#liberté de publication
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ccnountche · 2 years ago
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L'UIE lance un appel à candidature pour le prix Voltaire 2023
L’Union internationale des éditeurs (UIE) a lancé, mardi 10 janvier, un appel à candidature pour son prix Voltaire 2023. Doté de 10 000 francs suisses, ce prix récompense une personne ou une organisation engagée en faveur de la liberté de publication et d’expression. Pour en savoir plus, voir l'article.
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lebibliographedudroit-21 · 1 year ago
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Parution du 20/06/23
Cécile Faraut, Gîtes et chambres d'hôtes, 50 questions essentielles, Bréal, "Les essentiels de l'immo", 2023, 164 p.
Gîte, chambre d’hôte, location saisonnière… des concepts différents, mais unis par un idéal d’accueil et de contact humain. Nombreux sont ceux qui rêvent de transformer une partie de leur bien en chambres d’hôtes ou d’aménager un gîte. Que ce soit par goût du partage, de l’hospitalité, ou simplement pour se créer une source de revenu, c’est souvent un changement de vie radical, à la fois inquiétant et passionnant. Cet ouvrage a pour but de vous offrir une présentation claire de cette activité, et les étapes à respecter pour mener à bien votre projet. Vous découvrirez les 50 questions essentielles à vous poser pour définir votre concept, connaître la réglementation en vigueur, prévoir les coûts, ou encore choisir parmi les différents statuts. Rencontrer, accueillir, partager, et si vous preniez votre vie en main pour vous épanouir ? Marc Ezrat est journaliste et producteur de l'émission On Parle Immo, diffusé sur Sud Radio le samedi matin. Journaliste pour la revue L'Activité Immobilière, il est également rédacteur en chef du magazine L'Immo & Vous. Céline Faraut est animatrice formatrice au sein du réseau de mandataire Iad France. Travaillant depuis 20 ans dans différents secteurs de l'immobilier, à accompagner particuliers et professionnels dans la bonne réalisation de tous leurs projets pour anticiper et préparer l'avenir, elle forme aujourd'hui les conseillers immobiliers dans leurs performances.
Aline Gonzalez, Institutions de la Ve République, Gualino, "En poche", 5e éd., 2023, 48 p.
Cet ouvrage présente en 16 fiches synthétiques chacune des Institutions de la VeRépublique : le Président de la République, le gouvernement et le 1er ministre, le parlement (fonctionnement et compétences), le Conseil constitutionnel, le Conseil d'État, la Cour des comptes, la Haute cour, le CESE, le Défenseur des droits, la HATVP, le CSM... L'auteur présente également le processus législatif et les droits des citoyens. Une fiche est consacrée aux institutions de l'Union européenne qui interagissent avec les Institutions françaises. Aline Gonzalez est docteur en droit public, Avocat au Barreau de Nîmes, et chargée d'enseignement à l'Université de Montpellier et à l'Université d'Aix-Marseille.
Corinne Renault-Brahinsky, L'adoption en 2023, ce qu'il faut savoir, Gualino, « Droit en poche », 2023, 80 p.
La loi du 21 février 2022 en réformant l’adoption en France a pris en compte les évolutions de la famille en intégrant quelques innovations sociétales dans le Code civil ainsi que dans le Code de l’action sociale et des familles. La loi a notamment assoupli certaines règles visant à rendre plus d'enfants adoptables, à garantir le respect de leurs droits et à simplifier les démarches des adoptants, et, enfin elle a encadré les adoptions à l’international (éviter le trafic d’enfants).  Ce texte d’ajustement plutôt que de réforme de fond en comble, habilite dans son article 18 le Gouvernement à modifier les dispositions du Code civil et du Code de l’action sociale et des familles. Cet ouvrage présente la refonte formelle et à droit constant du Titre VIII du Code civil. IL ouvrage est le fruit d’une lecture attentive des textes doublée d’une analyse pratique visant à comprendre et à mettre en avant de manière structure et synthétique, les avancés de cette réforme dont les dispositions entreront en vigueur le 1er janvier 2023. Corinne Renault-Brahinsky est docteure en droit et auteure de nombreux ouvrages de droit.
Christophe Doubovetzky, Méthodologie des exercices juridiques, Gualino, « Droit en poche », 8e éd., 2023, 48 p.
Il existe une pluralité d’exercices spécifiques aux études de droit. Chacun d’entre eux a des enjeux et attendus propres et nécessite en conséquence l’application d’une méthodologie adaptée. L’ouvrage développe, en 6 fiches, une à une la méthodologie à mettre en œuvre pour réussir les exercices juridiques traditionnels posés aux étudiants tant en TD que le jour des partiels ou de l’examen final : la dissertation, le commentaire de texte, le commentaire d'arrêt, le cas pratique, la question à réponse courte. L'auteur dans une première fiche abordera les règles générales communes à tous les exercices. Christophe Doubovetzky est maître de conférences en droit public à l’Université Paris-Est Créteil. Il est rattaché au Laboratoire Interdisciplinaire d’Étude du politique Hannah Arendt (LIPHA - EA 7373).
Fabien Bottini (dir.), Le droit (public économique) du monde d'après, Legitech, « Droit et Écolomie », t. VI, 2023, 336 p.
