#lapérouse
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Brice Tchaga, Kylian Mbappe and Blaise Matuidi at Tchaga’s birthday party at Lapérouse🥰
(2 weeks ago)
Also happy birthday to Blaise🎊❤️
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OUVRAGE | L'expédition Lapérouse, par Bernard Jimenez ➽ https://bit.ly/Ouvrage-Expedition-Laperouse Dans le sillage d'une des plus illustres expéditions maritimes : revivez cette exceptionnelle aventure humaine et scientifique du départ du port de Brest jusqu'au tragique naufrage à Vanikoro au milieu de l'océan Pacifique Sud
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Sur les traces de La Pérouse...
Quels sont les vestiges de l'expédition de La Pérouse et où les voir?
Je vous propose une liste de liens utiles puis un petit texte retraçant l'historique des recherches liées aux épaves de l'Astrolabe et de la Boussole.
Le plus complet : https://www.collection-laperouse.fr/, catalogue les objets retrouvés dans des catégories claires, avec des photos en haute définition et des légendes.
Musée maritime de Nouvelle-Calédonie : les collections de ce musée - plus de 9000 références aujourd'hui recensées - se sont enrichies au fur et à mesure des campagnes de fouilles des associations Fortunes de mer calédoniennes et Salomon. Environ 50% des collections gérées par le musée provient des épaves la Boussole et l'Astrolabe. Pas de collection numérisée. https://museemaritime.nc/musee/collections
Musée Lapérouse : après avoir été géré par l'Association Lapérouse Albi France de 2004 à 2017, le musée est aujourd'hui municipal. Pas de collection numérisée. https://www.mairie-albi.fr/fr/le-musee-laperouse
Musée national de la Marine : quelques objets avec de très bonnes photos et explications https://www.musee-marine.fr/nos-musees/brest/collections/oeuvres-phares/ecusson-de-fregate-de-lexpedition-laperouse.html
Poulies en bois à leur sortie de l'��pave de la Boussole, site de la Faille. Collection Drassm, droits: Teddy Seguin
La découverte du lieu du naufrage ne reviendra pas aux Français, mais à un bourlingueur irlandais, un géant téméraire né en 1788 à la Martinique : Peter Dillon. Il s’est déjà rendu à Tikopia, autre île de l’archipel des Santa Cruz aux îles Salomon, pour y déposer des amis, treize ans auparavant, mais n’a pas interrogé les insulaires sur le naufrage des navires français. Il savait pourtant que la France avait promis de récompenser toute personne ayant pu recueillir des informations sur le sort des frégates et des marins. À son deuxième passage à Tikopia, en 1826, il glane des informations qui lui permettent d’organiser une nouvelle expédition, à Vanikoro cette fois, d’où il rapporte en France des preuves incontestables. Il y sera fait chevalier de la Légion d’honneur, percevra une prime de 10 000 francs ainsi qu’une pension de 4 000 francs.
Marin et érudit, passionné par les grandes expéditions, Jules-Sébastien-César Dumont d’Urville obtient en 1826 les moyens d’organiser une expédition de recherche en Mélanésie. Mais sa quête d’informations, tandis qu’il sillonne l’Océanie, s’avère très difficile. Il apprend enfin la découverte de Dillon et atteint Vanikoro début 1828, où il collecte à son tour des vestiges et des informations précieuses.
