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Comment racheter un fonds de commerce de magasin de chaussures pour enfants
Comment racheter un fonds de commerce de magasin de chaussures pour enfants
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Le Figaro-modes : à la ville, au théâtre, arts décoratifs, no. 8, août 1903, Paris. Les arbitres de l'élégance. Interview de Mlle Marguerite Deval du Théâtre des Mathurins. Photo Reutlinger. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Ses réponses
Couturier: VOYEZ… TAILLEUR. Modiste: UN RIEN DE CHEZ LEWIS. Tailleur: OLD ENGLAND, UNE HEURE AVANT LE DÉPART DU TRAIN. Lingère: UNE TOILE D'ARAIGNÉE. Corset: QU'EST-CE QUE C'EST QUE ÇA? Dentelles: LA COMPAGNIE DES INDES. Fourreur: GRUNWALDT. Chapelier: LÉON. Chaussures: COSTA. Éventails: JE N'EN JOUE JAMAIS. Ombrelles: CHEZ BRTGG. Magasins de Nouveautés: L'HOTEL DES VENTES. Parfumeur: MA PEAU. Dentifrice: BÉNÉDICTINS DE L'ABBAYE DE SOULAC. VIVE LA LIBERTÉ! Ameubl: LA VENTE LELONG. SI J'AVAIS PU! Orfèvre: ROUKHOMOVSKI. Objets de Voyage: TROIS SACS, 15 MALLES DE CHEZ LOUIS VUITTON ET 3O CARTONS A CHAPEAUX. Carrossier: LES CERCLES. Automobiles: JE COMPTAIS SUR MA DE DION-BOUTON DE LA REVUE DES FOLIES-BERGÈRE. Restaurant: MON BON POT-AU-FEU. Champagne: DU KATINKA BRUT. Confiseur: J'AI HORREUR DES BONBONS. Où goûtez-vous? JAMAIS.
A Marguerite Deval
ENVOI
Menue, effrontée, aguichante, Du rêve… et du geste à la fois, Dans sa toute petite voix C'est tout le grand Paris qui chante.
Francis de Croisset.
Petite, cheeky, alluring, Dream… and gesture at the same time, In her tiny voice It's all of great Paris that sings.
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saga: Soumission & Domination 326
João
Il attend 2 jours avant de me rappeler. J'aurais même attendu une semaine pour l'avoir. Heureusement sa réponse est positive. L'aide qu'il reçoit de l'association qui l'a tiré de sa favela est tout juste suffisante pour vivre même s'il est très reconnaissant à cette dernière. Et son côté catho le rends pas très à l'aise avec ses " protecteurs " ! Il m'assure qu'il sera plus libre avec ce que je lui propose qu'avec leur bienveillance surannée. Je lui dis qu'il est totalement libre envers moi. Même s'il refuse ma proposition, on restera en contact s'il le veut.
Il me dit que c'est la meilleure offre qu'on ne lui ait jamais faite. Je lui donne l'adresse du labo d'analyse et lui dis de me rappeler dès qu'il aura les résultats. 48 plus tard, il me dit être nickel et m'envoie la photo de la feuille de résultats.
On se revoit rapidement. Il veut savoir quand il commence, et quelles sont les conditions exactes de mon offre.
Dossier João :
Age : 20ans
Taille : 1m78
Poids : 78Kg de muscles sous une peau dorée/cuivrée en permanence (génétique : indien + black + blanc)
Sexe : 22 x 6, frein cassé
Parents : orphelin sorti de sa favela par une organisation caritative française
Pratique sexuelle : gay depuis sa puberté, quasi abstinent depuis son arrivée en France il y a 5 ans.
Sport : Capoeira en club, enseignant des premiers niveaux
Etude : 1ère année de Fac de Science (retard dû à son intégration en France et à la reprise de niveau scolaire)
Même si je connais maintenant son corps, je lui demande de se remettre nu devant moi. Je lui dis que même s'il ne se laisse déjà que peu de poil, je souhaiterais qu'il coupe court ceux qu'il laisse au-dessus de son sexe. Les aisselles, si cela ne le dérange pas de les épiler aussi, il conviendra mieux au standard de ma société. Comme il est OK, nous passons de suite à la salle d'eau du premier où il y a tout pour entretenir les surfaces de mes escorts. Je me charge de tondre à 5mm la touffe de João et épile ses aisselles. Le temps de faire quelques photos et il se rhabille. Je lui fais remarquer que ses vêtements sont trop cheap pour ma clientèle. Il s'excuse mais son budget est assez limité et à part les sous-vêtements qui sont neufs, il s'habille avec des vêtements fournis par l'association. Je comprends mieux sa touche ! Je lui dis qu'il n'y aura aucun problème. Avec ce qu'il va gagner, il va pouvoir se vêtir de neuf et de façon personnelle. Pour le travail, je lui dis que c'est moi qui habille en costume et en smoking avec bien sur les sous-vêtements qui vont bien avec (sa morphologie pas avec les fringues !!), les chemises et les chaussures. Il ouvre de grands yeux, il n'avait pas pensé à ça. Ayant un véritable stock de boxers, shortys et autres trunks de différentes marques, je vais en chercher une douzaine (ES, Addicted, Aussiebum, CK, CR7, 2xi...) et lui dis de choisir. Il connait quelques marques pour les avoir matées sur internet mais n'en avait jamais eu en main. Il se remet à poil et les essaye. J'ai bien choisi, ils lui vont tous, mettant en avant son service trois pièces et son fessier rond. Je prends un sac et les mets tous dedans avant de lui tendre. Il me remercie et vient m'embrasser pour. Comme il n'est pas habitué, je lui dis de passer samedi prochain pour qu'on fasse les boutiques ensemble.
