#lunettes des sol
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Law & Love
Chapitre 2 : Sous Tension
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Le soleil matinal perçait à travers les stores du bureau d'Agatha, projetant des lignes d'ombre et de lumière sur les piles de dossiers empilées sur son bureau. Elle était arrivée tôt, bien avant ses collaborateurs, espérant que le calme relatif du matin l'aiderait à remettre de l'ordre dans son esprit.
Mais le calme ne venait pas.
La nuit avait été longue et agitée, ponctuée de flashbacks du bar, de Victoria et Diane, et, surtout, de la confrontation glaciale avec Jonathan. Le souvenir du regard de Victoria — ce mélange de défi et d'intensité — persistait dans son esprit, s'invitant là où il n'avait pas sa place.
Un léger coup frappé à la porte la sortit de ses pensées. Lilia Calderu entra, un dossier épais dans les mains et un sourire malicieux sur les lèvres.
« Tu es matinale aujourd'hui, Agatha. C'est ton nouveau truc ? Te torturer avec du café tiède et des piles de paperasse avant que tout le monde arrive ? »
Agatha esquissa un sourire fatigué. « Le travail ne se fait pas tout seul, Lilia. Qu'est-ce que tu as pour moi ? »
Lilia posa le dossier sur le bureau d'Agatha, ses sourcils se haussant légèrement comme pour souligner son importance. « Une nouvelle affaire, et pas des moindres. Une grosse société est accusée d'intimidation de témoins et de fraude. Ils veulent que notre cabinet les défende. »
Agatha ouvrit le dossier, parcourant rapidement les premières lignes. Ses sourcils se froncèrent. « Une multinationale accusée de corruption... Ce genre d'affaire attire toujours les projecteurs. Pourquoi on devrait se mouiller pour eux ? »
Lilia croisa les bras, penchant légèrement la tête. « Parce que gagner ce genre de procès pourrait nous apporter des contrats encore plus juteux. Et, je ne vais pas te mentir, battre Victoria et Diane sur ce terrain serait savoureux. »
À l'entente du nom de Victoria, Agatha releva les yeux. « Elles sont sur l'affaire ? »
Lilia hocha la tête. « Elles représentent un témoin clé, une ancienne employée de l'entreprise qui joue les lanceuses d'alerte. C'est une bataille à venir, Agatha, et ça va être intense. »
Agatha referma le dossier d'un geste sec. Son instinct lui disait de refuser, mais sa fierté refusait de laisser une nouvelle victoire à Victoria.
« Très bien. On prend le dossier, » dit-elle finalement, sa voix ferme.
Lilia sourit, puis recula vers la porte. « Je savais que tu ne résisterais pas. Prépare-toi, ça va chauffer. »
Lorsque la porte se referma, Agatha resta un moment immobile. Cette affaire allait être plus qu'un simple affrontement juridique. Elle le sentait déjà.
Le souvenir du regard de Victoria, mêlé à la douleur encore vive de la trahison de Jonathan, formait un cocktail dangereux. Pour la première fois depuis longtemps, Agatha n'était pas sûre d'être totalement en contrôle.
༻﹡༺
Le soleil matinal illuminait également le bureau spacieux de Victoria, baigné dans des teintes dorées. Elle était assise derrière son bureau, une tasse de café à moitié vide posée à côté d'un épais dossier. Ses lunettes glissèrent légèrement sur son nez alors qu'elle lisait attentivement un rapport.
Le bruit de talons claquant sur le sol annonça l'arrivée de Diane Lockhart, élégante comme toujours, dans un tailleur crème parfaitement coupé. Elle entra sans frapper, un sourire complice sur les lèvres et un dossier sous le bras.
« Toujours plongée dans ton travail dès le matin, à ce que je vois, » lança Diane en posant son dossier sur le bureau de Victoria.
Victoria releva les yeux et retira ses lunettes. « Et toi, Diane, toujours prête à me donner plus de boulot ? » Elle esquissa un sourire, visiblement de bonne humeur malgré son sarcasme.
Diane s'assit en face de Victoria, croisant élégamment les jambes. « Je préfère appeler ça une opportunité. Notre lanceuse d'alerte a des informations explosives, mais elle n'est pas en sécurité. L'entreprise que nous affrontons joue visiblement très sale. »
Victoria feuilleta rapidement les premières pages du dossier, son expression se durcissant au fur et à mesure qu'elle lisait. « Intimidation de témoins... menaces anonymes... Bien sûr qu'ils jouent sale. Ces gens n'hésiteront pas à tout détruire pour sauver leur réputation. »
Diane observa Victoria avec une lueur d'admiration. « C'est pour ça que je voulais que tu prennes cette affaire. Tu as l'instinct et la ténacité qu'il faut pour gérer ce genre de situation. »
Victoria releva les yeux, un sourire presque timide se dessinant sur ses lèvres. « Merci pour la confiance. Je suppose qu'on va leur montrer ce qu'on vaut. »
Diane s'approcha légèrement, posant une main sur le dossier. « Ce ne sera pas facile, surtout avec Agatha Harkness en face. Elle est redoutable. »
À l'entente du nom d'Agatha, un éclat étrange passa dans les yeux de Victoria. Elle masqua son trouble en buvant une gorgée de café.
Diane ne manqua pas ce détail. Elle pencha la tête, un sourire malicieux aux lèvres. « Oh... Agatha Harkness. Je vois que le nom évoque quelque chose chez toi. »
Victoria releva les yeux, jouant l'indifférence. « Elle est talentueuse, je ne vais pas le nier. Mais c'est une rivale comme une autre. »
Diane haussa un sourcil, pas convaincue. « Vraiment ? Parce que la façon dont tu parles d'elle... ça sonne un peu plus personnel. »
Victoria se contenta de sourire en coin, ne confirmant ni ne démentant l'insinuation. « Peut-être que je trouve intéressant de la battre, tout simplement. »
Diane rit doucement, se levant de sa chaise. « Très bien, garde tes secrets. Mais sois prudente, Victoria. Ce genre de rivalité peut devenir... distrayante. »
Victoria la regarda partir, le sourire de Diane lui restant en tête. Distrayante ? Elle ne pouvait pas nier que quelque chose chez Agatha la troublait.
Elle reposa son café et se pencha sur le dossier, essayant de se concentrer sur l'affaire à venir. Mais l'image d'Agatha — son assurance, son regard froid, sa prestance dans la salle d'audience — lui revenait sans cesse en mémoire.
༻﹡༺
Agatha feuilleta le dossier posé devant elle, son regard aiguisé scrutant chaque ligne avec une attention méticuleuse. Les premières recherches menées par son équipe mettaient en lumière une affaire bien plus trouble qu'elle ne l'avait anticipé.
La multinationale qu'ils devaient défendre n'était pas seulement accusée de corruption, mais aussi de pressions exercées sur plusieurs témoins clés, allant jusqu'à des menaces à peine voilées. Cela ne figurait pas directement dans les documents officiels, bien sûr. Tout était soigneusement dissimulé, mais Agatha savait reconnaître les signes d'un client prêt à tout pour protéger ses intérêts.
Elle referma le dossier avec un soupir, croisant les bras et s'adossant dans son fauteuil en cuir. Un léger froncement barra son front. Défendre une entreprise avec de telles accusations posait une question d'éthique. Cela allait à l'encontre de ses propres valeurs.
Mais le jeu était dangereux, et la tentation de s'opposer à Victoria — de lui ravir une victoire éclatante — pesait lourd dans la balance. La victoire avait un prix, et dans le monde juridique, ce prix impliquait souvent d'enfouir ses scrupules.
Lilia entra à ce moment, tenant une tasse de café et quelques nouvelles pièces pour le dossier. « J'ai des éléments supplémentaires sur l'entreprise, » dit-elle en posant les documents sur le bureau. « On dirait qu'ils ont utilisé des intermédiaires pour éviter que les pressions sur les témoins ne remontent directement à eux. Malin, mais on peut deviner la chaîne. »
Agatha hocha la tête, prenant les documents et les feuilletant rapidement. « Cela reste de l'intimidation. Une zone grise, mais une zone que je n'aime pas traverser. »
Lilia haussa un sourcil, posant ses mains sur le bord du bureau. « Mais on le fait, non ? Tu veux gagner, Agatha. Et battre Grant et Lockhart sur une affaire comme celle-ci, c'est le genre de victoire qui reste dans les annales. »
Agatha releva les yeux, son regard perçant se posant sur Lilia. Elle savait que sa collaboratrice avait raison, mais cela n'effaçait pas les doutes qui grondaient en elle.
« Si on défend cette entreprise, il faudra s'assurer qu'aucune preuve d'intimidation ne refait surface, » dit-elle finalement, sa voix froide et déterminée. « Et il va falloir creuser. Je veux des informations sur le témoin clé de Victoria, cette lanceuse d'alerte. »
Lilia esquissa un sourire satisfait. « Je savais que tu serais prête à jouer le jeu. »
Mais alors qu'elle quittait le bureau, Agatha resta immobile, le regard perdu dans le vide. Une part d'elle-même n'était pas certaine de pouvoir justifier ses choix. Mais une autre, plus profonde, savait que l'affrontement avec Victoria allait dépasser le simple cadre professionnel.
༻﹡༺
Agatha frappa doucement à la porte du bureau de Victoria, un épais dossier à la main. Elle savait que ce qu'elle s'apprêtait à faire n'était pas une faveur, mais une obligation juridique. Les preuves récemment découvertes dans le cadre de l'affaire devaient être partagées avec la partie adverse. Pourtant, elle n'était pas particulièrement enchantée à l'idée de se retrouver face à Victoria si tôt dans la journée.
« Entrez, » répondit la voix claire et assurée de Victoria de l'autre côté.
Agatha ouvrit la porte avec son calme habituel, un sourire presque imperceptible sur les lèvres. Victoria était assise derrière son bureau, ses lunettes reposant négligemment sur des papiers qu'elle était en train de lire. En levant les yeux et en apercevant Agatha, elle croisa les bras, affichant une expression sarcastique.
« Eh bien, eh bien, eh bien, si ce n'est pas la personne la plus méprisable de toute cette terre... » lança Victoria, un sourire en coin.
Agatha ferma la porte derrière elle et avança, posant le dossier sur le bureau de Victoria avec un geste contrôlé, mais non dénué d'élégance. Elle pencha légèrement la tête, répondant avec une fausse douceur :
« Chérie, je sais que je suis ta préférée. Pas besoin de faire semblant. »
Victoria arqua un sourcil, amusée par la réplique, mais elle ne se laissa pas démonter. Elle ouvrit le dossier d'un geste lent, feuilletant rapidement les documents. « Alors, c'est quoi cette fois ? Des preuves surprises que vous avez miraculeusement découvertes au dernier moment ? »
« Oh, pas du tout, » répondit Agatha en s'asseyant sur la chaise en face du bureau, croisant les jambes avec aisance. « Juste une preuve de plus que tes témoins n'ont pas les mains aussi propres que tu le prétends. »
Victoria fronça légèrement les sourcils en parcourant les pages. « Intéressant... mais ça ne suffira pas à te faire gagner, Agatha. Tu devrais le savoir. »
Agatha haussa les épaules, le sourire toujours planté sur son visage. « Peut-être pas, mais je crois au pouvoir de la vérité. Même si elle peut être un peu... inconfortable pour certains. »
Victoria referma le dossier et posa ses coudes sur son bureau, appuyant son menton sur ses mains jointes. Elle fixait Agatha, son regard plus doux, mais toujours perçant.
« Tu joues un jeu dangereux, Harkness. Surtout avec cette affaire. »
Agatha se leva, se penchant légèrement vers le bureau, ses yeux bleus fixant Victoria avec intensité. « Et c'est pour ça que tu m'aimes autant, n'est-ce pas ? Parce que je n'ai pas peur de jouer. »
Victoria la regarda partir, incapable de réprimer un sourire malgré elle. Derrière ses airs d'agacement, une étrange admiration — peut-être même quelque chose de plus profond — s'installait. Mais elle savait que tout cela compliquerait davantage une affaire déjà explosive.
༻﹡༺
Le tribunal était bondé, l'atmosphère tendue. Agatha Harkness et Victoria Grant se faisaient face dans la salle d'audience, leurs regards rivés l'un sur l'autre, étincelants de défi. Elles étaient comme deux forces opposées, prêtes à s'affronter dans une joute verbale qui promettait d'être mémorable.
Victoria, vêtue d'un tailleur gris perle impeccable, était à la barre, exposant les éléments centraux de son argumentation. Sa voix était calme, posée, mais chaque mot portait une autorité indiscutable.
