#la peau et le soleil
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fitnessmith · 11 months ago
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Les avantages et inconvénients du soleil sur l'organisme et la peau
Les avantages et inconvénients du soleil sur l'organisme et la peau Article et vidéo en ligne sur mon site ou en bio ici @fitnessmith
Vous voulez savoir ce que fait le soleil sur votre organisme ? Dans cet article vous allez comprendre les avantages et  inconvénients du soleil sur le corps. Quand on pense au soleil, on pense à l’été, à la peau et au bronzage. Surtout que, pratiquant la musculation, vous savez qu’un léger hale augmente la définition musculaire. Quoi qu’il en soit, le soleil apporte autre chose qu’un beau…
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jules-and-company · 7 months ago
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pour être joueur, j’ai dit à b. « vous seriez pas un peu seizièmiste, vous ? » and until today i had never seen a grown man BLUSH and GIGGLE like a schoolgirl
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camisoledadparis · 6 days ago
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saga: Soumission & Domination 369
Octobre USA - Novembre en France
Pendant le WE j'aurai à nouveau l'occasion de tester ses capacités. Il se défend bien !!
Je me ferais aussi sa bande de copains aussi chauds que lui. Dane s'y essaye aussi. Pour lui c'est une première que de baiser aux côtés de son petit frère. Mais après quelques hésitations, il n'a pas pu résister à la vue des 8 jeunes corps musclés, imberbes dont les peaux brillaient d'un voile de sueur.  Fin de partie au lever du soleil !! La triplette est ravie de cette fin de séjour en Californie.
Quand nous renvoyons mes " petits frères " en France, ils nous arrachent la promesse de faire venir leurs nouveaux amis en France pour passer noël et le nouvel an.
Duke est aussitôt d'accord, Dane accepte aussi. Pour Tyler je pense qu'il sera OK aussi.
En attendant je passe les WE à visiter le pays avec Dane et Tyler. Souvent nous sommes accompagnés d'une bonne dizaine de potes.
Ça été le cas quand nous avons fait du rafting sur le Colorado. Vraiment impressionnant de se faire secouer sur le pneumatique entre deux parois d'une hauteur vertigineuse.
De même lors d'une sortie sur le lac Powell. Dès notre arrivée et les bagages déposés à l'hôtel, nous avons loués des petits bateaux à moteur pour voguer sur le lac. Lac de barrage sur le Colorado, ses bords sont très déchiquetés et s'il y a de grand " plages ", il y a aussi des à-pic qui nous permettent de faire de superbes plongeons. Le milieu naturel c'est quand même plus excitant que la piscine chlorée.
Evidemment, nous ne sommes pas partis sans kpote ni gel !! Du coup quand on se trouve une plage un peu cachée, c'est touze au soleil.
Le mélange nageurs et fighters (combattants) n'as pas mis longtemps à prendre et l'ambiance est trop bonne, j'adore.
Sans parler de compétition, c'est une franche émulation qui agite les deux groupes. Si les adeptes des sports de combats sont longboard, les nageurs ont gardé les maillots réduits du plongeon. Comme s'il fallait ça pour exciter la partie adverse !! Les maillots moulent des bites et surtout les glands circoncis, pire qu'une deuxième peau. Le nylon lâche des shorts de surf pointe en avant sous la pression interne.
J'apprends alors que c'est une première que les deux " groupes " sortent ensemble. Dane et Tyler me dit que je suis leur point commun.
Je le sens bien quand en fin de touze, ils se servent de moi comme point focal d'un gang bang improvisé.
Sans parler que je ressente la même chose que Ric lorsque je suis organisateur de ce genre de plan, j'apprécie le fait que je sois le mec qui les ai amené à se lâcher pareillement.
Ils alternent dans ma rondelle et je prends plaisir à resserrer comme à détendre mon sphincter afin que chacun soit serré au plus confortable. Les deux blacks du groupe apprécient cette capacité alors que je laisse passer facilement leurs gros glands avant, d'une première fois les bloquer aussitôt dans leurs progressions puis de les laisser m'enfiler jusqu'aux couilles et de les bloquer là à nouveau.
Ce sont aussi les mieux montés même s'ils n'atteignent pas les dimensions de mes clients. Mais 23 et 23+ par un bon 6,5 c'est quand même très efficace !! Les gémissements que je n'arrive pas à retenir en font foi !!!
Le dernier à passer me fait juter les litres de sperme dont ses prédécesseurs avaient stimulé la production.
Quand je reçois les litres de sperme stockés dans leurs couilles, ça coule de part et d'autre sur le sable qui absorbe. Heureusement que nous sommes dans un coin isolé, car les mecs crient fort leurs plaisirs quand ils jutent.
Moi, je me serais pris ce coup là, mes 12 comparses et certains plus d'une fois, trop trop bon ça !
