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LA PLUS GRANDE SOIRÉE MIXÉE
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Les basiques de la garde-robe à avoir absolument
Chaque personne a un style unique, mais il existe des pièces intemporelles qui forment la base d'une garde-robe polyvalente. Ces essentiels peuvent être mixés et assortis pour créer une multitude de tenues adaptées à toutes les occasions. Voici les incontournables de la garde-robe à avoir absolument. Les essentiels pour femme Le jean bleu Un jean bien coupé, que ce soit slim, droit ou boyfriend, est la pièce de base autour de laquelle de nombreuses tenues peuvent être construites. Le t-shirt blanc Simple et polyvalent, le t-shirt blanc est l'ami de tous les looks, du plus décontracté au plus habillé sous un blazer. La petite robe noire Chaque femme devrait avoir une robe noire qui la met en valeur, parfaite pour les soirées imprévues ou les rendez-vous formels. Le blazer Un blazer bien taillé peut instantanément habiller une tenue décontractée ou compléter un look professionnel. Les ballerines Confortables et chics, les ballerines sont le compromis idéal pour les journées où l'on souhaite allier style et confort. Les essentiels pour homme Le jean brut Tout comme pour les femmes, un jean de bonne qualité est un incontournable pour les hommes. Préférez un modèle brut qui se patinera avec le temps. La chemise blanche Que ce soit pour le travail ou une occasion spéciale, une chemise blanche bien coupée est un must-have. Le t-shirt gris Simple mais efficace, le t-shirt gris est une base idéale pour de nombreuses tenues. Le blazer marine Il ajoute instantanément une touche d'élégance à n'importe quelle tenue, qu'il s'agisse d'un look casual avec un jean ou d'une tenue plus formelle avec un pantalon de costume. Les baskets blanches Intemporelles et polyvalentes, les baskets blanches complètent aussi bien un look décontracté qu'une tenue un peu plus habillée. Les accessoires basiques Le sac à main/tote bag Choisissez un modèle de bonne qualité, assez grand pour emporter vos essentiels, mais suffisamment élégant pour compléter votre tenue. La ceinture Qu'elle soit en cuir noir ou marron, une ceinture est à la fois pratique et esthétique. Les lunettes de soleil Optez pour un modèle classique qui convient à la forme de votre visage et qui vous protègera des rayons UV. Posséder ces basiques vous permettra de créer une variété de looks sans avoir à posséder une multitude de vêtements. En investissant dans des pièces de qualité, vous garantissez également leur longévité. Après tout, la clé d'une garde-robe réussie réside dans la qualité et non la quantité. Read the full article
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☽ INTERVIEW DJ - PUNKY ROSE ☾
Septième portrait de la série dédiée aux femmes DJ’S sur le site de Support Your Local Girl Gang …. Punky Roz, French alternative Artist /DJane/Dancer/Cosplay/ModelTransgender/LGBT/Feminist a répondu à notre interview Girl Gang !
Et vous a concocté une mixtape avec de la PsyTrance, du Hardstyle et du Hardcore, toujours mélangé avec les gros classiques Rock et Punk de l'époque, à écouter ici :
SupportYourLocalGirlGang · PUNKY ROZ - MIXTAPE for Support Your Local Girl Gang
Peux-tu nous raconter ton parcours et tes activités artistiques ? J'ai débuté le mix en 2007 lors de battle de danse sur Montpellier. Puis je me suis lancée dans la production en 2009 dans divers styles musicaux (Electro-Rock, Hardstyle et Psytrance principalement). J'ai fait plusieurs DJs contests dans la région montpelliéraine, mon préféré restera à jamais celui réalisé à La Villa Rouge qui était considérée comme une des plus grandes boîtes LGBT du sud de la France. J'ai également mixé dans des campings, bars musicaux et webradios, ainsi que dans plusieurs soirées caricatives (Secours Populaire, associations LGBT, centres d'hébergement pour SDF, Unis Cité, etc) En 2020, lors du confinement, j'ai pris quelques cours de mix auprès de la DJ NJ (anciennement Angie Coxx). Je suis également modèle photo et cosplayeuse.
Quand es-tu tombé.e dans la musique ? J'ai commencé à avoir une passion pour la musique dès l'enfance, il m'arrivait de me donner en spectacle dans le tramway en reprenant des chansons de Frédéric François et d'autres variétés françaises. J'avais également un oncle qui était technicien son et lumière qui m'amenait régulièrement dans les concerts dont il gérait la régie. Au collège, durant ma période rap, j'écrivais souvent des textes sentimentaux ou de problèmes sociétaires (harcèlement scolaire, dépression, absence parentale, etc). Au lycée, j'ai joué de la basse pendant quelques mois, et je me lancée dans la danse avec le hip-hop, la tecktonik et le shuffle que je pratique encore à l'heure actuelle. J'ai commencé à mixer d'abord pour ces battles de danse, et j'ai fait quelques productions également.
Tu te souviens de tes premiers.mp3 ? J'écoutais beaucoup de rap tel que Eminem, 50 Cent, IAM et Sniper lorsque j'étais au collège, puis je suis passée à un tournant plus Punk/Emo au lycée avec du Green Day, Linkin Park, Avril Lavigne et Tokio Hotel, et durant une période la Tecktonik.
Y a-t-il des artistes qui ont compté et t'ont donné envie de mixer ? J'ai eu de nombreuses influences au niveau musical. En DJs il y a eu Cut Killer, DJ Abdel, Daft Punk, David Guetta, Skrillex, DJ Furax et plus récemment The Chainsmokers. En chanteurs et chanteuses, j'adore Lady Gaga, David Bowie, Marilyn Manson, Andy Black et le groupe Kiss.
On parle souvent de la misogynie et LGBTQ+phobies dans la musique . Te sens tu investi.e d’un rôle par rapport à ça ? En tant que femme transgenre et lesbienne assumée, j'essaie d'exposer au maximum notre communauté à travers mes shootings photos, mes mixs, mes paroles et prochainement mes projets de clips. Je souhaite également collaborer avec des chanteuses engagées dans la cause féministe et LGBT. La scène féminine et LGBTQ+ a bien évolué en quelques années. Comment perçois-tu cette nouvelle vague qui secoue un peu les choses ? Grâce à des artistes telles que Hoshi, Suzanne, Angèle et bien d'autres, certains sujets sociétaires ont été dénoncés à travers les chansons, et cela a permis à certaines personnes de mieux s'assumer et revendiquer leurs droits. Tes artistes préféré.e.s du moment ? Mes artistes du moments sont Suzanne, Hoshi, Lady Gaga, Pomme, Angèle et Lil Nas X.
Avec quel artiste/dj aimerais-tu jouer? J'adorerais avoir l'occasion de mixer aux côtés du duo Pairplex (NJ et Jordan Patural). Ce sont deux DJs producteurs français qui m'ont énormément apporté de conseils. Sinon bien évidemment le must serait de collaborer avec les chanteuses que j'ai cité plus haut car leurs thématiques se rapprochent des sujets que je veux exposer à travers mon univers artistique.
Ton artiste queer préférée ? À l'heure actuelle, j'adore Lil Nas X, chacun de ses clips est un véritable chef d'oeuvre, ses textes sont assez provoc' et son look extravagant est très inspirant.
Une punchline / devise ? «Ils te jugeront de toute façon, alors laisse-les au moins te juger pour qui tu es réellement» Des endroits que tu recommanderais pour faire la fête (hors Covid)? Si vous passez du côté de Montélimar, n'hésitez pas à venir au club Les Voiles (lorsqu'elle aura réouvert), il y a de très bons DJs qui y sont passés tels que JC Nitro et Maddy Jay, qui savent vraiment mettre le feu à chacune de leurs prestations.
Tes prochaines actus ? Vous pouvez me retrouver actuellement tous les dimanches soirs de 23h à minuit sur la webradio Millenium FM. Je compte sortir un single durant l'automne 2021, j'ai déjà rédigé les paroles, mais il faut que je finalise l'instru et que je trouve un chanteur ou une chanteuse par la suite.
Que penses-tu de Support your Local Girl Gang ? Les médias et collectifs LGBT féministes sont encore trop peu nombreux en France, même si actuellement grâce à certains artistes ces sujets deviennent de plus en plus d'actualité, il est important d'exposer ces thèmes et s'investir pour revendiquer nos droits. Merci à vous pour cette interview, j'espère prochainement organiser des soirées au sein de votre collectif dès la reprise.
PUNKY ROZ DANS TES RESEAUX : FACEBOOK - INSTAGRAM
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Ausgangsspere „Ich mache Klausuren!“
Confinement “Je passe mes partiels”
Les partiels étaient un sujet duquel je souhaitais parler car ils font partie de la vie de chaque étudiant et la situation étant quelque peu compliquée avec le confinement, j’ai déjà de faire un article sur les examens que je passe en ce contexte, car oui, même si beaucoup de personnes pensent que les étudiants à l’université ne font rien ou pas grand-chose en dehors des cours car ils n’ont rien à faire et préfèrent sortir pour faire des soirées tous les jours de la semaine, cela n’est absolument pas véridique !
En effet, durant toutes mes années à l’université, je ne suis jamais sortie pour aller à une soirée en semaine car nous avons des devoirs à préparer !
En tant qu’étudiante en Licence de langues vivantes, j’ai par exemple des textes et des commentaires de textes (ou de documents) à rédiger, des analyses de documents écrits ou iconographiques à réaliser, des livres à lire et des cours à apprendre !
Faire ses devoirs permet de progresser dans les matières faisant partie de son cursus mais aussi de se préparer à ses examens !
L’apprentissage des cours au cours du semestre permet par ailleurs de ne pas se retrouver avec un semestre complet, sur lequel on n’a pas travaillé durant ledit semestre, à apprendre pour le partiel, ce qui est il faut dire compliqué à faire en deux semaines mais j’aborderai ce thème dans un article dédié à l’organisation !
Je parlerai dans un premier temps des différents examens à l’université, puis des examens qui étaient prévus avant le confinement et du changement que celui-ci a amené avec lui. Dans un dernier temps j’expliquerai comment j’ai vécu cette période particulière;
Les différents examens à l’université française.
En France se distinguent deux types d’examens : les Contrôles continus ou C.C. et les partiels. La différence réside dans le fait que les Contrôles continus ont lieu deux fois dans le semestre, la première avant les vacances de la Toussaint et d’hiver et la deuxième avant les vacances de Noël et de Pâques.
Les contrôles terminaux ou partiels ont quant-à-eux lieu à la fin de chaque semestre donc avant (ou après) les vacances de Noël et de Pâques.
Durant ceux-ci vous devrez avoir revu tout ce que vous avez vu durant votre semestre et connaître votre cours sur le bout des doigts car il faut absolument tout connaître, et cela en particulier dans le professeur pense que sa matière est d’une facilité enfantine, ce qui n’est malheureusement jamais le cas !
