#magie cérémonielle
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clairvoyanceetheree · 7 months ago
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the-girl-who-didnt-smile · 4 months ago
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HYPOTHESIS: Assonquer shares an origin with Ossangne (Osany)
Assonquer is a spirit who is found in the historical record of New Orleans Voodoo.
The first mention of him appears in a work of fiction, where Assonquer is described as “the imp of good fortune” .
SOURCE: Cable, George W. The Grandissimes: A Story of Creole Life . United States, Charles Scribner's Sons, 1887. p.94 https://www.google.com/books/edition/The_Grandissimes_A_Story_of_Creole_Life/xuYhgJXZIkUC?hl=en&gbpv=0
The other “imps” described in the The Grandissimes are “Papa Lébat”, “Monsieur Danny”, “Miché Agoussou”, and “Monsieur D'Embarras”. All of these appear to have counterparts in the Rada Rite (Rite Arada) , as described by Milo Marcelin. 
The description of Assonquer as “imp of good fortune” is vague, but suggests that he has a positive connotation. 
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Pictured: Ossangne, by Andre Pierre
Previously, I hypothesized that Assonquer was related to Azaka (Médé); however, Jeffrey E. Anderson argues much more persuasively that 'Assonquer' is derived from the lwa Ossangne (Osany), who is part of the Nago Rite*. According to Anderson, he is derived from the orisa Osanyin.
Milo Marcelin lists Ossangne under "AUTRES OGOU", as he is related to the Ogou famille. Ossangne is described as a healer (loa-guérisseur), where a song sung for him describes the healing power of his asson and bagui.
Ossange-ô! laissé couler Mait' Ossange.
O laissé couler!
Yo prend asson Ossange sèvi guérison
O laissé couler!
Yo prend bagui Ossange sèvi guérison
O laissé couler Mait' Ossange!
Ossange-ô! laissé couler Mait' Ossange!
Ossange oh!,  laisse faire,  Maitre Ossange — O laisse  faire! — On se sert de l’asson (hochet cérémoniel) de Ossange pour guérir — O laisse  faire! — On se sert du bagui (de l’autel) de Ossange pour guérir — O laisse faire,  Maitre Ossange — Ossange oh!,  laisse faire,  Maitre Ossange!
SOURCE: Marcelin, Milo. Mythologie vodou: rite arada, vol. II . Haiti, Éditions Canapé-Vert, 1950, p. 75-77.
Derivatives of Assonquer such as “On Sa Tier” and “Onzoncaire” appear later in the historical record, being recorded in the 20th century. “On Sa Tier” is mentioned in one of the Federal Writer’s Project interviews, while “Onzoncaire” is identified with Depression-era Voodoo priestess Laura “Lala” Hopkins.  
SOURCE: Anderson, Jeffrey E.. Voodoo: An African American Religion. United States, LSU Press, 2024. pp. 69-72
Rather than being derivatives of “Azaka”, “On Sa Tier”, “Onzoncaire”, and "Assonquer" might all be corrupted pronunciations of "Ossangne".
Just a theory.
*SEE: Rigaud, Milo. La tradition voudoo et le voudoo haïtien: son temple, ses mystères, sa magie . FeniXX, 1953. https://original-ufdc.uflib.ufl.edu/AA00002240/00001 
AND: Beauvoir, Max. Lapriyè Ginen. Haiti, Edisyon Près Nasyonal d'Ayiti, 2008.
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manue-ringo · 2 years ago
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Chapitre 7 : L’inquiétante découverte
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Ils passèrent plusieurs heures à explorer les méandres d'Internet, plongeant dans un monde sombre et énigmatique à la recherche d'informations sur le sceau de Salomon et les groupes occultes qui l'utilisaient. La tension dans l'air s'épaississait à chaque minute qui passait, tandis que leurs recherches les menaient de plus en plus loin dans un territoire inconnu. Finalement, un site retint leur attention : un espace dédié à la magie cérémonielle, proposant des articles, des vidéos, et des forums réservés aux initiés. Le sceau de Salomon y trônait en logo, comme une marque d'appartenance à une communauté secrète.
Mulder se redressa légèrement, l'air satisfait.
- On dirait qu'on a trouvé ce qu'on cherchait. Dit-il, un sourire triomphant au coin des lèvres.
Parker, qui se sentait de plus en plus mal à l'aise, fronça les sourcils. Ses instincts lui criaient que quelque chose clochait.
- Vous êtes sûr que c'est le bon site ? Demanda-t-elle, sa voix chargée de scepticisme.
- Je pense que oui. Regardez, il y a une rubrique qui s'appelle “Le cercle de Salomon”. C'est peut-être le nom du groupe auquel appartenait Lisa Martin, Répondit Mulder avec une confiance que Parker trouvait de plus en plus irritante.
Elle se mordit la lèvre, ses doigts tambourinant nerveusement sur le bureau.
- Et comment on fait pour y accéder ? Demanda-t-elle, bien consciente de l'escalade de leur situation.
- Il faut s'inscrire. Mais pas avec nos vrais noms, bien sûr. On va se créer des pseudonymes et des profils crédibles. Expliqua Mulder, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde.
Parker sentit une vague de colère monter en elle, alimentée par la désinvolture de Mulder.
- Vous êtes sûr de ce que vous faites ? Lança-t-elle, son ton se durcissant.  - Et vous avez une idée de pseudonymes et de profils crédibles ? Parce que moi, je commence sérieusement à en douter.
Mulder la regarda un instant, semblant mesurer la tension qui montait entre eux. Mais il ne recula pas, ne laissa rien transparaître.
- Oui, j'en ai. Répondit-il simplement, avant de se tourner vers l'ordinateur, ignorant délibérément le malaise palpable de Parker.
Il se connecta au site et remplit le formulaire d'inscription avec une efficacité qui agaça Parker encore plus. Il choisit le pseudonyme “William”, et rédigea un profil impeccable : “Étudiant en psychologie, passionné par l'occultisme depuis son enfance, cherche à approfondir ses connaissances et à rencontrer des personnes partageant ses intérêts”. Il valida son inscription d’un clic, l’air satisfait.
- Voilà, c'est fait. Je suis inscrit. Annonça-t-il, comme si cela réglait tout.
Parker le fixa, ses nerfs à fleur de peau.
- Et moi, je fais pareil, je suppose ? Demanda-t-elle, sa voix imprégnée d'une froideur tranchante.
Mulder acquiesça, son calme apparent narguant Parker qui peinait à maîtriser son irritation.
- Mais que voulez-vous que je mette comme pseudonyme et comme profil ? Demanda-t-elle d’un ton sec, sentant sa patience atteindre ses limites.
- Faites appel à votre imagination. Dit-il calmement, presque nonchalamment, ce qui fit bouillir Parker encore plus.
Elle lui lança un regard noir, puis se pencha sur l'ordinateur, ses gestes brusques trahissant sa frustration.
- D'accord, Einstein. Ironisa-t-elle en serrant les dents. Elle s’exécuta sans grand intérêt, sa colère latente se manifestant dans chaque frappe sur le clavier.
Elle choisit comme pseudonyme “Catherine”, et rédigea un profil simple : “Journaliste, curieuse de tout, attirée par les mystères de la vie, souhaite découvrir les secrets de la magie”. Elle valida son inscription d’un coup sec, puis se tourna vers Mulder.
- Voilà, ça vous va ? Répliqua-t-elle avec froideur. - Et ensuite ?
Mulder hocha la tête, l’ombre d’un sourire sur les lèvres.
- Parfait. Maintenant, on va pouvoir accéder à la rubrique “Le cercle de Salomon”.   Dit-il en ouvrant la page.
Parker se mordit l'intérieur de la joue pour ne pas exploser. Mulder semblait ignorer à quel point cette situation la rendait folle.
Ils découvrirent un forum privé, réservé aux membres du cercle. Plusieurs sujets de discussion s'étalaient sous leurs yeux, portant sur des aspects théoriques ou pratiques de la magie cérémonielle. Mais c’est une annonce particulière qui attira leur attention. Le sang de Parker se glaça lorsqu’elle la lut :
“Chers Frères et sœurs du cercle,
Nous vous invitons à nous rejoindre demain soir à 21 heures pour une réunion exceptionnelle. Nous allons procéder à un rituel très spécial, qui nous permettra d'entrer en contact avec une entité supérieure. Ce rituel nécessite la présence de tous les membres du cercle, ainsi que d'un sacrifice humain. Nous avons déjà trouvé la victime idéale, il s'agit d'un agent du FBI qui enquête sur nos activités. Nous allons le capturer demain après-midi et le conduire au lieu du rituel. Le lieu du rituel vous sera communiqué demain par message privé. Nous comptons sur votre participation et votre discrétion.
Que le sceau de Salomon vous protège,
Le grand-maître du cercle.”
Le choc foudroya Parker, qui sentit son cœur s’emballer. Elle tourna lentement la tête vers Mulder, une lueur de terreur dans les yeux.
- C'est une blague ? Demanda-t-elle, sa voix à peine plus qu’un murmure, tandis que ses mains tremblaient.
Mulder secoua la tête, son visage se refermant comme un masque.
- Non, je crois que c'est sérieux. Dit-il d’un ton grave, le poids de la situation s'abattant sur eux.
Parker sentit une bouffée de panique l’envahir, sa respiration devenant difficile.
- Ils vont sacrifier un agent du FBI ? Souffla-t-elle, incapable de croire ce qu’elle venait de lire.
Mulder serra les poings, ses mâchoires se contractant.
- Oui, et je pense que c'est nous qu'ils visent. Répondit-il, son regard sombre fixant l’écran.
