#les mains vides
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J'ai appris que tu ne peux demander à personne de te le dire, parce que ce dont tu as besoin, tu ne peux le trouver qu'en toi, dans ton coeur.
J'ai appris que mendier l'amour de quelqu'un qui ne t'aime pas est mal, c'est une offense à ta dignité, et contribue à augmenter le vide que tu ressens à l'intérieur. J'ai appris que t'aimer toi-même est la seule chance de comprendre les autres, et que si tu ne t'aimes pas, tu ne peux vraiment aimer personne d'autre.
J'ai appris que si tu n'es pas heureux, si tu n'es pas vraiment heureux, tu ne peux pas allumer le sourire de personne. Et que si tu arrêtes de la suivre, le bonheur, elle arrête de te trouver. Parce que c'est toi, c'est toi ton bonheur.
J'ai appris que les choses vraiment importantes dans la vie ont toujours à voir avec nos rêves. Et que nos rêves sont toujours liés à l'amour.
J'ai appris qu'il y a des couchers de soleil merveilleux, ils ne sont pas tous Certains te couper le souffle, pour la magie qu'ils dégagent. Mais le coucher de soleil qui bat tout le monde est celui que tu regardes tout en tenant la main de la personne que tu aimes. Et j'ai appris que parfois la vie nous apprend que cette main, celle à serrer fort et ne jamais quitter, c'est ta propre main... et toi, toi... ne la quitte jamais !
#ilmioamoreperte. ❤
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En 15 ans de RP, je n'ai jamais vu ça
J'exprime rarement mes états d'âme sur tumblr mais là...je dois dire que je suis sur le cul et je suis profondément blessée...
Cela fait presque 2 ans et demi que je joue un "scénario" sur un forum. Mon activité n'est pas fifolle mais le staff répétant à longueur de temps IRL avant tout, je me suis jamais inquiété. J'ai été raisonnable et je n'ai jamais demandé de DC.
J'ai traversé une petite période à vide en mars et puis je me suis pris par la main et j'ai discuté par MP avec les principaux liens du personnage des évolutions du personnage. Tout allait bien.
Il y a un mois, je reçois un MP pour discuter de l'avenir de mon personnage et l'évolution du lien entre nos 2 persos. Adorant notre lien, je suis hype. Mon erreur a peut être de ne pas avoir répondu dans la semaine, mais avoir attendu 10 jours car mon IRL étant un peu prenant en juin. Et depuis, silence radio. Je me dis naïvement qu'elle a pas le temps de me répondre et pour moi c'est OK.
Aujourd'hui, je reçois un message du compte staff avec en titre "activité". Je comprend pas, on est pas en fin de mois et j'ai posté 2 rp le 3/07. Et là...je découvre qu'on me demande de changer de personnage car la joueuse ne trouve plus son compte vis à vis de mon activité et aimerait faire évoluer le personnage (probablement plus vite). Je n'ai jamais vu ça. Oui je suis pas une lumière, je veux bien le reconnaître. Mais était-ce si terrible de venir me voir et me le dire en face ? Alors que ça fait 2 ans qu'on échange et RP ensemble... et que tout c'est toujours bien passé.
En 15 ans de rp, jamais j'ai reçu ce genre de MP, de message. Pourtant j'en ai foulé des forums, j'en ai joué des personnages, pris des scénarios/PV. Jamais on m'a dit que l'IRL avant tout et de me dire que mon activité va pas... Si j'avais eu plusieurs compte ok... mais c'est mon seul et unique compte sur ce forum.
Je suis dégoutée...
Conclusion : si vous avez un soucis avec votre partenaire, allez le voir et PARLEZ LUI ! Soyez honnête et sincère. A chaque problème sa solution et souvent en parlant entre adulte tout se règle tranquillement.
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Une semaine après le déménagement : d’un coup, comme ça, je vis avec lui. On a emménagé dans un appartement à l’aveugle, sans en avoir vu de photos avant, et maintenant on dort dans un petit lit tous les soirs, tous les deux, et le matin on se réveille dans une cuisine ensoleillée, on boit notre petit café, on déjeune, de façon pas très coordonnée, chacun de notre côté la plupart du temps, encore sous l’emprise de nos habitudes de vie tous seuls. On révise aussi chacun de notre côté, on part au travail de notre côté, notre quotidien a pas trop changé au final. Quand on a le temps, on vide les cartons, il classe nos livres, minutieusement et par ordre alphabétique. Je le vois s’impliquer à 200% dans le classement des livres, et je comprends qu’il aime travailler comme bibliothécaire. Hier, il est venu vers moi avec Le Petit Prince dans la main, l’air embêté. Il m’a demandé comment on faisait en France : c’est « D » comme De Saint-Exupéry ou « S » comme « Saint-Exupéry » ? Cet après-midi, je suis rentrée des cours et il avait fait la vaisselle, monté un meuble IKEA et m’avait fait un petit Tupperware pour le travail ce soir :o
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ambiance années folles; jazzy; festivités incessantes; dessous sombres; inspiration gatsby; hôtel construit autour d'un phare en bord de falaise, au sommet de newport.
phare d'une nuit sans fin, aux abords d'une HILLCREST impérieuse, envouté par le chant des vagues. exalte les affamés, excite les excès de bouche, les envies sans carences; galvanise les démons de la lyse. panse pleine, l'on pense vide; vide et abysses en gueule béante et salivante, où plonger jusqu'à l'aurore qui n'existe pas encore. sous l'hymne d'aphrodite et de dyonisos, les frivoles s'envolent; car PROSTITUÉS, ESCORTS, DANSEURS et CHANTEURS se mettent au service de la nuit. et aux oreilles de trainer plus que les mains, car sous les beaux draps se confient les coeurs d'ivrognes. le TRAFIC D'INFORMATIONS en dessous de dentelles.
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours:
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
#tumblr's garbage new post editor keeps randomly un-italicising my italics :l#anyway i really like anna de noailles and renée vivien in particular#also marie-claire bancquart whom i discovered more recently!
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Tuto : créer des lignes fluides
Version requise : Photoshop, pas besoin d'une version récente.
