taille : 1m71
Poids : 68
Sexe : au repos 10cm à vue d'oeil
Pilosité : Blond court, bras et jambes rasées, couilles lisse et touffe rasée
Parents : ouvriers
Logement : chambre chez l'habitant
Travail : WE chez Mac Do
Pas de petit copain connu et pas de pratique homosexuelle déclarée.
Pour le faire venir, Jona lui propose d'intégrer un club privé gratuit ce qui lui permettrait de pouvoir travailler ses muscles en plus des cours. Il était sûr que cela l'intéresserait car ses potes de la même année sont tous inscrits dans une salle en dehors de l'école et lui est trop juste financièrement pour ça. Quand il appâte en précisant que c'est un club exclusivement masculin et multi sport, il se voit renvoyer un " de toute manière les meufs... ", prometteur ça. Ça l'est d'autant plus que quand il demande à Jona s'il en fait partie et que ce dernier lui répond oui, il ajoute un " c'est super alors ".
Je le reçois donc un lundi soir dans mon bureau. Comme pour les autres la frise des photos de mes escorts en maillot de bain fait son petit effet, surtout dans le slip du voyeur.
Il se trouble en me serrant la main. Poignée ferme mais pas écrasante, le mec est conscient de sa force c'est sûr. Jona reste avec nous pendant l'entrevue. On discute de sa formation, de ce qui l'a amené à la choisir et de ses ambitions. Assis bien droit sur la chaise, le dos effleurant le dossier, il est tendu. Jona lui a dit que tout dépendrait de cette rencontre.
On passe sur son temps libre, ce qu'il en fait (pompes et abdos dans sa chambre + temps partiel chez Mac Do). Il m'explique que ses parents ouvriers tous les deux ne peuvent pas assurer complètement ses frais.
Je lui dis que je peux résoudre deux de ses problèmes : le taf, avec 1 soirée par semaine, je peux lui assurer 4000 net par mois et j'ai ici des installations sportives suffisantes pour lui permettre de renforcer son potentiel et même tester d'autres sports comme la natation ou des sports de combat.
J'ai toute son attention. Quand il me demande ce qu'il faudra faire pour avoir droit à tout ça, j'ai l'impression qu'il a déjà compris. Je lui montre la frise de photo et lui dis juste qu'il faut ajouter la sienne à la suite de mes Escorts. Il me dit qu'il va y avoir un problème car les cougars c'est pas son truc et les meufs en général non plus. Il a testé et il aime pas.
Il ne comprend pas que Jona éclate de rire et que je lui renvoie un visage hilare.
Je le rassure que son collègue n'est pas fou, c'est juste que ça tombait bien " qu'il aime pas les meufs " car c'était plutôt des mâles mes clients !
C'est à son tour de rire alors.
Cela étant dit, je lui dis qu'il va nous falloir quand même qu'il me démontre ses " autres " compétences. Il capte de suite et commence à se dévêtir. Les sportifs ne sont pas parmi la population la plus pudique heureusement pour moi !
Il se retrouve en slip, putain de beau physique ! Un peu déséquilibré vers le haut avec l'hypertrophie de la ceinture scapulaire et ses hanches étroites. Par contre ce qui n'était pas petit en bas restait caché par le tissu. Sur un geste de Jona il retire son sous-vêtement. C'est vraiment impressionnant. Sa bite se décolle de ses boulles et se développe jusqu'à remonter nettement au-dessus de son nombril. Professionnel, je prends me mètre ruban et contourne le bureau. 21cm !! Sur un physique pareil ils en paraissent 30 (enfin j'exagère un peu).
Je lui demande comment il cache ça dans son pantalon blanc ajusté. Il me répond direct qu'il pense à une vieille, ça lui suffit pour la maitriser et éviter de se faire repérer. Car c'est sûr que depuis sa puberté, d'être en permanence entouré de beaux mecs musclés, il se serait fait griller sinon !
Je lui demande quand il a été dépucelé et par qui (pas le nom du mec mais qui c'était). Je dirais juste qu'il n'avait pas de retard et que, pour faire original, c'était un gymnaste de 19ans du club où il faisait ses débuts. Il avait aimé ça suffisamment pour que, quand il s'était essayé aux filles, il n'ait pas trop aimé. Il s'était donc fait dépucelé comme passif et c'est 2 ans plus tard que son " mentor " lui avait fait enculer sa dernière " prise " (son équivalent, 2 ans plus jeune). Il s'était alors aperçu que limer un cul c'était bon aussi même si c'était en deuxième position.