En janvier 1828, le commandant de la Bayonnaise, Legoarant de Tromelin, lors de son escale à Callao (Chili), reçoit l’ordre de rejoindre, dans l’archipel des Santa Cruz ou des Nouvelles-Hébrides (actuel Vanuatu), une île nommée Mallicollo. Sur sa route, il fait relâche aux Fidji où il prend connaissance d’une lettre de Dillon à Dumont d’Urville lui conseillant de s’arrêter d’abord à Tikopia. De là, il rejoint Vanikoro où il recueille quelques reliques du naufrage ainsi qu’une tradition orale. À savoir « qu’une nuit obscure par un très mauvais temps », un bateau se brisa sur le récif et sombra corps et biens, tandis que l’autre s’échoua dans un endroit où le récif est interrompu. « Les naufragés durent être attrapés par les naturels, car un de ceux-ci, contemporain de l’événement, nous a dit que l’on se battit avec les Blancs, que les Blancs tuèrent beaucoup de monde, qu’ils lançaient des boulets gros comme des cocos ; que les Blancs, au nombre d’une vingtaine, avec un chef parmi eux, se sauvèrent du bâtiment qui fut mis en pièces par les vagues ; que ces Blancs s’établirent au village d’Ignama, à environ quatre milles au nord de Païou, qu’ils y restèrent environ six lunes et y construisirent une grande pirogue avec laquelle ils s’en allèrent tous.
Ecusson arrière de l'Astrolabe ou de la Boussole, fragment du tableau arrière de l'une des frégates, bois sculpté, vers 1785, et retrouvé par Peter Dillon, le 30 septembre 1827 dans le village d'Ammah à Vanikoro.
En 1883, Pallu de La Barrière, gouverneur de la Nouvelle-Calédonie, envoie l’aviso Bruat à Vanikoro. Il a pour mission de recueillir les objets rescapés du naufrage. Le Bruat ne reste que quatre jours à Vanikoro. Le commandant craint pour la santé de son équipage et les insulaires se montrent hostiles en cette époque où sévissent les bateaux de recrutement forcé. Il en rapporte néanmoins ancres, canons, pierrier…
À l’initiative de Pierre Anthonioz, alors commissaire-résident de France aux Nouvelles-Hébrides, le 15 mars 1958, le yacht Don Quijote quitte Port-Vila en direction de Vanikoro. Les autorités françaises ont été prévenues par Reece Discombe, un Néo-Zélandais installé à Port-Vila, lui-même plongeur passionné. Ce dernier a obtenu des informations de la part des employés de la compagnie forestière implantée à Vanikoro. Il participe donc à cette campagne de fouilles. Les recherches s’engagent sur le site de la Fausse Passe. Les méthodes, parfois expéditives, permettent néanmoins de remonter divers objets, métalliques pour la plupart. Le 19 mars, les plongeurs mettent au jour quatre grandes ancres « posées tête-bêche » et en rapportent une au Vanuatu (ex Nouvelles-Hébrides).
Ces découvertes ravivent la mémoire de la Marine. Le capitaine de vaisseau de Brossard, alors commandant de la Marine en Nouvelle-Calédonie, sollicite sa hiérarchie afin que soit envoyé officiellement un bateau français pour continuer de fouiller le site de l’Astrolabe et chercher celui de la Boussole. De Brossard recommande aussi d’envoyer sur place Haroun Tazieff, dont il apprécie les qualités. Le 17 juin 1959, le Tiaré et la Rocinante appareillent de nouveau en direction de l’île. Plus de six tonnes d’objets seront remontées à la surface. Dont des ancres, des canons, des saumons de plomb.
En 1964, averti par Reece Discombe de la découverte de reliques dans une faille du récif-barrière, le ministre des Armées demande qu’une expédition soit organisée sous la houlette du commissaire-résident aux Nouvelles-Hébrides, Maurice Delauney. L’Aquitaine atteint Vanikoro le 6 février. Sur le nouveau site, surnommé la Faille, les Français trouvent des objets qui permettent à Delauney d’ébaucher un scénario crédible du naufrage. Ce site semble bien être celui de la Boussole, mais le doute subsistera encore pendant quelques années. Cette petite mission, qui prend fin le 9 mars 1964, rapporte des éléments nouveaux et essentiels qui encouragent la Marine nationale à lancer d’autres expéditions.
Sous la direction du chef de mission – le capitaine de vaisseau de Brossard –, la Dunkerquoise mouille devant Païou au matin du 20 mars. Les marins remontent une cloche de bord, une poulie et deux pierriers en bronze, ainsi qu’un limbe de quart de cercle. La Dunkerquoise retourne à Vanikoro le 26 novembre pour une mission qui durera un mois. La moisson sera proportionnelle aux importants moyens humains et matériels déployés.
