#le vertige
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Le Vertige, 1903
Oil on canvas, 55.2 cm x 40.2 cm
Hubert-Denis Etcheverry (1867-1950)
#looove this painting so much!!#Hubert-Denis Etcheverry#art#french art#french#le vertige#vertigo#1903#1900s#painting#romance#love#kiss#couple#lovers#dreamy#ballroom#homme#femme#tenderness#♡♡♡
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[OC]
#wiedergänger#oc art#helena reiter#Vampir#theyre the girlies#based on Le vertige by Hubert-denis Etchverry or so
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Non mais l'envie d'être dans une tour de 25000 km de haut sur Mars qui se balance constamment juuuste assez pour que tu puisses voir passer Une Lune Entière de 5600km³ à quelques kilomètres de ta petite cabine en aluminium.
#et j'ai le mal des transports en VOITURE sur des CHEMINS DE MONTAGNE non mais imaginez.#le VERTIGE. on a inventé ce mot uniquement pour monsieur clarke#les fontaines du paradis
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le vrai mur de la honte se trouve dans les notes de mon téléphone (plus précisément dans le dossier "autopsie des sentiments") et dans mes centaines de brouillons tumblr, c'est terrifiant de lire tout ça tellement c'est pathétique, quelqu'un a vraiment le cerveau ravagé ici et j'ai honte pour cette personne (moi? ah oui) puis tous les messages non envoyés qui auraient fait de moi quelqu'un de badass... c'est dommage d'avoir le talent d'être si incisive et de ne pas s'en servir
#je viens de faire une plongée en enfer dans mes notes#le dossier “lol regarde pas” est encore pire après réflexion#et pourtant c'est dur de faire pire#ça donne le vertige#toutes ces insanités#en fait “autopsie des sentiments” fait pitié#et “lol regarde pas” fait PEUR
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Pat Ryckewaert - extrait recueil "Les heures indécises"
À l’heure du grand vertigej’écris pour repriser la peauque je porte pour te plaire Recoudre les accrocs du sensle tissus pulmonaire Nouer du désir au poèmequi franchit mes contoursarrache les boutonsfracasse le calcaire Faire avec le videm’attacher à la cordedes femmes funambules Au fil des jours de joieau fil du jouir des joursj’écris de l’ardeur dans la voixinonde tes paysages…
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Stella Nodari, L’animal vertige, Éditions du Petit Pavé, Le Semainier.
Une chronique de François Folscheid Stella Nodari, L’animal vertige, Éditions du Petit Pavé, Le Semainier. L’animal vertige. Une ode à l’amour charnel, au désir en son incandescence paroxystique. Aller jusqu’au noyau de feu de la chair désirante pour toucher l’absolu de la présence. Présence qui se fait absence submergeante quand la béance du père absent étend son ombre sur les brandons du…
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...et c'est ainsi qu'à fore de se tourner et de se retourner dans son lit aux cinquante matelas et un seul petit pois, la princesse finit par tomber par terre - et tous ses os se brisèrent. Fin !
#je sais que 'c'est seulement' vingt shhhh#mais ouais j'étais en train de penser qu'elle a pas intérêt à avoir le vertige parce la vache imagine monter dans un lit pareil#j'aurais dormi par terre balec#<- voilà pourquoi je ne serai jamais une princess apparemment ú_ù#des fois quand on arrive pas à dormir on pense à d'autres personnes qui n'arrivent pas à dormir#la princesse au petit pois
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Ma petite bibliothécaire
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#vertiges#acouphenes#maladie de Ménière#osteoapthe#health & fitness#besançon#doubs#franche comté#lecture#le saviez vous
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Le tramadol ça me donne tellement le vertige c'est même pas drôle
#mais si je dois choisir entre le vertige pendant 2-3 heures et avoir tellement mal que j'ai du mal à réfléchir#je préfère largement avoir le vertige
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Zelda x Classic Paintings
Frederic Leighton - The Reconciliation of the Montagues and the Capulets over the Dead Bodies of Romeo and Juliet (1855)
Frederic William Burton - Hellelil and Hildebrand, the Meeting on the Turret Stairs (1864)
Gaetano Previati - Paolo e Francesca (1887)
Emile Levy - Le Vertige, Idylle (1867)
William Mulready - The Sonnet - (1839)
Charles-Antoine Coypel - Young Girl Holding a Mask (1745)
Lamia - JW Waterhouse (1916)
#zelda#zelink#legend of zelda#link#totk#botw#tears of the kingdom#ocarina of time#breath of the wild#skyward sword#my art#redundantz art#long post
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On n'attend pas le bonheur, on ne court même pas après. On le fabrique, avec trois fois rien, ce qu'on a : un sourire, un mot, un élan, un vertige, une danse …et la bonne humeur
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Du croquis à l'impression : voici la couverture du n°40 de La Revue Dessinée! J'espère qu'elle vous a accompagné cet été, à l'ombre de beaux pins côtiers... À noter que notre reportage sur le métier de guide haute montagne avec Éliane Patriarca, publié en 2022 en versions française et italienne, fait partie du H.S. "Vertiges-Dix ans d’enquêtes sur la crise écologique et climatique" qui sortira cet automne ! Une soirée de lancement est prévue le 28 septembre au tiers-lieu Les Amarres, à Paris.
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
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My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
#Les Modes#20th century#1910s#1914#periodical#fashion#fashion plate#color#illustration#essay#bibliothèque nationale de france#dress#Francis de Miomandre#july color plates
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Je les sentais arriver depuis quelques semaines et ce matin, ils sont là ! Mes fameux vertiges dû à un caillou dans l'oreille interne. Du coup, je marche un peu comme si j'étais sur le pont d'un bateau ! C'est reparti pour 1 mois de traitement. Plus je vieillis et plus mon estomac ressemble à une pharmacie !
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