Je lui dis que là, c'était une vrai société d'escort donc de représentation avec sorties en smoking ou costumes, et que effectivement certain clients demandaient un service plus qui était alors aussi assuré et dans tous les cas facturé. D'où les salaires mensuels pour 4 prestations +.
Il me demande de voir mes installations sportives. Je lui lance un jock petit modèle (question taille). Il a du mal à tout mettre dedans heureusement que la poche est en tricot élastique. Nous descendons à la serre.
Il kiffe le grand tatami pour son travail au sol. Les machines ne l'impressionnent que par leur nombre. La piscine n'est pas sa tasse de thé. Je le préviens qu'il devra s'y mettre aussi j'aime avoir des escorts " complets ". Je lui dis que c'est sous le coaching d'un vrai maitre-nageur.
On monte au second. Dès l'entrée on entend le souffle de mecs qui s'entrainent. On avance et on trouve Ludovic et João qui soulèvent de la fonte. Je surveille Romain. Je vois son regard passer sans s'arrêter sur Ludovic (ce qui m'étonne vu la belle gueule de mon mec) pour se fixer sur João. Je lui parle mais il n'entend rien, ça m'amuse comme Jona qui s'en aperçoit aussi. De son côté, João n'a pu manquer notre entrée. Il finit sa série avant de se lever pour sa minute 30 de récupération. Il s'étire et n'a jamais été aussi bandant qu'à ce moment-là. Il fait semblant de nous découvrir.
Il vient vers nous. Sachant que Romain devait venir, il s'est choisi un jock à lacet qui expose encore plus son paquet. Il avance son bras pour serrer la main de Romain et nous embrasse sur les lèvres Jona et moi. Je le prends par le bras et lui dis de faire faire le tour du plateau à Romain pendant que nous deux nous nous mettions en tenues.
Je les surveille du coin de l'oeil. Romain est suspendu aux lèvres de notre Brésilien. Rien d'autre n'existe plus pour lui j'en suis sûr. Pour tester je l'appelle mais il ne réagit pas. De la main je fais signe à João de continuer. Ils font le tour des appareils. Quand ils passent dans le sas hygiène, j'entends Romain s'extasier sur la série de douches communes et interroge João sur le fait qu'elles barrent tout le passage. Il exprime sa compréhension quand ils arrivent à la piscine intérieure.
A son retour, il me dit qu'il n'a jamais vu ça même dans tous les clubs de sport de la ville dans lesquels il avait profité des séances gratuites.
Là-dessus il se couche sur le poste de développé couché et s'échauffe avec une barre à 40Kg ! Puis il nous demande de la charger jusqu'à 90 puis il se finit avec un 110 en résistance (càd que le levage se fait avec aide et le travail par la résistance à la descente) ! Là il demande à João de l'aider évidement.
Je le regarde bien pendant l'exercice, il a les yeux fixés sur la poche du jock de ce dernier qui surplombe sa tête. Faut dire qu'avec son frein cassé, le tissu moule son gland d'une façon très...détaillée.
Quand il se redresse ses pecs ont pris " un peu " de volume. C'est très beau tout ça !
Je lui dis que si physiquement il a passé haut la main les tests, il nous reste quand même à vérifier les derniers détails. Il comprend ce que je veux dire par là. On redescend à mon bureau que tous les trois (lui, Jona et moi). Il ne dit rien mais je le sens déçu.
Il ôte son jock sans façon. Il bande déjà un peu. Je pose mes fesses contre le bureau, enlève mon jock. Il se met aussitôt à genoux et le prend en bouche. Il pompe bien et je bande vite. Si mon gland bute un peu contre sa glotte, il change vite d'angle d'attaque et m'avale jusqu'aux couilles. Un bon point pour lui !
Jona met ses mains sur ses hanches et le relève sans que sa bouche ne lâche ma queue. Je lui dis de commencer le travail de la rondelle. Il le fait en me donnant ses constatations.
