#le nuit je mens
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Bonjour, ce message s'adresse à toutes personnes se sentant concernées, mais plus particulièrement à alien-superst4r afin de continuer le débat sur les choix de faceclaims des gens.
Je me permets ce pavé imbuvable par rapport aux commentaires vis à vis de la liste des fc réservés pour le forum museum of sins. Ça va être long et chiant mais j’pense c’est nécessaire pour ce genre de débat qui ne peut se faire en trois phrases. Puisque tumblr c’est aussi une plateforme de discussion, discutons (et je pourrais sûrement pas re-répondre aussi vite que les personnes qui répondront à ce message car je taff en journée, j’sors à 7h30 pour rentrer à 19h donc faudra excuser ma potentielle lenteur) Je m’excuse btw pour mon écriture inclusive qui n’est pas au top, je tente d’apprivoiser cette nouvelle manière d’écrire (en m’entraînant comme avec ce post lol) mais je suis loin de la maîtriser !
Donc, de base j’voulais pas répondre honnêtement mdr mon taff me prend vlà mon énergie et débattre pour des choix de faceclaim pour des forums c’est pas franchement dans mes priorités quand j’ai des charges à payer et des responsabilités à m’en provoquer du bruxisme la nuit. Mais bon, en vrai ça m’intéresse aussi d’un côté puis j’ai jamais vraiment participé à ce genre de débat en ligne (bizarrement autour d’une table j’ai moins peur que virtuellement, c’est dire à quel point jsuis loin des réseaux sociaux et que pour moi -mon avis perso hein- y’a rien de mieux que confronter les gens les yeux dans les yeux, virtuellement j’y arrive pas mdr)
Tu as sous-entendu une incitation à la haine + concluant par une insulte visant les futurs membres du forum en disant :
“toi et ta communauté, oui restez bien entre "vous", whatever that means (j'ai une idée mais bref) et mangez bien vos grands morts"
Faisant partie de ladite communauté, je me sens visée par ce qui est, me semble-t-il, être un sous-entendu non-dissimulé que l’ensemble de cette commu/futurs membres de ce projet sont toutes et tous des privilégiés cis blancs d'extrême droite voire d’appartenance au nazisme, surtout par le “j’ai une idée mais bref” (jvais sûrement trop loin tho, je m'excuse si je choque certaines personnes) Encore une fois, je me permets de réagir car faisant partie de ces futurs membres, c'est donc une attaque contre (entre autre) moi et ce que tu penses sur ma personne en me jugeant un peu gratos faut dire c’qui est, même si c’est ton droit de juger qui tu veux of course. D’un côté tu peux aussi me tacler en disant que j’me permet également de te juger en osant penser que tu penses justement qu’on est raciste voire nazi alors que c’était pas du tout ton sous-entendu, je m’excuse si j’me fourvoie !
Et faisant également partie d’une communauté de jv en ligne, j’ai l’habitude des “va mourir” ou encore “go get cancer” et autre joyeuseté. Autant tout ça, ça m’fait zéro réagir (je mens, leur violence me fait tjs un petit qch mébon, tu veux répondre quoi à ça mdr) autant me faire insulter de raciste voire d’appartenance au nazisme, ça passe pas. Et je t’arrêtes tout de suite, le fait de pas aimer ça c’est pas une quelconque conséquence de quoi que ce soit de ma part ou de mes choix rpgique, je pense si je te croiserai dans la rue et que je t’aborderai juste parce que tu portes un type de pantalon particulier et que j’te dis “t’es raciste”, ça m’étonnerai que tu kiffes la sensation (comparaison éclatée au sol je te l’accorde mdr) (c’est pour insister sur le fait que “ça sorte de nulle part”) (bien que tu pourrais rétorquer que ça sort pas de nulle part, ça sort du constat du choix des fcs blancs du fo il est vrai)
J’pourrais faire “osef” car tu me diras et à raison “mais si tu te sens visée, c’est que j’ai raison et j’ai touché là où ça fait mal” Là n’est pas le propos selon moi. Si on me vise personnellement en me disant “putain tes dents elles sont de travioles c’est moche” c’est une vérité vraie, jvais être choquée du culot et de la non-délicatesse des propos, mais la vérité j’vais oublier les minutes qui vont suivre mdr Donc quand on me dit “t’es raciste” alors que c’est pas la vérité, ça me touche de manière particulière parce que 1) le terme est violent as fuck et 2) ayant été victime du regard des autres (bcp moins que certaines de mes amies tho j’insiste sur ça) et autres commentaires douteux sur mes cheveux par ex en mode “jpeux les toucher” ou, mon turban portée occasionnellement (imagine les soeurs hijabi, tu sais très bien donc pas la peine de te donner des exemples) (même si ça m'arrive bcp moins ces temps-ci tho), c’est un peu un paradoxe troublant pour moi j’avoue. Pour conclure ce paragraphe d’introduction honteusement long : l’être humain est complexe et “aime” échanger ses pensées, ou du moins les étaler. Et il faut parce que sinon on explose lol donc me voici en train de monologuer.
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Je comprends ce combat, vraiment, j’fais partie des minorités également (et là vous vous dites : c’est une vendue lis même pas son pavé ça sert à R) J'parle de combat ouais j'emploie le champ lexical de la guerre c’est pê too much mais la fatigue menée à toujours répéter les mêmes discours c’est fatiguant, j’le sais, j’fais la même entre amies en échangeant nos convictions, car j'en ai également, comme bcp (y’a pas d’ironie là-dedans hein, je préfère préciser on sait jamais que mes propos soient mal interprétés ou quoi).
Sauf que j’aimerais débattre de ton point de vue du coup j'me permets : nous connais-tu ? Nous, les futurs membres du forum ? Connais-tu nos origines ? Notre milieu social ? Notre passé ? Nos personnalités ? Comment peux-tu savoir les raisons exactes de nos choix derrière ces fc ? Qui te dis que parmi elleux, t’en a pas qui ont enchaîné les fc poc et qui là veulent incarner une nana suédoise (pour l’exemple) pour la première fois depuis x années ? Penses-tu que parmi toutes les personnes qui ont fait des réservations d'avatars, il n'y ait vraiment aucun.e catholique, musulman.e, juif.ve, hindouiste pour ne citer que ces religions, ou d'origine maghrébin.e, portugais, subsharaien.ne, asiatique pour ne citer que ces origines encore une fois, qui ont pourtant choisi.e en toute connaissance de cause des fc dit "blanc" car d'origine canadienne ou américaine ou européenne ou etc bref, un fc dit "blanc". Est-ce qu’au bout du compte c'est pas simplement mon choix d'incarner un mec scandinave alors que mes ancêtres sont d'origine maghrébine ? Moi c’qui m’interroge particulièrement c’est notamment : est-ce que t'es en train d'insinuer que par mon choix je suis forcément en train de dénigrer mes ancêtres et mes parents qui m'ont inculqué une (des) langue.s une tradition, une religion, un quotidien qui sans eux n'existerait pas, parce que j'ai pris un acteur écossais (oui je change exprès parce que ça marche avec n'importe quelle nationalité dite "blanche") au lieu de prendre un Tahar Rahim ou Leila Bekhti qui ont mon amour inconditionnel mais juste voilà, j'ai juste pas le souhait là, dans ce contexte-ci et dans l’immédiat, d'incarner un personnage avec lui ou elle en fc ?
Si oui, que c’est effectivement ton insinuation (en tout cas de mon point de vue, c’est ce que je ressens en te lisant et en tant que personne racisée ayant pris un fc blanc, donc en gros jsuis une grosse merde qui a honte de ses origines quoi), que “si vous ne choisissez pas un.e poc comme fc vous êtes racistes parce que vous ne contribuez pas à diversifier les représentations dans votre forum” (je grossis le truc ce n’est bien sûr pas ce que tu as dis, mais c’est ce que j’ai cru comprendre par ton sous-entendu et c’est mon ressenti à la lecture de tes mots) alors, je ne peux pas parler pour tout le monde mais pour ma part, meuf maghrébine, musulmane, issue de la classe ouvrière ayant toujours vécu et côtoyé les quartiers du 93 et votant explicitement pour le parti politique de gauche (tu vois je dis tout mdr je m’en fous si ça me fait perdre mes partenaires rp, i am what i am) : cette insinuation est fausse ! Dans ma vie de rpgiste, j’ai autant kiffé mes histoires sous une Lupita Nyong'o que sous un Gustaf Skarsgård ou encore Salma Hayek. J’ai même pas à justifier mes choix de fc en fait parce qu’ils sont les miens et quand je débarque dans un fo, on a toutes et tous une manière diff de construire ses perso. Moi ça commence comme ça (allez si j’me justifie mdr quand je commence on m’arrête plus comme tu le remarque avec malheur) : j’ai son caractère, son histoire et ENSUITE en découle le fc, le fc c’est limite un détail (pour moi!) qui vient à la fin mdr parce que je bosse tellement son mindset et son histoire/éducation que le visage c’est pas ce qui m’inspire, c’est sa vie qui va m’inspirer son visage jsp si j’suis claire en fait pardon si j’dis n’imp.