Le 13 novembre, cela fait une heure que je suis dans le bassin de plongeon quand Dane déboule et m'appelle avec de grands signes. Je plonge et quand j'émerge, il est sur le bord. Il me tire de l'eau, me serre dans ses bras et me dit qu'il y a eu des attentats à Paris et qu'il y a plusieurs centaines de mort.
Aussitôt je pense à mes amis Parisiens. Kev et Henri, Bogosse et sa Moitié et aussi à Alban plus tous les autres qui peuvent y être sans que je le sache d'où je suis !
Le coach comprend que j'interrompe mon entrainement et me dit d'aller voir tout de suite si mes amis sont indemnes.
J'enfile mes vêtements par-dessus mon maillot et courre jusqu'à ma chambre pour ouvrir mon ordinateur. Sur mon téléphone déjà 10 messages ! PH et Ludovic me rassurent à moitié. Ils ont déjà contacté tous nos amis et ils sont tous sauf, mais il manque à l'appel Alban et Ric et Kev qui étaient au Bataclan pour écouter un concert de rock.
Sur Facebook, de nombreux films me montrent les horreurs qui se sont passée en France. Autour de la salle de spectacle on ne voit que les gyrophares qui percent la nuit.
J'appelle André. Sa voix est calme et posée bien qu'il sache déjà que son fils (Ric) n'est pas joignable. Il me remercie de ma sollicitude et me promet de m'appeler dès qu'il aura des nouvelles.
Henri est dans la même situation. Malgré toutes ses connaissances, il n'arrive pas à savoir si Kev est sauf.
Il s'en suivra quelques heures d'angoisse le temps que la police donne l'assaut et qu'enfin, sur Facebook, Alban nous assure qu'ils sont vivants tous les trois mais à l'hôpital où Ric se fait extraire une balle de son bras gauche et Kev d'une dans un mollet.
Marc me contacte du Japon où il est en déplacement. Ça le rassure que je ne sois pas seul. Il comprend quand je lui dis que je saute dans le premier avion.
Dane a pris les devants et de son côté a déjà retenu par internet deux allers pour Paris départ dans 3h ! Il ne veut pas me laisser voyager seul !
Tyler qui a appris la chose nous rejoint. Embrassade, geste de réconfort, il nous conduit à l'aéroport.
Dans l'avion impossible de dormir. Les hôtesses et stewards très gentils, ne savent comment nous rendre service. Je ne suis pas le seul français à rentrer en urgence !  A Roissy, alors que nous allons prendre un taxi, je vois Henri qui nous fait signe. Nous nous engouffrons dans sa voiture et filons sur Paris. Il nous donne les dernières nouvelles, mes deux amis vont bien et devraient sortir rapidement.
Nous filons directement vers la Salpêtrière. L'entrée est encore très encombrée mais grâce à Henri nous passons rapidement les contrôles et je retrouve Ric alors qu'Henri passe dans la chambre à coté retrouver Kev.
Séquence émotion !! Je le serre dans mes bras et le traite d'imbécile à nous avoir fait aussi peur. Il me dit que la dernière fois c'était moi qui leur avait foutu la trouille (cf. mon accident de moto). Dans la chambre, André et Alban sont là aussi. J'ai la surprise de voir Ludovic.
Embrassades, Alban m'explique que Ric s'est couché sur lui et c'est pour ça, qu'il a pris la balle qui aurait dû le toucher.
Ric rigole et dit que si la balle l'avait touché, lui, elle aurait fait beaucoup plus de dégâts vus l'épaisseur du mec.
Ludovic me dit qu'il est monté à Paris avec PH qui est dans la chambre d'à côté.
Je lui roule un patin grave et part voir Kev.
Je le trouve avec Henri et PH. Il est heureux de me voir. On se serre fort, on s'embrasse. Il me dit que ce n'était pas la peine de revenir puisqu'ils vont bien.
Je me recule et le regarde avec sa jambe plâtrée. La balle qui lui a perforé le mollet lui a aussi cassé le tibia.
Il tape sur son plâtre et me dit que comme ça je ne serais plus le seul à avoir une broche dans la patte ! Puis il me demande qui est la personne qui m'accompagne.
Dane, en retrait, s'avance et se présente. Kev le déshabille du regard et siffle avant de me dire que j'ai toujours aussi bon goût.
J'ai la surprise de voir Dane rougir. C'est la première fois que je le vois intimidé !
Malgré mon envie de rester plus longtemps avec eux, il est déjà tard et ils sont fatigués. Henri nous conduit jusqu'à l'appartement de Kev en nous disant de nous y installer tous les 4 et qu'il nous attend chez lui dans une demi-heure pour le diner.
Arrivés dans le duplex, on se fait un gros gros câlin avec bien sûr émissions de spermes.
Du coup on est un peu en retard chez Henri. Il ne nous en veut pas et nous dit que nous allons directement au restaurant. Pas de raison de changer nos habitudes !!!
Dane est ravi, il n'était jamais venu en France et ne connais les grands restaurants que de nom.