« Votre Honneur, mon témoin n'a rien à cacher. Elle a agi par conscience morale, mettant en péril sa sécurité personnelle pour révéler des pratiques répréhensibles. Ce tribunal ne doit pas permettre que son intégrité soit remise en question par des insinuations sans fondement. »
Agatha, assise à sa table, croisa les jambes et esquissa un sourire fin, presque moqueur. Puis, se levant lentement, elle s'avança pour s'adresser au juge.
« Objection, Votre Honneur, » déclara-t-elle, sa voix froide et incisive. « Maître Grant confond plaidoirie et argumentation factuelle. Ce tribunal ne se nourrit pas d'émotions, mais de preuves tangibles. »
Le juge haussa un sourcil, observant Victoria. « Objection retenue. Maître Grant, concentrez-vous sur les faits. »
Victoria ne flancha pas, bien que sa mâchoire se soit légèrement crispée. Elle tourna brièvement la tête vers Agatha, lui lançant un regard rempli de défi.
Quelques instants plus tard, Agatha prit la parole pour le contre-interrogatoire du témoin clé de Victoria, une femme visiblement nerveuse qui évitait le regard de l'avocate.
Agatha, droite et imposante, avançait lentement vers la barre, ses talons résonnant sur le sol de la salle. Son ton était neutre, presque doux, mais chacun de ses mots était affûté.
« Mme Greyson, vous avez déclaré avoir été témoin d'intimidations répétées au sein de l'entreprise. À quelle date précise cela s'est-il produit ? »
La témoin hésita, cherchant ses mots. « C'était... en avril de l'année dernière, il me semble. »
Agatha esquissa un sourire calculé, attrapant un document sur la table de la défense. Elle s'approcha, tenant la feuille devant elle comme une arme.
« Avril, dites-vous ? Pourtant, selon vos propres relevés d'emploi, vous étiez en congé maternité durant cette période. Vous ne travailliez même pas pour l'entreprise à ce moment-là. »
Un murmure parcourut la salle d'audience. Victoria, assise à sa table, fronça légèrement les sourcils avant de se lever rapidement.
« Objection, » intervint-elle, sa voix ferme. « La défense dénature les faits. Une simple erreur de date ne saurait invalider l'ensemble du témoignage. »
Agatha se tourna vers le juge, son sourire léger trahissant sa satisfaction.
« Votre Honneur, cette incohérence est essentielle. Si Mme Greyson ne peut pas se souvenir correctement d'un détail aussi crucial, comment peut-on accorder du crédit à son témoignage ? »
Le juge hocha la tête après un moment de réflexion. « Objection rejetée. Vous pouvez continuer, Maître Harkness. »
Agatha inclina légèrement la tête, un triomphe discret dans le regard. Elle jeta un coup d'œil à Victoria, captant l'éclat d'irritation dans ses yeux.
L'audience continua dans une tension palpable, les objections fusant de part et d'autre. Agatha, incisive et calculatrice, cherchait chaque faille possible dans les arguments de Victoria.
Mais Victoria, imperturbable, ripostait avec autant de force, utilisant chaque opportunité pour réaffirmer ses points.
Le combat entre elles n'était pas seulement une affaire de droit. C'était une bataille d'ego, de fierté, et peut-être, quelque part, une danse subtile d'attraction et de rivalité qui dépassait les murs du tribunal.
La salle d'audience était en pleine effervescence. Victoria Grant se tenait debout, droite et confiante, face au témoin clé de l'affaire. Chaque mot qu'elle prononçait était clair, précis, et pesé avec soin, comme si elle jouait une symphonie argumentative.
« Alors, Mme Parker, pour être parfaitement claire, vous affirmez avoir été directement témoin des agissements de votre ex-mari avant sa disparition ? » demanda Victoria, sa voix posée, mais implacable.
Mme Parker, visiblement nerveuse, hocha la tête. « Oui, il était... agressif, verbalement, et parfois même physiquement. C'est pour ça que je— »
« Merci, » coupa doucement Victoria, contrôlant parfaitement le rythme du témoignage. Elle fit quelques pas en arrière pour marquer une pause, laissant les mots flotter dans l'air.
C'est alors que, presque imperceptiblement, son regard glissa vers Agatha. Ce n'était pas un regard moqueur ou empreint de défi, comme elle en avait l'habitude. Cette fois, ses yeux bruns s'adoucirent, quelque chose de presque... admiratif s'y reflétant.
Agatha, qui observait jusque-là les échanges avec son habituel masque de froideur professionnelle, sentit une pointe de chaleur dans ce regard. Une chaleur qu'elle ne s'attendait pas à recevoir de Victoria, encore moins ici, dans cette arène où elles étaient supposées être adversaires.
Cela dura à peine une seconde, mais c'était suffisant pour déstabiliser Agatha. Elle redressa légèrement les épaules, cherchant à réaffirmer son contrôle. Pourtant, un léger tremblement dans ses doigts trahissait l'effet de ce moment inattendu.
Victoria, comme si de rien n'était, reporta son attention sur le témoin, reprenant son interrogatoire avec la même intensité. Mais Agatha, désormais troublée, avait du mal à chasser ce regard de son esprit.
Elle se pencha légèrement vers Lilia, qui prenait des notes à côté d'elle.
« Ça va ? » murmura Lilia, remarquant la tension inhabituelle dans l'attitude d'Agatha.
« Très bien, » répondit Agatha sèchement, bien que son ton manquait de sa froide assurance habituelle.
Le reste de l'audience se poursuivit sans accroc visible, mais dans l'esprit d'Agatha, ce regard de Victoria continuait de résonner. Ce n'était pas un geste calculé, elle en était certaine. Et cela rendait l'échange encore plus perturbant.
Pour la première fois depuis longtemps, Agatha Harkness, la redoutable avocate connue pour son contrôle inébranlable, se sentait vulnérable — et cela venait de son adversaire la plus féroce.
L'audience venait de se terminer, et la victoire d'Agatha était incontestable. Alors qu'elle rangeait ses affaires avec une satisfaction froide, Victoria observait discrètement la scène depuis sa table, son expression indéchiffrable.
Dans les couloirs du tribunal, Agatha marchait d'un pas rapide, le claquement de ses talons résonnant contre le carrelage poli. Elle tenait son sac d'une main ferme, mais ses pensées étaient ailleurs, toujours occupées à savourer sa victoire.
« Bravo, Maître Harkness, » lança une voix familière derrière elle.
Agatha se retourna pour voir Victoria appuyée contre le mur, un sourire en coin. Son allure était désinvolte, mais son regard brillait d'une lueur piquante.
« Ah, Maître Grant, » répondit Agatha avec un sourire aussi glacé que charmant. « Je pensais que vous seriez déjà partie. Mais je suppose qu'il vous fallait une leçon supplémentaire sur comment gagner une affaire. »
Victoria se redressa et croisa les bras, avançant de quelques pas pour réduire la distance entre elles. « Profitez bien de votre victoire, Agatha. Je dois admettre que c'était une belle performance. Mais ne vous habituez pas trop à ça, le tribunal a tendance à préférer les gagnants constants. »
Agatha fronça légèrement les sourcils, piquée par la remarque. « Vous savez, Victoria, votre arrogance est fascinante. J'imagine que ça compense vos récents échecs. »
Le sourire de Victoria vacilla un instant, mais elle se reprit rapidement. Cependant, son ton changea, devenant un peu plus sérieux.
« Peut-être. Mais au moins, je ne joue pas un rôle en dehors du tribunal. Vous êtes aussi rigide dans votre vie personnelle que vous l'êtes ici. Ça ne doit pas être facile. »
Les mots touchèrent une corde sensible chez Agatha. Elle détourna brièvement le regard, son masque d'assurance se fissurant légèrement.
« Rigide ? » répéta-t-elle, sa voix plus basse. « Si vous saviez... »
Victoria, intriguée, fronça les sourcils. « Si je savais quoi ? »
Agatha hésita, se maudissant intérieurement pour avoir laissé paraître une brèche dans son armure. Pourtant, quelque chose dans le regard de Victoria, un mélange d'intérêt sincère et de défi, l'incita à parler, même à contrecœur.
« Disons simplement que jongler entre un mari infidèle et des collègues qui attendent de moi que je sois parfaite, ça ne laisse pas beaucoup de place pour... la flexibilité. »
Victoria resta silencieuse, surprise par cette confession inattendue. Son expression devint plus douce, moins teintée de rivalité.
« Ça ne doit pas être facile, » dit-elle enfin, sa voix presque compatissante.
Agatha redressa immédiatement la tête, se rappelant qu'elle n'avait aucune intention de s'apitoyer sur elle-même devant Victoria. Elle esquissa un sourire froid pour masquer son trouble.
« Oh, ne vous inquiétez pas pour moi, Grant. J'ai l'habitude de gérer des choses bien plus compliquées que des adversaires comme vous. »
Victoria ne répondit pas, mais son regard suivit Agatha alors qu'elle s'éloignait, plus troublée qu'elle ne voulait l'admettre. Pour la première fois, elle avait vu une facette vulnérable de son adversaire — une facette qu'elle ne pouvait pas oublier.
༻﹡༺
Agatha ouvrit la porte de son appartement avec un soupir. La journée avait été longue, et même la satisfaction de sa victoire au tribunal semblait fade face au poids qui pesait sur ses épaules.
Dans le salon, Jonathan l'attendait, assis sur le canapé, une expression contrite sur le visage.
« Agatha, » commença-t-il doucement en se levant, les mains tendues vers elle. « Je suis désolé. Je sais que j'ai fait une erreur, mais... on peut arranger les choses, non ? »
Elle posa son sac sur la table d'entrée, le regardant avec une froideur qui semblait geler l'air autour d'eux.
« Une erreur ? » répondit-elle d'une voix tranchante. « Tromper sa femme, c'est une erreur ? »
Jonathan baissa les yeux, visiblement mal à l'aise. « Je ne vais pas me justifier, d'accord ? Mais tu n'es pas parfaite non plus, Agatha. Tu es tellement... distante. Toujours absorbée par ton travail, comme si rien d'autre n'avait d'importance. »
Agatha croisa les bras, la colère grondant en elle. « Oh, alors c'est ma faute maintenant ? Parce que j'ai des ambitions ? Parce que je me bats pour quelque chose qui me tient à cœur ? C'est pour ça que tu es allé dans le lit d'une autre ? »
Jonathan leva les mains en signe de défense. « Ce n'est pas ce que je dis ! Mais tu sais aussi bien que moi que notre mariage n'a pas été une priorité pour toi depuis des années. Tout tourne autour de ta carrière, de tes affaires, de ta fierté ! Et moi, où est-ce que je me situe dans tout ça ? »
Les mots la frappèrent, mais elle ne laissa rien paraître. Elle inspira profondément, son visage un masque d'impassibilité.
« Tu te situes exactement là où tu as choisi d'être, Jonathan, » répondit-elle froidement. « Dans une position que tu as détruite toi-même. Tu veux que je mette ma vie en pause pour te donner toute mon attention ? Peut-être que tu aurais dû y réfléchir avant de me trahir. »
Il secoua la tête, frustré. « Alors quoi ? On abandonne tout ? Tu veux divorcer, c'est ça ? »
Agatha resta silencieuse un instant, les bras toujours croisés, avant de répondre.
« Non, » dit-elle calmement. « On reste ensemble. Officiellement. Mais ne t'attends pas à ce que je fasse semblant. Plus maintenant. »
Jonathan la regarda, choqué, mais elle n'attendit pas sa réponse. Elle tourna les talons et se dirigea vers leur chambre, claquant la porte derrière elle.
Dans le silence qui suivit, Jonathan resta debout dans le salon, seul, réalisant que s'il espérait une réconciliation, il devrait peut-être la chercher ailleurs.
Agatha était affalée sur le canapé, une coupe de vin à la main, les pensées lourdes après la confrontation avec Jonathan. Elle fixait son téléphone posé sur la table basse quand il se mit à vibrer.
Lilia Calderu.
Agatha soupira légèrement, hésitant une seconde avant de décrocher.
« Lilia, » répondit-elle d'un ton neutre.