Durée de la video : 9.44min avec 3 techniques expliquées (vous avez les time-code dans les explications ci-dessous)
Infos : français et sous-titrée + tutoriel détaillé écrit ci-dessous. J'espère que la qualité ira, elle a été réduite quand j'ai fait le sous titrage :(
Si vous avez des questions ou si ça manque de clarté, n'hésitez pas !
Exemples de rendu (toutes les lignes) :
Aujourd’hui, je vous présente 3 techniques que j’utilise pour créer des lignes fluides, comme dessinées à la main, sur mes avatars. L’objectif est de vous montrer les différents outils utilisés - il y en a surement bien d’autres mais déjà, en voici 3 - pour que vous puissiez vous les approprier et les utiliser pour vos propres styles et graphisme !
(0 à 0.50s : introduction + je vous montre des avatars sur lesquels j'ai utilisés ces effets)
(0.50) Technique 1 : le pinceau
Avec l'outil pinceau, vous pouvez dessiner les effets et tracés que vous souhaitez ! Mais souvent, les tracés peuvent être un peu trop abrupts ou présentés des angles/cassures non voulues.
Pour les éviter, ça se joue dans les réglages :
(1.18) Créer un calque vide pour pouvoir dessiner dessus et éviter de le faire directement sur une photo/image. Ainsi, vous pourrez plus facilement supprimer l’effet si à la fin vous n’aimez pas.
(1.40) Dans le panneau ds outils, choisir l’outil pinceau et dans les caractéristiques du pinceau, opter pour “pinceau arrondi net” 1 ou 2px d’épaisseur (pour qu’il soit assez fin), 100% dureté (pour qu’il ne soit pas flou). Dans le “flux”, choisissez 100% (ou un peu moins, le flux correspond à la pression de votre pinceau). Dans le “lissage”, opter pour 80 à 100%. C’est le lissage qui va lisser (lol) votre courbe et la rende plus fluide. Si le lissage est à 0%, vous aurez des cassures dans votre courbe (voir à 3min le rendu)
(3.25) Dessiner la ligne voulue. Je vous montre plusieurs idées d'usages.
(4.40) Pour la couleur de votre ligne, vous pouvez soit la choisir dès le début soit ensuite lui appliquer un style à votre calque “incrustation de couleur” (l'icône fx dans le panneau “calques”)
Rendus exemple : la ligne fluide autour du texte ; la ligne qui contourne ; la vague ; les lignes qui entourent la photo centrale de Rachel. Mais vous pouvez aussi créer une silhouette de personnage, faire des effets “doodle” en changeant l’épaisseur du trait, entourer des mots...
(4.50) Technique 2 : le filtre “onde”
Effet plus hasardeux mais qui peut créer des rendus très cools et intéressants comme je vous montre sur l’avatar de Sydney Sweeney
(5.10) Créer une ligne avec l’outil “trait” + ou - grande - (à vous de faire vos tests) en 1 ou 2 px. Le rendu ne sera jamais pareil en fonction de la longueur, angle, l'épaisseur....
(5.24) Aller dans Filtre > Distorsion > Onde. Une fenêtre s’ouvre, choisir “convertir en objet dynamique”. Cela vous permet de revenir sur votre effet onde tant que vous le voulez alors que si vous choisissez "pixeliser", vous serez bloqué·e.
(5.32) Une fenêtre “effet onde” s’ouvre. On ne voit pas la ligne sur la prévisualisation de droite car on est sur un calque vierge (même si on peut changer ça en ajoutant avant un calque fond noir en dessus du calque ligne, puis en créant un objet dynamique en sélectionnant les 2 calques fond + ligne. Mais parfois, le hasard, c’est cool aha et j'avais du ma à expliquer à l'oral).
(5.50) S’amuser avec les différents réglages, en changeant les chiffres et appuyer sur “ok” pour voir le rendu ! Comme vous avez créé un calque dynamique, vous pouvez revenir sur votre effet en cliquant sur “Onde” où y'a un petit oeil à côté, apparu dans votre calque ;)
(6.05 à 7.00) Vous pouvez mettre les mêmes chiffres que la vidéo pour débuter (générateur : 1 ; Longueur d'onde Min 47, max 60 ; Amplitude Min 51, Max 52 : Echelle 100% les deux) et ensuite, jouer sur chacun des réglages pour voir les rendus. C’est assez hasardeux mais j’aime beaucoup ce que ça créé : des épaisseurs différentes, + ou - de courbes... Parfois ça rend rien aussi !
Rendus exemple : les lignes sur les côtés du texte ; la ligne en diagonale de cette texture
(7.11) Technique 3 : la plume
Outil que j’utilise le moins sur Photoshop mais qui a le mérite de donner plus de contrôle au tracé, si on n’est pas à l’aise avec le pinceau et le dessiné à la main de la technique 1 !
(7.30) Définir le style de votre pinceau (nous on l’a déjà fait en amont mais il faut choisir son épaisseur, son style, sa dureté...)
(7.30) Créer un calque vide pour pouvoir créer votre tracé à la plume dessus.
(7.40) Choisir l’outil plume présent dans votre barre d’outils à gauche.
(7.45) La plume va créer différents points : en appuyant une fois, vous créer un point. Puis en mettant un autre point et en tenant appuyé votre curseur, vos pouvez créer des courbes grâces aux poignets. Créer le tracé que vous souhaitez.
(8.30) Quand votre tracé est fait, clic droit dessus > Contour du tracé. Une fenêtre s’ouvre, choisir “outil = pinceau” > Ok.
(8.50) Effacer le tracé plume en appuyant sur supp du clavier ou autre. Tadam votre tracé est bien là !
Rendus exemple : la ligne diagonal
Super outil sur la plume par Geoffrey creative lab sur youtube (sous-titré fr)
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La Mort d'Ace
Je l’ai vu, là, Son corps percé, son sang étalé sur mes mains. Je n’ai rien fait. Je n’ai pas pu bouger. Impuissant, comme un gamin face à l’horreur. Ace est mort.
Ses yeux se sont fermés, Et dans ce silence, Un vide immense m’a dévoré. Le monde n’a plus de sens. Rien ne compte. Pas sans lui.