Mais en vrai, oui c’est frustrant de ne pas avoir assez de représentation des minorités. Il en manque partout. Story time totalement hors rp ; y’a que très récemment que j’étais tombée sur la série we are lady parts et c’était bien une des premières fois (en vrai y’en a d’autres quand on fouille bien) où je voyais une représentation relativement fidèle d’une minorité dans une série tv dite populaire à laquelle je pouvais m’identifier (c’est limité un c/c de moi et de copines, for real c’est flippant mdr) Mais j’vais tout autant kiffer house of the dragon et m’identifier (sous d’autres d’aspects totalement diff hein) à rhaenyra alors que bon, t’imagines bien que j’ai pas de dragon sous le coude. Tout ça pour dire : j’ai pas attendu et je vais pas attendre que ça soit dans le domaine du rp que le monde va changer/évoluer. Les représentations de mes origines/religion/tradition, c’est partout. C’est dans mon quotidien et bien sûr que le rp fait partie de mon quotidien mais c’est comme la musique que j’écoute, jvais autant kiffer ma vie sur sum 41 que Taos Amrouche et j’vais pas me sentir moins déconnecté de mes origines parce que jvais aller à un concert de punk rock un soir tous les huit mois. Sinon c’est que pardon, ma connexion à mes racines est vraiment très faible ptdr
Si ce n’était pas ton insinuation, je m’excuse d’avoir pris de ton temps et d’avoir été full parano ! (that’s my thing mdr) Mais en vrai j’ai kiffé, call me weird. Même moi ça m’a aidé à voir plus clair dans, à la fois ta position mais aussi la mienne et j'me rend compte que je manque cruellement de confiance en moi jusqu'à douter de mes choix de fc alors que paradoxalement, j’suis à l’aise dans mes bottes autant pour incarner un fc pakistanais autant que polonais, dans la limite de mes faibles connaissances bien entendu. Je prétendrais jamais connaître l’histoire d’un pays mieux que celui de mes origines ou le pays dans lequel je réside, et encore, on peut jamais tout connaître, la seule chose que je sais c’est que je ne sais rien que disait tu sais qui.
En découle une autre interrogation : si demain j’suis inspirée par un contexte de fifou sur un forum mais que instinctivement, mon inspi me “pousse” à prendre un fc blanc, est-ce que mon cerveau fait de moi une personne raciste parce que j’ai choisi impulsivement ce fc au détriment d’un fc issu d’une minorité ? Imaginons encore, toujours dans ma recherche de forum avec un contexte qui me plaît, bim cette-fois ci j’suis inspirée pour un perso issus d’une minorité et ça me donne l’opportunité de chercher un fc d’un.e poc. Est-ce que ça fait de moi une hypocrite parce que j’ai deux perso totalement à l’opposé ou j’ai eu tort affreusement tort de prendre un fc blanc et ce sont mes pensées d’occidentalisée-américanisé qui m’ont faussé ? Encore une fois, zéro sarcasme, j’pose cette question premier degré. Si ta réponse est “oui, félicitation tu es raciste” : j’te répondrai simplement que non, que tu me croies ou pas, c’est ta parole contre la mienne i guess (ptdr on est au tribunal ça me fume) (y’a des gens qui crèvent sous des bombes et regarde c’que je fais, la vérité j’ai honte un peu) (mais bon, c’est un combat important aussi je ne le dénigre pas !).
Ce que j’entends par là : devons-nous systématiquement privilégier un fc issus des minorités au détriment de nos inspirations ? (ça marche aussi pour les créateurs.trices graph/d’avatars j’me dis ?) (je pense hein, je graph pas mdr) Et je t’avoue ça m’a tué d’écrire cette phrase, on en est là, j’me fais l’avocate des racistes, carrément. C’est une interrogation horrible qui n’a pas lieu d’être selon moi mais c’est ce que tes remarques m’ont fait penser, et ça me fait passer pour une meuf qui va privilégier des fc blancs parce qu’elle est + inspirée par euxelles alors que tellement pas. Je vais pas créer un personnage juste pour incarner Sofiane Zermani par ex en fc et combler le vide des minorités, faut avoir une idée derrière. Mais si demain j’suis inspirée par lui bah let’s fucking go en fait j’me pose même pas de question, et le manque de ressource ne m’arrête pas, mes proches du monde rpgique peuvent en témoigner mdr ça dépend uniquement d’une chose dont je pense, nous avons toutes et tous été confronté : l’inspiration.
Du coup ça veut dire quoi ? Parce que pendant un an ou deux j’suis pas inspirée par un fc maghrébin je fais honte à mes ancêtres et je mérite pas le sang qui coule dans mes veines ? Et pour les français.e d’origine français.e, c’est quoi leur choix finalement ? Privilégier les poc c’est toujours mieux on est d’accord, mais si soudainement iel est inspiré.e pour jouer un fc d’origine française, est-ce qu’on lui dit “non j’accepte pas, aide-nous à nous valoriser sinon ça veut dire que t’es raciste” ?
Non parce que la manière dont les mots ont été employé c’est tout de suite ça que ça me fait ressentir : le doute et la culpabilité et c’est pas agréable et ça donne un côté ultra parano genre tu veux plus rien faire, limite tu veux plus ��crire, ni t’ouvrir aux gens : tu fais rien (pas chez moi tho mdr encore une fois jsuis bien dans mes baskets) C’est comme les gens qui veulent apprendre une langue, encore pire quand ce sont des gens d’origine admettons sud-américaine qui veulent apprendre l’espagnol et qui ose pas parler espagnol parce que tout le monde se moque de leur accent en mode “roh la honte iel sait pas parler la langue de ses parents alors qu’iel a 30 ans” Les gens vont jamais se débloquer si on les juge alors qu’ils veulent s’améliorer. Ou les gens qui développent une passion pour un autre pays que le leur (j’pense notamment au Japon ou la Corée du Sud pas mal hypés), iels ont le droit de s’informer quand même ou ça aussi c’est considéré comme étant traître à leur sang ?
Tu vas me dire “mais nous on empêche personne, écrivez entre vous” bah oui c'est clair on va rester "entre nous" du coup mdr je trouve juste ça triste en fait parce que le but du rp avouons-le, c’est aussi de faire des rencontres (mode scribe activé) et d’échanger nos plumes et nos idées avec d’autres. J’ai l’impression d’être dans un épisode de the good place en fait mdr quoiqu'on fasse, nous, la commu que vous pointez du doigt, rien n'ira : je voulais acheter des fleurs pour ma grand-mère mais c’est compté comme un “mauvais point” parce que le cultivateur a été exploité dans un champ et se retrouve à être payé 0.1 centime la fleur qui elle-même a poussé à l’aide de pesticide qui ont tué le microcosme végétal et a contribué à polluer le sous-sol jusqu’à l'irrigation qui a pollué le fleuve jouxtant le champ et donc j’ai pollué l’océan à cause des fleurs achetés pour ma grand-mère (????) Là c’est pareil, tu choisis pas un fc issus des minorités donc tu contribues à la “supériorité” de la race blanche donc tu es un collabo et donc tu es raciste voire nazi (????)