« Agatha ! » La voix de Lilia était joyeuse, presque chantante. « Félicitations encore pour ta victoire aujourd'hui ! Je savais que tu écraserais Maître Grant. »
Un sourire discret effleura les lèvres d'Agatha. « Merci, mais je n'ai fait que mon travail. Rien de particulièrement extraordinaire. »
« Ne sois pas si modeste, » insista Lilia. « C'était brillant, et tu le sais. »
Agatha bascula légèrement sa tête en arrière, soupirant. « Bon, qu'est-ce que tu veux, Lilia ? Je sens que tu ne m'appelles pas juste pour flatter mon ego. »
« En effet, » répondit Lilia avec malice. « Tu vas sortir avec moi ce soir. »
Agatha fronça les sourcils, s'asseyant un peu plus droite. « Sortir ? Pourquoi est-ce que je ferais ça ? »
« Parce qu'il faut célébrer cette victoire, évidemment ! Un dîner entre collègues, rien de plus. Tu as besoin de te détendre, Agatha. Et ne commence pas à trouver des excuses. »
Agatha roula des yeux, déjà exaspérée. « Lilia, je n'ai pas la tête à ça. J'ai eu une journée épuisante, et franchement, je préfère rester chez moi. »
Lilia ne se laissa pas décourager. « Écoute, je ne te laisse pas le choix. Tu as besoin de prendre l'air, et je refuse de te laisser t'enfermer dans ta grotte avec une bouteille de vin. Ce n'est pas négociable. »
Agatha haussa un sourcil, impressionnée malgré elle par l'insistance de sa collaboratrice. « Et si je te dis non ? »
« Alors je viens te chercher chez toi, et je te traîne dehors, » répliqua Lilia, déterminée.
Un éclat de rire involontaire échappa à Agatha. « Tu es impossible. »
« Et toi, tu es bien trop sérieuse, » répliqua Lilia sans hésiter. « Allez, une heure, pas plus. Je promets de te laisser tranquille après. »
Agatha soupira, réalisant qu'elle n'allait pas gagner cette bataille. « Très bien, mais uniquement parce que je n'ai pas envie que tu débarques chez moi. »
« Parfait ! Je passe te prendre dans une heure. Habille-toi bien, je t'emmène dans un endroit chic. »
Agatha s'apprêtait à protester, mais Lilia avait déjà raccroché. Elle fixa son téléphone, secouant la tête avec un mélange d'amusement et d'agacement.
« Une vraie tornade, » murmura-t-elle en se levant pour se préparer.
༻﹡༺
Le restaurant était élégant, éclairé par des chandelles douces qui créaient une ambiance intime. Agatha et Lilia avaient trouvé une table près de la fenêtre, un coin discret où elles pouvaient discuter sans être dérangées. Lilia était, comme toujours, pleine d'énergie, lançant des anecdotes et des blagues pour détendre l'atmosphère. Agatha, bien qu'un peu plus calme, appréciait le répit après une journée aussi intense.
Tout se passait bien jusqu'à ce qu'Agatha aperçoive, du coin de l'œil, une silhouette familière entrer dans la salle. Elle se figea, son regard se durcissant immédiatement en reconnaissant Victoria Grant, suivie de Diane Lockhart, sa complice de toujours.
Diane, avec son élégance habituelle, avait l'air détendue, tandis que Victoria semblait un peu plus concentrée, mais son sourire était indéniablement chaleureux. Agatha sentit une étrange montée de tension dans son estomac. Elle se détourna instinctivement, espérant que les deux femmes ne la remarqueraient pas, mais c'était peine perdue.
« Agatha, » dit Lilia en jetant un coup d'œil vers la porte d'entrée. « Regarde qui voilà. »
Agatha n'eut d'autre choix que de se retourner. Le regard de Victoria croisa le sien à cet instant précis, et un petit sourire curieux s'afficha sur son visage. Diane, quant à elle, sourit poliment à Agatha, mais ce n'était pas le même genre de sourire. C'était plus... distant, comme si quelque chose d'invisible se jouait entre elles.
Victoria, d'un geste fluide, se dirigea vers leur table avec Diane, sans vraiment demander si cela dérangeait Agatha. Elle s'arrêta à quelques pas, son regard fixe, mais cette fois-ci, il y avait quelque chose de plus léger, comme un défi implicite.
« Ma chère Agatha, quelle surprise de vous voir ici, » lança Victoria, sa voix légèrement moqueuse mais douce. « Vous saviez que ce restaurant est un de mes favoris ? »
Diane resta en retrait, observant la scène avec un intérêt discret, ses bras croisés sur sa poitrine.
Agatha se força à sourire. « Je vois. Une coïncidence étrange. Mais je ne vous dérange pas, je suppose. »
Victoria esquissa un sourire en coin, comme si elle avait anticipé la réaction d'Agatha. « Pas du tout. Nous étions justement en train de discuter des dernières affaires. Diane et moi avons quelques idées sur un cas à venir. »
Lilia, perçant l'atmosphère tendue, lança une remarque. « Oh, vous travaillez ensemble, alors ? »
Diane hocha légèrement la tête. « Oui, effectivement. Parfois, une collaboration entre les meilleurs est nécessaire. » Elle s'adressa directement à Agatha, comme pour tester sa réaction. « Vous ne trouvez pas ? »
Agatha sentit la morsure de l'ironie dans les mots de Diane, comme si elle cherchait à l'humilier subtilement. Elle prit une inspiration profonde avant de répondre, le regard plus glacé que jamais. « Oh, je n'en doute pas, Diane. Quand l'occasion se présente, il est en effet intéressant de collaborer avec des... pairs. »
Victoria, perçant l'ambiance tendue, s'avança un peu plus, son sourire se faisant plus doux mais toujours empreint de cette lueur défiant. « Vous avez l'air un peu tendue, Agatha. Un verre pourrait détendre l'atmosphère. Que diriez-vous ? »
Agatha, bien qu'intérieurement perturbée, se redressa fièrement. « Non merci. Ce n'est pas nécessaire. »
Le silence qui s'installa fut lourd de non-dits. Lilia, sentant la tension, posa sa main sur le bras d'Agatha pour la calmer.
Victoria, voyant que l'ambiance n'évoluait pas comme elle l'espérait, tourna alors son attention vers Diane. « Allons nous asseoir, Diane. Nous allons laisser Agatha à ses affaires. »
Diane acquiesça et se tourna vers Agatha. « Peut-être une autre fois, Agatha. » Elle lança un dernier regard à Agatha avant de suivre Victoria vers leur table.
Agatha, bien que soulagée de voir les deux femmes s'éloigner, ne pouvait ignorer la vague de frustration qui déferlait en elle. Elle savait que quelque chose se jouait entre Victoria et Diane, mais la complicité évidente entre elles la dérangeait plus qu'elle ne voulait l'admettre. La soirée n'avait définitivement pas pris le tour qu'elle espérait, et malgré la présence de Lilia à ses côtés, elle ne pouvait chasser cette sensation d'être observée, jugée, et, au fond, de se sentir vulnérable.
༻﹡༺
Agatha s'assit dans son salon, les lumières tamisées créant une atmosphère paisible, presque irréelle après la tumultueuse journée qu'elle venait de vivre. L'odeur subtile du vin dans l'air, le bruit lointain de la ville en dehors de sa fenêtre... tout semblait calme, et pourtant, son esprit était en pleine ébullition.
Elle avait quitté le restaurant après avoir croisé Victoria et Diane, mais la soirée n'avait pas eu le goût qu'elle en attendait. Lilia, joyeuse et insouciante, avait voulu célébrer leur victoire au tribunal, mais Agatha n'avait pas pu s'empêcher de penser à autre chose. À Victoria.
Assise seule, ses jambes croisées, Agatha observa ses mains sans vraiment les voir. Elle n'avait pas voulu l'admettre à haute voix, même dans le silence de son appartement. Mais plus la soirée avançait, plus elle se rendait compte de quelque chose qu'elle n'avait jamais envisagé avant : elle était attirée par Victoria Grant.
Le simple souvenir du regard que Victoria lui avait lancé dans le restaurant lui fit frissonner. Ce n'était pas un regard de défi, ni même de mépris, comme elle l'aurait imaginé. Non, c'était un regard de compréhension, de curiosité... de désir ? Agatha secoua la tête, comme pour chasser cette pensée gênante, mais elle savait que ce n'était pas aussi simple.
Elle se leva brusquement, se dirigeant vers la fenêtre. Le monde dehors continuait de tourner, ignorant les tourments internes qui la rongeaient. La lumière des réverbères se reflétait sur les rues mouillées, les voitures passaient, les gens marchaient, comme si rien ne venait troubler l'ordre des choses. Mais Agatha savait que, pour elle, quelque chose avait changé. Elle ne pouvait plus faire semblant de ne pas ressentir cette attirance grandissante.
Elle se tourna vers son téléphone, posant ses yeux sur le message de Jonathan. Il s'excusait à nouveau, encore et encore. Mais à quoi cela servait-il, vraiment ? Leur mariage était déjà brisé, et même si elle se donnait encore des raisons de continuer, quelque chose en elle savait que les fissures ne se refermeraient pas. Elle n'arrivait pas à lui pardonner. Et ce soir, il n'était pas l'homme qu'elle voulait.
La pensée de Victoria, de son regard, de son sourire en coin, fit remonter une vague de chaleur en elle. Elle soupira et se laissa tomber sur le canapé, fermant les yeux un instant. Comment pouvait-elle gérer tout cela ? Son mariage, sa carrière, et maintenant cette attraction pour une autre femme, une rivale ?
Elle s'étira, se relevant enfin, prenant un instant pour se ressaisir. L'espace autour d'elle semblait si vaste, si silencieux, comme si tout était suspendu dans l'attente. Elle n'avait pas envie de repenser à tout ce qui la tourmentait, mais la réalité, aussi désagréable soit-elle, s'imposait. La vérité, c'était qu'elle était perdue, entre la loyauté qu'elle ressentait encore pour Jonathan et l'attirance qu'elle éprouvait pour Victoria.
Agatha se regarda dans le miroir de l'entrée, ses yeux sombres se posant sur son propre reflet. Qui était-elle réellement en ce moment ? Une avocate déterminée, prête à tout pour gagner, ou une femme qui se perdait dans des sentiments qu'elle n'avait jamais voulu laisser émerger ?
Elle se détourna du miroir, en proie à un tourbillon de pensées contradictoires. La soirée avait beau être terminée, la vraie bataille était en train de commencer, dans son esprit.
Le téléphone d'Agatha vibra à nouveau, l'écran éclairant son visage pensif. Elle s'empressa de le saisir, un frisson d'anticipation lui traversant le corps. Le message de Victoria était là, direct, sans détour.
Victoria Grant :
"La prochaine fois, au lieu de nous regarder de travers avec Diane, tu pourrais venir t'asseoir à notre table. On pourrait discuter, sans les jugements habituels. Qui sait, peut-être que tu apprécierais la compagnie."
Agatha sentit un frisson parcourir son dos en lisant ces mots. Ce n'était pas seulement une invitation à discuter. C'était un défi, une manière pour Victoria de jouer avec ses attentes et de brouiller les frontières entre l'amitié et la compétition. Cette proposition de « s'asseoir à leur table » était subtile, presque familière, et laissait entrevoir une complicité qu'Agatha n'était pas sûre d'être prête à explorer.
Elle relâcha son souffle, le regard fixé sur l'écran. Que voulait réellement Victoria ? Et plus encore, que voulait-elle elle-même ? Depuis leur rencontre, Agatha se retrouvait à jongler avec une série de sentiments qu'elle n'avait pas l'habitude d'affronter. De la rivalité professionnelle à l'attirance pure et simple, en passant par une curiosité croissante pour cette femme qui ne cessait de la surprendre.
Agatha :
"Tu sais que ce genre de conversation peut être dangereuse, n'est-ce pas ?"
Elle hésita une seconde avant d'envoyer le message, se demandant si elle venait d'ouvrir une porte qu'il serait difficile de refermer. Mais une part d'elle savait que, qu'elle le veuille ou non, elle se retrouvait face à un choix qui dépassait la simple compétition. Il s'agissait de quelque chose de plus intime, de plus irréversible.
Elle attendit, le pouls battant dans sa gorge. Le message envoyé, elle ne pouvait plus revenir en arrière.
Le téléphone d'Agatha vibra à nouveau presque instantanément. Elle saisit l'appareil, son cœur battant un peu plus vite, et lut la réponse de Victoria.
Victoria Grant :
"Tu as raison, peut-être que ça pourrait être dangereux... mais parfois, ce sont les choses les plus risquées qui sont les plus intéressantes. Et je dois avouer que j'aime l'idée de défier les attentes."
Agatha se mordit la lèvre, sentant la tension grandir. Victoria savait jouer de ses mots, laisser entendre des choses sans jamais les dire explicitement. C'était cette habileté à laisser planer l'incertitude qui la captivait autant que cela l'irritait.
