#le gothique féminin
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Suite 1221 of St. Francis Hotel, scene of Roscoe “Fatty” Arbuckle's infamous party. Photo taken 5 September 1921
A scene from Sophia Coppola’s Marie Antoinette (2006) portraying the Queen’s bedchamber in the aftermath of the 1789 Women’s March on Versailles
#roscoe arbuckle#fatty arbuckle#marie antoniette 2006#sofia coppola#parallels#le gothique féminin#Old Hollywood#silent era#uploaded
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Claudia Schiffer
W Magazine, September 1999.
“Cannes Artist”
Ph. Juergen Teller
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ENVIE D'EN SAVOIR PLUS SUR LE THEME ? C'EST ICI QUE ÇA SE PASSE !
« Does such a thing as the fatal flaw, that showy dark crack running down the middle of a life, exist outside literature? I used to think it didn’t. Now I think it does. And I think that mine is this: a morbid longing for the picturesque at all costs » Donna Tartt, The Secret History.
QU’EST-CE QUE « DARK ACADEMIA » ? D’OÙ ÇA VIENT ?
Le genre dark academia est plutôt un esthétisme ayant émergé sur Tumblr vers 2015, créé par certains jeunes cherchant à reproduire un univers sombre bien présent dans certains ouvrages de la littérature classique, souvent anglaise (The Secret History, Donna Tart). Il ne s’agit pas d’un genre à proprement parler, mais d’un mouvement regroupant plusieurs caractéristiques visant à mettre en avant la culture intellectuelle, le prestige et l'élitisme, ainsi que la beauté mélancolique.
L’ambiance visuelle a été façonnée par le cinéma, qui accentue le prestige et le caractère sombre des personnages à travers des lieux toujours plus incroyables, souvent de style gothique, notamment en Angleterre. La plupart du temps, Oxford est la star de cet univers, comme on peut le voir dans le film The Riot Club de Lone Scherfig.
Les personnages de cet univers ne croient pas en la rédemption, mais plutôt au pouvoir par la connaissance et l’excellence. Cette obsession, souvent transmise de génération en génération ou développée pour s’émanciper d’une vie misérable, les pousse à voir le savoir comme un pouvoir auquel ils s’accrochent. Ils visent toujours la première place sous les projecteurs. Ce sont des êtres rongés par la solitude, aux esprits tourmentés par de nombreux combats intérieurs et des dilemmes immoraux.
Les protagonistes vivent dans la noirceur, souvent marqués par leur vulnérabilité et l’instabilité de leur caractère. Ils se noient la plupart du temps dans leur soif d’ambition, de folie et de mort. Ils incarnent l’archétype du personnage perdu dans ses propres limbes, avec une obsession morbide pour le culte du savoir et de la vérité, qui tend à devenir presque religieux.
La plupart des personnages sont passionnés par les arts classiques tels que la musique, la poésie, le théâtre et la peinture. Ils participent également à des clubs plus exclusifs, parfois sportifs, comme l’escrime, le club d’échecs, ou des cercles typiquement masculins ou féminins, où se mêlent soirées trop alcoolisées et comportements souvent à la limite du tolérable.
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Les Époux Arnolfini de Jan van Eyck.
LIVRE/Les époux Arnolfini de Jan van Eyck disséqués par Jean-Philippe Postel
Crédits: National Gallery, Londres
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C'est l'un de plus célèbres tableaux du monde. Conservé depuis 1843 à la National Gallery de Londres, ce panneau de moins d'un mètre de haut se voit intitulé, pour des raisons de commodité, «Les époux Arnolfini» (1). Son auteur ne fait aucun doute. Il s'agit de Jan van Eyck, qui l'a pourvu d'une tr��s visible signature. L’œuvre porte une date, 1434. Le caractère alambiqué de l'inscription en caractères gothiques, «Jan van Eyck fut ici en 1434», ne permet cependant pas de savoir si c'est l'année de sa création ou si l'événement rapporté s'est déroulé cette année-là. De toute manière, ce chef-d’œuvre admirablement conservé ne saurait être postérieur de beaucoup. Van Eyck, dont on ignore la date de naissance, est mort en 1441.
La peinture a déjà fait couler beaucoup d'encre. Elle pose des problèmes complexes d'interprétation. Ancien médecin, Jean-Philippe Postel n'est pas historien de l'art. Il utilise ici les travaux des chercheurs professionnels, en y ajoutant une «observation clinique attentive». Il s'agit en effet de tout voir, même ce qui se révèle microscopique. Van Eyck reste le maître absolu du détail, même s'il y en a tout de même moins ici que dans la «Vierge du chancelier Rolin», à l'iconographie plus simple, qui se trouve depuis la Révolution au Louvre. Là, certains personnages d'un paysage urbain presque infini mesurent moins de trois millimètres.
Une histoire connue depuis 1516
Le tableau connu sous le nom des «Arnolfini» n'a pas toujours porté ce titre. On ne sait rien de son exécution. Il apparaît en 1516, ce qui semble déjà remarquablement précoce, chez Don Diego de Guevara, qui l'offre à Marguerite d'Autriche, régente des Pays-Bas. Il passe ensuite à Marie de Hongrie, la sœur de Charles-Quint, qui s'occupe des mêmes provinces. Elle le ramène en Espagne où il pend encore au début du XIXe siècle au Palacio Nuevo, qu'occupe Joseph Bonaparte, le frère aîné de Napoléon, promu roi à la force des baïonnettes. Après, on ne sait pas. Joseph quitte le pays avec nombre de tableaux, dont beaucoup se trouvent aujourd'hui à Aspley House, la maison des ducs de Wellington en plein Londres. Le colonel William Hay aurait retrouvé celui-ci en 1815 dans une maison belge...