Also, en prenant un fc d’origine maghrébine, perso j’ai aussi un problème de recul : j’vais avoir du mal à faire la différenciation entre moi et mon personnage (là on rentre dans un autre débat + deep niveau psychologie mdr) Je vais pas réussir à me détacher suffisamment et limite vivre ce que mon personnage vit alors en rp en pensant “que c’est moi” et c’est pas forcément ce que je cherche (c’est du vécu oui oui mdr) (et c’est pour ça aussi que mes perso sont loiiiiiin de me ressembler autant mentalement que physiquement, sinon j’me prends moi en fc et on en parle plus MDRR) Donc peut-être que prendre un fc canadien alors que j’suis maghrébine, bah oui c’est peut-être un moyen pour moi de me “détacher” de ma personne de la même manière à quand je joue à des jeux vidéos et que j’incarne tel protagoniste qui part faire telle quête ou zigouiller tel démon. Encore une fois c’est un autre débat et ça prouve très certainement que j’suis juste timbrée mdr J’dis pas que j’ai raison, si j’avais été une personne plus sûre de moi j’penserai sûrement autrement, mais bon, des heures de thérapie n’ont pas réussi à résoudre cette énigme (yet ? maybe one day lol)
Pour revenir au forum (j’suis partie trop loin help), je conçois que des gens reprochent ces choix de fc et tu sais quoi : vous avez raison. Internet est accessible à tous donc c’est normal que toutes et tous, on puisse dire son avis. Et bien que ça ne te concerne pas, sache “qu’entre nous”, on complote déjà pour des dc et tc dont -comme c'est bizarre- bcp sont des poc, alors tu pourras nous dire “et pourquoi c’est pas vos premiers comptes du coup ?” bah écoute, si on part comme ça, c’est infini ? Pourquoi t’as acheté un croissant à la boulangerie et pas un batbout ? Pourquoi ton huile d’olive est d’origine européenne alors qu’elle pourrait être d’origine tunisienne ? Pourquoi t’as un t-shirt made in Bangladesh alors qu'il pourrait être 100% coton fabriqué dans des conditions respectable de la vie humaine ? Pourquoi fabriqué par autrui en plus, fais-le toi-même, au moins t’es sûr.e d’où vient le coton et c’est ta manière de coudre et pas celle des autres ? ‘fin j’peux continuer longtemps comme ça, mais tu vois c’que j’veux dire lol
Je souhaite vraiment avoir ce débat de manière respectueuse en lisant les opinons de chacun.e, j'comprends que tu sois vénère et que tu trouves ça hallucinant ce manque de diversité. J’ai limite envie de dire par fatalité : ne serait-ce pas le triste reflet de notre société et surtout de notre consommation aux médias (et de ce fait, de la diversité qui n’est pas folichonne dans les médias) ? Après j’peux aussi rajouter : quelle société ? Selon où tu es à Paris par exemple, t’as l’impression soit ton café va coûter 6e50 soit t’es à Alger tellement ça sent le jasmin et le sfenj. C’est franchement toi qui choisis où tu veux être pour ton bien être intérieur, et c’est pareil pour la créativité et l’écriture selon moi. Alors bien évidemment c'est à nous de changer les choses dans le rp universe parce qu'on en fait partie, mais qui te dis que c'est pas en cours ? Un projet de forum n'est selon moi pas représentatif du monde du rp global ? J'vis sans doute au pays des bisounours, encore une fois tout c'que j'dis là c'est prem deg, je déteste le sarcasme (je le comprends pas la plupart du temps mdr) et j'en ferais pas dans un sujet aussi sérieux.
Donc here we goes, débattons sans insulte svp si possible. Le but n’étant bien sûr pas de faire changer d’avis qui que ce soit, tout le monde est libre d’avoir son opinion et c’est normal et c’est même nécessaire, sinon on se remettrai jamais en question et ça craint, puis c’est ce qui fait l’enrichissement du monde, mais svp soyez pas injurieux.ses, vraiment on discute, t’as le droit de penser que 2+2=5 c’est ta vie, ton choix, mais comme vous rendez le sujet public justement, c’est dans le but qu’il soit vu par le plus grand nombre (ou nombre respectable tout court mdr) donc let’s go, faites péter les reblog.
Respectez vous, ne craignez personne.
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Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la vie mais quelques heures
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
Johnny Hallyday
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https://www.tumblr.com/deonn-jaelle/771137107666288640/guysis-this-a-safe-space-can-i-say-something
speak up girl👀
@whoevenisthiz
i know i said i don’t really like bald men but my god he can baise-moi aujourd'hui, demain, hier et tous les jours pour le reste de ma vie. je veux qu'il me penche sur un comptoir de cuisine et qu'il me baise là pendant 45 minutes d'affilée. je veux qu'il mette mes jambes sur ses épaules, qu'il me penche à moitié dans un murmure à quel point je me sens bien. he can pretend im kate and do everything he wanted to do to her to me. I would let him just be my baby daddy just so i can fuck him all the time. je veux sucer sa bite et ensuite le chevaucher toute la journée et toute la nuit. Je veux qu'il utilise ses gros bras tatoués pour me tenir immobile pendant qu'il me baise.
i’ve been holding that in for a while, feels good to get it off my chest :)
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Il y a quelques nuits de ça j'ai fait un drôle de rêve et peut-être que c'était un cauchemar en fait. Il y a des moments que je n'ai pas retenu donc la cohérence se retrouve un peu impactée. Mais je sais que j'étais avec mon mec et que d'un coup j'ai perdu les eaux alors que vraisemblablement je n'étais pas enceinte. Puis mon ventre a poussé d'un coup et on est allé à l'hôpital en bus. C'était un bus tout encombré j'étais debout, au milieu de l'allée et personne ne voulait me donner une place. On arrive à l'hôpital et c'est un peu flou. Je suis juste dans une chambre et des fois il y a mon mec et des fois non mais je ressens beaucoup d'angoisse car j'étais pas enceinte 2h auparavant et je commençais à me dire que j'allais gâcher ma vie et j'avais mal partout. Et d'un coup, mon ex rentre dans la chambre et il me dit de me lever, qu'il a une surprise pour moi mais que je dois faire doucement et pas de bruit. Alors il ouvre la porte de la salle de bain et dedans il y a un petit chat tout noir et on ferme la salle de bain. On ne parle pas juste je caresse le chat et je suis tellement contente de voir ce chat. Et soudainement je suis à nouveau dans mon lit et en plein accouchement et il n'y a pas mon mec juste l'équipe médicale qui me regarde mais sans m'aider. C'est affreusement douloureux, j'ai l'impression que mon corps se déchire, que je vais mourir et personne ne parle, ne me répond, ils me regardent juste fixement. Je finis par accoucher et je demande à ce que ce soit sous X. Mon mec déboule dans la chambre alors qu'il n'avait pas été là jusque là, pas de mot, pas d'aide et là il commence à me dire qu'on va le garder, que c'est n'importe quoi ma décision. Jlui dis qu'il était absent, qu'il ne m'a même pas vue accoucher, qu'il ne s'en occupera pas. Et il se met en colère en me disant que je mens, que j'ai rien compris, qu'on va le garder.
Ce n'est pas à propos de la maternité ce rêve, pas fan des interprétations alambiquées mais je crois que c'est plus profond que ça. Que c'est juste le parallèle de ma vie actuelle: être seule face aux contraintes qui naissent, et que les personnes absentes se manifestent que dans ya plus rien à faire ou que quand le point critique est passé. En tout cas j'étais chagrinée au réveil.
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L’air de la misère / The air of misery
We're at this part in Les Mis Letters so here is my translation and annotations of one of Fantine's songs on the Original Concept Album, "L'air de la misère." The tune of this song would get used in the final musical as Éponine's "On My Own."
You can find a PDF of the translation here: L'air de la misère
youtube
[Fantine] J’avais des si jolis défauts j’étais rêveuse, j’étais coquette un peu naïve, mais pas trop pour ne jamais perdre la tête et je me faisais fête¹ d’un chant d’oiseau, d’un jour nouveau Je n’ai plus qu’une robe grise qui sert aussi de couverture quand le vent glacé de l’hiver tourne la nuit dans ma masure et plus beaucoup d’honneur de dignité au fond du cœur
[Fantine] I had such pretty flaws I was a dreamer, I was a coquette A little naive, but not too much So as to never lose my head And I used to look forward¹ to a bird’s song, to a new day I have no more than one grey dress That also serves as a blanket When the icy winter wind Swirls around my hovel at night And not much honor left Or dignity at the bottom of my heart
NOTE 1. “je me faisais fête” – While “se faire une fête de” means “to look forward to,” I think it’s important to point out that within this phrase is “faire fête,” meaning to celebrate, literally to have a party.
La misère n’est mère de personne² la misère est pourtant sœur des hommes mais personne sur terre n’en veut pour fille comme bâtarde née dans un cachot de la Bastille La misère enfante la détresse bien des vices et toutes les faiblesses³ la misère lâche la bête en l’homme et la mésange alors en chienne errante se transforme⁴
Misery is the mother of no one² Misery is nevertheless a sister of men But no one on this earth wants her for a daughter Like a bastard born in a dungeon of the Bastille Misery gives birth to distress Plenty of weaknesses and all frailties³ Misery lets loose the beast in man And the chickadee transforms into a stray dog⁴
NOTES 2. “La misère n’est mère de personne” – It is important to keep in mind throughout this song that “misery” in French is feminine, so it is referred to as a mother, sister, daughter, etc.
3. “des vices… des faiblesses” – “Vices” could just as well be translated as “vices” and “faiblesses” as “weaknesses / feebleness.” I simply chose the two English words that I thought sounded best.
4. “la mésange alors en chienne errante se transforme” – Remember again that misery is feminine, so in this phrase we have “la mésange,” which is a small cute bird (family Paridae which includes tits, titmice, and chickadees) with a feminine noun, and the noun for dog here is also feminine. In English the word for a female dog, a bitch, has strong negative connotations whereas the word used here, “chienne” can simply mean a female dog, so I chose to translate it as “dog.”