Jona :
" Le trou est petit et serré avec une rondelle plissée. Souple sous mes doigts mais pas ouverte, je n'arrive pas à mettre le doigt sans lubrifiant. "
Après avoir enduit sa main de gel, il y retourne.
" Mon index passe et il est bien serré. Index et majeur ensemble ça passe aussi et je suis toujours bien compressé. Mon pouce est accepté sans problème avec toujours autant de force à le serrer. "
Je le vois mettre trois doigts sans que Romain donne des signes de douleurs.
Je le repousse et lui demande ses capacités. Il me dit se goder régulièrement avec un engin de 23 x 5.5 et qu'il aime bien les gros calibre, son initiateur l'avait habitué avec sa queue de même taille. C'était lui qui lui avait offert le gode.
Jona ne prend plus de gants et lui met direct 3 doigts qui passent bien. Comme je ne suis monté que d'un 20x5 et Jona d'un simple 19 x 5.5, je lui dis d'appeler João pour qu'il nous aide au test.
Ma décision fait éclore un grand sourire sur la face de Romain.
En attendant qu'il descende, je me kpote et m'enfile dans le cul préparé. Ok, bien que rodé au 23x5.5, il serre parfaitement mon 20x5.
João arrive et me demande ce que je veux. Je lui explique et il se kpote aussitôt. Je me retire et lui cède la place.
Pénétration lente mais continue de mon poulain dans Romain. Comme il se tait je lui demande ses sensations.
"Trou chaud, bien profond, j'ai la bite bien serrée par sa rondelle. "
Il le lime quelques instants comme cela avant que Romain ne le repousse, se couche dos sur mon bureau, les jambes relevées et retenues par ses bras et demande à João d'y revenir.
Ce dernier s'enfonce à nouveau, les chevilles de Romain sur ses épaules. Avec Jona je les mate, bandants comme des taureaux.
Romain fait glisser ses jambes pour les serrer autour de la taille de notre Brésilien. Ça lui permet de l'attirer vers lui et de lui rouler une pelle. Elle doit être bonne car pendant quelques instants, sa sodomie est devenue plus anarchique !
Romain s'accroche au cou de João et j'en comprends la finalité quand ce dernier se redresse et porte Romain sur sa bite. Là on voit le gymnaste entrer en action. João ne bouge pas les pieds écartés bien planté sur le sol. Romain fait tout le travail d'ascenseur. Il se lime la rondelle sur la bite droite de João. De notre côté, Jona et moi pouvons voir le travail de chaque muscle mis en action. Les dorsaux et même les épaules sont sollicités. C'est vrai qu'il ne les avait pas travaillés à la salle !
João apprécie en tout cas. Il le repose sur le bureau et accélère la défonce du petit cul de Romain. Ce dernier alterne pelles et bouffages des gros tétons foncés de son enculeur.
Ils explosent quasiment en même temps, João avec un cri de délivrance non feint ! Romain couvre son torse de longues trainées blanches.
Avec Jona nous n'avions pu nous retenir de nous branler et croisons nos trainées de spermes avec les siennes.
Sans perdre le nord ma nouvelle recrue me demande si ce test là il l'a passée aussi.
Je le déclare bon pour le service et lui propose qu'à terme s'il le désire il pourrait intégrer une coloc avec deux autres de mes recrues. Ce serait plus confortable que sa chambre chez l'habitant et que c'était gratuit bien sûr !
Il me saute au cou de joie ! Une bonne chose de faite pour la diversité d'offre de ma société et je crois pour mon João aussi !!
Jardinier
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J'ai fini de regarder l'interview des créateurs de tdp. Et il y a des trucs intéressants comme le fait que la pièce que ramasse Callum va avoir un rôle important. Ils ont dit qu'ils voulaient que l'audience voit que la pièce est vide et non détruite. Contrairement à Aaravos, qui a fusionné avec la perle et son âme. Callum a dit que dans l'épisode 2 de la saison 6, qu'il a étudié les sorts d'étoiles. Et si il se connecte pas l'arcanum des étoiles. Ça pourrait lui donner un dilemme de qui il va libérer : Kpp'ar (si ils retrouvent leur pièce), l'un des parent de Rayla. Ou bien l'utiliser comme un catalyseur pour un sort d'étoile contre Aaravos. Entre les trois, lequel serait le plus utile pour vaincre Aaravos dans leur quête ? Bien que la théorie de piéger Aaravos dans une pièce est une possibilité.