L’œuvre a toujours passé pour mystérieuse, à la manière d'un rébus. Marie de Hongrie l'avait fait fermer par des volets cadenassés, signe de secret à cacher. Dès 1516, le personnage masculin est nommé Hernoul-le-Fin. Par assonance, le historiens en ont fait Arnolfini. Il s'agirait d'un membre (mais lequel, au fait, vraiment Giovanni?) d'une des ces nombreuses familles italiennes faisant du commerce à Bruges, dans le port de laquelle entre vers 1430 jusqu'à 100 bateaux par jour. Les Florentins ou les Lucquois passent quantité de commandes à Van der Weyden, Hugo van der Goes ou Memling.
Le petit chien sans reflet
Le tableau montre un couple bourgeois et prospère. L'homme et la femme ne se regardent pas. Lui tient une main en l'air, dans l'attitude du serment. Elle lui tient la main. Il y a devant eux un ravissant petit chien dont le reflet ne se retrouve pas sur le miroir placé au fond du décor de chambre. Postel va donc se lancer, à la suite de Margaret L. Koster (2003) dans une histoire de mort. La femme en vert est décédée. Elle est un instant sortie du Purgatoire. Sa main brûle celle de son veuf. L'auteur s'appuie là sur des textes médiévaux mêlant théologie et histoires de revenants. La dame n'est donc pas enceinte. Il s'agit d'une mode des débits du XVe siècle, que l'on retrouver dans le costume féminin national coréen, le hanbok.
Le couple a pourtant eu un enfant. Mort-né, sans doute. Le prouverait une troisième bougie du splendide lustre de cuire. Allumée, la première incarne l'homme. Elle se trouve du reste dans la partie gauche du tableau, le lieu de vie. Eteinte et à droite, la seconde désignerait l'état du spectre. Mais il y a un moignon de cire sur une troisième bobèche. La femme sans identité (on a parlé de Giovanna Cenami) a-t-elle été remplacée? Oui pour Postel. Il y a au fond du tableau des pantoufles, signes d'une félicité nouvelle. «Elles préexistent à l'apparition et elles persisteront après elles.» Ce sont donc celles de la remplaçante, à moins que l'époux fidèle n'ait laissé la chambre, meublée avec un luxe extrême, en l'état après la mort de son épouse. En couches, sans doute.
Un jeu de construction
Je ne vous donne là que quelques-unes des innombrables suppositions que l'auteur aligne en tenant compte des mentalités de la fin du Moyen Age. Il s'agit d'un jeu de construction. Tout demeure improuvable. Il existe même le risque que l'hypothèse de départ soit fausse. Passionnant, le jeu n'est pas nouveau en soi. Certaines œuvres attirent le commentaire, au danger de la sur-interprétation. Notons que beaucoup d'entre elle sont flamandes et remontent aux années 1500. Je viens de retrouver dans ma bibliothèque «Jérôme Bosch et la fable populaire» de Jacques Darriulat (Lagune, 1995), un auteur qui semble avoir disparu. Il y ramenait «L'escamoteur» à une légende médiévale mettant en scène l'empereur romain Néron. J'ignore quelle est aujourd'hui la version officielle du sujet d'un petit tableau de Bosch en apparence très anodin. On dit et on écrit tant de choses...
(1) Les Anglais, plus aventureux, parlent cependant de "The Arnolfini Weddding".
Texte d'Etienne Dumont.
«L'affaire Arnolfini», de Jean-Philippe Postel préface de Daniel Pennac, aux Editions Actes Sud, 159 pages.
http://www.bilan.ch/etienne-dumont/courants-dart/livreles-epoux-arnolfini-de-van-eyck-disseques-jean-philippe-postel
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Les souvenirs d'antan
Sont les crépitements
Provenant de l'âtre d'une cheminée
La source délicate
Et sucrée du pain d'épices
Et de cacao chaud
L'amertume d'un café corsé
Ils flottent dans l'atmosphère
Des fragrances de lavande,
Mélangées au doux parfum de fleur d'oranger
S'accorder le temps d'une parenthèse
Le temps d'un récit narratif
Tout en appréciant l'écoute musicale
Des perles de pluie,
Venues délicatement caresser les velux.
Les feuilles d'automne
Cèdent leur place aux flocons hivernaux.
À chacun sa bulle, son petit nid douillet
Cotons tout doux
Plumes d'anges
Enveloppé d'une douce chaleur apaisante.
Que vous soyez amateur de fanfictions
Ou que votre cœur chavire pour des idylles romanesques
Course poursuite vers des thèmes mystérieux et fantastiques
Récits alternatifs et enquêtes à résoudre
Ou encore vous laissez abondamment submerger
Par un côté somptueusement sombre
Passant de l'art gothique à un zeste de poésie
Écrit brut et masculin
En paradoxe a des extraits de fragilité féminine
Jusqu'à s'attarder un instant sur
Le désir ardent d'érotisme...
Et bien dans ce cas,
Vous êtes arrivés au bon endroit.
Ce compte est pour vous et moi.
Plongez dans mon univers.
Venez... et rêvez...
Un espace cocooning
Aménagé spécialement pour vous !
Oui, vous...
Pour tous les rêveurs et destiné à mes lecteurs.
Je vous souhaite du fond de mon cœur un bon voyage,
Une escapade poétique,
Un séjour magique et essentiellement une bonne lecture.