J’ai crié, J’ai hurlé jusqu’à m’en déchirer la gorge, Mais ça ne change rien. Le corps de mon frère est froid, Et moi, je ne suis qu’un déchet, Vivant alors que lui, non.
Pourquoi c’est lui? Pourquoi je suis là, à respirer, Tandis que son souffle s’est arrêté? Je donnerais tout, Ma vie, mon rêve, Pour que ce jour n’ait jamais existé.
Mais il est parti. Et moi, je suis seul, Avec cette douleur qui ne partira jamais.
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Encore des histoires de mont-blancs
Après ma diatribe contre le mont-blanc de l'Aki, @redfoxline m'a recommandé celui de la pâtisserie Kenta et Akira, si un jour j'avais l'occasion de passer par Rouen. Or ! Il se trouve que par un hasard assez extraordinaire, je venais justement à Rouen ce samedi.
J'avais un timing serré : mon train arrivait à 11h07 et j'étais attendue chez ma sœur pour l'anniversaire de ma nièce à midi. Le train a bien sûr eu dix minutes de retard - pour la ligne Paris-Le Havre, c'est le tarif de base.
J'arrive à la pâtisserie au pas de course pour découvrir qu'elle n'ouvre pas à 11h comme indiqué en ligne, mais à 12h désormais... Je repars la tête basse et la glacière vide (oui, j'avais pris une mini-glacière, je suis une professionnelle).
La chance était malgré tout de mon côté, car alors que je n'y croyais pas, je suis libérée suffisamment tôt pour repartir à nouveau au pas de course à la pâtisserie... Où il restait du mont-blanc ! Le monsieur est allé me le monter exprès en cuisine, la classe.
La dame à qui j'ai parlé était un peu déroutée quand je lui ai dit que je repartais à Paris avec, mais ma glacière l'a rassurée !
Au moment de déguster après un sobacha pour me préparer le palais, j'avais bien décidé de prendre en compte le fait qu'il avait voyagé dans le train ET le métro parisien.
Je n'ai pas eu besoin.
Parce que ça, ça, ce sont des gens qui ont compris que l'intérêt du mont-blanc, c'est la châtaigne !!!!! Que c'est bien joli de vanter que ta crème de marron, elle est faite maison et avec des châtaignes d'Ardèche AOP récoltées à la main une nuit de lune bleue par des prêtresses en robe diaphane, ça ne sert à RIEN si c'est pour y en mettre une très fine couche de vermicelles sur un cumulus de chantilly !
Non, là, il y a une couche de crème de marron raisonnable, et dedans il y a des a des vraies châtaignes. La crème fouettée est légère et pas trop sucrée, la meringue a juste la bonne épaisseur pour apporter du craquant.
J'en conclu que si le mont-blanc de l'Aki était si mauvais, c'était pour que je découvre celui-ci. Merci @redfoxline <3 <3 <3
#je ne vais pas devenir un blog de critique de mont-blancs je vous rassure#encore que#mont-blanc#french side of tumblr#blabla
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Ta chevelure d’oranges dans le vide du monde Dans le vide des vitres lourdes de silence Et d’ombres où mes mains nues cherchent tous tes reflets.
La forme de ton cœur est chimérique Et ton amour ressemble à mon désir perdu. O soupirs d’ambre, rêves, regards.
Mais tu n’as pas toujours été avec moi. Ma mémoire Est encore obscurcie de t’avoir vu venir Et partir. Le temps se sert de mots comme l’amour.
Paul Eluard
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English version here ^^
envie d'écrire un peu aujourd'hui, donc...un peu d'écriture.
Lost soul au.(french)
« Laissez-moi une minute…»
Macaque posa doucement ses yeux sur la fourrure rousse ternie de Wukong. Elle avait perdu de son éclat après qu’il a terminé son voyage et soit rentré à la montagne de fleur et de fruit. Macaque avait pensé que ce changement de couleur passerait au lavage ; mais cela n’a jamais été le cas. La fourrure gardait cette teinte de soleil sur le point de s’éteindre. Macaque éloigna son regard de la fourrure pour porter son attention sur l’ensemble du singe de pierre, assis dans l’herbe. Il laissait les petits singes le toiletter sans faire le moindre geste. Parfois, un petit demandait pour de l’attention, et Wukong le prenait dans ses bras avec un petit sourire. Les petits singes à la fourrure sombre avait appris à rester loin du roi, car les voir faisait pleurer le roi à chaque fois. Et avec la tristesse du roi, venait la mélancolie du peuple de la montagne de fleur et de fruit.
– Toujours en train de te lamenter ?
Demande Macaque, en sachant parfaitement que Wukong ne l’entendrait pas. Il ne l’a jamais entendu. Plus depuis qu’il était mort. Macaque reste perdu dans ses pensées au souvenir de sa propre mort. Il ne lui restait plus rien que des bribes de ce qui constituait son ultime dispute avec le roi singe. Il était courant pour Macaque et Wukong de se battre. C’était une habitude qui avait souvent été teinté de colère et de rancœur depuis que Wukong était parti en voyage avec ses amis pèlerins. Macaque ne supportait tout simplement pas cette distance. Et aucun d’eux n’était réellement bon avec les mots ; où avec le fait de parler de leurs sentiments. Alors l’éloignement a tout simplement rempli de colère le cœur de chacun. Tout ce dont Macaque se souvient était grâce au souvenir des sons du futur qu’il avait entendu lorsqu’il avait rencontré Wukong. Ses oreilles l’avaient prévenu qu’il mourrait de la main de Wukong. Et il l’a ignoré.
Macaque se souvient encore de ses propres cris comme si son assassinat s’était passé la veille. Il se souvient de combien il était devenu difficile de crier, mais qu’il avait forcé sur sa gorge meurtrie, car il était terrifié, et qu’il pensait que si Wukong entendait à quel point il avait peur, peut-être que cela mettrait fin à leur énième combat. Wukong et Macaque s’arrêtaient toujours quand ils se rendaient compte ; non ; quand ils savaient, que leur ami n’était plus capable de tenir leurs petites guéguerres. Sauf qu’il ne s’agissait pas d’une petite dispute normale. Macaque le savait parfaitement. Mais il a espéré. Et c’est cela qui l’a tué. Tout comme c’était cela qui l’avait fait rester aux côtés du jeune roi imprudent.