Il faut qu’on se sente survivre dans un enfant qu’on a fait vivre⁵ et qu’en sa source d’innocence on noie notre désespérance⁶ pour ne pas mettre fin à cette vie sans lendemain [Refrain]
You need to feel you are surviving In a child you brought to life⁵ And in whose source of innocence We drown our hopelessness⁶ So as not to put an end To this life with no tomorrow [Chorus]
NOTES 5. “survivre ... vivre” – I want to highlight the chosen words here. “Vivre” means “to live” so it’s easy to recognize it in the word “survivre” (to survive) and the phrase “faire vivre” (to bring to life / to give birth to). In addition, while I translated these lines using the pronoun “you,” in French the pronoun is “one.”
6. “source d’innocence … on noie” – Here, the word “source” is exactly equivalent to the English, but should evoke the meaning “the source of river / spring / of water” due to the next line which refers to drowning in this source. In this sentence, the literal French is again “one drowns” (which can also be translated as “you” or the royal “we”), however “notre désespérance” explicitly uses the word “our” for “our hopelessness.”
I've always thought it was interesting that Fantine got two songs in the Original Concept Album- this one, in addition to "J'avais rêvé d'une autre vie" which is the direct equivalent to "I Dreamed a Dream." In order, L'air de la misère comes before she sells her hair, while I Dreamed a Dream comes after and ends with reference to her sex work, and what would become the song "Lovely Ladies."
#les mis original french concept album#mytranslations#concept album translations#l'air de la misère#fantine#les mis musical#les mis lyrics#Youtube
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Fanarts : you can find all the fanarts I did with the #my art on my Tumblr. Enjoy!
Fanfictions :
English
In this post I will put all the links to my fanfictions.
Some of them are for a +18 audience.
For now I write only on One Piece and my fanfictions are mainly focused on Sanji and Zoro.
Zosan or Sanzo (I warn you, if you can't stand a top Sanji there are few of my work you will dislike !).
My texts are mainly in french ( I know that some people don't let that kind of things hold them back to read it anyway with the help of an online traductor).
You can find one fanfic in english under the cut, "don't be so shy", an hot Zosan smutty text.
Français
Dans ce post je vais rassembler tous les liens de mes fanfictions.
Certaines ne sont pas pour les mineurs.
Pour l'instant je n'écris que sur One Piece et mes fanfictions sont centrées principalement sur Sanji et Zoro.
C'est du Zosan ou Sanzo (je préfère prévenir les personnes qui ne supportent pas un top Sanji, certains de mes textes risquent de heurter leur sensibilité !)
Voodoo People
Rating : mature
Registre : humour/suggestif
Pairing : Sanzo (top Sanji - suggéré)
Chapitres : 5 (finished)
Langage : français
Words : 17 338
The Straw Hat crew came to a desert Island. At least, it seems desert... But after an hike in the jungle, Luffy, Nami, Robin and Sanji began to act strangely.
L'équipage arrive sur une île qui paraît déserte. Mais après une virée dans la jungle, Luffy, Nami, Robin et Sanji commencent à se comporter bizarrement.
Don't be so shy
Rating : Explicit (+18)
Registre : smut/passion/love
Pairing : Zosan (top Zoro)
Chapitre : 1 (one shot)
Langage : français
Words : 6 679
Sur une île hivernale Zoro se perd dans la montagne. Sanji le retrouve mais une avalanche les oblige à passer la nuit dans un refuge. Près du feu la température augmente rapidement entre les deux hommes.
Don't be so shy (english)
Rating : Explicit (+18)
Registre : smut/passion/love
Pairing : Zosan (top Zoro)
Chapitre : 1 (one shot)
Langage : français
Words : 6 530
"Zoro beheld the cook above him. He was now straddling Zoro, shirt open and revealing his slim and beautifully muscular chest. With his chin held high and his eyes harboring a firestorm, it was a sight the swordsman would never forget."
On a winter Island, Zoro gets lost in the mountains. When Sanji goes to find him, an avalanche traps them in a mountain refuge.
Near the fire, the temperature increases quickly between the two men.
Vague à l'âme
Rating : teen and up
Registre : angst/fluff
Chapitre : 1 (one shot)
Langage : français
Words : 4 111
After WCI and Wano, the crew make an halt on an Island where a fun fair takes place. But Sanji feels overhelmed by everything happened to him lately. He went away and get drunk. Zoro find him.
Après WCI et Wano, l'équipage fait une halte sur une île où se tient une fête foraine. Mais Sanji se sent accablé par tout ce qui lui est arrivé dernièrement. Il s'éloigne des autres et se saoule. Il est retrouvé par Zoro.
Umami
Rating : Explicit (+18)
Registre : smut/passion/love
Pairing : Sanzo (top Sanji)
Chapitre : 1 (one shot)
Langage : français
Words : 7 294
Umami is the name of the fifth flavor, the one that makes everything so delicious.
A quiet night on the Sunny, Zoro can't sleep. He decides to take some booze in the kitchen. But Snaji can't sleep either. He is franticaly cooking sweet things to avoid the dark of the night. While watching him, a new appetite rise in Zoro's body, and fortunately for him, Sanji is ready to feed him.
Umami est le nom de la cinquième saveur qui rend tout délicieux.
Une nuit tranquille sur le Sunny, Zoro n'arrive pas à trouver le sommeil. Il décide d'aller chercher quelque chose à boire dans la cuisine. Mais Sanji non plus n'arrive pas à dormir. Il cuisine frénétiquement des desserts pour occuper les heures sombres de la nuit. En le regardant, Zoro sent un nouvel appétit monter en lui. Heureusement pour lui, Sanji est prêt à le satisfaire.
Making Christmas
Rating : teen and up
Registre : fluff/love/humour
Pairing : Zoro x Sanji + minor Nami x Vivi
Chapitre : 1/2
Langage : français
Words : 4 971
On a winter Island, the crew help a woman to prepare Christmas after a storm cut her and her girlfriend from the village at the other side of the mountain. Broken ribs forced Zoro to stay near his lover, Sanji.
(an english version is here on Tumblr -link below-. I need to work a little more on the traduction before releasing a neat english version on AO3)
Sur une île hivernale l'équipage aide une femme à préparer Noël après qu'une tempête l'ait coupé elle et sa petite amie du village de l'autre côté de la montagne. Des côtes cassées obligent Zoro à rester près de son amoureux, Sanji.
Bulles de pensées
Rating : General audience
Registre : hurt/comfort, fluff, love
Pairing : Zoro x Sanji
Chapitre : 1 (one shot)
Langage : français
Words : 3 038
Parfois, pendant cette course effrénée au One Piece, les émotions de Zoro deviennent trop intenses. Le destin qu'il a choisit le mène sur un chemin impitoyable, exigeant de lui qu'il soit infaillible.
Alors quand Sanji est blessé dans une bataille, la culpabilité envahit Zoro, amenant avec elle tout un tas de sentiments qu'il a du mal à définir.
Sanji le rejoint dans la salle de bain pour tenter d'apaiser les émotions qui assombrissent son compagnon d'équipage.
Battu par la tempête
Rating : explicit/violence/rape
Registre : violence, angst, smut
Pairing : Zoro x Sanji
Chapitre : 4/5
Langage : français
Words : 8 407
Le sexe dans ces conditions avait une saveur particulière. Avant que l’excitation du combat ne retombe et que le corps se rappelle de l’effort, de la fatigue et des blessures. Quand leurs peaux étaient encore brûlantes et que leurs membres fourmillaient encore de l’excitation du corps à corps.
Zoro et Sanji ont l'habitude de baiser ensemble à chaque fois qu'ils le peuvent après un combat.
Alors qu'ils sont engagés dans un furieux corps à corps, Sanji sent quelque chose changer en lui.
La science de Germa s'active au plus mauvais moment possible.