🥀 La Petite Rose Noire 🥀
✦͙͙͙*͙*❥⃝∗⁎.ʚ 🥀 ɞ.⁎∗❥⃝**͙✦͙͙͙
𝕰́𝖈𝖗𝖎𝖛𝖆𝖎𝖓 [𝕽𝖊́𝖈𝖎𝖙 𝖊𝖓 𝖋𝖗𝖆𝖓𝖈̧𝖆𝖎𝖘]
𝕿𝖊𝖝𝖙𝖊 𝖎𝖓𝖙𝖊́𝖌𝖗𝖆𝖑 𝖆̀ 𝖗𝖊𝖙𝖗𝖔𝖚𝖛𝖊𝖗 𝖘𝖚𝖗
𝖂𝖆𝖙𝖙𝖕𝖆𝖉 & 𝕴𝖓𝖐𝖎𝖙𝖙
𝕾𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖊 𝖕𝖘𝖊𝖚𝖉𝖔 :
🥀 𝕷𝖆𝕻𝖊𝖙𝖎𝖙𝖊𝕽𝖔𝖘𝖊𝕹𝖔𝖎𝖗𝖊 🥀
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Uchiha Sarada : Time Skip
Texte anglais pdf traduction google ci-dessous
Mes interrogations :
Qui est-ce ? Quel est ce personnage féminin ? Est-ce Sarada ? L'héritière des Uchiha ? Vraiment ? Dois-je regarder son emblème pour savoir à quelle famille elle appartient ? Où est elle donc passée la Sarada pleine de prouesse et de promesses de Kishimoto sensei ? Toutes enfants ressemblent à leurs parents, plus ici, alors, qui est-ce encore un fois ? Qui est -ce cette Sarada qui ne ressemble plus à sa maman ni à son papa ni même à aucunes des femmes Uchiha [Mikoto, Izumi, Naori] ? Je ne la reconnaît plus, elle ne ressemble plus du tout à une Kunoichi mais à un spectre. On dirait qu'elle est une pauvre enfant perturbée depuis que le père qu'elle estime, Nanadaime Hokage n'est plus là. Elle est devenue méconnaissable et coupée de ses liens familiaux [culturel surtout]... misère...
Mon malaise :
D'abord dans l’attitude de Sarada ; elle s’affiche libertine et est vêtue de manière débrayée et devenue carrément irrespectueuse envers la nouvelle autorité de Konoha ou surtout comme une adolescente en perdition [souvent en conflit avec papa] se trimbalent avec des genoux cagneux percher sur des hauts talons qu'Ikemoto lui fait porter comme une prostituée depuis ses 11- 12ans et qui ne sont portées que par des femmes adultes comme Tsunade et Sakura par Kishimoto-Sensei. Son attitude donne plus l’impression qu'elle est une ados qui sort de boite de nuit, plutôt qu'une Kunoichi qui sort de terrain d’entraînement. Ce sont des attitudes que l'on ne retrouves nullement dans l'adolescence et adulte de sa mère Sakura Uchiha.
L'apparence et l'habillage :
Mal fagotée et d'apparence gothique, elle n'est en rien élégante, ni même mignonne, cela ne ressemblent en rien à ses parents ni du Clan Uchiha pour ses membres connus. On dirait plutôt quelle débarque d'un autre manga et cela fait contre nature. Elle est plutôt un composite de plusieurs personnages qui sont sans liens avec elle [excepté Karin] !
La Tsuchikage Kurotsuchi pour la coiffure garçonne et les boucles d'oreilles.
Karin Uzumaki pour les lunettes depuis Gaiden.
La Mizukage Meï Terumî pour les épaules entièrement dénudées.
Eida pour le micro-short.
Avec tous ses éléments, on va encore se demander « qui est sa mère ? ».
Autre éléments troublant : Pourquoi lui faire mettre une veste qui évoque l'Akatsuki à Sarada ? C'est de très mauvais goût que de faire cette référence au passé sombre de son père et son oncle en vu de l'assombrir ! Pauvre Sarada, qui en plus d'être assombrie, devient laide avec cette nouvelle coiffure qui la dévisage et avec ses lunettes qui ne l’embellisse pas. Elle n'est plus féminine, mais tout bonnement féministe [y a pas de ça à Konoha] et cela ne ressemblent, une nouvelle fois, en rien à la coiffures de sa mère, de son père. Des inutiles hauts talons qui ne permettent pas le dynamiste des courses au combat. Une veste tombante et surdimensionnée au couleurs de l'Akatsuki, [manquent plus que les nuages rouges] qui ne convient pas au combat, cela ne fait qu'entraver les mouvements des bras en attaque. Ou alors dans un autre cas, en général, quand une jeune femme porte une veste surdimensionnée, c'est que cette veste est celle de son petit ami [QUI ?] mais le problème reste le même. Visiblement Ikemoto ne conçoit pas la nécessité de costume de Kunoichi pour Sarada, il ne la considère pas. Il ne conçoit de vêtements féminins que pour l'appât !
Commentaire :
Il aurait été tellement judicieux, subtile et intelligent [comme la pichenette d'Itachi ❤], qu'Ikemoto donne quelque référence culturel familial à Sarada en la laissant ressembler à Mikoto Uchiha, plutôt qu'à je-ne-sais-qui. Ainsi au travers de sa petite-fille en mission partie combattre, on aurait pu s'imaginer dans le dynamisme des actions, comment aurait pu être les attitudes et les compétences de Kunoichi de Mikoto dans sa carrière, vu que l'on n'a aucune connaissance sur le sujet. Cela aurait été un coup de génie, un coup de maître de la part d'Ikemoto vu que Kishimoto-sensei n'a jamais écrie dessus. Une connexion Sarada – Mikoto aurait été magnifique ❤ ! Une Sarada qui ne ressemble plus à une Uchiha est-ce encore l'héritière des Uchiha ? Ou dans un autre genre, un Boruto qui au lieu d'être devenu badass et Shinobesque, serait vêtu comme un proxénète et devenu un pervers-narcissique à lèvres vertes, ça serait déconcertant pour tous [sauf ceux aux goûts iconoclastes].
Un Boruto qui ne ressemblerait plus à un Uzumaki est-ce encore le fils du Nanadaime Hokage et du petit-fils Yondaime Hokage ?
