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#livre d'or
lafeepoudree · 2 years
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Livre d’or baptême sur le thème dragon dinosaure https://www.lafeepoudree.fr/livres-d-or-essentiel/1092-1138-livre-d-or-essentiel-dinosaure-dragon-rose-rose-gold-et-ivoire.html
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norellenilia · 2 months
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En fait quand on y pense, la disparition d'Eldarya a été provoquée par la potion de l'épisode 13 de The Origins !
On apprend dans l'épisode 18 de A New Era que c'est la commanderie de Papounet qui a trop déchiré l'espace-temps avec ses balades de la Terre à Eldarya, du coup le tissu entre les mondes tenait plus et le maana s'est engouffré dans les failles, faisant disparaître Eldarya à jamais.
Sauf que si on en est arrivés là, c'est parce que la commanderie a été réanimée par Papounet et son flouze ! Et s'il a trouvé la commanderie, c'est parce qu'il a trouvé des infos sur l'Ordre du Jardin des Anciens, en cherchant pourquoi personne à part lui ne se souvenait d'Erika ! Et s'il était le seul à se souvenir d'elle, c'était à cause de la potion d'oubli bue par Erika ! CQFD !! :D
(Je sais que plein d'autres trucs auraient pu provoquer la catastrophe, y'aurait pu y avoir un autre méchant, d'autres circonstances, etc, mais là avouez que c'est un lien plutôt direct mdr)
Ce qui signifie aussi que Leiftan, en suggérant cette potion à Miiko, a fini par atteindre le but que lui et Lance visaient en saison 1, à savoir la destruction d'Eldarya :') Avec 8 ans de retard et un retournement de veste, mais quand même !
P't'être que c'était ça, sa vraie utilité en saison 2, être l'instigateur plus ou moins involontaire de la fin du monde :')
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prosedumonde · 1 year
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Mais j’ai quantité d’expériences quand il s’agit de trouver des éclats de lumière à chérir lorsque la vie est pire que d’habitude.
S.A. Chakraborty, L'Empire d'or, t. 3
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philoursmars · 2 years
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2015. Au Louvre-Lens, encore une belle expo : “D’Or et d’Ivoire” :
- les 3 premières : feuillet de diptyque en ivoire - Picardie 1250
- les 3 autres : quatrième Evangéliaire de la Sainte-Chapelle
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“La Fille aux yeux d’or” par Honoré de Balzac
Encore un autre magnifique livre de Balzac, plus particulièrement une histoire de sa comédie humaine, scène de la vie parisienne, histoire des Treize. Dommage que cette histoire n'est pas venue avec les deux précédentes, soit Ferragus et la Duchesse de Langeais (cela n'a pas de sens). Balzac ne déçoit jamais.
Par contre, je n'ai pas compris pourquoi Balzac n'est pas allé jusqu'au bout de l'histoire, à savoir l'histoire d'amour entre le frère et la soeur, page 156, "Tu es encore trop jeune, trop belle, dit Henri en la prenant dans ses bras et lui donnant un baiser." D'ailleurs le manuscrit faisait dire à Henri, "je ne voudrais pas que ce fût le dernier", (page 28). Dommage.
De plus, la fin était assez confuse. Finalement qui écrivait les lettres que Paquita recevait de Londres? Honnêtement à partir de la page 152, tout devient incompréhensible.  
Attention, ne pas lire l'introduction si vous ne voulez pas être gâché de l'intrigue de l'ouvrage et je ne comprends pas pourquoi la préface de 1834 (Histoire des Treize) ne pouvait pas être mise devant le commencement de l'histoire (page 177) ?
Il y a une très belle notion de ce qu'un écrivain / auteur doit être, page 180.
Magnifique introduction de la vie parisienne, de la page 49 à 71 ; la conclusion se trouve à la page 69. La vie parisienne est divisée par catégorie (artiste, ouvrier, bourgeois, noble,... voir citations ci-dessous), par exemple, "À Paris, la vanité résume toutes les passions", (page 64). Ceci me fait tellement penser à certains passages de "Hell".
Il y a aussi une belle référence à Dante et sa divine comédie dont Balzac s'est inspirée pour créer sa comédie humaine à son tour (page 60). Ici le cercle de l'enfer, représente le cercle parisien.
L'histoire commence réelle à la page 72, avec Henri de Marsay. Toutefois, je n'ai pas vraiment compris son arbre généalogique, mise à part que son père biologique est Lord Dudley, mais qui est sa mère (page 72 à 75)? Je me demande si Henri a vraiment été amoureux ou seulement intoxiqué par l'inaccessibilité de la fille aux yeux d'or (page 88), soit Paquita Valdès (à ne pas confondre avec Edmond Dantès).
La première fois que le titre est mentionné cela est à la page 86, puis à la page 133, 144, 152 et 156.
Concernant Paquita Valdès, je ne comprends toujours pas pourquoi on a eu besoin de la cacher, ou pourquoi elle ne pouvait pas avoir une vie "normale", pourquoi être une sorte d'esclave (page 94 et 155).
On aurait pu mentionner que le facteur s'appelait Moinot avant de mentionner son nom dans les notes de bas de page (soit d'abord à la page 94/167, puis officiellement présenté à la page 95).  
J'aime bien la relation d'amitié qu'Henri entretient avec Paul, bien qu'elle n'est pas équitable (page 98).
J'adore l'astuce qu'Henri a trouvé pour voir Paquita, comment se débarrasser de la duègne, il suffit de l'endormir avec de l'opium tout simplement (page 102-104). La première entrevue entre Henri et Paquita se fait à la page 110.