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2024 – Liste Culturelle
JANVIER
LIVRES
L'art et la psychanalyse de Freud à Lacan par Anita Izcovich
Rêves de paysage par Claudine Bertrand
Flipette & Vénère de Lucrèce Andreae
Lettres à une jeune Poétesse. Correspondance avec Anita Forrer (1920 – 1926) de Rainer Maria Rilke
Le joueur d'échecs de Stefan Zweig
Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke
Aurore, Ulysse … Les Centaures N°1 La porte du néant par Seron
FILMS
Diane Wellington d'Arnaud des Pallières
Rythmasspoetry de Jeremy Deller et Cecilia Bengolea
Les Yeux carrés de Louison Assié et Laure Massiet du Biest
What happened, Miss Simone ? de Liz Garbus
Patinoire de Gilles Carle
10 minutes de vie d'Herz Frank
Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l'Anneau de Peter Jackson
Bedtime Stories : Trains de Harun Farocki
Bedtime Stories : Bateaux de Harun Farocki
What Men Want d'Adam Shankman
Bedtime Stories : Ponts de Harun Farocki
Le Passage du col de Marie Bottois
Ballerina de Lee Chung-hyeon
I Don't Feel at Home Anywhere Anymore de Viv Li
Mon beau-père et moi de Jay Roach
They Do Not Exist de Mustafa Abu Ali
FEVRIER
LIVRES
La Magie de la Nature. Se relier au pouvoir des éléments, de la Lune et des plantes par Lindsay Squire
Éditeurs de notre temps. Entretiens réalisés par Nicolas Querci
Mafalda 1 de Quino
Je suis un poltron de Johann Guyot
Mama Elefante es genial de Gabriela Keselman et illustré par Claudia Bielinsky
FILMS
Angle mort de Lotfi Achour
All Inclusive de Corina Schwingruber Ilic
Somme des choses de Mohammadreza Farzad
Indes Galantes de Philippe Béziat
Retour à Séoul de Davy Chou
Afrique 50 de René Vautier
Love, Dad de Diana Cam Van Nguyen
Sans toit ni loi d'Agnès Varda
La Vie sexuelle de mamie de Urska Djukic et Émilie Pigeard
Et les chiens se taisaient de Sarah Maldoror
O saisons, ô châteaux d'Agnès Varda
Plaisir d'amour en Iran d'Agnès Varda
Du côté de la côte d'Agnès Varda
Réponse de femmes d'Agnès Varda
Boy de Yalda Alsah et Ginan Seidl
MARS
LIVRES
Le style dans le cinéma documentaire entretiens recueillis par l'association ADDOC
Réensauvagez-vous ! D'Andreas Weber et Hildegard Kurt
De la tyrannie du cartel de Philippe Comar
FILMS
Un espagnol à Paris, Paco Ibañez de Bernard Bouthier
Hercules de Ron Clements et John Musker
The Silence of The Banana Trees d'Eneos Carka
In Flow of Words d'Eliane Esther Bots
I Don't Feel at Home Anywhere Anymore de Viv Li
Behemoth : or the name of God de Lemohang Jeremiah Mosese
L'indomptable feu du printemps de Lemohang Jeremiah Mosese
Mon beau-père et nous de Paul Weitz
Mobiliser de Caroline Monnet
Cinzas e nuvens de Margaux Dauby
REW-FFWD de Denis Villeneuve
Vampire humaniste cherche suicidaire consentant d'Ariane Louis-Seize
Nos plus belles années de Sydney Pollack
Immaculée de Michael Mohan
AVRIL
LIVRES
Azimut T.1 Les aventuriers du temps perdu par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.2 Que la belle meure par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.3 Les anthropotames du Nihil par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Sous les Arbres. L'automne de Monsieur Grumpf de Dav
Jade sauve la forêt fabuleuse d'Alexandre Jardin, Fred Multier et Stéphanie Ronzon
Azimut T.4 Nuées noires, voile blanc par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Azimut T.5 Derniers frimas de l'hiver par Wilfrid Lupano et Jean-Baptiste Andreae
Le Dialogue de Simon Johannin
Hallow T.1 La dernière nuit d'Halloween de Cazenove et Ood Serrière
500 affiches de Mai 68 par Vasco Gasquet
Ce monde-là. Voyage aux frontières du photojournalisme des éditions Loco / Emi
Mélusine T.1 Sortilèges de Clarke et Gilson
Intranqu'îllités N°5 Eros par auteurs multiples (magazine)
FILMS
Malcolm X de Spike Lee
Nosferatu, fantôme de la nuit de Werner Herzog
La Demoiselle et le Dragon de Juan Carlos Fresnadillo
Un taxi pour Reykjavik de Damien Peyret
La BM du Seigneur de Jean-Charles Hue
Dune de Denis Villeneuve
Fabbricante di lacrime d'Alessandro Genovesi
8 Mile de Curtis Hanson
Lil' Buck Real Swan de Louis Wallecan
LOL (Laughing Out Loud) de Lisa Azuelos
Pretty Woman de Garry Marshall
L'arrestation de C. d'Arthur Jaquier
Mon voisin Abdi de Douwe Djikstra
Five d'Igor Gotesman
Her Job de Nikos Labôt
Le Barrage d'Ali Cherri
La Grande Vadrouille de Gérard Oury
PODCAST
Dingue. Dépendance affective : attachement et réciprocité du journaliste Adrien Zerbini
MAI
LIVRES
Verdad de Lorena Canottiere
Une vie de Simone Veil
La légende de Saigyô traduit du japonais et présenté par René Sieffert
FILMS
Disneyland, mon vieux pays natal d'Arnaud des Pallières
Sound of metal de Darius Marder
Godzilla d'Ishiro Honda
Brisby et le secret de NIMH de Don Bluth
Madame Lulu de Morgane Lincy-Fercot
JUIN
LIVRES
Laura, Lizzie & les Hommes-Gobelins de Christina Rosseti, Clémentine Beauvais et Digiee
Mes merveilles d'Else Lasker-Schüler traduit par Guillaume Deswarte
C'est comme ça qu'on fait un film de Tim Grierson
La conjecture de Karinthy de Michel Viegnes
FILMS
Grâce à Dieu de François Ozon
Average Happiness de Maja Gehrig
Claire, faire corps d'Arnaud Le Hesran
Mars Express de Jérémie Périn
Nathan, juste là d'Elya Serres
Supervision de Primitivi
JUILLET
LIVRES
Auguste Rodin de Rainer Maria Rilke
Un drôle de truc pas drôle de Giula Sagramola
Une certaine tendance du cinéma documentaire par Jean-Louis Comolli
La Mélodie de l'amour et de la mort du cornette Christoph Rilke par Rainer Maria Rilke
FILMS
Sainte Marie du Mont : kilomètre zéro zéro par Claude Goretta et Gilles Perrault
Non de Didier Nion
Backflip de Nikita Diakur
Letter to a pig de Tal Kantor
Kingdom of the Planet of the Apes de Wes Ball
Dune. Part Two de Denis Villeneuve
Pirates des Caraïbes : la légende du Black Pearl par Gore Verbinski
AOUT
LIVRES
160000 enfants. Violences sexuelles et déni social d’Édouard Durand
« On ne peut pas accueillir toute la misère du monde » En finir avec une sentence de mort de Pierre Tevanian et Jean-Charles Stevens
Désobéissance climatique de Sandra Laugier et Albert Ogien
Les écoféminismes d’Élise Thiébaut
FILMS
Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit par Gore Verbinski
Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde par Gore Verbinski
Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence par Rob Marshall
Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar par Jooachim Ronning et Espen Sandberg
Super par James Gunn
Furiosa : A Mad Max Saga par George Miller
Doomsday de Neil Marshall
Shrek par Andrew Adamson et Vicky Jenson
Shrek 2 par Andrew Adamson, Kelly Asbury et Conrad Vernon
Pauvres Créatures de Yorgos Lanthimos
Élémentaire de Peter Sohn
Cowboy Bebop : Knockin' on Heaven's Door de Shin'ichiro Watanabe
Discours de bienvenue de Norman McLaren par Norman McLaren
Promising Young Woman par Emerald Fennell
Saltburn par Emerald Fennell
Zoom cosmique d'Eva Szasz
Memories of Murder par Bong Joon-ho
Venom : Let There Be Carnage par Andy Serkis
NDDJ (Notre-Dame-du-Jambon) par Grace D. Singh et Sita Singh
Aquaman et le Royaume perdu par James Wan
Vice-Versa 2 par Kelsey Mann
X par Ti West
MaXXXine par Ti West
Erin Brockovich, seule contre tous par Steven Soderbergh
SEPTEMBRE
LIVRES
L'âge d'or Volume 1 de Curil Pedrosa et Roxanne Moreil
Le féminisme ou la mort de Françoise d'Eaubonne
FILMS
Deadpool et Wolverine par Shawn Levy
Pearl par Ti West
The Witch par Robert Eggers
The Northman par Robert Eggers
Star Wars, épisode V : L'Empire contre-attaque par Irvin Kershner
Sortir de l'amour romantique comme seul modèle de société par la journaliste Salomé Saqué
Star Wars, épisode III : La Revanche des Sith de George Lucas
Harry Potter and the Philosopher's Stone par Chris Colombus
Una volta ancora par Giulia Di Maggio