Samedi : En fait PH et Ludovic nous accompagnent. On passe en premier chez mes vendeurs de " vêtements de travail ". On y passe une heure et demi à choisir 2 costumes, pour le smoking c'est plus rapide, il n'y a que la longueur de jambes à épingler. Nous en profitons pour acheter les chemises, cravates et noeuds papillon. Je me laisse tenter par trois nouvelles cravates que j'acquière pour nous même. La carte chauffe et ils me promettent de me livrer tout ça dans la semaine. On file ensuite dans des magasins plus casual et nous y restons 2 heures à " jouer à la poupée ". Quand on termine notre shoping, nous avons les bras chargés de sacs. João a bien essayer de nous freiner mais c'était peine perdue ! Il est habillé pour l'hiver, en jeans de marque comme en polos, pulls et blousons.
En partant, nous passons à la colocation. Nous y trouvons mes deux " Com ". Ils ne s'étonnent pas que je ramène un autre escort. Ils nous font visiter. Ils ont mis de leurs identités dans la déco. João me demande si c'est là que je lui propose de vivre au lieu de sa cité U. Comme je confirme, les deux autres l'accueillent plus chaleureusement. Ils l'abreuvent de tant d'informations sur leur organisation de vie que je mets le holà. Ils lui demandent dans quelle fac il va et, sachant laquelle, ils lui donnent déjà la ligne de bus à prendre pour y aller. En attendant qu'il s'y installe définitivement, nous rangeons ses nouvelles affaires dans le placard de sa nouvelle chambre. Puis nous rentrons au Blockhaus. Je compte bien garder João tout le WE.
S'il est prêt coté poil, il ne l'est pas encore pour la relation sexuelle avec mes clients. Comme la nouveauté qu'il introduit dans mon équipe est suffisante pour que sa première fois soit lucrative, je peux le préparer sérieusement coté sodomie. Je ne veux pas qu'on me le casse à sa première prestation !
Il ne sait comment me remercier pour tout ce que je fais pour lui. Il comprend quand je lui dis que c'est juste un investissement. A ce propos, je vais l'inscrire au permis il ne pourra pas toujours se déplacer par des transports en commun. En attendant il utilisera les services des Taxis. Ça passera en charge comme les voitures. La soirée se passe à l'écouter parler de son pays. Même s'il est sorti de sa favela, il y a passé de bons moments, même s'il n'avait qu'un seul vieux short à se mettre sur les fesses.
Ludovic lui demande comment il avait su pour son homosexualité Il nous raconte alors sa prise en charge, lors de la mort de ses parents, par un clan auprès duquel il a appris la Capoeira et l'amour auprès de son chef, un métis de 25 ans. Il l'a protégé des drogues et des tatouages tribaux, de la délinquance armée et de l'exploitation sexuelle dans lesquelles, les gens de son type tombent souvent. Il l'avait même inscrit à l'école du curé. Quand il s'était fait descendre par un clan adverse et que seul survivant du clan, il avait été attrapé par la police, il avait échoué à 100% dans les pattes du curé local. C'est par lui qu'il s'est retrouvé en France. D'origine française contrairement aux autres prêtres souvent portugais, il s'était arrangé avec cette association pour trouver une place en France. Tant mieux pour moi !
Ludovic, toujours curieux, lui demande comment il arrivait à maitriser ses pulsions depuis son arrivée. João est en confiance. Il nous explique que beaucoup de branlettes et quelques pipes quand dernièrement il osait aller dans les lieux de dragues. Mais que c'était quand même un peu la misère sexuelle. Il regrettait souvent sa vie avec son chef de gang. Gentiment il ajoute " un peu moins depuis que je vous connais ". C'est gentil !
Samir a cherché sur internet des recettes de là-bas et nous sert ce soir-là un premier essai. João est touché par l'intention même si le résultat n'est pas à la hauteur de ce que notre cuisinier espérait. C'est pas mauvais mais pas fantastique non plus. João lui donne quelques conseil et lui dit que la prochaine fois, il cuisinera avec lui.
Nous passons la soirée tous les 4. Pas de film sur la télé ni de cinéma. Nous passons 4 heures à faire l'amour et à le baiser. Il kiffe trop ça et nous aussi. Sa peau est douce et ses lèvres appellent le baiser. Elles sont aussi très " chaudes " quand une bite les écarte ! Sa rondelle est pareille quand on s'enfonce dedans. Il apprécie de plus en plus la sodo. Faut dire que nous nous y mettons tous les trois pour lui rappeler combien c'est bon. Il nous a pris tous les trois bien longuement avant de jouir. Sa résistance augmente et il reprend confiance en lui. Ses 22 sont aussi très agréables à prendre dans le cul et Ludo comme PH sont d'accord avec moi. Il a une façon de bouger en vous très excitante, son roulé de hanche !! Et si on ne se concentre pas un peu, il vous ferait jouir en 10/15mn !
Nous avons juste le temps de nouer les kpotes avant de nous écrouler de fatigue. Le réveil est poisseux ! Bousculades pour nous doucher alors qu'il y a la place pour nous 4 sans problème. C'est seulement avec une serviette autour des reins que nous montons prendre le petit déjeuner. Jona nous rejoint vers 10h30 pour établir le programme sportif de João et voir avec lui comment intégrer des cours de Capoeira.
Je les présentes. João sent très vite à qui il a à faire. Alors que je n'ai rien dit concernant les activités particulières de mon coach sportif, João a pris sa mesure et son comportement change imperceptiblement. Quand Jona lui demande une démonstration de Capoeira version " survie ", João se lâche et il est heureux que Jona se soit encore amélioré cet été. Les coups pleuvent et Jona encaisse, parant et reculant quand il n'avait pas le choix. C'est autre chose que les passes que j'ai pu voir au club. Là-bas, elles ressemblaient plus à une chorégraphie qu'à un combat. Jona demande un temps mort. João se redresse en sueur. Il s'excuse d'avoir été pris par le " jeu " mais c'était la première fois qu'il pratiquait façon " favela " depuis qu'il avait quitté Rio. Jona écarte les excuses qui n'avaient pas lieu d'être et commence à discuter technique. João peine parfois un peu avec les termes techniques mais ils finissent par bien communiquer tous les deux. On les laisse et entamons nous aussi notre décrassage physique. Tout en soulevant des poids, je laisse trainer mon oreille de leur côté. Jona est déjà en train d'intégrer la Capoeira. C'est d'autant plus facile qu'il retrouve une bonne part de ce qu'ils ont appris l'été dernier. Et quand il me demande comme partenaire pour une démo devant João, ce dernier confirme. Il retrouve certaines parties propres à son sport de combat. Il capte vite ce que les autres techniques apportent en efficacité et dangerosité. En riant il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous embêter quand on nous croise en groupe ou même tout seul ! Sans entrer dans les détails, Ludovic confirme que nous réglons nos problème nous-même. C'est plus rapide et plus économique pour la société, pas d'enquête ni de procès à rallonge. João se tourne vers moi pour avoir confirmation. Je lui dis qu'il n'est pas tombé dans un nouveau gang. C'est juste que quand ce n'est pas nécessaire de faire participer la police c'est mieux. Et que c'est vrai, ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on se laisse marcher sur les pieds.
