#mais grave la flemme
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Pas loin d'acheter un test de grossesse
J'ai saigné l'équivalent d'une cuillère à café en 4 jours. Et pas en liquide (texture et quasi couleur tapenade quoi...) donc je me demande si c'est encore un coup de mon cycle fuck up, si c'est la pilule qui joue (commencée J1 des règles) ou si on n'a pas remarqué que la capote était percée/glissée.
Y a plus de chances que ce soit l'aléatoire de mes cycles. Ça m'est déjà arrivé de saigner très peu type spotting. Mais jamais aussi peu en quantité.
#jezatalks#faut que je me deter à sortir#mais grave la flemme#ce serait l'occasion de racheter des goûters
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mdr ??? wdym y a 0 (ZERO) fic sur le pairing que je cherche ??? genre nulle part, ici, A03, ff.net, même wattpad
#be the change you want to see in the world#mais j'ai grave la flemme en fait#jveux consommer pas produire
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j'ai pleuré une bonne partie de la nuit, je savais que j'aurais du aller dormir chez Y plutôt que de rentrer avec le dernier bus dans lequel je me sentais comme une merde, lui non plus n'était pas bien en plus, il m'a dit qu'il avait pleuré toute la soirée, il voulait pas vraiment me déranger trop tôt et quand je lui ai proposé de lui ramener une pizza il m'a dit de profiter de ma soirée, toujours est-il qu'en me sentant totalement lamentable et pathétique dans le bus à minuit passé après avoir séché mon cours de l'après-midi en partie parce que tia n'était pas bien et qu'on ne s'était pas beaucoup vu dernièrement comme elle sèche encore plus que moi, et aussi en grande partie parce qu'on avait déjà commencé à boire, qu'il faisait beau et que la flemme bref, je demande à Y si je peux lui dire un truc qui risque de lui donner envie de me gronder, sachant qu'on avait déjà eu une discussion en début de semaine qui avait résulté sur: je vais te dire de manger de boire on va prendre rendez-vous chez un psy c'est plus possible je vais pas te laisser tomber moi aussi je vais me reprendre et si tu fais tout bien tu auras un gros cadeau (motivant), je lui dit donc que je n'ai fait que boire toute la journée (encore) et il me demande juste pourquoi je ne lui ai pas dit plus tôt, qu'il m'avait dit d'y aller doucement, que c'était pas grave mais que j'aurais du lui dire et rentrer dormir chez lui, puis on a parlé très longtemps quand je pleurais dans mon lit sans m'arrêter des raisons pour lesquelles c'était plus facile de boire et de faire de la merde continuellement ces derniers mois que de faire face au vacarme dans ma tête que ce n'était pas juste la dépression comme il m'avait dit en début de semaine mais qu'il y avait eu un déclencheur dernièrement qui me ramenait à des choses que j'essayais déjà d'oublier avant sans y arriver, il m'a dit qu'il fallait que j'arrête de toujours tout garder pour moi, que non je n'étais pas une pomme pourrie avec rien d'intéressant à l'intérieur comme je le pense et que quand on prendra rendez vous pour aller voir quelqu'un il m'accompagnera et m'attendra pour que je ne sois pas toute seule parce que ça me fait trop peur et que j'ai pas envie
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Est-ce que j'ai grave la flemme d'aller à cette soirée demain alors que ça fait des mois que je me plains que j'ai envie de sortir me bourrer la gueule et voir des gens? OUI.
Finalement je me suis fait au petit confort de ma maison. Je crois que ne pas aller aux 24h m'a fait un déclic. Puis il fait trop froid, on est vraiment bien chez soi. En plus, j'ai l'impression d'avoir perdu tous mes skills de sociabilisation. Mais c'est un événement organisé par une amie et ça lui tient vraiment à cœur donc je vais me forcer. Ce qui me fait un peu peur aussi c'est de détester la musique parce que ma pote a vanté l'event en disant qu'il y en aurait de la bonne mais on a pas du tout les mêmes goûts. J'ai déjà prévenu que je ne viendrai que quelques heures par contre. J'y vais avec une pote d'enfance. On verra bien.