White power, au cœur de l’extrême droite européenne par Christophe Cotteret
Barbare par Zach Cregger
Jeanne du Barry par Maïwenn
La Terre est habitée !, par Kaj Pindal et Les Drew
The Game par David Fincher
The Crow par Rupert Sanders
Petite Leçon de cinéma : le documentaire par Jean-Stéphane Bron
A Girl Walks Home Alone at Night par Ana Lily Amirpour
Under the Silver Lake par David Robert Mitchell
Strangers par Tony Dean Smith
Blink Twice par Zoë Kravitz
Histoire de mon pays d'enfance par Marine Mabila
L’illusionniste par Alain Cavalier
Outlaw King : Le roi hors-la-loi par David Mackenzie
Under The Lake par Thanasis Trouboukis
God Bless America par Bobcat Goldthwait
King of Thieves par James Marsh
Beetlejuice par Tim Burton
Astartes par Syama Pederson
Lady Bird par Greta Gerwig
The Killer par David Fincher
Finestkind par Brian Helgeland
Wolfs par Jon Watts
Trap par Night Shyamalan
Apartment 7A par Natalie Erika James
SERIE
Godless par Scott Franck
OCTOBRE
LIVRES
Lettres autour d'un jardin par Rainer Maria Rilke
Pour le droit de vote dès la naissance de Clémentine Beauvais
FILMS
Depuis, je vole par Aylin Gökmen
Speak No Evil par Christian Tafdrup
The Wasp par Guillem de Morales d'après une pièce de Morgan Lloyd Malcolm
The Green Knight par David Lowery
Reptile par Grant Singer
Just Mercy par Destin Daniel Cretton
Le Collectionneur par Gary Fleder
Essai de reconstitution des 46 jours qui précédèrent la mort de Françoise Guiniou par Christian Boltanski
Julie and Julia par Nora Ephron
Mindscape par Jorge Dorado
Bloodshot par Dave Wilson
Hellboy : The Crooked Man par Brian Taylor
Fair Play par Chloe Domont
The Highwayman par John Lee Hancock
The Final Girls par Todd Strauss-Schulson
Come to Daddy par Ant Timpson
Spree par Eugene Kotlyarenko
Car Wash de Laïs Decaster
Beetlejuice Beetejuice par Tim Burton
Alien : Romulus par Fede Alvarez
Bad Genius par J.C. Lee
La Famille Addams par Barry Sonnenfeld
Carrie au bal du diable par Brian de Palma
Jennifer's body par Karyn Kusama
I Came By parBabak Anvari
Le Mangeur d'âmes par Alexandre Bustillo et Julien Maury
Addams Family Values par Barry Sonnenfeld
Une affaire de détails par John Lee Hancock
Scream par Wes Craven
Scream 2 par Wes Craven
Halloween : La Nuit des masques par John Carpenter
Massacre à la tronçonneuse par Tobe Hooper
A Nightmare on Elm Street par Wes Craven
La colline a des yeux par Wes Craven
Evil Dead par Sam Raimi
SERIE
Mercredi par Tim Burton, James Marshall et Gandja Monteiro
NOVEMBRE
LIVRES
Les idendités meurtrières d'Amin Maalouf
La haine du poil par Juliette Mancini, Sara Piazza et Alexia handon-Piazza
In Humus par Lina Sterte
Errance par Raymond Depardon
FILMS
The Irishman par Martin Scorsese
Don't Move par Adam Schinfler et Brian Netto
Vole, vole tristesse par Miryam Charles
I Care a Lot par J Blakeson
Halloween par David Gordon Green
Nocturnal Animals par Tom Ford
The Pale Blue Eyes par Scott Cooper
Zombie de George Andrew Romero
Le Comte de Monte-Cristo par Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte
Vendredi 13 par Sean S.Cunningham
La colline a des yeux par Alexandre Aja
La Mécanique de l'ombre par Thomas Kruithof
Ephémères par Yuki Kawamura
In the Shadow of the Moon par Jim Mickle
Assassination Nation par Sam Levinson
The Substance par Coralie Fargeat
Harry Potter et la Chambre des secrets par Chris Colombus
Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban par Alfonso Cuaron
Harry Potter et la Coupe de feu par Mike Newell
Harry Potter et l'Ordre du Phénix par David Yates
Project X par Laura Poitras et Henri Moltke
Harry Potter et le Prince de sang-mêlé par David Yates
Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 1 par David Yates
Les cow-boys sont noirs de Serge Moati
Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 2 par David Yates
The Lord of the Rings : The Fellowship of the Ring par Peter Jackson
The Lord of the Rings : The Two Towers par Peter Jackson
The Lord of the Rings : The Return of the King par Peter Jackson
La Chapelle du Diable par Evan Spiliotopoulos
The Wonder par Sebastian Lelio
Le Roi Arthur : La légende d'Excalibur par Guy Ritchie
Le Dernier Voyage du Demeter par André Ovredal
Yannick par Quentin Dupieux
The Hunt par Craig Zobel
Elizabeth : L'Âge d'or par Shekhar Kapur
Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés par Rian Johnson
Largo Winch : Le Prix de l'argent par Olivier Masset-Depasse
The Gray Man par Anthony et Joe Russo
DECEMBRE
LIVRES
Werner Bischof par Claude Roy
Elégie de Marienbad par Goethe
Le Doudou méchant par Claude Ponti
Histoires pragoises par Rainer Maria Rilke
FILMS
Le dernier des Mohicans par Michael Mann
Time Cut par Hannah Macpherson
SOS Fantômes : La Menace de Glace par Gil Kenan
Venom : The Last Dance par Kelly Marcel
Marie par D. J. Caruso
Sans identité par Jaume Collet-Serra
Heretic par Scott Beck et Bryan Woods
Reminiscence par Lisa Joy
An American Pickle par Brandon Trost
Renfield par Chris McKay
Carry-On par Jaume Collet-Serra
Céline (En français dans le texte) par Louis Pauwels et Yann Jouannet
Cold Blood Legacy : La Mémoire du sang par Frédéric Petitjean
Loups-garous par François Uzan
Le Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim par Kenji Kamiyama
Oppenheimer par Christopher Nolan
SERIE
Stranger Things par Matt et Ross Duffer
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
2/10
Je ne souhaite pas revenir sur mon expérience de la guerre. Je me suis tout de même ouvert de votre remarque sur les allemands à Albertine, mais nous avons été interrompus par Marc-Antoine, l'aîné de mes fils, qui a fait valoir son point de vue d'une façon bien bruyante, arguant que ce sont les hommes de peu qu'on a envoyé sur le front, et que les vrais responsables de la boucherie ne sont que des bourgeois bien abrités derrière les lignes. Pardonnez mon fils, ce n'est encore qu'un enfant et il s'est mis à lire Marx ces derniers temps. Je n'y connais pas grand chose, mais je me demande si c'est une lecture bien pertinente pour un garçon de douze ans. Albertine ne cesse pourtant de me dire combien Marc-Antoine est intelligent, et si je me fie à mon propre intellect à son âge, cela semble peut-être plus compréhensible. Quand à vos douleurs, ce n'est pas mon sujet de conversation préféré, mais sachez que j'ai les mêmes dans le bras, et qu'il est des jours et des nuits où elles ne laissent pas en paix.
Je suis cependant catastrophé d'apprendre pour le mariage de votre fille. Ce garnement ne mérite pas les biens de ses pères et j'ose espérer que jamais un homme ne traitera mes filles de cette façon. Les scandales m'ennuient. Et pour votre épouse, ne vous en faites pas, elle finira par saisir l'importance de votre tâche et vous laissera en paix avec ses états d'âme. Il est malheureux qu'elle n'ait pas les mêmes centres d'intérêt que vous, comme cela vous auriez au moins pu lui proposer de vous accompagner. Vous pourrez toujours lui dire pour la rassurer qu'elle n'a pas les difficultés de mon Albertine : mon épouse déteste partir loin des enfants, mais notre passion commune pour l'Egypte est si grande que le choix n'est pas aisé pour elle.
Sur ce, je retournes à mes exercices de graphie. Me voici revenu à l'école élémentaire à tracer des séries de majuscules à la plume. J'imagine qu'en désespoir de cause, je pourrai toujours engager un secrétaire bien que l'idée me répugne : jamais il n'aura dans ses écrits le niveau d'exigences auquel je m'astreins.
Votre cousin, Pr. Constantin Le Bris
P.S : Mes condoléances pour le décès de votre neveu Thomas. Je ne l'ai pas bien connu, mais mon neveu Alexandre m'a assuré que c'était un jeune homme fort aimable.
P.S 2. Albertine vous fait savoir qu'elle se fera grand plaisir d'écrire à votre épouse.