D'ailleurs, je ne comprends pas comment Paquita est vierge, car elle semble avoir plus d'un amant (page 129 et 133) ? Que s'était-il vraiment passé entre Paquita et Henri, ont-ils cédés à la tentation de la chair ? Ensuite, Paquita est de la Havane (page 132), mais sa mère est géorgienne (156)?  
La vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais "la vie est un fleuve qui sert à faire du commerce", (page 134).
Henri peut être terrible quand il veut, "pour conserver l'honneur de celle que nous aimons assez pour la respecter", (page 135) ou encore, "D'ailleurs il avait déjà pensé, malgré l'emportement de sa colère, qu'il était peu prudent de se commettre avec la justice en tuant cette fille à l'improviste et sans en avoir préparé le meurtre de manière à s'assurer l'impunité," (page 148). "Henri ne savait pas pardonner. Le savoir-revenir, qui certes est une des grâces de l'âme, était un non-sens pour lui," (page 149).
J'ai adoré la référence aux Liaisons dangereuses et à Sade (Justine ou les Malheurs de la vertu) (page 138).
Questions : - Qui est doña Concha (page 142) ? - Pourquoi Paquita a déplu à Henri à la page 147-149? Je n'ai pas compris le caca nerveux de Henri, absolument pas. - Et pourquoi la prochaine fois que l'on revoir Paquita celle-ci gît pleine de sang dans le boudoir rose, en train de mourir (page 152). - Qui est Mme de San-Réal, la marquise (page 153) ? La soeur de Henri, Margarita-Euphémia Porrabéril ? L'amante de Paquita ? - Comment est mort Christemio (page 155) ? - Donc la duègne n'est pas la mère de Paquita ? - Pourquoi Henri ne croise jamais sa soeur dans la ville de Paris ?
Trop de questions se posent à partir de la page 152, comme dirait le Bulletin de censure en juin 1846, "Ce roman est un imbroglio sanglant où rien n'est clairement défini..."
Note de bas de page très intéressantes : - 20 (page 158) = sur l'occupation des étages qui correspond aux différents degrés de la hiérarchie sociale. - 34 (page 160) = l'apanage de ceux que Balzac a coutume d'appeler les trois "robes noires" : l'homme de loi, le médecin et le prêtre. - 91 (page 167) = les calembours de Balzac.
Très belles citations: - Page 50 : "Peu de mots suffiront pour justifier physiologiquement la teinte presque infernale des figures parisiennes, car ce n'est pas seulement par plaisanterie que Paris a été nommé un enfer." & "À force de s'intéresser à tout, le Parisien finit par ne s'intéresser à rien." - Page 51 : "En effet, indifférent la veille à ce dont il s'enivrera le lendemain, le Parisien vit en enfant quel que soit son âge. Il murmure de tout, se console de tout, se moque de tout, oublie tout, veut tout, goûte à tout, prend tout avec passion, quitte tout avec insouciance ; ses rois, ses conquêtes, sa gloire, son idole, qu'elle soit de bronze ou de verre ; comme il jette ses bas, ses chapeaux et sa fortune. À Paris, aucun sentiment ne résiste au jet des choses, et leur courant oblige à une lutte qui détend les passions : l'amour y est un désir, et la haine une velléité ; il n'y a là de vrai parent que le billet de mille francs, d'autre ami que le Mont-de-Piété." - Page 58 : "Là donc aussi, pour obéir à ce maître universel, le plaisir ou l'or, il faut dévorer le temps, presser le temps, trouver plus de vingt-quatre heures dans le jour et la nuit, s'énerver, se tuer, vendre trente ans de vieillesse pour deux ans d'un repos maladif." - Page 61 : "Ces gens-là déposent leur coeur où ?..." & "Pour eux, point de mystères, ils voient l'envers de la société dont ils sont les confesseurs, et la méprisent." - Page 62 : "À toute heure, l'homme d'argent pèse les vivants, l'homme des contrats pèse les morts, l'homme de loi pèse les conscience." - Page 63 : "Alors, pour sauver leur amour-propre, ils mettent tout en question, critiquent à tort et à travers ; paraissent douteurs et sont gobe-mouches en réalité, noient leur esprit dans leurs interminables discussions." - Page 64 : "Excédés par un besoin de produire, dépassés par leurs coûteuses fantaisies, lassés par une génie dévoreur, affamés de plaisir, les artistes de Paris veulent tous regagner par d'excessifs travaux les lacunes laissées par la paresse, et cherchent vainement à concilier le monde et la gloire, l'argent et l'art." - Page 65 : "Le peintre sans occupation se ronge les entrailles s'il se sent homme de génie. La concurrence, les rivalités, les calomnies assassinent ces talents. Les uns, désespérés, roulent dans les abîmes du vice, les autres meurent jeune et ignorés pour s'être escompté trop tôt leur avenir. Peu de ces figures, primitivement sublimes, restent belles. D'ailleurs la beauté flamboyante de leurs têtes demeure incomprise. Un visage d'artiste est toujours exorbitant, il se trouve toujours en dessus ou en dessous des lignes convenues pour ce que les imbéciles nomment le beau idéal. Quelle puissance les détruit ? La passion. Toute passion à Paris se résout par deux termes : or et plaisir." - Page 66 : "Mais abordons les grands salons aérés et dorés, les hôtels à jardins, le monde riche, oisif, heureux, renté. Les figures y sont étiolées et rongées par la vanité. Là rien de réel. Chercher le plaisir, n'est-ce pas trouver l'ennui ? Les gens du monde ont de bonne heure fourbu leur nature. N'étant occupés qu'à se fabriquer de la joie, ils ont promptement abusé de leur sens, comme l'ouvrier abuse de l'eau-de-vie. Le plaisir est comme certaines substances