Je n'ai trouver nul part parmi les fan-arts officiels et non-officiels (Tumblr, Pinterest, DeviantArt) une Sarada aussi terne, mal fagotée et horrible !
Au contraire, j'en trouves beaucoup avec des costumes Kunoichi dans un style art Kishimoto avec cheveux longs, ressemblent à sa grand-mère Mikoto, sans lunette, badass et mignonne, non sexualisée ou peu. Sarada sous Kishimoto-sensei : Était d'élite et respectée, elle avait une grande quantité de chakra et savait naturellement l'affiner, elle avait éveillées ses Sharingan et savait instinctivement les utiliser en bons escients, le sens de l'analyse accrue, elle utilisa le Taijutsu de sa mère « l'Ôkashô ». Elle rayonnait et son rêve était grand celui de devenir Hokage Légitime. De ce fait, elle aurait parachevé le rêve de son père en rétablissant l'honneur des Uchiha et mettant fin une bonne fois pour toutes au cycle de la haine de son clan. Mais hélas, son histoire c'est arrêter à Gaiden. Sous Boruto : Naruto next generations d'Ikemoto tout cela n'est plus qu'une fumisterie... Ikemoto ne conçoit pas Sarada pour être Hokage Légitime, trop peu d'efforts lui son consacrés pour qu'elle obtiennes des hauts-faits, une seul fois en tant qu'accroche, elle à marquée un point pour l'obtention c'était contre Boro-la-purge ! N'étant pas mâle et risquant de concurrencer le héros Boruto, la voilà systématiquement réduite à être une Loli destinée uniquement à l'appât, affichant ses cuisses de grenouilles, à un intérêt amoureux inutile et une demoiselle en détresse toujours...
Bref donner Sarada Uchiha à Ikemoto, c'est jeter des perles aux pourceaux. Vraiment navrant !
Je terminerais par cette illustration entre la Sarada de Kishimoto et celle d'Ikemoto.
Aurevoir Sarada-chan
Note d’espoirs :
On peut encore espérer, quelques arroches pour rehausser son niveau :
Qu'elle obtienne un Kama de Kaguya Ôtsutsuki. Puisque Naruto & Sasuke ont perdu leurs pouvoirs, cela pourrait la libérer temporairement du Fûinjutsu Rikudô — Chibaku Tensei pour quelle puisse choisir Sarada comme réceptacle.
Qu'elle devienne le Jinchûriki de Kokuô [Gobi]. Cela lui rehausserait premièrement son niveau de chakra qui famélique et l’aiderais considérablement à se servir de ses Sharingan. Secondement à décupler sa force physique. Cela avait été utile pour Naruto contre Kaguya Ôtsutsuki.
Qu'elle devienne au dépend de son identité, une Nin-Cyborg par les soins d'Amado. Cela lui donnerais au minimum le niveau d'une Delta ou de Jigen au mieux + des pouvoirs sans chakra et magiques et permanent comme Eida & Daemon.
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J24 ▪️ Mellrichstadt - Irmelshausen
20,3 km [533,0]▫️+395 m [+11 710]▫️19 °C
Quel bonheur ! Aujourd’hui on part sous le ciel bleu. Enfin, ne nous enflammons pas non plus. Pour être précis, c’est sous la moitié bleu du ciel que nous partons, parce que là-bas, c’est gris. Mais nous, on s’en contentera bien.
Aujourd'hui, c’est la huitième de finale France - Maroc à 13 heures (du championnat du monde de foot féminin évidemment). Compte tenu de l’heure qu’il est, que l’hôtel ouvre à 14 heures et que l’étape semble roulante, si on ne mollit pas trop et que la télé dans la chambre marche, on devrait pouvoir voir la fin du match ! En attendant, on suivra l’évolution du score sur le smartphone. Enfin, s’il y a du réseau. On aura du réseau qu’il y aura déjà 2-0, puis 3-0. Même plus de suspens !
On arrive au village après avoir fait le tour du château local ceint de douves (ce qui en fait un Wasserschloss, nous apprend la pancarte). L’hôtel est une vieille bâtisse. Pas de terrasse, de baie vitrée, d’enseigne, juste « Gasthof zur Linde » (hôtel des tilleuls) peint en lettres gothiques sur la façade. On monte les quelques marches du perron. La porte est fermée. Un écriteau indique de passer par la cour derrière l’hôtel. Il y a là une petite terrasse. La porte semble fermée. Pas de sonnette. On essaie. C’est ouvert… et on tombe nez à nez avec une vieille dame qui sort de la cuisine. Elle nous envoie dans la salle pendant qu’elle retourne d’où elle vient. La salle est dans son jus. Le vieux fils arrive en boitant. Il ne trouve pas notre réservation. Puis la trouve, on a la 9. Une voix derrière lui dit qu'elle n'est pas prête. On aura la 1. Frühstück ? 8h30. Abendessen ? 18h30. Si nous n’avons plus besoin de rien ils vont nous laisser car ils doivent partir. Ils seront de retour vers 17h00. Et ben on a eu chaud !
Après avoir remis le câble de l’antenne, on aura les dernières minutes du match sur la ZDF.
Le Abendessen est un peu triste. La dame est toute seule. Pas de clients à part nous, puis une dame seule en tenue de randonneuse. La carte tient sur un recto avec un plat « Vegetarische ». Parfait ! Sur le bout du comptoir, il y a une vieille photo d’un monsieur qui n’était déjà plus tout jeune, avec un petit bouquet dans une chope en grès et la photocopie de ce qui ressemble à un avis de décès. Pas sûr que « Les tilleuls » refleurissent au printemps.