(30/10/2023)
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exemple d’un truc qui pour le coup me met hors de moi Le mec que je vois a des symptômes sans réelle gravité pour le moment depuis une semaine (mal de ventre, de tête, fatigue extrême, ect). Depuis le premier jour, je lui dis de prendre rdv chez le médecin histoire d’être prévoyant et annuler si ça venait à aller mieux dans les jours qui arrivent. Il me répond que ça va passer tout seul, que pour un petit mal de ventre il ne va pas aller chez le médecin, qu’il a surtout trop d’égo pour y aller (??). En parallèle de ça, il a zéro médicament chez lui et refuse d’aller à la pharmacie parce que “j’ai la flemme”, soit. Ça va faire une semaine qu’il a toujours les mêmes symptômes et qu’il s’en plaint TOUS LES JOURS. Et tous les jours je lui dis de prendre rdv, passer à la pharmacie, ect. Ce matin, il m’envoie un vocal de bébé où il se plaint que ça ne passe pas, qu’il est plié en deux ect ect ect. Mais moi la seule chose que ça m’inspire ce n’est pas de l’empathie, c’est surtout un immense mépris. T���as quel âge en fait ? 20 piges et t’es pas capable de prendre rdv et faire les choses à temps. Tu refuses toutes les solutions qu’on te propose pour attendre de craquer sous la douleur. Littéralement pourquoi aller chez le médecin quand tu peux aller aux urgences hein. Je trouve ça profondément bête et immature de sa part et ça me crée de la colère. De la colère parce que tu fais rien pour améliorer la situation et que tu me fais m’inquiéter pour rien. Ce n’est pas comme si on était en France avec un super système de santé, noooon. A partir de là, il n’y a plus rien à dire, moi ça me braque que tu te permettes d’inquiéter la France entière et rien faire pour autant à côté. J’ai été très cinglante et il l’a mal pris, mais pourtant je le pense toujours autant. Arrête de te plaindre, tu n’en as fait qu’à ta tête pour au final te rabattre sur ce que je suggère depuis une semaine, bah tant pis pour toi. Ne viens pas polluer mes messages avec ça, tu ne peux t’en prendre qu’à toi même. Pompon sur la Garonne, le mec me dit “j’attends que ma maman prenne rdv pour moi”. Oh mais fr réveille toi non ? T’es grand, bouge. C’est très grave la gestion de la maladie par les hommes, vraiment. Et ça me dégoûte un peu en fait. Je sais pas pourquoi il y a certaines personnes assez débile pour penser qu'aller chez 'e médecin et prendre des médicaments ça touche leur ego. Encore si les raisons étaient louables mais même pas. Ma foi, attends de crever pour consulter si ça te rend heureux. Putain que ça m'énerve. Ça m'a toujours énormément énervée ça, je ne sais pas bien pourquoi, sûrement parce que je suis égoïste. Je supporte mal l’inquiétude surtout lorsqu’elle est inutile ou qu’on ne fait rien pour la soulager.
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Diagnostic
[TW : Psychiatrie, TS, psychophobie, psychophobie internalisée (?)]
Nos souvenirs sont un vaste océan d'abysses dont les vagues s'écrasent brutalement contre les rochers, contre les brise-lames de notre conscience. Quand on était petits, on ne réalisait pas qu'on était fous. Mais ça a finit par devenir évident dès le début du collège. Ça ne s'est pas arrangé avec le temps. Un jour, durant nos années lycée, la mère de notre copain de l'époque a dit : "Mais tu es complètement folle !" Je ne me souviens plus de ce qu'on avait fait. Les vagues ne me l'ont pas ramené et, dans les embruns, il n'y a qu'un parfum de peine. Ce n'est pas tant d'être fou qui fait de la peine. On le savait depuis longtemps. Ce qui fait de la peine c'est ce "Mais tu es complètement folle !" craché comme un venin, comme une insulte, avec ce petit rictus de mépris. On a longtemps évité la psychiatrie. Je ne saurais pas dire pourquoi exactement. Je crois qu'on craignait, si on y allait, de réaliser que ça y était. Que c'était réel. Qu'on ne pourrait plus jamais se voiler la face à ce sujet. On n'avait pas peur d'être fous parce qu'on savait qu'on l'était. Mais on avait peur que le monde entier nous perçoive comme fou. Parce qu'on ne voulait pas de ce "Mais tu es complètement folle !" avec ce rictus de mépris. On ne voulait pas être rejeté-e-s. On ne voulait pas être abandonné-e-s. Ou plutôt, on ne pouvait pas. Alors bon, on avait sacrément peur de ne plus être capables de faire semblant dès lors que la sacro-sainte psychiatrie aurait collé ses petites étiquettes bien blanches, bien carrées, bien aseptisées sur notre petit crâne tourmenté. Et puis patatra, durant nos années d'études, y'a eu un gros hic, y'a eu des grands couacs, y'a eu du n'importe quoi. Alors on a fait quelque chose de très très dangereux et de très très grave. Pas parce qu'on était fous, mais parce qu'on avait tellement mal ! Mal à en pleurer, mal à en hurler, mal à en finir aux urgences dans un joli camion de pompier.