Alors que nous sommes en sportwear, le fait que nous soyons avec Henri règle le problème de l'entrée. La salle est loin d'être aussi remplie que d'habitude. Du coup les serveurs sont à nos petits soins ce qui impressionne encore plus notre américain.
Pendant le diner, nous ne pouvons nous empêcher de parler des évènements. Henri nous remercie encore d'être venus voir Kev. Je lui rappelle que son " fils " est quasiment un frère pour moi quand à Ric c'est pareil. Il me dit que rien que pour cela, il me doit une reconnaissance éternelle. C'est vrai que c'est moi qui ai mis Kev dans son lit, mais après c'est leur propre alchimie qui l'avait poussé à l'adopter comme Emma l'avait fait avec moi.
Retour à l'appart. Le décalage horaire nous rattrape et je m'écroule tout comme Dane.
Réveil, douche, comme d'habitude il n'y a rien à manger dans les placards de Kev !
On descend prendre un café croissant au bar du coin. La télé est branchée sur les chaines d'infos en continu et malgré le débit rapide des journalistes, Dane comprend avec les images.
Il nous dit que ça lui rappel l'ambiance de leur 11 septembre. Le patron qui entend ça nous offre les consommations. Faut dire qu'on est pas nombreux dans son bar ! A nous 4, on fait 50% de sa clientèle !!
Retour à la Salpêtrière. Sans que le calme soit revenu, la partie où mes amis sont soignés n'est plus dans l'effervescence de l'urgence. Avec mes trois acolytes, nous inondons de fleurs et de chocolats le service. Minces remerciements pour le dévouement avec lequel les équipes ont traité cet évènement.
Nos deux blessés vont bien même si pour Kev cela tient aussi au traitement analgésique. L'infirmière en chef nous annonce qu'ils vont pouvoir bientôt sortir. Tout le monde est content !
Avec la complicité de mes amis, nous arrivons même à soulager leur trop plein d'excitation. Rien ne vaut une bonne pipe prodigué par un mec un peu vorace !
Vu comme cela s'arrange pour eux, je rentre au blockhaus. Quand j'arrive l'immeuble qui colle à gauche est en travaux. Heureusement pour nous le bâtiment ne fait que 2 étages mais sa façade est plus longue. Sa cour colle la mienne et du coup je regrette de pas l'avoir acheté pour être tranquille. Faudra qu'on se renseigne sur le nouveau proprio.
En attendant je fais visiter Dane. Il trouve que nous avons bien tiré parti de ce vieil entrepôt. Il kiffe totalement nos deux hommes de service et me dit qu'il ne s'attendait pas à ça.
Le diner est délicieux et Dane se régale de nos plats typiquement français.
Jardinier
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maisouvontlespoussieres · 2 months ago
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2024 - Vous avez deux heures
Elle aime le soleil, la chaleur et le bruit. Il aime la pluie, le froid et le silence. Tous deux aiment le vent. Elle aime la mer calme et translucide. Il aime l’océan agité et vert foncé. Tous deux aiment nager. Elle a la peau mate. Il a la peau vanille-fraise. Tous deux aiment s’exposer. Elle est grande. Il est petit. Tous deux aiment s’en foutre. Sont-ils incompatibles ou complémentaires ?
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leschosesetlesfantomes · 1 month ago
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j’ai rêvé cette nuit de feuilles de papier si fines que la pulpe de mes doigts passait au travers
très lentement un vieil homme écrivait : « anatomie d’un ange »
je voyais sur sa peau nue vibrer trois vers d’un célèbre poète anglais
à ses poignets tombait une soie si douce que la lumière s’y accrochait et suintait comme un lac au soleil
derrière les arbres morts les canards noirs me regardaient, je trônais au milieu d’eux en cygne blanc
plus tard au magasin, j’ai pris sur ma gorge trois tulipes jaunes
je les porterai devant moi digne et idiote et les poserai sur la terre
et je retournerai à mon rêve connaître le corps de l’ange et le visage du vieillard
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orageusealizarine · 2 months ago
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Évidemment, nous n'apprenons jamais rien. Le ciel se ferme et les yeux. La pluie coule - mais les caniveaux de mon cœur...
Au milieu de Celetná - et les passants - je ne heurte pas - mais je m'abîme - les larmes sous mes talons et les pavés trébuchant - dans ma bouche inaudible... Nul sanglot n'aura chassé les nues.
La rosée n'émeut plus ce bleu qui délave. Attendre... à n'en pouvoir plus - rougie jusqu'au bout des cils. Et les tuiles se détachant une à une. A vive allure, je marche - vers quel azur. Vers quelle échappatoire.
Passage bouché - de mon âme - envolée d'oiseaux. Je perds ma voix - quand mon cœur, de mes lèvres, coule. Nausée, à fendre l'âme des rues.
Ils passent. Sans savoir quel précipice - aimer. