#le diable boiteux

[weirdlookindog]

"We fought it out in the middle region of the air"

Tony Johannot (1803-1852) - Devils Fighting

illustration from Alain-René Lesage's "Le diable boiteux", 1840

[miercolaes]

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what's your phone wallpaper? very basic of me, but a wallpaper that comes from xiaomi automatically

last song listened to: ratatatata by morgenshtern

currently reading: le diable boiteux by lesage (i can't find the translated version, either lame devil or the devil upon two sticks??)

last movie: miss christina

last show: interview with the vampire the series rewatch

what are you wearing right now? grey nightshirt that says sleepover club

how tall are you? last time i checked, 161cm ( 5'3" )

piercings / tattoos? just ear piercings from when i was 1 or 2 maybe

glasses / contacts? none if we exclude the blue filter glasses i seldom wear

last thing you ate? homemade omelette

favorite color? black is not a color right? red

current obsession: the paranormal beyond ghosts, intuition and predicting stuff before it happens, skincare, imbrandonferris yt content, the mess that are the olympics rip, the many ways you can make coffee, halloween, real life murders

do you have a crush right now? the only crush i have is my own brain crushing me and all my hopes, but besides that, i suppose the entire cast of iwtv

favorite fictional character: with the risk of being cringe on main, characters my mutuals write

last place you traveled: the mall to look for that new gravity falls book

tagged by the high vamp @freakarus tagging: @chrislaplante, @playbarbies, @ofmuse, @herleaf, @liraspins, @endlss-voiid, @nomdepen & anyone else who wants to do this, please tag me!

[plaques-memoire]

Plaque en hommage à : Talleyrand

Type : Lieu de résidence

Adresse : 17 rue de l'Université, 75007 Paris, France

Date de pose : 1989 [inscrite]

Texte : Talleyrand, 1754-1838, habita cette maison en 1790

Quelques précisions : Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754-1838), généralement connu sous le simple nom de Talleyrand, est un religieux et homme politique français. Issu d'une famille aristocratique, il est destiné à une carrière ecclésiastique en raison d'une infirmité au pied (ses adversaires le surnommeront le "diable boiteux") mais il est davantage attiré par la politique et la diplomatie. Député lors de la Révolution française, il soutient la confiscation des biens de l'Église et contribue à la rédaction de la Constitution civile du clergé et, sous le Directoire, il est nommé ministre des Relations extérieures en 1797 et devient l'un des principaux conseillers diplomatiques de Napoléon Ier, avec lequel il finit toutefois par prendre ses distances en opposition à son expansionnisme. Il joue un rôle ambigu dans la chute de Napoléon en 1814, conspirant avec les puissances européennes pour rétablir la monarchie. Lors du Congrès de Vienne, il parvient à défendre les intérêts français face aux autres puissances victorieuses, utilisant son habileté diplomatique pour limiter les pertes territoriales et réintégrer la France dans le concert des nations européennes. Brièvement Premier ministre en 1815, il maintient une certaine influence politique jusqu'à sa mort. L'historiographie le juge souvent de façon ambivalente, le considérant à la fois comme un opportuniste et un diplomate visionnaire. Une autre plaque commémorative en son honneur peut être trouvée à Paris, rue Garancière.

[lafcadiosadventures]

curious about why Dumas makes a point of telling us Dantès dislikes Robert le Diable, but adores Le diable boiteux, especially its spanish style dance (as performed by romantic ballet mega star Fanny Elssler) Both pieces were apparently huge hits among the french romantic crew (Sand, Chopin, Balzac loved Robert, Gautier too and he was a devotee of Boiteux and its leading lady), both featured dance numbers that impressed (boiteux) or shocked (robert’s ghost-nun’s ballet) audiences… so I’m wondering if this reflects Dumas’ personal preferences or if it’s one of those inside jokes /references to friends romantic seemed to love

[count-lero]

Even though Metternich’s birthday has passed, I would still love to make some remarks on the piece of artwork I dedicated to him this year.