Macaque ne mentirait pas en disant qu’il était désolé pour ce qu’il avait fait. Si on lui avait donné une seconde chance ; il aurait fait exactement la même chose. Il n’était pas désolé pour ce qu’il avait fait. Il aurait agi différemment à la fin, peut-être, il aurait essayé de mettre fin à cette dispute plus tôt, peut-être. Mais il n’aurait rien changé aux choix qu’il avait fait. Les six oreilles de Macaque se déployèrent une seconde fois aujourd’hui, et il écouta sa propre voix dire ses adieux à Wukong. Le roi ne l’entendrait certainement pas. Il était impossible que ce soit le cas dans cette situation. Cela voulait sans doute dire que les envoyés des dieux des enfers viendraient bientôt récupérer Macaque.
-Il semblerait que l’on va bientôt se quitter Wukong.
Le singe de pierre resta imperturbable à cette nouvelle. Macaque avait pris l’habitude de parler dans le vide. Alors il ne s’en soucia pas.
-Je ne sais pas quand est-ce qu’ils viendront me prendre. Mais je suppose que ce sera dans peu de temps. De ce que j’entends, cela n’a pas l’air si loin dans le futur.
Toujours aucune réponse.
– Hey… Je sais que cela fait un moment que je ne t’ai plus demandé de trouver un moyen de me ramener à la vie. Mais je pense que si tu dois avoir une illumination vis-à-vis du fait de ramener les morts, c’est maintenant.
Le roi singe regarda au loin, les yeux perdus dans le vide. Il joua un peu avec la fourrure d’un des petits singes avant de sursauter légèrement lorsque le petit lui fila entre les doigts, pour rejoindre ses parents. Wukong regarda la scène du couple qui tenait fermement leur petit. Le roi détourna le regard. Macaque pouvait entendre leur cœur se mettre à battre plus vite. Il jeta un œil à ce qu’avait pu voir Wukong, et sentit son propre cœur se briser. Il aurait aimé pouvoir faire un câlin à Wukong lui aussi. Depuis quand n’ont-ils plus eu de câlin ? De vrais câlins. Il se souvient qu’il avait souvent repoussé le singe par mesquineries, lorsque ce dernier revenait occasionnellement à la montagne. Oh ; comme il regrettait cela. S’il avait su que son dernier câlin lui serait donné juste avant sa mort ; il aurait mis sa colère de côté, et aurait laissé Wukong le câliner autant que le roi le souhaitait.
– Tu es un véritable idiot Wukong…
Le singe de pierre sembla réagir à son nom, et regarda un peu autour de lui. Macaque ignora le geste. Il ne se faisait plus de faux espoirs. Il y avait des moments comme ça où il pensait que Wukong l’entendait. Mais il avait compris depuis longtemps qu’il ne s’agissait que de brefs instants étranges où Wukong semblait avoir un sixième sens concernant Macaque.
– Si tu arrêtais de te plaindre un instant, et réfléchissait, tu pourrais peut-être me ramener !
Toujours pas de réponses de Wukong. Le singe de pierre cessa de regarder autour de lui. Il semblerait qu’il n’a pas trouvé ce qui l’avait premièrement sorti de son était végétatif.
– Tu as toujours été si obsédé par le fait de mourir. Tu as cherché par tous les moyens à vaincre la mort. Tu peux bien… je ne sais pas, venir me chercher n’est-ce pas ?
L’absence de réponse pousse Macaque à baisser les bras. Cette fois encore, Wukong n’allait pas sortir de son état étrange. Serait ce le regret ? Où le deuil ? Macaque n’était pas sûr. À vrai dire, il se serait juré que Wukong l’oublierait au bout d’une semaine grand maximum avant de passer à une autre aventure palpitante, où, peut importe ce qui l’attirait de l’autre côté de la montagne de fleurs et de fruits qu’ils considéraient tous les deux comme leur maison.
– Peu importe…
Macaque décida de prendre place aux côtés de Wukong. Il fit mine de poser son épaule contre celle de Wukong. Il savait parfaitement que s’il se laissait vraiment s’accouder contre Wukong, il passerait à travers lui. Alors, il resta stable, et posa sa main contre celle de Wukong. Comme prévu, sa main passa au travers de cette de Wukong. Macaque ne s’en préoccupa pas. Il fit de son mieux pour imaginer qu’il était physique. Il essaya de se rappeler la chaleur de la peau de Wukong contre la sienne.
Babum…
Il essaya de se souvenir combien il était bon de se laisser se reposer sur l’épaule de son ami sans penser à rien.
Babum…
Il enfonça sa tête contre son écharpe. Unique souvenir qu’il lui restait de Wukong dans sa mort. La seule chose qui gardait encore cette impression qu’une part de Wukong était avec lui. Macaque laissa ses oreilles siffler en entendant son propre cœur battre à mille à l’heure. Cela faisait tellement mal. Il avait envie de pleurer. Il n’avait pas envie de faire semblant d’être contre Wukong. Il le voulait. Il le voulait si avidement. Il voulait ressentir sa chaleur, poser son oreille contre sa poitrine, et entendre le cœur de son ami se mettre à battre follement au contact peu familier qu’initierait Macaque. Il avait envie que Wukong le serre contre lui de toutes ses forces ; et il avait envie de dormir à ses côtés en sachant que Wukong allait encore l’écraser dans son sommeil, parce que Wukong finissait toujours par trop bouger dans son sommeil.
– Putain, Wukong…
-Désolé Macaque…
Et cette fois encore, Macaque l’ignora. Car il savait que ces excuses n’étaient pas vraiment pour lui. Après tout. Wukong ne savait pas qu’il était là. Le singe de pierre se parlait juste à lui-même pour essayer de calmer sa conscience pour l’erreur qu’il avait faite.
