#livre d'or
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Livre de baptême thème Eucalyptus et Colombe
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En fait quand on y pense, la disparition d'Eldarya a été provoquée par la potion de l'épisode 13 de The Origins !
On apprend dans l'épisode 18 de A New Era que c'est la commanderie de Papounet qui a trop déchiré l'espace-temps avec ses balades de la Terre à Eldarya, du coup le tissu entre les mondes tenait plus et le maana s'est engouffré dans les failles, faisant disparaître Eldarya à jamais.
Sauf que si on en est arrivés là, c'est parce que la commanderie a été réanimée par Papounet et son flouze ! Et s'il a trouvé la commanderie, c'est parce qu'il a trouvé des infos sur l'Ordre du Jardin des Anciens, en cherchant pourquoi personne à part lui ne se souvenait d'Erika ! Et s'il était le seul à se souvenir d'elle, c'était à cause de la potion d'oubli bue par Erika ! CQFD !! :D
(Je sais que plein d'autres trucs auraient pu provoquer la catastrophe, y'aurait pu y avoir un autre méchant, d'autres circonstances, etc, mais là avouez que c'est un lien plutôt direct mdr)
Ce qui signifie aussi que Leiftan, en suggérant cette potion à Miiko, a fini par atteindre le but que lui et Lance visaient en saison 1, à savoir la destruction d'Eldarya :') Avec 8 ans de retard et un retournement de veste, mais quand même !
P't'être que c'était ça, sa vraie utilité en saison 2, être l'instigateur plus ou moins involontaire de la fin du monde :')
#eldarya#eldarya a new era#eldarya the origins#je relisais tous mes anciens avis et j'ai eu des illuminations#ça m'a donné envie d'écrire un ultime avis sur le livre d'or sauvez-moi#je me suis fait plein de réflexions sur les différences entre les saisons 1 et 2#et de fil en aiguille j'ai repensé à d'autres trucs#dont ce genre de trucs mdr#c'est plutôt marrant en vrai#comme on dit c'est cocasse
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Mais j’ai quantité d’expériences quand il s’agit de trouver des éclats de lumière à chérir lorsque la vie est pire que d’habitude.
S.A. Chakraborty, L'Empire d'or, t. 3
#S.A. Chakraborty#L'Empire d'or#livre#book#citation#citation française#littérature#littérature américaine#literature#young adult#quote
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“La Fille aux yeux d’or” par Honoré de Balzac
Encore un autre magnifique livre de Balzac, plus particulièrement une histoire de sa comédie humaine, scène de la vie parisienne, histoire des Treize. Dommage que cette histoire n'est pas venue avec les deux précédentes, soit Ferragus et la Duchesse de Langeais (cela n'a pas de sens). Balzac ne déçoit jamais.
Par contre, je n'ai pas compris pourquoi Balzac n'est pas allé jusqu'au bout de l'histoire, à savoir l'histoire d'amour entre le frère et la soeur, page 156, "Tu es encore trop jeune, trop belle, dit Henri en la prenant dans ses bras et lui donnant un baiser." D'ailleurs le manuscrit faisait dire à Henri, "je ne voudrais pas que ce fût le dernier", (page 28). Dommage.
De plus, la fin était assez confuse. Finalement qui écrivait les lettres que Paquita recevait de Londres? Honnêtement à partir de la page 152, tout devient incompréhensible.
Attention, ne pas lire l'introduction si vous ne voulez pas être gâché de l'intrigue de l'ouvrage et je ne comprends pas pourquoi la préface de 1834 (Histoire des Treize) ne pouvait pas être mise devant le commencement de l'histoire (page 177) ?
Il y a une très belle notion de ce qu'un écrivain / auteur doit être, page 180.
Magnifique introduction de la vie parisienne, de la page 49 à 71 ; la conclusion se trouve à la page 69. La vie parisienne est divisée par catégorie (artiste, ouvrier, bourgeois, noble,... voir citations ci-dessous), par exemple, "À Paris, la vanité résume toutes les passions", (page 64). Ceci me fait tellement penser à certains passages de "Hell".
Il y a aussi une belle référence à Dante et sa divine comédie dont Balzac s'est inspirée pour créer sa comédie humaine à son tour (page 60). Ici le cercle de l'enfer, représente le cercle parisien.