Dans le sillage de la crise sanitaire de 2020, le Président Emmanuel Macron faisait part de la nécessité de projeter la France dans le « monde d’après » avant que la guerre en Ukraine n’amène le Président américain Joe Biden à évoquer en 2022 l’émergence d’un « nouvel ordre mondial ».   Dans ce contexte, une déclaration de Tony Blinken, le secrétaire d’État à la diplomatie américaine, retient l’attention : celle selon laquelle les États-Unis et la Chine seraient à l’avenir « concurrents quand c’est la règle, coopératifs quand c’est possible, adversaires quand il le faut ». Non seulement parce que cette analyse semble transposable à la relation des différents blocs régionaux ; non seulement parce que, derrière elle, ce sont bien les droits économiques étatiques qui sont destinés à être mobilisés à cette fin ; mais plus fondamentalement parce qu’à travers eux c’est tout le droit du monde d’après qui semble voué à se mouler dans cette grille de lecture. Or, certaines évolutions récentes des droits français et européen semblent déjà aller en ce sens. Une telle évolution est-elle inéluctable ? Des alternatives existent-elles ? Si oui lesquelles ? Le droit positif en porte-t-il également les traces ? Ce sont à ces questions qu’ambitionnent de répondre les actes réunis ici, dans une perspective pluraliste, intergénérationnelle et interprofessionnelle, au travers d’une analyse prospective du droit et de ses évolutions. Fabien Bottini est professeur de droit public à Le Mans Université, membre sénior de l'Institut Universitaire de France et auteur de nombreux ouvrages et essais. Après avoir étudié le phénomène d’ « économicisation » du droit porté par une certaine rationalité économique au tournant des années 1980, ses travaux s’intéressent à sa possible « écolomisation » depuis la crise sanitaire.
Henri Oberdorff et Jacques Robert, Libertés fondamentales et droits de l'homme, Recueil de textes français et internationaux, Grand oral, LGDJ, « CRFPA », 21e éd., 2023, 1208 p.
Ce livre est destiné non seulement aux étudiants des Facultés de droit, des Instituts d’études politiques, des IEJ, des CRFPA, mais aussi aux praticiens de ces libertés et de ces droits, comme à ceux qui s’efforcent de les défendre et de les promouvoir. Régulièrement mis à jour, cet ouvrage est conçu comme un Code des droits de l’homme. Henri Oberdorff est professeur émérite de l’Université de Grenoble-Alpes, directeur honoraire de l’IEP de Grenoble. Jacques Robert est professeur émérite de l’Université Paris-Panthéon-Assas, président honoraire de l’Université, ancien membre du Conseil constitutionnel.
François-Xavier Lucas et Thierry Revet (dir.), Précis de culture juridique, Grand oral, LGDJ, « CRFPA », 7e éd., 2023, 414 p.
Selon les textes régissant le grand oral de l’examen d’accès aux Centres régionaux de formation à la profession d’avocat, cette épreuve, qui porte sur un sujet relatif à la protection des libertés et des droits fondamentaux, doit permettre d’apprécier la culture juridique du candidat. Ce Précis saisit l’occasion qu’offre cette référence expresse à la culture juridique dans le programme officiel d’un examen, et non des moindres, pour présenter, par le biais d’entrées particulières allant de l’ordonnancement des sources du droit à l’épistémologie juridique, en passant par l’histoire et la comparaison des systèmes juridiques, la personne et le patrimoine, la doctrine et les rapports entre droit et littérature – et d’autres encore –, des réflexions destinées à illustrer, nourrir ou éclairer ce qui fait la culture juridique. La thématique est aussi vaste qu’incertaine. Il reste que, par-delà un amoncellement étouffant de règles et de jugements et par-delà la technicité toujours plus prégnante de la pratique et de l’enseignement juridiques, le droit est, avant tout, une culture ; plus exactement, une partie de la culture – ces valeurs, ces liens, ces créations, ces usages, ces idées ou ces façons d’être et de faire qui fondent et tiennent toute société humaine. Les droits et libertés fondamentaux ne sont évidemment pas oubliés. Leurs déclinaisons sont également conçues dans la perspective de leur dimension culturelle. En effet, ces instruments se prêtent particulièrement à l’évocation, donc à la conscience et à la découverte de la dimension, sinon de la nature hautement culturelle des règles et des jugements, points de rencontre entre les valeurs, sur lesquelles tout projet social se noue, et les intérêts, par lesquels toute action humaine se détermine. L’ouvrage permettra aux candidats autant qu’aux membres des jurys de l’examen d’accès aux Écoles de formation des Barreaux de se préparer de la meilleure façon à l’épreuve sensiblement enrichie du grand oral dudit examen. Il offre également à tout lecteur une riche et belle démonstration de ce que, ô combien, le droit est avant tout culture. François-Xavier Lucas et Thierry Revet sont professeurs à l’École de droit de la Sorbonne (Université Paris 1).
Corinne Robaczewski, Procédure pénale, LGDJ, « CRFPA », 6e éd., 2023, 276 p.