J’ai par exemple dans ma Licence en troisième année six partiels, c’est-à-dire:
un écrit en Linguistique synchronique, c’est-à-dire Linguistique moderne,
un oral en Linguistique diachronique, c’est-à-dire Linguistique historique,
un écrit en Commentaire linguistique,
un écrit en Civilisation,
un écrit en Littérature,
et une soutenance de Didactique de l’allemand
Pour préparer tous ces examens, j’ai deux semaines au semestre d’été et une seule et unique au semestre d’hiver, les examens ayant lieu avant les vacances de Noël après la semaine de rattrapage des cours où les profs ont été absents pour diverses raisons et cela est très court !
Les examens prévus à l’origine sans le SARS-Cov-2.
Parlons à présent des sujets de mes examens terminaux: je devais en Linguistique moderne réviser l’ensemble cours prenant part dans l’ensemble „Die deutsche Sprache im Wandel der Zeit“ que j’ai étudié ce semestre, en Linguistique diachronique, j’avais une recherche universitaire à préparer que je devais présenter, en Commentaire linguistique et je devais simplement réviser le cours pour avoir un examen oral en face à face avec ma professeure, consistant à corriger la grammaire de phrases allemandes.
En Civilisation, je devais réviser la partie concernant la politique de l’Allemagne et j’avais, à l’origine, un écrit de quatre heures avec une analyse de document comme sujet.
L’examen de Littérature portait sur „Die deutsche Gedichte im 20. Jahrhundert“ qui devait être une dissertation de quatre heures sur certaines poésies de la liste des dix-huit poésies que j’avais étudiées durant le cours magistral.
Les examens avec le SARS-Cov-2
La situation actuelle ayant forcé les universités à fermer leurs portes en avril, et cela juste avant LA journée portes ouvertes à laquelle je me faisais une joie incommensurable de participer, cela a entraîné un bazar pas possible avec les examens lorsque tout le monde a compris que la situation ne changerait pas avant un bon bout de temps.
Nous sommes donc restés dans le flou pendant une ou deux semaines et nos professeurs nous ont annoncés que lesdits partiels deviendraient des contrôles continus ce qui ne m’a personnellement absolument pas arrangé car en plus de cela : certains de nos véritables contrôles continus n’avaient pas eu lieu avant les vacances et ceux-ci n’ont par ailleurs pas eu lieu à la semaine de rattrapage.
J’ai également dû choisir les dates de mes examens par moi-même et cela a donné ce résultat :
22.04.20 à 09:15: Kulturwissenschaft (Civilisation)
23.04.20 à 14:00: LANSAD (Espagnol).
24.04.20 à 09:30: Soutenance des Praktikums (Didaktik)
27.04.20 à 10:20: Deutsch/Französisch Übersetzung (Version)
29.04.20 à 10:30: Französisch/Deutsch Übersetzung (Thème)
04.05.20 de 9:00 à 12:00: Literatur
07.05.20 à 11:00: Historische Sprachwissenschaft / Deskriptive Sprachwissenschat / Sprachwissenschaftlicher Kommentar.
J’ai donc passé mes vacances à m’acharner à réviser le cours de Civilisation ayant peu de ne pas pouvoir rattraper ma première note qui avait été une véritable catastrophe et ai commencé les révisions de les dix-huit poésies pour l’examen de Littérature allemande.
En parallèle à ces révisions, j’ai préparé la soutenance de mon rapport de stage et révisé le vocabulaire pour le contrôle de Thème.
J’ai continué mes révisions de Littérature et les ai mixées avec la préparation de ma recherche de Linguistique historique et avec mes révisions de Linguistique moderne.
Je vous laisse imaginer l’état dans lequel je me trouvais, et me trouve encore en en ce cinquième jour du mois de mai en rédigeant cet article, durant mes révisions intensives.
Oui, j’emploie le mot intensif car je n’ai simplement fait que de réviser tous les jours de la semaine, excepté le week-end et les jours fériés et cela en a valu la peine dans la mesure où je m’en suis plutôt bien sortie pour dire la vérité, pour les examens où j’ai déjà reçu mes notes, ce qui n’aurait pas dû être dans la mesure où nous recevons habituellement nos notes bien longtemps après avoir passé nos épreuves.
En parlant de ces partiels étranges, je me dois de préciser que ces partiels ont été modifiés dans leur déroulement : car étant confinée chez mon petit-ami depuis cinquante jours, le confinement a changé la nature des examens.
Le partiel de Civilisation qui a l’origine devait être une analyse de documents s’est transformé en contrôle de connaissances, il est également à noter que notre professeur nous a prévenu la veille que la partie concernant la Géographie allemande que nous avions étudiée à partir du semestre d’été 2019 ne serait pas dans le contrôle terminal alors qu’avant le confinement, il nous avait expliqué que nous devions réviser tout le cours de Géographie depuis le quatrième semestre !
Le deuxième contrôle, le contrôle de LANSAD, a été une véritable blague où le professeur ne nous a même pas dit ce que nous devions réviser et nous a pondu un sujet bien trop compliqué pour le niveau A1/A2 et nous a demandé de nous filmer !
Oui, de nous filmer pour voir comment nous prononcions car les acteurs font cela et cela m’a véritablement agacée pour vous dire la vérité !
La soutenance est l’un des seuls examens qui n’a pas trop changé dans la mesure où cela est resté une soutenance typique si on retire le fait qu’elle se passait à distance et que nous n’avions pas nos professeurs en face de nous.
Les partiels de Version et de Thème quant-à-eux ressemblaient plus à de l’interprétation, en particulier le thème où la professeure nous donnait des phrases que nous devions traduire instantanément.
La Littérature était le plus long de mes examens. Celui-ci a duré trois heures sur les quatre qui étaient prévues à l’orgine. Lors de cet examen, qui lui aussi était un oral, notre professeur nous demandait de présenter des poésies que nous avions étudiées en cours et de traiter d’un thème qu’il nous avait donné.
Le mien était le suivant :
„Arno Holz: Hinter Apfelbaumblüten, Stephan George: Komm in den totgesagten park, Georg Trakl: Verfall. Stellen Sie die Gedichte kurz vor und vergleichen Sie sie dann im Hinblick auf die Naturschilderung.“
“Arno Holz : Sous les feuilles du pommier, Stephan George : Viens dans le parc prétendu mort, Georg Trakl : Déchéance. Présentez les poésies rapidement et comparez-les dans l’optique de la description de la nature”
Les deux premières heures de l’épreuve étaient consacrées à la préparation de l’oral. Venait ensuite une heure où je présentais mon analyse puis la dernière demi-heure était une discussion avec mon professeur.
En Linguistique historique, j’ai réalisé une recherche scientifique sur un thème de mon choix lié au cours, me concernant, j’avais choisi les régiolectes et pris beaucoup de plaisir à traiter de ce sujet. J’ai dû préparer trois questions sur ce thème auxquelles j’ai répondu grâce à un texte scientifique entièrement rédigé en allemand par un chercheur de cette nationalité et approfondir certaines informations grâce à des documents issus d’Internet.
En Linguistique moderne, notre professeure nous a préparé une liste de questions sur lesquelles nous pouvons tomber à l’examen. J’ai donc dû répondre à deux de ces questions lors de l’examen. L’examen d’origine était basé sur le même principe mais l’examen étant un écrit et durant une heure, nous avions plus de questions à celui-ci.
Le Commentaire linguistique est le deuxième examen qui n’a vraiment pas changé, celui-ci étant un oral ayant cependant eu lieu par Skype, ce qui n’est pas quelque chose de commun en temps normal.
J’ai donc révisé tous les „Satzglieder“ et les „Satzteile“, ce cours étant en quelque sorte un cours de Grammaire et accessoirement l’un de mes cours préférés avec la Littérature.
L’examen consistait comme au semestre d’hiver à identifier les différents Satzglieder dans un premier exercice et à corriger des phrases où des fautes grammaticales se trouvent, d’expliquer l’erreur d’après la sainte Grammaire allemande et de proposer une solution à cette erreur.
Mon point de vue sur les cours et les examens dans cette situation particulière.
La situation actuelle due au SARS-Cov-2 m’a dans un premier temps agacée au plus haut point surtout au moment où l’université à fermer ses portes pour éviter la diffusion du virus ce que je comprends aujourd’hui.
Les cours ont donc eu lieu à distance ce qui m’a parfois agacée car avoir des cours magistraux à distance via Skype, Renato ou Zoom n’était pas la chose la plus agréable au monde car devoir prendre des notes sur ce que dit un professeur et ne pas avoir réellement le professeur en face de soi est quelque chose de très dérangeant pour moi.
Par ailleurs certains professeurs étaient incapables d’utiliser les logiciels ce qui était fort agaçant !
La prise de notes à distance était également plus compliquée que celle qui a lieu lors des cours normaux en présentiel car il est à savoir que tout cela est plus impersonnel lorsqu’un professeur réalise son cours.
Concernant les examens, le fait que ceux-ci soient à distance avaient quelque de perturbant car je ne m’étais jamais dite que cela m’arriverait un jour et si on me l’avait dit, j’aurais ri au nez cette personne.
Les exposés, desquels je n’ai pas parlé dans la mesure où je les ai passé avant la période dédiées aux partiels, que j’ai passé à distance n’étaient pas les examens les plus difficiles. Ceux qui m’ont particulièrement stressés étaient ceux de Civilisation, de Littérature, de Linguistique et de Commentaire linguistique car j’avais l’impression de ne rien connaître à ces cours, ce qui n’a pas été le cas.
J’ai cependant eu de la chance dans la mesure où mon sujet de Littérature où plutôt les poèmes présents dans le sujet étaient ceux que je maîtrisais le mieux ; tout comme cela a été le cas pour la Linguistique moderne où j’ai eu la chance de tomber sur des questions que je maîtrisais.
La Civilisation était sans doute l’examen qui m’a fait le plus paniqué car il prenait la forme d’un questionnaire à choix multiples de vingt questions dont certaines réponses devaient être un petit peu rédigées auquel nous devions répondre en huit minutes ce qui était vraiment très court !
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THREAS*ROSA PARKS 01: LOCAL!
Bonne année cher auditeurs-regardeurs!
Voici un petit retour sur mon premier podcast Threads Radio le 12 décembre dernier. C’était l’occasion pour moi d'illustrer les endroits et parler des artistes que j'ai découvert autour de chez moi ces 2 dernières années.
A quelques centaines de mètre de chez moi ça bouillonne, alors pas besoin d'aller chiner de la pop-japonaise des années 80, ou du free jazz américain de années (certain d'entre vous savent pourtant que j'en raffole..) pour vous faire découvrir de nouveaux sons.