L'histoire commence réelle à la page 72, avec Henri de Marsay. Toutefois, je n'ai pas vraiment compris son arbre généalogique, mise à part que son père biologique est Lord Dudley, mais qui est sa mère (page 72 à 75)? Je me demande si Henri a vraiment été amoureux ou seulement intoxiqué par l'inaccessibilité de la fille aux yeux d'or (page 88), soit Paquita Valdès (à ne pas confondre avec Edmond Dantès).
La première fois que le titre est mentionné cela est à la page 86, puis à la page 133, 144, 152 et 156.
Concernant Paquita Valdès, je ne comprends toujours pas pourquoi on a eu besoin de la cacher, ou pourquoi elle ne pouvait pas avoir une vie "normale", pourquoi être une sorte d'esclave (page 94 et 155).
On aurait pu mentionner que le facteur s'appelait Moinot avant de mentionner son nom dans les notes de bas de page (soit d'abord à la page 94/167, puis officiellement présenté à la page 95).
J'aime bien la relation d'amitié qu'Henri entretient avec Paul, bien qu'elle n'est pas équitable (page 98).
J'adore l'astuce qu'Henri a trouvé pour voir Paquita, comment se débarrasser de la duègne, il suffit de l'endormir avec de l'opium tout simplement (page 102-104). La première entrevue entre Henri et Paquita se fait à la page 110.
D'ailleurs, je ne comprends pas comment Paquita est vierge, car elle semble avoir plus d'un amant (page 129 et 133) ? Que s'était-il vraiment passé entre Paquita et Henri, ont-ils cédés à la tentation de la chair ? Ensuite, Paquita est de la Havane (page 132), mais sa mère est géorgienne (156)?
La vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais "la vie est un fleuve qui sert à faire du commerce", (page 134).
Henri peut être terrible quand il veut, "pour conserver l'honneur de celle que nous aimons assez pour la respecter", (page 135) ou encore, "D'ailleurs il avait déjà pensé, malgré l'emportement de sa colère, qu'il était peu prudent de se commettre avec la justice en tuant cette fille à l'improviste et sans en avoir préparé le meurtre de manière à s'assurer l'impunité," (page 148). "Henri ne savait pas pardonner. Le savoir-revenir, qui certes est une des grâces de l'âme, était un non-sens pour lui," (page 149).
J'ai adoré la référence aux Liaisons dangereuses et à Sade (Justine ou les Malheurs de la vertu) (page 138).
Questions : - Qui est doña Concha (page 142) ? - Pourquoi Paquita a déplu à Henri à la page 147-149? Je n'ai pas compris le caca nerveux de Henri, absolument pas. - Et pourquoi la prochaine fois que l'on revoir Paquita celle-ci gît pleine de sang dans le boudoir rose, en train de mourir (page 152). - Qui est Mme de San-Réal, la marquise (page 153) ? La soeur de Henri, Margarita-Euphémia Porrabéril ? L'amante de Paquita ? - Comment est mort Christemio (page 155) ? - Donc la duègne n'est pas la mère de Paquita ? - Pourquoi Henri ne croise jamais sa soeur dans la ville de Paris ?
Trop de questions se posent à partir de la page 152, comme dirait le Bulletin de censure en juin 1846, "Ce roman est un imbroglio sanglant où rien n'est clairement défini..."
Note de bas de page très intéressantes : - 20 (page 158) = sur l'occupation des étages qui correspond aux différents degrés de la hiérarchie sociale. - 34 (page 160) = l'apanage de ceux que Balzac a coutume d'appeler les trois "robes noires" : l'homme de loi, le médecin et le prêtre. - 91 (page 167) = les calembours de Balzac.