La procédure pénale est une matière fondamentale, dont la maîtrise est indispensable à la réussite des examens et concours d’accès aux carrières judiciaires (CRFPA, magistrature, police, administration judiciaire et pénitentiaire). C’est l’objectif de cet ouvrage qui, en douze leçons suivant la chronologie du procès pénal, permet de mieux maîtriser la technique et de prendre la hauteur de vue nécessaire à la compréhension d’une matière complexe. L’ouvrage insiste sur les grandes problématiques actuelles de la procédure pénale. Une place particulière est faite aux évolutions récentes de la matière et notamment aux toutes dernières lois réformant la justice pénale. Il fait ainsi le point sur toutes les mesures issues de la loi du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire, sur celles issues de la loi du 24 janvier 2022 relative à la responsabilité pénale et à la sécurité intérieure et sur celles issues de la loi du 24 janvier 2023 d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur. L’ouvrage est également à jour de la jurisprudence la plus récente et il rend compte de l’influence croissante des décisions du Conseil constitutionnel, de la Cour EDH et de la CJUE. Outre des exercices corrigés, chacune des leçons propose un point d’approfondissement de l’actualité, offrant au lecteur un « décryptage » des sujets contemporains. Compte tenu de son format et de son contenu, l’ouvrage se destine à tous les étudiants ayant à travailler la procédure pénale au cours de leur cursus universitaire. Plus généralement, il s’adresse à ceux qui souhaitent assimiler les règles essentielles de cette matière, tout en étant avertis des difficultés et des enjeux de celle-ci. Corinne Robaczewski est professeure à l’Université de Lille et enseignante associée à l’École nationale de la magistrature.
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jesanson · 2 years ago
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La reconnaissance des libertés par le droit constitutionnel
La reconnaissance des libertés par le droit constitutionnel
Le droit constitutionnel correspond à la reconnaissance, l’encadrement et l’affirmation des libertés et droits fondamentaux aux citoyens. La reconnaissance par les textes de droits et libertés fondamentaux aux citoyens Les droits et libertés fondamentaux garantis par le droit constitutionnel Le droit constitutionnel est une forme d’expression de la liberté. Le Doyen Mirkine-Guetzevitch de la…
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artsandculture · 4 months ago
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Liberty Leading the People (1830) 🎨 Eugene Delacroix 🏛️ The Louvre 📍 Paris, France
Perhaps Delacroix’s most influential and most recognizable paintings, Liberty Leading the People was created to commemorate the July Revolution of 1830, which removed Charles X of France from power. Delacroix wrote in a letter to his brother that a bad mood that had been hold of him was lifting due to the painting on which he was embarking (the Liberty painting), and that if he could not fight for his country then at least he would paint for it. The French government bought the painting in 1831, with plans to hang it in the room of the new king Louis-Philippe, but it was soon taken down for its revolutionary content. Lady Liberty was eventually the model for the Statue of Liberty, which was given to the United States 50 years later, and has also been featured on the French banknote.
Peint de septembre à décembre 1830 dans l'atelier loué par Eugène Delacroix au 15 (actuel n°17 ?) quai Voltaire, à Paris ; envisagé pour la deuxième Exposition au profit des blessés de Juillet 1830, galerie de la Chambre des Pairs (palais du Luxembourg), Paris, janvier 1831 (n° 508 du livret sous le titre "Une Barricade"), en réalité non prêté ; admis par le jury le 13 avril 1831 et exposé au Salon de 1831 (ouvert du 1er mai au 15 août), Paris, Musée royal (Louvre), n° 511 du livret sous le titre "Le 28 juillet. La liberté guidant le peuple" (n° 1380 du registre d'entrée des ouvrages au Salon, sous le titre "La Liberté guidant le peuple au 29 juillet" [sic], aux dimensions de "293 x 358 cm" cadre compris) ; envisagé comme achat de la Liste civile du roi Louis-Philippe Ier, en juillet 1831, au prix de 2 000 francs, finalement acheté à l'artiste par le ministère du Commerce et des Travaux publics en août 1831, au prix de 3 000 francs (en remplacement de la commande à Delacroix, au même prix, d'un tableau d'histoire ayant pour sujet "Le roi Louis-Philippe Ier visitant la chaumière où il logea près de Valmy, le 8 juin 1831", annulée suite au désistement de Delacroix) ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, en 1832 et en 1833 (n° 160 du supplément au catalogue du musée) ; mis en réserve vers 1833-1834 ; confié à l'artiste vers 1839 qui le met en dépôt au domicile de sa tante, Félicité Riesener, et de son cousin Léon Riesener, à Frépillon (Val-d'Oise) ; réclamé à l'artiste par la direction des Musées nationaux (ministère de l'Intérieur) en mars 1848 (Delacroix demande à cette occasion une augmentation du prix de 7 000 francs, soit un total de 10 000 francs ; cette augmentation lui est refusée) ; prêté par Delacroix au peintre et entrepreneur lyonnais Alphonse Jame entre mai 1848 et mars 1849, en vue d'être exposé à Lyon, contre 1000 francs (payés en deux versements de 500 francs, le 11 septembre 1849 et le 8 mars 1850) ; rentré à Paris et restitué à l'administration en mars 1849 ; possiblement présenté au musée du Luxembourg, Paris, à partir de juin 1849 jusqu'en 1850 (mais absent du catalogue du musée) ; mis en réserve dans les magasins du musée du Louvre de 1850 à 1855 ; présenté à l'Exposition universelle, Palais de l'Industrie et des Beaux-arts, Paris, 1855, n° 2926 du livret ; mis en réserve dans les magasins des Musées impériaux de 1856 à 1863 ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, de 1863 à 1874 ; déplacé du musée du Luxembourg au musée du Louvre en novembre 1874 ; inventorié pour la première fois, sous le n° "R.F. 129", en 1875 et présenté à partir de cette date dans la salle des États au musée du Louvre ; mis en sécurité pendant la Première Guerre mondiale au couvent des Jacobins, à Toulouse (Haute-Garonne) de 1914 à 1918 ; restauré par Lucien Aubert (nettoyage et réintégration de la couche picturale) à Paris en 1920 ; mis en sécurité pendant la Seconde Guerre mondiale au château de Chambord (Loir-et-Cher) en 1939, puis déplacé au château de Sourches, Saint-Symphorien (Sarthe), le 29 septembre 1943 ; rentré du château de Sourches au musée du Louvre, Paris, le 16 juin 1945 ; restauré par Raymond Lepage et Paul Maridat (rentoilage) et par Georges Zezzos (allègement et réintégration de la couche picturale), au musée du Louvre durant l'été 1949 ; présenté au musée du Louvre dans la salle Mollien d'octobre 1949 à 1969, puis en salle Daru de juin 1969 à juin 1994, puis en salle Mollien depuis décembre 1995 ; restauré par David Cueco et Claire Bergeaud (remplacement du châssis, pose de bandes de tension sur les bords de la toile) au musée du Louvre en janvier-février 1999 ; restauré par Bénédicte Trémolières et Laurence Mugniot (nettoyage et réintégration de la couche picturale) au musée du Louvre, d'octobre 2023 à avril 2024.