Il me dit que ça lui va aussi. Par contre son visa temporaire l'oblige a plus ce circonspection. Je le comprends bien.
Je me promets de voir avec l'organisation qui l'a fait venir si on peut trouver une solution plus permanente.
La séance de sport nous laisse ne sueur. Je sonne la fin et nous passons sous les douches avant d'aller tremper dans la piscine de cet étage. L'eau y est plus chaude que dans les autres car elle ne nous sert plus que comme énorme jacuzzi depuis que la piscine de la serre a été construite. Les bras sur les rebords, nous nous détendons. J'entends João dire que c'est le paradis. Quand même pas, mais pas loin peut être !!
François nous rejoint pour déjeuner. De retour d'un contrat, il arrive direct et porte encore son smoking de la veille. Il monte nous dire bonjour avant de descendre au premier se changer. Comme Jona l'accompagne, je leur dit de ne pas prendre trop de temps quand même, sinon le repas serait froid. Ils auront été brefs et nous reviennent après 20mn seulement.
Pendent le repas, François nous parle de sa prestation. João l'écoute, concentré sur ce qu'il dit. Je lui demande s'il avait eu une gratification supplémentaire. Il sort alors une enveloppe de sa poche et la fait passer à Jona qui s'interrompt de manger pour compter les billets. Quand il annonce 1000, João s'écrie " en plus du salaire ? ". François lui répond en riant que bien sûr c'est en plus. Et qu'il ne s'inquiète pas. Lui, avec sa tête, s'il n'était même que moitié aussi bon qu'eux autres, il est sûr de s'en faire autant. Sans compter le bonus de sa première prestation.
Comme je ne lui en avais pas encore parlé, je précise ce que François entendait par là. Il hallucine quand j'avance un montant probable et que je lui dis que c'est net pour lui.
Ludovic appelle sa mère pendant le café. Il voulait savoir si elle ne connaissait pas quelqu'un dans l'association caritative, après tout elle passe une bonne partie de son temps dans ce genre d'occupation elle aussi. C'est tout content qu'il nous annonce que non seulement elle en connait le président mais qu'en plus elle en fait partie. Avant qu'il coupe, je lui demande de me prendre un rendez-vous avec elle. Je n'ai que 2 ans de plus que lui mais je me sens une âme de grand frère avec lui. (Et oui, même si nous baisons ensemble de temps en temps. C'est pas moi qui aie inventé l'inceste mais ça existe !).
La fin d'après-midi est étrangement non sexuelle, juste reposante pour bien démarrer la semaine.
Durant cette semaine-là, João informe l'association de son changement d'adresse. Et intègre la colocation. Il est très content de revivre en communauté. C'est là chose qui lui manquait le plus de sa vie d'avant. Jamais il n'avait été aussi seul que depuis son arrivée en France. Au Brésil, il était le 5ème de sa famille et après, il n'y avait jamais moins de 10 personnes autour de lui et du chef.
Les deux autres sont contents aussi, il leur a déjà cuisiné un plats de chez lui qu'ils ont trouvé trop bon. Ils se chargent aussi de corriger ses fautes de français mais pas son accent chantant. Le déménagement de sa chambre a été rapide, deux valises plus ses livres de cours ! La 300C a suffit et en un seul voyage !
J'accompagne Ludovic un soir pour voir sa mère. Elle m'explique en quoi consiste l'association qui s'est chargée de faire venir João. Ludovic lui explique que je lui ai trouvé un petit travail et qu'il va bientôt être indépendant financièrement. Elle s'étonne et nous dit qu'il doit quand même poursuivre ses études jusqu'au bout. Là-dessus je m'y engage. D'un autre côté cela va dégager des fonds pour un autre cas.
Elle me dit qu'elle en fera part à la secrétaire et que João n'aura qu'à passer leur signifier sa nouvelle adresse, pour qu'ils puissent continuer à le suivre. Je laisse glisser. Il sera toujours temps pour João de couper les ponts plus tard. Quand nous allons pour partir, Enguerrand dévale l'escalier pour nous saluer. Il me tombe dans les bras et me fait un gros bisou. Sa mère l'excuse et me dis que depuis trois semaines, elle ne le reconnaît plus ou plutôt elle retrouve son enfant qui a enfin terminé sa crise d'adolescence. Comme il est encore contre moi, je passe ma main dans ses cheveux et les ébouriffe en ironisant "hé bien mon petit, on s'est finalement calmé ". Il éclate de rire et passe dans les bras de son frère. Le jeudi soir, je suis avec João dans mon bureau. Il m'a pressé pour que je le fasse travailler. Il me dit qu'il vit à mes crochets et que ça le gène. J'ai beau lui dire de ne pas s'inquiéter, il m'a tanné jusqu'à ce que j'accepte. Il voit sa fiche pour la première fois. Il trouve les photos bien faite et me demande en rigolant qui est le mec dessus. La fiche est envoyée à mes clients. Les retours sont rapides, je les avais prévenus qu'un nouvel escort atypique venait d'intégrer ma boite. Même si le rendez-vous est pour dans 2 semaines (le temps de finir de préparer mon João), les offres se bousculent. Son physique brésilien affole le réseau ! Comme d'habitude, un ralentissement se produit après une demi-heure. La relance est facile, j'ajoute deux nouvelles photos où il apparait nu de face comme de dos. Nouvelle demi-heure de folie. A mes côtés João est scié par le montant qui ne cesse de croitre au bas de l'écran. Quand les chiffres s'arrêtent de bouger, ils ont atteint la plus belle enchère de puceau jamais réalisée. Par contre le client est dans la partie haute du classement en taille de bite. Je devrais le préparer pour un calibre 25x6,5.