Très belles citations: - Page 50 : "Peu de mots suffiront pour justifier physiologiquement la teinte presque infernale des figures parisiennes, car ce n'est pas seulement par plaisanterie que Paris a été nommé un enfer." & "À force de s'intéresser à tout, le Parisien finit par ne s'intéresser à rien." - Page 51 : "En effet, indifférent la veille à ce dont il s'enivrera le lendemain, le Parisien vit en enfant quel que soit son âge. Il murmure de tout, se console de tout, se moque de tout, oublie tout, veut tout, goûte à tout, prend tout avec passion, quitte tout avec insouciance ; ses rois, ses conquêtes, sa gloire, son idole, qu'elle soit de bronze ou de verre ; comme il jette ses bas, ses chapeaux et sa fortune. À Paris, aucun sentiment ne résiste au jet des choses, et leur courant oblige à une lutte qui détend les passions : l'amour y est un désir, et la haine une velléité ; il n'y a là de vrai parent que le billet de mille francs, d'autre ami que le Mont-de-Piété." - Page 58 : "Là donc aussi, pour obéir à ce maître universel, le plaisir ou l'or, il faut dévorer le temps, presser le temps, trouver plus de vingt-quatre heures dans le jour et la nuit, s'énerver, se tuer, vendre trente ans de vieillesse pour deux ans d'un repos maladif." - Page 61 : "Ces gens-là déposent leur coeur où ?..." & "Pour eux, point de mystères, ils voient l'envers de la société dont ils sont les confesseurs, et la méprisent." - Page 62 : "À toute heure, l'homme d'argent pèse les vivants, l'homme des contrats pèse les morts, l'homme de loi pèse les conscience." - Page 63 : "Alors, pour sauver leur amour-propre, ils mettent tout en question, critiquent à tort et à travers ; paraissent douteurs et sont gobe-mouches en réalité, noient leur esprit dans leurs interminables discussions." - Page 64 : "Excédés par un besoin de produire, dépassés par leurs coûteuses fantaisies, lassés par une génie dévoreur, affamés de plaisir, les artistes de Paris veulent tous regagner par d'excessifs travaux les lacunes laissées par la paresse, et cherchent vainement à concilier le monde et la gloire, l'argent et l'art." - Page 65 : "Le peintre sans occupation se ronge les entrailles s'il se sent homme de génie. La concurrence, les rivalités, les calomnies assassinent ces talents. Les uns, désespérés, roulent dans les abîmes du vice, les autres meurent jeune et ignorés pour s'être escompté trop tôt leur avenir. Peu de ces figures, primitivement sublimes, restent belles. D'ailleurs la beauté flamboyante de leurs têtes demeure incomprise. Un visage d'artiste est toujours exorbitant, il se trouve toujours en dessus ou en dessous des lignes convenues pour ce que les imbéciles nomment le beau idéal. Quelle puissance les détruit ? La passion. Toute passion à Paris se résout par deux termes : or et plaisir." - Page 66 : "Mais abordons les grands salons aérés et dorés, les hôtels à jardins, le monde riche, oisif, heureux, renté. Les figures y sont étiolées et rongées par la vanité. Là rien de réel. Chercher le plaisir, n'est-ce pas trouver l'ennui ? Les gens du monde ont de bonne heure fourbu leur nature. N'étant occupés qu'à se fabriquer de la joie, ils ont promptement abusé de leur sens, comme l'ouvrier abuse de l'eau-de-vie. Le plaisir est comme certaines substances médicales : pour obtenir constamment les mêmes effets, il faut doubler les doses, et la mort ou l'abrutissement est contenu dans la dernière. Toutes les classes inférieures sont tapies devant les riches et en guettent les goûts pour en faire des vices et les exploiter. - Page 67 : "Les riches rencontrent à Paris de l'esprit tout fait, la science toute mâchée, des opinions toutes formulées qui les dispensent d'avoir esprit, science ou opinion. Dans ce monde, la déraison est égale à la faiblesse et au libertinage. On y est avare de temps à force d'en perdre. N'y cherchez pas plus d'affections que d'idées. Les embrassades couvrent une profonde indifférence, et la politesse un mépris continuel. On n'y aime jamais autrui. Des saillies sans profondeurs, beaucoup d'indiscrétions, des commérages, par-dessus tout des lieux communs ; tel est le fond de leur langage ; mais ces malheureux Heureux prétendent qu'ils ne se rassemblent pas pour dire et faire des maximes à la façon de La Rochefoucauld ; comme s'il n'existait pas un milieu, trouvé par le dix-huitième