médicales : pour obtenir constamment les mêmes effets, il faut doubler les doses, et la mort ou l'abrutissement est contenu dans la dernière. Toutes les classes inférieures sont tapies devant les riches et en guettent les goûts pour en faire des vices et les exploiter. - Page 67 : "Les riches rencontrent à Paris de l'esprit tout fait, la science toute mâchée, des opinions toutes formulées qui les dispensent d'avoir esprit, science ou opinion. Dans ce monde, la déraison est égale à la faiblesse et au libertinage. On y est avare de temps à force d'en perdre. N'y cherchez pas plus d'affections que d'idées. Les embrassades couvrent une profonde indifférence, et la politesse un mépris continuel. On n'y aime jamais autrui. Des saillies sans profondeurs, beaucoup d'indiscrétions, des commérages, par-dessus tout des lieux communs ; tel est le fond de leur langage ; mais ces malheureux Heureux prétendent qu'ils ne se rassemblent pas pour dire et faire des maximes à la façon de La Rochefoucauld ; comme s'il n'existait pas un milieu, trouvé par le dix-huitième siècle, entre le trop-plein et le vide absolu." & "Cette vie creuse, cette attente continuelle d'un plaisir qui n'arrive jamais, cet ennui permanent, cette inanité d'esprit, de coeur et de cervelle, cette lassitude du grand raout parisien se reproduisent sur les traits, et confectionnent ces visages de carton, ces rides prématurées, cette physionomie des riches où grimace l'impuissance, où se reflète l'or, et d'où l'intelligence a fui." - Page 70 : "À l'heureuse et molle espèce des flâneurs, les seuls gens réellement heureux à Paris, et qui en dégustent à chaque heure les mouvantes poésies." - Page 71 : "Aussi, le femmes admirent-elles aussitôt ces jeunes gens avec ce plaisir avide que prennent les hommes à regarder une jolie personne, décente, gracieuse, décorée de toutes les virginités dont notre imagination se plaît à embellir la fille parfaite. Si ce coup d'oeil rapidement jeté sur la population de Paris a fait concevoir la rareté d'une figure raphaélesque, et l'admiration passionnée qu'elle y doit inspirer à première vue, le principal intérêt de notre histoire se trouvera justifié." - Page 76 : "Pour une femme, le voir, c'était en être folle ; vous savez ? concevoir un de ces désirs qui mordent le coeur, mais qui s'oublient par impossibilité de le satisfaire, parce que le femme est vulgairement à Paris sans ténacité." - Page 77 : "Hélas ! Toutes ces belles qualités, ces jolis défauts étaient ternis par un épouvantable vice : il ne croyait ni aux hommes ni aux femmes, ni à Dieu ni au diable. La capricieuse nature avait commencé à le douer ; un prêtre l'avait achevé." - Page 78 : "Le jeune homme examinait les promeneurs, avec cette promptitude de coup d'oeil et d'ouïe particulière au Parisien qui paraît, au premier aspect, ne rien voir et ne rien entendre, mais qui voit et entend tout." - Page 79 : "De cet air affectueux en apparence, mais qui entre les jeunes gens parisiens ne prouve rien, ni pour le présent ni pour l'avenir. En effet, les jeunes gens de Paris ne ressemblent aux jeunes gens d'aucune autre ville. Ils se divisent en deux classes : le jeune homme qui a quelque chose, et le jeune homme qui n'a rien ; ou, le jeune homme qui pense et celui qui dépense. Mais entendez-le bien, il ne s'agit ici que de ces indigènes qui mènent à Paris le train délicieux d'une vie élégante." - Page 96 : "Disons-le à la louange des femmes, il obtenait toutes celles qu'il daignait désirer. (...) à un jeune homme armé de la beauté qui est l'esprit du corps, armé de l'esprit qui est une grâce de l'âme, armé de la force morale et de la fortune qui sont les deux seules puissances réelles ? Mais en triomphant aussi facilement, de Marsay devait s'ennuyer de ses triomphes ; aussi, depuis environ deux ans s'ennuyait-il beaucoup. En plongeant au fond des voluptés, il en rapportait plus de gravier que de perles." - Page 97 : "Comme les vieillards et les gens blasés, il n'avait plus que des caprices extravagants, des goûts ruineux, des fantaisies qui, satisfaites, ne lui laissaient aucun bon souvenir au coeur." - Page 102 : "Si l'on ne peut pas te faire capituler, avec un peu d'opium l'on t'endormira." - Page 106 : "L'homme malheureux de Paris est l'homme malheureux complet, car il trouve encore de la joie pour savoir combien il est malheureux." - Page 116 : "Jeta sur lui un de ces regards qui vont jusqu'à l'âme et la brûlent." - Page 140 : "Mais, pour le désespoir de l'homme, il ne peut rien faire que d'imparfait, soit en bien soit en mal." - Page 142 : "J'ai mis doña Concha entre la peur d'une mort immédiate et une colère à venir." - Page 144 : "Paquita répondait à cette passion que sentent tous les hommes vraiment grands pour l'infini, passion mystérieuse si dramatiquement exprimée dans Faust, si poétiquement traduite dans Manfred, et qui poussait Don Juan à fouiller le coeur des femmes, en espérant y trouver cette pensée sans bornes à la recherche de laquelle se mettent tant de chasseurs de spectres, que les savants croient entrevoir dans la science, et que les mystiques trouvent en Dieu seul. L'espérance d'avoir enfin l'Être idéal avec lequel la lutte pouvait être constante sans fatigue ravit de Marsay qui, pour la première fois, depuis longtemps, ouvrit son coeur." - Page 151 : "Dit le chef des Dévorants avec le rire d'un critique enchanté de découvrir une faute dans une belle oeuvre."