Parker sentit la terre se dérober sous ses pieds.
- Comment ça, nous ? Demanda-t-elle, sa voix montant d’un cran, teintée de peur.
- Nous sommes les seuls agents du FBI qui enquêtent sur eux. Ils ont dû nous repérer et nous identifier. Ils savent qui nous sommes et où nous trouver. Expliqua Mulder, sa voix tendue.
Parker explosa, son angoisse se transformant en rage.
- Bravo, petit génie ! Et comment ont-ils fait, hein ? Comment ces tarés nous ont-ils repérés ? Cracha-t-elle, sa colère enfin libérée.
Mulder la fixa, luttant pour garder son calme face à la tempête qui déferlait sur lui.
- Je ne sais pas. Peut-être qu'ils ont des informateurs ou des moyens de surveillance. Peut-être qu'ils ont piraté nos ordinateurs. Ou qu'ils ont des pouvoirs paranormaux. Dit-il, sa voix se brisant légèrement sous la pression.
Parker se mit à rire nerveusement, un rire sans joie, presque hystérique.
- Des pouvoirs paranormaux ? Vous m'en direz tant ! Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait, sombre idiot ? S'exclama-t-elle, ses mots fusant comme des balles.
Mulder prit une profonde inspiration, sentant la panique de Parker menacer de tout faire dérailler.
- Calmez-vous, s'il vous plaît. Ce n'est pas le moment de paniquer ! Maintenant, on se tire d'ici. Nous sommes en danger. Dit-il, sa voix ferme mais tremblante.
Il se déconnecta du site et éteignit l'ordinateur d’un geste brusque. Puis il se leva, attrapant Parker par le bras pour la tirer vers la sortie. La panique les enveloppait, les poussant à bouger plus vite.
- On va prévenir Skinner. Il doit en être informé. Dit-il, le souffle court.
- Bougez-vous ! Cria-t-elle, son impatience frôlant la panique totale.
Ils coururent vers leur voiture, l’adrénaline pulsant dans leurs veines, en espérant que ce ne soit pas déjà trop tard.
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frenchwitchdiary · 3 years ago
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Le Grand Pentacle de Salomon
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Traditionnellement, ce pentacle doit être cousu dans le vêtement du mage pour s’assurer le respect des esprits.
(Tiré des Œuvres Magiques de Henri Corbeille Agrippa par Pierre d’Aban, Liège 1547)
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whysperingwoods · 6 years ago
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Comment commencer à pratiquer la magie
Je reçois toujours cette question dans mes courriels et je me suis dit que je posterais la réponse publiquement à la place. Ce que je vais décrire ici, c’est ma recommandation personnelle, et comme pour tous mes articles, ce qui fonctionne pour chaque personne sera différent et il n’y a pas de règles absolus.
Étape 1: Choisissez un sort. N'importe quel sort.
Sérieusement, ce n'est pas grave. Bon… peut-être ne pas essayez d’invoquer Baphomet dans votre salon ou quelque chose du genre, mais choisissez un sortilège que vous avez envie de faire. Ne vous inquiétez pas de ce qu’il est, de qui l’a écrit ou de son authenticité. Ces choses sont-elles importantes? Bien sûr, cela dépend peut-être de qui vous demandez, mais vous pourrez résoudre ce problème là plus tard. Pour l'instant, il suffit de choisir un sort. La seule ligne directrice que je vais donner ici est que cela devrait idéalement être quelque chose avec un résultat qui est mesurable dans un délai raisonnable. Je vais arriver à pourquoi plus tard.
Étape 2: Faire un gâteau.
Ne faites pas réellement un gâteau (à moins que vous ne vouliez un gâteau, dans ce cas, c’est bien, faites-le cuire), mais c’est la partie où vous collectez tout ce dont vous avez besoin pour le sortilège et vous l’effectuez tel qu’il est écrit. Les sorts peuvent à certains égards être considérés comme des recettes dans la mesure où vous voulez essayer de suivre les instructions en premier lieu, puis apporter vos modifications après. C’est particulièrement vrai pour un débutant ou pour une personne qui ne sait pas encore ce qu’il fait.
Étape 3: Sensation dans la bouche.
Le sort est fini, félicitations. Vous ne ressentez probablement… rien, peut-être même une vague déception. Pourquoi? Car ce n’était pas encore vraiment votre magie, et il manque très probablement quelque chose (peut-être même beaucoup). C'est la partie la plus cruciale de votre processus. À quoi vous attendiez-vous? Qu'avez-vous aimé, pas aimé? Il est temps d’écrire cela et si vous êtes du genre à garder un grimoire, c’est une excellente première entrée. Espériez-vous plus de rituel? Peut-être devriez-vous vous pencher sur la magie cérémonielle. Vouliez-vous qu'il y ait plus de chaudrons bouillonnants? Essayez de regarder dans la magie de maisonnée ou la magie à base de plantes. Vous manquait-il un chant, un poème? Regardez plus dans la directions de la construction de sorts et le pouvoir des mots. Quelques sujets clés que vous pouvez regarder: magie des cristaux, magie des plantes, magie du foyer, magie cosmique, travail avec les esprits, magie de la mort, magie de guérison, magie du feu, divination, magie populaire, magie du chaos, technomancie, sortilèges,magie de l’amour, magie sexuelle, magie du sang, etc. Si un de ces sujets vous intéresse, lancez une recherche google et lisez un peu plus à ce sujet afin de vous permettre de décider si vous souhaitez aller plus loin.
Étape 4: Le gâteau est un mensonge.
C’est là que nous abandonnons les métaphores de pâtisserie et revenons à ce que j’avais évoqué à la première étape: des résultats mesurables dans un délai raisonnable. C’est la partie qui semble se perdre le plus dans tous les conseils donnés et, à mon avis, c’est la deuxième plus importante (la première étant que la pratique de la magie vous fait du bien / vous intéresse). Les grimoires ne sont pas supposés être de jolies listes de sorts et de correspondances, ils sont supposés contenir des sorts qui fonctionnent réellement.
La clé ici est de déterminer ce qui vous convient le mieux en termes de méthode, puis d’affiner cette méthode pour obtenir des résultats tangibles. Si vous vous sentez déjà très bien dans la magie, laissez-moi vous dire… vous vous sentirez vraiment génial quand votre magie commencera à avoir un effet réel sur le monde qui vous entoure, et cela ne devrait pas prendre des années de maîtrise pour que ça se produise. Les sorcièr.es débutant.es peuvent effectuer efficacement de petites magies et de simples sorts, et ce sont là des éléments sur lesquels vous bâtissez votre art. Si votre magie ne donne pas de résultats, ce n’est pas de la magie: c’est de la cérémonie.
(NB: Il existe de nombreuses recherches qui confirment le fait que les rituels et les cérémonies présentent de nombreux avantages sur le plan psychologique. C’est le sujet d’un prochain article. Il n’ya rien de mauvais de fixer sur les cérémonies; pour beaucoup de gens, c’est un une partie énorme de leur pratique, moi inclus, et c'est génial! Ce n'est pas ce dont nous parlons ici.)
Étape 5: Rincez et répétez.
Pour la plupart des gens, il existe une facette spécifique de la magie qui les a attirés avant même qu’ils ne jettent un sort. Bien que certaines personnes sachent de quoi il s’agit, la plupart des gens ne le savent pas, et c’est tout à fait normal. Vous n'avez pas besoin de savoir ce que vous faites au tout début, et commettre des erreurs ne va pas maudire votre maison ou ouvrir un portail dans les ténèbres par hasard (en supposant toujours que vous faites des choses pour débutants et non essayer d’invoquer les démons des enfers pour être vos éternels serviteurs). La communauté de sorcellerie a souvent l’air très sérieuse et comme si tout le monde sait exactement ce qu’elle fait tout le temps, mais la vérité est qu’il ya beaucoup d’essais et d’erreur et c’est exactement ce que la magie est supposée être. Si vous envisagez la magie pour vous apporter toutes les réponses tout cuit dans le bec, vous passerez un très mauvais moment. Il s’agit de voir comment d’autres personnes sont parvenues à l’endroit où vous voulez aller et de tracer votre propre itinéraire à partir de là.
Pour terminer, je voudrais juste ajouter que si quelqu'un prétend être une autorité absolue sur un sujet donné de la sorcellerie ou de l'occultisme, soyez extrêmement prudent. Si quelqu'un dit que vous devez payer x montant d'argent ou acheter x nombre de choses pour être un.e «vrai.e sorcièr.e», soyez extrêmement prudent. La sorcellerie existait avant l'argent, avant le capitalisme, avant l'industrialisation et le consumérisme.
Comme toujours, ma boîte de réception est ouverte si vous avez des questions à ce sujet (ou autre chose). Si je ne connais pas la réponse, je peux généralement vous diriger vers quelqu'un qui le sait ou du moins vous indiquer la direction à suivre pour chercher. Heureuse sorcellerie!
