#la peau et le soleil
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Les avantages et inconvénients du soleil sur l'organisme et la peau
Les avantages et inconvénients du soleil sur l'organisme et la peau Article et vidéo en ligne sur mon site ou en bio ici @fitnessmith
Vous voulez savoir ce que fait le soleil sur votre organisme ? Dans cet article vous allez comprendre les avantages et inconvénients du soleil sur le corps. Quand on pense au soleil, on pense à l’été, à la peau et au bronzage. Surtout que, pratiquant la musculation, vous savez qu’un léger hale augmente la définition musculaire. Quoi qu’il en soit, le soleil apporte autre chose qu’un beau…
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#coup de soleil#coup de soleil peau rouge#danger du soleil sur la peau#exposition au soleil#la peau et le soleil#la peau humaine est-elle un organe#la peau humaine et ses fonctions#la structure et la fonction de la peau humaine#peau#peau et soleil#préparer sa peau au soleil#rides et soleil#soleil#soleil et cancer#soleil et dangers#soleil et moral#soleil et santé#soleil et vitamine d#tache peau soleil#vidéo animée sur la peau humaine
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pour être joueur, j’ai dit à b. « vous seriez pas un peu seizièmiste, vous ? » and until today i had never seen a grown man BLUSH and GIGGLE like a schoolgirl
#s’il avait pas la coupe tintin he would’ve twirled his hair#ça et je l’ai vanné sur le fait qu’il ait une peau de roux et que du coup il est comme moi quand le soleil revient :#on passe de l’état placo à l’état écrevisse#voilà bref non vraiment le seul homme de la prépa#prépa talk
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Depuis tout petit, je suis connecté à la nature, comme un enfant qui trouve sa place parmi les arbres, les rivières, et le vent. Chaque souffle de vent me rappelle la liberté, chaque rayon de soleil caresse ma peau avec douceur. J’ai grandi parmi les sons de la forêt, le chant des oiseaux et le murmure des feuilles qui bougent. La nature est mon refuge, mon terrain de jeu, mon enseignant. Elle m’a appris la patience en observant la lente évolution des saisons, et la beauté dans les choses simples. Pour moi, chaque promesse d’un ciel étoilé est une invitation à rêver, et chaque vague qui brise sur la rive, un appel à l’aventure. Je suis un enfant de la nature, façonné par elle, guidé par elle, et chaque jour, je m’efforce de lui rendre ce qu’elle m’a donné : paix, équilibre, et une vision du monde plus simple, plus vraie.
Chartreuse / France 🇫🇷
PhoTo by ©️LM
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saga: Soumission & Domination 369
Octobre USA - Novembre en France
Pendant le WE j'aurai à nouveau l'occasion de tester ses capacités. Il se défend bien !!
Je me ferais aussi sa bande de copains aussi chauds que lui. Dane s'y essaye aussi. Pour lui c'est une première que de baiser aux côtés de son petit frère. Mais après quelques hésitations, il n'a pas pu résister à la vue des 8 jeunes corps musclés, imberbes dont les peaux brillaient d'un voile de sueur. Fin de partie au lever du soleil !! La triplette est ravie de cette fin de séjour en Californie.
Quand nous renvoyons mes " petits frères " en France, ils nous arrachent la promesse de faire venir leurs nouveaux amis en France pour passer noël et le nouvel an.
Duke est aussitôt d'accord, Dane accepte aussi. Pour Tyler je pense qu'il sera OK aussi.
En attendant je passe les WE à visiter le pays avec Dane et Tyler. Souvent nous sommes accompagnés d'une bonne dizaine de potes.
Ça été le cas quand nous avons fait du rafting sur le Colorado. Vraiment impressionnant de se faire secouer sur le pneumatique entre deux parois d'une hauteur vertigineuse.