¤¤¤
« Tu es un véritable idiot Wukong. »
Le singe de pierre sursaute et sort de ses pensées pour regarder autour de lui. Il avait entendu la voix de Macaque. Il cherche un moment autour de lui avant de se rendre compte qu’il s’agissait seulement d’une voix dans sa tête. C’était arrivé souvent ces derniers temps. Quand il était perdu si fort dans ses pensées qu’il avait l’impression de ne plus exister ; il y avait la voix de Macaque qui le sortait du néant pour le gronder ou lui dire quoi faire. C’était une torture douloureuse que Wukong n’avait pas encore complètement assimilé. Petit à petit Wukong se calme, et retourne à ses pensées. Il rejoua en boucle la scène de la mort de Macaque dans sa tête. Il ne voulait pas l’oublier. Il ne voulait rien oublier de Macaque. C’était encore horriblement trop frais dans son esprit. Son cœur qui s’emballait sous la colère, la douleur de la couronne contre son crâne, qui semblait attiser les flammes de sa rage, puis, sa perte de contrôle. Macaque et lui se sont battus, comme très souvent récemment. Et Wukong ne s’expliquerait pas pourquoi il avait réagi aussi violemment. C’était stupide. Complètement insensé. Peut-être était-ce à cause des mots cinglants de Macaque ; où en avait-il eu tout simplement marre de leurs disputes constantes, et cela l’avait fait péter un câble. Mais tel était que cela l’avait mené à sortir de son état, complètement essoufflé, la colère disparaissant petit à petit ; et le corps de Macaque devant lui. Wukong se rappelle trop douloureusement ne pas avoir immédiatement paniqué. Il a regardé l’œil de Macaque se vider de vie pendant de longues secondes avant de comprendre ce qu’il se passait et prier pour que Macaque ne parte pas. Wukong jura. Il avait perdu de si précieuses secondes. Si seulement il avait agi plus vite. Il aurait pu emmener Macaque à son maître plus tôt, et ce dernier aurait certainement pu le sauver. S’il avait…s’il…
Il fit soudainement plus froid sur sa gauche. C’était certainement une impression. Cela faisait longtemps qu’il était au soleil, immobile. Peut-être que cela jouait ? Il ne savait pas. Il savait juste que soudainement, il se sentit mieux. Il ressentit quelque chose de familier. Il repensa à Macaque. S’il était là. Il serait certainement en train de lui raconter une histoire ; où quelque chose qu’il ne comprenait pas complètement. Peut-être qu’il lui lancerait des piques ? Wukong resta pensif. Il imagina quelque chose de plus simple. Quelque chose qu’il aimerait. Il aimerait que Macaque soit encore à ses côtés. Lui et le singe de l’ombre assis sur l’herbe, au soleil. Ce serait bien. Vraiment bien.
Le cœur de Wukong était douloureux à cette pensée. Mais qu’importe. C’était mieux que lorsqu’il était vide. Il préférait savoir qu’il ressentait encore quelque chose à la pensée de Macaque plutôt que de rester douloureusement vide comme il le faisait si souvent ces derniers temps. Si seulement il n’avait pas été aussi stupide… Si seulement il avait été moins impulsif. Il…
-Désolé Macaque.
Murmura Wukong en espérant que Macaque lui pardonne. Mais c’était impossible. Macaque lui en voulait certainement. Wukong ne lui en voudrait même pas. Pourquoi pardonnerait-il l’ami qui l’avait tué ? Pouvait-il même encore être considéré comme un ami ? Les amis ne se tuent pas n’est-ce pas ? Il était certainement le pire ami du monde. Nous vivrons heureux pour toujours mon cul ! Wukong n’avait pas été capable de tenir la seule promesse qu’il voulait vraiment réaliser avec lui. Le singe de pierre serra le poing sur l’herbe sous ses doigts. S’il avait rendu Macaque immortel et l’avait fait officiellement roi de la montagne à ses côtés, Macaque n’aurait peut-être pas été si en colère. Le singe de l’ombre était quelqu’un qui s’inquiétait vraiment pour la montagne. Nul doute que si Wukong l’avait fait roi, il se serrait préoccupé de leur peuple comme personne. Peut-être alors qu’il aurait été trop occupé pour penser à ce pathétique ami qu’était Wukong, et qu’ils auraient échappé à ce scénario lamentable. Il y a tant de suppositions ; et si peu de réponses. Wukong ferma les yeux dans un soupir. Macaque lui manquait tellement.
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En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
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Bavardons, la nuit va être difficile sans vous. Vous êtes mon absente, l'espace entre le quai et le navire qui s'éloigne, une morsure, une alerte. L'absence est ce bord de table où tu avais posé ta main. Reviens dans la lumière et le vide n'aura plus de sens.
- Bernard Giraudeau, Cher amour
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"Un temps neigeux"
Wolverine x FTMreader
note : Logan a une place bien particulière dans mon coeur, alors comme avec toutes ces choses-là, j'aime écrire dessus ;)
résumé : lors d'une soirée d'hiver, deux hommes se rencontrent et étonnament, s'entendent plutôt bien.
! warnings : language vulgaire/cru, violence, alcool, cigare
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2 404 mots
Description à la troisième personne
Ses yeux admiraient les reflets que projetait la lune sur le lac, il aimait profondément la nuit, plus que le jour, c'était sûr et certain. Quelque chose était réconfortant dans cette pâle lumière, tout comme mystérieux, et il aimait ça.
Deux hommes passèrent devant, assez jeunes, charmants. Il les avait déjà vu il y a environ trois minutes, rentrant dans le bar derrière lui, mais apparemment ils n’y avaient pas trouvé leur bonheur.
Le jeune homme se leva, passant rapidement ses mains contre ses cuisses pour retirer le peu de terre qui pourrait s’y trouver. Il admira encore une fois le beau spectacle qui s’offrait à lui, avant de se retourner. Sans problème, il rentra dans le bar, pas des plus remplis pour un vendredi soir. Quelques personnes s'étaient mises dans un coin, d’autres jouaient au billard et trois étaient au comptoir. Il se rapprocha de ce dernier, faisant un signe de tête au barman en guise de bonsoir. Il prit la première place qu’il vit, à un siège d'un homme sûrement bourré au vu de sa position courbée.