Ah ça fait drôle, hein ! Et d'ailleurs, il y a plein de souvenirs de cette période que l'océan d'abysses ne m'a jamais ramené. On a été hospitalisé-e-s durant de nombreux mois, puis en hôpital de jour. Je passe aujourd'hui sous silence la façon détestable dont on a été traité-e-s dans l'institut de soin où nous étions. Parce que ce n'est pas à là que je veux en arriver. Pas cette fois. Ce contact sommes toutes brutal avec la psychiatrie a eu exactement l'effet que je pensais qu'il aurait : Les gens ont vu qu'on était fous. Bon. Iels n'ont pas dit "fous". Iels ont dit "dépressifves sévères". On savait que c'était pas tout, mais ces psychiatres-là avaient un peu la flemme de poser des diagnostics. Je présume qu'iels estimaient avoir mieux à faire et que ce n'était pas leur rôle. J'ai envie de dire que de toute façon, on n'en voulait pas de leurs petites étiquettes. Mais les gens ont quand-même vu qu'on était fous. Et on pouvait plus le cacher. Et on a été rejeté-e-s. Exactement comme on le pensait. Exactement comme on l'avait prédit. Puis bon, voilà. On était fous. On a plus été hospitalisé-e-s, à un moment, puis on a carrément arrêté de voir des psychiatres. On les aimait pas beaucoup. Puis y'a eu une période un peu... moui. Où on savait qu'on était fous, mais inconsciemment, on continuait de cacher qu'on était fous... plus ou moins, maladroitement. Eh bien figurez-vous que ça suffit largement ! Il faut juste faire un peu semblant et les gens ne pensent pas que vous êtes fous ! Iels pensent que vous êtes chiant-e-s ! Il suffit d'avoir l'air fonctionnel-le-s ! Ça n'a aucune importance si vous ne l'êtes pas pour de vrai ! Ruinez-vous la santé pour tout cacher et iels n'y verront que du feu ! Vous serez la personne chiante et non pas la personne folle, ni même la personne handicapée. (Sans rigoler, ne faites pas ça. Ça fait un mal de chien.) (On avait quand-même quelques ami-e-s très douxes qui savaient qu'on étaient fous et c'était bien.) Bref, je pense qu'entre plein d'autres choses, ce "masque" a joué dans le fait qu'on a recommencé à ne plus aller bien du tout. Un jour on l'a dit à notre médecin et elle a fait : "Oula !" puis elle a pris son téléphone et elle a appelé le CMP le plus proche pour nous prendre un rendez-vous. C'est comme ça qu’on s’est retrouvé-e-s à voir une infirmière psy qui ne savait pas quoi faire de nous parce que les personnes en face d’elle disent souffrir alors que : - Iels font du sport - Iels travaillent (même si c’est à leur compte) - Iels ont des loisirs - Iels ont de la famille et des ami-e-s Un jour, elle nous dit : « Je vais demander son avis à mon collègue psychologue. »
Après l’avoir vu en rendez-vous, le collègue psychologue a dit : « Je vais être bien en peine à donner un avis à ma collègue. » J’ai trouvé ça drôle. (En vrai, ça se passe bien ! Je suis content qu’il nous suive. Et soulagé aussi. Ça aurait été coton, sans lui.) 2023, c’était affreux comme année. Non, franchement, c’était immonde. Il s’est passé énormément de choses compliqué-e-s et on a dû traîner notre pauvre carcasse jusqu’en 2024. En 2024 on nous a dit : « Bon, vous êtes bien handicapé-e-s, on le reconnaît. Par contre le diag de « dépression chronique » qui date d’il y a 7 ans et « anxiété sociale » maintenant, ben c’est pas suffisant pour vous donner de la tune. Déso pas déso. » Alors on a rampé jusqu’au cabinet d’un psychiatre. Je dis ça comme si ça avait été facile, mais pas du tout. Entendez bien qu’on n’aurait jamais refoutu-e-s nos pieds chez un psychiatre si on était pas dos au mur. Et il a fallut plusieurs discussions avec plusieurs de nos ami-e-s pour nous convaincre et nous rassurer. Et donc bref, on se retrouve dans ce cabinet et j’ai furieusement envie de dire au type que les toiles d’araignées sous son escalier dans la salle d’attente me donnent envie de pleurer. Là je m’attends pas encore à la claque dans la gueule que je vais me prendre. Que dis-je ! A la tornade dans laquelle je viens de tomber. Il me regarde, moi je ne le regarde pas. Je ne peux pas, parce qu’on est trop terrifié-e-s pour ces conneries. Je lui montre nos documents. Il prend le certificat médical de la MDPH, il pose des questions et il écrit. Moi j’ai envie de me barrer à toutes jambes. Genre de m’enfuir. Mais il remplit le certificat, j’en chialerais presque. Et puis à la fin, il demande : « A votre avis, vous pensez avoir quoi ? » Moi je lui réponds : « Ben comme vous avez vu, je suis sur la liste d’attente du CRA, du coup je pense que je pourrais peut-être être autiste... » (Matez les gigantesques pincettes que je prends alors que ça fait un bon moment que mes potes autistes m’ont pairdiag. Matez le doute.) Il m’a dit : « On dirait, hein ? » J’ai trouvé ça drôle, un peu.