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herbwitchery · 2 years ago
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🌙Lecture coup de cœur🖤 Cela faisait un petit moment que ce livre me faisait de l’œil, et je le dévore avec passion. Écrit par le papa du célèbre tarot Rider-Waite-Smith, ce livre nous propose une étude très poussée et une plongée particulièrement immersive dans l’univers de la magie dite "noire", des anciens grimoires et des pratiques de théurgie, de goétie et de nécromancie, sous le prisme du regard d’un auteur du début du XXème siècle, fortement marqué par les courants de la Golden Dawn et du Rosicrucisme, en pleine explosion de popularité de la magie cérémonielle et du spiritisme (best époque EVER pour les curieux(ses) en magie, on est d’accord). C’est aussi passionnant que je m’y attendais, une lecture fondamentale sur le sujet, richement illustrée dans une magnifique édition à couverture cartonnée au lettrage doré. Une petite merveille concoctée par les éditions Chronos Arenam, chez @alliancemagique, et qui était clairement un gros manque dans ma bibliothèque ! #book #bookworm #bookstagram #read #reading #readingtime #readingaddict #booklove #booklover #magic #esoterism #occult #aewaite #arthuredwardwaite #blackmagic #darkmagic #witch #witchcraft #satanism #goat #goatskull #vultureculture #riderwaite #riderwaitesmith #riderwaitetarot #riderwaitesmithtarot #rwstarot #tarot #tarotcards #tarotdeck 📖 Le livre de la magie noire et des pactes, Arthur Edward Waite / Grimoire de Sorcière, Sébastien Perez & Benjamin Lacombe 🔮 Rider-Waite-Smith Tarot (mini German edition) 🔪 Forged by my father https://www.instagram.com/p/CliqXyoKSQP/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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foxravenblog · 6 years ago
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Traité méthodique de magie pratique     de Papus     Ce gros pavé d'environ 630 pages a été écrit pour être une sorte   d'encyclopédie de la magie. Attention, cet ouvrage date de la fin du 19ème siècle et ça et là ressort la mentalité de petit bourgeois catholique de l'auteur. Vous êtes prévenus.     Après une première partie assez indigeste sur la théorie, tres philosophique et sentencieuse, on en vient au vif du sujet. L'auteur reprend les infos de la "Philosophie occulte" d'Agripa ainsi que toute sortes de notions prise un peu partout. Il y a les instructions pour les évocations, cercles etc, les astres, les pierres , les plantes, les instruments. C'est principalement axé sur la magie cérémonielle. C'est un livre ou il faut piocher plutôt que le lire intégralement.     Un peu cher aujourd'hui, c'est un livre de synthèse typique des occultistes d'autrefois mais qui peut se révéler utile si on veut quelque chose qui prend la magie dans son ensemble.  
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nuit-pourpre · 4 years ago
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Lohorie Valendrin [ep.08]
[Fantasy]
*
La dernière fois que je me suis tournée vers la magie noire, ce n’était pas une promenade de santé. La peur m’étreint toujours.
Mais la peur de mourir est plus forte. Une île peut me guérir de cette plaie qui s’étend d’heure en heure sur ma peau…
Sansonaïth.
Si je ne trouve rien là-bas, ou si la mort me trouve avant, le bateleur aura au moins quelque chose à raconter une fois à terre. Une donzelle, difforme, marquée, fraîchement débarquée de nulle part, une continentale avec un triangle d’obsidienne sur la poitrine.
J’ai connu un poète assez obscur, Alphonse de Simol��s - plutôt doué avec sa bouche - qui m’a dit : “si l’idée de ne connaître aucune postérité t’angoisse, deux solutions s’offrent à toi, jeune fille : voyager aussi loin que possible, ou faire n’importe quoi, n’importe comment. Dans tous les cas, sois-en assurée, on parlera de toi !”. Sans le vouloir, j’ai fait les deux en même temps. À moi les chroniques.
Le sortilège vit toujours en moi. La blessure couve un feu argenté qui ne cesse d’irradier. L’écorce de ma peau, tannée aux entailles par un souffle aride… Je la sens s’affiner, s’écailler, se durcir, et les fibres de chair qui la maintiennent en place sont grignotées d’heure en heure, comme si j’avais une termitière entre les hanches. La dernière lieue avant le port de Gawnech’Goadat est la plus éprouvante. Un châle recouvre mon dos. J’approche la palissade en tremblant et en boitant.
Faire bonne impression.
Trouver un bateleur.
Mais personne n’emmènera une fille dans mon état sur une coquille de noix. Pour peu qu’on me prenne pour une pestiférée, ce sera la panique dans la bourgade.
Plusieurs couches de nuées cernent le paysage, comme si elles avaient peur qu’il prenne froid… Le soleil perce comme un phare pâle. On dirait un disque ouvert sur un grand vide blanc. Sur le quai criant de mouettes, un équipage a commencé à charger des tonneaux et des sacs sur une cogue. La cargaison s’entasse encore sur le flanc d’un entrepôt. Les seuls navires qui partent d’ici empruntent la route du sud. Peu sont ceux qui n’effectuent pas une première escale à la pointe de Sansonaïth. Je dois tenter le coup.
La denrée principale est le chanvre. Un peu de laine. Et la bière, aussi. Quelques tonneaux seulement. J’en repère un en titubant, je me faufile. Le temps que les débardeurs reviennent jeter un œil sur ceux-là, j’ai tout juste la force d’en renverser un dans le caniveau qui court à quelques pas de là, pour le vider.
Et puis ne pas bouger.
Mine de rien, j’ai suivi les conseils du poète. Me rendre à l’autre bout du monde, puis faire n’importe quoi. N’importe comment. Malheureusement, c’est une recette pour la renommée posthume. Pas pour la survie. Mais je ne peux plus choisir une autre recette. J’ai perdu ce luxe à Hammerstone. À cause d’un gamin qui a pris peur.
**
Mes dents claquent. Du fond de mon tonneau, je l’entends.
Mais je n’arrive plus à le sentir. Et le froid non plus.
Le fond de bière dans lequel je macère depuis quelques heures ronge ma blessure. Les chairs gèlent sous la morsure du houblon. Paradoxalement, j’en souffre moins. Je m’endors sans m’en rendre compte, sur la pensée, un peu amusante, d’avoir peut-être découvert malgré moi un remède inattendu aux blessures des mages de guerre.
Je crois que je suis surtout épuisée. Tout devient flou et imprécis. Tout devient sombre et ténu. Et le temps cesse d’importer. Une dernière pensée, fixée sur le triangle que je charrie à mon cou. Je le serre entre mes doigts, ce fragment de malheur, comme si c’était un vieux souvenir.
***
J’ouvre les yeux sur deux orbites putréfiées. Et une bouche noire, grouillante de vers, avec une grosse limace violette en guise de langue, une petite pellicule de terre qui la recouvre.
Je ne passe pas un très bon moment.
Après un long moment à me débattre, à demi enterrée dans la terre d’une fosse, à toucher, ça et là, du bout des doigts, des membres ensevelis dont je ne vois pas les corps, je tombe sur une autre carcasse. Ma main veut s’y appuyer pour me redresser. La main s’enfonce entre deux côtes putrides. Je la retire. Elle est pleine d’un sang noir qui exhale la pire odeur jamais montée à mes narines.
Je me roule en boule. Je me fige. Les battements de mon sang font claquer mes mâchoires et me fracassent les tempes de l’intérieur.
Je serre mes membres contre mon ventre, je me fais la plus petite possible.
Et je hurle. Je hurle à en ressusciter tout le charnier.
J’entends les corbeaux qui se repaissent par monticules, tout autour de moi. Je n’ose rien regarder. Mes nerfs ne sont pas assez solides pour un tel sort. Mon âme n’appartient pas à ce lieu.
Les Juges cosmiques doivent faire erreur.
Je hurle. Je hurle d’indignation.
Et je pleure toutes les larmes que j’ai encore. Leur goût salé m’intrigue et me terrifie. Il est affreusement réaliste. Dans cette vaste géhenne dont je suis prisonnière, je jette un œil vers le haut. Je vois un ciel bleu pâle, fumé de quelques ombrages. Un rais blanchâtre le traverse. Je vois le soleil abattre un puits divin sur le flanc d’une colline boisée. Ces arbres sont des sapins. Il y a vers le sud des récifs acérés dont les falaises, vertigineuses, retentissent du bruit des vagues. On dirait un alignement solennel de géants de pierre qui contemplent la houle.
Je me ressaisis. Je vois entre les mains grises et les touffes de cheveux qui dépassent de ce terreau mouvant, un éboulis où pousse la mauvaise herbe. Il y a une pente. Il y a une limite à cette fosse. Je rampe parmi les morts. Je me concentre sur le seul goût des larmes aux commissures de ma bouche. Je gravis la pente. Une tête, sous le poids de mes orteils, se décolle des vertèbres dans un son atroce. Je reprends pied. J’arrache le sol pour me hisser le plus haut et le plus loin possible.
Et je hurle à nouveau.
La vue des cadavres, d’ordinaire, m’inspire une crainte raisonnable. Je ne me considère pas comme particulièrement sensible.
Mais je hurle.
L’odeur a imprégné ma peau nue.
Je rampe encore, le plus loin possible. Je roule sur le dos et contemple le ciel. Un sursaut vital, un dernier élan m’a tirée de la tombe.
Qu’est-ce que je fais ici ?
Je tâte mes cuisses, mes hanches, mes seins, mon ventre. Mon bras. Il n'est plus attelé. Je l'avais oublié. Je pousse un cri en palpant mon coude.
Mes cheveux. Ma gorge, ma nuque… La ficelle n’est plus là. On m’a au moins privée de mes haillons, de ma dague, de mon pendentif.
Il me reste une seule chose. La douleur. Cette douleur qui grignote mes reins, comme si j’étais toujours en train de décamper dans ce colimaçon, poursuivie par les sortilèges du vieil invocateur.
Où suis-je ?
La trame me revient par indices. On me sort du tonneau. Je heurte avec la tempe un sable dur. Des mains rudes sur ma peau. Les craquements dans la mâture. L’odeur de cadavérine et des bruits de pelle. Rebouchée à la hâte. La pression de la cordelette qu’on m’arrache. Deux doigts sur ma carotide. Une voix rugueuse qui donne des ordres. Une série de pas. Les rames qui retournent l’eau.