« Qu'est ce que je vous serre ? »
Ses yeux noisettes sourirent au barman, il commanda un mojito, pour se rappeler de la fraîcheur du dehors. L’homme à sa droite bougea, il le regarda sans vraiment prêter attention, mais remarqua tout de même qu’il n'était peut-être pas si bourré qu’il l’aurait imaginé. Son verre, de ce qu’il supposait être du whisky, était déjà vide mais son visage ne semblait pas endormi, bien au contraire.
« Et voilà pour vous »
Le verre glacé arriva dans ses mains, il remercia le barman et prit une gorgée. Le goût sucré et mentholé lui fit presque oublier l’alcool présent dans la boisson.
Une fumée grise obscurcit sa vision pendant quelques secondes, il fronça les sourcils et trouva le coupable à sa droite. L’homme fumait un gros cigare. Le jeune brun ne put s'empêcher de souffler, amusé, ce genre de “cigarettes” n'était plus très courant. Il reprit une gorgée de sa boisson, ne voyant pas l’homme le regarder du coin de l’œil.
Logan fronça les sourcils, c'était rare qu’il ne le fasse pas en fait, mais cette fois-ci était pour une raison valable. Le garçon à sa gauche n’arrêtait pas de le regarder, croyant être discret, voire même invisible. Et il n’aimait pas être fixé, surtout par un inconnu. Il tira de nouveau sur son cigare, expirant toute la fumée à sa gauche, juste pour voir le nez du garçon se froncer comme un petit chat mécontent. D’un vague geste il indiqua au barman de lui resservir un verre, chose qu’il fit dans la minute.
Des voix s’élevèrent dans la pièce, le jeune brun tourna sa tête vers la table de billard à sa gauche et y vit deux hommes se chamailler. Il roula des yeux, se retenant de penser une phrase bateau du genre “ah les hommes, tous les mêmes”.
Logan prit une grande gorgée, fermant les yeux une micro seconde pour apprécier la brûlure de l'alcool. Les deux hommes continuèrent de monter le ton, se bousculant mollement, ils étaient complètement bourrés.
Le barman jeta quelques coups d’œil vers eux, se demandant si la situation pouvait dégénérer ou non, espérant que la deuxième réponse soit la bonne car apprivoiser ces deux costauds ne serait pas agréable pour lui.
Un verre se brisa, le barman grinça des dents. Le jeune brun reprit plusieurs gorgées de son mojito, ne lâchant pas des yeux la situation. À côté, Logan ne regardait même plus, préférant alterner entre son cigare et son verre. Un deuxième bruit de verre retentit, plusieurs têtes se retournèrent vers les concernés. Un des deux hommes poussa l’autre plus fort et le fit tomber lourdement contre une table. Un groupe de jeunes femmes se regarda et, dans un accord commun, préféra partir avant que la situation ne s’aggrave. Un autre homme se leva, sentant un courage grandir dans ses veines, il alla vers les deux perturbateurs pour les séparer. Malheureusement pour lui, ils faisaient deux fois son poids, et l’alcool n’arrangeait pas les choses.
Le jeune au mojito but encore quelques gorgées, profitant du spectacle ridicule du client voulant répandre sa testostérone un peu partout en séparant les deux gros gaillards. Il lâcha du regard la scène lorsqu’un des deux hommes prit une bouteille de bière dans la main. Le petit brun se baissa, passant son verre derrière le comptoir pour deux secondes, juste le temps que la bouteille vole au-dessus de sa tête et se fracasse contre le mur à sa droite.
Le barman monta à son tour la voix, et bientôt tout le monde semblait crier, exceptés les deux hommes accoudés au comptoir.
Logan passa un main contre son épaule, retirant les morceaux de verre qui s'étaient posés sur sa veste en cuir. Il finit son whisky et déposa le verre vide contre le bois sombre du comptoir. Malheureusement, le barman était parti essayer de faire sortir les deux perturbateurs, alors pas moyen de se faire resservir. Par conséquent, il le fit tout seul. Logan passa son buste au-dessus du comptoir et attrapa la bouteille ambrée juste en dessous.
« J’espère au moins que vous allez le payer ce verre »
Une voix douce, dans le sens basse et calme, le fit lever un sourcil. Un vague rire traversa ses lèvres, plus ironique d’autre chose.
« Sinon quoi, tu vas me dénoncer ? »
Le jeune haussa les épaules, finissant à son tour son verre pour essayer d'ignorer le timbre de voix plaisant de l’homme à sa droite.
« Non »
Logan souffla d’agacement, comme il le faisait toujours si bien. Il prit une plus grande gorgée que la normale, faisant une légère grimace en avalant. Autour d’eux, les cris ne s'arrêtaient toujours pas, et ça aussi ça commençait à l'agacer. Une autre bouteille atterrit près de lui, manquant de peu de le toucher. Sa main se resserra sur son verre alors qu'il tira sur son cigare. À côté, le jeune se retenait de sourire, appréciant malgré lui ce petit spectacle que lui offrait cet homme avec son air aigris et sa voix rocailleuse. Sans le vouloir, il observa la main de cet homme, et fut surpris de voir des veines aussi apparentes, ça lui plaisait aussi.
De lourds pas le fit stopper son observation, il regarda à sa gauche et tomba nez à nez avec un des deux hommes. Vu de près il aurait pû faire flipper, avec sa bouille ronde transpirante et ses dents jaunes. Le brun haussa un sourcil, demandant subliminalement ce qu’il voulait. L'homme ne fit que rire, bêtement. Le barman arriva derrière lui et essaya de lui parler, sûrement de lui demander de partir. Mais il attrapa le verre vide du brun et l'analysa du regard comme un imbécile. Dans un soupir, le jeune homme se décala simplement d’un siège, ignorant l’homme et sa nouvelle passion pour ce verre.
Logan eut un réflexe de recul, très léger, très subtil, mais le brun le vit, parce qu’il avait pris l’habitude de tout voir. Alors, tout aussi légèrement, subtilement, il décala son siège haut de quelques centimètres, faisant passer ça dans un mouvement banal. Logan fronça les sourcils, encore, et serra la mâchoire en reprenant son verre déjà vide. Un sourire passa sur les lèvres du brun à sa gauche, il aimait bien cet homme, en fait, il le trouvait très sexy.
