#maison de la pensée
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Affiche Henri Matisse 1950 (et moi)
Maison de la Pensée, Paris
#henri matisse#affiche#chapelle#1950#vintage posters#maison de la pensée#poster art#paris#chapelle rosaire
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Henri Matisse: Maison de la Pensée Francaise, Paris. 24.09.1950
#henri matisse#art#artwork#fine art#fineart#painting#art history#history of art#photography#fotografie#photographie#foto#vintage#artists#affiche#chapelle#1950#vintage posters#maison de la pensée#poster art#paris#minimal aesthetic#minimalism#aesthetics#esthetics#urban#photooftheday#urban art#artists on tumblr#art study
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Je pensais pas voir le père de Silvia mais je suis content de voir qu'il est fier d'elle et la félicite pour son travail. C'est bien ça, j'espère que du coup on verra un peu plus le père par la suite vu que la dernière fois, de mémoire c'était avec Baal. D'ailleurs j'étais étonnée de voir Bachiko effrayée par la maison hantée. J'aurai pensé que ça la ferait rire. Mais avec Mephisto qui dit qu'il est possible qu'il monte de rang, je me demande si il y avait pas avoir un petit trucage concernant les résultats.
I didn't expect to see Silvia's father, but I'm glad to see that he's proud of her and congratulates her for her work. That's good, I hope we'll see a bit more of the father afterwards, because last time, from what I remember, it was with Baal. By the way, I was surprised to see Bachiko frightened by the haunted house, I thought it would make her laugh. But with Mephisto saying it's possible he'll rank up, I wonder if there wasn't a little rigging going on with the results.
#mairimashita! iruma kun#mairimashita manga#m!ik#m!ik spoilers#mephisto#barbatos bachiko#suzuki iruma
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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C’est à moi.
À la demande de @sayresse17 j’espère que ça va le faire 👀
23« Est-ce ma chemise ? »
Lilia X reader
Reader était une jeune orpheline de 25 ans, marquée par des années de vie en famille d'accueil. Elle avait toujours rêvé d'une vie stable, mais chaque nouvelle maison ne faisait qu'accentuer son sentiment d'instabilité. Aujourd'hui, elle avait décidé de fuir ses parents adoptifs, ne supportant plus leur indifférence.
Elle avait trouvé un petit travail dans la boutique de Lilia, Lilia avait tout de suite remarqué la douceur et la détermination de Reader. Avec le temps, un lien s'était tissé entre elles, si bien que Lilia avait proposé à Reader de s'installer dans sa chambre d’amie.
Cela faisait maintenant quelques mois que les deux femmes cohabitaient. Leur quotidien était rythmé par des rires, des discussions autour d'un café, et des soirées passées à lire ensemble. Reader se sentait enfin chez elle, entourée de chaleur et de compréhension. Pourtant, au fil des jours, un sentiment troublant commençait à s'installer en elle. Plus elle passait de temps avec Lilia, plus elle réalisait qu'elle l'aimait d'une manière qu'elle ne pouvait pas contrôler.
Reader se surprenait à la regarder plus longtemps, à apprécier chaque geste, chaque sourire de Lilia. Elle se sentait coupable de ces pensées, consciente que ce lien affectif pouvait être dangereux. "Je ne devrais pas ressentir ça," se répétait-elle en silence, mais son cœur avait déjà pris le dessus sur sa raison. Les moments passés ensemble, les éclats de rire partagés, tout cela la rapprochait d'une affection qu'elle n'avait jamais connue auparavant.
Reader avait enfin terminé de faire le ménage dans la maison, un sentiment de satisfaction l'envahissant. Elle se dirigea vers la salle de bain, impatiente de se plonger dans une bonne douche bien chaude. L'eau chaude coula sur sa peau, apaisant toutes les tensions accumulées de la journée. Elle ferma les yeux, profitant de chaque goutte, laissant la vapeur envelopper la pièce.
Après un moment de pur bonheur, Reader sortit de la baignoire, se sentant rafraîchie et revigorée. Elle s'enroula dans une serviette douce, absorbant l'humidité de sa peau. Une fois sèche, elle se mit à chercher ses vêtements, le cœur léger. Elle commença à enfiler son pantalon, soudain, un frisson de surprise la parcourut
. "Oh non, j'ai oublié de prendre un haut !" s'exclama-t-elle, réalisant qu'elle était restée là, à moitié vêtue, sans rien pour couvrir son buste.
Reader se sentit soudainement prise au dépourvu. Elle ne pouvait pas sortir ainsi, et la panique s'installa un instant. Ses yeux parcoururent la salle de bain, cherchant désespérément une solution. C'est alors qu'elle aperçut une chemise de Lilia accrochée au porte-manteau. "C'est mieux que rien", se dit-elle en l'enfilant rapidement, se sentant un peu plus à l'aise.
Elle attacha rapidement ses cheveux en un chignon désordonné, essayant de donner une impression de calme avant de sortir de la salle de bain. En marchant dans le couloir, elle espérait que personne ne la croiserait. Malheureusement, au moment où elle tournait le coin, Lilia apparut, surprise de la voir ainsi vêtue.
Reader se figea, le cœur battant. La gêne l'envahit, et elle ne savait pas quoi dire. Ses joues prirent une teinte rosée alors qu'elle cherchait des mots, mais rien ne venait. Elle se contenta de sourire timidement, espérant que Lilia ne poserait pas trop de questions sur sa tenue improvisée.
Lilia se tenait dans l'embrasure de la porte, un sourire malicieux sur le visage.
"Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un coin de sa bouche se relevant en un sourire espiègle, ses yeux pétillants de curiosité.
Reader, encore un peu gênée par la situation, baissa les yeux sur la chemise ample qui flottait autour d'elle.
"Eh bien, je… je l'ai empruntée sans vraiment demander," commença Reader, sa voix hésitante trahissant son embarras. Elle se gratta la nuque, cherchant les mots justes. "Je n'avais rien d'autre à mettre, et je me suis dit que ça pourrait faire l'affaire le temps que j’aille chercher quelque chose dans mon placard.."