Je dois me couvrir. Je vois des roues de bois dressées comme un champ de sculptures. C’est un cimetière. La fosse commune où l’on vient de me jeter borde une forêt à la limite de ce dernier. Il y a même une murette, misérable, effondrée, seulement symbolique, qui la sépare des autres sépultures. Et la petite cloche d’un temple qui carillonne soudain… Étonnamment proche.
On n’a pas voulu me soigner. Ni m’achever. On m’a juste laissée là. Étais-je assez froide pour qu’on m’ait crue morte ? Pour une fois, pour la toute première fois de ma vie, je reviens à moi avec la certitude que cette fois, je suis bien dans le monde des Vivants. Ce n’est pas un énième trépas. Cette fois, je traverse seulement une épreuve.
Cette fois, on m’a volé quelque chose que je dois reprendre. Cette conviction a l’effet d’un miracle et je me lève sur mes deux jambes. Le clocher sonne son dernier coup.
****
Une jument grise souffle à mon approche. Elle piétine devant un petit chariot, comme de ceux qu’utilisent les fossoyeurs, sur le parvis de l’auberge.
Ils sont trois à l’intérieur. Mon irruption provoque un effroi muet. Je dois être moins présentable qu’une banshee. J’ai la poitrine nue, à peine débarbouillée dans le baptistère du temple, une étoffe blanche prise au pasteur, qui maintient la pliure de mon bras gauche, et une autre, noire, cérémonielle, qui voile l’intimité de mes hanches. À l’une des trois seules tables, trois yeux un peu éméchés me fixent : celui, unique, d’un vieux forestier borgne, et deux du gros débardeur que j’ai interrompu alors qu’il battait ses cartes.
Je le reconnais. Et lui aussi. Je reconnais aussi que la partie qu’ils sont en train de jouer ne compte pas pour du beurre. Mon triangle noir est posé devant le débardeur, sur une pile de pièces de bronze. Toujours aussi impeccablement poli, et intrigant. Comme un baron encanaillé au fond d’un bouge.
Le troisième - le brasseur - vient à moi en grimaçant. Il a saisi le maillet de son robinet de perce, sur le comptoir.
Fous le camp, charogne ! Foutrepeste ! De quel enfer tu sors, avec cette gueule ?
Le débardeur, lui, se lève en balbutiant :
C’est… C’est le monstre ! C'est le macchabée qu’on a retrouvé dans la cale !
Il attrape fébrilement une lame à sa ceinture. Ma dague. Et il recule tandis que j’avance vers lui.
La silhouette du brasseur lève un bras dans le coin de mon œil, pour me frapper. Je le bouscule avant. Mon pied brise son genou et une dernière claque l’assomme contre un tonneau. J’ai à peine le temps de ramasser son arme que mon voleur bondit à sa rescousse, poignard en avant.
J’évite son premier coup. Je serre les doigts sur le maillet. Nous finissons sur la terre battue. Je pousse un cri de damnée quand il tente de se dégager en saisissant mon bras rompu. Je mords au sang la main qui tente de m’étrangler, et je cogne. Quatre fois. Son crâne vibre. Je reprends ma dague. Et je me relève en furie pour fondre vers la table.
Mais le vieux cyclope n’a pas bougé. Il déglutit vaguement. Il glisse ses doigts jusqu’au triangle d’hématite, et l’examine d’un air soucieux. Il hausse le sourcil de son œil valide et me dit sans un regard :
J’dois avouer, mam’zelle, vous faites rien pour me rassurer… Mais en ce qui me concerne, je cherche jamais des noises à personne !
Je reste coite. Le souffle court.
Le prenez pas mal, poursuit-il, mais vous devriez vous couvrir ! Votre blessure, là… C’est pas beau à voir. Pis vous avez la peau toute bleue comme un porc marin !
Un… porc marin ?
Ouais ! Y’en a quelques-uns à Sansonaïth. Leur chasse est interdite par le gouverneur, ici… La plupart sont à la pointe de Waërnian, c’est pas loin, par la côte. Un joli coin !
J’avise un plaid de laine sur la chaise de mon défunt détrousseur. Je l’enroule autour de mes épaules. Et je m’accoude aux briques de l’âtre dont les braises chantonnent sereinement, à l’autre bout de la pièce. Je soupire avec soulagement :
Nous sommes donc à Sansonaïth ? Connaissez-vous quelqu’un qui saurait… me soigner. Je ne parle pas d’un simple arracheur de dents ou d’une nonne...
Il hausse les épaules en acquiesçant. Quelque chose dans l’humidité de son œil et la détente de ses joues, me dit qu’il a deviné le motif de ma venue.
Hammerstone… vibre sa voix lugubre. De sacrés salopards, là-bas, hein ? Que leur avez-vous fait ?
Je… j’ai essayé de leur emprunter un livre.
Il remue les glaires de sa gorge en riant. Il engloutit les dernières gorgées de sa pinte, puis attrape le godet de son ancien compagnon de cartes. Et il le descend cul-sec. Il tient toujours mon pendentif dans sa mitaine.
Alors, poursuit-il avant de lever ses haillons de colporteur au-dessus de son tabouret, vous deviez vraiment avoir soif de lecture !
Vieil homme, je suis venue sur cette île avec ce pendentif.
Oui, je sais. Ce troufion m’a dit qu’il l’avait récupéré sur un passager clandestin, mort en mer au fond d’un fût de brune !
Bon écoutez, j'ai vraiment besoin d'aide...
Il éjecte de son pouce le fragment noir, qui tournoie en cloche jusqu’à mon visage. Je l’attrape, surprise. Mais le mouvement de mon épaule réveille ce qui alors sommeillait, anesthésié par la fougue de mon retour parmi les vivants. La blessure larde mes omoplates. Elle a encore progressé… Je sentirais presque la morsure de cette brume mystique à la naissance de mon cou. Et mes entrailles, comme si elles se corrompaient de l’intérieur, brassent des remous cinglants.
Vous voulez vous venger de tout l’équipage ? me demande le vieux borgne. Je peux vous dire dans quel village les trouver, à l’heure qu’il est.
Et… Vous avez de quoi m’y conduire ?
La charrette dehors. C’est la mienne.
Conduisez-moi à quelqu’un qui pourra me soigner, alors.
Il opine du chef et claudique jusqu’à la sortie, laissant là le pactole de ses mises en compensation à l’aubergiste.
Je me hisse à l’arrière. D’un claquement de langue, il dirige la jument sur un large sentier qui disparaît dans les bois.
La tête me tourne. Des rêveries s’installent. J’ai l’impression morbide d’un déjà-vu. Comme si je connaissais l’île de Sansonaïth depuis ma naissance. Et une prémonition. Comme si j’y retournais pour une dernière course. C’est peut-être sur ce caillou venteux, giflé par les bruines âpres de l’hiver, que je vais mourir pour de bon. Si je n’arrive pas à temps.
Le début, écrivait le poète…
"Le début sans erreur mime toujours la fin.
Quand tombe le soir d’or, je vois l’ardent matin.
Mes feuilles ploient sous la rosée mais je ne suis
Que la graine autrefois irriguée par les pluies."
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herboristecueilleuse · 5 years ago
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Traditions, pratiques & rites de purification par la fumée.
Les Celtes ont utilisé  de tout temps la fumigation pour purifier leur habitat, les étables, et aussi à la sortie de l’hiver, ils menaient des grandes processions avec des torches qui prévenaient l’attaque de vermine et de champignon dans les bosquets, à Imbolc, le 1er février, une des quatre fêtes du Feu et la première du printemps – fête des chandelles, chandeleur) la fumée des torches de plantes médicinales (Bouillon blanc… ) attrapait les bactéries et virus aériens… Ils faisaient passer leur bétail entre 2 feux à Beltane, le 1er mai…
Demain Atelier Les plantes de l’immunité et de l’arbre respiratoire
Sur tous les continents, les femmes & les hommes ont pratiqué la fumigation pour honorer leurs dieux, éloigner les mauvais esprits ou accompagner leurs rituels.
La fumigation, une médecine universelle
I – Introduction
II – Parfums magiques et rites de fumigations
III La fumigation
IV – La médecine des odeurs
V – L’Odeur des bouquets suspendus
VI -Les plantes à brûler
VII – Les plantes des Traditions Celtes, Germaniques, Nordiques, Slaves, Baltes…
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I – Introduction
Est-il un endroit sur terre où le brûlage de végétaux à des fins de purification n’a pas été utilisé ? Qu’il s’agisse de purifier des temples, des maisons ou des hôpitaux, de chasser la maladie ou les mauvais esprits, d’entrer en contact avec des défunts, des divinités ou d’atteindre soi-même un état modifié de conscience, la fumigation a été pendant des siècles une pratique quasi universelle.
La fumée, aux propriétés bactéricides & vermifuges tue les microbes ambiants selon une étude pharmacologique : « Medicinal smoke reduces airborne bacteria » .
La fumée des plantes ainsi comburées capte de grandes quantités d’ions positifs. Ceux-ci servent prioritairement de véhicules aux microparticules pour qu’elles puissent se maintenir en suspension dans l’atmosphère. Lorsque les ions négatifs sont majoritaires, les poussières se déposent. Un air saturé d’ions positifs est délétère pour la santé, tandis qu’une atmosphère riche en ions négatifs (comme au bord de la mer ou à la montagne) est au contraire très bénéfique, notamment pour les voies respiratoires, le système immunitaire et l’équilibre psychique. SourcePlantes et Santé
Sur les plans subtils aussi…
“L’utilisation rituelle de la fumée des plantes remonte à l’ère préhistorique et est encore utilisée de nos jours dans le monde entier, comme technique de «purification» de l’esprit.