Le barman parvint à faire sortir un des deux hommes, avec l’aide d'un client. Le deuxième voyant ça, devint un peu plus virulent et lança une bouteille, encore, sur un mur. Cette fois-ci, Logan se prit un éclat de verre, sur la tempe. Son poing se referma sec et il se leva. Un sourire, peut-être un peu trop grand, apparut sur les lèvres du brun à côté.
« Si tu comptes te battre, saches que ce mec à un couteau dans son froc »
Lui dit la même voix calme. Logan regarda le brun, juste un instant, peut-être pour voir si quelque chose dans ses yeux noisettes alertait son instinct, mais rien, bien au contraire, il eut envie de le croire.
« Je pense avoir la gamme au dessus »
Le brun ne comprit pas le sous-entendu, regardant simplement l’homme sexy se rapprocher de l’autre, beaucoup moins sexy. Et rapidement, un coup de poing partit, suivi d’un deuxième et, wow. L’homme soûl tomba raide au sol. Le brun se pencha pour essayer de voir si le mec sexy avait sorti une arme ou quelque chose dans le genre, mais rien, seulement son poing serré.
Logan souleva l'homme, le prenant par dessous les bras pour le jeter dehors.
Lorsque les portes se rouvrirent sur lui, le barman bégaya des remerciements, mi-rassuré mi-inquiet. Logan se laissa tomber sur son siège, tirant encore une fois sur son cigare avant de l'éteindre.
« T’es champion UFC ou un truc dans le genre ? »
Logan sortit un billet de sa poche, le déposant contre le comptoir, juste sous son verre.
« Rien d’aussi prestigieux »
Sur ces mots, il se leva et sortit. Le brun resta quelques instants muet, avant de se lever à son tour, glissant un billet sous son verre. Il salua le barman d’un geste de main, envoya un petit sourire qu’il contrôlait si bien à un homme le fixant, et il sortit.
La lune était toujours aussi brillante, l’air toujours aussi froid. Il passa ses mains dans ses poches puis sourit en soufflant de la fumée blanchâtre dans l’air. Il aimait l'hiver, plus que n’importe quelle saison. En hiver tout le monde changeait, on découvrait le vrai visage des gens. Parce qu’en hiver on est soit obligé de se cacher sous des couches de vêtements soit on court dans la neige, et peu de personnes aiment courir dans la neige, il l'a remarqué. Les gens qui en été sont tout sourire, deviennent irritables en hiver, permettant aux personnes introverties d'avoir plus de place. Et puis, il y a aussi quelque chose de magique avec cette saison. La terre devient blanche, les lacs gèlent, les animaux s’endorment. C’est comme si la Terre devenait mutante pour quelques mois, ses paysages changent et deviennent précieux, rares, beaux. Tout le monde peut en profiter, ça aussi c’est beau. Lui il adore en profiter, pour être honnête, il aurait voulu naître mutant, parce qu’il se sent mis à l'écart pourtant sans en être un. Sa manière de penser effraie les gens, ils ne le comprennent pas vraiment, ils pensent d’ailleurs souvent qu’il est mutant. Mais en hiver, il fait de la vapeur en expirant, et il se sent comme à la maison en le faisant, parce qu’en été la Terre n’est plus mutante et d’une certaine manière, lui non plus.
Son regard traversa le paysage, admirant encore une fois l’eau et ses reflets. Une silhouette apparut dans son champ de vision, grande, musclée et, oh, sexy. Il ne put retenir son sourire, à vrai dire il espérait voir cet homme et pouvoir lui parler. Alors il trottina jusqu’à lui.
« Hey ! »
La silhouette se retourna de trois-quarts. Logan leva un sourcil puis continua son chemin.
« Eh non attends ! »
Le brun était assez petit, ses jambes l'étaient donc aussi et il dut presque atteindre le stade de course pour rattraper l’homme, mais il réussit. Dans un pas rapide, il marcha aux côtés de monsieur sexy.
« C’était vraiment impressionnant tout à l’heure, je veux dire..ouais c'était vachement cool »
Logan s'arrêta net, un soupir quitta son corps et il regarda le petit homme à côté de lui.
« Qu’est-ce que tu veux »
Prit au dépourvu, il ne sortit aucun mot, seulement de la vapeur.
« Comment tu as su pour le couteau, tu vois à travers les vêtements c’est ça ? »
Si seulement, répondit le brun dans sa tête, et seulement dans sa tête.
« Non non du tout, je l’ai juste remarqué, face au regard insistant de l’homme, il poursuivit, il gardait toujours sa main près de sa bite et les mecs comme lui s'ils veulent se toucher ils n’hésitent pas donc il avait forcément un trucs caché par-là »
« Ça aurait pû être un flingue »
« Mh en fait non, un sourire passa sur ses lèvres, parce que vu sa corpulence importante un pistolet aurait pas tenu à ce niveau, son ventre l’aurait fait tomber au bout d’un moment, surtout avec les grands mouvements qu'il faisait »
Un petit silence s’installa entre les deux hommes, le plus petit ne put s'empêcher de sourire, assez fier de lui. En fait, il n’avait jamais vraiment l’occasion de parler à quelqu'un de cette manière, les gens ne l’écoutaient pas où le trouvaient pervers la plupart du temps. Logan fronça les sourcils.
« C’est quoi ta mutation »
« L’intelligence, tu connais ? »
Malgré lui, un sourire se dessina au coin de la lèvre de Logan, ce mec n'était peut-être pas si stupide qu’il le pensait.
« Non sérieusement, je suis pas un mutant, seulement un gars qui aime observer les réactions des gens »
« Un pervers quoi »
Le brun roula des yeux, ce n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. Il préférait arrêter, cet homme était très certainement comme les autres.
« Attends, Logan se retourna vers le garçon en train de s’en aller, j’ai rencontré beaucoup de pervers dans ma vie et t’en ai sûrement pas un, ou alors un très évolué »
Les compliments étaient devenus rares pour lui, il prenait tout ce qui s’en rapprochait, alors il regarda l’homme derrière lui.