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pull
ce pull rayé en cachemire a un charme fou, en pure laine mérinos, il comblera les exigeantes, mode féminine, style décontracté, style chic.
cachemire, #pull rayé, #oversize, #mode, #grunge, #gothique, #femme, #laine, #mérinos, #tendance, #hiver
Ha un fascino pazzesco questo maglione in cashmere rigato, in pura lana merino, soddisferà le donne esigenti, moda femminile, stile casual, stile chic.
cashmere, #maglionerighe, #oversize, #fashion, #grunge, #gothic, #donna, #lana, #merino, #trendy, #inverno
This striped cashmere sweater has a crazy charm, in pure merino wool,t will satisfy the demanding, feminine fashion, casual style, chic style.
cashmere, #striped sweater, #oversize, #fashion, #grunge, #gothic, #woman, #wool, #merino, #trend, #winter
Este jersey de cachemir a rayas tiene un encanto loco, en pura lana merino, satisfará la moda femenina exigente, el estilo casual, el estilo chic.
cashmere, #suéter de rayas, #oversize, #moda, #grunge, #gótico, #mujer, #lana, #merino, #trendy, #invierno
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Las Cholas : Féminité et fierté des origines de la chica
Nous nous sommes intéressées aux CHOLAS, ce sont les femmes des gangs mexicains, situés en Californie depuis les années 70 dont les principaux gangs aujourd'hui sont " la Maras Salvatrucha" (dite MS) et la M18 qui ont chacun leur langage codé, leur rite, leurs tatouage et se haïssent cordialement.
Ces femmes ont créé leur propre identité et mouvement, la naissance d'un style de vie particulièrement féminin, fidèle à leurs maris gangsters entre misère et richesse.
"Gravée à même la peau, incrustée jusqu’à la dernière heure, l’identité chola n’est pas interchangeable. Incarcéré, dépouillé de ses propres vêtements, le cholo est certain de conserver ce qui le définit. Abattu, exposé sur la paillasse en acier d’un établissement funéraire, il demeure avant tout un chicano fier de ses racines, dont l’encre guadalupéenne lui servira de viatique pour le passage dans l’au-delà. Car la plupart exhibe en sus de pyramides ou des héros de la Révolution, un tatouage de la Vierge de Guadalupe, label de garantie de ses origines mexicaines." Extrait de OFF LIMITS: MEXICAN CHOLOS GANGS TERRITORIES IN THE ERA OF GLOBALIZATIOn de Nathalie Augier de Moussac lien
"Je suis fière d'être la petite copine de gangsters" dirait une Chola. "Moi aussi j'ai un style, je fais des réunions et des choses."
Sur insta vous trouverez le compte de Guadalupe Rosales "Veteranas and rucas" qui montre bien ces femmes au quotidien, leur style, leur attente. 'Veterana'= dédier son travail et son temps à la culture du gang, 'ruca'= une fille"
Les "latinas" ont une grande influence sur le style et la contreculture en Californie du Sud depuis les années 70 . Le look (chaînes avec son nom, coiffure, tattoo, les poses, la police de caractères germaniques, leurs engins lowridés bien bling bling qu'utilisa des actrices et chanteuses comme Gwen Stefani par exemple et qui a influencé les gangstas noir américains.
Même si elles influencèrent par leur style, la vie d'une chica latina n'est pas toujours facile, faite de petites victoires, de peurs pour son amant, pour ses cousins, sa famille, ses enfants qui vivent de misère entourés d'armes et de drogues, de séjours en prison et de rêve parfois d'une vie bien rangée.
Un film "Mi vida loca " d'Allison Anders de 1993 raconte cela, la vie des jeunes femmes fidèles aux gangs aux USA. "Boulevards nights de 1979 qui racontent la vie de Deux frères mexicains, Raymond et Chuco Avila, vivent avec leur mère à Los Angeles. Raymond est sérieux, travaille dans un garage et veut se marier. Chuco, toujours en proie à une crise d'adolescence, est instable et cherche à s'affirmer en participant aux virées nocturnes sur le grand boulevard où la bande à laquelle il appartient affronte une bande rivale. .
Le documentaire plus réaliste: La Vida Loca de Christian Poveda qui paya de sa vie son reportage brutal de 2009 au Salvador où l'on découvre "Le quotidien des Maras, ces gangs salvadoriens dirigé par Jeremie Zucharello, connus pour leur ultra violence et leur cruauté. Ils sont construits sur le modèle des gangs de Los Angeles et sèment la terreur dans toute l'Amérique centrale.
dailymotion
Ci-dessus, La Chola de Mike Giant, le celèbre illustrateur qu'on apprécie bien et sa marque Rebel 8.
La chola: on voit les signes de main spécifique des gangs. Elles entourent de fil leurs mains pour symboliser leur appartenance. Le cholo writing, l'écriture gothique, les symboles catholiques des tattoos voir un gang connu : 18ST.
CHOLOWRITING
L’écriture cholo à Los Angeles dès 1940 de François Chastanet constitue une des plus anciennes formes de graffiti.
en savoir plus
Gwen Stefani, chanteuse iconique des 90's, influence punk, ska et reggae au début avec son groupe No Doubt. Chanson mythique "I'm just a girl" sur l'album Tragic Kingdom. Son style qui rappelle les Cholas et l 'écriture gothique des gangs mexicains @michaelgrecco qui a sorti une anthologie de photo punk post new wave.