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nigrit · 4 months ago
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This might be a bit controversial but I’m just going to leave it here for discussion. Of all the amazing women from the Enlightenment / Frev, the Olympic Committee chose her (wherefore the proto-republican philosopher, Sophie de Grouchy or scientific pedagogue and philosopher, Emilie de Chatelet?! @enlitment). Or perhaps the dashing de Merincourt, industrious de Kéralio, ambitious Roland, activist Etta Palm d’Aelders, or (Romantic) intellectual, de Stael?
Then they bigged her up beyond parody, describing her as a femme politique (non! No known participation in any clubs or salons) and a campaigner for women’s rights (non again; here de Grouchy would be closer to the mark with her joint pamphlet with Condorcet, Cité des femmes etc.) De Gouges’ main output was plays rather than politics.
Yes, she wrote the witty rejoinder to the Declaration of the Rights of Man and the Citizen, but it was one of many pamphlets she self-published, and sandwiched between a dedication to the Queen and a complaint about being ripped off by a cabby driver.
she promoted the right to divorce (as did some men), rights for bastard children, a maternity hospital and novel proposals for raising public funds. other pamphlets were complaints about being ignored, suggestions for improving public morals (society women as culpable as ‘public’ women (ie prostitutes)), and attacks on the radicalism represented by Marat, the Jacobins and/or Robespierre.
As far as I know, she did not protest against the active/passive citizen distinction.
When the Amis des Noirs pressure group started to gain traction and social acceptance (Condorcet, Brissot and Lafayette were leading members), she rewrote her play on the Esclavage des Negres in 1788 to make it more political, with a preface urging recognition for the rights of ‘hommes Negres’, suggesting they would be happy to continue working the fields as free men. The main reason it wasn’t performed was not its subject matter but because she had previously tried to pull (social) rank on the Comédie-francaise to get her plays to the front of the queue, and had a massive bust-up with its director.
Don’t get me wrong, she was often a delightful and witty writer but also markedly eccentric and very much her own woman in a world of her own. Other women played far more prominent roles in trying to secure real change and better opportunities.
Probably the single greatest manifesto for improvements in women’s condition (but not the vote, or at least not yet), imho was Mary Wollstonecraft’s powerful appeal for equality in education (and to stop treating women like vain, simpering idiots defined by nature’s gifts - I’m looking at you JJ!). Talleyrand and the NA had proposed universal education only up to nine for girls.
PS she was also made a poster ‘girl’ for the Front Populaire with the slogan, ‘Gouges-toi’ (Bouge-toi), Which is actually pretty good!
PPS as for those headless Marie-Antoinettes in red, singing about Liberté along the Conciergerie, wow, just wow!
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francaistoutsimplement · 2 months ago
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Cf le papier du Figaro sur le meurtre de #Philippine ce soir :
« Le magistrat avait reconnu « qu'au vu de cette condamnation pénale pour viol, et de la situation personnelle de l’intéressé qui ne justifie ni d’un logement, ni d’une insertion sociale ou professionnelle, et n’a aucun revenu, le risque de réitération de faits délictueux, et donc la menace à l’ordre public ne peut être exclue » !
« Ne peut être exclue » ! …
Il a pourtant décidé de le remettre en liberté. 2 semaines plus tard, l’individu tuait Philippine.
Si le violeur marocain Taha O. avait été expulsé juste après la délivrance de son OQTF, la jeune Philippine serait encore en vie.
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Voici Taha. O, le barbare qui a enlevé la vie de Philippine.
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anotherhumaninthisworld · 8 months ago
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Contemporary descriptions of the hébertist execution compilation
The joy of the people was universal at seeing the conspirators taken to the scaffold. There were the same demonstrations of joy everywhere; a sansculotte jumped up and said: “I would light up my windows this evening, if candles were not so rare.” In the evening, in all the groups and cafes, people talked about the death of these conspirators; the story of their last moments was the only subject of conversation. It was said in several places that Hébert had denounced around forty deputies. It was time, they added, that this conspiracy was discovered, because it was believed in several departments that Paris was under fire. […] According to the comments made on the Place de la Révolution, during the appearance of the conspirators on the scaffold, one noticed that there were people placed to sow trouble. One woman was beaten by another for having made some comment. While the 19 conspirators were being guillotined, the people remained silent; but when Hébert’s turn came, a swarm of hats appeared, and everyone shouted: “Long live the Republic! This is a great lesson for those who are consumed by ambition; the intriguers have done well; the committees of public safety and general security will manage to discover them, and ça ira!” Tableaux de la Révolution française publiés sur les papiers inédits (1869) by Adolphe Schmidt, volume 2, page 186. ”Situation in Paris 4 Germinal Year 2” (March 24 1794).
