#leif vollebeck
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November Round Up
In November we celebrated punching rock, hazy anthems, strong storytelling, punk rock, and soaring vocals. Find all our favourite releases of the month in our monthly Round Up!
slumclub – What You Like Midlands-based alternative punk rock outfit slumclub have brightened up our start of November with a punching rock track driven by rambling guitars, powerful vocals and a bouncing rhythm. An IDLES-like presence and strong, emotive vocals, make this an exciting listen by a band that’s now at the top of our Ones to Watch list! Woodlot – Calm Your Nerves A hazy and…
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OneWeekAlbum - Best of 2024
Anche quest'anno volge ormai al termine; provando a fare una veloce retrospettiva, posso ritenermi soddisfatto perché sono riuscito ad ascoltare molta musica, quasi quanto facevo quando ero più giovane.
L'attenzione e l'impegno che dedico alle novità è sicuramente minore, ma la curiosità è sempre la stessa.
Di seguito quindi il listone dei dischi usciti quest'anno che mi sono piaciuti di più, per un motivo o per un altro. Come scritto per le puntate precedenti, questa non è una classifica, ma un elenco che mi aiuta a costruire ricordi e a salvare una traccia di cose che sarà bello recuperare, forse, più avanti.
The Smile, Wall Of Eyes
Any Other, stillness, stop: you have a right to remember
Helado Negro, Phasor
BLUAI, Save it for later
Elbow, Audio Vertigo
Adrianne Lenker, Bright Future
Angus & Julia Stone, Cape Forestier
Billie Eilish, HIT ME HARD AND SOFT
Arooj Aftab, Night Reign
King Hannah, Big Swimmers
Caoilfhionn Rose, Constellation
Leif Vollebeck, Revelation
Aurora, What Happened To The Heart?
Cesare Cremonini, ALASKA BABY
Wild Pink, Dulling the Horns
Beverly Glenn-Copeland, The Ones Ahead (BONUS, uscito nel 2023)
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Day 181: Friday June 30, 2023 - “Baseball Journal”
Normal Fridays, I am in Dad mode. I am up with him at first light, getting him to school by 830, picking up again at 330 (finding him in a festive 4th of July crown), and putting a plan together for a fun productive smooth night (that includes hot dogs and pool and bubbles) before tub at 730, and bedtime routine by 815-830.
Then its my time, and since I am in Dad mode, I figured I’d catch up on my Dad Journal which has now taken the form of a log of all our baseball games together. During the first year of William’s life, I logged all the meaningful and memorable little mile markers of the first 12 months. But no way could I keep that up! And so when I filled that first Dad Journal, it was right in line with William’s first game at Fenway Park in Boston, so the idea was sparked to start logging these games, and I am really into it. I put the day’s box score, and any other fun facts I might have of the game, or the day we had. I get pictures made and even ordered little mini paperclips for use only in this project. It’ll be so neat when its filled - a keepsake that might be meaningful to him later in life. I enjoy the quiet investment of time, on a Friday night here after he goes to bed. I imagine that I am writing to him someday looking back. I imagine someday writing the log together. Its a nice time to sit in that Dad energy.
Song: Leif Vollebeck - Vancouver Time
Quote: “I never wrote things down to remember; I always wrote things down so I could forget.” ― Matthew McConaughey, Greenlights
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I ♥ Photographer Friend by Leif Vollebeck
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December 29th
Happy holidays everybody! It’s that weird purgatory week after one holiday but before the next holiday- the week where you feel like you should be doing something, but it’s literally way more practical to not do anything until next week.... confusing I know.
To help with the confusion I have a few recovering-from-christmas songs to share on this episode, sure to bring some rest and healing from whatever the heck kind of holiday season you’re having this year. Enjoy!
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Featured Today:
Merry Pandemic - Josue Quezada & Brandt Fraudette
Mistletoe - Jada Klein
Snowball Fight With My 2 Best Friends - Graham Van Pelt (Ho Ho Ho Canada 10
Be My Self - ok vancouver ok (Shape Up)
Risonam
Feminine (Heartweight)
Elements (Chairman of the Electronic Orchestra)
Analog Heights (Chairman of the Electronic Orchestra)
Leif Vollebeck
Vancouver Time (Twin Solitude)
Hot Tears (New Ways)
I’m Not Your Lover (New Ways)
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The Check-In
Spotify has made me lazy. Nils Frahm & Ólafur Arnalds - Trance Frendz Leif Vollebeck - Twin Solitude Leif Vollebeck - North Americana Shannon Lay - Living Water Anna Burch - Quit the Curse Joshua Burnside - EPHRATA The Appleseed Cast - Mare Vitalis The Appleseed Cast - End of the Ring Wars Lord Huron - Vide Noir
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/interview-george-ezra-troubadour-pop/
INTERVIEW - George Ezra, troubadour pop
En 2014, George Ezra se faisait une voix en sortant Wanted on Voyage. Un premier opus tonitruant qui rencontre un succès immédiat, aux quatre coins du monde, grâce aux très populaires « Blame it on Me » et « Budapest ». Quatre ans plus tard, le jeune homme a pris le temps de mûrir. Il sort vendredi Staying at Tamara’s, son second album plus produit peut-être, mais toujours aussi personnel. Nous l’avons rencontré
Dans quel état est-on après avoir passé 18 mois en tournée ?
J’ai adoré ça. On aime tous être sur les routes. C’est une sorte d’existence bizarre que vous ne changeriez pour rien au monde. Malgré tout, à la fin, vous sentez qu’il est temps que cela s’arrête. Vous voyez ? Vous savez au fond de vous qu’il est temps de faire une pause. A la fin, j’avais l’impression d’avoir enfin mis le doigt sur ce que j’aimais jouer, et ce que j’aimais moins. Donc finir une tournée est un sentiment partagé… Mais il y a du soulagement à la fin. Pas parce que je n’aimais pas ça, mais parce que c’était le bon moment.
Vous êtes-vous jamais ennuyé de vos propres chansons ?
Jamais. Je n’ai sorti qu’un album, donc vous sélectionnez vos chansons parmi une douzaine. J’ai atteint un point où je n’étais pas forcément lassé de mes chansons, mais j’ai réalisé que je voulais en enregistrer plus pour pouvoir les accompagner. Mes deux chansons préférées à jouer en live restent « Budapest » et « Blame It On Me » parce que tout le monde chante avec moi. Et c’est ce que j’aime le plus dans le fait d’être en concert. Quand vous sentez une énergie commune à toute la pièce. C’est formidable, j’adore.
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Pourquoi trouvez-vous les voyages inspirants ?
Certains groupes savent parfaitement écrire sur leurs villes de naissance, ou le monde qui les entoure de près. Et je trouve ça génial, mais je ne sais vraiment pas faire. Je ne critique pas l’endroit où je vis. Je trouve simplement difficile d’écrire dans un endroit où je me sens trop à l’aise. Donc le fait de m’emmener ailleurs, de voyager dans des endroits différents, me permet d’ouvrir les yeux un peu mieux. Ce sont des petites choses, comme la météo, la nourriture, la monnaie, le décalage horaires… Toutes ces petites choses mises bout à bout rajoutent à la sensation de dépaysement et changent votre façon de penser. Vous devez être plus conscient de ce qui vous entoure. Et cela m’aide à écrire.
Sur quelles thématiques aimez-vous écrire ?
Sur cet album, le thème principal était justement cette idée de s’échapper du monde qui vous entoure. Pas nier son existence, mais juste « Ok, tu as le droit de prendre du temps pour toi, loin de tout ça. De prendre ton temps. » Je pense que l’on a le droit de rêvasser, de s’échapper un peu. Mais quand vous grandissez, j’ai l’impression que vous arrêtez de vous autoriser cela. Et parfois, c’est bien d’y revenir.