ou Lourdes, fille de Madonna
Pour aller plus loin:
Nous avons trouvé deux magazines références de l'époque : Low rider / Teen angels dédié à cette culture (1981)
-Les mouchoirs peints des prisonniers chicanos "las Panos" mexicains
-Les codes des mains des gangs des cholos Signaux secrets - 1981 alphabet
PHOTOGRAPHIE
..."La photographe Graciela Iturbide a pu vivre avec et observer un groupe de femmes de la communauté pendant un jour et demi en détaillant de près leurs activités. L'image représente Rosario, Lisa et Cristina en tant que membres du gang White Fence, dont les origines remontent aux années 1920 et font référence à la clôture entourant l'église catholique La Purisima. Le tirage immortalise leurs expressions jeunes et leurs coiffures mousseuses, sourcils fins, yeux lourds délimités, des lèvres d'un rouge profond qui complètent les hauts blancs, les dickies foncés ou les pantalons bouffants qui définissaient le style chola - au Mexique, un terme désignant une femme membre d'un gang de rue - à la mode dans les années 1980. En gros plan, Iturbide privilégie leurs signes secrets de la main. Tourné alors que les femmes se tenaient devant une peinture murale avec des portraits de Benito Juárez, Emiliano Zapata et Pancho Villa, elle leur a demandé d'identifier les personnages. Ils ne pouvaient pas, malgré une nostalgie chicano pour tout ce qui était mexicain. Pour Iturbide, cela signalait une sous-culture de double marginalisation - pas assez mexicaine, mais existant en marge d'une culture américaine dominante"..
extrait de l'article de Konbini -
un apercu de son travail pour cette prophète en son pays le mexique.
Exposition tirage à la Fondation Cartier "Heliotropo 37"
LOWRIDING
Et oui le ride, objet de contre culture, un sujet qu'on adore. Les mexicains se sont réappropriés leurs voitures ou vélos avec des symboles révolutionnaires culturels mexicains sur la carrosserie, des suspensions hydrauliques (monter et descendre sur ses roues), du pinstriping... Les codes et la culture du Lowrider chicanos fut revendiqué, recopié ensuite par les gangs afroaméricains. Cette façon de parader avec sa voiture rappelle le temps des parades mexicaines traditionnelles en famille. On peut admirer encore aujourd'hui et plus que jamais ces magnifiques voitures dans des concentrations et clubs @Lowrider.Events
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Mexican gothic de Silvia Moreno-Garcia
[résumé du livre]
Honnêtement, j'ai adoré ce livre ! Mais d'une manière extrêmement personnelle et un peu cachée. Je ne crois pas que j'irais crier partout que tout le monde doit lire ce roman car il est merveilleux. Mais ce n'est pas non plus un pécher mignon, je n'ai pas honte d'aimer ce livre, il n'est pas mauvais. En fait je crois que c'est de la bonne littérature, très clean, ce qui fait vraiment plaisir. Je l'ai lu il y a plusieurs mois maintenant et j'y repense encore de temps en temps. Il est si clair, si bien mené, l'ambiance est si bien tissée, l'intrigue si bien ficelée et les personnages si complets, que cette histoire fait maintenant partie du corpus de mon imagination.
En même temps c'est un livre plutôt simple et réconfortant. Rien de trop spécial je crois, mais impactant pour moi ! Je n'avais jamais lu de livre "gothiques" (à part Dracula si ça compte) et je ne sais pas si ce livre est un bon représentant du genre. Je n'avais jamais lu de livres où la maison est un personnage à part entière. Je n'avais jamais lu un livre comme ça.
Moi j'aime quand les livres critiquent le racisme, l'eugénisme, le patriarcat, la société dans toute sa pourriture, les livres de solidarité féminine, de femmes fortes et d'angoisse.
Ne t'attends pas à du frisson, ce n'est clairement pas horrifique. L'ambiance est pesante et étouffante, il y a des fantômes, oui, des meurtres, oui, des monstres, oui, mais ce n'est pas de l'horreur. C'est sans doute ce qui m'a plu. Je déteste qu'un livre bascule dans le gore ou dans l'épouvante.
Je recommande si tu es trouillard.e, que tu aimes une ambiance lugubre qui transporte et les situations désespérées.
informations sur le livre : - âge conseillé : adulte - date de parution : 2021 - thèmes : secret de famille, eugénisme, colonialisme, magie, maison hantée, historique
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#hysteria#mental illness#psychiatry#primary sources#secondary sources#reposting coz it turns out I posted the Andrew Skull book twice 🙃#uploaded#le gothique féminin
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Brentiny propose une sélection de robes satinées pas chères pour femmes
Dans le monde de la mode, les robes satinées occupent une place de choix pour leur élégance intemporelle et leur capacité à mettre en valeur la silhouette féminine. La sélection de robes satinées pour femmes pas chères de Brentiny se distingue par sa qualité, son style et sa diversité, offrant ainsi une réponse adaptée aux besoins et aux envies de chaque femme. Cet article explore en profondeur pourquoi la collection de Brentiny mérite toute votre attention. Une variété de styles pour toutes les occasions La première raison de se tourner vers Brentiny pour trouver la robe satinée parfaite réside dans la variété exceptionnelle de styles proposés. Que vous recherchiez une robe pour une soirée élégante, un événement formel, ou simplement pour ajouter une touche de sophistication à votre garde-robe quotidienne, Brentiny offre un éventail de choix qui répond à tous les goûts. Des coupes classiques aux designs modernes, chaque robe est conçue pour valoriser la beauté naturelle de celle qui la porte. Qualité et accessibilité : une combinaison gagnante L'un des atouts majeurs de la sélection de Brentiny est la qualité irréprochable de ses robes, alliée à des prix accessibles. Conscients que le budget est un critère important pour de nombreuses consommatrices, Brentiny s'engage à offrir des robes satinées de haute qualité à des prix compétitifs. Cela signifie que vous n'avez pas à sacrifier la qualité pour le prix, permettant ainsi à chaque femme de s'offrir le luxe d'une robe