Lilia, cependant, ne semblait pas se soucier de l'explication. Ses yeux parcouraient le corps de Reader avec une admiration inattendue. Elle se rapprocha lentement, ses pas légers sur le sol.
"Tu sais," dit-elle, son regard ancré dans celui de Reader, "je trouve que ça te va vraiment bien."
Reader sentit son cœur s'emballer sous le compliment, ses joues s'empourprant légèrement. "Tu penses vraiment ?" demanda-t-elle, surprise mais flattée.
"Absolument," affirma Lilia, un sourire sincère illuminant son visage. "Garde-la, elle te va bien. Tu devrais porter des chemises comme ça plus souvent."
Reader, touchée par la gentillesse de son amie, ne put s'empêcher de sourire. "Merci, Lilia. Je vais réfléchir à ta suggestion," répondit-elle, se sentant à la fois gênée et heureuse.
Lilia lui fit un clin d'œil complice avant de s'éloigner, laissant Reader avec une nouvelle confiance, réalisant que même les moments les plus embarrassants peuvent se transformer en compliments inattendus.
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Le Petit écho de la mode, no. 9, vol. 12, 2 mars 1890. 11. Robe de dîner en crêpe de Chine lilas clair. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(11.) Robe de dîner en crêpe de Chine lilas clair, brodé de chenille et soie pensée rehaussée d’or. — Robe forme princesse; le corsage se découpe sur des plis de velours pensée enveloppant les épaules. Manches presque longues garnies seulement de broderie pensée et or, la jupe ouvre à gauche sur un panneau très étroit de velours pensée. (Modèle de la maison Rouff.)
(11.) Dinner dress in light lilac crepe de chine, embroidered with chenille and pansy silk enhanced with gold. — Princess-shaped dress; the bodice is cut into folds of pansy velvet enveloping the shoulders. Almost long sleeves trimmed only with pansy and gold embroidery, the skirt opens on the left onto a very narrow panel of pansy velvet. (Model from the Rouff house.)
#Le Petit écho de la mode#19th century#1890s#1890#on this day#March 2#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#princess
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Il y a des gens qui te lisent comme un livre ouvert......✨✨
qui te ferme comme un livre lu,
qui t'écrit comme un livre blanc,
Qui a perdu son marque-page,
qui voulait te lire
mais les émotions n'étaient pas en vente,
Qui est passé et vous a mis sur l'étagère.....✨✨✨
qui t'a ramené à la maison et mis à la bibliothèque.
Peut-être qu'un jour quelqu'un te lira sérieusement,
de la couverture à la dernière page,
et il vous portera avec lui comme le plus précieux cadeau......💞✨🥀
Tiré de "Le trafiquant de pensées"
par Francesco Paolo Ettari
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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Ces derniers temps je pense beaucoup à ma meilleure amie d'enfance et d'adolescence avec qui j'ai plus trop de contact parce qu'elle sera pas à mon mariage et ça me travaille beaucoup, pas parce que j'aurais aimé l'inviter mais plutôt par nostalgie de la relation qu'on avait petites, quand on pensait à l'avenir on était persuadées qu'on vivrait dans la même ville je serais bibliothécaire et elle fleuriste (ça ça s'est bien réalisé pour le coup mdr) et on serait témoin au mariage l'une de l'autre et on serait marraine des enfants de l'autre mais ça s'est pas passé comme ça je suis partie et elle est restée là où on a grandi, on voulait plus les mêmes choses de la vie et surtout j'ai commencé à assumer de vouloir des trucs qu'elle ne voulait pas alors qu'avant je m'écrasais pour faire comme elle. Je pense pas que la relation était spécialement toxique mais en tout cas très déséquilibrée elle était la meneuse extravertie jolie etc et moi la suiveuse réservée un peu cheum lol je pense que ça la flattait d'avoir toujours quelqu'un avec elle qui la rendait encore mieux par comparaison. Moi je disais rien parce que j'avais trop peur d'être seule mais maintenant j'ai ma vie ma maison mon keum mon travail et je suis loin donc on s'est pas quittées en mauvais termes mais juste on s'est éloignées et maintenant se suivre sur instagram c'est le seul aperçu de la vie de l'autre qu'on a. Bref tout ça pour dire que je rumine beaucoup sur le fait de vivre mon mariage sans elle tout en étant sûre que j'ai pas envie qu'elle soit là non plus c'est difficile à appréhender mais j'étais trkl dans mon coin avec mes pensées sauf que ma mère m'a dit hier qu'elle avait laissé une lettre pour moi chez mes parents et ça m'a mis dans un état d'angoisse pas possible parce que j'ai peur de lire cette lettre et d'être assaillie de sentiments pas sains pour moi ou être obligée de reprendre contact (parce que j'ai clairement pas envie, je suis très bien maintenant avec seulement la nostalgie de ce qu'on avait) et en même temps ne pas la lire me rendrait foldingue parce que je suis la meuf la plus curieuse de la terre bref je sais pas quoi penser de cette histoire 🤪🤪🤪 oui vous avez lu jusque là pour cette conclusion je suis bien désolée pour vous
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"La force de cette surveillance est de s’être installée partout, dans n’importe quel support, dans nos poches et nos maisons, jusque dans nos crânes. Elle s’immisce sous forme de slogans dans chaque conversation et traque la mauvaise conscience de Monsieur Moyen jusque dans l’isoloir, voire jusque dans la mort "digne", sans haine, sans se faire remarquer, sans même réagir. On pense évidemment à l’œil de Caïn. Le fameux chantage à l’extrême droite, notre damnation, se traduit par des alarmes mentales, de véritables flics dans nos cerveaux, quand viennent sur la table les sujets "délicats". Quand notre pensée nous menace de mort sociale, on apprend vite à ne plus penser… Nous sommes des êtres sociaux, aisément culpabilisés, notre réputation dépend du jugement des autres, de nos pairs, de notre groupe. Notre première terreur est celle de l’ostracisme, arrêt de mort de l’animal domestique, trop dépendant pour survivre seul. Nous avons donc tendance à faire nôtres des jugements conformes, prudents, à suivre l’opinion qui semble dominante, celle de Big Brother. Quand untel dit "pas d’amalgame", il répète un slogan appris, comme une publicité, un dressage. Ce n’est pas une pensée. Une simple posture de supériorité morale. Et quand la correction sociale se fait menaçante, peut vous coûter vos proches, votre emploi, votre compte en banque, ou encore un bon lynchage en règle sur les réseaux sociaux, il est évident que beaucoup en perdent leur début de courage."