De même lors d'une sortie sur le lac Powell. Dès notre arrivée et les bagages déposés à l'hôtel, nous avons loués des petits bateaux à moteur pour voguer sur le lac. Lac de barrage sur le Colorado, ses bords sont très déchiquetés et s'il y a de grand " plages ", il y a aussi des à-pic qui nous permettent de faire de superbes plongeons. Le milieu naturel c'est quand même plus excitant que la piscine chlorée.
Evidemment, nous ne sommes pas partis sans kpote ni gel !! Du coup quand on se trouve une plage un peu cachée, c'est touze au soleil.
Le mélange nageurs et fighters (combattants) n'as pas mis longtemps à prendre et l'ambiance est trop bonne, j'adore.
Sans parler de compétition, c'est une franche émulation qui agite les deux groupes. Si les adeptes des sports de combats sont longboard, les nageurs ont gardé les maillots réduits du plongeon. Comme s'il fallait ça pour exciter la partie adverse !! Les maillots moulent des bites et surtout les glands circoncis, pire qu'une deuxième peau. Le nylon lâche des shorts de surf pointe en avant sous la pression interne.
J'apprends alors que c'est une première que les deux " groupes " sortent ensemble. Dane et Tyler me dit que je suis leur point commun.
Je le sens bien quand en fin de touze, ils se servent de moi comme point focal d'un gang bang improvisé.
Sans parler que je ressente la même chose que Ric lorsque je suis organisateur de ce genre de plan, j'apprécie le fait que je sois le mec qui les ai amené à se lâcher pareillement.
Ils alternent dans ma rondelle et je prends plaisir à resserrer comme à détendre mon sphincter afin que chacun soit serré au plus confortable. Les deux blacks du groupe apprécient cette capacité alors que je laisse passer facilement leurs gros glands avant, d'une première fois les bloquer aussitôt dans leurs progressions puis de les laisser m'enfiler jusqu'aux couilles et de les bloquer là à nouveau.
Ce sont aussi les mieux montés même s'ils n'atteignent pas les dimensions de mes clients. Mais 23 et 23+ par un bon 6,5 c'est quand même très efficace !! Les gémissements que je n'arrive pas à retenir en font foi !!!
Le dernier à passer me fait juter les litres de sperme dont ses prédécesseurs avaient stimulé la production.
Quand je reçois les litres de sperme stockés dans leurs couilles, ça coule de part et d'autre sur le sable qui absorbe. Heureusement que nous sommes dans un coin isolé, car les mecs crient fort leurs plaisirs quand ils jutent.
Moi, je me serais pris ce coup là, mes 12 comparses et certains plus d'une fois, trop trop bon ça !
Le 13 novembre, cela fait une heure que je suis dans le bassin de plongeon quand Dane déboule et m'appelle avec de grands signes. Je plonge et quand j'émerge, il est sur le bord. Il me tire de l'eau, me serre dans ses bras et me dit qu'il y a eu des attentats à Paris et qu'il y a plusieurs centaines de mort.
Aussitôt je pense à mes amis Parisiens. Kev et Henri, Bogosse et sa Moitié et aussi à Alban plus tous les autres qui peuvent y être sans que je le sache d'où je suis !
Le coach comprend que j'interrompe mon entrainement et me dit d'aller voir tout de suite si mes amis sont indemnes.
J'enfile mes vêtements par-dessus mon maillot et courre jusqu'à ma chambre pour ouvrir mon ordinateur. Sur mon téléphone déjà 10 messages ! PH et Ludovic me rassurent à moitié. Ils ont déjà contacté tous nos amis et ils sont tous sauf, mais il manque à l'appel Alban et Ric et Kev qui étaient au Bataclan pour écouter un concert de rock.
Sur Facebook, de nombreux films me montrent les horreurs qui se sont passée en France. Autour de la salle de spectacle on ne voit que les gyrophares qui percent la nuit.
J'appelle André. Sa voix est calme et posée bien qu'il sache déjà que son fils (Ric) n'est pas joignable. Il me remercie de ma sollicitude et me promet de m'appeler dès qu'il aura des nouvelles.