Vos chansons évoquent parfois des sujets difficiles, comme l’anxiété, mais pourtant gardent un rythme très enlevé…
Quand vous êtes en tournée, vous êtes dans une bulle. Vous restez dans une ville, pour une courte période, et ensuite vous partez. Et vous restez éloigné de ce qu’il se passe dans le monde. Pas délibérément, mais parce que vous n’avez pas trop le choix. Et quand vous arrêtez, vous avez l’impression que tellement de choses se sont passées pendant ce temps. J’avais l’habitude de recevoir les alertes infos sur mon téléphone, mais c’est rapidement devenu oppressant. J’ai donc délibérément écrit des chansons enjouées et joyeuses. D’abord parce que j’adore ça. Ensuite, parce que si j’écrivais des chansons sombres sur des périodes difficiles, où serait l’échappatoire ? Et puis, quand vous êtes en tournée, vous devez chanter tous les soirs. Je ne peux pas penser à quelque chose pire que de chanter tous les jours des morceaux tristes. Je pense que cela me détruirait. En vérité, je crois que j’aime juste les chansons joyeuses !
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Pourquoi avoir commencé à écrire ?
Quand j’avais quinze ans, j’ai commencé à écrire des chansons parce que c’était drôle. Je pense aujourd’hui que je croyais qu’il existait une sorte de club : « Toi seul peut le faire. » Et j’ai finalement appris que j’en étais capable, moi aussi. Ce fut très libérateur. Je ne suis pas du genre à écrire une chansons par jour. Je n’en ressens pas le besoin. Parfois, je m’assois, je prends ma guitare, le plus souvent je m’affale quelque part dans mon appartement. Et je joue plus ou moins les mêmes accords que ceux que je faisais quand j’avais quinze ans. Je n’y pense pas vraiment. De temps en temps, l’inspiration vient. Et je ne me pose pas de questions, je m’adapte.
Pourriez-vous interpréter une chanson que vous n’avez pas écrite ?
Parfois, certaines chansons vous parlent même si elles ne sont pas de vous. Et souvent, quand vous les jouez en live, cela devient frustrant. Parce que vous êtes très conscient que vous n’auriez jamais pu aboutir à une telle conclusion, mais que vous auriez adoré. La semaine dernière, nous avons filmé avec Taratata, et j’ai chanté « Don’t Think Twice, i’s alright » de Bob Dylan.
En fait, oubliez, ce n’est pas un bon exemple, parce que c’est Bob Dylan. Donc évidemment que j’aurais adoré écrire cette chanson ! (Rires)
Est-ce que vous ressentez de l’appréhension à revenir après le succès phénoménal de Wanted on Voyage ?
Non… Je réalise le succès qu’a rencontré mon premier album. Je sais aussi que ce n’est pas normal. Et ce n’est pas parce que vous avez réussi une fois que vous devez vous attendre à la même réception systématiquement. Je ne crois pas d’ailleurs que ce soit très important de rencontrer le succès à chaque fois. La chose la plus important c’est que je sois capable d’aller en tournée et de jouer. C’est capital pour moi.
A un moment donné, en studio, je me suis tournée vers Cam [Blackwood NDLR], le producteur de l’album, et je lui ai dit « Merde, les gens vont entendre cette chanson. » Ce à quoi il m’a répondu « Ouais… Qu’est-ce que tu crois qu’on fait ici ? » (Rires) Pendant cette phase, vous devez faire preuve d’égoïsme, parce que vous allez chanter les morceaux chaque soir. Donc si je n’aime pas ce que je fais, ça ne sert à rien. Je suis donc très excité de voir où tout cela va nous mener. Je n’aurais jamais espéré un tel succès pour le premier album, donc je suis prêt à tout pour celui-ci.
Vous avez lancé un podcast, George Ezra & Friends. Pourquoi avoir décidé de commencer cette aventure ?