Laurent Obertone « La dictature est proche », in la revue éléments n°206, février-mars 2024.
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Trouver un endroit pour se détendre est une grande bénédiction. Un endroit où vous pouvez aller vivre le moment présent, loin de tout stress ou souci. Cet endroit peut être n'importe quoi, d'un café ou d'un parc préféré à un endroit tranquille à la maison ou à l'extérieur. Il est important de créer une atmosphère sans distraction, vous permettant de vous concentrer sur votre paix intérieure et votre bien-être. Cela pourrait impliquer des chandelles, des huiles essentielles et de la musique apaisante. Une fois que vous aurez trouvé votre place spéciale, vous pourrez mieux gérer vos émotions, vous connecter avec vos propres pensées et trouver la clarté. Prendre ce temps pour soi est un élément essentiel des soins personnels et peut vous aider à rester équilibré et concentré. La vidéo ci-dessous montre un café unique au Qatar qui donne aux clients l'impression d'être entrés dans un monde en 2D. Avez-vous un espace unique où vous diriger pour vous détendre et vous relaxer? 10 janvier 2023
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J'ai fini de regarder l'interview des créateurs de tdp. Et il y a des trucs intéressants comme le fait que la pièce que ramasse Callum va avoir un rôle important. Ils ont dit qu'ils voulaient que l'audience voit que la pièce est vide et non détruite. Contrairement à Aaravos, qui a fusionné avec la perle et son âme. Callum a dit que dans l'épisode 2 de la saison 6, qu'il a étudié les sorts d'étoiles. Et si il se connecte pas l'arcanum des étoiles. Ça pourrait lui donner un dilemme de qui il va libérer : Kpp'ar (si ils retrouvent leur pièce), l'un des parent de Rayla. Ou bien l'utiliser comme un catalyseur pour un sort d'étoile contre Aaravos. Entre les trois, lequel serait le plus utile pour vaincre Aaravos dans leur quête ? Bien que la théorie de piéger Aaravos dans une pièce est une possibilité.
J'aime le fait qu'ils parlent de la geôlière, parce que comme je l'avais dit dans un de mes précédent post, je pensais que le miroir était comme une caméra de surveillance avec une intention sadique derrière. Lui faire désirer quelque chose qu'il ne pourra plus jamais avoir. C'est cruel mais terriblement efficace. Et ils parlent de la frontière entre la pitié et la cruauté, qui peut être mince. Du point de vue de la geôlière, il s'agissait plutôt de l'emprisonner dans un endroit où il se sentirait en sécurité, sa maison, et de poser la perle auprès du cadavre de sa fille pour qu'il puisse se reposer auprès d'elle, je peux comprendre la logique derrière dans le sens, ils pensaient qu'il pourrait faire son deuil devant son cadavre qui serait plus une tombe puis l'accepter et aller de l'avant. Mais du point de vue d'Aaravos, c'est une torture psychologique. Et c'est pourquoi il est si nonchalant dans ses interactions avec les autres.
L'ordre cosmique, avec du recul, ils ont pensé que c'était la meilleure chose à faire de les condamner selon leur compréhension et leur logique. Aaravos avait une autre vision du monde avant la mort de Leola. Mais l'ordre cosmique voit le monde depuis les étoiles et comment il se déroule. Ils ne ressentent pas le besoin de descendre à Xadia et d'expérimenter le monde comme Aaraovos et Leola. La punition de Leola est injuste pour nous, mais pas pour eux.
I finished watching the interview with the tdp creators. And there's some interesting stuff like the fact that the coin Callum picks up is going to have an important role. They said they wanted the audience to see that the coin is empty and not destroyed. Unlike Aaravos, who has merged with the pearl and his soul. Callum said that in episode 2 of season 6, he studied star spells. Supposing that he doesn't connect to the star arcanum. That could give him a dilemma of who to free: Kpp'ar (if they find his coin), one of Rayla's relatives. Or use it as a conduct for a star spell against Aaravos. Which of the three would be most useful in defeating Aaravos in their quest? Although the theory to trap Aaravos in a coin is a possibility.
I like the fact that they're talking about the jailer, because as I already told in one of my previous posts, I thought the mirror was like a surveillance camera with sadistic intent behind it. To make him long for something he can never have again. It's cruel but terribly effective. And they talk about the thin line between pity and cruelty. From the jailer's point of view, it was more a case of imprisoning him in a place where he would feel safe, his home, and placing the pearl next to his daughter's corpse so that he could rest beside her, I can understand the logic behind it in the sense that they thought he could mourn in front of her corpse which would be more of a grave then accept it and move on. But from Aaravos' point of view, it's psychological torture. And that's why he's so nonchalant in his interactions with others.
The cosmic order, in hindsight, they thought it was the right thing to do to condemn them according to their understanding and logic. Aaravos had a different view of the world before Leola's death. But the cosmic order sees the world and how it unfolds from the stars. They don't feel the need to come down to Xadia and experience the world like Aaraovos and Leola. Leola's punishment is unfair to us, but not to them.