J'aime le fait qu'ils parlent de la geôlière, parce que comme je l'avais dit dans un de mes précédent post, je pensais que le miroir était comme une caméra de surveillance avec une intention sadique derrière. Lui faire désirer quelque chose qu'il ne pourra plus jamais avoir. C'est cruel mais terriblement efficace. Et ils parlent de la frontière entre la pitié et la cruauté, qui peut être mince. Du point de vue de la geôlière, il s'agissait plutôt de l'emprisonner dans un endroit où il se sentirait en sécurité, sa maison, et de poser la perle auprès du cadavre de sa fille pour qu'il puisse se reposer auprès d'elle, je peux comprendre la logique derrière dans le sens, ils pensaient qu'il pourrait faire son deuil devant son cadavre qui serait plus une tombe puis l'accepter et aller de l'avant. Mais du point de vue d'Aaravos, c'est une torture psychologique. Et c'est pourquoi il est si nonchalant dans ses interactions avec les autres.
L'ordre cosmique, avec du recul, ils ont pensé que c'était la meilleure chose à faire de les condamner selon leur compréhension et leur logique. Aaravos avait une autre vision du monde avant la mort de Leola. Mais l'ordre cosmique voit le monde depuis les étoiles et comment il se déroule. Ils ne ressentent pas le besoin de descendre à Xadia et d'expérimenter le monde comme Aaraovos et Leola. La punition de Leola est injuste pour nous, mais pas pour eux.
I finished watching the interview with the tdp creators. And there's some interesting stuff like the fact that the coin Callum picks up is going to have an important role. They said they wanted the audience to see that the coin is empty and not destroyed. Unlike Aaravos, who has merged with the pearl and his soul. Callum said that in episode 2 of season 6, he studied star spells. Supposing that he doesn't connect to the star arcanum. That could give him a dilemma of who to free: Kpp'ar (if they find his coin), one of Rayla's relatives. Or use it as a conduct for a star spell against Aaravos. Which of the three would be most useful in defeating Aaravos in their quest? Although the theory to trap Aaravos in a coin is a possibility.
I like the fact that they're talking about the jailer, because as I already told in one of my previous posts, I thought the mirror was like a surveillance camera with sadistic intent behind it. To make him long for something he can never have again. It's cruel but terribly effective. And they talk about the thin line between pity and cruelty. From the jailer's point of view, it was more a case of imprisoning him in a place where he would feel safe, his home, and placing the pearl next to his daughter's corpse so that he could rest beside her, I can understand the logic behind it in the sense that they thought he could mourn in front of her corpse which would be more of a grave then accept it and move on. But from Aaravos' point of view, it's psychological torture. And that's why he's so nonchalant in his interactions with others.
The cosmic order, in hindsight, they thought it was the right thing to do to condemn them according to their understanding and logic. Aaravos had a different view of the world before Leola's death. But the cosmic order sees the world and how it unfolds from the stars. They don't feel the need to come down to Xadia and experience the world like Aaraovos and Leola. Leola's punishment is unfair to us, but not to them.
#the dragon prince#tdp#tdp s6#tdp s6 spoilers#tdp speculation#tdp theory#aaravos#leola#tdp the jailer#tdp cosmic order#the merciful one#callum#kpp'ar#lain#tiadrin#primal magic
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Mon calendrier (partie 2)
Si vous n'avez pas vu la première partie, c'est ici que ça se passe !
Automne - Hiver
Les cases entourées de bleu correspondent aux jours fériés, tandis que celles entourées de jaune représentent les jours sans école.
J'utilise un mod* qui permet d'ajouter la tradition « vacances scolaires » à un jour férié, offrant ainsi un jour de congé uniquement aux enfants et aux adolescents.
J'ai cherché à utiliser un maximum de traditions du jeu, mais étant donné leur nombre limité, j'ai téléchargé des traditions supplémentaires, notamment celles de Kiara, traduites par Kimikosoma, ainsi que celles de Caradriel (en particulier celles liées à l'écriture et aux enfants).
Enfin, pour ajouter un peu de variété, j'ai remplacé les icônes des jours fériés par de nouvelles*. Celles de Zerbu sont également très réussies.