The first one being that yes, all the people featured there are real historical characters who meant something to him at the most spectacular point of his life. There are field-marshal Schwarzenberg, Wilhelmine von Sagan, his two unfortunate daughters - Maria and Clementine, Friedrich von Gentz and, of course, Monsieur de Talleyrand-Périgord - le Diable boiteux himself. 🥀

And the second one is a close-up of a jewellery that Wilhelmine of Sagan is holding in her hand, since I put a lot of effort into that bracelet despite its insignificance on a scale of the entire work. The design was created without any visual references, though based on a spectacular description from that one book - “Vienna, 1814” - aptly mentioned by @joachimnapoleon in her reblog. :) 💠

I will allow myself to quote the whole passage here, since it’s fascinating in many ways. (However, it’s a translation from English to Russian and then back to English, so I apologise in advance for any inaccuracies in the transmission of original text by David King)

It is probable that on New Year's Eve Metternich was especially lonely and dreary. He tried for the third time to beg the Duchess for a date. "I would hate to spend the first day of the new year, 1815, without seeing you," wrote the prince.

Before the champagne glasses rang, a package from a Viennese jeweler's store was delivered to the Palma Palace. Opening a small satin box, the Duchess found in it a gold bracelet of amazingly fine workmanship, decorated with diamonds, rubies, emeralds and amethysts. In the days of Romanticism each stone had its own symbolism. A diamond and a ruby spoke of love and fidelity; the other two marked birthdays: an amethyst for the Duchess of Sagan, an emerald for Prince Metternich. The messenger brought the package, as ordered by the Prince, "by the stroke of midnight."

Metternich attached a letter to the gift explaining the symbolic meaning of the letter G engraved on each stone: "I would be happy to put this bracelet on your lovely hand myself and say: "Gottgebe Gnade, Gluck, Gedeihen" ("May the Lord send you his blessing, give you prosperity and happiness")."

What Metternich himself did on New Year's Eve is unknown. The poet-songwriter La Garde-Chambona claims that he saw him at the New Year's ball at Count Zichy's, and this is quite possible, although one cannot ignore the young lyricist's tendency to somewhat free handling of dates. It is more likely that the prince, having put down the goose quill and sent the parcel around eleven in the evening, spent the night alone in the office of the state chancellery.

[christophe76460]

Mardi 18 février 2025

L’Éternel… c’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités.

Psaume 103. 2-3

Le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur.

Romains 6. 23

Le plus grand miracle

“Jésus… a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous ceux que le diable avait asservis à sa puissance” (Actes 10. 38). Il n’était dépassé par aucune détresse, aucune maladie, aucun handicap. Jésus n’améliorait pas simplement l’état des malades qui s’approchaient de lui, il les guérissait complètement. Il a envoyé ses disciples annoncer à Jean Baptiste ce message : “Les aveugles voient et les boiteux marchent ; les lépreux sont rendus nets, les sourds entendent, les morts ressuscitent” (Matthieu 11. 5).

Si Jésus guérissait ainsi les handicaps physiques, il est aussi capable de nous guérir d’une maladie incurable, mortelle, qui, telle la lèpre, ronge l’humanité : le péché qui est dans tout être humain, et qui nous prive de relations avec le Dieu saint et juste. Jésus n’améliore pas l’être humain pécheur. À celui qui croit que Jésus Christ a expié ses péchés sur la croix, Dieu donne une vie nouvelle, la vie éternelle. Il est sauvé entièrement et définitivement. Dieu le voit comme “parfait à perpétuité” (Hébreux 10. 14). Il est un être nouveau, un enfant de Dieu ; Dieu est son Père.

Tel est le pouvoir de Jésus Christ et tel est son amour. Qui que nous soyons, Dieu peut et veut nous pardonner “toutes nos iniquités (nos péchés)”. Une seule chose pourrait me priver de son salut : mon refus de l’accepter. Mais Jésus nous offre aujourd’hui la vie éternelle, un don qui est le plus grand de tous les miracles, et dont il a payé lui-même le prix.

la bonne semence

[yes-bernie-stuff]

Mardi 18 février 2025

L’Éternel… c’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités.