#the dragon prince#tdp#tdp s6#tdp s6 spoilers#tdp speculation#tdp theory#aaravos#leola#tdp the jailer#tdp cosmic order#the merciful one#callum#kpp'ar#lain#tiadrin#primal magic
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Les autres pronoms
Possessive pronouns (mine, ours)
Masc. sg.: le mien, le tien, le sien, le nôtre, le vôtre, le leur
Fem. sg.: la mienne, la tienne, la sienne, la nôtre, la vôtre, la leur
Masc. pl.: les miens, les tiens, les siens, les nôtres, les vôtres, les leurs
Fem. pl.: les miennes, les tiennes, les siennes, les nôtres, les vôtres, les leurs
Ex: tu pensais que tu avais pris tes lunettes mais c'étaient les miennes - you thought you had taken your glasses but they were mine
-
Demonstrative pronouns
They replace demonstrative determiners followed by a noun
They can be one of three types: prepositional (c'est celle de Laure - it's Laure's), relative (les robes en soie sont celles que je préfère - silk dresses are the ones I prefer), or nominal (j'ajoute à cette lettre celle de mon fils - I add to this letter the one of my son).
Singular - celui (m), celle (f): celle en bleu - the blue one
Plural - ceux (m), celles (f): ceux-là sont mieux - those are better
Neutral - ceci - this (rare), cela - that, ça - this (short for cela): ça ira - that will be fine, c’/ce*: c’est un chien - this is a dog, ce sont des chats - those are cats
N.B. Adverbial particles -ci (short for ici) and -là are added to indicate the distance. Celui-ci means this one (close), celles-là those ones (far away).
*Do not mix up the masculine singular demonstrative determiner ce that is followed by a singular masculine noun (ce chat est blanc - this cat is white) and the demonstrative pronoun ce that is followed by est/sont (is/are) or a relative pronoun (c'est ce qu'il m'a dit - that is what he told me; ce sont les chaussures qu'il a choisies - those are the shoes he chose)
N.B. C'est is used with a noun: c'est un gentil garçon - he's a nice boy, an adverb: c'est si joli - it's so pretty, or a masculine singular adjective when talking about a situation or activity: c'est facile - it's easy. Il/Elle est is used with adjectives when talking about living beings or things: elle est grande - she's tall, in expressions: il était une fois - there one was, before a past participle: elle est partie - she's gone.
Relative pronouns
Relative pronouns represent the nouns placed in front of them
Que/qui
subject (qui), when talking about living beings or things and describing them, placed before a verb: la fille qui porte un pull rouge aime la glace - the girl that is wearing a red jumper likes ice cream
indirect object (qui), when talking about people, after a preposition, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille à qui tu as parlé aime la glace - the girl you talked to likes ice cream)
direct object (que), when talking about living beings or things, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille que tu aimes aime la glace - the girl you love likes ice cream)
Quoi
object, when talking about things, often vague (something, nothing): c’est ce à quoi j’ai pensé toute la journée - that is what I thought about all day long
Dont
possessive phrase (complément de nom): je bois dans une tasse dont la anse est cassée - I’m drinking from a mug that has a broken handle
indirect object, equivalent of "of which": le livre dont je t’ai parlé est sorti - the book I told you about is out
adjective object: les filles sont allées à un concert de Rihanna, dont elles sont fan: the girls have gone to a Rihana’s concert, whom they are fans of
Où
adverbial phrase of place: la chambre où je dors est la plus grande de la maison - the room I sleep in is the biggest in the house
adverbial place of time: septembre est le mois où je suis née - September is the month in which I was born
Compound relative pronouns
Auquel, duquel, lequel (marriage of prepositions à, de, le and of simple relative pronouns)
subject - rare, literary: j’ai appelé ma mère, laquelle m’a informée de ton accident - I called my mum who told me about your accident)
object, about things or animals: les chaises sous lesquelles je suis cachée sont en bois - the chairs under which I am hidden are made of wood; c’est l’endroit duquel il est parti - this is the place from which he left; les hommes auxquels elle parle sont allemands - the men she is talking to are German
Neutral relative pronouns
They are built by adding ce, which can be roughly translated as "the thing", to dont, que, qui and used when the antecedent isn't mentioned or when it's a clause often after a comma.
Ce qui is the subject of the verb that follow: je ne sais pas ce qui est tombé - I don’t know what fell down (word by word I don't know the thing that has fallen), j’ai eu un accident, ce qui explique pourquoi je suis en retard - I got in an accident, which explains why I’m late
Ce que or ce qu' is used as a direct object and is generally followed by a subject and a verb: ce que je te demande, c’est d’être à l’heure - what I’m asking you is to be on time (word by word the thing that I ask of you it is to be on time), c’est ce que je voulais dire - that’s what I meant
Ce dont is used as the preposition de’s object: ce dont j’ai peur, c’est qu’il revienne - what I'm afraid of is that he will come back (word by word the thing of which I'm afraid, it is that he comes back), c’est précisément ce dont je veux te parler - that is precisely what I want to talk to you about
N.B. To stress a point, we can use ce qui/que/dont + c’est/ce sont: ce qui me plaît le plus, c’est ta robe - what I most like is your dress.
Movie: Pierrot le fou - Jean-Paul Godard, 1965
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saga: Soumission & Domination 316
Ludovic, Ernesto et Emma (suite)
Nous trainons encore une heure affalés dans les fauteuils du salon télé avant de nous séparer pour le reste de la nuit.
J'attrape Ludovic et lui dit qu'il va se faire une grande première. Il se demande bien quoi. Quand je lui dis que nous allons tous les 4 faire l'amour à Emma, il retombe dans le fauteuil qu'il était en train de quitter.
Il balbutie qu'il n'a jamais touché une fille et encore moins une femme et en plus c'est ta mère ! PH le rassure et lui dit que ce n'est pas " une " femme mais EMMA, que ce n'était que ma mère sur le papier et que lui non plus avant elle, il était comme lui. Ernesto dit que par contre ce n'était pas son cas et que c'était même l'inverse, avant de me connaitre, il n'avait jamais connu de mec.