Regardons cela de plus près…
La Journée des Animaux : Inspirée de la Journée mondiale des animaux, célébrée le 4 octobre, voilà une belle opportunité pour vos Sims de visiter une ferme pédagogique, de se rendre dans un refuge, d’adopter un compagnon ou de montrer leur affection à leur ami à quatre pattes.
La Fête de la Gastronomie : Manger, c’est essentiel et toujours plaisant, alors pourquoi ne pas consacrer une journée entière à cette activité ? Je suis sûre que cette fête ravira de nombreux Sims ! Si vous avez le pack Au Restaurant, c’est l’occasion parfaite pour emmener votre Sim déguster un repas gastronomique. Sinon, il peut aussi découvrir de nouvelles saveurs en prenant un plat à emporter dans un food truck ou en testant une nouvelle recette à la maison.
Les Vacances d'Automne : C'est l'équivalent de nos vacances de la Toussaint. Pour cette journée, j’ai pensé qu'elle pourrait être dédiée à la préparation de la Fête des Citrouilles. Les enfants peuvent fabriquer des bricolages de fête ou des objets de saison avec la table d'activités, et se rendre dans un "pumpkin patch" pour acheter et sculpter des citrouilles.
La Fête des Citrouilles : C’est évidemment Halloween ! Bien que le porte-à-porte soit toujours impossible, la tradition "Des bonbons ou un sort !" permet aux enfants déguisés de venir sonner chez votre Sim pour réclamer des friandises. Vous pouvez également organiser une fête costumée pour célébrer l’occasion.
La Journée du Souvenir : C'est un jour férié. La tradition veut qu’au début du mois de novembre, au lendemain de la Toussaint, les familles se rendent au cimetière pour honorer leurs défunts. C'est le moment idéal pour se souvenir de tous les Sims qui nous ont quittés. Et en plus, grâce au nouveau pack À la Vie, à la Mort, plus besoin de faire semblant : les cimetières sont enfin là !
La Fête des Récoltes : Je l’ai gardée dans le calendrier, même si Thanksgiving n’est pas vraiment célébré en France, car j’adore cet événement dans le jeu. C’est aussi un jour férié, alors pourquoi ne pas en profiter pour organiser des retrouvailles familiales ?
Le Mercredi Noir : C'est une amie qui m'a suggéré l'idée, il s'agit du Black Friday ! J'adore jouer avec les magasins, mais étrangement, je n'emmène pas souvent mes Sims faire du shopping.
La Fête des Enfants : À l'origine, je voulais en faire une sorte de Saint-Nicolas, où les enfants auraient dû faire tout un tas de tâches ménagères pour s'attirer les faveurs du Père Fouettard, incarné par le Père Hiver. Malheureusement, j’ai découvert qu’il n’existait aucun swatch noir ou sombre pour sa tenue… Du coup, j’ai réorienté l’idée et j'en ai fait une journée dédiée à la préparation de la fête de l'Hiver (la fête préférée des enfants, il va sans dire). Personnellement, je décore très tôt chez moi pour l’occasion, alors j’aimerais que mes Sims puissent eux aussi profiter de l'ambiance de cette fête aussi longtemps que possible !
La Veillée de l'Hiver : Dans ma famille, on célèbre le réveillon le 24 décembre et on ouvre les cadeaux le 25. C’est pourquoi j’ai choisi de diviser cette fête en deux. La Veillée de l'Hiver est consacrée au grand repas, les Sims invitent leur famille et leurs amis à dîner, et le Père Hiver dépose les cadeaux au pied du sapin.
La Fête de l'Hiver : C’est un jour férié. Les festivités se poursuivent toute la journée, qui commence évidemment par l’ouverture des cadeaux, suivie d’un délicieux petit déjeuner. Les enfants s’amusent avec leurs nouveaux jeux tandis que les plus grands s’occupent du ménage. C'est également l'occasion de profiter de bons moments ensemble, en jouant à des jeux de société, en regardant un film de Noël ou en se réchauffant autour d'un chocolat chaud près du feu.