Au total, ce sont les parties de plus de 400 espèces végétales qui sont susceptibles d’être utilisées: arbustes, herbes, bois, écorces, racines, feuilles, exsudats…
II – Parfums magiques et rites de fumigations
Se livrer à des rites domestiques de purification, au double caractère thérapeutique (fumigations, inhalations, ingestions) et prophylactique (invocations, incantations). Ces pratiques étaient étroitement liées à la garde et à l’entretien du foyer . Les bouquets rituels sont brûlés dans l’âtre et passent pour prévenir la foudre, l’orage et la grêle.
Latin – Per fumum : Dans la langue vernaculaire du Roussillon, brûler une composition dans la cheminée se dit faire un parfum (fer un perfum) . Les parfums se font tout d’abord par la fumée (du lat. per fumum). Les parfums et les aromates brûlés, chez les chrétiens, s’adressent à la divinité ou aux esprits. En offrande.
Le parfum qui se dégage de la combustion incarne (ou plutôt désincarne) en fumée ou en esprit la rencontre entre l’ordre féminin des plantes et l’ordre masculin du feu. Les herbes, cueillies par les femmes, sont affiliées à la Grande Déesse et aux divinités chtoniennes; le feu, transmis par les hommes, est assimilé au soleil et aux dieux ouraniens.
On croit qu’après la métamorphose, pour aller au sabbat, les sorcières avaient la vertu de monter par la fumée ou par la cheminée.
III – La fumigation
La fumigation c’est, l’action d’exposer à des fumées ou à des vapeurs le corps ou une partie du corps.
C’est la fumée odorante des parfums consacrés, que l’on bride dans les opérations de magie cérémonielle, et nommément dans les évocations théurgiques.
Ces pratiques semblent avoir disparu en grande partie au XIXe siècle. Toutefois, certaines pratiques ont perduré jusqu’au début du XXe. Elles consistent principalement à désinfecter l’air ambiant, ou bien à agir plus localement sur certaines parties du corps. Les fumigations jouaient un grand rôle dans l’administration de sudorifiques, fort en vogue depuis le Moyen Âge pour combattre les fièvres. Fumigations et sudoriques sont étroitement liés, la chaleur provoquant une action sur la circulation des flux corporels.
«La fleur de Sureau servait à préparer des bains de vapeur dans le cas de bronchite et de gros rhume. On faisait bouillir une grosse poignée de fleurs de Sureau dans un récipient à col large, genre fait-tout. Le malade assis sur son lit mettait le récipient fumant entre ses jambes et se penchait sur la vapeur répandue. On mettait un drap de lit sur la tête du malade, cela faisait une espèce de tente et provoquait une sudation importante. » «Pour suer, il y avait le Sureau, la Bourrache et la Reine des prés. » À ces plantes, s’ajoute la Sauge officinale parce que «ça dégageait, ça faisait transpirer». Les fumigations agissent encore sur la lactation. Dans l’Avallonnais, il était coutume de préparer «un feu de javelle, sarments de Vigne. La femme se met devant. La fumée qui s’en dégage a une action sur le lait de la femme». Par ailleurs, les fumées de Genêt à balai traitaient les engelures. Dans l’Autunois, pour soigner les hémorroïdes, il était d’usage de «râper l’écorce du Sureau, la faire bouillir, poser les fesses au dessus de la fumigation». «Pour les gens très constipés, rapporte une femme du Bassin Minier, on faisait une décoction de Mercuriale, sur le seau hygiénique, on allait sur le seau. C’était la vapeur qui était émolliente. C’était le traitement d’une dame née en 1834. »
IV – La médecine des odeurs
Le collier d’Ail est l’une des pratiques les plus courantes de port de plantes odorantes sur le corps. Son action vermifuge passait pour souveraine. «Les mamans faisaient des chapelets d’Ail qu’elles mettaient au cou des enfants, parce que les oxyures remontent… Et les gamins toussaient!… Et ils (les vers) n’aiment pas ça, l’odeur de l’Ail, alors ils ne remontaient pas. » On précise que «les gousses d’Ail étaient épluchées, puis enfilées sur un cordon». L’action de la plante est expliquée par la puissance de l’odeur, concept cher à la médecine médiévale. Cette thérapeutique était également en vigueur dans d’autres types d’affections. «Quand il y a eu la diphtérie à Bazolle, on mettait un collier d’Ail autour du cou. » Par ailleurs, les senteurs végétales se révèlent d’un grand secours dans la lutte contre les insectes. Pour repousser les moucherons, il était coutume de «se frictionner le visage, les bras, les jambes avec des feuilles de Chêne fraîches… Au printemps, il y a souvent beaucoup de moucherons dans les champs». Certains préféraient la décoction de fleurs «d’Am’ rel’», Camomille matricaire, que l’on mettait dans une bouteille et dont on se frictionnait pour éloigner les moustiques, quand on allait aux champs, au jardin, arracher les pommes de terre.
Et l’on oublie aussi que nos grand-mères cultivaient le Pavot parmi les simples du jardin, ou que les bergers séchaient et fumaient la redoutable Euphorbe (Euphorbia officinalis).
:::: Article : Les plantes sacrées et guérisseuses du Solstice d’été ::::
V – L’Odeur des bouquets suspendus : une pratique thérapeutique populaire.
Les plantes utilisées en suspension dans les bergeries cévenoles : efficacité symbolique ou phytothérapeutique ? », pp.127-136 in Plantes, sociétés, savoirs, symboles, Matériaux pour une ethnobotanique européenne, Actes du séminaire d’ethnobotanique de Salagon (2003-2004), vol.3, Mane, Les cahiers de Salagon 11.La survivance de la tradition des bouquets suspendus fut certainement plus vivace que d’autres rites. Et comme s’indignait ce curé de Glux-en-Glenne, village du sud du Morvan, les habitants plaçaient plus volontiers leur foi dans le bouquet de Plantain accroché dans les étables, «pour éviter le mal blanc des bêtes ou le faire partir des étables» que dans le Bon Dieu! En médecine vétérinaire, où l’Église a certainement exercé une influence moins forte, les croyances populaires ont persisté plus longtemps qu’en médecine humaine. De surcroît, le non remboursement des soins vétérinaires a contribué au maintien de ces remèdes populaires.
Pratique contemporaine, les bouquets de Houx suspendus dans les étables préservent le bétail des dartres. L’utilisation actuelle du Houx en médecine homéopathique contre cette affection permet-elle d’envisager une hypothèse d’interprétation?
VI – Les plantes à brûler
La Sauge blanche – Salvia apiana
La Sauge blanche a été l’herbe traditionnelle utilisée dans les rituels de purification par les Amérindiens, et les pratiques contemporaines ont ajouté plus d’herbes aromatiques à la liste.
Ici Les plantes à fumée – Elixirs et remèdes ethno-botaniques
La Sauge blanche de Californie, (Salvia apiana), traditionnellement utilisée par les Premiers Peuples de la zone côtière du Sud-Ouest et maintenant prisée par les Occidentaux pour les purifications d’espace, il en existe plusieurs variétés telles : La Sauge Lakota (Artemesia ludoviciana) Sauge blanche Lakota ou Sauge des Prairies, c’est une herbe sacrée pour les autochtones des Grandes – Plaines des Etats-Unis. On la retrouve en abondance dans les vastes prairies du Dakota, Wyoming, Montana. La Sauge du Désert (Artemesia tridentata) La Sauge du Désert est sacrée pour les autochtones du Sud-Ouest des Etats-Unis. Elle pousse à perte de vue dans les déserts du Nouveau-Mexique et d’Arizona. Ces 2 sauges appartiennent à la famille de l’armoise.
Les autres plantes : Cyprès, Pins, Cèdres…
Les résines : Le Benjoin, la Myrrhe, le Styrax,
Le Copal, l’Oliban, la Manne de Frêne d’Italie Fraxinus ornus – sève séchée – le Mastic de Chios du Lentisque pistachier. Le Palo Santo (Bursera graveolens), le Foin d’odeur ou Avoine odorante ( Hierochloe odorata « Cheveux de la terre -mère »), le Cèdre (Thuya plicata; occidentalis), Le Genévrier (Juniperus monosperma; scorpiorum),. Pour se souvenir des rêves.
Les parfums : Agua florida … Eau de Rose…
VII – Les plantes des Traditions Celtes, Germaniques, Nordiques, Slaves, Baltes…
Aigremoine, Agrimonis eupatoria, herbe de saint Guillaume, Soubeirette, Ingremoine. — Froide et sèche, B ou K. Croît dans les haies et les buissons. Feuilles astringentes, contre angines, néphrites 118 , fleurs bl. 119 , vessie faible. Mise sous la tête d’une personne qui dort, l’empêche de s’éveiller. En fumigation, elle chasse les mauvais esprits; en lotions, bonne contre les taies.
Armoise en fumigations, elle délivre les femmes et purifie leur matrice. Elle pousse sur des terres qui ont subi une forte hémorragie causée par des traitements chimiques, on la voit souvent en bordure des champs. Sa tradition fumigène européenne remonte aux rituels germaniques et celtes. Gardienne du seuil. Elle peut être brûlée comme accompagnement des expériences transformationnelles. Elle ouvre et prépare le terrain de recueillement et de la fortification. A la transition, les forces sont focalisées et l’âme, purifiée avant que ne soit approché que ce qui est “nouveau “.