Je vois que Ludovic est en train de perdre pied. Je le prends dans mes bras. Il me serre fort contre lui. D'une petite voix il me demande comment j'arrive à gérer tout ça. Par là je comprends bien ce qu'il veut dire, mon homosexualité, mon hétérosexualité avec Emma, mes agences, mes études et mon statut d'héritier et surtout mes relations amoureuses avec eux tous !
Ok je crois que j'ai été un peu vite pour lui. Je m'excuse après d'Emma et lui dis que nous allons passer la nuit tous les deux dans une de ses chambres d'ami. Elle comprend et embarquant PµH et Ernesto, nous souhaite une bonne nuit.
Seuls, je sers à Ludovic un whisky bien tassé. Ile le boit sans se rendre compte de ce que c'est. Comme il n'avait pas hésité sur la gorgée, il s'étouffe et tousse. Je prends le verre avant qu'il ne tombe et nous partons tous les deux. Il est muet et je le laisse organiser ses pensées. Les chambres d'amis sont dans une aile de la maison assez loin de la chambre d'Emma. Dans la chambre à coté Henri et Kev vont passer la nuit.
Une fois la porte fermée, je le prends dans mes bras et le serre contre moi. J'imprime alors un léger mouvement de rotation. Le but recherché : le faire réagir. Il me repousse et me dit qu'il n'est plus un bébé qu'on console en le berçant. Je lui dis que ça tombe bien car je préfère les garçons un peu plus grands. Il se fâche à moitié et me demande si je peux être sérieux un moment. Je lui dis que je l'écoute mais qu'on peut quand même se préparer pour la nuit en même temps. Je me déshabille et comme il ne bouge pas, le déshabille aussi. Pendant ce temps-là, il me redemande effectivement comment je fais pour gérer tout. Comme nous passons sous la douche, cela me fait revenir en tête ma première expérience homosexuelle, avec Marc. Je décide alors de ne rien lui cacher. Je lui raconte donc ma première fois hétérosexuelle, puis ma première fois homosexuelle, avec Marc, puis les expériences que j'ai faites, les mecs que j'ai rencontrés. Comment notre relation à Marc et moi a évoluée en fonction des trips et des rencontres. Comment il avait accepté PH puis Ernesto alors qu'on s'aime vraiment tous les deux et comment on en était venus à s'aimer tous les 4 plus le satellite Hervé. Que s'il fallait se séparer nous en serions tous plus que malheureux. Je lui ai dit aussi le décès de mes parents et mon adoption par Emma. Aussi le recrutement de mon équipe d'Escort et de mes clients où j'ai donné de ma personne. Il m'écoute religieusement pendant plus d'une heure (j'ai fait un condensé !). Quand j'en termine avec son arrivée, comment il m'avait ébloui, lui, il me traite de grand malade. Qu'un cas comme le mien relève du pathologique plus encore que du psychologique. Comme nous sommes couchés l'un à côté de l'autre, il se presse contre moi et me dit que j'ai de la chance, que je ne le savais pas encore mais que j'avais auprès de moi un véritable amateur de fou. Que j'étais le Norman Bates de l'amour.
Il me roule un gros patin et nous nous endormons.
Le dimanche matin, PH et Ernesto nous ont retrouvés et réveillés en sautant sur notre lit. Ernesto nous dit qu'ils avaient dû être deux fois plus efficaces que d'habitude puisqu'ils n'étaient que deux mais qu'ils avaient été tellement bons qu'Emma ne s'en était même pas aperçue. En attendant ils nous câlinent, embrassent, nous disent gentiment qu'on leur a manqué et qu'ils avaient mal dormis sans nous. Ludovic leur répond que nous par contre nous avions divinement bien dormis. Il se fait sauter dessus par nos deux amis et bourrer les cotes de coups de poing amortis par l'épaisseur de la couette. Comme il se défend, il se retrouve immobilisé par Ernesto avec PH qui se couche sur lui, le prenant en sandwich. Je leur dis d'arrêter les enfantillages qu'il serait temps de rejoindre la civilisation.
On enfile vite des peignoirs et déboulons pour le petit déjeuner. Il est tard mais nous ne sommes pas les seuls. Henri tout habillé, précède un Kev la tête dans le cul, en peignoir lui aussi !
Pablo nous a préparé un petit déjeuner américain. Café, muffins, omelettes aux patates, bacon et pas de saucisses et haricots orange comme les anglais.
Quand Emma nous rejoint, aussi belle que s'il n'y avait pas eu de soirée et qu'elle s'était couchée à 20h, Ludovic la prie de l'excuser pour la veille. Emma le fait se rassoir lui claque un bisou sur la joue et lui dit qu'il y aura d'autres occasion.
A Henri et Kev, je demande des nouvelles de Paris. Henri me dit qu'ils ont reçu la sculpture qu'ils avaient commandée à Alban et qu'elle a déjà fait des envieux parmi leurs connaissances. Je précise à Ludovic que c'est le sculpteur qui m'a fait le " baiser " sur la terrasse et les deux cariatides calquées sur Ric.
Avant d'aller s'habiller, je propose un petit tour dans la piscine. Ok nous venons de manger mais avec une eau à 28°, il n'y pas de risque d'hydrocution. Les " adultes " nous suivent. Cela ne nous empêche pas de tomber les peignoirs et de plonger nus dans l'eau. 1/4 d'heure suffit pour nous tonifier. Nous investissons tous (sauf Kev) la chambre d'Emma où j'ai une garde-robe de secours. En effet je nous vois mal réenfiler nos sous-vêtements d'hier et nos smokings ! Ça chahute un peu mais nous arrivons à être présentables en moins d'une demi-heure !!