J’en écoute beaucoup. La majorité de ceux que j’apprécient sont un dialogue entre comédiens à propos de leurs performances d’acteur et de l’industrie du cinéma. Je n’étais pas sûr que les chanteurs et les stars de la pop puissent arriver au même degré d’honnêteté. Parce que j’ai l’impression que notre industrie se repose sur des faux-semblants et des non-dits. Je voulais commencer un projet où je pourrais aller parler à des chanteurs, des pop stars, des musiciens, et voir s’ils peuvent être honnêtes. Et je crois qu’ils le sont. Ils aiment particulièrement parler avec quelqu’un qui fait le même métier qu’eux. A chaque fois, nous sommes tous les deux tous seuls dans la pièce. Ça me permet de retomber amoureux de la musique ; à force de faire partie de ce milieu, j’avais fini par m’en lasser. Et on découvre aussi plein de gens très différents. La base est toujours la même : j’écris mes chansons, des personnes les aiment, je les joue sur scène. Mais chaque histoire est un petit peu différente.
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Pourquoi est-ce important de montrer les faiblesses de vos confrères, ainsi que les vôtres ?
Je suis très conscient de la chance que j’ai de faire ce que je fais. Tout simplement parce que j’adore mon métier. Faire quelque chose que vous aimez est génial. Mais c’est important de montrer qu’il y a néanmoins des hauts et des bas. La plupart du temps, tout se passe bien, mais il y a aussi du négatif. Par exemple, quand je pose la question « Que pensez-vous du fait de faire des tournées ? », tous sans hésitation vont me dire qu’ils adorent. Mais ils expliquent que c’est aussi compliqué, parce que vous n’êtes pas là aux mariages, aux enterrements, aux anniversaires, lorsqu’un enfant naît, auprès de votre famille… Mais c’est le prix à payer : vous ratez toutes ces choses de la vie mais vous avez la possibilité de faire l’un des meilleurs métiers du monde. C’est une conversation intéressante à avoir avec les gens !
Si vous deviez nous recommander trois artistes…
Question intéressante ! Il y a un album que j’ai beaucoup écouté l’année dernière et que je continue à beaucoup passer. Je ne sais pas si je prononce son nom correctement. Il s’appelle Leif Vollebeck, et vient du Canada. Son album s’appelle Twin Solitude, et il est magnifique. C’est l’un de ces albums qui m’énervent parce que j’aurais telmenet aimé pouvoir sortir quelque chose de ce niveau !
Ensuite, il y a Sigrid. Elle va être invitée sur mon podcast très bientôt, ce que j’attends avec ipatience. Elle a gagné le BBC Sound of 2018. Et il y a quelque chose de très excitant dans ce qu’elle fait.
Et le troisième… Il vient de Londres, il habite à Brixton. Il s’appelle Dan Caplen, et a été ma première partie l’année dernière. Il joue du violoncelle et a écrit pour Macklemore et d’autres. C’est formidable de le voir aussi occupé et entouré.
Propos recueillis, traduits et adaptés par Louise-Camille Bouttier
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SONGS YOU SHOULD F*CKING KNOW 1/2/13
As we bring in the new year, we have put together some of our favorite songs for you to help you kick off your 2013. We hope you had a happy and safe New Years and that this helps that keep going. Check out this weeks list of songs below and click above to listen to them.
Leif Vollebeck: In The Morning
Tango In The Attic: Mona Lisa Overdrive
Wake Owl: Gold
Roo Panes: Know Me Well
St. Lucia: Before The Dive
Lake Street Dive: Clear A Space
Allen Stone: Unaware
Local Natives: Breakers
Divine Fits: Flaggin A Ride
Dark Mean: Happy Banjo
Reptar: Orifice Origami
Ghost Beach: Been There Before
Yeasayer: Longevity
White Denim: Anvil Everything
Melvins: Sweet Willy Rollbar
Richard Buckner: Town
METZ: Rats
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