- Ca commence avec un morceau de IDA, duo d'ambiance minimaliste que j'ai rencontré lors de la soirée organisée par Planisphère. Créé en 2018, ce jeune label intéressé par la musique ambiante et expérimentale plutôt instrumental fêtait la sortie de leur première sortie cassette le 27 juin dernier à Main d'Oeuvres à Saint Ouen. Un lieu de concert, de résidence pour artistes qui depuis quelque mois est menacés d'expulsion par la Mairie de Saint Ouen.
- On enchaîne ensuite sur RP-BOO père-frère fondateur de la Footwork (sans faire de l'ombre à Dj Rashad R.I.P), que j'ai eu le plaisir d'écouter le 28 mai 2019 lors d'une soirée très très chaude à l'ancien squatte du DSXL à Pantin.
Lucien Kammermann du collectif a réussi à convaincre le producteur de Chicago d'interrompre ses vacances à Paris pour nous secouer à 160 BPM.
La soirée avait commencé très fort avec le set de Dj SKWIG!
Co-fondateur du label-studio Vernacular, Skwig est un DJ, producteur et ingé-son parisien et ce n'est pas par hasard si il a mixé Jeux de Jambes Vol.2 dernière compilation footwork du label ABRI CATALOG.
Mauvaise endroit, mauvais moment alors qu’elle se félicitait de l'ouverture de La cité fertile à moins de 100m de là, La mairie de Pantin n'a pas souhaité que le DSLXL reste dans les parages. Sans se laisser abattre le collectif siège maintenant à Romainville!
- CROCHE, je l'ai vu le 6 juillet 2019 lors de l'exposition collective "But i'm scared to die, i'm so afraid of pain" organisée par le collectif Carbon 17 dans leurs locaux d'Aubervilliers. Cette artiste canadienne diffuse une musique neo-wave noire. C’est lors de cette événement j'ai également pu découvrir le travail de Christopher Green aka Lazygawd auteur de la cover et contributeur de la compile de Jeux de Jambes Volume 2. J’y ai également découvert les travaux de la styliste up-cycleuse Olga Pham co-fondatrice du collectif
- De la voix douce de Croche on passe aux cris stridents du duo russe IC3P3AK. Je vous passe un petit extrait de leur performance au Glazart. C'est fauchage collectif, bande de punk-rockeur-teufeur actif depuis 5 ans à Paris, qui avait organisé cette soirée le 17 avril dernier. Ce soir là jouait aussi VORACE à qui on doit des pépites sur plusieurs de nos compilations ABRI mais surtout l'album BELZEBUTH FM dont fait partie la track "Point Virgule" qui suit. Quand on me demande de décrire sa musique, je réponds Neo-hip-hop tellurique, techno-house volcanique...en gros!
- Après le point et la virgule, on entend le souvenir de la soirée After Party #1 du Pitchfork festival il y a un peu plus d'un an au Trabendo. J'ai pu y crier les refrains entêtant du dernier album d'Yves Tumor, et me faire recoiffer par les kicks décalés du set de Lotic.
C'est pas loin après cette soirée qu’avec PEOW BEOW on a composé 50 Balles, dernière track de la Compilation Numéro 1 d'ABRI qu'on entend juste après.
- Le petit freestyle qui suit, c'est MARIO HUYET du collectif TOTORO actuellement en résidence à Ivry. Ce vaste lieu de travail et d'exposition accueilera le prochain événement d'ABRI en février 2020...
- Juste après c'est pas du freestyle, c'est le rappeur DOC OVG du crew 667. C'est pas de la rigolade! Ca fait un an que DMI LUNE prépare ce projet avec lui. Le DMI LUNE vous le connaissez peut-être ? Il est également le beatmaker du duo Crash Bambin avec Ugly Bart qu'on a sorti en mai dernier sur ABRI.
Il travaille en ce moment sur un projet soul/Rnb, qu'on a très hâte de vous présenter bientôt sur ABRI
- DOC OVG, c'est de biff qu'il a la dalle, mais ABY FULANI c'est l'amour qui le préoccupe...Dans sa track « Calm tree » issue de son album bedtime stories. Le rappeur/chanteur/beatmaker parisien aime bien traîner à Londres, il s'apprête d'ailleurs à sortir son prochain album chez Brownswood records.
- Après un interlude guitaristique de garage direction Lyon, où le crooner Little Tooth Gap parle de ses romances nocturnes. Je l'ai rencontré en novembre dernier sur la péniche Antipode. Il y faisait la seconde partie de la release party de JO the Wise. Pareil...album à paraître cette année sur ABRI :)
- Est-ce que vous êtes toujours OK? Forcément après ce délice de voix de la chanteuse parisienne JO THE WISE qui vient donc de sortir sur premier album "Sooth Tension". On l'entend ici sur une de mes prods unreleased. Jo y explore une soul épurée et romantique.
J’ai profité de la douceur précédente pour enchaîner avec un morceau de JULIO issu de Jeux de Jambes Vol.2. JULIO fidèle contributeur d’ABRI, musicien de jazz et beatmaker montreuillois n’a pas finis de nous donner la chaire de poule…Il est actuellement musicien pour le projet la rappeuse BRö et fera partie de sa tournée prochaine.
Dans le petit interlude qui suit on entend le compère PEOW BEOW kicker sur une prod de Lijah poulain de la nouvelle écurie de Lucy (productrice UK talentueuse) que j’ai découvert en DJset à la Station gare des mines le 30 novembre 2019. Avec son crew 6 figures gang’ elles sont les principales promotrices de la scène footwork en Angleterre, avec notamment la maintenant populaire DJ Sherelle! Si vous voulez re-ecouter la version de PEOW c’est ici
On s'évade ensuite avec une découverte récente. INOXIA le duo éphémère constitué de Myako et Basse Terre a été enregistré lors d’une Red Bull Studio Paris Session au printemps 2019. Synthétiste modulaire, Myako est aussi résidente de Rinse FM et cultive un goût pour la musique expérimentale minimaliste et sérielle...
On dérive un peu là mais on reste en France avec Matthieu FUENTES artiste performeur strasbourgeois que j’ai rencontré lors de la résidence “Quand tu marches, tu cours” au temple de Mulhouse. Poète, génie de la bande magnétique, il est aussi capable de décocher une track footwork quand ça lui chante sur Jeux de Jambes. Étudiant à la Haute Ecole des Arts du Rhin, son travail est fait collages de field-recording mélangés à une forme de slam abstrait faisant penser à un Saul Williams et une Patti Smith version française.
D’un coup de track on vire à l’Ouest! Plus exactement à Brest où se niche Harpie Records. Bande d’etudiants des Beaux-arts, ce sont des artisans de la musique déconstruite. Leurs sortie oscillent entre le Hardcore, La Rave et de la Techno déstructuré. On prépare quelques collaborations dans le côté obscure d’ABRI.
Ça tombe bien qu’on parle de collaboration parce que je passe ensuite une track de Tape Worms, Shoegaze band Lillois. Ce morceau du trio guitare-basse-batterie est paru sur une compilation du Label Bruit Blanc de la même ville. Avec ABRI on a bien connecté avec eux et on prévoit de travailler ensemble en 2020. Actif depuis 2010 ils aiment faire du bruit...En français ou en anglais avec de la saturation ou des douces ondes sinusoïdales.
Puisqu’on est là, on a qu’à descendre un peu en Bretagne. C’est à Rennes qu’a été créé un label dont j’étais ultra fan dans ma période Lo-fi beat et dont la démarche à un peu inspiré celle d’ABRI. C’est le label cassette Cindy’s Tape dirigé par Arthur Chambry et Mac Noddy. C’est grâce à eux que j’ai re-decouvert la magie destructive de la bande magnétique en 2014. Ce qu’on entend là c’est Pheno leur dernière release, l’album de l’artiste Basile.
Désolé pour cette conduite un peu rude parce qu’on repasse à l’Est cette fois à Dijon. C’est là que vie une partie du coeur de la footwork française: Le grand Flex Blur, clé de voûte de la Frenchwork, beatmaker, rappeur et compositeur de musique de jeux video. Rédacteur pour Seeksicksound, il passe régulièrement secouer paris à 160bpm lors de leurs soirée à l’international.
Puisqu’on parle de bass music, il est temps de parler de Tim Karbon que j’ai croisé à la soirée des 5 ans collectif Re-Source à la Station Gare des mines. Artiste du label parisien POLAAR il fait également partie de mouvement de joute musicale la Dubwar. Il m’a tué avec sa track The Lobster Feat. Renaud Guy-Rousseau..qui illustre bien sa capacité faire d’un sample du clarinettiste de l’orchestre national de France un concentré d’IDM Bassistique.
Ensuite on sort du pays, mais pas très loin. Bonjour Bruxelles avec WTHFTHISYEAR qui nous a donné une belle track footwork sur Jeux de Jambes. Beatmaker trap il prépare d’autres collaborations avec ABRI pour 2020.
Avant d'enchaîner avec un autre morceau de foot, un petit extrait du set de Scratcha DVA à la station en novembre dernier. On a beaucoup sué ce jour là..
Comme prévu on reste sur du 160BPM avec une track du trio Low Pass Filter qui a sorti son album éponyme en fevrier 2018. Avec UGLY BART et PEOW BEOW, ce projet a marqué le début d’une amitié et d’une collaboration continue. Rap/slam électronique cette album a été produit en quelques semaines à la suite de leur rencontre...intense salut!
On refait un petit détour par l’Angleterre, mais c’est à Paris que j’ai rencontré Omar Teknology lors d’une émission sur la Radio 99bits. Il a déjà 5 albums à son actif sur le label Sculparts.
Je vous parlais tout à l’heure de la Dubwar. Voici un exemple de ce qu’il s’y fabrique de mieux. Sur « JUMBI JUMBO SLAP DUB » on entend Agôn mettre une giffle (musicale..) à Dj Thugliatelle. Ce fameux Agôn -quand il n’envoi pas des sentences sur la dubwar- anime l’émission de radio Few Tips to Heal diffusée en live tous les dimanche soir de 18h à 20h sur Scandle. L’écouter, c’est un très bon moyen de suivre l'actualité de la bass music et d’y découvrir les artistes français actifs dans ce genre.
Pour cette avant dernière tracks, je vous propose de découvrir CLXD fondateur du Label CX. en collaboration avec un rappeur de DAVIS USA. Ce beatmaker parisien ancien membre du laboratoire musical et lieu de résidence La Lutherie Urbaine a migré au Etats-Unis il y a un an. Vous le retrouverez sans fautes dans les prochaines compilations ABRI car c’est l’une de nos première bonnes rencontres sur le CATALOG.