The events of yesterday, that is to say the judgment of the conspirators, their journey from the Palace to the Place de la Révolution and their execution, have entirely absorbed the attention and feelings of the people. Everyone wanted to at least see them pass so that they could judge the impression made on their wicked souls by the sight of an immense people, outraged by their crime, and the knowledge of the imminent death they were going to suffer. The crowd of curious people who were on their way or who witnessed their execution was innumerable. [...] Two opposing feelings, indignation against the guilty and joy at seeing the Republic saved by their death, animated all the spectators. One tried to read the faces of the condemned to enjoy, in a way, the internal pain from which they suffered: it was a kind of revenge that they took pleasure in obtaining. The sans-culottes were especially angry with Hébert and insulted him. “He’s damn angry,” said one, “we broke all his stoves (fourneaux).” “No,” said another, “he is very happy to see that the real aristocrats are going to fall under the guillotine.” Others carried stoves? (fourneaux) and pipes and raised them in the air so that they could strike Father Duchesne's eyes. Regardless, this wretch could not pay any attention to what was happening around him; the horror of his situation appalled him; he had reproached Custine for dying as a coward, and he showed no less pusillanimity than him. Momoro put up, as they say, a brave face against bad luck, he pretended to be confident, talked to his neighbors and laughed a wicked laugh. [...] Cloots appeared calm, Vincent lost, Ancart and Ronsin furious and Hébert overwhelmed. The latter was the star of the show, he appeared last [on the scaffold]. Report by the police spy Grisel, March 25 1794, cited in La Liberté ou la Mort: mourir en député (2015) by Michel Biard.
On D-Day, March 24, 1794, an “innumerable crowd” impatiently awaited the execution of Father Duchesne and his accomplices: “Advancing from the place of execution of Paris, one encountered waves of citizens on their way there; everything resounded with the cry of “Father Duchesne to the guillotine!” and in this respect the children acted as peddlers.” Another agent remarks that “in the streets, from the Palace to the Place de la Révolution, the crowds of people were so great that one could barely pass through.” The police estimate (already!) claimed that “perhaps four hundred thousand souls witnesses to this execution.” […] If the legend claiming that Hébert fainted in the tumbril seems false, all reports corroborate on the other hand the moral and physical collapse which this great sermonizer presented: […] “It was noticed that Ronsin seemed the least frightened by his execution, that Anacharsis Cloots had retained great composure, but that Hébert and the others bore on their faces the signs of the greatest consternation;” [Another report states that]: “Of the nineteen culprits dragged to execution, Hébert was the one who presented the saddest and most dismayed face.” Taken from the Palace to the Place de la Révolution amid cries of joy and insults (“Everywhere they passed one shouted “Long live the Republic!,” and threw hats in the air and everyone said some epithet to them, especially to Hébert.”), Father Duchesne was not yet at the end of his troubles. To make the feast complete, a cruel staging allowed him to meditate on his fate: “Upon his arrival on the Place de la Révolution, he and his accomplices were greeted by boos and murmurs of indignation. With each head that fell, the people took revenge again with the cry of “Long live the Republic!” while throwing their hats in the air. Hébert was saved for last, and the executioners, after putting his head through the fatal window, responded to the wish that the people had expressed to condemn this great conspirator to a punishment less gentle than the guillotine, by holding the suspended blade for several seconds on his criminal neck, and throwing, during this time, their victorious hats around him and attacking him with poignant cries of ”Long live this Republic that he had wanted to destroy.” As can be seem, one knew how to have fun in those days. However, as soon as the affair was completed, the agents noted contrasting reactions among the people: “In all public places, the aristocrats and the moderates rejoiced at this execution and affected a lot of patriotism. The patriots also rejoiced, but they observed one another.” [Another report states] “I visited different cabarets near the Gros Caillou, near the Military School. They talked only about Father Duchesne, about whom a thousand stories were made with the intention to bless the Committee of Public Safety for having discovered such a betrayal. I found the little people cheerful”; [Another report states]: “The walks are everywhere full of people and everywhere one stays and asks: “Did you go to see Hébert yesterday?” One answers “yes”. All the faces seem happy.” [Another report states]: “Since Hébert’s death, I have noticed that, in cafés, men who talked a lot no longer say anything.” This is because the execution of Hébert and his supporters, although it purged the Mountain of its extremists, nonetheless shook the people’s confidence in their leaders. Who would believe if even the most ardent patriots could suddenly become traitors? At least one thing is certain, that is that beyond the unconscious dismay which struck the people after the execution, the great cowardice which Father Duchesne demonstrated before the guillotine ended up destroying him in the eyes of everyone: “After the execution, everyone was talking about the conspirators. They said: “They died like suckers”; others said: “We would have thought that Hébert would have shown more courage, but he died as a good-for-nothing.” Series of police reports found in Paris pendant la Terreur (1962) by Pierre Caron, cited in this blog post.