Cependant, à cause des bouleversements géopolitiques que traverse le Pacifique en cette fin de 20e siècle, la continuation des fouilles et la perpétuation du devoir de mémoire seront de nouveau assurées par une association de bénévoles (Association Salomon) jusqu’au retour de la Marine sur le terrain, en 1999, 2003, 2005 et 2008.
#lapérouse#La Pérouse#maritime history#histoire maritime#shipwreck#sailing#expeditions#French history
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Le restaurant LAPÉROUSE, Quai des Grands Augustins, Paris, 1850
#postcard#old#old postcard#vintage#retro#1800s#1850s#1850#19th century#xixth century#paris#lapérouse#restaurant lapérouse#quai des grands augustins#my posts
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Ceramic musealization: how ceramics are conserved and the implications for research by Jean-François de Lapérouse
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LADY GAGA DINES OUT IN CELINE S/S24 LOOK
There aren’t many headlines about the upcoming Olympics that don’t include Lady Gaga, and that is because she's expected to throw in a killer performance during the game's opening ceremony tomorrow!
Check out what she wore for her outing to dinner at Lapérouse yesterday.
As someone who takes growing their blazer collection very seriously … this feels like a must-have situation.
Gaga wore the Celine Spring/Summer 2024 classic double-breasted blazer in navy diagonal wool with gold buttons ($3,550).
Mixing denim for summer with business attire is such a huge trend now and I love seeing Gaga wear it so well here. Hopefully she remixes these Celine Spring/Summer 2024 Margaret Triomphe gourmette chain detail jeans somehow with skimpier tops sometime.
Shop:
Celine Classic Blazer ($3,550.00)
LG already debuted these Celine frames back in October! It‘s the sold-out Spring/Summer 2023 Triomphe 08 geometrical black acetate sunglasses with silver metal logo by the side ($510).
Next, she wore a pair of the vintage-inspired Mara 18k gold-plated ribbed square earrings ($50) by CENDRÉ.
Shop:
CENDRÉ "Mara" Earrings ($50.00)
On the styling front, I appreciate the tonal tie-in from her bag to her shoes here.
Gaga finalized her look with the Celine Spring/Summer 2024 Teen Nino patent leather bag with gold Triomphe logo closure ($3,300).
Shop:
Celine "Teen Nino" Bag ($3,300.00)
Her fav Pleaser Flamingo-1020 black vinyl platform lace-up ankle boots completed the look.
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Assiette chinoise "Crabe et Crevette" en porcelaine (Règne de Qianlong, circa 1760) présentée au “Musée Lapérouse” d'Albi , août 2023.
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Ingioiellare
Questa foto non è la dimostrazione di un vandalismo (benchè in parte lo sia). Proviene da uno dei salon privè di uno dei ristorante più famosi di Parigi, Lapérouse, 51 di Quai des Grands Augustins, aperto addirittura nel 1756. Divenuto famoso nell’800 quando in cucina c’era un certo Escoffier, era il ritrovo di aristocratici, artisti, avventurieri. E delle donne più famose della città. Lì si scambiavano anche preziosi gioielli gli amanti, e le dame erano solite “verificare” la natura delle gemme graffiando i vetri, che altro non sono che prove di “autentico amore”.