Un dernier petit interlude jazzistique avec un petit extrait du trio Rick Margitza Quartet qui se produit tous les lundi soir à la Gare Jazz dans le 19e arrondissement de Paris. Là bas vous pouvez aller voir du jazz de qualité, gratuitement, tous les soirs dans une ancienne gare de la petite ceinture…
On clôture (enfin..) ce premier podcast par une collaboration avec PEOW BEOW pour la compilation Jeux de Jambes Vol. 1. Je n’en ai pas assez parlé, c’est pourtant à lui que je dois la plupart de ces délicieuses rencontres! C’est avec lui que nous avons entrepris ABRI CATALOG et qu’on s’efforce de promouvoir tous ces talentueux artistes. C’est un poète génial, un producteur-expérimentateur qui repousse ses limites en permanence avec un travail musical acharné, un connecteur-ciment entre les artistes de tous bords, français, belges, anglais, débutant ou aguerris.
Bonne année à tous!
DLGHT
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Boire, manger, des besoins vitaux, mais aussi de grandes sources de plaisir. On ne s'alimente pas juste comme on remplirait un réservoir de carburant. C'est une expérience multi-sensorielle capable de déclencher des émotions intenses, difficiles à décrire avec de simples mots.
Imagine : tu poses sur ta langue un carré de chocolat. Tu ne le croques pas, tu prends ton temps. Tu le laisses fondre doucement, s'étaler contre ton palais, se mélanger peu à peu à ta salive qui remplit ta bouche. Le goût inimitable du chocolat t'envahit bien au-delà qu'à l'intérieur de ta bouche. Évidement, tu as choisi du très bon chocolat. Lequel préfères-tu ? Du chocolat au lait, du chocolat noir ? Avec quelques éclats d'amandes ou de noisettes ? À moins que ce ne soit avec une pointe de sel, une touche de piment d'Espelette ou un soupçon de gingembre ? Comment décrire avec seulement des mots, ce goût du chocolat qui fond sur ta langue ?
Et encore, le chocolat, c'est simple. Simple, comme les myrtilles. Tu sais, ces petits fruits violets que l'on trouve, l'été, à proximité des sentiers de randonnées, en moyenne montagne. Parfois tu les sens avant de les voir, car ces petites billes discrètes se cachent sous les petites feuilles de petits buissons, au ras du sol. Patiemment, tu en récoltes quelques unes, du bout des doigts de ta main droite, pour en remplir le creux de ta main gauche, et hop, d'un coup, tu en remplis ta bouche. Les petites billes éclatent et libèrent leur jus un peu tiédi par le soleil, délicieusement sucré et parfumé. Quels sont les mots pour expliquer à quoi ressemble le goût des myrtilles ?
Chocolat et myrtilles ensemble, c'est intéressant aussi. Mais maintenant, penses à quelque chose de moins basique que chocolat et myrtilles. Voici un autre exemple : la soupe de légumes, celle que l'on sert aux enfants en leur promettant que cela va les faire grandir. Quels sont les mots pour dire le velouté de la pomme de terre, la douceur de la carotte ou de la tomate, la verdeur du chou ou du poireau, la caractéristique de tout autre légume qui entrera dans sa composition ? Une fois mixés tous ensemble, chaque légume abandonne sa singularité pour faire de la soupe quelque chose d'unique, différente à chaque fois, même avec les mêmes ingrédients.
Plutôt que le goût, il est plus facile de décrire ce que la soupe de légumes évoque comme image : l'assiette fumante ou le bol bien chaud contre lequel réchauffer ses mains, quand il fait froid l'hiver, la marmite au fond noirci, qui mijote sur la cuisinière, dans la cuisine de sa grand-mère, le sifflet de la soupape de la cocotte-minute et le brondissement du mixeur, dans la cuisine de sa mère… Mais le goût de la soupe, fluide, chaude et onctueuse, qui coule de la cuillère à la langue, de la langue à la gorge, comment le décrire ?
Changeons maintenant de catégorie. Là où le défi devient énorme, c'est quand il s'agit de décrire les multiples saveurs d'un repas gastronomique, quand la cuisine devient de l'art et que l'expérience gustative atteint des sommets. Je dois avouer que j'aime aller au restaurant et j'adore m'accorder de temps en temps l'immense plaisir d'un repas gastronomique. Ma dernière découverte se classe très haut dans le palmarès de mes plus belles tables.
C'est un restaurant qui vient d'obtenir sa première étoile dans le célèbre guide rouge, distinction que je trouve largement méritée. Il est installé dans une belle maison, au centre d'un charmant village à une trentaine de minutes de chez moi, en voiture. J'y suis allée il y a quelques jours, avec mon chéri, pour un dîner en amoureux. J'écris ces lignes pour garder longtemps le souvenir de cette belle soirée, même si mes mots ne pourront jamais retranscrire fidèlement l'expérience vécue.
Nous avions à choisir entre trois menus, présentés oralement par le sympathique sommelier : parole volubile et regard pétillant de gourmandise. Nous avons opté pour le menu bien nommé “exception”. Cela ne présente aucun intérêt de dire que ce menu se compose de cinq plats : deux entrées, un poisson, une viande et un dessert. Je serais d'ailleurs bien incapable de les décrire en détail, comme l'a fait avec verve le sommelier. Disons que le poisson était du filet de turbot, la viande, du filet de veau. Mais l'essentiel est ailleurs : chacun était le résultat d'un équilibre parfait entre tous les ingrédients qui le composaient : des formes et des couleurs qui se complètent, des textures et des saveurs qui font écho les unes aux autres, un jeu subtil entre le croquant et le fondant, entre le chaud et le froid, entre le solide et le liquide, entre le connu et l'inédit.
J'adore les aubergines, mes légumes préférées, quel que soit leur mode de préparation. Je les trouve extraordinaires : elles se prêtent à une grande variété de préparation, fondues ou grillées, avec de la crème ou avec de la tomate, en dés, en rondelles, en lamelles, en compote… Et toujours avec une saveur qui ne ressemble à rien d'autre. Elles n'en finissent pas de me charmer. Ici, elles ont réussi à me surprendre encore. Elles accompagnaient une sorte de “croustifondant” de langoustine : dessous, en caviar d'aubergine comme je ne m'en lasse jamais, dessus, découpées en étonnantes lamelles incroyablement fines et croquantes.
J'ai fait aussi la découverte de la cordifole : petite salade craquante, aux feuilles épaisses et gorgées de fraîcheur. Elles accompagnaient d'un assemblage tomates et melon, huile d'olive et soupçon de gingembre, surprenant à ravir. Quant à eux, les deux filets, aussi bien le turbot que le veau, servaient de supports à des combinaisons d'ingrédients, toujours harmonieusement réunies et qui perdraient toute magie si je disais qu'elles contenaient des champignons ou de l'oignon. Et le dessert - ah, le dessert - simplement nommé capuccino façon promenade, basé sur une classique alliance chocolat-café, avait tout pour combler de bonheur l'accro au chocolat que je suis, avec du léger, du moelleux, du croquant, du fondant, un festival de sensations gustatives. Le tout était accompagné de deux verres de vin blanc, sélectionnés par le sommelier, pour lesquels j'aimerais maîtriser le vocabulaire fleuri qu'utilisent les grands spécialistes en œnologie, pour en décrire le bouquet.
Le chef était musicien dans une vie précédente. Sans doute que lassé de ne s'adresser qu'aux oreilles de son public, il a voulu trouver un champ plus vaste pour s'exprimer, en touchant tous nos autres sens. Nul doute que les partitions qu'il joue désormais connaîtrons un grand succès. Et j'espère que j'aurai le plaisir d'en connaître quelques pages. Il est rare que, dans mes histoires, je nomme précisément les endroits dont je parle, mais ce repas mérite une exception. Merci à la Promenade !
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Pendant qu’hier nos charmantes têtes blondes retrouvaient non sans mal les bancs de l’école, pendant que Lafarge prenait la Seine pour un lave-camion modèle géant, pendant que durant la période estivale la rubrique Faits divers n’a pas désempli d’atrocité en tous genres ( me voilà rassuré …), pendant que l’on commence déjà à nous bassiner avec les élections de 2022 (le renouveau ceci, le monde d’après cela …), pendant que le monde d’après n’est finalement pas si différent du monde d’avant, chacun ayant repris habitudes et travers dans le plus grand égoïsme et pendant que les apprentis-stars du Web s’inventent un monde en s’auto-congratulant à outrance de manière grotesque …
Et bien pendant ce temps là, oui pendant ce temps là, nous sommes le Mercredi 2 Septembre 2020 et je dois dire qu’après quelques semaines d’absence, je suis plutôt content de reprendre la plume (enfin le clavier … ) afin de me remettre à écrire (ca va être compliqué … ). Ne sachant pas trop par quel bout attaquer, j’ai prix la décision (en ayant préalablement consulté le conseil d’administration de The Rascals Cats … en somme .. moi …) d’entamer la saison 2020/2021 avec une auto qui visiblement vous a aguiché et sur laquelle vous êtes restés sur votre faim.
Bad Camberg … Allemagne … Dimanche matin 6-30 Heures … Le premier shooting de la matinée s’est vu annulé pendant la nuit, la faute à pas de chance … J’arpente la pelouse café en main à la recherche d’un plan B, malheureusement à quasi 7 heures du matin, le green de Camberg est fort vide tu t’en doutes, la soirée de la veille ayant définitivement tuée dans l’œuf les velléités des uns et des autres à se lever aux aurores. Le son démoniaque d’un échappement libéré de toutes contraintes résonnant entre les murs de la ville me sort de ma torpeur, et je m’imagine déjà dans le baquet passager de cette Split grise aperçue la veille; bien que n’ayant pas encore l’auto dans mon viseur, je sais déjà que c’est elle. L’auto pénètre sur le green ( et oui c’est elle ), j’aborde son proprio qui sympathique comme tout accède à ma requête de m’emmener faire un tour pour réaliser quelques images.
Non loin du centre ville, au fond d’une zone industrielle, je monte durant l’espace de quelques heures mon garage/studio virtuel afin immortaliser cette Split qui la veille, m’a tant accroché le regard. J’y réaliserais un classique int/ext assortis de quelques rolling shots me positionnant au milieu de la route, Ole (le propriétaire) prenant un malin plaisir à me passer au ras des miches. Pour les connaisseurs de la scene VW, Ole non content de conduire cette Split, arpente aussi les drag strip au volant de Pink Panther importé des US il y a déjà quelques temps. Ca c’est pour les présentations …
Quand on demande à Ole, la ligne directrice qui l’a amené à construire cette auto … La performance est le maître mot. Baquets équipant d’ordinaire les Porsche RS des années 60/70, mécanique gonflée mixant spécifications Formule Vee et matos Oettinger, levier de vitesse Gene Berg, batterie de compteurs en provenance d’une NSU TT … Le tout mixé et assemblé avec le plus grand soin. Pour le coté cosy, un jeu de tapis “Coco” rouge complète les panneaux de portes garnis d’un tissu imitant à la perfection le matériau d’époque. L’auto posée sur un châssis sixties complété de jantes de 356 est freinée en partie grâce à un kit disques de chez CSP …
Je pourrais continuer longtemps, t’abreuvant de détails techniques afin de détailler au mieux l’auto que tu as sous les yeux et que tu puisses t’en faire une idée. Mais quid du son tonitruant de l’échappement conçu dans l’esprit de ceux équipant les 935 de Zuffenhausen, quid de la sensation de poser son séant dans l’étroitesse d’un baquet qui a sans doute connu courses de côtes et arrêts au stand et quid de l’odeur qui règne dans l’habitacle, odeur inimitable mêlant plastique, métal, cambouis et essence, odeurs que seules diffusent les autos anciennes . L’exercice est délicat et je me rends compte que malgré mon dévouement à te partager ces autos, les mots me manquent et qu’il serait temps pour moi de te créer un format en “Odorama “. En attendant je ne peux faire mieux que ces quelques lignes et cette sans doute trop courte galerie photo, mails il faudra pour le moment s’en contenter …
Entamer la rentrée en te présentant une auto différente pour je l’espère ton plus grand plaisir et profiter de l’occasion pour dérouiller mes méninges et mon clavier … Ça c’est fait !!!