Bonsoir.
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sabinerondissime · 16 days
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Journal
Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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hedgehog-moss · 1 year
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Hey!
I thought maybe you could help me in my quest. I've made two bookmarks for a friend with watercolors. One of them is a small fox looking at fallen leaves flying above his head, as if he were mesmerized by them. And I've been trying to find a good quote to accompany it on the back of the bookmark, but I haven't been successful so far.
I'm looking either for a poetry excerpt (my bookmark is 1/8 of an A4 sheet of paper, so nothing that would be very long [like a full sonnet haha] but I still have some space) or a quote of any kind, in French or in English, both are fine.
Would you have any that would make a good fit? Maybe an autumn-y one?
[I don't want to influence you, but for example, for the second one which is a sky at almost-dusk-time with a washed-out blue sky and soft pink clouds, I have a quote from one of the Anne of Green Gables books by Lucy Maud Montgomery:
"In daylight I belong to the world, in the night to sleep and eternity. But in the dusk I'm free from both and belong only to myself."]
Much thanks, and scritches to your various animals :)
Handmade watercolour bookmarks are such a nice idea for a gift, I love it <3
I vexed myself thinking about your request because I learn poetry by heart so often, or small book excerpts, but when someone asks me to dig up a topical quote my mental library is suddenly empty. I wish I had a tag system for my brain.
I vaguely remember an Alfred Desrochers poem the first stanza of which was "Le vent est froid, le ciel est gris, la terre est rousse / L'automne est revenu par septembre apporté / Et les arbres, devant la mort du bel été / Pleurent des larmes d'or [?quelque chose?] sur la mousse." And something by Francis Jammes about "ces jours qu'empourpraient les agonies solaires de l'automne" but no recollection beyond that...
I also remember some meager excerpts from "Matin d'octobre" by François Coppée, "A travers la brume automnale / Tombent les feuilles du jardin / [???] / Une blonde lumière arrose / La nature, et dans l'air tout rose / On croirait qu'il neige de l'or."
And one of my favourite poems by Marie-Claire Bancquart, "Je marche dans la solitude des livres", "Beyond the garden, beyond the moment at hand, are the fallen shells of chestnuts, the fire of leaves in the mist..."
And a verse by Ernest Dowson that went "And are we not better and at home / in dreamful autumn...? "
Maybe a couple of lines from this e.e. cummings poem? What my brain retained of it was "the glory is fallen out of the sky, this is the passing of all shining things"...
(if a fox could write autumn poetry I think it would sound like this poem. "no lingering no backward-wondering straight glad feet fear ruining lead us into the serious darkness...")
I also like this sentence by Elizabeth Coatsworth, from her book Personal Geography: "The magic of autumn has seized the countryside; now that the sun isn’t ripening anything it shines for the sake of the golden age; for the sake of Eden; to please the moon for all I know."
Anyway, love the idea of handmade illustrated bookmarks :) It reminds me of a calendar I made for a friend years ago, I wrote a little poem for each month and illustrated it. One of the poems was about having a snail friend:
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mamusiq · 10 days
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Patachou - Chanson Censurée de 1959 Chanson
"La Chose, ou les Ratés de la Bagatelle"
Disque 45t de 1959, censuré par le visa : "Radiodiffusion interdite par le Comité d'écoute".
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Y a ceux qui font la chose en regar'dant l'plafond
Ou en comptant les mouches qui sont sur'l'guéridon Y a ceux qui font la chose en pensant à l'argent Et ceux qui n'pensent à rien parce que c'est fatiguant Y a ceux qui font la chose en s'demandant pourquoi Et ceux qui font la chose comm's'ils étaient en bois Ceux qui pendant la chose se mettent à bégayer Et qui s'étonnent après d'avoir des quintuplés
Y a ceux qui font la chose en chantant une chanson En battant la mesure en tapant du talon Y a ceux qui font la chose toujours un peu distants Parce que c'est l'seul moyen pour avoir des enfants Ceux qui pendant la chose poussent des cris violents Pour que les voisins croient qu'ils passent un bon moment
Y a ceux qui font la chose sans passion ni désir Parce que c'est le seul truc qui fasse vraiment maigrir Y a ceux qui font la chose pour battre des records Tous ces dont les appâts ne sont qu'un livre d'or Y a ceux qui font la chose avec des accessoires Qui ont besoin d'une trompette ou bien d'une balançoire
Ceux qui lorsque la chose est déjà terminée Se demandent si la chose va bientôt commencer Y a ceux qui font la chose pas pour la sensation Une seule fois dans l'année pour les allocations
Ils ont l’œil triste Le cou tendu Les ratés de la bagatelle Ils font la chose En par-dessus Les ratés du fruit défendu
Car tous ceux à qui la chose ne fait rien N'aiment pas ceux à qui la chose fait du bien
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balu8 · 2 months
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Patrick Block: Mickey
Source: Mark Thelosen (comicartfans)
Mickey....ARRRR!, in Paperchaser 1968's Livre d'or Comic Art Gallery Room (comicartfans.com)
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lafeepoudree · 2 years
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Décoration baptême thème étoile. Boîte à enveloppes, livre d’or, moulins à vent et guirlande de fanions. https://www.lafeepoudree.fr/40-etoiles
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promises-of-paradise · 2 months
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Paul Gavarni and the Junots
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A portrait of Constance Aubert, née Junot d'Abrantès, by Paul Gavarni, December 1839.