The execution took place in the afternoon around 5 o'clock, at the Place de la Révolution. A prodigious crowd of citizens filled all the streets and squares through which they passed. Repeated cries of long live the Republic and applause were heard everywhere. These testimonies of the indignation of the People against men who had just so eminently compromised the salvation of the Fatherland, were proportionate to the extreme confidence they had in the art of surprising them; and the public satisfaction whose feeling was mixed with this deep indignation was a new proof of the love of the citizens for the Republic saved by the punishment of these great culprits. Thus perishes anyone who dares to attempt the re-establishment of tyranny! Gazette Nationale ou Moniteur Universel, number 185 (March 25 1794)
It was 18 of them who suffered the death penalty due to their crimes... It was Father Duchesne, this scoundrel, who was cursed by all the people. If he had been susceptible to remorse, he would have died of shame before his arrival, in front of Madame Guillotine... He was the last to be guillotined, each of the closest spectators continued to reproach him for his villainy... Letter written by the Convention deputy Ayral Bernard, March 26 1794
Hébert, Ronsin, Vincent, and the other conspiracy defendants whose names and qualities we reported in previous issues, were sentenced to death by the revolutionary tribunal. Only one was acquitted; Laboureau: he was immediately set free; the president of the tribunal embraced him and made him sit next to him: the room resounded with the liveliest applause. The other defendants said nothing when they were sentenced; the Prussian Cloots appealed to the human race, of which we know that he had made himself the speaker. Ronsin wanted to say a few words, he was removed alongside the others. Femme Quetineau declared herself pregnant. Taken back to the Conciergerie, the condemned asked for half a septier of wine and a soup. Around four in the afternoon, they left on three tumbril to go to the execution. Never had an execution attracted such a considerable crowd of spectators; everywhere they passed, one clapped hands, tossed hats in the air, and shouted vive la république ! They seemed quite insensitive to the indignation that was brewing against them: arrived at the foot of the scaffold, they all embraced each other. Hébert, known as Father Duchesne, was the last to be guillotined; his head was shown to the people, and this spectacle provoked clapping of hands and universal cries of vive la république ! Annales Patriotiques et Litteraires de la France, et Affaires Politiques de l’Europe, number 369 (March 26 1794)
The republic has once again been saved: 19 leaders of the conspiracy hatched for its ruin were sentenced to death today, 4 germinal, at half past twelve. The flattering sword of the law struck their guilty heads: these traitors marched towards the scaffold with all the audacity of crime; some laughed, others raised their shoulders: Father Duchène appeared to be neither in great joy nor in great anger; the people applauded and stood in crowds in the places through which the procession was to pass. A lot of cavalry and infantry preceded, accompanied and followed the tumbrils carrying the conspirators: but armed force became useless, because joy was universal. Le Courier Belgique, number 39 (March 31 1794)
Here is an anecdote which can serve to make better known the eighteen conspirators whom the sword of the law has struck down. On the day of their execution, several heads had already fallen when General Laumur's turn had come. Ronsin and Vincent looked at him at the scaffold and said to Hébert: ”without the clumsiness of this j... f... we would have succeeded.” They were alluding to the indiscretion of Laumur, who would tell anyone who would listen that the Convention had to be destroyed. Suite de Journal de Perlet, number 555 (March 31 1794)
My father told me that only once, during the Revolution, he found himself stuck in the crowd, without being able to move forward or backward, as the fatal tumbril passed. It was the one who carried the Hébertists. Cloots, placed at one end, said to the spectators: “My friends, please do not confuse me with these rascals.” Mémoires sur Carnot par son fils (1861) volume 1, page 366.
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Previous parts of this totally family friendly series:
Contemporary descriptions of the dantonist execution compilation
Contemporary descriptions of the robespierrist execution compilation
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christian-dubuis-santini · 3 months ago
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Après s’être lamentablement vautré comme un crétin ordinaire sur la fausse pandémie (et vraie "psy-op" planétaire), le très décevant Zizek vient de s’enfoncer sans espoir de retour dans le pathétique en produisant un texte de propagande consternant à la gloire de la cérémonie d’ouverture des Jiho Paris-1984, après être passé en vingt ans du sublime de la subversion chrétienne au ridicule du transvetisme wokiste… Un misérable reste de ses incursions passées dans le texte lacanien lui permet toutefois de s’adresser à lui-même dans la dernière phrase qui est à lire ainsi: «aie honte de ce que tu as écrit, toi qui te présentes comme un "révolutionnaire" un "pourfendeur de l’idéologie", tu récupères, contorsionnes et manipules le langage pour finir par servir la soupe aux tenants de l’idéologie dominante, lécher le cul de Débile Gates, Cloche Souabe, et bientôt faire de la retape pour Calamar Arisque dans l’élection américaine, oublieux que tu es de l’incise marxienne: «les idées dominantes d’une époque sont les idées de la classe dominante de cette époque»…
Dans un Paris encagé surpeuplé de policiers cosmopolites, où l’espace public a été confisqué au profit exclusif des puissances de l’argent, effectivement seule L'Europe pouvait offrir à cette échelle un si beau spectacle de violation des libertés humaines et de sacrifice des enfants…
Un peu de honte aurait pu t’éviter d’avoir à mourir de honte.
Traître un jour, traître toujours !
Adieu Slavoj.
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kilfeur · 5 months ago
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Je pensais à quelque chose pour Adrien et ce qui pourrait lui arriver dans la saison 6. Dans la dernière scène qu'il partage avec Marinette, il dit qu'il se sent libre. C'est quelque chose qu'il a toujours souhaité mais maintenant quoi exactement ? Je ne pense pas que juste parce qu'il voit son père comme héros. Qu'il a tout oublier, il le sait que son père est très loin d'avoir été modèle. Mais je me demande si certains vont pas justement avoir des attentes sur le fait que son père est un héros donc il doit en être un lui aussi. Mais surtout dans le public et pour faire parler pas comme il pourrait le faire avec sa double identité.