Appelée Moxa ou Sauge Noire. Artemisia vulgaris Parfum doux-amer qui relaxe, réchauffe et tranquillise les nerfs. Purifie et protège contre les énergies négatives, les mauvaises intentions et le danger. L’Armoise est utilisée par les Premières Nations comme un encens rituel ou fumé comme du Tabac. Placée dans les oreillers, l’Armoise fraîche est utilisée pour améliorer le sommeil, se souvenir des rêves et pour favoriser le rêve lucide.
Elle est connue, tant en Amérique du Nord et en Amérique du Sud qu’en Europe, comme une plante pour la divination et la guérison spirituelle. Comme encens, elle est excellente pour purifier les énergies et préparer le travail onirique.
Racines d ‘Angélique de Pologne – Angelica archangelica Odeur rigoureuse de terre chaude et douceâtre. Soutient l’enracinement et renforce le lien à la Terre.  Accroît la confiance en soi et l’assurance. A brûler ainsi ou sur des charbons.
Bardane, Arctium lappa -Petite ou Grande, Herbe aux teigneux, glouteron, copeaux. — Froide et sèche. Les fumigations à partir de ses semences ont les mêmes propriétés que la décoction du pollen des fleurs de lis (Porta, Wecker). Agit sur l’excrétion cutanée: maladies de peau, ulcères, goutte, syphilis.
Le bois de Cade  (Genévrier) : arbuste méditerranéen assez commun dans les garrigues du midi, son bois fut longtemps utilisé en fumigation pour éloigner les insectes et assainir les hospices, car la fumée de cade est un excellent bactéricide. Elle aide également à contrôler les addictions et l’anxiété.
Hysope Hyssopus officinalis : on procédait aussi à des fumigations d’Hysope, une des herbes de la SaintJean. Facilite l’accouchement, et la dilatation de l’utérus.
Lavandes feuilles et fleurs — Chaude et sèche. En fumigation, chasse les mauvais esprits. En vin, réveille la lymphe; son huile pour les convulsions.
Polypodium. —  La poudre de sa racine est bonne contre les polypes du nez, la fièvre quarte; en fumigation, elle chasse les cauchemars.
Laurier noble – Pour résoudre un problème de sortilège, il faut souvent passer par cette première étape de purification. Le prêtre intervenait souvent autrefois sur les lieux mêmes à grand renfort d’eau bénite, de prières et de cierges. Loin des pratiques religieuses, l a fumigation est également courante au court de cette phase. Le genévrier (Juniperus sp. L) est souvent cité, ou encore le laurier (Laurus nobilis L.
Rue officinale – Ruta Graveolens purificateur et protecteur. Dans la maison, elle permet de chasser de la demeure toute forme de négativité. Elle  peut également être suspendue à une porte ou placée dans des sachets.
Pourpier. Portulaca oleracea — Empêche les suites de l’ivresse. Les fumigations de ses graines ont la même vertu que le pollen du Lys (Porta, Wecker).
Un exemple d’inhalation de fumées, un remède ayurvédique :
Le Curcuma, sur un coton imbibé de ghee, on saupoudre de curcuma et on allume. On inhale la fumée pour décongestionner les sinus.
« LE CHEMINEMENT VERS ELLE, LA PLANTE, EST TOUJOURS PORTEUR D’UN PRINCIPE DE GUÉRISON » – LIEUTAGHI.
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APPRENTISSAGE & TRANSMISSION DES SAVOIRS-POPULAIRES DES PLANTES SAUVAGES COMESTIBLES & MÉDICINALES : AGENDA 2020
Sources
Christophe Auray Docteur vétérinaire, Docteur en histoire des sciences et des techniques.
Les plantes bio -indicatrices – Gérard Ducerf, ethnobotaniste & phytothérapeute
Pierre Lieutaghi, ethnobotaniste.
Revue Ethnopharmacologia
Paul Sebillot Folkloriste 19 è et 20ème
Anne-Marie Brisbarre– CNRS – «  Les bouquets suspendus » Site Hozho Chamanismes
Photo: Sissi Chatentoctcher
La fumigation, un rite ancestral Traditions, pratiques & rites de purification par la fumée. Les Celtes ont utilisé  de tout temps l…
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grandmaitremediumlaterre · 5 years ago
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LE RITUEL D'AMOUR ET LA PENSÉE MAGIQUE POUR TROUVER L'ÂME SOEUR
L'on entend souvent dire qu'il n'y a pas de hasard, que chaque évènement doit forcément suivre à la lettre les lois de cause à effet, que nos chemins sont déjà tous tracés et qu'il ne reste plus qu'à les emprunter sans dévier de la route qui nous a été dédiée. Paradoxalement, c'est à la fois vrai… mais aussi complètement erroné car d'une logique purement matérialiste et donc grandement restreinte en terme de potentialité et d'ouverture sur de nouveaux parcours de vie, en dehors des sentiers battus… Heureusement, chacun a pu déjà vivre des situations véritablement insolites et entièrement nouvelles, alors que, seulement quelques instants auparavant, rien n'en laissait présager ni l'existence ou même la possibilité immédiate !
C'est ainsi que l'on s'aperçoit alors que la "Réalité", celle qui nous entoure directement associée à celle au-delà du visible, dépasse notre imagination la plus fertile et nous permet d'espérer ce que nous ne connaissons pas encore, d'envisager l'impossible ou l'impensable, de désirer un futur meilleur dont nous n'avons pas encore pleinement conscience ou seulement idée.
"Espérer et croire", deux mots assez familiers de notre vocabulaire et pourtant si irrationnels dans notre monde moderne que l'on n'en cherche plus leur véritable signification… Mais lorsque l'on dit : "espérer trouver l'âme soeur", ou bien "croire au grand Amour", alors l'irrationnel s'ancre profondément en nous et devient notre réalité intime, notre espérance et notre croyance. Il s'agit là d'un phénomène qui transforme une idée puissamment désirée et voulue avec force en une potentielle réalité plus tangible et réalisable… il s'agit là de la célèbre "pensée magique" !
C'est Carl Gustav Jung qui a su le premier mettre l'accent sur cette "pensée magique" sous la forme de ce qu'il appelait la synchronicité, une forme de pensée associative et active, pour simplifier à l'extrême. De même, son concept de "conscience collective" s'apparente, d'une certaine façon, à l'accès à la pure sphère des idées, à ce monde spirituel dans lequel l'on pourrait puiser ces nouveaux chemins existentiels… Avec ces deux concepts importants, de même qu'avec celui d'archétypes (images primordiales et symboliques), nous avons finalement trois fondamentaux de la Magie pour concevoir, comprendre et effectuer des rituels magiques, bien que cela demande aussi "le Don" et "la Connaissance".
Mais revenons à l'Amour et à ce qui peut aussi s'apparenter à un concept : "l'Âme soeur". La trouver est digne d'un parcours du combattant, de nombreuses épreuves et embûches sont nécessaire avant de trouve une personne qui soit digne de porter ce qualificatif ultime. Ceci dit, il paraît tout à fait normal, même si cela est difficile à vivre, que l'on ne puisse accéder au véritable Amour qu'après avoir vécu des échecs significatifs en la matière, c'est aussi sur ce point une nécessité que de passer par la voie de l'initiation amoureuse comme mode de développement personnel et d'évolution.
Le Rituel d'Amour, lui, est un outil magique construit par une tierce personne, c'est en effet le mage ou le sorcier, c'est-à-dire le praticien, qui va orchestrer la demande sous une forme cérémonielle avec une orientation magique. La Magie sera ici le ciment d'une volonté initiale de trouver l'Amour de la part du demandeur (ou de la demandeuse), le praticien n'en sera que l'architecte avec la construction du rituel. C'est pour cette raison qu'il est tellement important que le demandeur ait cette volonté puissante d'exprimer ouvertement ce qu'il désire et en soit la source catalytique pour que le rituel fonctionne en y puisant l'énergie et la légitimité pour s'instaurer.
En quelque sorte, la pensée magique initiale du demandeur vient à la fois comme starter du rituel et ensuite comme carburant de celui-ci, tout comme le ferait un moteur pour un véhicule. Pour parfait l'image, le rituel sera ce véhicule qui aura à parcourir le chemin pour arriver au but recherché. L'on voit de suite que le mental d'une personne qui demande un rituel doit être assez fort pour pouvoir le commanditer, lui donner l'étincelle qui lui donnera son impulsion, et ensuite qui le portera tout au long de son application.
La vérité du succès du rituel tient donc, comme je l'avais déjà signalé dans un article précédent, dans la parfaite osmose entre le demandeur, dont la volonté ne doit jamais faiblir, et celle du praticien, qui doit à la fois capter, entretenir et utiliser cette volonté exprimée (ou ce désir qui rayonne) à des fins de bonne réalisation du rituel en cours. Ceci reste valable pour tous les types de rituels, encore plus pour ceux du domaine de l'Amour car il faut maintenir cette osmose, cette volonté et par conséquent le rituel d'Amour, même si l'intensité des sentiments peut être affectée par des doutes à un moment ou par des désillusions passagères.
Étant spécialisée dans ces rituels d'Amour, je reste à votre service si vous désirez me joindre pour résoudre une situation amoureuse difficile, qu'elle soit liée à une recherche du Grand Amour ou bien au retour d'un être aimé. Il existe des rituels adaptés à chaque situation, donc n'hésitez pas à me contacter pour en discuter ensemble ! Pour ce faire, merci de cliquer sur ma bannière ci-dessous (pour l'envoi d'un formulaire classique) ou bien plus directement par téléphone . À très bientôt pour concevoir le rituel qui vous convient !