Et puis là, je sais plus comment il l’a dit - les vagues l’ont emporté - mais elle est là, la claque dans la gueule. Il a dit : « Je pense aussi à la schizophrénie. Je pense que vous êtes à la limite entre les deux. Il faudrait faire un différentiel, mais les deux troubles peuvent être proches. » Ça allait dans le sens de ma plus grande théorie sur les troubles psys alors j’étais vite fait content, mais en vrai j’avais aussi l’impression qu’il avait appuyé sur le bouton : « AAAAAAAAH » dans mon cerveau. C’était moyennement fun. Mais j’ai pas posé de question, j’étais trop abasourdi. Bon, je vais pas mentir, je me doutais que, si le psychiatre avait envie de bosser, je ressortirai probablement pas sans – au moins – un bon vieil antipsychotique (ça a pas loupé, hein). Mais je ne m’attendais clairement pas à ce trouble là. Parce qu'on se sent pas « comme ça ». Et que le stigmate terrible qu’il porte me fait déjà péter un plomb. Et sur ça, je commence à douter très très fort. « Est-ce que j’ai été assez authentique durant le rendez-vous ? Est-ce que je n’ai pas menti sur la liste de symptômes ? Est-ce que je n’ai pas inventé n’importe quoi pour faire mon intéressant ? » Il faut savoir que le doute, ça me compose personnellement à au moins 70 % de mon être. Très régulièrement, je doute après avoir donné mon âge ou mon lieu de naissance… donc je crois que ce n’est ironiquement pas mon sentiment le plus fiable.
En bref. On est schizophrène. (Peut-être) Elle est enfin là, la petite case, bien carrée, bien collée sur mon front et je ne sais pas quoi en faire. Moi je voulais juste qu’on colle plein de petites étiquettes sur mon dossier de MDPH pour qu’on nous donne de l’argent et qu’on puisse enfin arrêter de galérer autant dans notre foutue vie… mais certainement pas pour qu’on y marque « trouble schizoaffectif ». C’est costaud, quand-même, quoi. Alors pour l’instant, je l’étudie très très attentivement. Peut-être qu’un jour j’arriverai à m’y faire ou bien je pourrais dire : « C’est pas ça ! De toute façon, c’est qu’une petite étiquette ! Je la décolle si je l’aime pas et personne va rien faire ! » Parce qu’à la fin, on s’en carre des petites cases. On est fous. On l’a toujours été. C’est une grande case et dedans, y’a nous tout entier.
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Hier jour de fête je quitte mon lit avec M. je vois E. au travail et le soir le soir je vais voir B. alors quand c'est jour de fête moi j'ai envie de susciter le désir alors je mets une de mes robes préférées dans laquelle franchement je me trouve bonne et devant le miroir je pense que objectivement c'est vrai aussi ces jours-là où on a envie que le regard de M., E. ou B. se pose aussi doucement que le tissu qui glisse sur les cuisses on se sent belle tout le temps même à porter des trucs lourds avec les bras être coincée en haut de l'échelle collée à la charpente ou courir partout dans le magasin honnêtement j'ai mis cette robe juste en pensant à eux en me disant je veux un compliment des yeux et finalement ce qui me fait le plus plaisir souvent c'est Marion ma collègue qui fait sa bouche bée quand elle me voit sortir des vestiaires là je me sens comme une reine et vas-y que je roule ma bosse en robe toute la journée mais surtout que je roule mon boule et vas-y que je remets souvent ma bretelle de robe sur mon épaule nue juste pour dire "eh j'ai des épaules nues" mais
drame
E. ne bosse que 3h aujourd'hui et B. B. est malade j'ai l'impression d'avoir mis cette robe pour rien pour rien les épaules nues, le haut qui accueille mes petits seins et le reste qui accompagne le mouvement de mes jambes on dirait du vent et je la colère monte de continuer à m'oublier dans le processus de continuer à faire ça pour des mecs et pas pas pour moi de me voir belle qu'à travers leurs yeux et pas les miens qu'à travers leurs critères qu'ils ne disent pas que j'imagine plutôt que ceux de Marion ou M. si j'écoutais M. et Marion et Mathou un peu plus, je serai reine tous les jours heureusement avec cette robe il y a le collier que Brunissen a fait et j'ai l'impression d'être encore à Groix avec Mathou ça me porte les souvenirs alors je ne m'avoue pas vaincue cette robe va me servir à kiffer kiffer ma journée être en confiance avec moi-même être avec Mathou en pensée kiffer faire du vélo avec le vent qui remonte le tissu qui glisse sur ma cuisse peut-être au feu rouge verra t-on ma culotte et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre c'est bien ça que j'ai envie de dire quand je mets une culotte sans shorty et que j'attends la jambe relevée car la pédale haute au feu rouge quand je repense qu'à l'école primaire une de mes hantises était que les mecs baissent ma jupe et que tout le monde voit ma culotte j'ai bien changé t'inquiète que si tu lèves ma robe pour voir ma culotte je te marave la gueule mais t'as pas idée à quel point je kiffe porter juste une robe et une culotte je crois que le truc c'est que j'avais envie d'être prête d'être apprêtée pour ce moment où E. me fait des blagues et utilise sa voix la plus grave du matin où je meurs un peu quand je le fais rire à gorge déployée prête apprêtée pour ce moment où B. me tiens les mains en pleine nuit me dit "Tu as été forte et courageuse. Bravo" ou quand on danse tous les deux comme des enfants où on oublie le prochain soleil prête et apprêtée pour un câlin d'amour prête et apprêtée quand M. me dit "Ne t'inquiète pas pour ça" sur ma plus grande inquiétude de la vie et que cette fois, je le crois