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Tomoe Tsurugi pourrait justement faire sous déguisement d'honorer son père. Kagami, sa fille pourrait justement s'y opposer provoquant justement d'autres conflits avec sa mère. Ou bien sa liberté peut être volé par Lila alias Cerise en volant sa bague. Lui faisant croire à des mensonges pour qu'il soit de son côté et sous son contrôle.
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La saison 4 était avant tout sur sa quête d'identité, lui faisant comprendre que justement chaque partie de lui sont importants et font parti intégrante de lui. La saison 5 était justement de comprendre comment marchent les relations amoureuses montrant aussi qu'il se détache de son père, le faisant face en tant que Chat Noir, sacrifiant son miraculous pour le donner à Plagg et ainsi le transmettre à Marinette par craindre de perdre le contrôle. Alors que Gabriel s'enfonce dans sa folie destructeur, lui va de l'avant ! D'ailleurs je trouvais que cette saison 5, il faisait plus ado, tu le voyais plus avec les autres personnellement. Alors que par exemple en début de saison 4, il ne voulait pas montrer ce qu'il est vraiment à Kagami dans la scène du dessin.
Donc celui qui pourrait mettre des limites et craindre que sa liberté pourrait être hors de contrôle, pourrait être Adrien. Ce qui donnerait un développement intéressant en terme de psychologie ce qui irait avec Marinette que j'y pense, aura un tiraillement concernant les mensonges envers Adrien.
I was thinking about something for Adrien and what might happen to him in season 6. In the last scene he shares with Marinette, he says he feels free. It's something he's always wanted, but now what exactly? I don't think just because he sees his father as a hero. That he as forgotten everything, he knows that his father was far from a role model. But I wonder if some people won't just have expectations that his father is a hero so he has to be one too. But mostly in the public eye and to get people talking, not like he might with his double identity.
Tomoe Tsurugi could do just that under disguise to honor her father. Kagami, her daughter, may oppose, provoking further conflict with her mother. Or his freedom could be stolen by Lila aka Cerise by stealing his ring. Making him believe lies to get him on her side and under her control.
Season 4 was all about his quest for identity, making him realize that every part of him is important and integral. Season 5 was all about understanding how relationships work, and how he detaches himself from his father, facing him as Chat Noir, sacrificing his miraculous to give it to Plagg and then passing it on to Marinette for fear of losing control. While Gabriel sinks into his destructive madness, he moves forward! In fact, I thought that in season 5, he was more of a teenager, and you saw him more personally with the others. Whereas at the start of season 4, for example, he didn't want to show Kagami what he really is in the drawing scene.
So the one who might set limits and fear that his freedom might be out of control, could be Adrien. Which would make for an interesting development in terms of psychology, which would go hand in hand with Marinette, who I think will have a tug-of-war about lying to Adrien.
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jloisse · 4 months ago
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🔴 Au terme d'une représentation de la pièce "Oreste", de Terzopoulos, dans le théâtre du site antique de Epidaure en Grèce, les acteurs et le public ont crié "Liberté en Palestine!" Et un immense drapeau palestinien a été déployé.
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clubrogernimier · 2 months ago
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« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif en réduisant de manière drastique le niveau et la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle.Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste... que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissant, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s'interroger, penser, réfléchir. »« On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté » Günther Anders L’obsolescence de l’homme, 1956.
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jesanson · 2 years ago
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Une autorité publique affirmée par le droit constitutionnel
Une autorité publique affirmée par le droit constitutionnel
L’examen du pouvoir politique permet d’avoir un net aperçu sur l’affirmation de l’autorité par le droit constitutionnel. Mais il ne faut pas perdre de vue que cette consécration n’est pas dépourvue de risques. Une autorité affirmée par le biais du pouvoir politique Le droit constitutionnel est en premier lieu une expression de l’autorité. En effet, le droit constitutionnel a pour objet l’étude…
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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Le Forum économique mondial (WEF) a admis que la pandémie de COVID-19 était un test de l'obéissance du public à accepter son Nouvel Ordre Mondial il a publié l'admission suivante sur la page "Mon carbone" de son site web où ils font un pitch pour les villes intelligentes de 15 minutes Thegatewaypundit.com rapporte : Le premier des trois "développements" qui, selon le WEF, doivent être en place avant que le monde puisse évoluer vers sa vision utopique des "villes intelligentes et durables", est le respect des restrictions à notre liberté. Il écrit :
1. COVID-19 a été le test de la responsabilité sociale - Un grand nombre de restrictions inimaginables pour la santé publique ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde. Il existe de nombreux exemples à l'échelle mondiale de maintien de la distanciation sociale, de port du masque, de vaccinations de masse et d'acceptation des demandes de recherche des contacts pour la santé publique, qui ont démontré le cœur de la responsabilité sociale individuelle.