Agatha :
"Tu sembles prendre beaucoup de plaisir à tester les limites. Mais attention, parfois ces jeux peuvent se retourner contre nous."
Elle posa le téléphone un instant, un léger sourire en coin. Elle n'était pas du genre à se laisser entraîner si facilement, mais un certain amusement perçait dans ses mots. Elle aimait l'idée de maintenir l'équilibre, de garder une certaine distance tout en explorant ces échanges délicats.
Quelques secondes plus tard, une nouvelle notification fit son apparition.
Victoria Grant :
"Je pense que tu sous-estimes un peu mes capacités à gérer les risques. Et puis, qui sait, peut-être que nous pourrions trouver un terrain d'entente. Le défi, parfois, c'est aussi une question de timing."
Les mots de Victoria résonnèrent dans l'esprit d'Agatha, et un léger frisson parcourut sa peau. C'était si subtil, mais en même temps si clair. Il n'y avait pas de demande directe, mais l'intention était bien là, fluide et insidieuse.
Agatha :
"Il se trouve que j'ai toujours aimé les bons défis. Mais tout dépend de la récompense au bout, n'est-ce pas ?"
Elle savait que ses paroles pouvaient être interprétées de différentes manières, mais elle aimait l'idée de tenir Victoria en haleine, de lui laisser deviner ce qu'elle pensait vraiment. C'était un jeu subtil, mais un jeu qu'elle semblait prête à continuer.
Quelques instants passèrent avant que Victoria réponde. L'attente était presque insupportable.
Victoria Grant :
"La récompense, Agatha, n'est jamais là où on s'attend à la trouver. Peut-être que nous découvrirons ensemble où elle se cache. À bientôt."
Le dernier message resta suspendu dans l'air un long moment. Agatha se mordit la lèvre, son regard ancré dans l'écran de son téléphone. Ce jeu, cette tension qui se construisait entre elles, n'était plus un simple défi professionnel. Il y avait quelque chose de plus, de plus profond, qu'elle ne pouvait pas encore saisir totalement, mais qui la poussait à répondre, à s'engager dans ce flirt subtil.
Elle posa finalement le téléphone sur la table, son esprit en ébullition. Ces échanges étaient devenus bien plus qu'une simple rivalité.
⋆ ˚。⋆୨୧˚FIN ˚୨୧⋆。˚ ⋆
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J'ai créé une OC et j'ai décidé de faire un crossover Mutafukaz-Psychonauts qui n'aura sans doute pas plus d'un chapitre ;; mais du coup j'étais quand même contente de ce petit dessin donc voilà
Et voici le début de la fic :
Ils se rencontrent chaque lundi, à ces heures où le soleil oscille sur les gratte-ciels de Dark Meat City.
Dépassé le Helmet Road Square, un pont routier enjambe un cul-de-sac barré d'une grille, où se resserrent les sans-abris quand les températures font mine de chuter. Là, il la voit toujours sur le béton, installée comme dans un jardin. Elle lit, parfois, les yeux plissés derrière ses lunettes carrées, ou bien traîne sur son téléphone portable. Une seule fois, la première, elle triturait les bagues qu'elle porte aux doigts, l'air d'attendre quelque chose ou quelqu'un. Elle s'est éclairée quand elle l'a aperçu et l'a salué avec un grand sourire. Il a détourné la tête.
Les hurluberlus sont légion dans la ville, et les référencer représenterait un travail titanesque. Du plus dangereux au plus désespéré, chacun pris dans des ramifications de vie impossibles à suivre, ceux que sa curiosité tâchait de comprendre initialement font désormais partie du décor, plus ou moins obstacles en fonction de leurs agissements quotidiens. Depuis des années, égal à tout citoyen de Dark Meat City, le professeur emploie les stratégies nécessaires pour frôler ses semblables en évitant tout contact. Se contentant des informations les plus basiques pour créer les itinéraires compromettant le moins ses déplacements professionnels et de première nécessité.
Mais il faut avouer que ce genre de spécimen était passé sous ses radars jusque-là. En fait, il se pourrait bien qu'elle soit la seule de son espèce. Gamine de vingt ou vingt-cinq ans, vêtue dans des tons passe-partout, les cheveux toujours noués comme ceux des collègues du labo, un exemplaire qui ne cadre pas avec le lieu où elle se plante. C'est surtout cette façon qu'elle a de sembler l'attendre, de se réjouir de le voir et de ne pas se décourager d'être ignorée, reproduisant son rituel à chaque occasion qu'ils se croisent. Stratégie élaborée d'une sans-abri, manifestation d'un trouble, ou bien simple extravagance ; aucune idée, il n'irait pas lui demander. Si c'est un vecteur de malaise, ça ne dépasse pas non plus les bornes ─ l'effet s'avère plutôt inverse, il guette sa présence quand il marche dans la rue précédant le coude qui la fait apparaître.
D'une façon ou d'une autre, cette môme s'est mise à habiter son quotidien.
Cette fois, il n'a pas fini de tourner la rue qu'il recule en sursaut en la voyant apparaître devant lui. Jamais croisée d'aussi près ; elle est en train de courir, et le dépasse en lui glissant un "Bonsoir !" rapide. Ce doit être la première fois qu'il entend sa voix. Un bruit de claquement se produit à côté de lui. Il découvre sur le sol un trousseau de clés abandonné dans le sillage de la coureuse. Il lève la tête, la main pour lui faire signe, mais elle ignore son appel et s'engouffre dans une rue.
Le professeur demeure sur place. Il regarde en arrière, où rien ni personne ne passe. Les lampes s'allument, les clés restent par terre. Il les ramasse, hésitant. Hors de question de suivre la petite dans ce traquenard, mais quant à les abandonner sur une boîte aux lettres ? Cette enfant a beau se montrer insistante, elle n'en reste pas moins inoffensive, laisser le moyen d'entrer dans sa maison aux mains du premier venu pourrait lui être fatal.
Il les empoche, passe une main sur son front. Il les lui restituera demain, si elle se trouve au même endroit. C'est un cas suffisamment important pour justifier de modifier exceptionnellement son itinéraire du mardi.
x
Des coups à la porte interrompent sa lecture.
On a passé l'heure des visites depuis un bon moment ; il s'étire sur son siège, courbaturé, puis entreprend de traverser son salon encombré et de jeter un oeil dans le judas.
Elle.
Glace pilée dans son estomac. Que fait-elle ici ? Il pose une main déséquilibrée sur la poignée, n'y imprimant qu'une simple pression, insuffisante pour ouvrir. Le bruit produit lui revient vingt fois plus sonore qu'il doit l'être réellement. Il ferme les yeux, se décide, ouvre :
- … bonsoir.
Le ravissement de la jeune femme se teint de soulagement :
- Bonsoir ! Je suis désolée, je crois que j'ai fait tomber mes clés tout à l'heure. Est-ce que… par hasard… ?
- … Je les ai trouvées, oui. Je vais vous chercher ça.
- Super. Au top. Merc─
- Est-ce que je peux savoir comment vous avez eu mon adresse ?
Le sourire perd quelques crans :
- Hah, bah, j'ai… regardé… ? J'peux difficilement rentrer chez moi sans mes clés, alors...
- Vous m'avez suivi, sourcille-t-il.
La conclusion s'est imposée comme une évidence, et ce n'est pas la réponse qu'il reçoit, tête secouée agitant les cheveux noirs, qui vont le convaincre du contraire :
- Non ! Absolument pas, renchérit-elle. C'est pas ça du tout. J'étais dans le quartier, je… okay, je sais pas trop comment expliquer. Mais rien à voir.
- C'est inutile de me mentir, jeune fille. Je peux comprendre le recours, s'il s'agit de vos clés, tant que ça ne se reproduit pas…
Il s'écarte pour aller chercher l'objet du délit. Mieux vaut écourter ce bavardage qui ne semble aller nulle part. Il l'entend protester par-dessus son épaule :
- Je promets que je mens pas ! T… Professeur, c'est ça ? Euhm… Bref.
- "Professeur" ? C'est quelque chose que vous avez aussi appris par le plus grand des hasards, j'imagine, souligne-t-il.
- Hah, non ! Votre visage est sorti dans les journaux y a quelques années. Ce serait difficile de pas s'en souvenir, ils réimprimaient chaque fois votre portrait quand d'autres scientifiques disparaissaient. J'pense que tout le monde à DMC connaît aussi bien votre tête que celle de la mascotte des Frosties.
- On lit encore le journal, à votre âge ?
Elle l'a suivi dans son salon, les mains sagement jointes dans son dos, elle regarde ce qui l'entoure comme une écolière polie visitant une usine. L'intervention de Fagor lui arrache un rire :
- Rooh, ce cliché ! On peut être jeune et avoir envie de se renseigner, hein ! Me dites pas que vous lisiez pas à vingt ans ?
- Je vous répondrais bien, mais ces temps sont immémoriaux, riposte-t-il sans pouvoir retenir l'ombre d'un sourire. Tenez, les voici. Faites attention à vos affaires la prochaine fois. Et faites attention sur le chemin du retour, d'accord ?
- Chef oui chef ! Euhm, dites… marmonne-t-elle tandis qu'il la raccompagne dans l'entrée.
- Ce sera la dernière question, jeune fille. Je dois dormir et vous aussi.
- On… on pourra se revoir ? J'sais que j'ai pas dû vous faire une giga impression, désolée, mais en vrai je suis sympa. À l'occase, on se fait un tarot ?
- Vous vous payez ma tête.
- C'est l'impression que je donne ? Pas du tout, je vous jure.
- Non, vous semblez tout à fait sérieuse, c'est même ça qui me dérange. Une jeune comme vous doit avoir mieux à faire auprès de personnes de son âge, vous ne pensez pas ?
- Ben ouais, mais si j'ai envie de traîner avec vous ? Ça vous brancherait pas ?
- Je ne connais même pas votre nom… même si de toute évidence, vous connaissez le mien, ça ne veut pas dire que─
- Cassandre ! Vous pouvez m'appeler Cassie. À plus, prof ? Bye !
Et la tempête de s'envoler après un grand mouvement de bras, abandonnant des rires dans son sillage, qui se heurtent sur les murs de l'escalier en colimaçon. Fagor se penche entre les grilles, d'où il peut voir une main vêtue de bagues se promener sur les rampes d'étage en étage, jusqu'à ce qu'une porte se claque.
Il rentre chez lui à tâtons, l'esprit dans le vague.
#digital art#mutafukaz#mutafukaz comic#mutafukaz oc#profesor fagor#mfkz#mutafukaz fanart#mfkz fanart#mfkz oc
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Flufftober 2024 : Jour de marché
4 octobre
Jour de marché (Market day)
Napoléon Solo & Illya Kuryakin (Des agents très spéciaux)
Ni Napoléon, ni Illya ne savaient cuisiner.
On le voyait bien à leurs notes de frais: il s'y enchaînait un nombre infini de dîners dans de grands restaurants, de déjeuners dans les aéroports dans l'attente d'un transfert, de goûters pris avec la jeune femme qui les avait aidés. Et puis, quand ils n'étaient pas en mission, il y avait encore l'excellente cafétéria de l'U.N.C.L.E. Lorsqu'il était en vacances, Napoléon continuait de manger presque systématiquement au restaurant. Souventes fois, à l'occasion des visites qu'il lui faisait, Illya l'avait vu déguster des huîtres alors que c'était un jour tout à fait ordinaire – il les avait évidemment fait apporter.
Le jeune Russe, pour sa part, savait mettre le contenu d'une boîte de conserve dans une casserole ou étaler du beurre sur un sandwich. Il ne fallait pas lui en demander davantage. Cependant, l'affaire de l'omelette de la Cité du Silence semblait lui avoir donné des idées. Peut-être qu'il avait fini par réaliser que sa gourmandise serait beaucoup mieux servie s'il se cuisinait lui-même de bons petits plats, au lieu de manger toujours la même nourriture tiédasse, mal assaisonnée, répétitive, lorsqu'il ne travaillait pas.
Illya avait commencé sa carrière à l'U.N.C.L.E comme un agent distant, professionnel, inexpressif et mystérieux, dont on était bien en peine d'imaginer les activités quand il rentrait chez lui le soir. Au fil du temps, son amitié sincère avec Napoléon lui avait fait révéler un caractère plus doux, plus facétieux, et il traînait maintenant son partenaire avec lui dans une petite sélection de ses activités.