Nous retrouvons les autres. Henri ne veux pas rentrer trop tard sur Paris et nous quitte avec Kev après un dernier café. Il nous invite à résider chez lui quand le nous souhaiterons. Il ajoute " plutôt chez Kev " en se tournant vers lui pour avoir son approbation. KEv lui dit que j'étais un invité permanent et ajoute que mes amis étaient compris bien sûr. En disant ça la main qu'il avait " égarée " sur le fessier de Ludovic souligna, par la réaction de ce dernier, toute l'envie qu'il avait de nous loger.
Une fois partis et entre nous, Emma est venue se coller dans mes bras. On se roule une longue pelle, symptomatique de nos manques de l'un et de l'autre. Et bien sûr, ça me fait bander. Quand on se décolle, je vois que je ne suis pas le seul dans cet état. Je propose un retour à la piscine qui est unanimement accepté. On se déshabille sur le bord, laissant nos vêtements en tas. Ludovic à un moment de recul alors que nous ôtons nos sous-vêtements. Il se tourne vers moi et me dit " et Emma ? ". Je lui prends la tête, la fais pivoter jusqu'à ce que cette dernière entre dans son champ de vision. Là, il peut voir qu'elle aussi se mettait nue. PH passe dernière lui, attrape son boxer et le lui descend sur les chevilles. Il bandait déjà le cochon !
Plongeons, éclaboussures, poursuites et chatouillis, branlages furtifs, pelles beaucoup moins (furtives). Emma est partie prenante du jeu et Ludovic se surprend à lui rouler un patin. Il recule brusquement et me percute puisque je m'étais glissé derrière lui. Coincé entre nus deux, il ne peut que se coller aux seins d'Emma comme je le pousse en avant. Je l'embrasse dans le cou. Il tend la tête en arrière pour me donner ses lèvres. Je m'en empare, passe ma langue dessus avant de les laisser et de prendre celles d'Emma par-dessus son épaule. Sa tête se trouve au niveau des nôtres, je passe une main derrière la sienne et l'approche jusqu'à ce qu'on s'embrasse à trois. Il cède et me laisse gérer. Je passe d'une bouche à l'autre ? Donnant de la langue à chaque jusqu'à ce que nos trois langues se touchent, se cherchent et bataillent. J'arrive même à m'extraire du jeu, laissant Ludovic en prise directe avec ma " mère ".
Mes mains s'égarent sur son corps. De ses épaules musclées, elles descendent sur ses flancs, le faisant frissonner malgré la température de l'eau. J'attire ses hanches contre les miennes pour qu'il sente bien à quel point (cm) je l'aime. Nous sommes dans la partie de la piscine où nous avons tous pied. Je bascule le bassin pour placer mon gland juste sur sa rondelle. Il le sent et sans se décoller d'Emma, il roule du bassin jusqu'à réussir à le faire pénétrer dans son anus. C'est trop bon ! il m'emprisonne le gland seulement et j'adore la sensation. Comme il bande comme un malade, Emma en profite et se plante dessus. Le recul opéré par Ludovic, de surprise plus que de dégout, le fait se planter totalement sur ma queue. Surprise inverse et l'avancée de tout son corps le fait s'enfoncer dans la chaude moiteur du vagin d'Emma. Elle a l'intelligence de contracter ses muscles et j'entends un " trop serré " s'échapper de la bouche de Ludovic. Contrairement à la mère de Jean dont la chatte est un garage à bite et qu'à moins d'y être à 2, on n'en sent pas les bords, je sais, d'expérience, que celui d'Emma est musclé et que quand elle se contracte, on y serait presque comme dans un cul. Ludovic tourne la tête vers moi pour me le dire probablement. Je lui cloud le bec en plongeant ma langue dans sa bouche et lui glisse que oui, je sais comment Emma peut être " bonne ".
Les deux autres (PH et Ernesto) sont jaloux. Mon PH se colle à mon dos et m'encule d'un coup sec. Ernesto s'est glissé dans celui d'Emma et lui enfile sa bite dans le cul. Ludovic apprécie les sensations que cela lui donne. Il laisse échapper un " c'est trop bon " qui fait rire tout le monde. Ernesto nous dit qu'il sent bien le gland de Ludo tout au fond d'Emma. Nous profitons de cet enchevêtrement encore quelques instants mais l'eau de la piscine n'est pas le meilleur lubrifiant et avant que cela ne deviennent désagréable, nous sortons pour continuer nos " petites affaires " au sec. Nous étalons les matelas sur le carrelage et reprenons nos ébats. Un peu de gel ou beaucoup, et les emboitements se refont. J'ai cédé ma place à PH et pris la sienne. Ludovic, lui, a changé de face et encule Emma pour le plus grand plaisir d'Ernesto. Après lui avoir bouffé le cul et lubrifié abondamment la rondelle en lui enfonçant profondément sa langue chargée de salive, il lui met ses 24cm entiers. Long feulement de Ludovic pendant l'opération. Il apprécie c'est sûr. Emma ne s'en plaint pas car elle bénéficie d'un effet collatéral, le durcissement extrême de la bite de Ludo. Emma m'embrasse tout comme PH, Ludo et Ernesto (ces derniers en tordant le cou). Plus nous faisons l'amour et plus Ludovic s'enhardit. Je vois ses mains remonter des hanches aux seins d'Emma. Dans un premier temps il les pose simplement dessus avant de se mettre à les pétrir. Il fait comme avec les pecs d'un mec, il s'occupe plus des tétons que de leurs masses. Emma qui aime quand on titille et pince ses tétons, prend son pied. Je sais qu'elle réagit à leur stimulation par la contraction de ses muscles vaginaux et anaux. PH et Ludovic le ressentent bien et échangent sur le plaisir que cela leur procure. Leurs corps réagissent aussi et Ernesto comme moi nous faisons emprisonner nos queues par leurs contractions anales. Les pénétrations sont plus hard et demandent plus de force pour progresser. Nous sommes secoués et ça fait monter le plaisir plus vite.