Je sors la fiche client et la donne à João. Il la lit et s'aperçois du boa qu'il va devoir apprivoiser. Lui est un brésilien des favela pas de la forêt amazonienne et les boas c'est pas son truc, même s'il m'avoue qu'il ressemble assez à celui de son " mentor " en blanc puis il ajoute en plus gros quand même.
Je le rassure et lui dis qu'il n'y a rien qu'une bonne préparation ne peut arranger. Quand nous remontons et que PH apprend le nom du gagnant, il dit à João qu'il aurait pu tomber pire. Mais qu'il doit quand même bien se préparer.
Pendant les 15 jours qui vont suivre, il viendra 6 fois pour qu'on le mette à niveau. Là ce sera passage au sous-sol et il fera connaissance avec le donjon et sa collection de gode. Lavements plus graissage en quantité, plus poppers qu'il ne connaissait pas et sodos plus godes, il est rapidement au point où il s'en sortira sans difficultés le jour du rendez-vous. J'en profite aussi pour lui faire ouvrir un compte à la banque d'André et lui obtient une Visa en créditant le compte d'une avance sur honoraires.
Pour le rassurer, je l'emmène et l'attend. Il se débrouille comme un pro. Ses pipes sont convaincantes et sa rondelle élargie juste ce qu'il fallait pour que le client soit quand même serré dedans. La performance lui vaudra comme souvent un bonus intéressant. Quand je lui remets les billets dans les mains, il me les rend et me dit que ça couvrira une partie de ce qu'il me doit. J'éclate de rire et me dit que ça c'est déjà fait avec mon pourcentage. C'est donc tout pour lui. Il n'en revient pas. Nous repassons par le Blockhaus. Tout fier il dit à PH combien le mec lui a donnée en plus. PH sourit et lui dit que c'est uniquement parce qu'il a été très bon. João se tourne alors vers moi et me roule une pelle de remerciement. Puis il s'écarte violemment et s'excuse auprès de PH. Eclats de rire de ce dernier qui lui dit qu'il n'y a pas de malaise, il sait bien que mes escorts m'aiment tous un peu.
Les 3 semaines en immersion presque totale avec João nous ont fait l'apprécier encore plus. Sa simplicité toute brésilienne, la chaleur qu'il met dans ses rapports humains (et oui pas que sexuels), réchauffe le blockhaus plus sûrement que le chauffage au sol. Son accent ensoleille la maison et lui-même semble heureux de sa nouvelle situation. Je crois qu'il retrouve un peu de cette ambiance de groupe masculin dans lequel il a passé sa jeunesse. Il se sent aussi protégé du monde extérieur par notre présence et sait qu'il peut compter sur des amis qui le comprennent vraiment. Pas juste des gens pleins de compassion pour son état d'orphelin de favela. Il a passé 5 ans sous ce régime de " protégé de l'église " et ça lui pesait beaucoup, même s'il leur en était reconnaissant.
Il s'épanoui avec nous comme il ne le pourrait pas avec eux. Même le dirigeant du club où il officie n'avait pu percer sa carapace comme nous, nous avons pu le faire. Méfiant et un peu timide, il n'avait jamais osé se confier avant nous.
C'est un honneur qu'il nous fait et il ne m'en est que plus cher à mon coeur.
Jardinier
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Le magasin de chaussures
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Pierre Fournier
Tradition: n. f. Transmission de faits historiques, de doctrines religieuses, de légendes, d'âge en âge par voie orale, sans preuve authentique écrite.
Le Littré
Le détaillant et modéliste de vêtement Pierre Fournier a dirigé les magasins Globe dans les années 1970, Hémisphères dans les années 1980, Anatomica depuis 1993. Toujours actif de nos jours il est âgé de 80 ans cette année.
La création de vêtement repose sur l'esthétique et le fonctionnel, deux critères qui renvoient respectivement aux métiers de styliste et de modéliste. Oiseau rare, monsieur Fournier additionne les deux compétences et a bâti le renom de ses magasins sur des vêtements "anatomiques" les mieux pensés possible, adaptés au corps, résistants à l'usure. Un sens du modélisme concentra dès l'époque de Globe son attention sur les vêtements de base, les "basiques" auxquels il conféra le plus de classicisme possible dans le but de les rendre indémodables, au-dessus des modes. La chemise d'ouvrier aura des coutures, des poches, des lignes les plus adaptées à la morphologie et aux mouvements requis par le travail, critères qui ne sont pas à chercher dans un "techwear" futuriste ni dans un "vintage" caduque mais dans la partie de la culture occidentale qui traverse les époques, la Tradition. Savons-nous combien de vêtements ont-été réellement inventés au 20ème siècle ? 4... Et combien de boissons? Une seule (le coca). Il n'y a pas de créateur de vêtement, tant mieux!
Pierre Fournier appliquera les principes traditionnels aussi en matière de chaussure, lorsqu'il fera faire par la firme Alden une gamme spécifique. Le critère étant ici le "chaussant", Fournier va au fond de questions que ni les artisans ni les clients ne se posent plus en matière de confort et de maintien, et ose prescrire aux clients un nouvel étalonnage des pointures appuyé par un argumentaire fruit de 30 ans de pratique du métier. Les clients chausseront désormais 2 à 3 pointures au-dessus de leur taille usuelle. Libérant de l'espace derrière le talon et devant les orteils la chaussure est conçue pour serrer davantage le cou-de-pied, notamment dans la largeur, et demeurer plus lâche sous les contreforts et trépointes. Cette manière de chausser supprime les frottements et soutient la voûte plantaire, et au plan esthétique elle donne une chaussure étroite et longue qui est l'idéal en la matière.