Psaume 103. 2-3

Le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur.

Romains 6. 23

Le plus grand miracle

“Jésus… a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous ceux que le diable avait asservis à sa puissance” (Actes 10. 38). Il n’était dépassé par aucune détresse, aucune maladie, aucun handicap. Jésus n’améliorait pas simplement l’état des malades qui s’approchaient de lui, il les guérissait complètement. Il a envoyé ses disciples annoncer à Jean Baptiste ce message : “Les aveugles voient et les boiteux marchent ; les lépreux sont rendus nets, les sourds entendent, les morts ressuscitent” (Matthieu 11. 5).

Si Jésus guérissait ainsi les handicaps physiques, il est aussi capable de nous guérir d’une maladie incurable, mortelle, qui, telle la lèpre, ronge l’humanité : le péché qui est dans tout être humain, et qui nous prive de relations avec le Dieu saint et juste. Jésus n’améliore pas l’être humain pécheur. À celui qui croit que Jésus Christ a expié ses péchés sur la croix, Dieu donne une vie nouvelle, la vie éternelle. Il est sauvé entièrement et définitivement. Dieu le voit comme “parfait à perpétuité” (Hébreux 10. 14). Il est un être nouveau, un enfant de Dieu ; Dieu est son Père.

Tel est le pouvoir de Jésus Christ et tel est son amour. Qui que nous soyons, Dieu peut et veut nous pardonner “toutes nos iniquités (nos péchés)”. Une seule chose pourrait me priver de son salut : mon refus de l’accepter. Mais Jésus nous offre aujourd’hui la vie éternelle, un don qui est le plus grand de tous les miracles, et dont il a payé lui-même le prix.

[bittersweetblasphemy]

getting really high and reading Le Diable Boiteux like i even know what the fuck is going on

[lonesomemao]

DORENAVANT

Avec Hollywood Netflix Langue anglaise Isabelle Adjani Visage pâle ridé Avec les pouvoirs de Talleyrand Dit le Diable boiteux Elle blonde le Vertige Marilyn Avec Alien Nicole Kidman

Jeudi 5 septembre 2024

[lechroniques]

"Did you ever read Le Diable boiteux? I feel like you'd find Lesage rather pleasant."

“𝓜𝒎 ⸺   no,   but   I   saw   Favart’s   operatic   adaptation   of   it   at   The   Comédie   -   Française,   I   believe   it   was   …   what, 1782?   Beautiful   production! That's if you   were   able   to   ᴵᴳᴺᴼᴿᴱ   the   annoying   excuse   for   a   tenor,   and   I   hesitate   to   call   him   even   that ...   he   had   ᴿᴬᴺᴳᴱ   like   a   fucking   garbage   disposal.”

[lesser-known-composers]

Jean Françaix - Le diable boiteux: "Nos deux voyageurs" ·

Doda Conrad, Hugues Cuénod, Jean Françaix, Jean Françaix Orchestra

[weirdlookindog]

"They enter into the councils of princes. . . and light the torches of war!"

Tony Johannot (1803-1852) - First-Class Devils

illustration from Alain-René Lesage's "Le diable boiteux", 1840

[plaques-memoire]

Plaque en hommage à : Talleyrand

Type : Lieu de naissance

Adresse : 4 rue Garancière, 75006 Paris, France

Date de pose : 2 février 2004 [inscrite]

Texte : Dans cette maison naquit Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754-1838), agent général du clergé, évêque d'Autun, député de la Constituante, ministre des Relations extérieures du Directoire, du Consulat, de l'Empire et de la Restauration, président du Gouvernement provisoire de la France en 1814, ambassadeur à Londres en 1830. "Je ne me suis jamais presé, et cependant je suis toujours arrivé à temps" (Prince de Talleyrand)

Quelques précisions : Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754-1838), généralement connu sous le simple nom de Talleyrand, est un religieux et homme politique français. Issu d'une famille aristocratique, il est destiné à une carrière ecclésiastique en raison d'une infirmité au pied (ses adversaires le surnommeront le "diable boiteux") mais il est davantage attiré par la politique et la diplomatie. Député lors de la Révolution française, il soutient la confiscation des biens de l'Église et contribue à la rédaction de la Constitution civile du clergé et, sous le Directoire, il est nommé ministre des Relations extérieures en 1797 puis, l'un des principaux conseillers diplomatiques de Napoléon Ier, avec lequel il finit toutefois par prendre ses distances en opposition à son expansionnisme. Il joue un rôle ambigu dans la chute de Napoléon en 1814, conspirant avec les puissances européennes pour rétablir la monarchie. Lors du Congrès de Vienne, il parvient à défendre les intérêts français face aux autres puissances victorieuses, utilisant son habileté diplomatique pour limiter les pertes territoriales et réintégrer la France dans le concert des nations européennes. Brièvement Premier ministre en 1815, il maintient une certaine influence politique jusqu'à sa mort. L'historiographie le juge souvent de façon ambivalente, le considérant à la fois comme un opportuniste et un diplomate visionnaire. Une autre plaque commémorative en son honneur peut être trouvée à Paris, rue de l'Université, où il résida.

[clove-pinks]

La Cachucha

1837 caricature print by Jules Joseph Guillaume Bourdet (Paris Musées).

The caption reads:

Madame, savez-vous si Mademoiselle Lili dansera ce soir la Cachucha? — Non Monsieur elle a la coqueluche et sa mère est en train de la sevrer.

(Madame, do you know if Mademoiselle Lili will dance the Cachucha this evening? No Sir, she has whooping cough and her mother is weaning[?] her)

Ignoring the odd choice of words, La Cachucha is a dance of Spanish origin that was a big deal in the 1830s, and I found a delightful video:

Although the quality is not the best of the several cachucha videos on YouTube, the dancer's movements look like they're right out of 1830s social dancing illustrations!

Her costume is modeled on that of Fanny Elssler in the 1836 ballet Le Diable boiteux, which made the cachucha wildly popular:

[galina-ulanova]

Irina Golub dancing the cachucha in Fanny Elssler’s Le Diable boiteux (Mariinsky Ballet)

[christophe76460]

Mardi 18 Février 2025

L'Éternel... c'est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités. Psaume 103. 2-3 Version Darby

Le don de grâce de Dieu, c'est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Romains 6. 23 Version Darby

Le plus grand miracle

"Jésus... a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous ceux que le diable avait asservis à sa puissance" (Actes 10. 38). Il n'était dépassé par aucune détresse, aucune maladie, aucun handicap. Jésus n'améliorait pas simplement l'état des malades qui s'approchaient de lui, il les guérissait complètement. Il a envoyé ses disciples annoncer à Jean-Baptiste ce message : "Les aveugles voient et les boiteux marchent ; les lépreux sont rendus nets, les sourd entendent, les morts ressuscitent" (Matthieu 11. 5).

Si Jésus guérissaient ainsi les handicaps physiques, il est aussi capable de nous guérir d'une maladie incurable, mortelle, qui, telle la lèpre, ronge l'humanité : le péché qui est dans tout être humain, et qui nous privent de relations avec le Dieu saint et juste. Jésus n'améliore pas l'être humain pécheur. Á celui qui croit que Jésus-Christ à expié ses péchés sur la croix, Dieu donne une vie nouvelle, la vie éternelle. Il est sauvé entièrement et définitivement. Dieu le voit comme "parfait à perpétuité" (Hébreux 10. 14). Il est un être nouveau, un enfant de Dieu ; Dieu est son Père.

Tel est le pouvoir de Jésus-Christ et tel est son amour. Qui que nous soyons, Dieu peut et veut nous pardonner "toutes nos iniquités (nos péchés)". Une seule chose pourrait me priver de son salut : mon refus de l'accepter. Mais Jésus nous offre aujourd'hui la vie éternelle, un don qui est le plus grand de tous les miracles, et dont il a payé lui-même le prix.

Source (La Bonne Semence)