siècle, entre le trop-plein et le vide absolu." & "Cette vie creuse, cette attente continuelle d'un plaisir qui n'arrive jamais, cet ennui permanent, cette inanité d'esprit, de coeur et de cervelle, cette lassitude du grand raout parisien se reproduisent sur les traits, et confectionnent ces visages de carton, ces rides prématurées, cette physionomie des riches où grimace l'impuissance, où se reflète l'or, et d'où l'intelligence a fui." - Page 70 : "À l'heureuse et molle espèce des flâneurs, les seuls gens réellement heureux à Paris, et qui en dégustent à chaque heure les mouvantes poésies." - Page 71 : "Aussi, le femmes admirent-elles aussitôt ces jeunes gens avec ce plaisir avide que prennent les hommes à regarder une jolie personne, décente, gracieuse, décorée de toutes les virginités dont notre imagination se plaît à embellir la fille parfaite. Si ce coup d'oeil rapidement jeté sur la population de Paris a fait concevoir la rareté d'une figure raphaélesque, et l'admiration passionnée qu'elle y doit inspirer à première vue, le principal intérêt de notre histoire se trouvera justifié." - Page 76 : "Pour une femme, le voir, c'était en être folle ; vous savez ? concevoir un de ces désirs qui mordent le coeur, mais qui s'oublient par impossibilité de le satisfaire, parce que le femme est vulgairement à Paris sans ténacité." - Page 77 : "Hélas ! Toutes ces belles qualités, ces jolis défauts étaient ternis par un épouvantable vice : il ne croyait ni aux hommes ni aux femmes, ni à Dieu ni au diable. La capricieuse nature avait commencé à le douer ; un prêtre l'avait achevé." - Page 78 : "Le jeune homme examinait les promeneurs, avec cette promptitude de coup d'oeil et d'ouïe particulière au Parisien qui paraît, au premier aspect, ne rien voir et ne rien entendre, mais qui voit et entend tout." - Page 79 : "De cet air affectueux en apparence, mais qui entre les jeunes gens parisiens ne prouve rien, ni pour le présent ni pour l'avenir. En effet, les jeunes gens de Paris ne ressemblent aux jeunes gens d'aucune autre ville. Ils se divisent en deux classes : le jeune homme qui a quelque chose, et le jeune homme qui n'a rien ; ou, le jeune homme qui pense et celui qui dépense. Mais entendez-le bien, il ne s'agit ici que de ces indigènes qui mènent à Paris le train délicieux d'une vie élégante." - Page 96 : "Disons-le à la louange des femmes, il obtenait toutes celles qu'il daignait désirer. (...) à un jeune homme armé de la beauté qui est l'esprit du corps, armé de l'esprit qui est une grâce de l'âme, armé de la force morale et de la fortune qui sont les deux seules puissances réelles ? Mais en triomphant aussi facilement, de Marsay devait s'ennuyer de ses triomphes ; aussi, depuis environ deux ans s'ennuyait-il beaucoup. En plongeant au fond des voluptés, il en rapportait plus de gravier que de perles." - Page 97 : "Comme les vieillards et les gens blasés, il n'avait plus que des caprices extravagants, des goûts ruineux, des fantaisies qui, satisfaites, ne lui laissaient aucun bon souvenir au coeur." - Page 102 : "Si l'on ne peut pas te faire capituler, avec un peu d'opium l'on t'endormira." - Page 106 : "L'homme malheureux de Paris est l'homme malheureux complet, car il trouve encore de la joie pour savoir combien il est malheureux." - Page 116 : "Jeta sur lui un de ces regards qui vont jusqu'à l'âme et la brûlent." - Page 140 : "Mais, pour le désespoir de l'homme, il ne peut rien faire que d'imparfait, soit en bien soit en mal." - Page 142 : "J'ai mis doña Concha entre la peur d'une mort immédiate et une colère à venir." - Page 144 : "Paquita répondait à cette passion que sentent tous les hommes vraiment grands pour l'infini, passion mystérieuse si dramatiquement exprimée dans Faust, si poétiquement traduite dans Manfred, et qui poussait Don Juan à fouiller le coeur des femmes, en espérant y trouver cette pensée sans bornes à la recherche de laquelle se mettent tant de chasseurs de spectres, que les savants croient entrevoir dans la science, et que les mystiques trouvent en Dieu seul. L'espérance d'avoir enfin l'Être idéal avec lequel la lutte pouvait être constante sans fatigue ravit de Marsay qui, pour la première fois, depuis longtemps, ouvrit son coeur." - Page 151 : "Dit le chef des Dévorants avec le rire d'un critique enchanté de découvrir une faute dans une belle oeuvre."