Produire une chaussure pensée pour s'adapter à la forme du pied, un vêtement pensé pour suivre les lignes du corps, aboutissent à une forme définitive à laquelle tout ajout devient un excédent et tout retranchement une amputation. La tradition populaire française s'est toujours tenue à équidistance de deux écueils : d'abord de la mode qui spécule sur une suspension du jugement des masses abruties par le prêt-à-porter (soumission par pression horizontale), ensuite du sartorialisme qui est au contraire l'expression tapageuse d'élites visant à se singulariser (snobisme par les musts).
La qualité suppose l'appelation d'origine contrôlée, qui elle même suppose un terroir protégeant une fabrication locale par un prolétariat choyé. Lorsque l'on comprend le modèle économique que suppose le Made in France on veut relire les théoriciens des modèles économiques durables, organisés au bénéfice des producteurs et des consommateurs compris comme un seul et même peuple.
Le sujet du vêtement de qualité ouvre tant de perspectives : esthétiques certes mais encore économiques et politiques. Quand nous comprenons la quête esthétique de Pierre Fournier nous percevons que ce standard de qualité renvoie, pour des raisons de coût de fabrication aux thèses de William Morris (L'art et l'artisanat, Comment nous vivons) et à celles de tous les syndicalistes français transcourant : George Sorel, Joseph Proudhon, Charles Maurras, Joseph Fourrier, Edouard Berth. C'est-à-dire le retour aux sujets sérieux, aux questions fondamentales : comment produire dans le pays, par le peuple du pays, pour le peuple du pays. Comment produire local, qualitatif, en circuit court, sans gaspillage, en rémunérant correctement les travailleurs locaux? Quelles sont les pré-requis qu'un Made in France généralisé suppose au plan de l'émission de monnaie, au plan fiscal, au plan des prix de l'immobilier ? Une ébauche de réponse tient dans le discours de George Marchais (PCF) à Montigny en 1981 : protection du prolétariat, arrêt de l'invasion migratoire et éviction des clandestins (xénélasie), hausse des salaires par une baisse des charges sur les entreprises. Mesures de bon sens pourtant déclaration de guerre à la Bourse qui a besoin d'un sous-prolétariat invasif pour abaisser les salaires et le niveau de conscience du prolétariat du pays… Mais mesures nécessaires pour que la veste en flanelle de chez Anatomica qui dure 20 ans vous coûte 80 euros et non pas 750 euros comme aujourd'hui.
Dans un Made in France bien pensé, l'ouvrier a les moyens d'acheter pour lui-même les produits de qualité qu'il fabrique par son savoir-faire et c'est justice: voiture, maison, vêtement, sont à lui non parce qu'il est un consommateur interchangeable mais parce qu'il en est le producteur exclusif.
Voila l'un des fruits de l'idéal syndical, ou chrétien, ou corporatiste, ou libertarien, ou fasciste, ou socialiste, appelez le comme vous voudrez: vêtir le peuple avec intelligence, avec des pièces sobres, élégantes, fonctionnelles, vêtir un peuple mis en mesure de discerner le vrai du faux, ayant recouvré sa propre tradition que les marchands de drouille lui avaient confisqué, et lui offrir des garde-robes réduites en quantité mais haussées en qualité donc en durabilité. Opposer au trop-plein des armoires, au côté malsain de l'accumulation, la saine épure de quelques pièces très pensées que l'on portera 30 ans, rapées jusqu'à la doublure. Charme d'une patine qui raconte une histoire, la nôtre.
(écriteau de porte d'entrée du magasin Anatomica)
La création de vêtement est un sujet propice aux transpositions et analogies: stylisme morphologique, modélisme anatomique, sont la recherche non d'une forme éternelle, mais de l'esprit éternel d'une forme idéale, la plus exacte, la plus fonctionnelle, la mieux ajustée, une forme adaptée tant au mouvement qu'à l'immobilité. "Il n'existe pas de voiture éternelle, le mythe de la 2 CV n'est pas intemporel du tout" me dit un jour Pierre Fournier. Il existe toutefois selon l'usage et le mode de production disponible, une voiture la plus fonctionnelle possible à un moment donné. La différence entre Anatomica et The Kooples par exemple, est la même distance qui a séparé Gabriel Voisin d'André Citroën au début du 20ème siècle: d'un côté l'aristocratie ouvrière où chaque travailleur maîtrise la totalité du travail à accomplir, de l'autre côté l'assembleur de pièces précalibrées dont le modèle industriel repose sur la division des tâches, la parcellisation, le contrôle panoptique, qui aboutira au Fordisme.
Enfin Pierre Fournier a fait montre d'une certaine attitude devant la vie. Nous aimons ces paris tenus, ces investissements risqués, l'insolence d'ouvrir Avenue de la Grande-Armée en 1980 un magnifique magasin racheté à un monsieur de 1900. Nous aimons le goût très sûr pour le vêtement français ancien vendu aux "branchés" de l'époque, pour cette manière de chercher dans le passé les meilleures pièces et de les replacer dans le sens du temps présent. Nous aimons que Fournier n'ait jamais fait de marketing mais que le seul bouche à oreille l'ait placé comme la référence du style français à l'étranger, notamment en Angleterre et surtout au Japon où il est aujourd'hui abondamment distribué (3 magasins là-bas contre 1 seul en France).
Un vrai tailleur étudie l'anatomie puis le modélisme aussi sûrement qu'un séminariste étudie la philosophie puis la théologie. L'un s'occupe du corps, l'autre prend soin de l'âme. Mais si la philosophie est la servante de la théologie, c'est bien le vêtement qui est au service du corps... Dans un temps où le monde inverti proclame l'exact contraire, Pierre Fournier est l'un des seuls détaillants à avoir cru en la Tradition et à l'avoir mise en pratique. Merci monsieur Fournier!