Ils nous testaient. C'est ce qu'était le Covid. Ils voulaient voir combien d'entre nous abandonneraient notre liberté individuelle et notre souveraineté individuelle en se conformant à une "nouvelle normalité" qui consistait en des restrictions à la limite de l'absurde. Pourquoi, par exemple, était-il "sûr" de faire ses achats chez Lowe's ou Home Depot, mais dangereux de faire ses courses dans une petite entreprise ou d'aller à l'église ? Pourquoi était-il acceptable d'aller dans des clubs de strip-tease dans le Michigan mais vous ne pouviez pas acheter de graines pour un jardin ? Ce que le WEF implique avec sa déclaration ci-dessus, c'est que pour être "durables", les personnes et les sociétés devront se conformer à un nouvel ordre mondial plus autoritaire. Ne pose pas de questions. Ne recourez pas à la logique. Il suffit d'obéir. Serions-nous obéissants face à de nouvelles lois et réglementations idiotes, comme porter des couches pour arrêter ce qui était considéré comme un virus en aérosol, et se tenir à 3 mètres l'un de l'autre en public, et se soumettre à une injection non autorisée d'ARNm jamais utilisée auparavant ?
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WEF has admitted that the COVID-19 pandemic is a test of the public’s obedience to its New World Order, posting the following admission on the “My Carbon” page of its website where it makes a 15-minute pitch for smart cities. Thegatewaypundit.com reports: The first of three “developments” that the WEF says must be in place before the world can move toward its utopian vision of “smart, sustainable cities,” is compliance with restrictions on our freedom. It writes: 1. COVID-19 has been the test of social responsibility - A large number of unimaginable public health restrictions have been adopted by billions of citizens around the world. There are many examples worldwide of maintaining social distancing, wearing masks, mass vaccinations, and accepting contact tracing requests for public health, which have demonstrated the heart of individual social responsibility. They were testing us. That’s what Covid was. They wanted to see how many of us would give up our individual freedom and individual sovereignty by conforming to a “new normal” that consisted of restrictions that bordered on the absurd. Why, for example, was it “safe” to shop at Lowe’s or Home Depot, but dangerous to shop at a small business or go to church? Why was it okay to go to strip clubs in Michigan but you couldn’t buy seeds for a garden? What the WEF is implying with their statement above is that in order to be “sustainable,” people and societies will have to conform to a new, more authoritarian world order. Don’t ask questions. Don’t resort to logic. Just obey. Would we be obedient to idiotic new laws and regulations, like wearing diapers to stop what was considered an aerosolized virus, and staying 10 feet apart in public, and submitting to an unauthorized mRNA injection never before used?
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ekman · 5 months ago
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– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.
– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.
– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.
– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait.  – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service... 
J.-M. M.
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raisongardee · 7 months ago
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"Il résulte d’une telle situation, pour tout homme amoureux du bien public, un déchirement cruel et sans remède. Participer, même de loin, au jeu des forces qui meuvent l’histoire n’est guère possible sans se souiller ou sans se condamner d’avance à la défaite. Se réfugier dans l’indifférence ou dans une tour d’ivoire n’est guère possible non plus sans beaucoup d’inconscience. La formule du "moindre mal", si décriée par l’usage qu’en ont fait les social-démocrates, reste alors la seule applicable, à condition de l’appliquer avec la plus froide lucidité. L’ordre social, quoique nécessaire, est essentiellement mauvais, quel qu’il soit."
Simone Weil, Oppression et liberté, 1953.
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dooareyastudy · 5 months ago
Note
Pardon, est-ce que tu pourras nous faire un petit retour voire résumé du programme front populaire ? Mercii 😘
Sur le volet institutionnel, on trouve la proposition de mettre fin à la Vème République (!) en convoquant une assemblée citoyenne pour élaborer une nouvelle constitution (la juriste en moi est septique sur ce que ça peut donner en ce qui concerne la répartition des pouvoirs et les questions essentiellement institutionnelles cela dit).
Sur le volet écologique, on retrouve l'idée de rétablir l'ISF et de l'utiliser en matière d'environnement (il y a de nombreuses autres mesures fiscales dans le programme, notamment pour taxer les superprofits dans la grande distribution), la volonté d'un contrôle public accru des énergies ou encore des mesures plus précises, notamment en ce qui concerne l'aménagement (rénovation des bâtiments publics, isolation des logements...).
Une autre proposition que je trouve importante, c'est la création d'un fond d'indemnisation contre les pollutions (ou les conséquences des pollutions sur les populations, j'imagine), pour l'instant destinés spécifiquement aux populations d'outre-mer (mais qui aurait un potentiel de développement très important). Une autre proposition qui a du potentiel si elle est bien réalisée : la conditionnalité de certaines aides aux entreprises, en fonction du respect de critères environnementaux et sociales (notamment l'égalité hommes / femmes).
Sur le plan social, les mesures défendues sont nombreuses : nouveaux droits pour les travailleurs (un congé menstruel obligatoire par exemple), défense et revalorisation de certaines prestations sociales (APL, abrogation de la réforme des retraites et du RSA, abandon de la réforme de l'assurance chômage...), revalorisation du SMIC...
On garde en tête que Bruno Le Maire a dit aujourd'hui qu'il fallait "crever le plafond de verre des allégements de charges sociales" : au-delà du fait qu'il n'a pas bien compris ce que c'est un plafond de verre, il a du oublier que ce sont les citoyens et non les entreprises qui votent. Les fameuses "charges sociales", pour rappel, elles financent notamment notre assurance maladie et nos retraites.
Il y aussi de nombreuses propositions destinées à renforcer les services publics, notamment pour les zones qui en manquent actuellement. On peut notamment retenir la proposition d'encadrer la liberté d'installation des médecins libéraux.
Ça ne fait pas le tour du programme bien sûr, notamment car je laisse de côté le volet géopolitique. Si vous voulez plus de précision, il faudra faire comme tout le temps et lire la presse qui en parle !
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