Transcription :
Adelphe « Ah Tintin, tu as déjà fini de manger ? »
Constantin « Exact. Je m’y suis mis en avance, je suis toujours d’une horrible maladresse avec mes couverts et je ne voulais pas contrarier Grand-Mère. »
Adelphe « Tu aurais pu attendre Madame Legens. Elle aurait au moins réchauffé ton repas. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, Adelphe. J’en ai bien plus qu’assez de dépendre des autres pour n’importe quelle tâche futile. »
Adelphe « Fort bien. En attendant, te voilà à manger froid. »
Constantin « Et toi alors ? Tu ne manges pas avec les autres ? »
Adelphe « J’ai une réunion tôt à la distillerie. Les gars veulent créer un syndicat, et ils souhaitent une heure de concertation avec la « délégation patronale ». J’imagine que c’est moi. Ah, et je sais allumer le poêle accessoirement. »
Constantin « Bon à savoir. Tu me montreras comment faire à l’occasion. J’ai encore du travail, des lettres en retard, donc je vais monter. A moins que tu veuilles que je te tiennes compagnie. »
Adelphe « Pas besoin. Je vais finir rapidement. Ah et Tintin, tu as encore mal à ton bras ? »
Constantin « Non, pas spécialement. »
Adelphe « Ne me mens pas, je t’ai entendu grogner toute la nuit depuis ma chambre. »
Constantin « Ce n’était rien, vraiment. Tu dors donc si mal ? Encore tes cauchemars ? »
Adelphe « Non, une simple petite insomnie passagère. »
Constantin « Menteur, tu as les yeux rouges et des cernes ! »
Adelphe « Bon… je pense qu’on devrai arrêter de se mentir Tintin. »
Constantin « Tu as raison, nous ne sommes pas assez doués pour cela et en plus cela ne nous rassure ni l’un ni l’autre. »
Adelphe « Il faut croire qu’on s’est tout les deux bien abîmés ces dernières années. »
Constantin « Sans doute… Ah et j’y pense ! Ne laisse pas Marc-Antoine discuter avec les ouvriers. Je n’ai rien contre le socialisme, contrairement à mon père, mais il est en train d’en faire une obsession ! »
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Nuisibles amours
Parfois la vie s'acharne et
ce soir cette fille m'a charmé
l'aimer de suite ? J'en suis capable,
j'm'attaches trop vite, ce vice m'accable.
Les flirts se succèdent et j'ai peur du succès,
s'il faut que je fuis, je suffoque là nuit.
Un baisé, puis on baisé, j'ai baissé ma garde,
pulsions, des illusions, désillusion si j'm'attarde.
On s'enlace le soir et on s'en lasse plus tard,
d'où vient ce besoin de devoir tout gâcher ?
L'amour est risible, on s'aime, puis je sens qu'tu mens,
on finit par se détester.
L'amour est nuisible, on sème nos sentiments, et on finit par se délaisser.
J'me sens coupable à chaque fois que j'ai envie de toutes les séduire.
J'en ai fait des coups bas pour assouvir mes désirs, mais j'prends plus de plaisir.
Il y a cette fille, calée sur les bancs de la fac, engagée dans une relation bancale.
Elle cherche la faute.
On décolle, et quand on atteint l'émoi, l'espoir s'éteint.
Elle ne cherchait qu'une nuit merveilleuse dans sa vie périlleuse.
Puis elle redevient sérieuse, comme si elle ne m'avait jamais regardé dans les yeuz.
L'amour est risible, on s'aime, puis je sens qu'tu mens,
on finit par se détester.
L'amour est nuisible, on sème nos sentiments, et on finit par se délaisser.
Une autre a de l'amour pour moi, je me demande pourquoi ?
j'ai du lui mentir deux trois fois pour l'avoir sous mes draps.
Elle aurait tout fait pour nous, mais moi j'étouffais surtout.
La gorgé nouée par l'amour que je ne portais qu'à une seule femme.
"Quoi ? Tu t'ai foutu de moi ! Un jours tu t'en mordra les doigts !"
Pourtant j'ai remis mes baskets, j'ai continué à prendre mon pied.
Jusqu'à ce qu'une nuit, le temps s'arrête. J'ai fini par regretter.
J'ai nié, et nié... par peur de la vérité. Mais l'amour m'a rendu niais.
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Lyrics - La Robe Vert and Les Amants du Saint Laurent
Lyrics for the two folk songs that inspired my story. I haven't found a written source for the lyrics of La Robe Verte, but this is my best guess from listening. Maybe someone will have suggestions for the missing bits (and/or better translations than I attempted, and better grammar than mine.) La Robe Verte (De Temps Antan) [English below]
Dessus la pont de Londres un jour ont mi promené J’ai recontreé ma mie, j’ai voulu l'embrasser Les gens de la justice m’a rendu prisonier
Quand la belle a entendir que son amant est pris Elle prend sa grande robe verte et son cheval gris Est sans retard à la porte à la fond du logis
Arrivée à la porte, trois petit coups frappon “Ô monsieur de la justice par votre permission De parler a mon maître qui est dans la prison.”
“Ô si servente vos maître vous pouvez y parler, Il est dans la prison avec les prisonniers Au milieu de la place d’armes au milieu du marché.”
Arrivée à la porte, trois petit coups frappon “Ô prends ma grande robe verte et mon cheval gris Et vos attente dans la ville ne tarde pour longtemps [?]
Comme ont retour j’y aillu je suis connue la [?] Ô prends ma grande robe verte et mon cheval gris Et vos attente dans la ville ne tarde pour longtemps” [?]
Quand elle fu dans l’ échelle [cinq courses y par a mont?] “Ô monsieur de la justice vous n’avez pas raison De faire pendue une fille sur l’habits des garçons”
“Si vous ete une fille ditez-moi votre nom” “Je m’appelle Marguerite, Marguerite c’est mon nom, Une fille de grande mérite d’une riche maison.”
La belle si retourne avec le [propre moisé ?] “Je vais manqué de juge, de son bonne [écarlé ?] Avec ma grande robe verte, j’ai mon amant sauvé.”
---
The Green Dress
One day I was taking a walk on a London bridge I met my sweetheart, I wanted to kiss her The judge’s men imprisoned me
When the belle hears that her lover is taken She takes her big green dress and her gray horse And without delay the door at the back of the house
Arriving at the door, three short knocks “O judge, with your permission To speak to my master who is in the prison.”
“O yes servant you can speak with your master, He is in the prison with the prisoners In the middle of the parade ground in the middle of the market.”
Arriving at the door, three short knocks “O take my big green dress and my gray horse And your wait in the city won't last long
As I returned I was known [?] O take my big green dress and my gray horse And your wait in the city will not last long” [?]
When she was five steps up the scaffold “O judge, you are wrong To hang a girl in boys’ clothes”
“If you are a girl tell me your name” “My name is Marguerite, Marguerite is my name, A girl of great merit from a rich house.”
The belle returns with [her own clothes?] “I'm going to miss the judge, and his good [?] With my big green dress, I saved my lover.”
---
Les Amants du Saint Laurent (Le Vent du Nord) [English below]
Pierre-Joseph était un jeune marchand, n’avait seulement que 19 ans. Louise Cadet, fille du marchand-boucher, a quant à elle 17 années. Québec 1754, amoureux fous ils sont tombés, dans une veillée d’la vieille Agathe.
Quand ils voulûrent partir pour se marier, “grande jeunesse” les accusants, Jean le tuteur du bien trop jeune galant refusa son consentement. Ils dûrent s’enfuir vers Montréal, Éviter les charivaris, Prendre un canot en pleine nuit
On su leur fugue et aussitôt envoya Les archers d’la Marrée-chaussées Fleuve Saint-Laurent, s’a grève de Saint-Nicolas Les amoureux fûrent capturés Dans les cachots d’la Capitale Pierre accusé d’enlèvement S’enfuit de la prison Royale
Sept ans plus tard, par un beau lundi matin Trois petits coups sans prévenir C’est votre amant qui à nouveau tend la main Ouvrez la porte des souvenirs J’ai parcouru bien des vallées pour revenir à l’endroit même où mes yeux vous avaient quittés
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The Saint Lawrence Lovers
Pierre-Joseph was a young merchant, only 19 years old. Louise Cadet, daughter of the merchant-butcher, is 17 years old. Quebec 1754, they fell madly in love at one of old Agathe’s parties.
When they wanted to leave to get married, their accusers said “You’re so young.” Jean, the guardian of the far too young gallant, refused his consent. They had to flee to Montreal, Avoid the charivaris, Take a canoe in the middle of the night
They learned of their escape and immediately sent the archers of the marshall’s guard Of the Saint Lawrence River, on the strike of Saint-Nicolas day, The lovers were captured In the dungeons of the Capital Pierre was accused of kidnapping, and he ran away from the Royal prison
Seven years later, on a beautiful Monday morning Three little knocks without warning It is your lover who once again reaches out his hand Open the door of memories I have traveled many valleys to return to the very place where my eyes had left you
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Napoléon V: Dear deputies, dear senators,
We French have the reputation of waiting for a great political upheaval to satisfy public opinion. Personally, I am deeply convinced that we must do Good in order to earn the country's trust. My Government will dedicate itself entirely to this task.