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Rudy a eu :
-le nez cassé
-si peu de cheveux qu'il les a rasés
-huit mois de réclusion
-un deuil à gérer depuis ses quatre ans
-un truc qui s'est éteint dans ses yeux, il ne saurait pas dire quand, c'est venu petit à petit
Et aujourd'hui, il s'installe au piano de la gare. Il courbe son cou, ouvre légèrement la bouche. Il ne voit plus rien autour. Les deux iris noirs fixes sur ses deux index raides. Il tâtonne. Il cherche une mélodie perdue. Le pied enfoncé sur la pédale de droite. Trois cabas Auchan crient des paysages colorés contre le piano noir. La campagne, la mer, et encore la campagne.
Rudy porte un costume noir aux fines rayures blanches offert par son premier employeur (un magasin de vêtements à Barbès), des chaussures en cuir noir cirées pour la dernière fois à sa sortie de prison. Des chaussettes airness visibles quand il est assis car il n'avait pas tout à fait fini sa croissance quand on lui a offert le pantalon.
On reconnaît les mélodies de Francis Cabrel, Laurent Voulzy, Elton John. Alors, on devine un peu de l'enfance de Rudy. Les goûters chez une voisine après l'école. Il n'a pas beaucoup de technique. On devine alors qu'il n'y avait pas de piano chez cette voisine. En effet, c'est en prison, qu'il a découvert le piano. Avec une prof qui venait toutes les trois semaines avec son clavier, mais surtout seul, pendant des heures avec un des octaves imaginaires, dessinées sur un rouleau de tissu.
Pour les dizaines de passagèr·es qui l'entendent de loin, c'est mauvais. Rudy, il faut le voir pour qu'il nous touche.
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Friday False Advertising… When the store doesn’t sell what the storefront advertises.
Found one in Bordeaux from Magasin de Chaussures (Shoes store) to clothes store (with no shoes being sold!)
***During my "flânerie", I often notice the beautiful old storefronts, some are even listed as historical monuments but the ones I prefer are the ones where the storefront and the actual store don’t have anything in common… aka my "False Advertising" series***
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Vivre avec son siècle... si on peut !
Les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent la petite faiblesse que j'ai pour les textes publicitaires, et ils ne sont pas étonnés, de temps en temps, de trouver une ''pub'' ou une autre, copieusement ridiculisée. Mais il coule de source que si leurs auteurs ne voulaient pas l'être (ridiculisés, bien sûr !), il leur suffisait de ne pas prêter le flan à la raillerie et au persiflage : ils me font penser à ces femmes islamisées qui s'habillent ''comme on ne se vêt pas, par chez nous''... et qui font semblant de se sentir outragées lorsqu'on les regarde, pour ça, comme quelque chose d'un peu... spécial...
Aujourd'hui, je vais m'en prendre à un texte d'une indigence rare, d'une prétention jargonnisante exceptionnelle et d'une bêtise rarement rencontrée, même dans ce milieu assez ''spécial'' --que j'ai fréquenté intensément lorsque, Directeur général des 187 grands magasins ''Aux Nouvelles Galeries'' (alors leader incontesté de la distribution en France), je diffusais dans les provinces les recommandations de quelques ''gourous'' de la mode, dont le ''volapük'' n'était ni meilleur ni pire que celui que leurs successeurs utilisent de nos jours.
Pour aujourd'hui, ma victime expiatoire va être le magazine hebdomadaire ''Elle'', de belle réputation puisqu'il a été créé en 1945 par les Lazareff, d'illustre mémoire. Je l'ai lu dans une salle d'attente. Et ''Elle'', qui nous impressionne depuis toujours par l'à-propos des questions qu'Elle pose à ses quelque 350 000 lectrices, s'est littéralement surpassée, défoncée, éclatée dans ce numéro-là. En effet, ses journalistes se et nous posent la question (angoissante) suivante : ''Quelles chaussures à talons confortables convient-il de porter, ce printemps ?'' (qui, en théorie, devrait nous réchauffer depuis le 21 mars. Greta Thunberg aura oublié de lui rappeler ''son'' réchauffement !).
Et, pour rester fidèle à sa réputation d'efficacité, de rapidité, de précision et de refus de toute pratique procrastinatrice, la réponse à cette question existentielle fuse, vive comme l'éclair (enfin... peut-être. Mais... pas pour tout le monde !) : Premièrement, les escarpins Slingback qui, précise le texte, ''ont su conquérir le cœur de la parisienne'' (je jure que je n'invente rien, ni ici, ni ensuite). Qui dit ''reconquérir'' sous entend que la belle leur a été infidèle, ce qui est très mal : on nous avait caché le drame affreux qu'a été cet abandon. Question suivante : ''pourquoi et comment l'a-t-elle reconquis, ce cœur ?'' Eh ! Bien, c'est tout simple : ''Grâce à l'essor minimaliste façon nineties –ça, je pense que c'est de l'anglais, et ça doit vouloir dire ''90'', ce qui va entraîner mon adhésion massive : c'est juste mon âge ! Je souscris et, comme dirait Macron sans savoir ce que ça veut dire : ''j'assume'' !).
Deuxièmement : ''les mules à talons''. Vous n'en pouvez plus de savoir pourquoi ? C'est simple : ''A cause de leur designs classiques mais tout de même twistés''... argument devant lequel je ne peux que m'incliner : si les mules sont twistées, qui suis-je, moi, pour ne pas être d'accord ?Troisièmement : les salomés. Et là, je sais que je viens de vous en boucher un coin, et que vous êtes impressionnés. Rassurez-vous : il ne s'agit que, si j'ose dire, de ''ces souliers à petits talons délicieusement rétro qui font partie du vestiaire de la parisienne depuis belle lurette'' (je ne fais que citer !). Et en y réfléchissant bien, c'est exact : fouillez bien n'importe quel vestiaire de n'importe quelle parisienne et je vous fiche mon billet que vous trouverez là un fond de salomés qui attend depuis des lurettes que vous les dénichiez. (NB et si vous n'en trouvez pas, une seule explication : votre fille (ou ''!'une de vos --'') vous les a piquées. Pas d'autre explication possible.