satinée sans se ruiner. Des tissus satinés haut de gamme pour un confort absolu Le choix du tissu est essentiel dans la conception d'une robe, et Brentiny l'a bien compris. Les robes satinées de la marque sont fabriquées avec des tissus de haute qualité, choisis pour leur douceur, leur brillance et leur capacité à flatter la silhouette. Le satin, connu pour son toucher soyeux et son aspect lustré, confère aux robes une allure sophistiquée et un confort inégalé. Que ce soit pour une longue journée de travail ou une soirée dansante, vous vous sentirez à l'aise et élégante dans une robe satinée de Brentiny. Une mode responsable et durable Dans un contexte où la mode éthique et durable gagne en importance, Brentiny se positionne comme un acteur responsable. La marque s'engage dans une production respectueuse de l'environnement et des conditions de travail, en choisissant des fournisseurs qui partagent ses valeurs. En optant pour une robe satinée de Brentiny, vous faites donc un choix éclairé, soutenant une mode qui respecte à la fois les individus et la planète. Des conseils stylés pour sublimer chaque silhouette Brentiny ne se contente pas de vendre des robes ; la marque accompagne également ses clientes dans leur choix grâce à des conseils stylés personnalisés. Que vous ayez une silhouette en A, en H ou en O, vous trouverez sur le site de Brentiny des recommandations pour choisir la robe qui mettra le mieux en valeur votre forme. Cette approche personnalisée garantit que chaque femme peut trouver la robe satinée qui lui convient parfaitement, en fonction de son style personnel et de sa morphologie. A voir : Introduction au style gothique dans la mode féminine Une expérience d'achat en ligne optimale L'expérience d'achat sur le site de Brentiny est conçue pour être aussi agréable et efficace que possible. Avec une interface utilisateur intuitive, des filtres de recherche précis et des descriptions détaillées des produits, trouver la robe satinée idéale devient un véritable plaisir. De plus, la politique de retour flexible de Brentiny assure une satisfaction totale pour chaque cliente, renforçant ainsi la confiance dans la marque. Un choix évident pour les amatrices de mode La sélection de robes satinées pour femmes pas chères de Brentiny représente un choix incontournable pour toutes celles qui cherchent à combiner élégance, qualité et accessibilité. Avec une variété de styles, une attention particulière portée à la qualité des tissus, un engagement envers une mode responsable et des conseils personnalisés, Brentiny se démarque comme la destination parfaite pour trouver votre prochaine robe satinée. Ne manquez pas l'opportunité de découvrir cette collection exceptionnelle et de faire de Brentiny votre allié de choix dans la quête de l'élégance et du style. Read the full article
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KROH - Altars
Kroh est un groupe de Doom de Birmingham, patrie de Black Sabbath, Judas Priest.
Paul Kenney le compositeur et guitariste saupoudre ses riffs fuzzy au coulis doom sur la rythmique de plomb d’une lenteur ritualiste de Rich Stanton, avec un chant féminin envoûtant d’Oliwia Sobieszek, pour qui sait apprécier celui de Pat Benatar pour les 80’s et le neo metal des 90’s. Elle écrit les paroles également. Paul Harrington à la guitare et Darren Donovan à la basse couvrent les arrières ryhtmique mélodique.
La recette est coutumière, la sorcellerie enchanteresse est présente dans un style Doom occulte avec des accointances gothiques. Manque de la profondeur pour vraiment être emporté dans un marais incantatoire et crypte de l’enfer.
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Au Museum d'Histoire Naturelle
Attention
Avec le Haut-Karabakh
Pas une seule image
De militaires azéris
L'info n'est donc pas com il faut
Mais il est vrai
Il faut défendre la démocratie en Arménie
UE le PPE au féminin va mal
Trop au Centrum catho
Art gothique Allemand
Retour de l'ordre moral
Paritaire Dieu et Marie échec fatal
Et Madame Ursula Von der Leyen
Colonie Pénitentiaire
En son sein courageusement
Elle légifère
Mai attention elle gère
Un racisme d'enfer
Où il y a Wagner et Gerhard Schröder
Dimanche 1er octobre 2023
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AURA - ACTE I, Scène 5
Fandom : Vilebrequin
Pairing : Pierre Chabrier x OC féminin, Sylvain Levy x OC féminin, Gaytipla (Pierre Chabrier x Sylvain Levy)
Nombre de mots : 1 048 mots
Avertissement : Propos validistes
Résumé : Couleurs et émotions. D’un côté, la fierté. De l’autre, la honte. Comment avancer avec les pieds cloués au sol ? Comment communiquer quand le corps est lui-même restreint ?
Les réponses ne sont pas innées. Il faudra les chercher, partir à l’aventure dans un monde inconnu, quitte à découvrir plus qu’on ne le voudrait…
Note d’auteurice : Vous pouvez également lire cette pièce de théâtre sur Wattpad et AO3 ! <3
Partie : ACTE I, Scène 5
Personnages & Sommaire | ACTE I, Scène 1 | ACTE I, Scène 2 | ACTE I, Scène 3 | ACTE I, Scène 4 | x | ACTE I, Scène 6
Pierre entre dans le bureau où Lou se trouve déjà, en train de peindre, sur la deuxième moitié de la scène. Lou peint deux corps androgynes enlacés, sans que les visages ne soient encore reconnaissables. Son compagnon lui apporte un thé, qu’il pose sur la desserte à côté d’elle. Il l’enlace et l’embrasse brièvement.
PIERRE. Tu peins quoi ?
LOU. Ce qui me vient. Pour l’instant, je ne sais pas encore ce que c’est. On dirait un couple, tu trouves pas ?
PIERRE. Tu nous peins nous ?
LOU. Je te dis, j’en sais rien.
Elle se remet à peindre, alors Pierre trouve un coin pour s’y installer et l’observer, en silence. Il sourit, heureux de la voir s’épanouir dans son art.
LOU. Je pense que c’est Lou et Tristan. L’amour impossible, qu’on passe des années à s’imaginer sans jamais pouvoir le toucher – ou, quand c’est le cas, tout tombe à l’eau. Un amour de merde parce que le mec fait n’importe quoi et joue avec les sentiments de la pauvre Lou sans le savoir, et elle est trop naïve et plonge quand même dans la gueule de… euh, du loup. Jeu de mot involontaire.