Henri est dans la même situation. Malgré toutes ses connaissances, il n'arrive pas à savoir si Kev est sauf.
Il s'en suivra quelques heures d'angoisse le temps que la police donne l'assaut et qu'enfin, sur Facebook, Alban nous assure qu'ils sont vivants tous les trois mais à l'hôpital où Ric se fait extraire une balle de son bras gauche et Kev d'une dans un mollet.
Marc me contacte du Japon où il est en déplacement. Ça le rassure que je ne sois pas seul. Il comprend quand je lui dis que je saute dans le premier avion.
Dane a pris les devants et de son côté a déjà retenu par internet deux allers pour Paris départ dans 3h ! Il ne veut pas me laisser voyager seul !
Tyler qui a appris la chose nous rejoint. Embrassade, geste de réconfort, il nous conduit à l'aéroport.
Dans l'avion impossible de dormir. Les hôtesses et stewards très gentils, ne savent comment nous rendre service. Je ne suis pas le seul français à rentrer en urgence ! A Roissy, alors que nous allons prendre un taxi, je vois Henri qui nous fait signe. Nous nous engouffrons dans sa voiture et filons sur Paris. Il nous donne les dernières nouvelles, mes deux amis vont bien et devraient sortir rapidement.
Nous filons directement vers la Salpêtrière. L'entrée est encore très encombrée mais grâce à Henri nous passons rapidement les contrôles et je retrouve Ric alors qu'Henri passe dans la chambre à coté retrouver Kev.
Séquence émotion !! Je le serre dans mes bras et le traite d'imbécile à nous avoir fait aussi peur. Il me dit que la dernière fois c'était moi qui leur avait foutu la trouille (cf. mon accident de moto). Dans la chambre, André et Alban sont là aussi. J'ai la surprise de voir Ludovic.
Embrassades, Alban m'explique que Ric s'est couché sur lui et c'est pour ça, qu'il a pris la balle qui aurait dû le toucher.
Ric rigole et dit que si la balle l'avait touché, lui, elle aurait fait beaucoup plus de dégâts vus l'épaisseur du mec.
Ludovic me dit qu'il est monté à Paris avec PH qui est dans la chambre d'à côté.
Je lui roule un patin grave et part voir Kev.
Je le trouve avec Henri et PH. Il est heureux de me voir. On se serre fort, on s'embrasse. Il me dit que ce n'était pas la peine de revenir puisqu'ils vont bien.
Je me recule et le regarde avec sa jambe plâtrée. La balle qui lui a perforé le mollet lui a aussi cassé le tibia.
Il tape sur son plâtre et me dit que comme ça je ne serais plus le seul à avoir une broche dans la patte ! Puis il me demande qui est la personne qui m'accompagne.
Dane, en retrait, s'avance et se présente. Kev le déshabille du regard et siffle avant de me dire que j'ai toujours aussi bon goût.
J'ai la surprise de voir Dane rougir. C'est la première fois que je le vois intimidé !
Malgré mon envie de rester plus longtemps avec eux, il est déjà tard et ils sont fatigués. Henri nous conduit jusqu'à l'appartement de Kev en nous disant de nous y installer tous les 4 et qu'il nous attend chez lui dans une demi-heure pour le diner.
Arrivés dans le duplex, on se fait un gros gros câlin avec bien sûr émissions de spermes.
Du coup on est un peu en retard chez Henri. Il ne nous en veut pas et nous dit que nous allons directement au restaurant. Pas de raison de changer nos habitudes !!!
Dane est ravi, il n'était jamais venu en France et ne connais les grands restaurants que de nom.
Alors que nous sommes en sportwear, le fait que nous soyons avec Henri règle le problème de l'entrée. La salle est loin d'être aussi remplie que d'habitude. Du coup les serveurs sont à nos petits soins ce qui impressionne encore plus notre américain.