Bonsoir.
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Journal
Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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Noir et Or
Dans l'ombre et la lumière, où se mêle l'élégance,
Se dressent des dames en noir, parées d'or, fascinance.
Leurs regards scintillent, tels des astres dans la nuit,
Révélant une force, une grâce infinie.
Noir de mystère, or de majesté,
Leur allure, une danse, un secret bien gardé.
Sous les feux des projecteurs, elles s’avancent fières,
De noir vêtues, d’or ornées, tels des rêves éphémères.
Leurs voix, des mélodies, douces et profondes,
Portent des histoires de siècles, traversent les mondes.
Chaque pas, chaque geste, un poème en mouvement,
Évoquant des légendes, des époques d’antan.
Belles dames en or et noir, reflets de perfection,
Vous inspirez l’admiration, suscitez la passion.
Dans le grand livre du temps, vos noms écrits en or,
Resteront pour toujours, brilleront encore et encore.
✨🖤🌟
Les-portes-du-sud
Noir et Or
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L'atelier d'écriture de la semaine 46
Bonjour !
Aujourd'hui, je vous propose un atelier d'écriture à partir du génial ouvrage de Bruno Gibert, Le grand livre de l'inutile (Editions La Partie, 2023). Il s'agit d'un ouvrage espiègle qui s'amuse de la langue et de ses images, une mine d'or pour les expérimentations poétiques.
La page que j'ai sélectionnée aujourd'hui est la suivante :
Sur le modèle de Bruno Gibert, vous écrirez une liste des choses qui ne servent à rien. Vous pouvez utiliser des images concrètes ou absurdes comme Bruno Gibert, mais aussi métaphoriques. Vous pouvez également changer le thème de la liste : liste des choses bleues - liste des choses énervantes - liste des choses disparues - liste des choses qui volent ...
N'hésitez pas à me taguer si vous partagez votre texte sur Tumblr. J'ai h��te de lire vos listes !
A bientôt :)
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Nous présenterons ce livre vendredi à la Bibliothèque de Saint-Brieuc (détails plus bas : [FR]).
[ENG] Here is the Arts & Crafts version, entirely handcrafted, of my art book Forgotten Gods. We printed it with Psyché, using our own presses on Vélin d'Arches paper. Each design in the book was then screen-printed by hand with gold and colored inks, with up to five different screen-printing passes depending on the complexity of the pages.
Once the sheets were folded and gathered into signatures, Sophie Charlot, a Meilleur Ouvrier de France, meticulously bound them by hand. Belfea Archerie created all the leather parts and applied the dyes. Together, we assembled the covers on the book bodies bound by Sophie, and I gilded the cover with gold leaf (using three different shades of 22-23k gold).
Finally, I made the wooden cases and covered them with fabric. We then attached the clasp and the repoussé leather medallion, dyed by Belfea and gilded by me.
All the illustrations were printed using our presses; they are fine art prints on velvet-finish paper. With Psyché, we enhanced about thirty of them with gold (using several shades of 22-23k gold) to match the appearance of the original artworks. These illustrations were then hand-glued and protected with tracing paper, also hand-glued by Psyché and me.
King of Gods has represented a significant part of my work in recent years. It has been a passionate and enriching adventure, in the true spirit of the Arts & Crafts movement and in the footsteps of the Kelmscott Press. Thank you to everyone who worked on this book.
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[FR] Ce vendredi, à 18h30, à la Bibliothèque de Saint-Brieuc, nous animerons une table ronde avec Psyché Ophiuchus, Belfea Archerie et Sophie Charlot. Nous y parlerons de notre travail et présenterons cet exemplaire exceptionnel de Forgotten Gods, que nous avons réalisé ensemble, de manière artisanale.
Voici la version Arts & Crafts, entièrement réalisée à la main, de mon livre d'art Forgotten Gods. Nous l'avons imprimé avec Psyché, avec nos propres presses, sur du papier Vélin d'Arches. Chaque motif du livre a ensuite été sérigraphié par nos soins avec des encres dorées et colorées, jusqu'à cinq passages de sérigraphie différents selon la complexité des pages.
Une fois les feuilles pliées et rassemblées en cahiers, Sophie Charlot, Meilleur Ouvrier de France, s'est chargée de les relier méticuleusement à la main. Belfea Archerie a réalisé toutes les parties en cuir, ainsi que leurs teintures. Nous avons monté ensemble les couvertures sur les corps de livres reliés par Sophie, et j'ai doré la couverture à la feuille d'or (avec trois nuances différentes d'or 22-23 carats).
Enfin, j'ai fabriqué les coffrets en bois et les ai recouverts de toile. Nous avons pu fixer le fermoir et le médaillon en cuir repoussé et teint par Belfea, que j'avais également doré à l'or.
Toutes les illustrations ont été imprimées avec nos presses ; ce sont des tirages d'art fin sur du papier au fini velours. Avec Psyché, nous en avons rehaussé une trentaine à l'or (plusieurs nuances d'or 22-23 carats différentes) pour restituer le rendu des œuvres originales. Ces illustrations ont finalement été collées à la main, et protégées par un calque, également collé à la main par Psyché et moi-même.
Le King of Gods a représenté une partie importante de mon travail ces dernières années. Cela a été une aventure passionnante et très enrichissante, dans la pure tradition des Arts & Crafts et dans l'esprit de la Kelmscott Press. Merci à toutes les personnes qui ont travaillé sur ce livre.
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Magica de Spell
Cover (Donals Duck pocket 344)
by Michel Nadorp
Source; Mark Thrlosen and Guido de Bue (comicartfans)
Magica de Spell, in Paperchaser 1968's Livre d'or Comic Art Gallery Room (comicartfans.com)
Michel Nadorp Cover Donald Duck pocket 344, in Guido de Bue's Disney and Animated art Comic Art Gallery Room (comicartfans.com)
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Patachou - Chanson Censurée de 1959 Chanson
"La Chose, ou les Ratés de la Bagatelle"
Disque 45t de 1959, censuré par le visa : "Radiodiffusion interdite par le Comité d'écoute".
youtube
Y a ceux qui font la chose en regar'dant l'plafond
Ou en comptant les mouches qui sont sur'l'guéridon Y a ceux qui font la chose en pensant à l'argent Et ceux qui n'pensent à rien parce que c'est fatiguant Y a ceux qui font la chose en s'demandant pourquoi Et ceux qui font la chose comm's'ils étaient en bois Ceux qui pendant la chose se mettent à bégayer Et qui s'étonnent après d'avoir des quintuplés
Y a ceux qui font la chose en chantant une chanson En battant la mesure en tapant du talon Y a ceux qui font la chose toujours un peu distants Parce que c'est l'seul moyen pour avoir des enfants Ceux qui pendant la chose poussent des cris violents Pour que les voisins croient qu'ils passent un bon moment
Y a ceux qui font la chose sans passion ni désir Parce que c'est le seul truc qui fasse vraiment maigrir Y a ceux qui font la chose pour battre des records Tous ces dont les appâts ne sont qu'un livre d'or Y a ceux qui font la chose avec des accessoires Qui ont besoin d'une trompette ou bien d'une balançoire
Ceux qui lorsque la chose est déjà terminée Se demandent si la chose va bientôt commencer Y a ceux qui font la chose pas pour la sensation Une seule fois dans l'année pour les allocations
Ils ont l’œil triste Le cou tendu Les ratés de la bagatelle Ils font la chose En par-dessus Les ratés du fruit défendu
Car tous ceux à qui la chose ne fait rien N'aiment pas ceux à qui la chose fait du bien
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Livre d’or baptême sur le thème dragon dinosaure https://www.lafeepoudree.fr/livres-d-or-essentiel/1092-1138-livre-d-or-essentiel-dinosaure-dragon-rose-rose-gold-et-ivoire.html
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Les aiguilles d'or - Michael McDowell
Lecture terminée le 17 janvier 2024 (6/35)
Ma sixième lecture de l'année est l'un des romans de Michael McDowell, Les Aiguilles d'or , un plutôt gros roman
Résumé de l'histoire : Le soir du nouvel an 1882, un homme est assassiné par le mari de sa maîtresse, ce qui représente une occasion idéale pour le juge Stallworth de se débarrasser de la population la plus pauvre et fragile vivant au sein du Triangle Noir, en commençant par la famille la plus influente: les Shanks. Cependant, la matriarche de cette famille, Lena, refuse de se laisser faire, et ne souhaite qu'une chose: se venger du juge qui a tenté de détruire sa famille déjà des années auparavant et veut recommencer aujourd'hui.