Est-ce qu'en belle robe on paraît plus forte est-ce qu'on assume plus est-ce qu'on a besoin d'être forte quand les autres ne nous rendent non pas faible mais accueillent notre vulnérabilité et nous accompagnent est-ce que le désir aide à obtenir de l'aide est-ce que si j'avais mis ma tenue de la flemme je connaîtrais tout ça c'est sûr
que oui
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J'suis comme tout le monde, j'suis monotone
Comme dit Ulysse, j'm'appelle "Personne"
Persécutée par Perséphone
J'rêve des enfers, d'une cage en fer
Drapée dans ma tristesse quand je sors de la 'tess
Si j'ferme ma gueule quand j'sens la main d'un mec posée sur mes fesses
Il nierait le truc à fond et me ferait passer pour une folle
Alors, j'me suis fait une raison, Catherine Deneuve, c'est plus mon idole
J'm'exhibe sans enthousiasme
Ça m'saoule de prendre de l'âge
J'vois ma vie en photo là
J'fais des doigts et ça passe
Flemme de l'existence, pourtant j'continue
J'ai trop d'temps pour penser au temps, j'me perds dans les allées et venues
C'est pas normal qu'à vingt ans, j'trouve que j'ai déjà trop vécu
Je sais à l'avance que j'serai déçue
J'ai trop d'temps pour penser au temps, j'me perds dans les allées et venues
C'est pas normal qu'à vingt ans, j'trouve que j'ai déjà trop vécu
L'écriture comme thérapie?
Oui pourquoi pas, mais j'dois dire quoi?
Il m'est jamais rien arrivé de grave, mes deux parents sont toujours là
J'porte des Nike et j'donne pas souvent aux clochards
Si ma paire est abimée, j'économise pour une neuve plus tard
J'me suis jamais faite violer, seulement un petit peu tripoter
Jamais vraiment été frappée, seulement un petit peu harcelée
J'm'exhibe sans enthousiasme
Ça m'saoule de prendre de l'âge
J'vois ma vie en photo là
J'fais des doigts et ça passe
Flemme de l'existence, pourtant j'continue
J'ai trop d'temps pour penser au temps, j'me perds dans les allées et venues
C'est pas normal qu'à vingt-ans, j'trouve que j'ai déjà trop vécu
Je sais à l'avance que j'serais déçue
J'ai trop d'temps pour penser au temps, j'me perds dans les allées et venues
C'est pas normal qu'à vingt-ans, j'trouve que j'ai déjà trop vécu
J'ai les larmes au yeux quand j'vois des enfants exploités passer sur mon fil d'actualité
Sur l'appli Facebook de mon iPhone dont j'pourrais pas me passer
Alors j'suis incohérente, pleine de contradictions
Suis-je assez légitime pour passer à l'action?
Est-ce que j'comprends un peu trop?
Est-ce que j'me pose trop de questions?
Faudrait arrêter d'analyser toutes ces humaines conditions
J'suis allée jusqu'à m'faire tatouer un putain de point d'interrogation
Flemme de l'existence, pourtant j'continue
J'ai trop d'temps pour penser au temps, j'me perds dans les allées et venues
C'est pas normal qu'à vingt-ans, j'trouve que j'ai déjà trop vécu
Je sais à l'avance que j'serais déçue
J'ai trop d'temps pour penser au temps, j'me perds dans les allées et venues
C'est pas normal qu'à vingt-ans, j'trouve que j'ai déjà trop vécu
J'ai trop d'temps pour penser au temps, j'me perds dans les allées et venues
C'est pas normal qu'à vingt-ans, j'trouve que j'ai déjà trop vécu
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Hier soir j'étais tranquillement en train d'essayer de m'endormir, quand ça sonne chez moi. La première fois j'ai la flemme d'y aller (ça va pas de sonner chez les gens à 23h !), et la deuxième fois j'y vais. Je suis évidemment en pyjama dégueulasse et pas coiffée. J'ouvre la porte et c'est un policier (plutôt mignon, mais il a un tatouage que j'aime pas dans le cou, et il est flic). Il me demande si j'ai un balcon et si je peux voir si il y a des lumières chez mon voisin d'en dessous. Donc ok je sort sur mon balcon et je vois pas de lumière, je demande au gars de venir et il voit pas non plus de lumière. Il me remercie et repart. Moi je panique un peu parce que j'avais un joint à côté de ma fenêtre et j'ai trop peur qu'il l'ai vu. Mais bref je retourne me coucher. 10 minutes plus tard ça sonne de nouveau chez moi (on peut pas dormir tranquille...), je me dépêche de cacher mes joints, et c'est maintenant 2 flics (celui d'avant et ce qui est visiblement son supérieur) qui veulent aller sur mon balcon. Ils me demandent si le balcon est mitoyen, et je leur dit que non qu'il y a beaucoup d'espace entre mon balcon et selui de mon voisin d'à côté (comme l'avait vu le premier flic la première fois qu'il est venu...). Le flic me dit qu'en fait mon voisin d'en dessous à fait des messages de suicide à sa famille, et maintenant il répond plus et ouvre pas la porte. Le policier dit "bon on va appeler les pompier" (c'est insupportable car il parle et agit très lentement). Il me remercie et sort de chez moi. 10 minutes plus tard les pompiers sont dans la rue, ils déploient leur échelle et vont, non pas chez mon voisin d'en dessous, mais chez mon voisin d'en dessous à droite. Je les entends qui devisent la poignée, et il rentre dans l'appartement. J'entends qu'apparemment il y a personne dans l'appartement, et tout le monde va rentrer chez soit.