Emma décolle en premier. Un long cri de plaisir s'échappe de sa bouche. Elle se contracte de partout comme son corps spasme. PH à son tour rugi qu'il jute et je suis piégé dans son cul, la bite bloquée en position " pénétration totale ". Au premier relâchement (successif à sa première éjaculation) j'explose à mon tour, lui tapissant l'intérieur de mon sperme. Mes éjaculations succéderont à chacune des siennes au moins 5 à 6 fois. De l'autre côté d'Emma, Ludovic et Ernesto sont dans le même état que nous. Pendant 5 minutes c'est à qui exprimera le plus son plaisir.
Quand nous nous déboitons les uns des autres, nous restons au moins 20mn à comater le temps de reprendre nos esprits.
Sous la douche, prise tous ensemble, Ludovic remercie Emma et nous dit qu'effectivement, comme ça, les relations hétéros sont envisageables. Il s'excuse auprès d'Emma avant d'ajouter que sans nous autres (PH, Ernesto et moi), il n'y serait probablement pas arrivé. Je le prends dans mes bras, lui roule une pelle et lui dis que de toutes les façons, je n'envisageais pas qu'il en soit autrement. Je lui tire l'oreille et ajoute " que je ne te prenne pas dans les bras d'une meuf, ou ce sera ta fête ".
Il mime le petit garçon battu : " non, pas la tête, pas la tête ". Eclats de rire général !! Nous finissons notre douche et passons autant de temps à nous sécher réciproquement. L'heure du thé est dépassée depuis longtemps quand nous retournons à la maison. Mais comme nous sommes décalés, gros petits déjeuners tardifs et pas de déjeuner, nous attaquons quand même ce que nous avait préparé Pablo. Y'a pas à dire l'amour ça flingue les batteries !!
Le temps passe et nous avons juste le temps de passer au Blockhaus récupérer le sac et les papiers d'Ernesto avant de l'emmener à son avion. C'est limite s'il ne se fait pas engueuler pour son retard. Les aux-revoir sont brefs.
Retour au blockhaus. L'excitation retombe et je vois mon Ludovic gamberger à nouveau.
Il n'en revient pas d'avoir fait l'amour avec une femme. Il me dit que je l'avais piégé puis ajoute après un moment de silence que c'était pas mauvais quand même !
Avec regret, il nous quitte, devant retourner chez papa-maman. J'enrage de ne pouvoir le garder tout le temps avec nous. Mais rentrer au minimum le dimanche soir est un impératif familial.
Je tourne et je vire au point que PH me met une droite histoire de me remettre les idées en place. Ça le fait. Je suis tellement surpris. C'est la première fois qu'il le fait en dehors des entrainements. Comme je ne m'y attendais pas, il me cueille et j'ai le souffle coupé. Je fais semblant d'avoir pris gros et quand il se penche sur moi, s'inquiétant d'avoir tapé trop fort, je l'étale ! C'est son tour d'être pris à froid. Il se trouve face au sol, mon pied sur son omoplate droite et le bras qui va avec en extension. Pas de résistance s'il ne veut pas que je lui démonte l'épaule. Je le relâche et nous nous tombons dans les bras. Notre pelle est virile. Quand nous nous décollons, nous avons tous les deux le souffle coupé. Il s'étonne quand je le remercie. Je l'aime et je sais que son geste n'était pas méchant, tout comme ma réaction d'ailleurs ! Nous passons la soirée collés l'un à l'autre même s'il n'y aura pas de sexe ce soir-là.
Jardinier
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Mon calendrier (partie 2)
Si vous n'avez pas vu la première partie, c'est ici que ça se passe !
Automne - Hiver
Les cases entourées de bleu correspondent aux jours fériés, tandis que celles entourées de jaune représentent les jours sans école.
J'utilise un mod* qui permet d'ajouter la tradition « vacances scolaires » à un jour férié, offrant ainsi un jour de congé uniquement aux enfants et aux adolescents.
J'ai cherché à utiliser un maximum de traditions du jeu, mais étant donné leur nombre limité, j'ai téléchargé des traditions supplémentaires, notamment celles de Kiara, traduites par Kimikosoma, ainsi que celles de Caradriel (en particulier celles liées à l'écriture et aux enfants).
Enfin, pour ajouter un peu de variété, j'ai remplacé les icônes des jours fériés par de nouvelles*. Celles de Zerbu sont également très réussies.
Regardons cela de plus près…
La Journée des Animaux : Inspirée de la Journée mondiale des animaux, célébrée le 4 octobre, voilà une belle opportunité pour vos Sims de visiter une ferme pédagogique, de se rendre dans un refuge, d’adopter un compagnon ou de montrer leur affection à leur ami à quatre pattes.
La Fête de la Gastronomie : Manger, c’est essentiel et toujours plaisant, alors pourquoi ne pas consacrer une journée entière à cette activité ? Je suis sûre que cette fête ravira de nombreux Sims ! Si vous avez le pack Au Restaurant, c’est l’occasion parfaite pour emmener votre Sim déguster un repas gastronomique. Sinon, il peut aussi découvrir de nouvelles saveurs en prenant un plat à emporter dans un food truck ou en testant une nouvelle recette à la maison.
Les Vacances d'Automne : C'est l'équivalent de nos vacances de la Toussaint. Pour cette journée, j’ai pensé qu'elle pourrait être dédiée à la préparation de la Fête des Citrouilles. Les enfants peuvent fabriquer des bricolages de fête ou des objets de saison avec la table d'activités, et se rendre dans un "pumpkin patch" pour acheter et sculpter des citrouilles.
La Fête des Citrouilles : C’est évidemment Halloween ! Bien que le porte-à-porte soit toujours impossible, la tradition "Des bonbons ou un sort !" permet aux enfants déguisés de venir sonner chez votre Sim pour réclamer des friandises. Vous pouvez également organiser une fête costumée pour célébrer l’occasion.
La Journée du Souvenir : C'est un jour férié. La tradition veut qu’au début du mois de novembre, au lendemain de la Toussaint, les familles se rendent au cimetière pour honorer leurs défunts. C'est le moment idéal pour se souvenir de tous les Sims qui nous ont quittés. Et en plus, grâce au nouveau pack À la Vie, à la Mort, plus besoin de faire semblant : les cimetières sont enfin là !