Questo è uno dei gustosi aneddoti di un libro fenomenale, scritto da una grande etnologa americana, Wendy Doniger
In questo saggio, in cui sin dalle prime pagine ho avvertito il piacere dell’autrice nello scriverlo, Doniger traccia un percorso di studio mitologico riguardanti il triangolo simbolico tra uomo, donna e anello. Non si tratta qui, come nota l’autrice, di anelli scambiati tra pari (come simbolicamente, ma non politicamente, si fa nel matrimonio) o in un gruppo per il potere (come può essere la contesa dell’anello nella saga de Il Signore Degli Anelli di Tolkien), ma di storie\mito dove l’anello svolge alcune funzioni principali. In quelle più antiche, è simbolo di riconoscimento, e serve come chiave di svolta in una situazione di dubbio: un figlio o una figlia di nobili natali abbandonati per i più vari motivi, vengono riconosciuti tali perchè avevano nella culla l’anello con il sigillo del padre, dando così all’anello funzione di riconoscimento di identità; altro filone ricchissimo è quello dell’anello ritrovato in un pesce, dopo essere stato perso, sia in circostanze fortuite sia in circostanze volute, che in questo caso indica la volontà del destino di segnare il suo possessore: si pensi al mito di Policrate, ricchissimo, a cui fu chiesto da Amasis, faraone d'Egitto, di rinunciare a qualcosa di veramente prezioso. Policrate decise di gettare in mare un preziosissimo anello a cui era molto affezionato. Tempo dopo, un pescatore pescò un pesce di dimensioni notevoli e decise di farne dono a Policrate, ma, mentre i cuochi lo cucinavano, ritrovarono nella sua pancia l'anello che aveva gettato in mare. Quando Amasis seppe che Policrate era riuscito a recuperare l'anello, capì che il tiranno era un uomo troppo fortunato e che prima o poi sarebbe stato colpito da una grave disgrazia. Non volendo essere travolto anch'egli dalla rovina di Policrate, decise di rompere l'alleanza. Tempo dopo, i timori di Amasis si avverarono. Nel 522 a.C., il satrapo persiano Orete attirò con l'inganno Policrate presso di sé e lo fece giustiziare mediante crocifissione. Da allora e per oltre un secolo i Persiani mantennero il controllo di Samo; il terzo tipo di anello è quello magico che strega la memoria e l’oblio, centrale per esempio nelle saghe norrere di Sigfrido, Gunther e Brunilde.
Un anello ha di per sè significati simbolici potentissimi: la sua forma, il gesto di essere indossato tramite il passaggio al suo interno, il cerchio come simbolo magico dell’infinito. Ma ovviamente c’è la sua simbologia di oggetto femminile per cui la Doniger individua degli idealtipi in cui rispetto all’anello è:
1. dono di un favore sessuale, cioè che la donna riceva il gioiello dagli uomini con cui va a letto, tema centrale di decine di romanzi dell’ottocento e ancora presente in certe visioni culturali contemporanee;
2. l’uso astuto del gioiello, cioè le donne usano il gioiello per conquistare (o riconquistare) mentre spesso gli uomini lo usano per svincolare le proprie promesse;
3. l’anello del riconoscimento identitario come strumento principe per un padre rispetto al proprio figlio;
4. il ruolo di equilibratore del mito e del gioiello, e della sua valenza per l’amore sessuale, sia in termini di durata della relazione sia della sua potenza;
5. l’anello e le sue storie come indirizzatore, seguendo Claude Levi-Strauss, tra i principi logici della ragione, cioè la dura realtà, che viene sopraffatta nel mito dalla razionalità, cioè il potere intrinsecamente “attendibile” del mito che serve in questo anche come regolatore della comunità;
6. Lo studio delle varianti, secondo il metodo Stith Thompson di classificazione (per cui sono identificati in un un catalogo numerato dei "motivi" ricorrenti nelle fiabe, per cui tutte le successive varianti o aggiunte possono essere descritta dalla somma di ogni motivo), ci fornisce “una massa cumulativa di dettagli psicologici diversi che, nel loro complesso, ci indirizzano verso i significati più profondi del mito, E il confronto di varianti precedenti e successive ci consente di cogliere i miti in formazione, un processo che possiamo ritrovare anche in esempi contemporanei” (pag. 22).
Lo studio, vertiginoso, parte dai più antichi testi indiani e arriva fino a Sex & The City, in un percorso che chiaramente fa capire come le esigenze posteriori, sebbene decisive, alla fine non riescano ad intaccare più di tanto dei meccanismi culturali che cambiano vestito, ma sono ancora presenti da noi. A questo proposito, è illuminante la vicenda di come la più grande compagnia di commercio dei diamanti abbia creato, dal nulla, la tradizione dell’anello di fidanzamento (operazione che nel mondo occidentale riguarda l’80% delle coppie che arrivano al matrimonio, di qualunque rito si tratti) facendo in modo che sembri un rito senza tempo.