Niveau CW/TW, on peut compter la prostitution (de personnes majeures mais aussi mineures), meurtres, maladie, violence physique, menace de mort, agression psychologique et physique, racisme et xénophobie, sexisme, homophobie, maltraitance,...
Vraiment, on a de tout là-dedans, on n'est épargnés par rien
Alors! Déjà, il faut savoir que je connais l'auteur car j'ai lu les deux premiers tomes de Blackwater, une série en 6 tomes, et... Que j'avais pas aimé du tout. J'avais réussi à passer outre les points dérangeants du premier tome, mais le deuxième m'a totalement retiré tout plaisir de lecture, et je n'aurais jamais lu ce livre si on ne me l'avait pas offert à Noël, ce qui aurait été tragique. Car sans pour autant être un coup de cœur absolu, ce roman est bien meilleur que la saga, raconte mieux son histoire et écrit mieux ses personnages. J'ai pris un plaisir non dissimulé et bmnon coupable à suivre la famille Shanks se venger, à voir les Stallworth regretter et payer pour leurs actes, et c'était génial. L'auteur nous a fait un travail incroyable et franchement, en termes de critique de la société, c'est vraiment pas mal.
Donc oui, ce n'est pas un coup de cœur absolu mais vraiment, j'en suis très content.
Après, si je le conseille, c'est bien sûr à un public averti parce que ce n'est pas une lecture facile pour n'importe qui, mais si vous sentez que vous pourriez passer un bon moment, n'hésitez pas! (En revanche, je ne conseille pas Blackwater)
Mes lectures de 2024! ✧◝(⁰▿⁰)◜✧
Quelque chose que j'ai très fort envie de faire pour la nouvelle année, c'est répertorier toutes mes lectures que je ferai cette année (romans, BDs, etc...)! Rien qu'aujourd'hui, j'ai pu lire deux petites BDs et finir un tout petit roman (je n'aurai pas tout le temps ce rythme) mais il est tard, ahah, alors je pense que j'en parlerai demain, parce que ça me permettra de faire tout ça correctement, eheh
Je ne sais pas trop comment parler de mes lectures pour l'année à venir alors si vous avez un conseil, je prends, mais je vais au moins faire mes présentations comme ceci:
Nom du livre et de l'auteurice
Photo du livre
Résumé du livre avec mes mots à moi
Prévention sur les CW/TW potentiels qui m'ont marqué, et si le livre prend la peine de nous prévenir pour ça
Commentaire personnel sur le livre et à quel point je l'ai aimé ou non, et si je le recommande ou non
Aussi! Je me suis mis pour objectif de lire 35 livres cette année, donc un rythme de 2-3 livres par mois alors voyons si j'y arrive!
Et puis, si vous voulez me conseiller un livre, faites donc mais je ne confirme en rien de si/quand je vais l'acheter et de quand je le lirai, ahah :'))
J'espère que je pourrai réussir à vous intéresser avec ma future liste, et peut-être même que je vous donnerai envie de découvrir certains d'entre eux!
(je ne crois pas avoir le savoir infini, bien sûr, et ce n'est pas parce que j'ai un avis sur un livre qu'il est universel, vous pouvez ne pas être d'accord, bien sûr)
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Citroën 2CV
©2013 : EBodinPhotography Site : https://ebodinphotography.com/ (pensez à laisser un message dans le livre d'or)
#souvenir#voiture#citroen#2cv#collection#var#lesarcs#arcssurargens#concentration#ancien#old#nice#nice06#comtedenice#alpesmaritimes#paca#france#comte#ebodin#ericbodin#ebodinphotography
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𝔩𝔢𝔰 𝔰𝔬𝔠𝔦𝔢́𝔱𝔢́𝔰 𝔰𝔢𝔠𝔯𝔢̀𝔱𝔢𝔰 𝔡𝔢 𝔣𝔩𝔬𝔯𝔢𝔫𝔠𝔢 :
𝔇𝔢𝔦 𝔐𝔢𝔡𝔦𝔠𝔦
𝔇𝔢𝔦 𝔐𝔢𝔡𝔦𝔠𝔦
Dans les salons feutrés des grands hôtels florentins, sous les voûtes ancestrales des bibliothèques oubliées, s’active l’ombre des Dei Medici, une société secrète aux ambitions éminemment politiques. Héritiers d’une tradition qui remonte à la Renaissance, ils manipulent les sphères économiques et culturelles pour façonner le destin de l’Italie contemporaine. Leur influence se répand au-delà des frontières, jusqu’aux sommets de l’Union européenne.