« Pourquoi devons-nous nous trouver dehors à une heure aussi indécente, se plaignit la voix de Solo dans l'air matinal, alors que nous sommes en repos et que c'est dimanche !
-Parce que le dimanche est le jour du marché, Napoléon, rétorqua tranquillement Kuryakin en prenant un poivron rouge dans sa main. Si je dois attendre que tu te réveilles, l'événement sera presque fini et tous les meilleurs produits seront partis depuis longtemps.
-Tu m'avais dit qu'il y aurait des filles pour me tenir compagnie pendant que tu discutes avec tous ces campagnards.
-Il y en a. Des campagnardes. Elles n'ont peut-être pas l'âge des femmes que tu invites au restaurant d'habitude, mais je te connais bien. Tu as toujours eu un faible pour les dames mûres. »
Illya s'éloigna vers des bacs remplis de pommes de terre et fut surpris d'entendre des pas traînants le suivre. Napoléon, ses lunettes de soleil bien en place devant la lumière de ce matin pur et bleu – accalmie bienvenue avant les saucées prévues dans l'après-midi –, qui se déversait à flot sur la place, levait le nez en respirant les odeurs du marché. Son pantalon coûteux et son caraco de laine jaune à boutons tranchaient terriblement avec son environnement, les vantaux maintes fois reprisés des étals et les feuilles de laitue abîmées sur le sol, mais il semblait commencer à apprécier la balade. Il se colla aux pas de Kuryakin et l'observa tandis qu'il discutait de la provenance d'une grosse truite avec le poissonnier, étudiait les feuilles sur les bottes de poireaux et humait le parfum des pommes.
Quand ils repartirent du marché vers neuf heures, l'agent américain avait à la main un sachet plein d'olives aux épices que son ami lui avait achetées pour l'occuper. Kuryakin sourit en voyant la scène; on aurait dit un enfant qu'il avait contraint à l'accompagner dans une longue, pénible et ennuyeuse affaire d'adulte.
« J'espère que je vais avoir l'occasion d'assister à la sublimation de tout ce que tu as acheté, exigea Napoléon tandis qu'ils remontaient la rue.
-Pourquoi ? Tu as contribué à l'achat ? le titilla Illya avec un sourire de pur contentement.
-Oh, Illya! Ne sois pas si pingre, allez ! Je te promets de passer un coup de nettoyage dans ton appartement, où tu voudras ! »
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J’ai fait un rêve Miraculous, je pose ça ici, il est pas génialissime parce que j’ai oublié une grosse partie mais j’ai la sensation qu’il était si bien de base 😭
Ça commence par une chanson, j’avais l’air, les paroles, TOUT, mais quand j’ai regagné assez de conscience pour écrire c’est parti :( Ça commençait juste par « Ça fait longtemps qu’on s’est séparés » COMMENT ÇA. Bref je regarde un épisode Miraculous avec deux ami•es dans mon ancienne maison.
Il y a un nouvel élève qui arrive au collège de Marinette et Adrien et il a décidé de stalker Marinette for some reason. Du coup on le voit la suivre en haut d’une tour, suivi par un de ses potes qui essaye d’être discret, suivi par un autre pote qui fait la même, suivi encore par un autre pote qui fait pareil. À un moment le dernier fait du bruit donc tous se retournent et captent qu’ils sont suivis. Le premier élève s’énerve d’être stalké alors qu’il fait pareil, bref le culot.
On passe au toit de la tour, il y a Queen Bee, Ladybug et Chat Noir. Ils s’entendent bien dans ce rêve et sont trois partenaires soudés. Apparemment ils souhaitent faire une grande annonce pour révéler l’identité de Queen Bee (du coup apparemment personne sait que c’est Chloé) qui souhaite prendre sa retraite je crois ?
Mais alors qu’ils lancent le stream, Monarque interrompt. Il fait un discours comme quoi ça fait trop longtemps qu’ils s’affrontent sans réussir à gagner ni les uns ni l’autre et il propose de changer une pièce du jeu dans l’équipe de Ladybug pour qu’enfin quelqu’un puisse prendre le dessus et mettre fin à la situation. Genre il a complètement gâché l’annonce de Queen Bee qui s’en va, maintenant ça donne l’impression qu’ils obéissent à Monarque.
Je me rappelle plus ce qu’il dit après mais à un moment il laisse tomber une larme au sol de manière très dramatique et mes ami•es et moi on est là sur le canapé à regarder l’épisode et on est toustes en mode « oh mais quel drama king », on explose de rire.
Je me rappelle plus de la suite mais à un moment Ladybug est filmée en train de rentrer dans des toilettes sauf que juste avant qu’elle rentre elle se détransforme, ce qui apparaît une milliseconde sur le stream. C’est pas assez pour la reconnaître sans faire pause mais Nino qui regarde avec Alya est catastrophé, il dit « Tout le monde a vu qu’elle porte pas de lunettes, même ta femme a dû voir ! » en parlant de Marinette. Alors Nino déjà Ladybug ne porte pas de lunettes non plus, et puis « ta femme » ? ALYANETTE ??? Bref Alya fait un ouais gêné parce qu’elle sait déjà l’identité de Ladybug.
Ensuite je rêve que je me réveille mais non je dors encore, j’ai encore la chanson et le rêve en tête donc je veux l’écrire et l’enregistrer, je vais voir dans la chambre d’à côté si je vais pas réveiller ma mère en chantant l’air mais elle est pas là, donc je retourne dans ma chambre pour enregistrer puis je me réveille pour de vrai au moment où j’entame la première phrase ET J’OUBLIE TOUT LE RESTE.
Voilà je suis grave deg de pas avoir été assez consciente pour bouger quand j’avais encore l’air et les détails du rêve en tête 😭 Genre mon cerveau avait inventé une CHANSON. Avec de la MUSIQUE. MON cerveau, alors que j’ai pas du tout l’oreille musicale. C’est incroyable et j’ai tout oublié 😭
#miraculous ladybug#mlb#adrien agreste#marinette dupain cheng#chloé bourgeois#alya césaire#nino lahiffe#ladybug#chat noir#Queen bee#alyanette#rêve
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #2
Comme prévu, nouvel update sur la traduction française de F&H2. Ça avance lentement mais sûrement, en espérant que je puisse la sortir avant la prochaine MAJ du jeu. Haha.
Traduction faite durant le mois :
Les objets : les noms et descriptions des objets, de la nourriture, des objets de soin, des livres et les morceaux de gens ou d'animaux ou d'autres bestioles pas protégées par la SPA.
Les noms des ennemis et de leurs membres.
L'extérieur du train. Comprends la discussion du début de jeu, ainsi que les discussions de hub.
Première rencontre avec Per'kele.
Maison de l'homme des bois. Avec le sous-sol.
Une partie de la vieille ville, qui correspond à la zone du soldat 1, de l'extérieur du manoir du maire et Karin à l'entrée de la maison.
Petit sneak peak juste en dessous !
Il y a quelques points que je veux particulièrement remonter. Par justification de traduction, d'appel à l'aide, ou parce que c'est particulièrement intéressant.
Les ennemis
La majorité vont être traduit : Villageois/Villageoise, Fusilier, Homme-Pillier, Vieille aux rats, Dance Mécanique, Clébard Fétide, Cocon Imparfait, Lunette Chialeuse...
J'en profite du coup pour proposer la traduction de Moonscorch, qui serait du coup Flambelune. Cela donnera le cancer de la Flambelune, et un Flambeluné.
J'hésite grandement à traduire les nom Needles et Stitches, qui pourrait être traduit par Seringues et Soutures, mais ça ne sonne pas top. Mais ça fait flic de laisser des nom en anglais dans une trad française.
En parlant de flic, je comptais traduire Bobby par Flic/Flicaillon/Poulet, mais ça enlèverai le contexte du nom. En Angleterre, bobby est un mot familier pour désigner les policiers londoniens, avec leur casque bombé. Vu le design de l'ennemi dans le jeu, le nom restera.
Par contre, Bellend sera traduit par Gland. C'est très important.
Avis à la population, mais surtout aux experts : pour l’ennemi Sew Job, le mot existe bien en anglais, mais je ne trouve pas d'équivalent en français. Enfin si, ce serait Travaux de couture, mais ça sonne faux. Pour le moment, le nom placeholder pour cet ennemi serait Peau Rapiécée. Question pour les gentils messieurs et madames de mon PC qui font de la couture : est-ce que vous avez un mot pour Sew Jobs, dans votre domaine ?
2) Première rencontre avec Per'kele
Point général, car il concerne tout le texte, mais j'ai dû bidouiller un peu pour garder le texte le plus neutralement genré possible.
3. Extérieur du train
La manière dont est fait le jeu, chaque zone comprend tous les dialogues et textes possible dedans, que ce soit les Party Talk, les diagnostiques médicaux, les discussions avec les NPC, lorsqu'on fouille dans des objets... En même temps, des textes se répètent entre chaque zone, alors qu'ils devrait être dans l'onglet Common Events... Après, ce sont des textes que je ne traduit qu'une fois, puis je les recopie dans les autres zones. Je n'aurai pas à les retraduire et ça m'avancera le travail.
Cette partie là a été longue à traduire, car elle comprend à la fois la discussion du début de jeu (et les alternatives selon le personnage qu'incarne le joueur), mais aussi toutes les discussion de hub (Marcoh et Tanaka qui boxe, Olivia qui creuse la terre, Henryk qui fait sa popotte dehors, Daan qui clope). Il y a d'autres zones comme ça, qui sont pas mal chargée de texte, comme l'intérieur du train, le bar jazz, et l'intro des personnage.
Pas mal de dialogue sont des ref à d'autres média, comme par exemple la référence à Jimmy Buffet quand on demande un coup à boire à Daan au bar (je reviendrai sur celui-là plus tard). Là, lorsqu'on essaye de l'embrigader dans notre groupe alors qu'il est au complet, il refuse en disant qu'il sera juste un "party poison". Je n'ai pas réussi à trouver si c'était une expression idiomatique ou bien une référence. La seule référence que j'ai trouvé, c'est un titre de MCR (qui est nul à chier imo). Du coup, dans le contexte, je pense qu'il voulais dire "plombeur d'ambiance".
Les "Bremen pigs" de Karin. On n'a pas l'air, en français, d'avoir un équivalent de l'insulte "pigs", sauf dans le cas de la police, où c'est poulet. Du coup, Karin dira dans la traduction "chiens de Bremen" ou "chiens brêmois", qui gardent le côté insultant et la comparaison aux animaux.
Je crois avoir bien passé en revu sur quoi j'ai taffé ce mois-ci. Avec les vacances de Noël, je devrais pouvoir mieux travailler dessus et bien avancer.
Prochaine update le mois prochain !
Joyeux Noël et bonnes vacances à tous !
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Multilingual summer vocabulary!
ENG - ITA - FRA - ESP - KOR
summer - (l')estate - (l')été - (el) verano - 여름
ice-cream - (il) gelato - (la) crème glacée - (el) helado - 아이스크림
ice lolly/popsicle - (il) ghiacciolo - (la) sucette glacée - (el) polo - 아이스캔디
beach - (la) spiaggia - (la) plage - (la) playa - 해변
beach umbrella - (l')ombrellone - (le) parasol - (la) sombrilla de playa - 비치/해변 우산
lounger - (la) sedia a sdraio - (la) chaise longue - (la) tumbona - 안락의자
to swim - nuotare - nager - nadar - 수영하다
swimsuit - (il) costume (da bagno) - (le) maillot de bain - (el) traje de baño - 수영복
sea - (il) mare - (la) mer - (el) mar - 바다
mountains - (le) montagne - (les) montagnes - (las) montañas - 산들
vacation - (la) vacanza - (les) vacances - (las) vacaciones - 방학
beverage - (la) bevanda - (la) boisson - (la) bebida - 음료
water - (l')acqua - (l')eau - (el) agua - 물
heat - (la) calura - (la) chaleur - (el) calor - 더위
sunglasses - (gli) occhiali da sole - (les) lunettes de soleil - (las) gafas de sol - 선글라스
to sunbathe - abbronzarsi/prendere il sole - se bronzer/prendre un bain de soleil - tomar el sol - 일광욕을 하다
sunscreen - (la) crema solare - (la) crème solaire - (el) protector solar - 햇볕 타기 방지제
to relax - rilassarsi - se détendre/se relaxer - relajarse - 늦추다
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L'incident Thompson
[~1 560 mots]
Allistair arriva au laboratoire à huit heures très exactement. Il resta devant le volant pour un bon moment après avoir éteint le moteur, se laissant le temps de chasser le sommeil de ses yeux.