Bon, à part que ça a fait de l'animation et que j'ai pas pu m'endormir avant presque 1h du matin, ça m'a trop saoulé. De 1, les flics sont trop con car ils sont venu chez moi pour voir EN DESSOUS donc il fallait grave se penser sur mon balcon on voyait rien, ça aurait été beaucoup plus facile d'aller dehors dans la rue et de s'éloigner un peu, comme ça ils auraient beaucoup mieu vu si il y avait de la lumière ou non. De 2, bah ils ont regardé l'appartement d'en dessous, alors que c'était pas au bon endroit ? Les pompiers sont allé dans l'appartement de droite, donc ça veut dire que les flics regardaient au mauvais endroit. Et de 3, ça m'a trop saoulé qu'ils soient tous super lent dans leur prise de décision et dans leur action, ils se sont décidé à appeler les pompiers au bout de 30 minutes...
Enfin bref, un vendredi soir bien mouvementé, je sais pas quoi faire pour mon voisin qui est visiblement en situation de détresse, je ne sais même pas qui c'est, je sais pas si je peux faire quelque chose.. J'espère qu'il s'en sortira.
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Love, Theoretically, Ali Hazelwood
Un nouveau Ali Hazelwooood ! On ne m’arrête plus ! 👀 Elsie est une physicienne qui essaye de joindre les deux bouts. Pour pouvoir payer son loyer (et son insuline), elle loue ses services de fausse petite amie idéale et donne des cours à des étudiants dont la grand-mère est morte pour la 4e fois. Elle qui rêve de devenir chercheuse titulaire, quand elle apprend que le MIT va ouvrir un poste, elle ne perd pas une seconde. Mais c’est sans compter sur Jack Smith, l’un des recruteurs — brillant scientifique aussi arrogant que séduisant — prêt à tout pour placer son poulain… et, bon, comme on est chez Ali Hazelwood, on sait TRÈS BIEN ce qui va arriver.
Pour mon plus grand régal ! J’ai vraiment trop aimé (quelques heures à peine pour le lire, oopsie) et j’ai passé un super moment. J’étais à fond et je n’arrivais pas à le lâcher. Après, ça reste du Ali Hazelwood : l’héroïne, bien que scientifique de génie, n’a pas trop confiance en elle et est irrémédiablement attirée par celui qu’elle *croit* être son ennemi (alors que de son côté, le mec ne pense qu’à elle depuis des mois et des mois). Elsie m’a rendue moins ouf que Olive, j’avais moins envie de la secouer. Au contraire, elle m’a fait de la peine : elle est hyper soucieuse du regard des autres et elle a tendance à modifier sa personnalité pour se fondre dans la masse. Jusqu’à Jack, qui va l’aider. Et c’était TROP BIEN et archi mignon. Sous ses dehors de connard, le mec est hyper prévenant, hyper attentif et attentionné. C’était trop mignon j’ai vraiment adoré je voudrais pouvoir lire plein d’autres romans de l’autrice. (Et un énorme ÉNORME +1 au caméo de certains personnages, j’étais archi contente !)
Et au-delà de cette histoire trop bien, on est à nouveau dans le monde universitaire américain, avec ses déboires : les parcours du combattants pour espérer avoir une place, les femmes scientifiques traitées comme de la merde et la non-reconnaissance de leur travail de façon générale. C’était super intéressant ! Après j’ai rien compris aux cristaux d’Elsie mais c’est pas grave j’ai kiffé quand même. Je rêve d’une adaptation ciné ou série. Pitié.