Et Pendant ce temps là … Pendant qu'hier nos charmantes têtes blondes retrouvaient non sans mal les bancs de l'école, pendant que Lafarge prenait la Seine pour un lave-camion modèle géant, pendant que durant la période estivale la rubrique Faits divers n'a pas désempli d'atrocité en tous genres ( me voilà rassuré ...), pendant que l'on commence déjà à nous bassiner avec les élections de 2022 (le renouveau ceci, le monde d'après cela ...), pendant que le monde d'après n'est finalement pas si différent du monde d'avant, chacun ayant repris habitudes et travers dans le plus grand égoïsme et pendant que les apprentis-stars du Web s’inventent un monde en s'auto-congratulant à outrance de manière grotesque ...
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Ausgangsspere „Ich mache Klausuren!“
Confinement “Je passe mes partiels”
Les partiels étaient un sujet duquel je souhaitais parler car ils font partie de la vie de chaque étudiant et la situation étant quelque peu compliquée avec le confinement, j’ai déjà de faire un article sur les examens que je passe en ce contexte, car oui, même si beaucoup de personnes pensent que les étudiants à l’université ne font rien ou pas grand-chose en dehors des cours car ils n’ont rien à faire et préfèrent sortir pour faire des soirées tous les jours de la semaine, cela n’est absolument pas véridique !
En effet, durant toutes mes années à l’université, je ne suis jamais sortie pour aller à une soirée en semaine car nous avons des devoirs à préparer !
En tant qu’étudiante en Licence de langues vivantes, j’ai par exemple des textes et des commentaires de textes (ou de documents) à rédiger, des analyses de documents écrits ou iconographiques à réaliser, des livres à lire et des cours à apprendre !
Faire ses devoirs permet de progresser dans les matières faisant partie de son cursus mais aussi de se préparer à ses examens !
L’apprentissage des cours au cours du semestre permet par ailleurs de ne pas se retrouver avec un semestre complet, sur lequel on n’a pas travaillé durant ledit semestre, à apprendre pour le partiel, ce qui est il faut dire compliqué à faire en deux semaines mais j’aborderai ce thème dans un article dédié à l’organisation !
Je parlerai dans un premier temps des différents examens à l’université, puis des examens qui étaient prévus avant le confinement et du changement que celui-ci a amené avec lui. Dans un dernier temps j’expliquerai comment j’ai vécu cette période particulière;
Les différents examens à l’université française.
En France se distinguent deux types d’examens : les Contrôles continus ou C.C. et les partiels. La différence réside dans le fait que les Contrôles continus ont lieu deux fois dans le semestre, la première avant les vacances de la Toussaint et d’hiver et la deuxième avant les vacances de Noël et de Pâques.
Les contrôles terminaux ou partiels ont quant-à-eux lieu à la fin de chaque semestre donc avant (ou après) les vacances de Noël et de Pâques.
Durant ceux-ci vous devrez avoir revu tout ce que vous avez vu durant votre semestre et connaître votre cours sur le bout des doigts car il faut absolument tout connaître, et cela en particulier dans le professeur pense que sa matière est d’une facilité enfantine, ce qui n’est malheureusement jamais le cas !
J’ai par exemple dans ma Licence en troisième année six partiels, c’est-à-dire:
un écrit en Linguistique synchronique, c’est-à-dire Linguistique moderne,
un oral en Linguistique diachronique, c’est-à-dire Linguistique historique,
un écrit en Commentaire linguistique,
un écrit en Civilisation,
un écrit en Littérature,
et une soutenance de Didactique de l’allemand
Pour préparer tous ces examens, j’ai deux semaines au semestre d’été et une seule et unique au semestre d’hiver, les examens ayant lieu avant les vacances de Noël après la semaine de rattrapage des cours où les profs ont été absents pour diverses raisons et cela est très court !
Les examens prévus à l’origine sans le SARS-Cov-2.
Parlons à présent des sujets de mes examens terminaux: je devais en Linguistique moderne réviser l’ensemble cours prenant part dans l’ensemble „Die deutsche Sprache im Wandel der Zeit“ que j’ai étudié ce semestre, en Linguistique diachronique, j’avais une recherche universitaire à préparer que je devais présenter, en Commentaire linguistique et je devais simplement réviser le cours pour avoir un examen oral en face à face avec ma professeure, consistant à corriger la grammaire de phrases allemandes.
En Civilisation, je devais réviser la partie concernant la politique de l’Allemagne et j’avais, à l’origine, un écrit de quatre heures avec une analyse de document comme sujet.
L’examen de Littérature portait sur „Die deutsche Gedichte im 20. Jahrhundert“ qui devait être une dissertation de quatre heures sur certaines poésies de la liste des dix-huit poésies que j’avais étudiées durant le cours magistral.
Les examens avec le SARS-Cov-2
La situation actuelle ayant forcé les universités à fermer leurs portes en avril, et cela juste avant LA journée portes ouvertes à laquelle je me faisais une joie incommensurable de participer. Cela a donc entraîné un bazar pas possible avec les examens lorsque tout le monde a compris, au bout d’une semaine, que la situation ne changerait pas avant un bon bout de temps.
Nous sommes donc restés dans le flou pendant une ou deux semaines et nos professeurs nous ont annoncés que lesdits partiels deviendraient des contrôles continus ce qui ne m’a personnellement absolument pas arrangé car en plus de cela : certains de nos véritables contrôles continus n’avaient pas eu lieu avant les vacances et ceux-ci n’ont par ailleurs pas eu lieu à la semaine de rattrapage.
J’ai également dû choisir les dates de mes examens par moi-même et cela a donné ce résultat :
22.04.20 à 09:15: Kulturwissenschaft (Civilisation)
23.04.20 à 14:00: LANSAD (Espagnol)
24.04.20 à 09:30: Soutenance des Praktikums (Didaktik)
27.04.20 à 10:20: Deutsch/Französisch Übersetzung (Version)
29.04.20 à 10:30: Französisch/Deutsch Übersetzung (Thème)
04.05.20 de 9:00 à 12:00: Literatur
07.05.20 à 11:00: Historische Sprachwissenschaft / Deskriptive Sprachwissenschat / Sprachwissenschaftlicher Kommentar (Linguistique diachronique / Linguistique synchronique / Commentaire linguistique)
J’ai donc passé mes vacances à m’acharner à réviser le cours de Civilisation ayant peu de ne pas pouvoir rattraper ma première note qui avait été une véritable catastrophe et ai commencé les révisions de les dix-huit poésies pour l’examen de Littérature allemande.
En parallèle à ces révisions, j’ai préparé la soutenance de mon rapport de stage et révisé le vocabulaire pour le contrôle de Thème.
J’ai continué mes révisions de Littérature et les ai mixées avec la préparation de ma recherche de Linguistique historique et avec mes révisions de Linguistique moderne.
Je vous laisse imaginer l’état dans lequel je me trouvais, et me trouve encore en en ce cinquième jour du mois de mai en rédigeant cet article, durant mes révisions intensives.
Oui, j’emploie le mot “intensif“ car je n’ai simplement fait que de réviser tous les jours de la semaine, excepté le week-end et les jours fériés et cela en a valu la peine dans la mesure où je m’en suis plutôt bien sortie pour dire la vérité, pour les examens où j’ai déjà reçu mes notes, ce qui n’aurait pas dû être dans la mesure où nous recevons habituellement nos notes bien longtemps après avoir passé nos épreuves.
En parlant de ces partiels étranges, je me dois de préciser que ces partiels ont été modifiés dans leur déroulement : car étant confinée chez mon petit-ami depuis cinquante jours, le confinement a changé la nature des examens.
Le partiel de Civilisation qui a l’origine devait être une analyse de documents s’est transformé en contrôle de connaissances, il est également à noter que notre professeur nous a prévenu la veille que la partie concernant la Géographie allemande que nous avions étudiée à partir du semestre d’été 2019 ne serait pas dans le contrôle terminal alors qu’avant le confinement, il nous avait expliqué que nous devions réviser tout le cours de Géographie depuis le quatrième semestre !
Le deuxième contrôle, le contrôle de LANSAD, a été une véritable blague où le professeur ne nous a même pas dit ce que nous devions réviser et nous a pondu un sujet bien trop compliqué pour le niveau A1/A2 et nous a même demandé de nous filmer !
Oui, de nous filmer pour voir comment nous prononcions car les acteurs font cela et cela m’a véritablement agacée pour vous dire la vérité !
La soutenance est l’un des seuls examens qui n’a pas trop changé dans la mesure où cela est resté une soutenance typique si on retire le fait qu’elle se passait à distance et que nous n’avions pas nos professeurs en face de nous.
Les partiels de Version et de Thème quant-à-eux ressemblaient plus à de l’interprétation, en particulier le thème où la professeure nous donnait des phrases que nous devions traduire instantanément.
La Littérature était le plus long de mes examens. Celui-ci a duré trois heures sur les quatre qui étaient prévues à l’orgine. Lors de cet examen, qui lui aussi était un oral, notre professeur nous demandait de présenter des poésies que nous avions étudiées en cours et de traiter d’un thème qu’il nous avait donné.
Le mien était le suivant :
„Arno Holz: Hinter Apfelbaumblüten, Stephan George: Komm in den totgesagten park, Georg Trakl: Verfall. Stellen Sie die Gedichte kurz vor und vergleichen Sie sie dann im Hinblick auf die Naturschilderung.“
“Arno Holz : Sous les feuilles du pommier, Stephan George : Viens dans le parc prétendu mort, Georg Trakl : Déchéance. Présentez les poésies rapidement et comparez-les dans l’optique de la description de la nature”
Les deux premières heures de l’épreuve étaient consacrées à la préparation de l’oral. Venait ensuite une heure où je présentais mon analyse puis la dernière demi-heure était une discussion avec mon professeur.
En Linguistique historique, j’ai réalisé une recherche scientifique sur un thème de mon choix lié au cours, me concernant, j’avais choisi les régiolectes et pris beaucoup de plaisir à traiter de ce sujet. J’ai dû préparer trois questions sur ce thème auxquelles j’ai répondu grâce à un texte scientifique entièrement rédigé en allemand par un chercheur de cette nationalité et approfondir certaines informations grâce à des documents issus d’Internet.
En Linguistique moderne, notre professeure nous a préparé une liste de questions sur lesquelles nous pouvons tomber à l’examen. J’ai donc dû répondre à deux de ces questions lors de l’examen. L’examen d’origine était basé sur le même principe mais l’examen étant un écrit et durant une heure, nous avions plus de questions à celui-ci.
Le Commentaire linguistique est le deuxième examen qui n’a vraiment pas changé, celui-ci étant un oral ayant cependant eu lieu par Skype, ce qui n’est pas quelque chose de commun en temps normal.
J’ai donc révisé tous les „Satzglieder“ et les „Satzteile“, ce cours étant en quelque sorte un cours de Grammaire et accessoirement l’un de mes cours préférés avec la Littérature.
L’examen consistait comme au semestre d’hiver à identifier les différents Satzglieder dans un premier exercice et à corriger des phrases où des fautes grammaticales se trouvent, d’expliquer l’erreur d’après la sainte Grammaire allemande et de proposer une solution à cette erreur.
Mon point de vue sur les cours et les examens dans cette situation particulière.
La situation actuelle due au SARS-Cov-2 m’a dans un premier temps agacée au plus haut point surtout au moment où l’université à fermer ses portes pour éviter la diffusion du virus ce que je comprends aujourd’hui.
Les cours ont donc eu lieu à distance ce qui m’a parfois agacée car avoir des cours magistraux à distance via Skype, Renato ou Zoom n’était pas la chose la plus agréable au monde car devoir prendre des notes sur ce que dit un professeur et ne pas avoir réellement le professeur en face de soi est quelque chose de très dérangeant pour moi.
Par ailleurs certains professeurs étaient incapables d’utiliser les logiciels ce qui était fort agaçant !
La prise de notes à distance était également plus compliquée que celle qui a lieu lors des cours normaux en présentiel car il est à savoir que tout cela est plus impersonnel lorsqu’un professeur réalise son cours.
Concernant les examens, le fait que ceux-ci soient à distance avaient quelque de perturbant car je ne m’étais jamais dite que cela m’arriverait un jour et si on me l’avait dit, j’aurais ri au nez cette personne.
Les exposés, desquels je n’ai pas parlé dans la mesure où je les ai passé avant la période dédiées aux partiels, que j’ai passé à distance n’étaient pas les examens les plus difficiles. Ceux qui m’ont particulièrement stressés étaient ceux de Civilisation, de Littérature, de Linguistique et de Commentaire linguistique car j’avais l’impression de ne rien connaître à ces cours, ce qui n’a pas été le cas.
J’ai cependant eu de la chance dans la mesure où mon sujet de Littérature où plutôt les poèmes présents dans le sujet étaient ceux que je maîtrisais le mieux ; tout comme cela a été le cas pour la Linguistique moderne où j’ai eu la chance de tomber sur des questions que je maîtrisais.
La Civilisation était sans doute l’examen qui m’a fait le plus paniqué car il prenait la forme d’un questionnaire à choix multiples de vingt questions dont certaines réponses devaient être un petit peu rédigées auquel nous devions répondre en huit minutes ce qui était vraiment très court !
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Aujourd’hui on a une deuxième journée en solo à Luang Prabang. Heureusement, la pluie s’est arrêtée ! ⛅️ On commence par aller visiter le temple Xieng Thong, le plus jolie de la ville. Les murs sont rouges et ornés de mosaïques de couleurs représentant la vie rurale laotienne. Il ya notamment un grand arbre sur une des façades. Le temple principale a des murs noirs décorés en dorée. Les décorations sont brillantes mais c’est assez beau ! 🧘♂️ On est ensuite allé au marché du matin pour acheter quelques produits rigolo : des desserts laotiens à la noix de coco, des petits pois grillés, des haricots grillés... 🥥 J’adore l’ambiance du marché avec toutes les couleurs et les produits inconnus ! On a ensuite visité un marché couvert de grossistes qui vendaient tous les tissues possibles et imaginables ! C’est là-bas que les femmes se font faire leurs vêtements sur mesure. Maman s’est fait faire une sublime jupe laotienne ! Je veux pas spoilé mais elle est très belle 🤩 On a passé beaucoup de temps à choisir le tissue (et à marchander le prix) avant que la couturière prenne les mesures de maman. C’était très chouette ! Le midi, on a mangé un sandwich laotien, héritage du protectorat français et de la présence américaine. C’est un sandwich au pâté de foie, sauce piquante, herbes fraîches, Mayo, poulet, concombres,... qu’on a mangé dans la rue. On l’a choisit à une dame qui ne faisait que ce sandwich, un stand laotien pas du tout touristique. Résultat, on avait la bouche en feu mais c’était très bon! 😵🥪 On est ensuite allé prendre un café ☕️ dans un vrai café, au bord du Mékong. Le Laos fait poussé énormément de café mais jusqu’à présent, on a bu très peu de bon café et le Nescafé est servi partout... Du coup, on a apprécié un bon café laotien ! 🤗 On a continué la journée avec la visite de la montagne sacrée qui offre une très belle vue sur la ville. On trouve partout des statues du bouddha dans différentes positions. Le sommet offre un chouette panorama sur le Mékong et la descente offre une belle vue du marché de nuit. ✨ Vous ne serez pas étonné d’apprendre qu’on a encore fait quelques achats au marché de nuit avant de rentrer manger à l’hôtel. 🙃 On a acheté plein de desserts laotiens et c’était notre dîner avec un jus de mangue mixée. Les desserts étaient tous gélatineux et à la noix de coco, c’est très étonnant et on a fait des découvertes plus ou moins bonnes. Ils utilisent beaucoup le taro et le manioc dans les desserts donc c’est des goûts et des textures improbables! On a passé la soirée sur la terrasse de notre hôtel à discuter, c’était très sympa ! 🍥
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UN FAIT EXTRAORDINAIRE Pour la première fois, un astronaute se transforme en DJ
L’astronaute italien, Luca Parmitano a mixé depuis la Station spatiale internationale dans la soirée du mardi 13 août. Le temps d’un court set, destiné à une nuit électro organisée sur un bateau de croisière à Ibiza (Espagne), l’astronaute se transformera en DJ. Pour une mission de 6 mois, Luca Parmitano a quitté la terre le 20 juillet dernier à bord d’une capsule Soyouz avant de rejoindre l’ISS, rapporte RTL. Selon Emmet Fletcher, chargé des partenariats à l’ESA, il n’est pas habitué à ce genre de musique, mais il est très enthousiaste. "C’est très typique de Luca. Il veut toujours aller plus loin, faire des choses nouvelles", a-t-il renchéri.
L’astronaute s’est entraîné en DJ
Pour bien assurer ce nouveau rôle, l’astronaute s’est, d’ailleurs, entraîné à mixer auprès d’un DJ allemand, Le Shuuk. Ce dernier a choisi divers morceaux que Luca va utiliser pour son set. Par ailleurs, pour mixer, il utilisera une tablette de l’ISS sur laquelle a été chargé un logiciel spécial DJ. Pendant 15 à 20 minutes, le set lancera la soirée et il a été retransmis en direct sur le bateau, où se trouvaient environ 3.000 personnes.
Le but
Rapprocher l’espace du grand public, tel est le but de cette activité. "Pour que tout un chacun comprenne ce que fait l’Agence spatiale européenne", a expliqué Emmet Fletcher
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LA PLUS GRANDE SOIRÉE MIXÉE
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Les basiques de la garde-robe à avoir absolument
Chaque personne a un style unique, mais il existe des pièces intemporelles qui forment la base d'une garde-robe polyvalente. Ces essentiels peuvent être mixés et assortis pour créer une multitude de tenues adaptées à toutes les occasions. Voici les incontournables de la garde-robe à avoir absolument. Les essentiels pour femme Le jean bleu Un jean bien coupé, que ce soit slim, droit ou boyfriend, est la pièce de base autour de laquelle de nombreuses tenues peuvent être construites. Le t-shirt blanc Simple et polyvalent, le t-shirt blanc est l'ami de tous les looks, du plus décontracté au plus habillé sous un blazer. La petite robe noire Chaque femme devrait avoir une robe noire qui la met en valeur, parfaite pour les soirées imprévues ou les rendez-vous formels. Le blazer Un blazer bien taillé peut instantanément habiller une tenue décontractée ou compléter un look professionnel. Les ballerines Confortables et chics, les ballerines sont le compromis idéal pour les journées où l'on souhaite allier style et confort. Les essentiels pour homme Le jean brut Tout comme pour les femmes, un jean de bonne qualité est un incontournable pour les hommes. Préférez un modèle brut qui se patinera avec le temps. La chemise blanche Que ce soit pour le travail ou une occasion spéciale, une chemise blanche bien coupée est un must-have. Le t-shirt gris Simple mais efficace, le t-shirt gris est une base idéale pour de nombreuses tenues. Le blazer marine Il ajoute instantanément une touche d'élégance à n'importe quelle tenue, qu'il s'agisse d'un look casual avec un jean ou d'une tenue plus formelle avec un pantalon de costume. Les baskets blanches Intemporelles et polyvalentes, les baskets blanches complètent aussi bien un look décontracté qu'une tenue un peu plus habillée. Les accessoires basiques Le sac à main/tote bag Choisissez un modèle de bonne qualité, assez grand pour emporter vos essentiels, mais suffisamment élégant pour compléter votre tenue. La ceinture Qu'elle soit en cuir noir ou marron, une ceinture est à la fois pratique et esthétique. Les lunettes de soleil Optez pour un modèle classique qui convient à la forme de votre visage et qui vous protègera des rayons UV. Posséder ces basiques vous permettra de créer une variété de looks sans avoir à posséder une multitude de vêtements. En investissant dans des pièces de qualité, vous garantissez également leur longévité. Après tout, la clé d'une garde-robe réussie réside dans la qualité et non la quantité. Read the full article
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So let's again and pray that Tumblr lets me ask you this : for the ask meme on your oc, for Will and Jo, 22, 24, 26, 28, 44 and 47 (Je suis en train de réaliser que ca fait beaucoup de questions donc si tu veux pas répondre à Tout c'est pas grave ^^)
Répondu (à ça, c’est bien ça?) avec Léo :D
22. What are their favourite insults to use? What do they insult people for? Or do they prefer to bitch behind someone’s back?I think they can get pretty imaginative with their insults, especially Will. And they definetly bitch behind people’s back. Jo uses old words that don’t sound mean because well, 12 siblings. Why do they bitch about, that I can’t tell, but I can tell that whatever the subject is, they -hum Will hum- can use a good ration of mauvaise foi.