Contactez le Maitre Marabout Medium Laterre via cet lien :
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Voici mon site web : http://www.maitrelaterre.com
https://grandmaitremediumlaterre.site123.me/
Tel: 0022998574889
Whatsapp : 0022998574889
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mik789 · 6 years ago
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hoodoo
Mon avi sur le hoodoo en temps que pratiquant depuis des années. Contrairement à d'autres formes de magie, telles que la Wicca ou la Magick cérémonielle, Hoodoo n'exige pas l'appel des éléments, la fonte de cercles ou le dessin de triangles à l'intérieur desquels les esprits sont appelés à apparaître. Cependant, cela ne veut pas dire que la plupart des pratiquants n'ont pas développé leurs propres rituels autour desquels ils encadrent leurs sorts. Je connais un pratiquant qui se baigne et s'habille toujours de blanc avant tout sortilège ou rituel. Une autre pratiquante que je connais passe quelques instants à prier ou à méditer avant de commencer ses sorts. Encore une fois, un autre pratiquant récupère simplement ce dont il a besoin dans ses fournitures et commence le processus avec peu de préparation.
Dans mes pratiques personnelles, j'ai développé le rituel suivant autour duquel je encadre mes sorts et travaux. Tout d’abord, je rassemble toutes mes fournitures et le matériel dont j’aurai besoin pour travailler mon sort et les ranger soigneusement sur mon autel. Cela comprend généralement un petit plat d’eau fraîche et fraîche qui servira d’offrande aux esprits avec lesquels je travaillerai. Je prends ensuite quelques instants pour "passer les motions», c’est-à-dire réfléchir à ce que je vais dire, ce que je vais faire et quand je vais le dire ou le faire.
Lorsque je suis prêt à exécuter mon sort, j'allume deux grandes bougies blanches de chaque côté de mon autel. Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus, Jésus est le point central de mon autel de travail principal. Toutes mes prières s'adressent donc à lui ou à son nom. Je commence habituellement par l’Adoration du Seigneur de l'univers car c'est une prière qui me parle vraiment.
"Tu es saint, Seigneur de l'univers! Saint vous êtes, que la nature n'a pas formé! Saint tu es vaste et puissant! Seigneur de la lumière et des ténèbres! "
Ceci est suivi en me croisant une version modifiée de la croix kabbalistique. Pour ce faire, je touche simplement mon front et dit: à toi ; suivi de toucher mon plexus solaire en disant est le kindom ; puis mon épaule droite en disant et le pouvoir ; puis mon épaule gauche en disant: et la gloire. Finalement, je serre mes mains devant moi comme dans une prière en disant: Toujours et à jamais. Amen. Puisque mes ancêtres sont en partie juifs, je le fais comme un moyen d'honorer mes propres ancêtres et de reconnaître que tout pouvoir vient de Dieu.
Ensuite, j'allume de l'encens (généralement quelque chose qui convient au rite) lorsque je fais appel à mes alliés spirituels. Par exemple, si je faisais un sort d'amour pour attirer une personne en particulier, je dirais quelque chose comme:
"Esprit d'amour, en ton nom, je fais cette œuvre d'amour pour que je puisse aimer et être aimé de (nom). Je te demande d'être avec moi maintenant et de travailler à travers moi pour accomplir cette tâche. Au nom de Jésus. Amen."
En reprenant l'exemple précédent, supposons que je sors un sortilège de bougie pour l'amour. La prochaine chose que je ferais serait d'écrire ma pétition ou mon nom , puis de la fumer dans l'encens. Ensuite, je colorerais les quatre coins et le centre avec une huile d’état appropriée, puis le plierais trois fois vers moi et le mettre de côté.
Je préparerais ensuite ma bougie en la marquant de mon intention et en la pansant de la même huile. La bougie serait ensuite placée dans un support avec la pétition placée en dessous. Avec ma bougie dans un support devant moi, je placerai mes mains d'environ un pouce sur la bougie et ferai ma prière ou ma pétition à haute voix. Encore une fois, pour un sort d'amour, je pourrais dire quelque chose comme:
"Avec les bénédictions de Dieu, peut (N) penser à moi comme je pense à lui, me désire comme je le désire, m'aime comme je l'aime. Au nom de Jésus. Amen."
Ensuite, la bougie serait allumée et je passerais plusieurs moments dans la prière. En règle générale, je prierai une sélection de la Bible telle que l'un des Psaumes. Par exemple, je pourrais prier le Psaume 52 pour inverser le mal ou le Psaume 91 pour la protéger. Si je n'ai pas de psaume particulier à l'esprit, j'utiliserais le psaume 23. Comme dans le cas de notre sortilège d'amour, je prierais probablement une sélection de Songs of Salomon.
Pendant que je fais ces choses, je ressens mon lien avec l'esprit et concentre mon intention sur mon objectif. Dans mon esprit, je vais voir exactement ce que je veux. Après que mes prières aient été offertes, je peux passer quelques instants à regarder la bougie et à chercher des signes. Lorsque je suis prêt à terminer mon travail rituel, je répète l’Adoration du Seigneur de l'Univers e:
"Tu es saint, Seigneur de l'univers! Saint vous êtes, que la nature n'a pas formé! Saint tu es vaste et puissant! Seigneur de la lumière et des ténèbres! "
De nouveau, ceci serait suivi de la croix kabbalistique modifiée.
Enfin, je quitte l'espace de l'autel et laisse la bougie faire son travail. Mon autel est dans un endroit où je peux garder un œil sur mes bougies car je fais autre chose (regarder la télévision, être assis devant un ordinateur, etc.) En fonction de l'heure du jour ou de la nuit, je brûle mes bougies peut retourner à l'autel et déplacer la bougie dans un endroit sûr (généralement l'évier de la cuisine ou à l'intérieur du poêle) où elle continuera à brûler sans causer de risque d'incendie. Cela ne se produit généralement que lorsque j'ai commencé mon rituel le soir et que la bougie est encore allumée au moment où je suis prête à me coucher.
Le lendemain, tous les vestiges rituels sont examinés pour rechercher tout signe de succès ou d'échec du travail avant d'être disposés rituellement. Les encens cendrés sont nettoyés et enlevés, ainsi que le bougeoir.
C’est ainsi que j’encadre mes sorts. Je vous suggère d’expérimenter et de trouver quelque chose qui fonctionne pour vous. Vous saurez ce qui fonctionne pour vous et ce qui ne fonctionne pas parce que cela vous semblera juste, les mots et les mouvements parleront à votre esprit et votre rituel se déroulera facilement.
Croyances et pratiques À la suite de l'exposition à diverses croyances et pratiques, les religions des esclaves africains se sont transformées en un méli-mélo de pratiques magiques connues sous le nom de Hoodoo. Bien que Hoodoo ne soit pas une religion, les adeptes font souvent appel à la mythologie chrétienne, mais certains praticiens sont tout aussi susceptibles de demander à Ganesha ou même à Papa Legba d'éliminer les obstacles et de leur ouvrir la voie.
Néanmoins, il existe quelques croyances communes que la plupart des praticiens de Hoodoo ont. Elles sont:
• Divine Providence - La plupart des adhérents de Hoodoo croient en un type de Puissance supérieure vers laquelle ils dirigent leurs prières et leurs pétitions. Ce pouvoir peut simplement être appelé Dieu ou un nombre quelconque de divinités ou d'esprits appartenant aux principales religions du monde. Il n'est pas rare qu'un pratiquant demande au Hotei Buddha de prospérer le matin, à Santo Muerte de chercher un amant le soir et à une protection de Jésus la nuit. On croit que ces êtres s'intéressent activement aux affaires humaines et ont la capacité d'influencer nos vies. • La vie après la mort - Parallèlement à la croyance en une puissance supérieure, il y a la croyance en l'existence continue de l'âme après la mort physique. Beaucoup de Root-Workers commencent à travailler avec les esprits des morts sous la forme d'ancêtres, les esprits des morts leur étant liés par le sang. On croit que les morts ne meurent pas, mais montent plutôt à un autre niveau d’être, à partir duquel ils peuvent nous regarder et nous aider. À partir de ce niveau supérieur, les ancêtres peuvent nous guider dans notre vie quotidienne, intercéder auprès de la Divinité en notre nom et nous protéger en cas de besoin. • Divination - La capacité de prédire l'avenir et de communiquer avec des esprits désincarnés est l'une des capacités les plus importantes du pratiquant spirituel. La divination permet à l'individu d'analyser le passé et le présent afin de déterminer la probabilité d'un événement futur. La divination enseigne que par sa participation active aux événements survenant dans la vie d'une personne, celle-ci peut déplacer les probabilités vers leurs fins souhaitées. • Doctrine des signatures: croyance que le Créateur (c'est-à-dire Dieu, l'univers, etc.) a marqué tout ce qui existe d'un signe, ou d'une signature, qui en indique l'usage auquel elle est destinée. En outre, une observation attentive permet de déterminer les utilisations d’une plante à partir d’un aspect de sa forme, tel que la forme de ses racines ou de ses feuilles, sa couleur, son lieu de croissance ou même son nom. • Justice rétributive - La justice rétributive est une théorie du châtiment basée sur le principe biblique du «œil pour œil». Contrairement aux autres religions qui acceptent la magie dans le cadre de sa philosophie et adjoignent ses adhérents à «ne pas nuire», Hoodoo permet à un individu non seulement de se protéger par des moyens magiques, mais également de se venger de ceux qui lui ont fait du tort. Cependant, dans le cas de ce dernier, la peine doit correspondre au crime. • Intention - Dans la tradition Hoodoo, les malédictions sont considérées comme un souhait qui ne peut être exaucé que par Dieu et uniquement lorsque la malédiction est méritée. Par exemple, si vous déposez une poudre pour maudire une personne, cela n'aura d'effet que sur cette personne et sur personne d'autre qui se trouve à marcher sur la poudre. De plus, on pense que les malédictions qui ne sont ni justifiées ni méritées sont sans effet (Proverbes 26: 2 ). Une malédiction à la fois méritée et proférée par une personne en autorité, telle qu'un Rootworker, est censée ne jamais échouer. ________________________________________ En résumé Hoodoo est un ensemble de pratiques magiques originaires d'Afrique et dépourvues de tout dogme religieux. Il est arrivé dans le nouveau monde avec des esclaves qui ont été enlevés de leurs terres d'origine et dépouillés de leurs biens, de leur identité et de leur religion.