Quatrièmement : le ''babies''.(NB : si vous êtes comme moi, vous devriez être assez surpris (es) que les lectrices de Elle s'intéressent aux 'babies'' pour autre chose que les exfiltrer de leur ventre, qui est, chacun sait ça, ''à elles''. Mais là, ''no souçaille'' : il s'agit de chaussures).''Elle'' est formelle sur ce sujet fondamental : ''Les parisiennes raffolent de leur côté rétro et preppy, sans avoir pour autant un look premier degré''... ce qui calme une partie de mes angoisses, elles aussi existentielles : je redoutais plus que tout que leur look, ni assez rétro ni assez preppy, ne soit déjà plus assez premier degré. Me voilà tranquillisé.
Cinquièmement ! Les sandales kitten heels Le choix de ces sandales pas comme des sandales tient à ce qu'elles ''assurent une allure grand chic en soirée'', au point de ''décoincer une tenue en pantalon de costume et veston'' . (Vous remarquerez que le jargon est si partagé ''entre soi'' que jamais aucun guillemet n'est nécessaire : on se comprend, dans ce bon français made in Villers-Cautterêts mais revu et corrigé... et macronisé. Est-ce ça qu'on désigne par ''décadence'' ? Je ne peux pas m'empêcher de penser que... oui !).
Je vais être hélas obligé d'interrompre ici cette intéressante suite de réponses à une non moins intéressante question : pas moyen de pousser plus loin cette puissante étude, et le combat cessa donc, faute de combattants. Je dois reconnaître que, n'étant pas drag queen, je n'ai pas totalement trouvé la réponse à ''Dans quoi et sur quoi vais-je marcher, ce printemps ?''. Une autre remarque récurrente a trait au salaire et aux émoluments des gens qui non seulement osent ''pondre'' de telles stupidités (et encore... pour une fois, il n'y a ni incitation à la débauche ni pousse au crime ! C'est presque ''moins pire'' que la plupart du temps ! Merci, Elle !), mais ont le courage (?) physique et social de le laisser publier. Tout de même... qu'elle est triste, notre époque !
H-Cl.
PS important -- Les lecteurs de ce Blog savent beaucoup de choses sur ma vie ; c'est le signe et la preuve de leur importance à mes yeux. Parmi ces informations partagées, le fait que j'ai la chance d'avoir un nombre respectable de petits enfants et d'arrière-petits enfants, d'une part, et le coup terrible qu'a été le départ de ma chère épouse, il va y avoir un an de ça, d'autre part.
Il se trouve que les 3 semaines qui viennent vont correspondre à un téléscopage d'obligations (baptême d'un arrière petit fils, mariage d'un petit fils, commémoration familiale, et premier anniversaire du départ d'Evelyne) qui me font aller aux célèbres ''quatre coins de l'hexagone'' (de la Mayenne au Haut -Doubs et de Paris au Loiret, pour se terminer à Mougins...), avec certains endroits hors de toute ''couverture'' informatique). Vous me voyez venir : sortant, en plus, d'une lourde maladie, il ne va pas m'être possible d'assurer une régularité parfaite de notre blog, et je n'aurai même pas toujours la possibilité de vous prévenir de mes défaillances.
Je vous en demande pardon. Je ferai de mon mieux... qui risque de ne pas être très performant.
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D’Artagnan et Daniel
Vous les croyiez disparues ? Et bien non, elles existent toujours ces pailles. Les tortues n’ont pas fini d’être torturées.
La Floride
Prendre un coup de soleil au mois de mars…
Si pour aller à la plage, on s'arrête dans 3 magasins, c'est pour avoir le bon snack, le bon sandwich et la bonne boisson. Au retour de la plage, c'est pour acheter des trucs pour la maison, des chaussures et une glace évidemment. J'ai pu constater la joie, l'exaltation, que dis-je, l'épanouissement de tous ces gens travaillant en grande surface le dimanche !
#Sunday#Pensacola Beach#Florida#Alabama#travel#going to the beach#american sunday#holidays#couchsurfing#usa
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Le Communautarisme Économique est une Idéologie, dont le mécanisme consiste à faire tourner l’argent Entre Nous!
C'est le seul moyen de pouvoir s'enrichir dans une communauté et dans un pays.
Consommons dans les petits magasins et les marchés. Surtout consommons ce que nous produisons.
👉Consommez ce que cos amis et votre pays produisent !
👉Si ton ami a une petite entreprise, un salon de coiffure, une alimentation, achètes chez lui.
👉Si ton voisin vend des vêtements, achètes-les!
👉Si ta voisine vend des chaussures, achète-les !
👉Si ton cousin vend de la pâtisserie, achètes-en !
👉Si ton ami dait des ongles, emmènes ta mère, ta sœur, ta femme. Même la petite du dehors, emmènes là-bas.
👉Si ton ami est comptable, avocat, va chercher conseil chez lui.
Siw gen yon Pwoblèm ! 👉Si wap chache yon Solisyon !
Kominote sila deja rezoud sa : Lien KATYE-NOU : https://chat.whatsapp.com/FlbWzFuoJrt12vTPbQOeqd
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Comment racheter un fonds de commerce de magasin de chaussures de sport
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Monop' et Coppola.