« Merci je suppose, ses yeux passèrent sur le cou musclé de l’homme, et toi ? T’es aussi une forme évoluée d’un truc stupide, genre l’humain, ou t’es un mutant ? »
Pour la première fois depuis le début de la soirée, un rire, bien que léger, ronronna dans la gorge de Logan.
« Je sais pas, à toi de le deviner »
« Autour d’un verre ça t’irait ? »
Le jeune brun se mordit l’intérieur de la joue en attendant une réponse. Logan eut un air amusé au visage, il hocha la tête.
« Dans un bar moins pourri si possible »
Une femme passa à côté d’eux, le brun prit une grande inspiration et proposa quelque chose d’autre.
« Ou dans la neige ? »
Logan encra ses yeux dans ceux noisettes, il sourit faiblement et commença à marcher.
« J’ai des bières dans ma voiture, viens »
Partie deux disponible !
° x-men masterlist
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On devrait vider nos cœurs comme on vide une vieille malle. Se débarrasser des tristesses qui débordent, des regrets trop poussiéreux qui embrument nos lendemains. On devrait décorer nos cœurs de couleurs vives et chaudes, oublier le gris des années de pluie et accrocher un soleil au-dessus de nos portes. Chaque matin, poser notre main sur notre poitrine et sentir notre cœur battre, signe de vie et d’espoir. Bruno Combes
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« Croyez-le ou non, il existe des hommes qui sont des phares de lumière dans les ténèbres, des guides sur le chemin de la vie. Ce sont ceux qui, d’un regard, peuvent calmer les tempêtes et, d’un sourire, faire fondre la glace des hivers les plus rigoureux.
Des hommes merveilleux, qui aiment les étoiles filantes, font irruption au firmament de notre existence, laissant derrière eux une traînée lumineuse d’amour et d’espoir. Ce sont des guérisseurs, ceux dont la présence est un baume pour l'âme, dont l'étreinte est un refuge et dont les paroles sont des germes de sagesse.
Bienheureux sont les hommes qui, avec sincérité et courage, abordent la vie de femme. Non pas en conquérants, mais en compagnons de voyage, prêts à partager la carte et à décrypter ensemble les secrets du cœur.
Eux, qui offrent une sécurité sans enchaînement, qui célèbrent la beauté sous toutes ses formes et qui comprennent que la vraie complicité naît de la liberté et de la confiance mutuelle. Des hommes qui savent aimer, non seulement avec leur corps, mais aussi avec leur âme, respectant et désirant leur partenaire dans la plus pure expression du mot.
Bienheureux sont les hommes qui donnent de l’amour sans mesure, qui bâtissent la confiance jour après jour et qui ont la force de guérir de vieilles blessures, non pas avec des promesses vides de sens, mais avec des actions qui sont plus éloquentes que les mots.
Ce sont ceux qui, dans un monde qui oublie parfois les bonnes manières, restent des gentlemen, qui savent que le romantisme est un art qui ne se démode jamais et que le véritable amour est une toile sur laquelle se peint chaque jour une nouvelle aube.
Bienheureux sont les hommes qui sèchent leurs larmes sans juger, qui donnent la priorité à leur relation et la protègent comme le plus précieux des trésors. Des hommes mûrs qui comprennent qu’être un véritable partenaire, c’est être un ami, un amant et un confident.
Bienheureux soient les hommes qui peuvent être forts et tendres, passionnés et doux, fous et sensés, car dans cette dualité réside l’essence de l’humanité.
Et bénie soit la femme qui reconnaît et valorise cet homme, qui lui rend la pareille avec la même intensité et le même amour. Parce que lorsque deux âmes comme celle-ci se rencontrent, elles savent qu'elles ont trouvé quelque chose de plus que l'amour : elles ont trouvé un foyer, un destin commun, un coin de paradis sur terre.
Bienheureux soient tous deux, l'homme et la femme, qui apprennent ensemble que l'amour est le plus puissant des voyages, et que dans ce voyage, le plus important n'est pas le but, mais chaque pas qu'ils font ensemble, main dans la main, cœur à cœur. Âme avec âme. »
🌟 Auteur : Nelson Enrique ZAMORA
🌟 Source : Jason Lapointe eveilleur
🌟 Partage : Eveil de Femme
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Et puis, un jour, elle fit ce qu’elle aurait dû faire, depuis toujours, depuis le premier jour.
Elle commença à choisir ce qui était bon pour elle, au lieu de se précipiter sur tout ce qui n’était absolument pas pour elle.
Elle écouta sa logique et sa cohérente raison au lieu de discuter des heures avec sa seule intuition. Ou son aveugle passion.
Elle fit l’effort de se reculer pour mieux voir et observer la personne désirée.
Elle mesura les sentiments de l’autre au lieu d’être obsédée par les siens et de les chérir, en son sein.
Elle osa donner moins, voire plus rien. Elle osa même retirer sa main.
Elle se tut devant les silences, elle disparut face aux absences.
Elle ne fit plus l’immense effort de parler pour que ses mots réparent la réalité malmenée.
Elle accepta les vides et les pots cassés.
Elle cessa de se battre pour l’amour, sans insister pour comprendre les silences ou les étranges mots du jour.
Elle cessa de courir après ceux et celles qui ne se manifestaient pas, ne répondaient pas, n’appelaient pas, ne donnaient pas, ne croyaient pas, ne venaient pas, ne voyaient pas, ne voulaient pas, ne faisaient pas confiance, de ceux qui n’étaient pas présents au présent.
Elle cessa de se détruire pour prendre la lune avec ses dents ou décocher le soleil pour ceux qui ne traversaient ni la rue ni la porte. Et que le vent les emporte !
Elle ne s’intéressa plus au vide des cœurs, ni aux désirs sans consistance des gens qui n’entrent jamais dans la danse.
Elle commença à se trouver belle d’être elle, à être fière de ses cicatrices ou de sa crinière.
Elle commença à s’aimer.
Elle commença à aimer ceux qui savaient aussi l’aimer.
Et ça, ça, c’était nouveau.
Nouveau et beau.
Martine SDY BENZAQUEN
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