Ellizabeth Taylor aveva una grande passione dei gioielli, tanto che la sua collezione, andata all’asta dopo la sua morte in beneficenza, fruttò la cifra incredibile di 100 milioni di dollari. Tra i suoi gioielli preferiti, c’era questo anello
un diamante di 33 carati, taglio Asscher, che Richard Burton, uno dei suoi 6 mariti (il suo amore più travolgente, e che sposerà due volte) le comprò nel 1968 per 305 mila dollari, cifra folle all’epoca. il diamante apparteneva a Vera Krupp, seconda moglie del famoso industriale tedesco Alfried Krupp, famiglia le cui acciaierie erano uno dei vanti della Germania di Hitler. Sposatisi nel 1956, la loro unione sfociò qualche anno dopo in un divorzio molto chiacchierato, in seguito al quale la donna si trasferì in America in un ranch di 500 acri poco distante da Las Vegas: nel 1959 l’anello fu rubato durante una rapina e i diamanti smontati furono ritrovati dall’FBI in differenti parti degli Stati Uniti sei settimane dopo. Il più grande fu comprato dal noto gioiellerie Harry Winston, che lo propose ai suoi migliori clienti, tra cui Burton che sempre per la Taylor comprò da lui la leggendaria collana con un diamante da 66 carati (venduta dopo il loro secondo divorzio da Liz all’asta, con il ricavato usato per costruire un ospedale in Africa). Ma da questo anello la Taylor non volle mai separarsi, e si dice malevolmente che se lo volesse portare per sempre con sé anche da morta, per questo principio morale: ”Mi piaceva l’idea che un simbolo legato la nazismo stesse così bene al dito di una ragazza ebrea”.
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So I was listening to Cécile Corbel's New album and ????
????
She made a song about the Lapérouse Expedition and I am legit crying
Will probably have to hide under my desk
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Restaurant Lapérouse. Menu. Années 50. Mumm ! les asperges de Vineuil !
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Last tidbit we had about the Lapérouse expedition was from locals who saw them make raft and waddle into the ocean never to be seen again
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Founded in 1766, it is one of Paris' oldest restaurants. Situated on the banks of the Seine, it was originally a townhouse commissioned by King Louis XV’s personal secretary, who intended it as a meeting place for wealthy businessmen.
The restaurant gained fame for its luxurious private dining rooms, known as salons privés, where Parisian elites and literary figures would meet in secrecy.
These rooms were fitted with mirrors that women would scratch with diamonds to test whether their jewelry was real—proof of how extravagant and secretive the place was. Lapérouse became a favorite haunt of French writers such as Émile Zola and Victor Hugo.
It’s rumoured to have been the setting for many clandestine affairs, adding to its mystique as a luxurious escape from the public eye. Today, it remains an iconic spot, offering both rich history and Michelin-starred dining.
Thank you FB @Life in Rural France
#parislife#parisian style#paris france#paris#a classical life#classical music#art#18th century#classic#classical history#classical art#classical musician#classical composer#classical#classical instruments#classical academia#modern classical
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208) Megapodius laperouse; nogal mikronezyjski, Micronesian megapode (megapod mikronezyjski), Micronesian scrubfowl (kurak zaroślowy mikronezyjski) - zagrożony gatunek megapoda, zamieszkujący wyspy zachodniego Oceanu Spokojnego.
Kurczak mikronezyjski (Megapodius laperouse) został nazwany na cześć francuskiego odkrywcy Jean-François de Galaup, hrabiego de Lapérouse.