La Veillée du Nouvel An : Avec le découpage que j’ai fait pour adapter notre calendrier à celui des Sims, le Réveillon du Nouvel An se retrouvait coincé sur la même case que la Fête de l’Hiver… Du coup, j’ai dû le déplacer au lendemain. Rien de grave, mais étant un peu perfectionniste, c’est difficile à encaisser ! À part ça, pas de changement côté traditions. J’ai ajouté la "Baignade des ours polaires", qui consiste simplement à nager dans l'eau glaciale d'une piscine. C’est une tradition qui a lieu chaque année dans ma ville et un peu partout en France, tant qu'il y a de l'eau, je crois : le 1er janvier, un groupe de personnes se baigne dans la mer. Il paraît que c’est revigorant…
Le Jour du Grand Créateur : Il me manquait un évènement pour équilibrer mon calendrier, et c'est tombé pile dans cette zone, alors j'ai sauté sur l'occasion. C'est une idée que j'ai piqué à Abneliasims : il s'agit tout simplement d'une journée dédiée à moi-même, le jour de mon anniversaire (c’est du génie, non ?). L'idée générale, c'est que mes Sims me vouent un culte, admirent mes fabuleuses constructions et prient pour que je leur réserve une vie des plus clémentes.
Le Jour du Grilled Cheese : Dans mon calendrier, il remplace la Chandeleur. J’aurais pu opter pour des pancakes, mais c’était moins rigolo. En plus, toutes les explications que j’ai lues sur la Chandeleur (oui, j’ai fait des recherches très sérieuses) pouvaient très bien s’appliquer au grilled cheese ! Par exemple, j’ai découvert qu’il est d’usage de retourner une crêpe en la faisant sauter dans la poêle avec une pièce (à l’origine un Louis d’or) dans la main gauche — on pourrait tout à fait faire la même chose avec un sandwich au fromage fondu. Quant à la forme ronde et dorée des crêpes, censée évoquer le disque solaire et symboliser la lumière croissante et le retour du printemps, elle rappelle encore plus celle d’une meule de fromage ! Je ne comprends pas comment personne n'y a pensé plus tôt... Bref, j’aimerais vraiment qu’il existe un jour spécial pour célébrer les sandwichs au fromage fondu dans la vraie vie.
Le Jour de l'Amour : C’est évidemment la Saint-Valentin. J’y ai mis toutes les traditions pour plaire au Sim le plus romantique. Ça dégouline d’amour… c’est beau, mais c’est insupportable.
Les Vacances d’Hiver : C’est le moment idéal pour s’adonner à des activités hivernales comme les batailles de boules de neige, le patinage sur glace ou la fabrication de bonhommes de neige. Les plus chanceux partent même à la montagne faire du ski ou de la luge.
La Fête du Gnome : Encore une idée inspirée du calendrier d’Abneliasims ! Je tenais absolument à célébrer la Saint-Patrick, mais je ne savais pas comment la rendre spéciale. Selon le folklore irlandais, le Leprechaun est un petit lutin dont l’activité principale consiste à jouer de vilaines farces… J’ai tellement hâte de voir mes Sims pompettes devoir calmer des gnomes !
Si l'on fait le calcul, ça fait 38 journées à thème, dont 7 jours fériés et 13 journées de vacances scolaires. De quoi ne pas s'ennuyer dans le jeu avant un bon moment !
*Je n'ai pas inclus le lien de ces mod car la moddeuse n'est pas recommandable. Je vous encourage à vous renseigner avant de télécharger quoi que ce soit, afin de soutenir des personnes respectueuses, éthiques et de confiance. Je vous tiendrai informés dès que j’aurai trouvé des alternatives intéressantes pour remplacer ce contenu.
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Les autres pronoms
Possessive pronouns (mine, ours)
Masc. sg.: le mien, le tien, le sien, le nôtre, le vôtre, le leur
Fem. sg.: la mienne, la tienne, la sienne, la nôtre, la vôtre, la leur
Masc. pl.: les miens, les tiens, les siens, les nôtres, les vôtres, les leurs
Fem. pl.: les miennes, les tiennes, les siennes, les nôtres, les vôtres, les leurs
Ex: tu pensais que tu avais pris tes lunettes mais c'étaient les miennes - you thought you had taken your glasses but they were mine
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Demonstrative pronouns
They replace demonstrative determiners followed by a noun
They can be one of three types: prepositional (c'est celle de Laure - it's Laure's), relative (les robes en soie sont celles que je préfère - silk dresses are the ones I prefer), or nominal (j'ajoute à cette lettre celle de mon fils - I add to this letter the one of my son).