Pendant le diner, nous ne pouvons nous empêcher de parler des évènements. Henri nous remercie encore d'être venus voir Kev. Je lui rappelle que son " fils " est quasiment un frère pour moi quand à Ric c'est pareil. Il me dit que rien que pour cela, il me doit une reconnaissance éternelle. C'est vrai que c'est moi qui ai mis Kev dans son lit, mais après c'est leur propre alchimie qui l'avait poussé à l'adopter comme Emma l'avait fait avec moi.
Retour à l'appart. Le décalage horaire nous rattrape et je m'écroule tout comme Dane.
Réveil, douche, comme d'habitude il n'y a rien à manger dans les placards de Kev !
On descend prendre un café croissant au bar du coin. La télé est branchée sur les chaines d'infos en continu et malgré le débit rapide des journalistes, Dane comprend avec les images.
Il nous dit que ça lui rappel l'ambiance de leur 11 septembre. Le patron qui entend ça nous offre les consommations. Faut dire qu'on est pas nombreux dans son bar ! A nous 4, on fait 50% de sa clientèle !!
Retour à la Salpêtrière. Sans que le calme soit revenu, la partie où mes amis sont soignés n'est plus dans l'effervescence de l'urgence. Avec mes trois acolytes, nous inondons de fleurs et de chocolats le service. Minces remerciements pour le dévouement avec lequel les équipes ont traité cet évènement.
Nos deux blessés vont bien même si pour Kev cela tient aussi au traitement analgésique. L'infirmière en chef nous annonce qu'ils vont pouvoir bientôt sortir. Tout le monde est content !
Avec la complicité de mes amis, nous arrivons même à soulager leur trop plein d'excitation. Rien ne vaut une bonne pipe prodigué par un mec un peu vorace !
Vu comme cela s'arrange pour eux, je rentre au blockhaus. Quand j'arrive l'immeuble qui colle à gauche est en travaux. Heureusement pour nous le bâtiment ne fait que 2 étages mais sa façade est plus longue. Sa cour colle la mienne et du coup je regrette de pas l'avoir acheté pour être tranquille. Faudra qu'on se renseigne sur le nouveau proprio.
En attendant je fais visiter Dane. Il trouve que nous avons bien tiré parti de ce vieil entrepôt. Il kiffe totalement nos deux hommes de service et me dit qu'il ne s'attendait pas à ça.
Le diner est délicieux et Dane se régale de nos plats typiquement français.
Jardinier
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2024 - Vous avez deux heures
Elle aime le soleil, la chaleur et le bruit. Il aime la pluie, le froid et le silence. Tous deux aiment le vent. Elle aime la mer calme et translucide. Il aime l’océan agité et vert foncé. Tous deux aiment nager. Elle a la peau mate. Il a la peau vanille-fraise. Tous deux aiment s’exposer. Elle est grande. Il est petit. Tous deux aiment s’en foutre. Sont-ils incompatibles ou complémentaires ?
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j’ai rêvé cette nuit de feuilles de papier si fines que la pulpe de mes doigts passait au travers
très lentement un vieil homme écrivait : « anatomie d’un ange »
je voyais sur sa peau nue vibrer trois vers d’un célèbre poète anglais
à ses poignets tombait une soie si douce que la lumière s’y accrochait et suintait comme un lac au soleil
derrière les arbres morts les canards noirs me regardaient, je trônais au milieu d’eux en cygne blanc
plus tard au magasin, j’ai pris sur ma gorge trois tulipes jaunes
je les porterai devant moi digne et idiote et les poserai sur la terre
et je retournerai à mon rêve connaître le corps de l’ange et le visage du vieillard
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Évidemment, nous n'apprenons jamais rien. Le ciel se ferme et les yeux. La pluie coule - mais les caniveaux de mon cœur...
Au milieu de Celetná - et les passants - je ne heurte pas - mais je m'abîme - les larmes sous mes talons et les pavés trébuchant - dans ma bouche inaudible... Nul sanglot n'aura chassé les nues.