Ptak ten nadal występuje na Marianach. Wcześniej odnotowano go na wyspach Asuncion, Agrihan, Pagan, Aguijan i Alamagan. Pozostała populacja kilku ptaków może przetrwać na Saipan i Tinian, a wyginął na Rota i Guam. Małe grupy ptaków często odwiedzają zarośla i zarośla niskich wysp peryferyjnych w regionie; jednak gdy występują na większych wyspach, można je również znaleźć w głębi lądu na wyższym terenie. Jego siedliskiem jest gęsty las, a on sam jest wszystkożerny, zjadając dużą różnorodność pokarmu z dna lasu.
Często nieśmiałe i skryte, ale stają się stosunkowo oswojone na zamieszkanych wyspach, gdzie są chronione przed zakłóceniami. Odwiedzają kopce lęgowe kilka razy dziennie. Wiadomo, że ptaki te skradają się w cieniu małych drzew i nie są w stanie latać na duże odległości. Są jednak znakomitymi biegaczami i byłoby je bardzo trudno złapać. Mikronezyjski kurak i niektóre inne megapody to jedyne ptaki, które wysiadują jaja, wykorzystując ciepło wulkaniczne.
W sezonie rozrodczym, zaraz po nadejściu południowo-wschodniego monsunu, samice tworzą duże kopce z gruzu, w których składają jaja. Niektóre pojedyncze samice składają jaja razem w tym samym kopcu. Jednak samice nie korzystają z tego samego kopca więcej niż raz i są zamieniane z innymi samicami. Kiedy jaja wyklują się po jednym do dwóch miesiącach, pisklęta będą żywić się pędami traw i owadami.
Gatunek ten jest obecnie klasyfikowany jako bliski zagrożenia, ponieważ ma bardzo mały zasięg, ograniczony do odizolowanych, niezakłóconych wysepek na morzu. Megapodius laperouse występuje na Palau i Marianach Północnych, a na Guam został wytępiony. Uważa się, że wprowadzenie psów, kotów, świń i szczurów doprowadziło do spadku liczebności tego gatunku na większości wysp. Wraz ze wzrostem drapieżnictwa, podczas japońskiej okupacji wysp Saipan i Tinian, większość roślinności obu wysp została spalona i zastąpiona dużymi farmami trzciny cukrowej. Szacuje się, że pozostało tylko 2000–2500 osobników gatunku. Można go znaleźć w państwie wyspiarskim Palau i niezakłóconych wyspach łańcucha Marianów Północnych, z kilkoma setkami na Sarigan. Podobno niedawno niewielka populacja została ponownie wprowadzona na Saipan. Ptak ten znajduje się w kategorii Czerwonej Listy IUCN z 2010 r. (według oceny BirdLife International — oficjalnej Czerwonej Listy dla ptaków IUCN). Gatunek ten kwalifikuje się jako „zagrożony”, ponieważ ma bardzo mały zasięg, ograniczony do odizolowanych, niezakłóconych wysepek na morzu, z niewielką liczbą ptaków w innych miejscach. Biorąc pod uwagę liczne zagrożenia w całym zasięgu, prawdopodobnie cierpi z powodu ciągłego spadku liczebności. Wydaje się, że jedynym sposobem na zapewnienie bezpieczeństwa gatunkowi jest ochrona kilku małych wysp i wypuszczenie tam niewielkiej populacji megapodów. W ten sposób zapewniona zostanie bezpieczna populacja. Na większych i wyższych wyspach wzrost liczby ludzi i wprowadzonych szkodników prędzej czy później zniszczy wszelkie populacje megapodów.
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Lapérouse
Paris, France. 2023
Home to private budoirs of the rich & famous since 1766, original mirrors still bear scratch marks from prostitutes who were paid in diamonds instead of coins to hide their profession, if caught. Afraid of being scammed by their married lovers, they scratched the glass surface to verify authenticity as a fake stone would leave no trace.
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In 1785, Napoleon Bonaparte applied to serve as a crew member on one of the ships. He was a 16-year-old from Corsica, fresh out of the École Militaire in Paris, and although short-listed he was not selected to join the expedition. One could say that the world would have been a very different place had he been welcomed aboard and perished with the other crew members.
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