In the appendix of a biography of Laure Junot sent to me by my friend @apurpledust, I found some poems and an article by the French writer and illustrator Paul Gavarni relating to the Junot family. Laure Junot and her daughters Josephine and Constance were all published writers, and inhabited the same artistic social circle that Gavarni did.
Article by Gavarni about the last volume of the second edition of "Memoirs of the Duchess d'Abrantès", published after her death:
original French:
Nous voici arrivés à la dernière page de ces mémoires d'une grande dame écrits par une femme artiste: livre dans lequel se confondent deux célébrités, dont chacune aurait suffi à bien des ambitions. Et quelque frappé qu'on soit d'une organisation si riche, on l'est plus encore du sentiment de dignité personnelle qui la soutint et la développa. Mme d'Abrantés a été un exemple bien rare de cette véritable grandeur que les événements ne sauraient atteindre. Un orage emporte un empire autour d'elle, puis les années viennent; elle a perdu presque un trône; et cependant elle est restée le front élevé au-dessus de la foule. Voilà ce que trouveront d'abord dans les livres qu'elle a faits ceux qui cherchent la vie sous ses beaux aspects. Lisez! Pétillante d'esprit, jolie femme, avec ce grand nom, cette couronne ducale, tout cet or, toute cette gloire, de combien d'hommages, et de quels hommages a dû être entourée la jeune duchesse d'Abrantés! Et il lui a falla se résigner à perdre tout cela, et, tout cela perdu, trouver dans la supériorité de son intelligence une consolation pour tant de regrets! et se faire à cinquante ans une nouvelle vie! une autre gloire! A-t-on bien songé à ce qu'il y avait de vraie noblesse dans ce courage? Nous ne saurions contester celle-là, nous autres artistes, nés du peuple, si fiers de notre aristocratie parce qu'elle vient de nous, mais qui voyons tant de noblesse dans le travail. Mme d'Abrantès travaillait comme pas un de nous ne le pourrait faire. Elle n'écrivait pas seulement quatre fois autant qu'un homme de lettres, elle dessinait encore, elle jouait la comédie, elle composait de la musique; ou bien elle bêchait les fleurs de son jardin, ou classait son herbier, ou même brodait quelques tapisseries. Faut-il joindre à ces travaux les soins du monde, les visites dont elle était assiégée tout le jour, les longues causeries du soir, une correspondance affairée, pour admirer cette existence si prodigieusement active! Voilà de quelles louables choses fut remplie la seconde moitié de cette vie douée de renommées si di-verses. Les jours de la duchesse avaient été brillants, sans doute ; mais ceux-ci n'étaient-ils pas aussi glorieux pour l'auteur de l'Amirante de Castille? Ne devait-elle pas voir avec un bien légitime orgueil se presser autour d'elle ce jeune essaim d'artistes dont elle était devenue la reine? Ces potes diront que c'était une abeille d'or arrachée au manteau de l'Empire et tombée au milieu de nous. Aussi les hommes qui se réunissaient d'habitude chez la duchesse d'Abrantès étaient-ils de deux âges et de deux sortes: des hommes à cheveux blancs portant des noms faits avec des batailles gagnées, et des hommes nés avec le siècle et se faisant des noms avec des livres, des opéras ou des peintures. On la voyait sourire à ces deux aristocraties qui la revendiquaient à titre égal, et dont elle était également honorée. Je me rappelle aujourd'hui un mot charmant qu'elle dit un soir à propos de ces doubles affections : le vieux M. Suchet, le frère du duc d'Albuféra, était venu souffrant ce soir-là se mettre dans le coin d'un petit salon où elle accourut inquiète de lui, s'écriant: "C'est que j'aime bien mes vieux amis, moi!" Puis, elle se retourna vers quelques uns de nous autres, et nous tendant la main, comme pour nous empêcher d'être jaloux, elle ajouta: "Et mes jeunes aussi, au moins !" Nous l'aimions tous; jeunes et vieux, nous nous sommes acheminés vers Chaillot pour lui faire une triste et dernière visite, un dernier cortège, et nous l'avons ramenee jusqu'au cimetière de Montmartre: là, quand on nous a eu jeté un peu de terre sur ce cercueil qui nous a pris à jamais cette bonne amie, pour toute oraison funèbre nous avons pleuré.