La rosée n'émeut plus ce bleu qui délave. Attendre... à n'en pouvoir plus - rougie jusqu'au bout des cils. Et les tuiles se détachant une à une. A vive allure, je marche - vers quel azur. Vers quelle échappatoire.
Passage bouché - de mon âme - envolée d'oiseaux. Je perds ma voix - quand mon cœur, de mes lèvres, coule. Nausée, à fendre l'âme des rues.
Ils passent. Sans savoir quel précipice - aimer. Quel danger. Les mains humides - à force de sécher mes joues. Glacées par le vent et le froid qui rôdent - de place en place. J'ai marché.
J'ai lutté. En vain - paroles d'amour - et mes pleurs - à défoncer l'asphalte de leurs cris - j'aurais voulu pouvoir pousser entre les pavés, sur ma poitrine, que les germes percent ma peau - que de leurs yeux, les feuilles te regardent -
J'aurais voulu pouvoir éclore mille tendresses. Que le béton de mon ventre - meurt. Tout ce qui sourd de mon corps - émotions confuses - les églises ont perdu leurs vitraux. Et les tessons, dans mes mains.
J'ai beau hurler. J'ai beau jouir. J'ai beau écrire. Je disparais. Au milieu des foules - mes bras levés - pour chercher l'espace - où te retrouver. Avalée par les vagues.
Mes yeux mouillés - ne connaissent plus la pitié ni la joie. Et j'avale, avec difficulté. Des pierres. Et j'avale, avec difficulté, tes mots. Et je trouverai - effrontée - la percée de ciel
- je trouverai le soleil ascendant - qui fait pour moi raison, définitive, de te rester. Et de demeurer là, étendue, à l'ombre de tes yeux, sous un astre inflexible qui, tous les deux, nous étreint d'une même lumière - sans jamais savoir ce qui nous déparie - sans trouver fermeté à nous départir - l'un de l'autre
- non. Je ne trouve pas sens, ni conscience à aller seule - lointaine. Ni impératif, ni volupté - ni estrangement - ne sauraient avoir raison de moi. De mes entêtements. À nous colluder. À renaître la joie - dans ton cœur et le mien - à n'avoir d'autre croyance que d'aimer et de jouir
- et de savoir le bonheur réalisé, ici-bas et maintenant. Si sous ta main, tu perçois le sang qui bat - avec fureur - dans mes veines. Pour crier d'aimer, vivre - et aimer vivre - encore, ne serait-ce qu'un instant - plutôt que cette mort qui nous fait solitude
- je mordrai encore (sans pitié) à ta peau pour qu'à mes dents le sang gicle - et que je te sache, là. Plein d'envie - et de vie. Les yeux humectés - de peur - de ne plus te connaître - je te rassemble. Sur ma poitrine.
Et du pied, je chasse les feuilles. Les bâtiments ni la nuit n'encombreront la clarté de mon ciel. Je piétinerai tout ce qui m'empêche et ferai de grands signes - dissiper les ombres.
Que mes larmes encore tressautent. Pour écumer l'horreur. Furieuses. Acharnées. Mes forces. À te renaître encore - et braver...
L'incendie qui m'éclaire et me nuit.
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— Fables of Envola (projet med/fan)
Les peuples d'Envola
Pour débuter sur ce projet, et afin de rentrer dans le très concret, voici un résumé succinct des peuples qu'il sera possible de découvrir et de s'approprier sur le forum. N'hésitez pas à nous faire des retours via le Ask, ou à rebloguer ce post afin de nous offrir de la visibilité !
— 𝐿𝑒𝓈 𝐻𝑒𝓇𝒶𝓁𝒹𝒾𝑒𝓃.𝓃𝑒𝓈
(inspiration: les humains des romans d'héroïc fantasy)
mots-clé ; swords ; nordic vibe ; family first ; in honor & in blood ; abbyss watchers ; light magic ; warriors.