Il ouvrit la portière, tendant la main pour ressentir la fine pluie automnale. Elle était plus fraîche qu’à son habitude, du moins pour une fin de septembre. Ce ne serait peut-être pas plaisant, mais il survivrait la marche jusqu’à la porte d’entrée.
Il prit en main son cartable et prit une grande inspiration avant de courir vers la porte, fermant la portière et reverrouillant la voiture derrière lui. Une fois à l’intérieur de l’édifice, il tira sur son capuchon et commença à enlever son long manteau gris. Il l’accrocha sur le cintre à son nom, puis se dirigea vers la salle de son équipe.
Après avoir déposé son cartable sur son bureau, il se laissa tomber dans sa chaise, s’étirant longuement. Il s’observa un moment dans l’écran noir de son ordinateur et se mis à refaire sa coiffure. Après mille et un essais de plus en plus irrités, il laissa tomber l’affaire avec un long soupir d’exaspération. Les lèvres pincées, il remonta ses lunettes sur son nez avant d’activer la machine.
Les deux prochaines heures passèrent comme tous les jours auparavant ; il dit bonjour aux membres de son équipe au fur et à mesure qu’ils arrivèrent, puis il répartit les tâches de la journée et leur rappela les échéances à venir.
Alors qu’il butait sur une des maintes fiches de données soumises par son équipe, il aperçut quelqu’un l’approcher du coin de son œil. La figure passa une main dans son champ de vision pour être sûre de ne pas le surprendre quand elle arriva à son bureau.
« M. Thompson, » commença Kassja avec un sourire amical, un dossier callé sous le bras.
« Roy, » lui répondit-il avec un ton similaire. « Vous avez besoin de quelque chose ? »
Elle déposa le dossier près de son clavier avec un thud sourd. « Je devais juste vous remettre ça. Et bien sûr vous informer que je me rends à la serre. Je dois vérifier nos résultats les plus récents. »
« D’accord, » dit-il en hochant la tête. « Merci bien. »
Kassja lui adressa un sourire rayonnant et un pouce en l’air avant de s’éloigner. Allistair se retourna vers son moniteur et le nouveau dossier sur son bureau. Il l’ouvrit et commença à lire.
Après un moment, peut-être quelques minutes, peut-être un quart d’heure, il crut entendre un son étrange provenant de derrière lui. Venait-il de la serre ? Il passa une main à travers ses cheveux toujours en bataille et prit une grande inspiration pour regagner son calme.
« Du calme, » se dit-il, « tu ne sais même pas si tu l’as imaginé. »
Mais, à ce moment, un autre son retentit, plus fort cette fois, comme plusieurs pots de céramique ou de verre tombant de leurs supports.
Son corps agis avant son cerveau et, avant même qu’il se rende compte de ses actions, il se dirigeait déjà vers la serre. Il marchait avec des pas rapides, presque urgents, mais il ralentit légèrement pour ne pas alarmer ses collègues. Il arriva bientôt à la porte de la serre, apercevant une feinte lueur verte à travers la vitre opaque de la porte.
Il hésita un moment. Ses mains tremblaient. Il racla sa gorge avant de tourner la poignée et de tirer la porte ouverte. Il eut à peine le temps de distinguer quelques éléments de la scène devant lui avant d’être aveuglé par la lumière.
Une plante qui semblait flotter, enveloppée de la même lumière verdâtre. Des fragments de céramique éparpillés sur le sol. La lumière qui semblait être émise d’une paire de mains basanées et entaillées. Son sang glacé dans ses veines.
Ses paupières s’alourdirent alors qu’une douleur intense naissait derrière ses yeux. Il crut entendre quelque chose avant de perdre connaissance, une exclamation confuse derrière le bourdonnement dans ses oreilles.
« Par la malepeste ! »
—
Allistair ne fut pas sûr quand il se réveilla. Il n’y avait autour de lui que les ténèbres du noir le plus sombre. Même quand il crut ouvrir les yeux, il ne put rien voir. Son corps était engourdi, de même qu’il ne le sentait à peine.
Après une seconde ou une éternité il essaya de remuer un doigt ou un orteil, mais rien ne se passa. Une vague lui passa à travers du corps et de l’esprit Il ne pouvait pas bouger. Il n’était plus en contrôle de son propre corps.
Sa respiration devenue saccadée et de plus en plus rapide. Des larmes montèrent à ses yeux, chaudes et piquantes. Il avait commencé à trembler quand une voix retentit dans ses oreilles, mélodieuse et presque inhumaine.
« N’ayez pas peur, » lui dit-elle. « Nous ne vous voulons aucun mal. »
Cela ne le réassura nullement, car il essaya presque immédiatement de lancer un coup de pied. Un essai qui fut en vain, car son corps ne lui répondait toujours pas.
« Du calme, » intervint la voix, cette fois plus ferme. « Vous risquez de vous faire mal. »
Il sentit des doigts fins et froids se poser sur ses tempes, une vague de calme presque engourdissant se répandant dans son esprit.
Il essaya de lutter, de rester éveillé et conscient. Il lutta si fort qu’il put finalement ouvrir ses yeux, bien qu’il les pensât déjà ouverts.
Il vit une lueur dorée qui semblait lentement l'entourer, bougeant comme de l’eau autour de lui. Il crut entrevoir également, presque cachée derrière la lumière dorée, une paire d’yeux d’un vert éclatant et surnaturel.
Allistair réessaya de se libérer de cette étrange situation dans laquelle il s’était retrouvé. Aucun de ses muscles ne répondirent aux commandes de son cerveau. Il resta figé dans la lumière dorée, observé et vulnérable.
Le silence fut éventuellement percé par deux voix qui chuchotaient un chant en unisson. La première était celle qui lui avait parlé, celle à qui les mains sur son front appartenaient fort probablement. La deuxième était étrangement familière, comme s’il l’avait entendu auparavant, mais elle avait aussi un curieux ton, semblable aux sons de feuilles et de vignes.
Il ne put comprendre les mots qui flottaient autour de lui, car ils n’appartenaient à aucune langue qu’il connaissait. Les mots semblaient se mélanger entre eux alors qu’un lord nuage de sommeil se déposa dur son esprit, menaçant presque de l’écraser en petits morceaux.
Après tant de mots incompréhensibles, il fut surpris quand la première voix lui adressa ces paroles :
« Vous vous réveillerez sans souvenirs de ce qui s’est passé aujourd’hui. Vous ne vous rappellerez rien d’étrange de cette journée. Dormez maintenant, vous en aurez besoin. »
Les doigts se pressèrent encore plus fort sur ses tempes et la voix résonna jusqu’aux fins fonds de son esprit.
« Dormez ! »
Et, pour la deuxième fois ce jour-là, il perdit connaissance.
—
Huit heures pile, Allistair arrive au laboratoire. La pluie avait cessé depuis un moment, laissant le sol humide et couvert de flaques. Il se délaissa de son manteau et l’accrocha au cintre à son nom avant de se diriger à son bureau, une tasse de café fumant en main.
Il s’assit devant son ordinateur et prit une longue gorgée de café. Il alluma le moniteur et commença à consulter ses messages alors que ses collègues arrivaient uns à uns.
Après une trentaine de minutes environ, il aperçut Kassja l’approcher par-dessus son écran d’ordinateur. Il retourna son attention vers elle, levant un sourcil sous forme de simple questionnement.
« Passez une bonne nuit ? » demanda-t-elle avec un petit rire.
« J’ai l’air pire que d’habitude ? » contra-t-il sans hostilité.
« Je n’ai pas dit ça, » répondit-elle avec un sourire éclatant. « Je dois être à la boutique aujourd’hui, donc je voulais juste vérifier si vous aviez jeté un coup d’œil au dossier que je vous ai remis hier. »
Il fronça les sourcils en concentration avant de hocher la tête. « Oui, il me semble bien l’avoir survolé tout au moins. Très bien organisé, comme d’habitude. »
« Merci bien, » le remercia-t-elle. « Bon, je dois y aller. Vous savez comment me contacter si vous avez besoin de moi, bla bla bla, vous connaissez la routine. »
Elle leva la main pour lui souhaiter au revoir et il remarqua pour la première fois une cicatrice fraîche sur le côté de sa main. Cette blessure, qui s’étendait de la première jointure de son annulaire presque jusqu’à son poignet, était d’ailleurs entourée par quelques plus petites entailles. Curieux, et peut-être légèrement inquiet, il indiqua sa main avec un petit geste du menton.
« Tout va bien ? C’est la première fois que je vois ça. »
Sa question sembla la surprendre et son regard se dirigea rapidement vers sa main, ses yeux d’un vert pétillant s’agrandissant en surprise. « Oh ! C’est juste une égratignure, j’ai vécu pire. Ça prendrait bien plus pour me tuer, » dit-elle au ton d’une blague.
Allistair hésita un moment, légèrement dubitatif, mais hocha éventuellement la tête. Quelque chose au fin fond de son estomac lui disait quelque chose. Quelque chose qu’il ne pouvait pas décoder. Il poussa un long soupire avant de se retourner vers son travail.
Il devait juste avoir faim, rien de plus.
#short story#creative writing#writing#original character#ocs#oc: 🌺#french side of tumblr#french#paranormal stories#fantastique#wild 🍁
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27 février
m. est rentrée de louvain, elle m’a raconté qu’elle avait touché la main de son dj préféré et elle m’a montré ses bleus monstrueux d’avoir dansé accrochée à la grille toute la nuit mais elle sentait rien parce qu’elle était sous mdma et maintenant qu’elle est là, même si on en parle pas, je sens l’humiliation plus fort, la honte d’avoir pu un instant imaginer que laura a. était en train de flirter avec moi. en fait c’était ça le pire samedi soir, devoir avouer à m. que je m’étais fourrée le doigt dans l’oeil bien au-delà du coude. la honte.
béa nous a envoyé la vidéo de la perf et je suis absolument horrifiée par ma posture. on dirait christophe willem. je suis une tortue. je comprends le “côté geeky” maintenant. c’est pas que mes lunettes. j’oublie tout le temps que je me tiens pas droite. je sais pas ce que je dois faire pour y penser. pour me redresser. parfois je me demande si j’ai le dos voûté parce que je suis pas assez aimée. parce que j’ai pas assez de nourriture ni de chaleur, parce que j’ai faim et j’ai froid et que je m’affaisse sur moi-même comme un volcan en fin de vie. je vais vers le sol au lieu d’aller vers le ciel, je suis géotropique comme les racines, attirée par le dessous, le royaume du sous-sol, le royaume des morts. la mort encore. c’est mon centre de gravité, elle fait partie de moi.
28 février
dernier jour de février et ça continue d’être aussi bien que le mois de janvier , malgré mes amour solitaires pour des danseuses hétéros, ça reste bien, ça me laisse un bon goût dans la bouche, j’adore mes petites histoires pathétiques. c’est mes trésors. en promenant loki ce matin je pensais à permafrost d’eva baltasar, à la narratrice qui enchaîne les filles et le sexe qui pourrait être mon alter ego dans une réalité alternative où j’aurais pas eu le même passé, et j’imaginais ce qu’aurait fait cette alter ego à ma place dans le studio de danse avec laura. elle aurait dit sure i want a beer et elle aurait usé de tous ses charmes pour essayer de la séduire. est-ce que je peux devenir cette personne? je veux pas devenir la narratrice de permafrost parce qu’elle est suicidaire et que son coeur est gelé, mais est-ce que je peux devenir un peu moins voûtée et un peu plus entreprenante? un peu moins molle et dégoulinante et un peu plus fière et ambitieuse?
1er mars
je crois que je suis prête pour le sexe. tout à l’heure j’ai pas senti la mort dans ma bouche comme d’habitude quand je m’imagine que ça pourrait m’arriver. ou à défaut de la mort, une angoisse profonde et si, un peu morbide quand même. peut être que ma fiction avec laura a. m’aura au moins apporté ça. parce que samedi dans la salle de bain de m., même si je savais pas trop à quoi m’attendre, une toute petite partie de moi s’attendait à du sexe. et puis l’autre partie de moi, la raisonnable, me répétait it’s not gonna happen à voix haute, pour me faire redescendre de mon volcan. it’s not gonna haaappen. and it didn’t. mais en me regardant dans la glace, nue, puis en culotte, puis en culotte et soutien-gorge, avec mes cheveux relevés en chignon, je crois que j’étais prête. peut être que rien que ça, d’avoir fait l’expérience de ce moment, même si c’était de la fiction, a fait basculer quelque chose, et que l’énergie que je dégage maintenant est plus ouverte, plus favorable à ce que quelque chose se passe, etc.