English translation:
Here we have arrived at the last page of these memoirs of a great lady written by a woman artist: a book in which two celebrities merge, each of which would have sufficed for many ambitions. And as struck as we are by such a rich organization, we are even more struck by the feeling of personal dignity which sustained and developed it. Madame d'Abrantés was a very rare example of this true greatness that events could not achieve. A storm carries away an empire around it, then the years come; she lost almost a throne; and yet she remained with her forehead raised above the crowd. This is what those who seek life in its beautiful aspects will first find in the books she wrote. Read! Sparkling in spirit, a pretty woman, with this great name, this ducal crown, all this gold, all this glory, with how many tributes, and with what tributes the young Duchess of Abrantés must have been surrounded! And she had to resign herself to losing all this, and, having lost all this, find in the superiority of her intelligence a consolation for so many regrets! and make a new life at fifty! another glory! Have we thought carefully about the true nobility in this courage? We cannot dispute this, we artists, born of the people, so proud of our aristocracy because it comes from us, but who see so much nobility in the work. Madame d'Abrantès worked as none of us could do. She not only wrote four times as much as a man of letters, she also drew, she acted, she composed music; or she dug the flowers in her garden, or classified her herbarium, or even embroidered a few tapestries. Must we add to these works the cares of the world, the visits with which she was besieged all day long, the long evening chats, a busy correspondence, to admire this existence so prodigiously active! These are the laudable things the second half of this life endowed with such diverse fame was filled with. The duchess's days had been brilliant, no doubt; but were these not also glorious for the author of the Amirante de Castille? Shouldn't she have seen with legitimate pride crowding around her this young swarm of artists of whom she had become the queen? These friends will say that it was a golden bee torn from the mantle of the Empire and fallen among us. Also the men who usually gathered at the Duchess of Abrantès' house were of two ages and of two kinds: white-haired men with names born from battles won, and men born with the century and becoming names with books, operas or paintings. We saw her smile at these two aristocracies who claimed her as equals, and by whom she was equally honored. Today I remember a charming remark that she said one evening about these double affections: old Mr. Suchet, the brother of the Duke of Albufera, had come unwell that evening to sit in the corner of a small living room where she runs worried about him, exclaiming: “It’s because I really like my old friends!” Then she turned to some of us, and holding out her hand, as if to stop us from being jealous, she added: “And my young ones too, at least!” We all loved him; young and old, we headed towards Chaillot to pay her a sad and last visit, a last procession, and we took her back to the cemetery of Montmartre: there, when we had a little earth thrown on this coffin which forever took this good friend from us, for every funeral oration we cried.
Below the cut are two poems written by Paul Gavarni on the album of Constance Aubert, the second daughter of Laure and Jean-Andoche Junot:
The first poem:
original French:
Les Rêves.
Quel autre monde rêvez-vous? Et que voulait votre âme errante? Loin d'un présent qui désenchante, Où sont vos pensers les plus doux?
Quels chants vous sont mélodieux? Qu'attend la foi qui vous est chère? Et de quel autel solitaire Voyez-vous le ciel de vos dieux?
Si, de beaux jours trop inconstants Vous avez vu venir l'automne, Pour les roses d'une couronne Regrettez-vous quelques printemps?
Où votre âme dans le lointain, Voit-elle un ange sur la route? La magique voix qu'elle écoute Lui dit-elle: "hier" ou "demain"?
Votre orgueil était-il jaloux Du faste des rois de la terre? Et sur un trône imaginaire En secret vous endormez-vous?
Livrez-vous de vastes Etats A des conquêtes idéales? Rêvez-vous l'éclat des cymbales, La palme ou la mort des combats?
Flattant de plus humbles désirs, Peut-être une muse pensive De quelque image fugitive Rajeunit-elle vos loisirs...
Mais, au charme du souvenir, Tout ce qu'on a se décolore: Le passé, que son prisme dore, Brille aux dépens de l'avenir.
Laissez le poète chanter Des plaisirs où son luth convie: Il prodigue à rêver la vie Le temps qu'il a de la goûter.
Dans les plis d'un manteau royal L'ennui s'enveloppe et se cache, Et, dans les combats, le sang tache Les panneaux du char triomphal.
Un moment peut éterniser Les regrets que laisse une idole Dont la scintillante auréole S'évapore au premier baiser.
Mais l'amour, ce léger sommeil, Ce rêve d'un jour vaut la vie... Et qu'importe à l'âme ravie Ce qu'en peut coûter le réveil?
English translation:
The Dreams
What other world do you dream of? And what did your wandering soul want? Far from a disenchanting present, Where are your sweetest thoughts?
What songs are melodious to you? What does the faith that is dear to you await? And from what lonely altar Do you see the sky of your gods?
If, beautiful days too fickle You saw autumn coming, For the roses of a crown Do you regret some spring?
Where you soul in the distance, Does she see an angel on the road? The magical voice she listens to Did she tell him: "yesterday" or "tomorrow"?
Was your pride jealous Of the splendour of the kings of the earth? And on an imaginary throne Do you fall asleep in secret?
Do you deliver vast states To ideal conquests? Do you dream of the brilliance of cymbals, The palm or the death of combat?
Flattering the humblest desires, Perhaps a pensive muse Of some fleeting image Rejuvenates your leisure...
But, to the charm of memory, Everything we have is fading, The past, that its prism gilds, Shines at the expense of the future.
Let the poet sing Of pleasures where the lute is suitable: He lavishes on dreaming of life The time he has to taste it.
In the folds of a royal cloak Boredom wraps itself up and hides, And, in the battles, blood stains The panels of the triumphant chariot.
A moment can last forever The regrets that an idol leaves Whose sparkling halo Evaporates with the first kiss.
But love, this light sleep, This one-day dream is worth life... And what does it matter to the delighted soul What can waking up cost?
The second poem:
original French:
La Pie de la Prison
Du grain qu'ils ont semé, laissez la fleur éclore. Allez! Margot; la loi leur a permis des fleurs. Eh! quoi, méchant oiseau, vous revenez encore De ce triste jardin becqueter les primeurs!
N'en privez pas au moins leurs jours que rien n'abrège; Les ans laissent ici de bien longues saisons, Margot, et de l'hiver ils n'ont eu que la neige; N'allez pas du printemps leur ôter les bourgeons;
Et qu'au moins du soleil un bouquet les console. Demain, le savez-vous! ils attendraient en vain Ce printemps qu'aujourd'hui votre audace leur vole. Margot, les prisonniers vous donnent de leur pain!
Comme cet oiseau noir il est une pensée Qu'ici le malheureux apporte avec ses jours, Qu'il nourrit et son âme et qui, toujours chassée, Dès qu'il voudrait sourire, hélas! revient toujours.