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Les Dei Medici sont les architectes d’une stratégie silencieuse visant à maintenir Florence comme un centre d’influence mondial. Spécialistes du lobbying et des alliances discrètes, ils régulent les marchés financiers et orientent les grandes institutions. L’organisation opère à travers des fondations et des cercles d’influence, dissimulant leurs intentions sous le masque d’initiatives philanthropiques.
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Rejoindre les Dei Medici n’est possible que par cooptation. Les initiés doivent prouver leur valeur en présentant une analyse stratégique ou un projet concret ayant un impact significatif sur la région. Lors des cérémonies d’initiation, un livre ancien – annoté par les membres historiques – est remis comme symbole de leur accès aux connaissances secrètes de l’organisation. Et une pièce d'or est transmise à chaque membre, du sceau passé des Médicis.
𝔏’𝔥𝔦𝔰𝔱𝔬𝔦𝔯𝔢
Nés au sein des cercles proches de Lorenzo le Magnifique, les Dei Medici se sont modernisés avec le temps. Après des siècles de mécénat artistique, ils se sont tournés vers des entreprises multinationales et la promotion de la diplomatie culturelle. Aujourd’hui, ils déploient leur influence dans des forums économiques et des réseaux diplomatiques tout en préservant leur anonymat.
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Les Miserables and Money: terms and conditions
One more reference post for the night, because we're about to get into the very money-talk heavy part of the book, and it's useful to know terms and what they signify, socially. Everything below is severely Abridged For Tumblr from the David Bellos book The Novel of the Century:
...Hugo's characters rarely use the official names of the coins that they handle. The language of money in nineteenth century France was vastly more complicated than what it designated in monetary terms.
There were four different ways of naming money. The sets of words that people used for the coins they exchanged or kept in their purses reflected the class to which they belonged, and the kind of transaction they were engaged in...
Poor people counted in sous (a word meaning five centimes-P) , not in francs. The sous was not a coin, but a mental unit inherited from the past...
The middle classes used different words. For income received from dividends, interest, rents and stipends and for the capital values of property and land, they spoke in livres. These were exactly equivalent in francs, so they don't imply the mental agility needed to count out small change in sous. ..
The largest coin in circulation was worth five francs and had "5 francs" embossed on it. For people who reckoned in sous, its name was the piece de cent sous, the hundred sous coin. In transactions reckoned in livres-- when larger sums of money, or richer people, were involved--the five franc coin was called an écu.
Five francs, 100 sous, five livres, one écu, one louis (for the kings on the coin for centuries), are all the same thing.
The highest-value coin in circulation was the twenty-franc gold piece...called a napoléon. In 1815, Louis XVIII minted new twenty franc coins showing not the head of "the Usurper" but his own, and these obviously had to be called "louis" as well. But these new louis were worth foir times what an ecu...was worth... Only context and mental arithmetic can tell you whether what's at stake is a louis d'or, a golden one, or a silver louis worth a quarter of that.
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Asterix and Obelix's Birthday: The Golden Book
Anglaigus' pictures taken from the Asterix and Obelix Birthday book, for informative purposes. This book celebrates the 50th Anniversary of the creation of the Asterix's series, designed and written by Uderzo. Anglaigus appears on the story, he joins the festivities and plans to build a park dedicated to Asterix and Obelix just like Parc Astérix. The design of Angly is different from that of The Mansions of the Gods book, and the style keeps changing through the book, and it looks like the lad's tunic is oversized, more so than the usual.
L'Anniversaire d'Astérix et Obélix: Le Livre d'or (Asterix and Obelix's Birthday: The Golden Book) © René Goscinny & Albert Uderzo, and Editions Albert René, 22 October 2009.
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