Singular - celui (m), celle (f): celle en bleu - the blue one
Plural - ceux (m), celles (f): ceux-là sont mieux - those are better
Neutral - ceci - this (rare), cela - that, ça - this (short for cela): ça ira - that will be fine, c’/ce*: c’est un chien - this is a dog, ce sont des chats - those are cats
N.B. Adverbial particles -ci (short for ici) and -là are added to indicate the distance. Celui-ci means this one (close), celles-là those ones (far away).
*Do not mix up the masculine singular demonstrative determiner ce that is followed by a singular masculine noun (ce chat est blanc - this cat is white) and the demonstrative pronoun ce that is followed by est/sont (is/are) or a relative pronoun (c'est ce qu'il m'a dit - that is what he told me; ce sont les chaussures qu'il a choisies - those are the shoes he chose)
N.B. C'est is used with a noun: c'est un gentil garçon - he's a nice boy, an adverb: c'est si joli - it's so pretty, or a masculine singular adjective when talking about a situation or activity: c'est facile - it's easy. Il/Elle est is used with adjectives when talking about living beings or things: elle est grande - she's tall, in expressions: il était une fois - there one was, before a past participle: elle est partie - she's gone.
Relative pronouns
Relative pronouns represent the nouns placed in front of them
Que/qui
subject (qui), when talking about living beings or things and describing them, placed before a verb: la fille qui porte un pull rouge aime la glace - the girl that is wearing a red jumper likes ice cream
indirect object (qui), when talking about people, after a preposition, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille à qui tu as parlé aime la glace - the girl you talked to likes ice cream)
direct object (que), when talking about living beings or things, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille que tu aimes aime la glace - the girl you love likes ice cream)
Quoi
object, when talking about things, often vague (something, nothing): c’est ce à quoi j’ai pensé toute la journée - that is what I thought about all day long
Dont
possessive phrase (complément de nom): je bois dans une tasse dont la anse est cassée - I’m drinking from a mug that has a broken handle
indirect object, equivalent of "of which": le livre dont je t’ai parlé est sorti - the book I told you about is out
adjective object: les filles sont allées à un concert de Rihanna, dont elles sont fan: the girls have gone to a Rihana’s concert, whom they are fans of
Où
adverbial phrase of place: la chambre où je dors est la plus grande de la maison - the room I sleep in is the biggest in the house
adverbial place of time: septembre est le mois où je suis née - September is the month in which I was born
Compound relative pronouns
Auquel, duquel, lequel (marriage of prepositions à, de, le and of simple relative pronouns)
subject - rare, literary: j’ai appelé ma mère, laquelle m’a informée de ton accident - I called my mum who told me about your accident)
object, about things or animals: les chaises sous lesquelles je suis cachée sont en bois - the chairs under which I am hidden are made of wood; c’est l’endroit duquel il est parti - this is the place from which he left; les hommes auxquels elle parle sont allemands - the men she is talking to are German
Neutral relative pronouns
They are built by adding ce, which can be roughly translated as "the thing", to dont, que, qui and used when the antecedent isn't mentioned or when it's a clause often after a comma.
Ce qui is the subject of the verb that follow: je ne sais pas ce qui est tombé - I don’t know what fell down (word by word I don't know the thing that has fallen), j’ai eu un accident, ce qui explique pourquoi je suis en retard - I got in an accident, which explains why I’m late
Ce que or ce qu' is used as a direct object and is generally followed by a subject and a verb: ce que je te demande, c’est d’être à l’heure - what I’m asking you is to be on time (word by word the thing that I ask of you it is to be on time), c’est ce que je voulais dire - that’s what I meant
Ce dont is used as the preposition de’s object: ce dont j’ai peur, c’est qu’il revienne - what I'm afraid of is that he will come back (word by word the thing of which I'm afraid, it is that he comes back), c’est précisément ce dont je veux te parler - that is precisely what I want to talk to you about
N.B. To stress a point, we can use ce qui/que/dont + c’est/ce sont: ce qui me plaît le plus, c’est ta robe - what I most like is your dress.
Movie: Pierrot le fou - Jean-Paul Godard, 1965
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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