Afin de préserver leurs croyances, ces esclaves ont adopté une forme de christianisme en tant que religion, absorbant les croyances et les pratiques associées aux traditions végétales des Amérindiens et à la magie cérémonielle européenne, et pratiquant leurs croyances sous le couvert de leur nouvelle religion. Aujourd'hui, Hoodoo continue d'exister comme un méli-mélo de croyances religieuses et de pratiques magiques avec la plupart des pratiquants adhérant à quelques croyances communes.
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chippi1980-blog1 · 6 years ago
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For just €21.00 "Les origines de la Tradition wiccane font depuis longtemps l’objet d’un débat parmi les pratiquants comme parmi les spécialistes. Gerald Gardner a-t-il inventé cette tradition ? La Wicca est-elle ce qui subsiste d’un système de magie populaire britannique ? Se pourrait-il qu’elle poursuive une tradition de Sorcellerie païenne ? Aurait-elle pu se développer à partir de la magie cérémonielle de l’époque Victorienne ? À moins qu’elle ne soit la manifestation moderne de la Tradition médiévale des Grimoires ? Dans ce livre, les auteurs explorent les origines possibles de la tradition en examinant les pratiques dans le contexte de la pensée magique et spirituelle sur une période de plusieurs milliers d’années. En mettant de côté les débats sans fin concernant les lignages initiatiques, ils regardent au-delà des personnalités individuelles et se concentrent au contraire sur ce qu’ils considèrent être le coeur de la tradition : les pratiques. Ils examinent des indices provenant de sources jusqu’ici jamais été prises en considération. Ils montrent clairement que tous les éléments importants des rituels et des pratiques de la Wicca ont des racines qui, dans certains cas, remontent à des milliers d’années avant leur apparition publique sous la plume de Gerald Gardner dans l’Angleterre des années 1950. Ils explorent les antécédents parfois surprenants des pratiques clés comme l’initiation, les cercles magiques, les outils rituels, l’invocation des Gardiens des Tours de Guet, la Descente de la Lune et le Grand Rite. Les précédents pour le Livre des Ombres, la Règle de la Wicca et la Charge de la Déesse sont également étudiés dans cet ouvrage révolutionnaire. Wicca : aux Origines de la magie pourrait bien répondre à autant de questions qu’il en pose quant aux véritables origines et à la nature de ce qui est probablement la plus influente des Traditions ésotériques occidentales aujourd’hui. En combinant la recherche universitaire avec leur connaissance pr...
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frenchwitchdiary · 3 years ago
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Les instruments de magie cérémonielle.
Tiré des Clavicules de Salomon, traduit de l’hébreu en langue latine par le Rabin Abognazar, 1634 (Chamuel, 1892)
Credit image : @grimoiremagic sur Instagram
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frenchwitchdiary · 3 years ago
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Le pouvoir de soigner les malades et d’étendre la vie
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“Si ce sceau est apposé sur le malade avec une foi vraie et complète, il le soignera, si, N.B., il n’a pas vécu le nombre total de ses jours. Ainsi, il est appelé le Sceau du Pouvoir.”
Tiré de la première édition des livres VI et VII de Moïse (Das sechste und siebente Buch Mosis, éditions Scheible - Stuttgart 1849)
Credit image : @grimoiremagic sur Instagram
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frenchwitchdiary · 5 years ago
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Talisman
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Ce talisman (80x80x1mm) fut trouvé dans la copie du texte occulte médiéval The Key of Solomon (1888 / aussi “la Clavicule de Salomon” parfois dans les traductions françaises) ayant appartenue à Cecil Williamson.
Une note sur l’envers du talisman dit : “Ce Pentacle de Jupiter fut composé durant la période de la pleine lune de Nov-Dec 1952 par Cecil H. Williamson, dans un cercle proprement construit et chargé de pouvoir, comme indiqué dans La Clé.”
Le dessin de Cecil sur le parchemin contient les noms des anges Adoniel et Bariel, et les mots “Wealth and riches are in his house and his righteousness endureth for ever”, ce qu’on pourrait traduire par : ”Prospérité et richesses sont en sa demeure, et sa droiture dure à jamais” (psaume cxii.3). Selon la petite Clé de Salomon, il est le quatrième pentacle de Jupiter, et ce talisman apportera ressources, honneur et prospérité. Le talisman d’origine a les inscriptions et noms d’anges en hébreu, mais celui ci a été modifié et traduit par Cecil. Les écrits du roi Salomon indiquent que le talisman devrait être gravé sur un disque d’argent au jour et à l’heure de Jupiter lorsqu’il est dans le signe du cancer.
Un talisman est normalement préparé rituellement par un praticien de la magie, dans le but d’achever un résultat particulier tel que la protection personnelle, la guérison, l’attraction de l’amour ou de l’argent, causer du mal, etc... Après sa réalisation, un talisman peut être utilisé comme une amulette, parfois porté autour du cou ou dans un sachet-charme. Fréquemment il est enterré ou détruit en accord avec le rituel dans lequel sa confection prenait part. (On retrouve l’idée du sigil un peu ici, qu’on détruit pour en activer le pouvoir. A la différence qu’un talisman a forcément une connotation rituelle, contrairement au sigil).
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frenchwitchdiary · 3 years ago
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Textiles sacrés : se relier à l’invisible
Quelques photos légendées d’une exposition textile intitulée Mondes Sensibles, découverte au musée Bargouin à Clermont-Ferrand. La magie et le rituel/sacré ne sont jamais loin. 😉
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Capuche d’enfant, peuple Shin, province Khyber Pakhtunkhwa.
Les costumes traditionnels du peuple Shin, des bergers nomades vivant dans la région de l’Indus Kohistan, sont décorés de plombs, porte-clés, chaînettes, fermetures éclairs, cadenas et boutons en laiton. Les capuches dont les femmes revêtent leurs bébés sont ornées de façon similaire, dans un but de protection.
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Détail d’un plastron pour enfant, Turkménistan.
Les décorations en perles, en broderie, les coquillages et les sequins servent à éloigner les mauvais esprits et à protéger des maladies.
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Couverture pour bébé, peuple Tai Nuea, Laos.
Au Laos, les textiles ont toujours une signification spirituelle, car ils sont étroitement liés à leurs croyances où se mêlent tradition bouddhiste, mythes et rituels animistes plus anciens. L’un des symboles les plus importants est le motif en spirale, représentation du « Naga », divinité serpentine qu’ils considèrent comme leur ancêtre. Le symbole du losange est un récent puissant que l’on retrouve tout aussi fréquemment. Ces motifs sont très appréciés sur les tissus liés aux enfants car dotés du pouvoir d’appeler les esprits et de protéger le porteur des forces du mal.
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Détail d’un porte-bébé du peuple Shipibo, Pérou.
Confectionné à partir de bandes d’écorces ou de coton tissés par la mère, et des pendeloques en os, gravées chacune d’un motif unique à caractère protecteur, réalisées par le père.
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Détail d’un Chyrpy (manteau richement brodé) de la tribu Tekke, Turkménistan.
Les broderies consistent en des rangées de tulipes stylisées, symbole de fertilité et d’abondance.
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Bannière cérémonielle, Kain roto, peuple Toraja, Indonésie.
Considérées comme sacrées par les populations locales, les bannières roto sont dressées sur de hauts poteaux en bambou lors des funérailles d’un personnage de haut rang. Les motifs, assimilés aux étoiles et au soleil dans l’univers, ont une portée symbolique d’une grande complexité, difficile à appréhender.
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Tunique de femme chamane, peuple Yi, Chine.
Les pratiques spirituelles du peuple Yi résultent d’un mélange d’influences religieuses diverses. Lors des rituels, la chamane (bimo) revêt une robe chasuble en coton teint à l’indigo, ornée de motifs géométriques formés d’applications de tissus, de broderies ou obtenus par la technique du batik.
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Blouse de femme, Albong Sanlah, peuple Bilaan, Philippines.
Les blouses réalisées et portées par les femmes Bilaan sont riches de connotations religieuses. Ces textiles sont souvent utilisés dans des rituels d’invocation de divinités, pour assurer la protection du créateur, du porteur et de la communauté à travers des motifs en perles de nacre.
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Tissu de cérémonie, Sarita, peuple Toraja.
Chez les Toraja, la protection textile est intimement liée aux mythes et aux cérémonies. Parmi eux, la sarita, une bannière cérémonielle suspendue aux pignons de la maison ancestrale d’un clan, dont les spirales, losanges et cercles concentriques sont des symboles forts évoquant fertilité, noblesse et convivialité. Elle accompagne aussi de nombreux rituels essentiels à la vie de la communauté, réparties en deux catégories : les rituels de l’Ouest et ceux de l’Est. L’ouest ou Royaume du soleil couchant est associé aux rites funéraires. A l’Est ou Royaume du soleil levant, les rites célèbrent la vie et la fertilité.
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