C'est le deuil qui le suit, c'est la voix qui le raille, C'est le regret qui veut de son moindre bonheur; Tourment qui de son lit a remué la paille Et out le bec aigu lui cherche au fond du cœur.
C'est la faim d'être libre. Un oiseau mord la cage; Vous voulez à la vôtre attacher un roseau, Souvenir des jardins dont vous aimiez l'ombrage, Amis, et vous coupez les ailes d'un oiseau!
English translation:
The Prison Magpie
From the seed they sowed, let the flower bloom. Come on! Margot; the law allowed them flowers. Hey! what, wicked bird, you come back again From this sad garden to peck at the early fruits!
Do not deprive them at least of their days which nothing shortens; The years leave many long seasons here, Margot, and all they had in winter was snow; Do not go and remove their buds in the spring;
And may at least a bouquet console them from the sun. Tomorrow, do you know! they would wait in vain This spring that today your audacity steals from them. Margot, the prisoners give you their bread!
Like this black bird, there is a thought That the unfortunate brings here with his days, Which he nourishes and his soul and which, always chased away, As soon as he would like to smile, alas! always comes back.
It is mourning that follows him, it is the voice that mocks him, It is regret that wants his least happiness; Torment which from its bed stirred the straw And the sharp beak searches the depths of his heart.
It's the hunger to be free. A bird bites the cage; You want to attach a reed to yours, Remembrance of those gardens whose shade you loved, Friends, and you clip the wings of a bird!
source
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ebodinphotos · 11 months
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Citroën 2CV
©2013 : EBodinPhotography Site : https://ebodinphotography.com/ (pensez à laisser un message dans le livre d'or)
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pilferingapples · 2 years
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Les Miserables and Money: terms and conditions
One more reference post for the night, because we're about to get into the very money-talk heavy part of the book, and it's useful to know terms and what they signify, socially. Everything below is severely Abridged For Tumblr from the David Bellos book The Novel of the Century:
...Hugo's characters rarely use the official names of the coins that they handle. The language of money in nineteenth century France was vastly more complicated than what it designated in monetary terms.
There were four different ways of naming money. The sets of words that people used for the coins they exchanged or kept in their purses reflected the class to which they belonged, and the kind of transaction they were engaged in...
Poor people counted in sous (a word meaning five centimes-P) , not in francs. The sous was not a coin, but a mental unit inherited from the past...
The middle classes used different words. For income received from dividends, interest, rents and stipends and for the capital values of property and land, they spoke in livres. These were exactly equivalent in francs, so they don't imply the mental agility needed to count out small change in sous. ..
The largest coin in circulation was worth five francs and had "5 francs" embossed on it. For people who reckoned in sous, its name was the piece de cent sous, the hundred sous coin. In transactions reckoned in livres-- when larger sums of money, or richer people, were involved--the five franc coin was called an écu.
Five francs, 100 sous, five livres, one écu, one louis (for the kings on the coin for centuries), are all the same thing.
The highest-value coin in circulation was the twenty-franc gold piece...called a napoléon. In 1815, Louis XVIII minted new twenty franc coins showing not the head of "the Usurper" but his own, and these obviously had to be called "louis" as well. But these new louis were worth foir times what an ecu...was worth... Only context and mental arithmetic can tell you whether what's at stake is a louis d'or, a golden one, or a silver louis worth a quarter of that.
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Asterix and Obelix's Birthday: The Golden Book
Anglaigus' pictures taken from the Asterix and Obelix Birthday book, for informative purposes. This book celebrates the 50th Anniversary of the creation of the Asterix's series, designed and written by Uderzo. Anglaigus appears on the story, he joins the festivities and plans to build a park dedicated to Asterix and Obelix just like Parc Astérix. The design of Angly is different from that of The Mansions of the Gods book, and the style keeps changing through the book, and it looks like the lad's tunic is oversized, more so than the usual.
L'Anniversaire d'Astérix et Obélix: Le Livre d'or (Asterix and Obelix's Birthday: The Golden Book) © René Goscinny & Albert Uderzo, and Editions Albert René, 22 October 2009.
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laurierthefox · 11 months
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Bonjour à toustes !
J'espère que vous allez bien (moi bof j'ai chopé le covid, mais j'ai déjà ranté à ce propos en story y a 2 semaines 😆) !
Aujourd'hui je vous montre une petite illustration au crayon de couleur de Julie et sa dragonne Flèche d'Or (du livre jeunesse "Je m'appelle Julie" aux editions @onnecomptepaspourdubeurre)
Pour celleux qui ne le saurait pas j'ai ouvert une page Patreon depuis l'année dernière pour pouvoir continuer à vivre de mon travail malgré mon handicap, avoir plus d'indépendance et surtout travailler sur des oeuvres persos sans pression ni obligation éditoriale.
Ici une de mes mécènes à pris le plus gros abonnement "Arbre Vénérable" et reçois donc tous les mois : une illustration au format A4 faite sous Manga Studio et imprimé sur du papier 300g et une illustration A5 au crayon de couleur (en plus de l'accès aux coulisses de mes projets, d'illustration en avant première et de fichiers HD de BD et illustrations).
Celle ci (au format A5 donc) date de janvier 2023 et ma mécène voulait une illustration de Julie avec sa dragonne.
Je posterais régulièrement d'autres illustration déjà vu en avant-première par mes mécènes.
J'espère que cela vous plairas ! Si vous voulez me soutenir c'est par ici : https://www.patreon.com/LaurierTheFox
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recapqsmp · 1 year
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Jeudi 24/08 - Double code
Baghera a montré le serveur à Horty. Pomme a enfin rencontré sa tante. Horty a pu choisir son entité dans le château de Cellbit (Chaos), et a même eu la permission de Richas d'apposer son nom sur une pancarte dedans !