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AKILA x PLEASURES
#AKILA x PLEASURES#sunglasses#lunettes des sol#streetwear blogging#streetwear collaborations#eyewear brands
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M. chatouille chatouille tout le monde
Bienvenue à Misterland ! C'est une matinée claire et ensoleillée et tout le monde se lève.
M. chatouille se réveille et, toujours au lit, utilise son long bras mobile pour attraper un biscuit en bas. Puis il a sauté du lit.
M. chatouille s'est brossé les dents et a fait cuire une grosse saucisse, un œuf au plat et a fait du thé pour le petit-déjeuner.
Savez-vous à quoi ressemblait son petit déjeuner ? Disons que la saucisse ressemble au numéro 1, puis l'œuf et la tasse de thé, du haut, ressemblaient à une paire de zéros. L'avez-vous déjà deviné ?
C'est exact! Cela ressemblait au nombre cent.
Et M. chatouille a des centaines de personnes à chatouiller aujourd'hui.
Le premier qu'il chatouilla fut après avoir ouvert la porte. Il y avait Monsieur Timbre le facteur.
"Bonjour, M. chatouille!" Accueilli Monsieur Timbre le facteur.
Et avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit de plus, M. chatouille les chatouilla, ramassa les lettres et s'en alla.
Il y avait madame propette qui pendait des serviettes sur une corde à linge. M. chatouille a étiré ses bras agités et l'a chatouillée. Une serviette est tombée sur madame propette.
M. chatouille est passé devant la maison de Robinson et a chatouillé Mr. Robinson par la fenêtre. Il a utilisé son autre main pour chatouiller M. petit après être sorti de chez lui.
M. chatouille a continué à chatouiller les gens qu'il voyait.
Il chatouillé madame tête-en-l'air qui en avait perdu la tête.
M. silence qui avait hurlé de rire.
M. grand qui s'était plié en deux.
Madame risette qui en avait eu les larmes aux yeux.
M. glouton qui en avait eu mal au ventre.
Madame timide qui était devenue rouge comme une pivoine.
Il a chatouillé madame beauté jusqu'à ce que son chapeau glisse,
et M. avare jusqu'à ce que son portefeuille sorte,
et madame têtue le fera,
et M. inquiet le fera pas,
et madame coquette a laissé tomber son sac à main,
et M. bagarreur recule,
et madame follette a dansé,
et M. rigolo tombe,
et madame sage recommence à réfléchir,
et M. pressé s'enfuie,
et madame double tournent,
et M. peureux a sauté sur un arbre,
et madame vite-fait a perdu l'équilibre,
et M. joyeux est tombé sur le sol en riant,
et madame boulot s'est cogné la tête contre une barre,
et M. etourdi jusqu'à ce qu'il se souvienne.
M. chatouille est allé chercher des œufs à Farmer Fields.
« Bonjour, Farmer Fields ! Puis-je avoir des œufs de vous, s'il vous plaît ? »
"Prenez votre temps, M. chatouille." Champs d'agriculteurs répondus.
M. chatouille est entré dans le poulailler, a attrapé douze œufs, les a mis dans un panier et est parti. Puis ses longs bras chatouillèrent les poulets.
Il n'a pas seulement chatouillé les poulets, il a chatouillé une vache, un cochon, les canards, le champ de maïs, le champ de blé,
et madame petite.
"Merci Farmer Fields." A remercié M. chatouille, et il a donné un petit chatouillement à Farmer Fields.
M. chatouille était en route pour Seatown et est tombé sur une école. Il chatouillait le professeur, un garçon à lunettes, une fille à couettes, et Jack. M. rêve sort en riant sur le bureau de Jack.
Il a continué son chemin vers Seatown et est passé devant le cabinet du médecin. Il a chatouillé M. atchoum, M. malchance, et Doctor.
Madame canaille attendait dans une boîte aux lettres bleue. Elle voit M. chatouille et a attaché ses bras en un nœud. Cela n'a pas arrêté M. chatouille, car il a utilisé ses doigts chatouilleux et a chatouillé madame canaille.
Il voit M. grincheux quitter l'épicerie. M. chatouille ne peut tout simplement pas s'en empêcher, peu importe à quel point un gars peut être grincheux. Il a chatouillé M. grincheux et son épicerie est tombée par terre.
M. chatouille a continué à marcher dans la rue quand madame prudente a marché dans la direction opposée avec son parapluie, ses bottes de pluie et son chapeau de pluie. Ses bras se tendirent et la chatouillèrent. Le parapluie s'ouvrit et fit rebondir les mains.
M. chatouille est arrivé à Seatown et s'est assis sur le sable. Une main sortit un sandwich et il en prit une bouchée. Puis l'autre main a chatouillé une mouette.
M. chatouille a continué à chatouiller plus de gens alors qu'il était assis là.
Il a chatouillé madame tintamarre construisant un château de sable,
et M. rapide levant un drapeau,
et madame indécise se promenant,
et M. malin lisant un livre,
et madame range-tout a laissé tomber une boîte de coquillages,
et M. parfait debout dans la brise marine.
Il a chatouillé madame geniale tirant sa planche de surf vers le sable,
et M. maigre sur un voilier,
et madame je-sais-tout sur un kayak,
et M. méli-mélo,
et madame autoritaire,
et M. etonnant,
et madame dodue.
M. chatouille voit M. incroyable sur un nuage. Il essaya de le chatouiller d'en haut en étirant ses longs bras. Ses bras ne sont pas assez longs pour chatouiller M. incroyable. Il a essayé, essayé et essayé.
Le vent a chassé le nuage de M. incroyable et il est tombé dans les bras de M. chatouille.
Il a continué à marcher et a rencontré Monsieur Pinceau le peintre. Il peint une clôture. Il a chatouillé Monsieur Pinceau et il est tombé par terre. M. curieux a regardé par-dessus la clôture et a vu M. chatouille. Avant que M. curieux ne dise quoi que ce soit, il a été chatouillé par une paire de mains orange. Les mains de M. chatouille !
Après le déjeuner, il se dirigea vers un arrêt de bus, M. maladroit marchait le long et enfila un couvercle de trou d'homme.
« Oh non ! » Dit M. maladroit.
M. chatouille lui a donné un chatouillement.
M. chatouille a attendu un bus. Il se tenait derrière M. heureux, debout derrière M. bruit, debout derrière madame catastrophe, debout derrière madame porquoi, debout derrière M. non, debout derrière M. nigaud, debout derrière M. costaud, debout derrière M. farceur, debout derrière madame oui, debout derrière madame tout-va-bien, dans une file d'attente de bus.
Lorsque le bus est arrivé, M. chatouille s'est assis à l'arrière, a étiré son bras et les a tous chatouillés.
C'était un long voyage, mais cela n'ennuierait pas M. chatouille.
En cours de route, il a chatouillé M. neige à Coldland,
M. malpoli près d'une fontaine,
et les bavards à la maison bavard.
Il a chatouillé M. tatillon dans une cabine téléphonique,
et madame bonheur dans un supermarché,
et madame chance au bord d'un lac,
et M. farfelu sous la pluie,
et madame collet-monté dans un bureau de poste,
et M. bing sur un terrain de basket,
et madame boute-en-train en jouant au frisbee,
et madame acrobate quelque part.
Il est descendu du bus et a poursuivi son voyage de retour.
Il a chatouillé madame chipie en rigolant.
Il a chatouillé madame en retard en courant vers la maison.
Il a chatouillé madame casse-pieds bavardant.
Il a chatouillé M. sale dans un tas de bric-à-brac.
Il a chatouillé M. endormi sur un hamac.
Il a même chatouillé un ver.
Il a chatouillé M. bizarre, M. á l'envers, madame vedette, M. courageux, M. grognon, madame moi je, madame contrarie et M. lent !
Ha ha !
M. chatouille avait encore une personne à chatouiller. Tard dans la soirée, madame magie était sur son tapis magique. M. chatouille étendit ses bras par la fenêtre et la chatouilla. Le tapis a atterri en toute sécurité.
M. chatouille a soupé, s'est brossé les dents et est allé se coucher.
Il y a quelqu'un que M. chatouille n'a pas encore chatouillé. Savez-vous qui ?
C'est M. chatouille, lui-même ! Il posa sa main sur sa tête et chatouilla dans son sommeil.
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Aventure, tome 2 : jour 16
Très saoulé par le sous chef au matin. Il me met de plus en plus à l’écart et je pense que c’est parce qu’il pète le seum qu’un petit jeune débarque et fasse un meilleur taff que lui.
Aprem longue, rien à faire. J’ai fini plus tôt.
Ma paupière a commencé à gonfler dans l’aprem. Je peux vous dire que j’ai la mega classe avec mon mini œil droit tout rouge.
J’ai également cassé mes lunettes ce qui signifie que je ne vais pas voir le pupitre (=la console de lumière) que je ne vais pas non plus voir les trous dans le sol quand je serai tout en haut. Et puis avec mon mini œil je vois encore moins bien.
Bref je vais rencontrer le maire etc aujourd’hui, pas mon meilleur esthétique.
Sinon je suis allé voir le match de rugby dans un bar et c’est le truc le plus nul et le plus cishet que je ferai pour le mois au moins. C’était nul, je suis encore plus fatigué maintenant.
La personne mimi dort avec moi ce soir normalement. Mais avec ma tête je me demande si c’est vraiment le bon jour. J’ai peur qu’il n’y en ait plus. À réfléchir
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2023/03/17 Pasamos a saludar a un primo que trabaja de modelo de gafas de sol en una tienda de recuerdos y regalos.
We stopped by to say hello to a cousin who works as a sunglasses model in a souvenir and gift shop.
Google Translation into French: Nous nous sommes arrêtés pour dire bonjour à une cousine qui travaille comme mannequin de lunettes de soleil dans une boutique de souvenirs et de cadeaux.
Google translation into Italian: Ci siamo fermati a salutare un cugino che lavora come modella di occhiali da sole in un negozio di souvenir e articoli da regalo.
Google Translation into Portuguese: Paramos para cumprimentar uma prima que trabalha como modelo de óculos de sol em uma loja de souvenirs e presentes.
Google Translation into German: Wir hielten an, um einen Cousin zu begrüßen, der als Sonnenbrillenmodell in einem Souvenir- und Geschenkeladen arbeitet.
Google Translation into Albanisch: U ndalëm për t'i përshëndetur një kushëriri që punon si modele syze dielli në një dyqan suveniresh dhe dhuratash.
Google Translation into Armenian: Մենք կանգ առանք՝ բարևելու զարմիկին, ով աշխատում է որպես արևային ակնոցների մոդել հուշանվերների և նվերների խանութում:
Google Translation into Bulgarian: Спряхме да се поздравим с една братовчедка, която работи като модел на слънчеви очила в магазин за сувенири и подаръци.
Google Translation into Czech: Zastavili jsme se pozdravit sestřenici, která pracuje jako modelka slunečních brýlí v obchodě se suvenýry a suvenýry.
Google Translation into Croatian: Zaustavili smo se da pozdravimo rođakinju koja radi kao model sunčanih naočala u suvenirnici i darovnici.
Google Translation into Danish Vi stoppede for at sige hej til en fætter, der arbejder som solbrillemodel i en souvenir- og gavebutik.
Google Translation into Slovak: Zastavili sme sa pozdraviť sesternicu, ktorá pracuje ako modelka slnečných okuliarov v obchode so suvenírmi a darčekmi.
Google Translation into Slovenian: Ustavili smo se, da bi pozdravili sestrično, ki dela kot model sončnih očal v trgovini s spominki in darili.
Google Translation into Estonian: Peatusime, et öelda tere sugulasele, kes töötab päikeseprillide modellina suveniiri- ja kingipoes.
Google Translation into Suomi: Pysähdyimme tervehtimään serkkua, joka työskentelee aurinkolasimallina matkamuisto- ja lahjatavaraliikkeessä.
Google Translation into Greek: Σταματήσαμε να πούμε ένα γεια σε μια ξαδέρφη που εργάζεται ως μοντέλο γυαλιών ηλίου σε ένα κατάστημα με σουβενίρ και είδη δώρων.
Google Translation into Dutch: We stopten om hallo te zeggen tegen een neef die als zonnebrillenmodel werkt in een souvenir- en cadeauwinkel.
Google Translation into Norwegian: Vi stoppet for å si hei til en fetter som jobber som solbrillemodell i en suvenir- og gavebutikk.