13/05/2024 - 14/05/2024
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Disclaimer : non je n’ai pas lu en VO, j’ai juste emprunté l’exemplaire de ma petite sœur d’amour pour la photo ☀️
Disclaimer 2 : je l’ai lu il y a plus de dix jours et j’avais la flemme de sortir faire des photos
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RECOS ALBUMS CLASSIQUES CRISE D'ADO ROCK/BLUESROCK/PUNKMAINSTREAM part1
allez c parti on commence cette review en plusieurs parties, thématique vieux groupes de rock/blues rock etc, globalement c'est la playlist de ma crise d'ado mdr l'ordre est très random, clairement pas par préférence, lets go ça commence tout de suite
- l’album « unplugged » d’eric clapton, c’est l’enregistrement d’un concert de 1992 et franchement j’adore, ma préférée c’est tears in heaven j’adore cet album, mon frere en joue beaucoup à la guitare donc peut etre que ça joue dans le fait que j’adore l’écouter mais en tout cas c’est assez doux et quand meme joyeux donc sympa !! 7,5/10
- l’album « brothers in arms » de dire straits, perso ça me donne envie de me dandiner en faisant la cuisine mdr j’aime bien your latest trick c’est une ambiance un peu jazzy rock honnetement je trouve que c’est presque un ancetre de georges michael en terme de mood mdr grave un son pour draguer avec un sourcil relevé j’adore why worry? elle est toute douce jpense que c’est ma pref et je vais pas détailler j’ai pas de raison juste je l'aime c’est un album impliquant pcq chaque son dure en moyenne 6min donc voilà faut avoir le temps je dirai pas que c’est ni mon groupe pref ni mon album pref, juste je trouve ça sympa 6,5/10
- l’album « the doors » de… the doors mdr ! un peu plus énervé à certains points de vue mais perso j’adore j’ai passé des heures à l’écouter avant de m’endormir pour expulser le tas d’émotions qui me traversaient… crystal ship j'adore franchement mais aussi bcp d'autres, un peu la flemme de m'épancher sur cet album mais 7/10
- album « led zeppelin IV » de led zeppelin, classique du blues rock, album qui contient stairway to heaven, un son emblématique dans ma famille car musique de l’enterrement de mon grand oncle qui est décédé quand j’étais au lycée et qui etait une sacrée personnalité, il etait allemand il adorait dire « baguette française » et il jouait de l'accordéon sinon franchement je les trouve toutes cool en mode frénésie de batterie et de guitare éléctrique, quand on a une tendance à etre surexcité à des moments de la journée comme moi c’est un bon moyen de s'épuiser mentalement mais également des parties de douceur à la guitare, contemplation et tout le tintouin 7/10
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Vision du 16 février 2024
Quand j'étais en troisième, je suis partie en voyage scolaire en Angleterre. Pour ce faire, nous avons pris le ferry qui, comme chacun·e sait, est la solution la plus économique mais aussi la plus longue. Nous avons embarqué le soir pour passer la nuit en mer, dans une grande salle où personne n'a vraiment pu dormir. Il se trouve que j'avais le mal de mer tout en étant émétophobe. Alors j'ai parcouru la Manche près des chiottes, le visage vert de gris.
Nous avons dîné sur le bateau. Un plat réconfortant, des spaghettis à la bolognaise. Rien ne pouvait entrer, à tout moment tout pouvait sortir, et j'étais face à mon assiette dégueulasse comme si on m'infligeait la pire des tortures. Je n'ai rien avalé et mes copines étaient très compatissantes. Puis notre prof d'anglais s'est approchée de notre table. Elle m'a demandé pourquoi je ne mangeais pas. Je ne pouvais pas parler, c'était au-dessus de mes forces. Ma tête était enveloppée d'un brouillard douloureux et iodé, chaque geste, chaque pensée même me demandait un effort de concentration maximum pour ne pas vomir. Agacée par mon mutisme, la prof a répété la question et je me suis faite engueuler. L'une de mes amies a fini par dire que j'étais malade, à croire que ça ne se voyait pas sur ma gueule.
Il existe un paradoxe dans l'idée de parler de ce qui ne va pas. Quand il y a agression par un tiers, il faut parler et le dénoncer parce qu'il doit y avoir sanction en réponse. Sauf qu'il arrive régulièrement que l'on mette en doute la parole de la victime, surtout quand cette dernière n'est pas un homme cis, blanc, hétéro et valide. Et puis on ne viendra pas tirer les vers du nez de la victime, d'une part parce que ce n'est pas correct quand elle n'est pas prête à parler, mais aussi parce qu'on aime bien détourner le regard. Ça ne veut pas dire qu'il y a deux cases franches et ces réactions aux faits peuvent se croiser. Remarquez simplement l'intention.