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- Areo
Etoiles a parlé à Forever à propos de son bouclier. Ils ont fait quelques tests dessus, notamment si un lâché d'enclume pouvait le tuer : absolument pas. Forever a aussi expliqué qu'il n'était pas rassuré des nouveaux joueurs. Etoiles a proposé de faire des backpack de bienvenu aux nouveaux joueurs qui le veuillent (car certains voudraient peut-être farmer leur stuff d'eux même), Forever n'est pas trop partant pour cette idée, sauf s'il y a un nouvel oeuf.
Etoiles, en se baladant, est tombé sur une waystone verte, comme celle que le code lui a donné avant ses vacances. En la prenant, il s'est retrouvé aux coordonnées indiquées sur le parchemin du bouclier. En fouillant l'océan, il est tombé sur une structure sous-terraine bizarre, ressemblant à un genre de maison abandonnée dans un décor ensoleillé. En fouillant le donjon, Etoiles est tombé sur 3 livres contenant chacun une énigme, ainsi que le code, qui est apparu avec son épée pour l'affronter.
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https://clips.twitch.tv/DarlingBombasticBearThunBeast-eGaipkCzLFdd7Jln
Après une longue bataille, le code est parti, sans qu'Etoiles ai pu le tuer… avant de revenir, accompagné d'un deuxième code, équipé lui aussi de l'épée ! La bataille entre les 3 a été extrêmement éprouvante, mais Etoiles a fini par réussi a tuer un des codes, le deuxième s'étant enfuit avant de mourir. Il n'a pas pu récupérer l'épée sur son cadavre, mais le deuxième code est revenu momentanément pour lui donner une récompense : un sac contenant une armure en netherite (interdit de l'équiper), des pommes d'or, et .. une pomme normale. Etoiles a ensuite donné les 3 énigmes à Baghera pour qu'elle les résolve.
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https://clips.twitch.tv/MiniatureSilkyQueleaOSsloth-wSujofHcD8pvjdj-
Cellbit a reçu la visite de Cucurucho, lui disant que "sa pause était terminée, et qu'il faut retourner au travail". Il l'a suivi, et Cucurucho lui a dit qu'ils investiguaient quelque chose, et qu'ils avaient 2 pistes qu'il devait aller voir. Cellbit a accepté, lui faisant croire qu'il était encore de son côté, qu'il faisait semblant devant tout le monde.
Quackity s'est reconnecté au serveur. Il a cassé la waystone à sa maison pour que personne ne puisse venir, et est aller miner du fer. Néanmoins, Pomme avait ses coordonnées, et est allé avec Etoiles à sa rencontre. Quackity n'a pas l'air de se rappeller de lui (et a l'air d'ignorer un maximum les oeufs), appellant Etoiles "Rafael" comme la tortue ninja. Pendant qu'ils discutaient (et se battaient contre des monstres), sa maison a pris feu toute seule, à deux reprises.
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https://clips.twitch.tv/PrettiestAntsyMartenKippa-h5l7cHKfxFAylWHz
Il a ensuite dit à Etoiles qu'il devait s'absenter 5mn. Il s'est téléporté à une maison éloignée, et a utilisé un ascenseur caché pour atterrir dans une base entièrement en quartz. Il a trouvé un coffre contenant des affaires (comme des perles, et une sharestone). Il a miné à travers les murs pour regarder des salles, et est reparti voir Etoiles. Tous les deux sont ensuite allés se balader en ville, Etoiles voulant lui montrer sa base. Ils sont ensuite allé au magasins de Roier (Quackity cassant plusieurs fois son roleplay, puis se déconnectant/reconnectant pour signifier d'oublier ce qu'il venait de dire), et ont été rejoint par Cellbit et Roier. Quackity s'est ensuite déconnecté, précisant qu'il reviendrait le lendemain.
BadBoy a choisi de faire croire aux joueurs qu'il a été missionné par la fédération pour inspecter les constructions des joueurs, et faire respecter les derniers règlements du président Forever en matière de building. Il est allé voir Foolish, Cellbit, Baghera et Etoiles en leur disant que beaucoup de choses devaient changer dans leurs constructions. Les joueurs ont cru au début que Badboy travaillait réellement pour la fédération, mais ont compris la supercherie lorsque BadBoy leur a expliqué les règles totalement farfelues.
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https://clips.twitch.tv/BumblingEnticingBorkTebowing-NUX2jo5smqNYDCU4
Cellbit est allé chercher les deux pistes de Cucurucho, en précisant bien qu'il allait utiliser à son avantage le fait que la fédération le considère encore comme un travailleur, mais ne se laisserait pas avoir cette fois-ci. La première coordonnée l'a emmenné vers un QRCode, contenant "1 -293". Cellbit l'a modifié, et a noté sur son livre que le code était invalide. A la deuxième coordonnée, Cellbit a trouvé un bar dont l'entrée a été condamnée. Dans les tonneaux, il y avait diverses boissons alcoolisées, ainsi qu'une pomme pourrie. En fouillant sous le bar, il a pu trouver 64 blocs de minerais de quartz cachés. Il s'est arrêté là pour la soirée, mais reviendra demain pour continuer à enquêter dessus.
Missa s'est reconnecté au serveur !
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https://clips.twitch.tv/BovineShakingAntImGlitch-oeojHtUF1MkF7wUM
Deux nouvelles personnes vont rejoindre QSMP : Willyrex et Tubbo !
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