Du premier dieu primordial, ielles avaient emprunté les traits et la férocité au combat. Scintillaient les épées et étincelaient les boucliers, fusaient les cris de guerre et les chants funestes à l'approche des combats, résonnaient les rires lors des buffets d'après victoire et plus encore, brillaient au soleil les yeux des enfants, fie.ères de leurs héros. Eparpillé.es dans l'empire ou au sein de communautés plus ou moins grandes, têtes importantes de l'armée ou simples agriculteurs, iels peuplaient les diverses régions d'Envola.
— 𝐿𝑒𝓈 𝒪𝓃𝒹𝒶𝓁𝓎𝓃.𝑒𝓈
(inspiration: mythologie nordique)
mots-clé ; pirates ; mermaids descendants ; scales and fangs ; water magic ; ocean eyes ; friends of the waves ; foam knives.
"Campé.es sur leurs bateaux Dragon, sur leurs bateaux Corbeau, qui hurlaient à la mort, iels fendaient les flots, tantôt cherchant terre à s'approprier, tantôt ferraillant contre clans plus imposant qu'elleux." Et les légendes à leur sujet sont légion. Celleux qui n'avaient plus des sirènes et tritons peuplant les rangs de leurs ancêtres, que quelques traces physiques, arpentaient aujourd'hui le monde en cherchant une place pour leur magie.
— 𝐿𝑒𝓈 𝒮𝓀𝓎𝓇𝒾𝓈
(inspiration: bestiaire de The Witcher, erynies et harpies des mythologies.)
mots-clé ; harpies descendants ; flying cities ; birds of misfortune ; air magic ; feather dagger ; ancient wings ; territorial people ;
Leurs puissantes ailes en plume s'étaient diluées dans le temps pour ne plus laisser place qu'à des cicatrices facilement camouflables et alors, il n'était plus resté de ce peuple qu'un tempérament emporté qu'on ne cessait de leur reprocher par-delà les frontières. Si certain.es en riaient, nul.le n'aurait jamais provoqué pour s'amuser lea descendant.e d'une harpie - on les disait doué.es d'une vie incroyablement longue et surtout, il se racontait qu'à la nuit tombée, les ongles devenaient griffe, la peau plumes et que leurs iris argentés étaient alors capables de lire en nous...
— 𝐿𝑒𝓈 𝒯𝒶𝑒𝓇𝒶𝓃.𝓃𝑒𝓈
(inspiration: les elfes de Tolkien)
mots-clé ; nature magic ; animal friends ; trees lovers ; elves descendants ; protection ; forest of the world ; smell of tree moss ; circle of the moon.
De l'union des ancien.es elfes des forets aux heraldien.nes et autres peuples étaient né ce qui est aujourd'hui le peuple des Taeran.nes. Instruits, incollables sur les origines du monde, ce peuple d'érudit est avant tout désireux de percer les mystères de l'univers. Chérissant la vie plus qu'aucun autre peuple, iels sont les artisans les plus doué.es, celleux dont les armes ne se voilent jamais, qui ne connaissent pas la flétrissure du temps.
— 𝐿𝑒𝓈 𝒜𝓈𝒽𝓁𝒾𝓉𝒽.𝑒𝓈
(inspiration: divers peuples, de Baldur's Gate à Game of Thrones)
mots-clé ; volcano ashes ; fire magic ; violent spirit ; tragedy survivors ; discipline ; glowing eyes ; phoenix.
Louant le dernier des cinq dieux primordiaux, ce peuple fut presque entièrement détruit lorsque le volcan sur lequel iels vivaient entra en éruption. D'après la légende, sauvé.es par leur divinité à ce moment-là, iels chérissent aujourd'hui sa mémoire, et ont établi leur territoire sur les montagnes et volcans d'Envola. Si aujourd'hui, le feu leur donne leur magie, iels ont depuis longtemps cessé d'être aussi imprévisibles que lui et ont contrebalancé l'impétuosité des leurs par une discipline les rendant redoutables.