24. What is their sleeping pattern like? Do they snore? What do they like to sleep on? A soft or hard mattress?SLEEPING PATTERN WHAT SLEEPING PATTERN AHAHAHAHAH. Jo spent too much nights working on cases/watching over Francis to really care about where or when he sleeps. Give him a spot to sit and tell him he has two hours to wait, he’ll sleep there. Will is not that different, also, he got a hamac installed on his house. I guess Jo can snore and he likes both mattress, and Will can too but is less likely, and he prefers soft ones?
26. How do they act when they’re happy? Do they sing? Dance? Hum? Or do they hide their emotions? Will cheerfully plays with knifes and he’s even more flirty with e v e r y o n e. Jo probably dances a bit and hums and tries to contaminate everyone around him with a very catchy but very annoying song. And hiding their emotions... pining aside, Jo fails to -and doesn’t really try that hard-, and Will doesn’t even try. And together they’re just insufferable and pure.
28. What is their biggest fear? What in general scares them? How do they act when they’re scared? WEEEELL WILL POST SEASON 5 TOUT CA TOUT CA.Jo a pas trop peur de grand chose, et quand il a peur il y va quand meme (meh il aime pas trop tel insecte mais c’est pas de la faute de l’insecte dont il le prend dans les mains pour le sortir, ou tel projet l’angoisse un peu mais ce sera une bonne occasion de tester des trucs donc allez). Will est borderline adrenaline junky donc bon, les cablages pour la peur et l’excitation sont un peu mixés. Mostly when they’re afraid, their main reaction is “let’s do it”.(Léo demande si on peut dire qu’ils ont peur des cis-het. Cishetophobes.)
44. What is their favourite season? Type of weather? Are they good in the cold or the heat? What weather do they complain in the most? The fifth season is definetly their favouite because everyone is together and it’s fun and great.(jk) Will aime l’automne parce que c’est la saison idéale pour les blosons de cuir, ni trop chaud ni trop frais. Jo est un Summmer Child. Et.... Pour ce qui est du chaud ou du froid, Jo est accomodant pour tout et Will se plaind de tout, donc bon.
47. How do they act in a formal occasion? What do they think of black tie wear? Do they enjoy fancy parties and love to chit chat or loathe the whole event?Le pire c’est que j’ai écrit sur ça x) Will connait l’étiquette et tout mais il tien environ 10 minutes avant de se mettre à passive-agressivement critiquer tout ce qu’il y a et de se fouttre de la geule de tout, des petits fours à la couleur des rideaux, juste en le murmurant à la personne avec qui il est venu (personne -Jo ou Alex, hein- qui a du mal à se retenir de rire et qui doit cacher son sourire dans sa coupe de champagne). Jo es plus courtois et accomodant et gentil, il aime voir les gens etre heureux de ce dont ils parlent. Donc si la reception c’est juste des gens qui se la pètent et critiquent une... oeuvre? ou un truc pour lequel la personne a bosser dur, il va detester. Mais de regle générale, même si l’interlocuteur est odieux, il va juste sourire, et tenter de l’aider puis se mettre dans un coin avec Will pour l’entendre critiquer tout ce qui passe devant ses yeux, parce que c’est quand meme le meilleur dans cette soirée. (what do they think in black tie wear: they look good in it and their crushes/friends look DAMN good in it. )
Alors, au terme de tout ça, il faut évidement rappeller que ce n’est pas DU TOUT de la projection et que c’est une série très serieuse et dramatique. Voilà Voilà.
(also FREAKING THANK YOU T’AS AUCUNE IDEE A QUEL POINT ON EST HEUREUX QUE ENFIN ON SOIT PLUS LES SEULS A POSER CES QUESTIONS ENTRE NOUS :D ) (et pardon pour la bouillie de Franglais ^^’ )
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INTERVIEW DJ’S Made in Montpellier #4 MISS AIRIE
On imagine que certain.e.s d’entre vous connaissent déjà Miss Airie. Et pour celles et ceux qui ne la connaissent pas, c’est partie pour une session de rattrapage.
Dotée d’une indéniable présence physique, d’un enthousiasme et d’un mental à toute épreuve, cette activiste de la techno (qui a à elle seule a inspiré toute une génération de dj’s de Montpellier et ses alentours ) est imparable face à un dance-floor. Très présente dans l’univers trance et techno, pionnière de la scène techno / trance montpellierainne depuis 1992, elle a fortement contribué à diversifier ce style et à faire muter cette musique vers les clubs.
Elle a, tout d'abord, goûté les plaisirs de la musique expérimentale, explorant l'univers de Banco de Gaïa et d'artistes comme Aphex Twin. Puis, épicurienne, elle s'est tournée vers la transe progressive, et la house et la techno acide. Grâce à son expérience en Espagne, au Canada, aux Etats-Unis, en Italie, en Bulgarie et en Allemagne, elle s'est épanouie dans sa culture musicale. Elle fut résidente dans deux clubs ,sur Paris au RedLight et sur Carcassonne au Rockadelik et était résidente du Barlive depuis 2001, l'une des plus grandes afters de France, Elle a produit des soirées « Xing Party », ainsi que les soirées RedNose " Aquatic games & Electronica Zinga Zanga " dans le sud de la France . En Septembre 2009 , première sortie digitale d'un EP " Night Life " avec Anton'x.
Aussi lyriques et alanguis qu’aquatiques, les flux musicaux de Miss Airie invitent à la caresse et au dépassement.
Quatrième portrait de la série dédiée aux femmes DJ’S de Montpellier et alentours sur le site de Support Your Local Girl Gang …. Miss Airie a répondu à notre interview Girl Gang !
Peux-tu nous raconter ton parcours et tes activités artistiques ?
J’ai commencé en 1992, en créant une asso : Les Sales Gosses , après avoir découvert le son électronique cette année là. De l'underground avec les Spirals Tribes, et de la house avec Les Pinguins.
Après de nombreuses expériences musicales électroniques (6 festival Boréalis entre 1993 et 1998), Willy & Lee Grtz ont crée les labels Kobayashi (en 1997) en alternative à la "french touch" parisienne. Puis, ils ont lancé Extraball, un label de la scène montpelliéraine et du sud de la France, sur lequel sont sortis des titres house mais également tech houseet techno (13 sorties à ce jour). Enfin, Humungus, un label plutôt axéHardTechno.
Pinguins Records était le premier disquaire généraliste de musiques électroniques à Montpellier, né en octobre 93 suite à la collaboration de deux dj's issus de la tribu des pingouins : William et Stéphane, un lieu incontournable de la culture électronique à Montpellier.
Du coup notre asso était plus Trance, avec Max le Sale gosse , Alex Escalofrio et Rykkk's.
Je ne mixais pas encore, mais ça mixé tout le temps à la maison .. donc j ai appris à utiliser le matos.. j avais déjà eu des tourne-disques.. mais pas des MK2 :) et en 1996, j ai vraiment commencé à mixer sans jamais m 'arrêter, cela aller devenir mon métier .. plus que ma passion.. de jolies années à tourner en France et de belles dates dans le monde.
Quand es-tu tombée dans la musique ? Tu te souviens de tes premiers disques ?
Mon papa était musicien, il jouait de la guitare.. et ma maman aimer danser sur du Kraftwerk pendant sa grossesse.. :).. kihihhihihi
Il y avait des disques à la maison, et j avais un tourne disque orange, qui mangeait les disques...
De Bob Marley, aux Beatles, en passant par le Jacques Dutronc, Serge Gainsbourg, jusqu'à Nina Hagen... Manu Dibango.. du classique aussi et du Gilberto Gil..
Mon 1er disque vinyl.. vers mes 8 ans : Bashung : oh Gaby :) The Cure : Kiss Me Kiss Me, Brian Ferry .. and more
Y a-t-il des artistes qui ont compté.e.s dans ta carrière ?
Oui , tout ceux que j ai cité plus haut et en musique électronique : ça sera toujours les mêmes : Sven Vath, Laurent Garnier, Jeff Mills, Carl Cox, Moby, Monika Kruse..
Il y a aussi , des artistes français qui étaient activistes, je pense à Kriss, un ami qui est parti dans les étoiles il y a peu..Lui m'a donné ma chance de devenir Miss Airie, j avais une bonne sélection musicale mais je ne savais pas mixer.. il avait raison.. en 1996... hahahaa.
On parle souvent de la misogynie dans la musique . Te sens tu investie d’un rôle par rapport à ça ?
Investie je le suis, car je l ai subi et je le subis encore.. et ça me fait vraiment C..., quelle indécence de la part de ces gens.. que faut il en penser ?
Je m’éloigne de plus en plus de ces personnages mauvais et méchants... j ai mieux à faire dans ma vie de Dj, et je donne de mon temps pour des causes qui me touchent.. Et il y a évidement : mes fils , ma famille, ma passion, mes disques..
Celà évolue.. mais doucement..; alors moi je rale.. je m 'exprime.. je dis les choses... j 'en prend plein la tête en retour.. bref... Fuck !!!
La scène féminine a bien évolué en quelques années. Comment perçois-tu cette nouvelle vague qui secoue un peu les choses ?
Dans un monde d'homme, ben voila ou on en est.. t'es bonne, t'a du fric, .. nan je rectifie : t'as du fric, t'es bonne .. tu fais le tour qui monde, tu rencontres les stars de ta vie, tu utilises les meilleurs logiciels et les meilleures machines pour faire du son, tu te payes des formations .. t'as tout compris... STAR SYS'theme !!!
Vivement quand on sera vieux !! hahahaha, Vieilles je voulais dire....(jusque là !!! tsss)
Tes artistes préféré.e.s du moment ?
C'est un groupe de femmes djs.. elles sont un petit groupe .. elles sont parfaites... elles sont solidaires .. et mixeuses : Les Mixeuses Solidaires !!!
Avec quel autres artistes aimes-tu jouer le plus ?
Rykkk's, Lolita, Anton'x, Mark's
Avec quel artiste aimerais-tu jouer?
Laurent Garnier
Ton artiste féminine préférée ?
En ce moment c'est une ukrainienne NASTIA...
Une punchline / devise ?
C'est parti , je vais le faire
Des endroits que tu recommanderais pour faire la fête ?
En ville de Montpellier, c'est le Bar d'un copain : La Fabrik .. c'est bien sympa la bas.. j aime beaucoup
Quel est ton spot à apéro ?
heu.. ben .. La Fabrik :)
Tes prochaines dates ?
Le 30 avril à la Churascaia : remember bar live.. avec Cebb, Nhar ..
Le 28 mai à la salle Tropisme avec Scan X , Arnaud Robotini...
Le 21 juin dans un château.. private party
Le Charivari de la Fabrik ..
Le 10 aout Insane Festival en B2B avec Nikita ..
Que penses-tu de Support your Local Girl Gang ?
J aime beaucoup les infos que vous passez sur les réseaux sociaux.. ouvert .. gay and friendly.. tout comme j aime... support à fond.. les news qui vont bien ... on pourrait en faire un gros magazine... je vous aime bien, fort..merci de votre attention..;je vous embrasses et prenez soin de vous .. les autres on s'en fiche .. c'est notre vie alors régalons nous...
Emeraldia Ayakashi - Support Your Local Girl Gang
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Fin d'après-midi à Amantani
Deux hommes attendent au bateau. Le propriétaire nous dit qu'il attend environ 10 personnes pour le départ et qu'on partira à ce moment là. Alors on en profite pour aller prendre à manger car le petit dejeuner est loin, et les palliers en descente de l'avion n'ont pas aidé..
10 soles par personne la traversée d'une heure (3,5 euros).
On trouve une mini épicerie qui vend aussi bien du riz que des pneus et du ciment. On achète du riz pour la famille qui nous hébergera, des gâteaux, de l'eau. Mais on finit par revenir car on a zappé notre snack. Les gens (nous les premiers) sont très essoufflés donc économise leur parole. Ça n'a pas empêché Robin de demander une deuxième fois le prix des gâteaux (qu'on avait acheté pour la famille 3 minutes plus tôt). Enfin elle avait l'air contente de nous revoir :)
20 minutes plus tard, le propriétaire du bateau Fransisco nous demande si on veut aller dormir les 2 nuits dans sa famille (incluant les repas) et on accepte. On embarque (à 4 personnes) et une heure de bateau nous attend pour atteindre l'île Amantani. La vue est sublime : on fait face à la Bolivie et des sommets qui couvrent tout le panorama. Le lac est très bleu, très calme et on dépose tous les passagers (les 2 autres) au premier port et Fransisco nous demande de rester car on s'arrête au deuxième port.
Il a quand même réussi à faire un créneau tout seul à l'aide de sa corde, son bâton qu'il enfonce dans la vase du lac et les autres bateaux.
15h30 : Nous sommes arrivés sur l'île Amantani où il n'y a pas d'électricité et où la population vit au rythme du soleil (et quelques panneaux solaires).
Fransisco nous explique que 10 communautés vivent sur l'île et parlent soit le Quechua soit Ayama. Il nous montre sa maison depuis le port et nous le suivons dans les petits chemins qui montent (il n'y a pas de route, pas de voiture, pas de chiens). Par contre toujours les brebis "ovejas", les ânes "burros" et quelques poules. Des plantations tout le long : pommes de terres, mais, blé, fruits...
La montée est costaud avec les sacs et le manque d'oxygène. Fransisco nous explique toutes les plantes que l'on rencontre et leur bienfaits médicinaux ; celle-ci calme le coeur, celle-ci le mal de tête ou la gorge... les odeurs sont très prononcées. Ça aide l'effort.
Il nous tend ensuite des brins d'herbe avec une feuille au dessus et nous montre de la croquer. Le goût du citron acide et frais le fait plisser les yeux (déjà très plissés hahaha). Miam. On croise des groupes de musique qui retournent jouer vers le continent avec tous leurs instruments et déguisements.
Les femmes portent la tenue traditionnelle.
On arrive finalement devant la porte où un âne nous attend :)
Fransisco s'empresse de nous preparer la chambre, aidés de ses 2 fils, pendant que nous profitons de la vue magnifique. La maison de Fransisco donne directement sur le lac.
On prend le temps de se poser puis en soirée, direction le coeur de l'île : la Plaza de Armas. Deux cafés, une "mairie" et une statue se partagent la place. Quelques habitués et enfants passent la fin de journée ici. Bon on ne traîne pas car le froid arrive et le vent se lève. Sur le chemin du retour expliqué par Francisco (parti chercher des patates) "un chemin qui monte, un arbre, à gauche et vous apercevrez la maison". Merci Francisco mais on t'a pas dit qu'on est nuls en orientation et que depuis Vertou pour le Puy du Fou, nous on passe par Cholet ? Non on a peut-être oublié ce détail. Bon on trouve la maison comme des grands.
Il fait déjà nuit il est 17h45
On se pose dans la chambre où la temperature baisse. On finit avec 3 épaisseurs et à 18h on rencontre Maxima, la femme (toute petite) de Fransisco. Elle nous appelle à 19h pour venir manger.
Elle avait préparé avec son fils une soupe aux pommes de terre, maïs mixé, carotte... super bonne et ça rechauffe. Et en plat du riz, patates et oeuf sautés. On termine par le traditionnel maté (thé dans lequel ils mettent des herbes à infuser). Elle nous pose deux assiettes d'herbes dont une de feuilles de coca, réputées pour calmer le "soroche" (mal de l'altitude).
Fransisco rentre et à l'air épuisé. Il mange avec nous et nous pose plein de questions : durée du vol entre Madrid et Lima, notre itinéraire, combien de personnes dans l'avion....
Épuisés, on monte dans notre chambre et on se couvre avec les 3 énormes plaids brodés aux motifs péruviens...
Bonne nuit.
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Lors de mon dernier passage au KIFF d’Aarau, pour le concert de TesseracT, j’étais tombé sur une affiche annonçant, dans cette même salle, la venue de Haken en mars. Je n’avais pas manqué de graver la date dans mes tablettes et me voici donc, quatre mois plus tard, pour cette date de la tournée European Vector Studies 2019.
Je vous ai souvent vanté cette salle qui, si elle ne peut pas vraiment régater au niveau quantité, fait souvent jeu égal avec le légendaire Z-7 de Pratteln en qualité de programmation. Avec en plus l’avantage que c’est quand même moins loin pour moi et qu’ils sont remarquablement tolérants pour ce qui est des passes photo.
En plus, cette fois, j’ai pu trouver un petit hôtel dans la ville voisine d’Olten, à dix minutes en train sur la même ligne, moitié moins cher que mon point de chute habituel pour un confort équivalent.
Depuis le temps, je connais le chemin et c’est un poil avant l’ouverture des portes que je me pointe devant la salle, sise dans un ancien bâtiment industriel. Pour le moment, il n’y a pas foule, mais ça ne durera pas.
C’est au Ben Levin Group que revient l’insigne honneur d’ouvrir la soirée. Je ne connaissais pas ce groupe, mais il s’avère que c’est le spin-off de Bent Knee, une formation que je connaissais de nom.
Le groupe s’entasse à six sur une scène passablement diminuée par le matériel des autres groupes et aligne un violoniste. Ce n’est pas banal et leur musique non plus. Leur rock progressif est passablement secoué et intègre des éléments de jazz et de hip-hop.
J’aurais tendance à trouver le bazar un poil décousu, mais c’est probablement dû à ma méconnaissance du groupe. Quoi qu’il en soit, ils ont de l’énergie et de la bonne humeur, plus pas mal de métier, et le public – encore un peu clairsemé en ce début de soirée – les suit sans peine sur les trente minutes du set.
Un bref changement de scène et voilà Vola. Non, je n’allais pas le rater. Non, je n’ai pas honte. Bref, on a là un trio danois qui déboule avec un nouvel album et beaucoup d’énergie. Autant, la foule précédente était peut-être un peu exagérée, autant cette formation paraît limite légère, avec ses claviers enregistrés.
Cela dit, Vola compense par une énergie débordante et une bonne humeur plutôt communicative. Leur rock progressif mixé de djent fait un peu penser à Leprous, en beaucoup plus accessible, ou à Caligula’s Horse.
C’est donc un set de quarante-cinq minutes, principalement basé sur leur nouvel album – dont je vous parlerai prochainement – impressionnant d’intensité. Le public ne s’y trompe pas et lui réserve un accueil très enthousiaste.
Il y a un nouveau changement de scène, nettement plus long cette fois, et derrière des rideaux tirés – et Haken arrive sur scène, pile à l’heure.
Et ils jouent « 1985 ».
Et il y a une keytar.
Et c’est tout.
Non, je déconne: ce n’est pas tout, loin de là. La prestation des Britanniques va durer une heure et quarante-cinq minutes. Et, si c’est bien évidemment Vector, le nouvel album, qui est à l’honneur (seul « Host » n’a pas été jouée), il ne suffirait pas à remplir même la moitié du set.
Haken va d’ailleurs « faire son TesseracT » et tronçonner les pistes de son concept-album, insérant des morceaux de Affinity (surtout) et de The Mountain. Mais comme Haken a un son qui est nettement plus homogène que TesseracT, ça me gêne beaucoup moins.
Ross Jenkins plaisante sur le fait que la dernière fois que le groupe était venu dans cette salle – pour le Prog Frog Festival en 2017 – lui n’était pas là. Si j’étais méchant, je dirais que je regrette un peu Vladimr Lalic et sa performance habitée.
Mais le chanteur attitré n’a pas à rougir de la sienne, surtout au niveau scénique: il voltige, s’éclipse pendant les nombreux passages instrumentaux, laissant la piste à ses collègues, pour mieux revenir en bondissant, et harangue le public avec enthousiasme.
« Enthousiasme » est un épithète qui convient très bien à la prestation de Haken: on sent que le groupe aime jouer. Au reste, tous les musiciens ont droit à leur moment de gloire, avec une mention spéciale à Diego Tejeida, derrière des claviers qui donnent l’impression de contrôler une frappe nucléaire majeure. Et oui, il a une keytar et il l’utilise plusieurs fois.
Le show se conclut par un seul rappel – mais il s’agit de l’epic « Crystallised », paru sur l’EP Restoration et qui est un hymne de plus de dix minutes au prog de la grande époque, avec ses harmonies vocales et ses claviers typiques.
Il est 23 h 15, comme prévu – au KIFF, ça ne rigole pas avec l’horaire! – et c’était génial ! Je finis le concert avec des étoiles – et quelques larmes – dans les yeux et une banane tellement massive qu'elle a son propre code postal.
Ce n’est pas vraiment une surprise: le KIFF a toujours une programmation en béton, un son ultra-solide et un public présent en masse et super-enthousiaste.
Ajoutez à cela trois groupes au taquet, représentatifs de ce qui se fait de mieux en rock progressif contemporain, capable de parler aussi bien aux vieux de la vieille qu’aux metaleux, et vous avez une recette imparable.
Bon, d’un point de vue de photographe, ça a été un peu rude: beaucoup d’éclairages par l’arrière, beaucoup de fumée et, pour Haken, une foule compacte devant la scène. Mais bon, c’est le jeu. Au final, ce n’est pas cher payé pour une soirée de cette qualité.
Vous connaissez la routine: photos toupourrites sur Flickr, Creative Commons toussa.
L’article <span class='p-name'>Ben Levin Group / Vola / Haken à Aarau</span> est apparu en premier sur Blog à part.
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