Suite de mes aventures incroyables que vous attendiez, j’en suis certaine, avec une impatience non contenue. Je me suis réveillée à 22h (enfin pas tout à fait j’étais déjà debout mais vous comprenez l’idée). Bref je me suis réveillée à 22h. MERDE ! LES CHAUSSETTES ! Tout m’est revenu d’un coup en pleine face après avoir dîné la conscience tranquille. Naïve triple buse. Le départ. La sensation d’oubli. Le quai. L’illumination. J’avais qu’un truc à pas oublier cet aprem et plutôt crever que d’aller shooter demain les pieds nus dans mes baskets. J’allais bosser à la Samaritaine, des chaussettes y en aurait des tas certes, mais j’allais pas demander aux clients « excusez moi tout le monde, petite pause, je passe chez Jacquemus pour m’acheter des soquètes. » Question d’intégrité. Puis je me suis souvenue que j’étais à Paris. Et que Paris est une fête. Non c’est pas ça. Que j’ai deux amours mon pays et Paris. Toujours pas. Qu’il est 5h Paris s’éveille. On chauffe. Qu’à Paris Monoprix ferme à minuit. Voilà on y est. Derechef j’ai enfilé mes chaussures (avec ou sans chaussettes je pose le mystère) et suis partie triomphante au Monoprix d’en face. Triomphante pas longtemps car je me suis vite aperçu qu’à première vue ils y vendaient tout sauf des chaussettes. J’ai erré dans les rayons et avec beaucoup de sérieux j’ai commencé à tout envisager. C’est surprenant comme des situations désespérées amènent des réflexions tout aussi désespérées. Les minis paquets de chips, trop bruyant, trop gras. Les couches pour bébé. Ça rentrera jamais dans mes vans. Les gants de toilette. Ça tiendra trop chaud. Les serviettes hygiéniques. C’est un coup à transpirer. Le PQ, manque d’élégance. Tout sauf remettre des chaussettes sales ou pas de chaussettes du tout mais force est de constater que j’étais pas vraiment aidée. C’est lorsque j’envisageais les feuilles d’endives que la vie, frappée de pitié, a mis sur mon chemin l’unique paire de chaussettes du magasin. Noires comme je voulais et à ma taille sacré nom d’une pipe. En fil de coton mélangé d’écosse à 10 balles. Bah oui Sarah, on est à Monop. Puis chez Jacquemus elles sont à 35. N’oublie pas. Paris est une fête.
Vivement que Sofia Coppola me consacre un biopic.
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J23 ▪️ Ostheim vor der Rhön - Mellrichstadt
14,8 km [512,7]▫️+290 m [+11 305]▫️17 °C
LE DRAME ! Il est l’heure de partir. Je lace mes chaussures encore humides, j’enfile mon coupe-vent, je hisse mon sac à dos sur mes épaules et… mon chapeau ! Où est mon chapeau ? On perquisitionne la chambre, je vide mon sac à dos au cas où il aurait essayé de jouer les passagers clandestins. Rien. Mince ! Peut-être est-il resté au bar. Plein d’espoir, je demande à la patronne en lui remettant les clés, avec mon plus bel accent : « Haben sie einen grünen Hut gefunden ? » et un sous-titrage en langue des signes pour mettre toutes les chances de son côté. “Einen grünen hut ?” reprend-elle avec une moue de perplexité prononcée. Je hoche la tête affirmativement. Elle se tourne vers sa mère à droite avec un coup de menton interrogateur, puis vers sa fille à gauche, car ici on travaille en famille. Et le verdict tombe, à l’unanimité du jury : « Wir haben keinen Hut gefunden ». Mon chapeau ! On avait fait tant de kilomètres ensemble, protégeant mon crâne chauve des ardeurs du soleil, de la froidure du matin et de la pluie du ciel… et pfff, comme ça, évaporé un beau matin. C’est trop injuste. Compatissante, Mireille me prête le sien, un bob bleu marine très classe qu’elle ne sort que pour les grands événements de type déluge.
Il ne pleut pas ce matin mais avec seulement 13 °C et un petit vent, j’apprécie de garder mes idées et mes pensées au chaud.
Bien que très affecté moralement par ma perte, je ne me laisse pas aller ! Un nouveau projet se forme sous la chaleur du bobamimi, acheter un nouveau chapeau, pourquoi pas dès aujourd’hui, et pourquoi pas avec une petite plume comme ça se fait ici en Bavière. Mellrichstadt est une assez grande ville, il doit bien y avoir un magasin de sport. Que dit Google ? Bingo ! Un Intersport ! Dès la lessive essorée et mise à sécher (c’est mon boulot dans le cadre de notre politique d’égalité des tâches randonnières), nous allons à l’Intersport. J’ai le cœur qui bat. Le magasin est bien plus grand que je ne l'imaginais mais le rayon bob plus petit aussi. Il y a trois quatre modèles. Pas de coup de foudre, mais on a appris à se contenter de peu, vous le savez déjà. J’essaie un premier modèle. Il me tombe sur les yeux. Trop grand. L/XL indique l’étiquette. Pas grave, on va chercher le M. Eh ben pas de M. Pour aucun des modèles. On trouve un deuxième îlot de bobs au rayon plage, idem. On regarde même les bobs que portent les mannequins… L/XL. Incroyable ! Les Allemands ont tous la grosse tête ! Je le pensais bien un peu mais là ça devient fait avéré. À force de déambuler fiévreusement dans les rayons à la recherche du bob M, on attire l’attention d’une vendeuse. « Chapeau - Trop grande - L/ XL - Je M besoin ». Lui dis-je. J’ai l’impression qu’elle sait qu’il n’y a que des grandes tailles. Elle compatit, réfléchit, nous laisse un instant et revient avec un petit bob couleur pistache. Mireille, qui sait cacher ses émotions comme personne, fait la moue et les yeux du « wakilèlè ». Qu’importe ! Je l’essaie. Il tient sur ma tête, c’est déjà formidable. Et puis c’est bon la pistache ! « Okay », dis-je en allemand. À la caisse, la vendeuse qui a bien compris que c’était pour mettre tout de suite, enlève l’étiquette d’un coup de ciseaux rapide et précis. Sitôt sorti, je pose mon nouveau compagnon sur mon crâne et, faisant fi du sourire narquois de Mireille, nous partons tous trois visiter la vieille ville sous le ciel bleu enfin réapparu.
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« Le trail ne nécessite pas beaucoup de matériel ! Une paire de chaussures et en avant ! »
Toi sortant du magasin :
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