Google Translation into Polish: Zatrzymaliśmy się, żeby przywitać się z kuzynką, która pracuje jako modelka okularów przeciwsłonecznych w sklepie z pamiątkami i upominkami.
Google Translation into Romanian: Ne-am oprit să salutăm un văr care lucrează ca model de ochelari de soare la un magazin de suveniruri și cadouri.
Google Translation into Russian: Мы остановились, чтобы поздороваться с двоюродным братом, который работает моделью солнцезащитных очков в магазине сувениров и подарков.
Google Translation into Serbian: Зауставили смо се да поздравимо рођака који ради као модел наочара за сунце у продавници сувенира и поклона.
Google Translation into Swedish: Vi stannade för att säga hej till en kusin som jobbar som solglasögonmodell i en souvenir- och presentbutik.
Google Translation into Turkish: Hediyelik eşya ve hediyelik eşya dükkanında güneş gözlüğü mankeni olarak çalışan kuzenimize merhaba demek için durduk.
Google Translation into Ukrainian: Ми зупинилися, щоб привітатися з двоюрідним братом, який працює моделлю сонцезахисних окулярів у магазині сувенірів та подарунків.
Google Translation into Arabic: توقفنا لنقول مرحباً لابن عم يعمل كعارض للنظارات الشمسية في محل للهدايا التذكارية والهدايا.
Google Translation into Bengali: আমরা একটি স্যুভেনির এবং উপহারের দোকানে সানগ্লাসের মডেল হিসাবে কাজ করা একজন কাজিনকে হ্যালো বলতে থামলাম।
Google Translation into Simplified Chinese: 我们停下来向一位在纪念品和礼品店做太阳镜模特的堂兄打招呼。
Google Translation into Korean: 우리는 기념품 가게에서 선글라스 모델로 일하는 사촌에게 인사하기 위해 멈췄습니다.
Google Translation into Hebrew: עצרנו להגיד שלום לבת דודה שעובדת כדוגמנית משקפי שמש בחנות מזכרות ומתנות.
Google Translation into Hindi: हमने एक चचेरे भाई को नमस्ते कहना बंद कर दिया जो एक स्मारिका और उपहार की दुकान पर धूप का चश्मा मॉडल के रूप में काम करता है।
Google Translation into Indonesian: Kami berhenti untuk menyapa sepupu yang bekerja sebagai model kacamata hitam di toko suvenir dan suvenir.
Google Translation into Japanese: お土産やギフトショップでサングラスモデルとして働いているいとこに挨拶するために立ち寄りました。
Google Translation into Kyrgyz: Сувенирлер жана белектер дүкөнүндө күндөн көз айнектин модели болуп иштеген аталаш агабызга салам айтуу үчүн токтодук.
Google Translation into Malay: Kami berhenti untuk bertanya khabar kepada sepupu yang bekerja sebagai model cermin mata hitam di kedai cenderamata dan cenderamata.
Google Translation into Mongolian: Бэлэг дурсгалын зүйл, бэлэг дурсгалын дэлгүүрт нарны шилний загвар өмсөгчөөр ажилладаг үеэл ахтай мэндчилж зогслоо.
Google Translation into Nepali: हामीले एउटा स्मारिका र उपहार पसलमा सनग्लास मोडेलको रूपमा काम गर्ने एक जना काकालाई नमस्कार भन्न रोक्यौं।
Google Translation into Panjabi: ਅਸੀਂ ਇੱਕ ਚਚੇਰੇ ਭਰਾ ਨੂੰ ਹੈਲੋ ਕਹਿਣ ਲਈ ਰੁਕ ਗਏ ਜੋ ਇੱਕ ਸੋਵੀਨਰ ਅਤੇ ਤੋਹਫ਼ੇ ਦੀ ਦੁਕਾਨ 'ਤੇ ਸਨਗਲਾਸ ਮਾਡਲ ਵਜੋਂ ਕੰਮ ਕਰਦਾ ਹੈ।
Google Translation into Pashtun: موږ د تره زوی ته د سلام ویلو لپاره ودرید چې د سوغات او ډالۍ په پلورنځي کې د لمر عینکو ماډل په توګه کار کوي.
Google Translation into Persian: توقف کردیم تا به پسر عمویی که به عنوان مدل عینک آفتابی در مغازه سوغاتی و کادو فروشی کار می کند سلام کنیم.
Google Translation into Sundanese: Urang dieureunkeun pikeun ngucapkeun salam ka misan anu damel salaku modél kacamata di toko suvenir sareng kado.
Google Translation into Tagalog: Huminto kami para kumustahin ang isang pinsan na nagtatrabaho bilang modelo ng salaming pang-araw sa isang souvenir at gift shop.
Google Translation into Thai: เราแวะทักทายลูกพี่ลูกน้องที่ทำงานเป็นนายแบบแว่นกันแดดที่ร้านของที่ระลึกและกิ๊ฟช็อป
Google Translation into Urdu: ہم ایک کزن کو ہیلو کہنے کے لیے رک گئے جو ایک سووینئر اور گفٹ شاپ پر سن گلاسز کے ماڈل کے طور پر کام کرتا ہے۔
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Mon (Son) témoignage !
Dieu a fait tout cela pour moi. Sans lui, je ne serais probablement plus en vie.
Ma famille n'était pas très religieuse, mais j'ai été baptisée catholique et je suis allée à la communion et à la confirmation. Enfant, j'étais déjà très religieuse et je sentais Dieu dans mon cœur.
En vieillissant pendant la puberté, j'ai relativisé l'existence de Dieu et je me suis engagé sur une mauvaise voie (alcool, drogues, cigarettes, vols, dégâts matériels, etc.). Mes amis prenaient de la drogue, mais pas moi à cette époque. .
La nuit, je rêvais que je perdrais la vue de mon œil droit. Quand je me suis réveillé, je pouvais ressentir la douleur.
Quand j'avais dix-sept ans, je travaillais dans une quincaillerie pendant les vacances scolaires pour gagner de l'argent pour des vacances en Italie. Un sac de ciment est tombé d'un support élevé d'environ 5 mètres de haut sur le sol, juste au-dessus de ma tête.
On m'a demandé de découper un toit en plastique ondulé pour une terrasse d'un client.
Personne ne m'a dit que j'avais besoin de lunettes de sécurité. Les éclats de plastique ont volé dans mon œil droit.
Après quelques jours, j'ai remarqué que quelque chose n'allait pas avec mes yeux. L'ophtalmologiste constate un décollement de rétine mais plus d'éclats de plastique.
Le médecin m'a immédiatement orienté vers une clinique ophtalmologique. Là, ils ont dit que j'étais arrivé juste à temps, sinon mon œil droit serait devenu aveugle.
Ma rétine a été réparée avec un tampon de silicone et les trous restants ont été gravés au laser. J'ai eu mal aux yeux pendant quelques années.
Depuis l'âge de dix-huit ans, je rêvais que je mourrais dans un accident à vingt et un ans, mais je ne savais pas exactement quoi. Quand j’avais vingt et un ans, j’étais à une soirée très droguée et j’ai fait une overdose.
Je suis tombé dans un état d'inconscience. J'ai senti mon cœur battre de plus en plus vite et tout à coup, je ne pouvais plus sentir mon cœur du tout. J'étais mort de peur. Ma vie s'est déroulée comme un film à l'envers.
Je pensais que j'allais mourir maintenant, je suis tombé dans un tunnel noir sans fin. J'ai commencé à prier Dieu, Allah, Jésus... Soudain, une main est apparue dans le tunnel et une voix a dit "Prends ma main et tu ne mourras pas". Quand j'ai pris la main, je me suis retrouvé dans une pièce lumineuse et la voix n'arrêtait pas de dire "Tu ne mourras pas" !
La peur de la mort a disparu et j'étais en sécurité ! Cette nuit-là, c’était comme si elle avait duré toute une vie ! Quand je me suis réveillé, j'ai cru que j'étais mort.
Tout était tellement irréel ! Il m'a fallu une semaine pour réaliser que j'étais toujours en vie. "Ce qui s'est passé? Était-ce une expérience de mort imminente ? Ou était-ce la drogue et j'ai tout imaginé ?
J'ai recommencé à prier Dieu ! Après cette nuit, j'ai eu une psychose provoquée par la drogue avec des flashbacks récurrents. J'avais le choix d'arrêter ma formation ou d'aller en soins psychiatriques. J'ai décidé de tenir le coup et de terminer mes études.
Cela a été un enfer pendant un an mais Dieu était toujours avec moi et m'a soutenu !
J'ai continué à lutter avec ce qui s'était passé, était-ce Dieu ou juste les drogues, que s'était-il passé ?
Après ma formation, j'ai obtenu mon Abitur au BOS (lycée professionnel) et j'ai étudié la pédagogie sociale et la gestion sociale à Berlin.
Durant mes études, je me suis converti à la foi avec ma copine de l'époque et j'ai donné ma vie à Dieu.
Vers la fin de mes études, je me sentais très mal, je ne me souvenais plus de rien et j'ai développé une très grave dépression. Je n'ai pas pu continuer mes études et je suis retourné à Munich pour me faire soigner.
Là, les médecins ont diagnostiqué une atrophie cérébrale. Et ils ont dit que mon cerveau avait rétréci comme celui d'un octogénaire et que cela était irréversible (irréversible), peut-être la raison de la grave dépression et de la sévère limitation de mes performances cérébrales !
J'étais à la fin !
J'ai continué à prier Dieu et à lui demander : « Es-tu toujours de mon côté, oh mon Dieu ? » Il n'y avait pas de réponse. Quelques jours plus tard, j'ai roulé en mobylette jusqu'à la Goetheplatz (Munich).
Alors que j'enlevais mon casque, un SDF (mendiant) m'a demandé si j'avais de la monnaie pour lui ? J’ai dit : « Malheureusement non ! » Il a répondu : « Ce n’est pas grave ! L’essentiel est que vous sachiez que Dieu est de votre côté ! » Il l’a dit 3 fois !
Du coup, j’ai été dans un service psychiatrique pour traitement de toxicomanie et plus tard dans une clinique psychosomatique !
Sans Dieu, je n'aurais pas pu m'en sortir, j'étais très suicidaire !
Dieu n’a cessé de me sauver de situations dangereuses qui auraient pu me coûter la vie !
J'ai décidé de ne pas abandonner, de reprendre mon ancien travail et de vivre une vie normale !
Je devais subir une imagerie par résonance magnétique (IRM) de mon cerveau chaque année.
Lors du premier examen après mon diagnostic initial, les médecins ont dit qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas avec les images du diagnostic initial car l'atrophie cérébrale était plus petite sur les nouvelles images.
Cette affirmation se répétait d'année en année. À un moment donné, on a dit que l’atrophie cérébrale n’était plus détectable.
Pendant cette période et par la suite, j'ai dû faire face à d'autres problèmes familiaux et personnels.
Ici aussi, Dieu a toujours été avec moi et m'a soutenu et m'a souvent protégé des pires choses, jusqu'à aujourd'hui.
Aujourd’hui, je porte toujours la croix de la dépression avec moi !
Mais avec Dieu cela devient supportable !
Je prie Dieu chaque jour au nom de Jésus et lui demande de prendre ma vie, mon cœur, mon âme entre ses mains et d'en faire ce qu'il m'a destiné...
Parce que beaucoup de choses qui me sont arrivées ont été des épreuves.
Dieu ne veut pas que nous connaissions l’avenir et il ne voudrait pas nous charger d’une telle connaissance.
C'est pourquoi je prends l'armure de Dieu dans la prière chaque jour (Éphésiens 6 : 10-18), j'ai donc appris à distinguer les mensonges de la vérité.
Merci d'avoir réellement lu (mon) son témoignage !
Et merci aussi pour toutes vos prières pour moi !
D’ailleurs, (mon) témoignage n’a aucun droit d’auteur, ce qui signifie que vous pouvez le transmettre, avec ou sans mon nom, par écrit ou numériquement.
N'oubliez pas que nous sommes tous enfants de Dieu et que nous sommes tous protégés par Lui !
Vos histoires de préservation et vos (Ses) témoignages sont tous très précieux et doivent être racontés !
Les histoires de préservation sur les quasi-accidents que notre Dieu a empêchés sont également très importantes !
Je voudrais vous encourager à faire de même pour le royaume de Dieu, car c'est la graine ! Mais ne regardez pas en arrière pour voir si elle s'ouvre, car Dieu fera le reste !
Je porterai désormais toujours (mon) son témoignage avec moi par écrit et, si Dieu le veut, je le transmettrai !
Que Dieu vous bénisse tous!
Franc
(Allemagne)
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