PIERRE, grimaçant au fur et à mesure. C’est un message ? Tu parles encore de la BD ?
LOU. Oui, relax chéri, évidemment que je parle de la BD. Et après il y a eu Paul. Et Marie-Emilie. Rien ne marche, elle va de relation en relation sans trouver son bonheur. A titre personnel, je trouve qu’elle est plus heureuse avec Marie-Emilie, mais ça c’est parce que j’adore toujours un bon couple lesbien. Une hippie, une gothique, c’est parfait !
PIERRE. Tu sais que je ne vois absolument pas de qui tu parles ?
LOU. Oui, je sais. Ça m’aide à réfléchir, alors tais-toi et écoute. Ça peut être la mère de Lou, aussi. Elle est malheureuse en amour comme sa fille, avec la malédiction supplémentaire de se faire larguer chaque fois qu’elle tombe enceinte. Pour Lou comme pour Fulgor.
PIERRE. Fulgor ? C’est quoi ce nom ?
LOU. Tais-toi j’ai dit ! C’est le petit-frère de Lou. Mais c’est pas important. Enfin si, parce que c’est la cause de la fuite de Richard, mais c’est pas le personnage le plus important. En revanche, Marie-Emilie est super importante, mine de rien. Presque plus que Mina, la meilleure amie de Lou dès le début. Marie-Emilie se fait embrasser par Tristan pour rendre Lou jalouse, mais elle finit par s’en rendre compte. Et après elle se fait embrasser par une majorette. Elle est trop belle en même temps, je comprends. Marie-Emilie, hein, par la majorette. Enfin, la majorette est belle aussi, mais elle apparaît moins souvent. Je crois que j’avais envie d’être à sa place. Merde, j’en ai toujours envie. Marie-Emilie, c’est un crush d’enfance. Comme toi et… et qui déjà ?
PIERRE. L’acteur américain ? Page. Elliot, maintenant.
Elle lui lance un regard appuyé avec un sourire, qu’il ne comprend pas.
LOU. C’est ça. Et il est canadien. T’es toujours en crush ?
PIERRE. C’est un mec.
LOU. Je sais. T’es toujours en crush ?
Silence. Pierre détourne le regard et croise les bras, mal à l’aise.
LOU. J’ai compris. On parle pas de ta fascination pour, hum, certains mecs. Mais tu sais bébé, je suis moi-même bi, je t’en voudrais pas si t’étais pas hétéro.
Elle se remet à peindre. Pierre, lui, fouille ses poches et son environnement.
PIERRE. J’ai mis où mon téléphone ?
Il quitte la pièce. Lou le regarde faire puis revient à sa peinture.
Quand il revient, quelques secondes plus tard, son téléphone en main, Lou pose son pinceau dans une des deux tasses posées sur la desserte.
PIERRE. Sylvain m’a appelé.
LOU. Ah ? Il t’a envoyé un message pour te dire pourquoi ?
PIERRE. Il a laissé un message…
LOU, avec une grimace. Merde, il déteste en laisser, d’habitude. Écoute vite.
Pierre acquiesce, il tapote rapidement sur son téléphone, concentré. Lou attrape la tasse sans pinceau, la porte à ses lèvres… et recrache tout. Surpris, son petit ami relève la tête et rit, moqueur.
PIERRE. J’irais te refaire un thé, je crois.
LOU. La ferme. Putain, à chaque fois…
Elle se met à nettoyer le sol et à ordonner son espace de travail pendant que Pierre écoute le message, tout à fait concentré dessus. On voit au fil des secondes son visage se fermer, affichant une expression peinée et inquiète. Il l’écoute entièrement et reste figé un instant à regarder son téléphone une fois fini.
LOU. Alors ?
PIERRE. Charlotte l’a quitté. Il va pas bien du tout, il—merde, faut que je me dépêche. Faut que j’y aille, je vais te faire ton thé rapidement et—ou bien tu veux venir ?
LOU. C’est à toi d’y aller, Pierre. T’en fais pas pour mon thé, je suis une grande fille, je peux me le faire seule.
Pierre la regarde un instant puis, sûr de lui, il quitte la pièce. Lou commence à remballer son matériel, mais il revient pour l’embrasser. Elle s’éloigne.
LOU. Va le retrouver. C’est avec lui que tu veux être ce soir.
PIERRE, confus. Ça veut dire quoi ?
LOU, avec un sourire. Que je te connais, Pierre. Allez, arrête de parler, il a besoin de toi.
Il embrasse sa joue et repart.
LOU, avant qu’il ne quitte la pièce. Et n’hésite pas à l’inviter à la maison !
Il quitte la pièce. Lou finit de ranger et quitte la pièce à son tour, laissant Sylvain seul de son côté de la scène, où il essayait de survivre à sa crise.
Il bouge peu, ou sinon des mouvements répétitifs qui le rendent honteux. Des mouvements d’enfants en plein caprice. Ce n’est pas le cas, mais il ne le sait pas. Il pleure encore, par intermittence. Alors, quand c’est le cas, la lumière augmente. Elle devient vive et le reste quand la porte s’ouvre, l’effrayant.
C’est Pierre. Il entre, les yeux fixés sur son meilleur ami, et s’assoit au sol, à un mètre de lui, sans oser parler. Il n’en a pas besoin et il le sait, au moins. Il attend que Sylvain vienne à lui.
Il prend son temps, mais peu à peu, Sylvain rampe jusqu’à lui et se blottit dans ses bras. Pierre le serre fort contre lui, si fort qu’il a l’impression de le briser. Il continue. Il est en train de le réparer, ne serait-ce que pour ce soir, cette nuit, qu’il passera avec lui… La lumière baisse doucement, paisible, jusqu’à s’éteindre sur leur embrassade.
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Panopticon
Women receive instruction in the application of makeup, Jan 1940
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