La Fête des Récoltes : Je l’ai gardée dans le calendrier, même si Thanksgiving n’est pas vraiment célébré en France, car j’adore cet événement dans le jeu. C’est aussi un jour férié, alors pourquoi ne pas en profiter pour organiser des retrouvailles familiales ?
Le Mercredi Noir : C'est une amie qui m'a suggéré l'idée, il s'agit du Black Friday ! J'adore jouer avec les magasins, mais étrangement, je n'emmène pas souvent mes Sims faire du shopping.
La Fête des Enfants : À l'origine, je voulais en faire une sorte de Saint-Nicolas, où les enfants auraient dû faire tout un tas de tâches ménagères pour s'attirer les faveurs du Père Fouettard, incarné par le Père Hiver. Malheureusement, j’ai découvert qu’il n’existait aucun swatch noir ou sombre pour sa tenue… Du coup, j’ai réorienté l’idée et j'en ai fait une journée dédiée à la préparation de la fête de l'Hiver (la fête préférée des enfants, il va sans dire). Personnellement, je décore très tôt chez moi pour l’occasion, alors j’aimerais que mes Sims puissent eux aussi profiter de l'ambiance de cette fête aussi longtemps que possible !
La Veillée de l'Hiver : Dans ma famille, on célèbre le réveillon le 24 décembre et on ouvre les cadeaux le 25. C’est pourquoi j’ai choisi de diviser cette fête en deux. La Veillée de l'Hiver est consacrée au grand repas, les Sims invitent leur famille et leurs amis à dîner, et le Père Hiver dépose les cadeaux au pied du sapin.
La Fête de l'Hiver : C’est un jour férié. Les festivités se poursuivent toute la journée, qui commence évidemment par l’ouverture des cadeaux, suivie d’un délicieux petit déjeuner. Les enfants s’amusent avec leurs nouveaux jeux tandis que les plus grands s’occupent du ménage. C'est également l'occasion de profiter de bons moments ensemble, en jouant à des jeux de société, en regardant un film de Noël ou en se réchauffant autour d'un chocolat chaud près du feu.
La Veillée du Nouvel An : Avec le découpage que j’ai fait pour adapter notre calendrier à celui des Sims, le Réveillon du Nouvel An se retrouvait coincé sur la même case que la Fête de l’Hiver… Du coup, j’ai dû le déplacer au lendemain. Rien de grave, mais étant un peu perfectionniste, c’est difficile à encaisser ! À part ça, pas de changement côté traditions. J’ai ajouté la "Baignade des ours polaires", qui consiste simplement à nager dans l'eau glaciale d'une piscine. C’est une tradition qui a lieu chaque année dans ma ville et un peu partout en France, tant qu'il y a de l'eau, je crois : le 1er janvier, un groupe de personnes se baigne dans la mer. Il paraît que c’est revigorant…
Le Jour du Grand Créateur : Il me manquait un évènement pour équilibrer mon calendrier, et c'est tombé pile dans cette zone, alors j'ai sauté sur l'occasion. C'est une idée que j'ai piqué à Abneliasims : il s'agit tout simplement d'une journée dédiée à moi-même, le jour de mon anniversaire (c’est du génie, non ?). L'idée générale, c'est que mes Sims me vouent un culte, admirent mes fabuleuses constructions et prient pour que je leur réserve une vie des plus clémentes.
Le Jour du Grilled Cheese : Dans mon calendrier, il remplace la Chandeleur. J’aurais pu opter pour des pancakes, mais c’était moins rigolo. En plus, toutes les explications que j’ai lues sur la Chandeleur (oui, j’ai fait des recherches très sérieuses) pouvaient très bien s’appliquer au grilled cheese ! Par exemple, j’ai découvert qu’il est d’usage de retourner une crêpe en la faisant sauter dans la poêle avec une pièce (à l’origine un Louis d’or) dans la main gauche — on pourrait tout à fait faire la même chose avec un sandwich au fromage fondu. Quant à la forme ronde et dorée des crêpes, censée évoquer le disque solaire et symboliser la lumière croissante et le retour du printemps, elle rappelle encore plus celle d’une meule de fromage ! Je ne comprends pas comment personne n'y a pensé plus tôt... Bref, j’aimerais vraiment qu’il existe un jour spécial pour célébrer les sandwichs au fromage fondu dans la vraie vie.
Le Jour de l'Amour : C’est évidemment la Saint-Valentin. J’y ai mis toutes les traditions pour plaire au Sim le plus romantique. Ça dégouline d’amour… c’est beau, mais c’est insupportable.
Les Vacances d’Hiver : C’est le moment idéal pour s’adonner à des activités hivernales comme les batailles de boules de neige, le patinage sur glace ou la fabrication de bonhommes de neige. Les plus chanceux partent même à la montagne faire du ski ou de la luge.
La Fête du Gnome : Encore une idée inspirée du calendrier d’Abneliasims ! Je tenais absolument à célébrer la Saint-Patrick, mais je ne savais pas comment la rendre spéciale. Selon le folklore irlandais, le Leprechaun est un petit lutin dont l’activité principale consiste à jouer de vilaines farces… J’ai tellement hâte de voir mes Sims pompettes devoir calmer des gnomes !
Si l'on fait le calcul, ça fait 38 journées à thème, dont 7 jours fériés et 13 journées de vacances scolaires. De quoi ne pas s'ennuyer dans le jeu avant un bon moment !
*Je n'ai pas inclus le lien de ces mod car la moddeuse n'est pas recommandable. Je vous encourage à vous renseigner avant de télécharger quoi que ce soit, afin de soutenir des personnes respectueuses, éthiques et de confiance. Je vous tiendrai informés dès que j’aurai trouvé des alternatives intéressantes pour remplacer ce contenu.
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