I must, in view of the many questions, answer them. Only well-defined causes create deep convictions, just as highly deployed flags inspire sincere devotion.
Is the Empire an enemy? Some of us see it as a retrograde policy, an enemy of the Enlightenment, eager to prevent world peace through its ambitions. The Empire would be the antithesis of the civilizing French Revolution.
No. See for yourself, the Third Empire has kept all these revolutionary principles at the head of its Constitution. That is exactly what the Empire is: it frankly adopts everything that can ennoble hearts and exalt minds for the Good. Against abstraction, the Emperor, who embodies the Constitution, must have a strong Power, because the march of any new power is a struggle.
The prerogatives of the Power of the Emperor are a decoy which serves as a pretext to the hostile parties. Many of you expect a crackdown on the rebels. How can the death of a man benefit a supposedly noble cause in the very country of the Rights of Man and Citizen?
One saw some men, during the tragic night of the death of my father the Emperor, agitating the country and confessing themselves highly enemies of the national institutions. They reject with disdain your votes. They use their political rights only to undermine our institutions.
Members of Parliament, you will not allow such violence to be repeated. Since the pacification of spirits must be the constant goal of our efforts, you will help me to seek the means to silence extreme opposition. I eagerly welcome all those who recognize the national will. To the others, let them know that their time is over.
⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 1 Floréal An 230
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Emperor Napoléon V makes a speech to the French Parliament. He calls for the union of parties for the protection of national institutions. He also called for the opening of parliamentary discussions on the repression of revolts. Finally, the coronation of Emperor Napoléon V will take place in autumn of the year 230.
Napoléon V : Chers députés, chers sénateurs,
Nous, Français, avons la réputation d'attendre un grand bouleversement politique pour satisfaire les opinions publiques. Personnellement, je suis intimement convaincu qu'il faut plutôt faire le Bien pour mériter la confiance du pays. L'action de mon Gouvernement s'y consacrera entièrement.
Je me dois, au-vu des nombreuses interrogations, d'y répondre. Il n'y a que les causes bien définies qui créent de convictions profondes, tout comme les drapeaux hautement déployés inspirent des dévouements sincères.
L'Empire est-il un ennemi ? Certains d'entre nous y voient une politique rétrograde, ennemi des Lumières, désireux d'empêcher la paix dans le monde par ses ambitions. L'Empire serait aux antipodes de la Révolution Française civilisatrice.
Non. Voyez par vous-même, le Troisième Empire a gardé tous ces principes révolutionnaires en tête de sa Constitution. C'est exactement cela, l'Empire : il adopte franchement tout ce qui peut ennoblir les cœurs et exalter les esprits pour le Bien. Contre l'abstraction, l'Empereur qui incarne la Constitution, doit avoir un pouvoir Fort, car la marche de tout nouveau pouvoir est une lutte.
Les prérogatives du Pouvoir de l'Empereur sont un leurre qui sert de prétexte aux partis hostiles. Beaucoup d'entre vous attendent une répression face aux révoltés. Comment la mort d'un homme peut-elle profiter à une cause prétendue noble au sein même du pays des Droits de l'Homme et du Citoyen ?
On a vu quelques hommes, durant la nuit tragique de la mort de mon père l'Empereur, agiter le pays et s'avouant hautement ennemis des institutions nationales. Ils rejettent avec dédain vos suffrages. Ils n'usent de leurs droits politiques que pour miner nos institutions.
Membres du Parlement, vous ne permettrez pas qu'une telle violence se renouvelle. La pacification des esprits devant être le but constant de nos efforts, vous m'aiderez à rechercher les moyens de réduire au silence les oppositions extrêmes. J'accueille avec empressement tous ceux qui reconnaissent la volonté nationale. Aux autres, qu'ils sachent que leur temps est révolu.
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Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la vie mais quelques heures
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
Johnny Hallyday
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Je pense à toi..
Je ne l’avoue pas, tu sais.. J´me cache derrière des silences, je fais comme si tout allait bien.. Je mène ma barque, relève les manches..
La vie continue et moi j’essaye de suivre ma route.. Regarder droit devant.. Un pas après l'autre.. Jour après jour..
Je dis aux gens que tout va bien, que la page est tournée.. C’est bon, il fallait juste du temps.. Un peu.. Beaucoup.. Passionnément..
Mais tu vois je mens.. À eux.. À moi.. À tous..
La vérité c’est que tu es partout.. À chaque carrefour.. À chaque coin de rue.. Je te vois, je t’imagine, je t’espère.. Pour que tu fasses partie de mon univers..
Je rêve de toi, la nuit, le jour.. J’voudrais que tu puisses être là, même pas longtemps , même mal, même si c’est faux..
Je trompe ma tête.. J´esquive mon cœur.. Je leur dis, mais non c’est pas le manque qui pèse lourd.. c’est juste la solitude..
Je leur dis, mais oui , ça va aller, il faut juste s’habituer..
Mais tu sais , les souvenirs sont tenaces.. Une musique , une phrase, un parfum … et tout revient..
Je ne sais plus très bien ce que je suis ici sans toi.. J’essaie, c’est promis..
À toi je peux la dire, la vérité toute nue..
Tu me manques..
Je pense à toi...
Auteur inconnu
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Cette nuit c'était trop bien parce que c'était lent. Je sais pas comment dire mais là plupart des nuits, je me réveille, je regarde l'heure et jsuis en mode "eh il est déjà 6h du mat'". Alors que cette nuit jme suis réveillée au moins 5 fois et à chaque fois, on était loin du réveil genre 1h, 3h, 4h et c'était trop bien. J'ai remarqué que quand je me réveille et regarde l'heure, si c'est à côté du réveil, ça m'angoisse, impossible de me rendormir, mais quand c'est vraiment éloigné, ça me permet de me rendormir et mieux dormir surtout parce que mon cerveau est soulagé. c'est pour ça qu'en période d'insomnies vraiment rudes, je mets systématiquement mon réveil 2h plus tôt que le vrai pour berner mon cerveau et lui créer un faux soulagement en gros. Et bref, j'aime trop quand ça se fait naturellement comme cette nuit. J'ai pas dormi longtemps au final mais purée ça men a donné l'impression.
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Extraction\ : Entre
Jette si je mens je meurs moins entre la nuit et la journée entre rationaliser le réel l'histoire des problèmes source d'ennuis.
(idem, 2021)
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but there’s no one to equal - playlists for gus the theatre cat’s mates, for @bombawife‘s OC week (album art by @the-cat-at-the-theatre-door)
andromeda: 01. the sweetest sounds - diahann carroll and richard kiley | 02. silver threads and golden needles - the seekers | 03. poor wand'ring one - valerie masterson | 04. anytime, anywhere - sarah brightman | 05. roots - the arcadian wild | 06. keyboard concerto in g minor bwv 1058, i. allegro - johannes sebastian bach | 07. the lusty month of may - sierra boggess | 08. ela - andromache | 09. barcarolle: belle nuit ô nuit d’amour - fatma said and marianne crebassa | 10. movement - hozier | 11. i got rhythm - dorothy dandridge | 12. connais-tu le pays où fleurit l'oranger? - denyce graves | 13. what do the simple folk do - julie andrews and richard burton | 14. hourglass - mindy gledhill | 15. the joys and sorrows of life - johannes bornlöf | 16. a world without love - postmodern jukebox | 17. you and me against the world - helen reddy | 18. when i am laid in earth - jessye norman | 19. move on - bernadette peters [listen]
lila: 01. mountain sound - of monsters and men | 02. shy - megan loughran | 03. el mirar de la maja - montserrat caballé | 04. right hand man - heidi blickenstaff | 05. una voce poco fa - pretty yende | 06. sa’altak habibi - fairuz | 07. cigarettes in the theater - two door cinema club | 08. courtyard lullaby - loreena mckennitt | 09. where do we go from here - philippa soo and adam chanler-berat | 10. ah, je ris de me voir (the jewel song) - angela gheorghiu | 11. i remember - betty buckley | 12. divino - carla morrison | 13. horn concerto no. 3 in e flat major, k. 447: III allegro - wolfgang amadeus mozart | 14. people - barbara streisand | 15. the magic wood - joan baez | 16. o namenlose freude - jessye norman and reiner goldberg | 17. fear no more the heat of the sun - robin hendrix | 18. saturn - sleeping at last | 19. c'est l'amour, l'amour vainqueur (the violin aria) - angela brower [listen]
#I love these two half to death and need to create more content for them... <3#cats the musical#OCs#cats oc week#if music be the food of love play on
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