L'anecdote que j'ai citée plus haut est légère, c'est volontaire, c'est pour l'exemple. Il y a des moments où ça ne va juste pas, avec des causes plus ou moins graves et sans l'intervention directe d'un tiers (du moins à un instant T). En dehors de toute empathie sincère émise par une personne souhaitant s'enquérir de l'état de son ami·e, il y a d'autres cas tous plus égoïstes et narcissiques les uns que les autres. Je ne vais pas bien = l'autre exige une explication. On insiste pour connaître le motif de cette tronche en biais parce qu'elle démange notre curiosité, dérange notre confort et devient l'occasion rêvée de déverser tous nos conseils non sollicités. Je ne sais pas vraiment ce que ça cache, moi je ne suis ici que pour faire de la psychologie de comptoir. Toutefois, rien ne m'agace autant que : "Bah qu'est-ce que t'as ? Pourquoi tu pleures ? Mais pourquoi tu m'as rien dit ? Bah fallait me le dire ! Et comment tu voulais que je devine ?" Vous ne trouvez pas ça infantilisant, vous ? Comme si on devait porter une responsabilité supplémentaire... Flemme.
Sur le ferry, j'avais 14 ans et ma prof trente de plus. Elle avait plusieurs classes de collégien·nes à gérer pendant une semaine complète dans un pays étranger et allez savoir l'état de son oreille interne à elle aussi. Elle a perdu patience. Les accidents, ça arrive. Je l'aimais bien en plus cette prof.
La dépression, c'est autre chose. Plusieurs fois dans l'année, de façon épisodique, je suis interrompue dans mon quotidien par des pensées négatives et intrusives, et je lutte intérieurement pour rassembler mon sens commun (les anglophones disent get your shit together et j'aime beaucoup). Je n'ai pas envie de répondre aux questions, je ne deviendrai pas responsable de votre inconfort.
P.S. : j'ai traversé la Manche aller et retour sans vomir une seule goutte.
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Du coup j'ai dit que je venais à l'annif de M & A mais j'ai pas du tout envie de rester dormir et j'ai aucune solution pour rentrer. Y a plus de trains à partir de 22h seulement et j'habite à 3h à pieds.
En plus, y a que M, A et V que je connais et que j'ai envie de voir. Les autres je les connais pas et du coup ça pourrait être chouette de faire de nouvelles rencontres. Mais y a 2 filles que j'aime pas. Une qui est toujours à râler et à être négative et pourtant tout le monde l'aime, c'est vraiment un mystère. Et l'autre c'est vraiment pas mon délire, elle aime avoir toute l'attention sur elle. Tout tourne toujours autour d'elle et ça dérange personne.
Je me culpabilise de fou de pas avoir envie d'y aller pcq j'ai toujours voulu rencontrer des gens depuis mes études. Mais là en plus elles demandent de venir en bombe et j'ai tellement la flemme de me faire belle. Puis j'aime trop m'apprêter en bombe avec mes potes mais là je serai seule chez moi pour me préparer et je trouve ça déprimant. Après si j'ai pas envie d'y aller c'est pas siii grave, je peux leur proposer de faire quelque chose une autre fois. Et en même temps j'ai grave la fomo. Je déteste ne jamais savoir ce que je veux.
(27/09/2024)
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ça fait trois semaines que je taffe au bureau de mon père et j’en peux plus. je termine tout mon travail à midi et je veux partir, mais je ne peux pas partir. je dois rester encore jusqu’à 15:30 (heureusement pas à 17 h) et je meure d’ennui. genre je suis trop consciente de chaque seconde qui passe et c’est de la torture. je veux me dissocier mentalement et j’arrive le faire le matin et je suis en mode pilote automatique. mais l’après-midi c’est insupportable
et après je rentre chez moi, je dors quelques heures. mais mes yeux brulent à cause d’être devant un écran toute la journée et j’ai mal au dos. donc je peux même pas regarder une série et profiter de mes soirées. je dors, je mange, j’écoute un podcast, je m’endors
je pense que la seule solution ce sont des médocs tdah. j’étais sur adderall, mais j’ai développé une tolérance, donc je dois tester d’autres médicaments et j’ai la flemme. mais j’en ai grave besoin. car je deviens littéralement folle
#j’ai refusé de travailler pendant 5 ans pour une bonne raison#je ne suis pas faite pour travailler#c’est littéralement insupportable et nuit à ma santé
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J'avais des places pour aller à l'opéra demain après-midi (it's ballet season!!!) mais j'ai un avion demain soir et c'est un peu serré niveau timing donc je viens de réaliser que je ne peux pas y aller alors que ça fait 3 jours que j'ai décidé d'y aller et que j'avais plutôt hâte. Quand est-ce que le monde arrêtera de s'acharner sur mes frêles épaules ?
#god truly tests his strongest soldiers#Mais c'est la vie !#Je pensais que je n'allais pas pouvoir y aller#Mais après je me suis dit pourquoi pas#Puis hier j'ai réalisé que ça allait être un peu long mais j'avais la flemme de regarder les horaires de mon avion#Je savais vaguement en théorie l#Mais bon ce n'est pas grave j'ai passé ma place à une copine qui a très hâte#Mais je crois qu'il y a l'opéra Carmen en décembre#Donc je vais essayer de prendre les places de mes grands-parents pour ça
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Rien que pour la provocation j'ai envie de poster mes dessins de couple en plein coït.
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