#projet forum#forumrpg#forumactif#forum rpg#the witcher#baldur's gate 3#game of thrones#rpg francophone#rpg french#french rpg#rpg
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“En teintes folles, en demi-tons, dans la lumière qui resplendit, tes cheveux sont couleur de miel et tes yeux sont couleur de ciel tes lèvres sont couleur de vie et sur ta peau d’un blond roussi le soleil a fait un semis de mille jolies taches de son.”
Esther Granek
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Un fantasme saphique
J'ai jeté à ses pieds le carmin d'une rose Avec laquelle elle m'a violemment flagellée Afin que ma douleur pour son plaisir explose Douleur enfiévrée de volupté mêlée
Des roses et des roses aux charmantes épines Sur ma peau vulnérable un fascinant supplice Quand je me suis offerte aux géhennes câlines : Qu'au martyre charnel l'amour s'enorgueillisse !
Oh j'ai pleuré beaucoup ce fut une souffrance Un jeu concupiscent tellement érotique Quand notre relation se perdit dans l'outrance D'un orgasme de sang hautement extatique.
Offerte je le fus comme une esclave antique Capturée sur le front cruel des amazones Attachée sur l'autel d'immolation mystique Ma pulpe à nu pour vous succubes et démones !
Qu'un soleil me pénètre et la nuit me dévore Que la lune cruelle alors me sodomise Mon anus est ouvert : que son croissant le fore Je suis passionnée de luxure soumise.
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement épique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rêves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rêves
Dire alors "je vous rêve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage à la fenêtre
Que fixe l'étoile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais être le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-être
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la vie mais quelques heures
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
Johnny Hallyday
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by Giacomo Grosso
Parce que tu m'aimes, le jour est à nouveau la vie pour moi
Parce que tu as besoin de moi, la nuit est à nouveau l'amour pour moi
Je n'ai jamais osé rêver ce que tu me donnes
Tu as allumé un feu éteint en moi
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
Tu es l'homme qui me donne chaque sourire, chaque tendresse
Tu es l'homme qui donne tout ce qu'on appelle l'amour
Hmm
Tu couches avec moi et je respire l'odeur de ta peau
Et chaque battement de ton cœur m'est si familier
Tu me laisses dire ce que je cachais à tout le monde
Tu rends le soleil réchauffant au ciel
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
Tu es l'homme qui me donne chaque sourire, chaque tendresse
Tu es l'homme qui donne tout ce qu'on appelle l'amour
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
Tu es l'homme qui me donne chaque sourire, chaque tendresse
Tu es l'homme qui donne tout ce qu'on appelle l'amour
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
De t'aimer, de te toucher
Mon désir de t'aimer.
❤❤❤❤❤
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j'ai faim de toi de ton regard doux flamboyant tes rondeurs chaloupant de promesses le tison de ta chair étourdissante jusqu'à la démesure
si faim que j'en rêve en plein soleil
j'ai grand-faim de ta bouche ta langue à la pleine lune qui vampirise mon sang à serpentines lampées inassouvies l'incandescence de tes seins au grain ferme et moelleux la plus belle invention du monde depuis la découverte de la soie
...
si faim que j'en rêve en plein soleil j'en rêve une chaude poignée de constellations J'ai faim du vent violent de ta peau contre la mienne cette lumière ton corps qui remplit le silence tes foulées qui ondulent courtes avant de se presser à la rencontre de nos sangs et se changer en flammes au rendez-vous de la vie
j'ai si faim de toi
Louis Philippe Dalembert
Ph. Noémi Ottilia Szabo
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Imagine un monde où la pluie est douce, comme un murmure sur les toits, un arrosoir céleste, qui répand lentement une eau tiède sur une terre assoiffée. L’air est saturé d’ odeur moite, entre mousse et terre noire, un parfum de vie s’infiltre sous ta peau.
Là, juste en face, une maison. Pas vraiment grande, pas vraiment petite, juste assez pour contenir une lumière qui danse derrière les rideaux tirés. Une lumière qui pulse doucement, comme si elle respirait, et qui promet un refuge, un cocon où la chaleur humide s’installe entre les murs, sur les peaux, dans les vêtements.
Tu t’approches, sans vraiment y penser, attiré par cette douceur qui contraste avec la pluie. Tu devines une théière sur une table en bois, un chat paresseux étalé sur le rebord d’une fenêtre embuée. L’instant est suspendu, l équilibre est fragile entre l’extérieur ruisselant et l’intérieur qui t’accueille sans un mot.
Il suffit de peu pour que l’après-midi devienne un souvenir à garder précieusement : un plaid jeté sur un canapé fatigué, une tasse chaude entre les doigts, le son étouffé des gouttes qui continuent leur danse dehors. Et toi, enfin posé, enfin en paix, comme si cet instant existait juste pour te dire que tout peut attendre.
La douceur s’insinue partout, enveloppante, subtile. Elle n’est ni oppressante ni fuyante, mais présente, comme une main tiède qui effleure la peau sans jamais s’imposer. Elle monte du sol détrempé, s’élève avec le parfum de la terre abreuvée, et se mêle à la vapeur invisible qui épaissit l’air.
Chaque respiration porte en elle une densité nouvelle, une lourdeur tendre qui ne pèse pas mais invite à ralentir. La moiteur s’accroche aux vêtements, les alourdit à peine, drap fin posé sur les épaules. Elle se faufile sous la nuque, glisse le long des bras, laisse une brillance discrète sur la peau. Ce n’est pas désagréable, au contraire : c’est une étreinte diffuse, un cocon organique, un baume tiède qui floute les contours du corps et du monde.
Dans cette moiteur, le temps s’étire. Les sons eux-mêmes semblent adoucis, absorbés par l atmosphère fluide. Le crépitement de la pluie sur les feuilles se fait plus rond, presque ouaté. Les odeurs, elles, explosent en mille nuances : le bois humide, la résine des arbres réchauffée par l’eau, la douceur du linge qui sèche lentement dans la pièce tiède.
Et puis, il y a cette maison, ce halo de lumière dorée qui découpe des ombres mouvantes derrière les vitres embuées. L’intérieur appelle. Là-dedans, la chaleur n’est pas celle du soleil, mais celle d’un feu discret, du souffle de l'arbre thé infusant lentement, il y a une présence qui ne dit rien mais qui accueille. Un chat s’étire, ses pattes étendues dans l’air épais. Une tasse repose sur une table marquée de temps. Une main se pose sur le bois, glisse sur sa surface légèrement poisseuse, imprégnée de cette humidité persistante.
Rien ne presse. Tout est là, contenu dans cet instant suspendu où la douceur moite enlace, berce, ralentit. On pourrait s’endormir en laissant la pluie dicter le rythme, en oubliant l’heure qu’il est, simplement parce que l’air lui-même semble murmurer : reste encore un temps.
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Poèmes basés sur "Roman" d’Arthur Rimbaud.
On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans,
On remplit de frivoles amours le temps passant.
Parfois, l’œil aiguisé du soleil laissant place
À une tendre lune blanche toute de grâce,
On s’aventure au cœur d’un sombre bois profond
Retrouver un visage aimé, une douce peau,
Et enfouies dans ce lit d’herbes aux odeurs grisantes,
On s’envoie des baisers et des paroles charmantes,
Qui s’envolent avec le vent, don de tourtereaux,
Dévoilant au monde assoupi leur secrète liaison
On est par trop sérieux quand l’âge nous fait être vieux
Quand nos plaisirs ne sont plus que des rêves d’antan,
On retrouve, enfouies parmi les pages d’un livre,
Des fleurs fanées, qui de leur odeur enivrent,
Flétrissants maintenant sous la dure lumière du soleil.
Et les mémoires affluent, les souvenirs, les rires,
Les baisers dérobés au coin du crépuscule,
Et tous ces chers plaisirs des êtres noctambules
S’envolent avec l’abrupte arrivée du réveil.
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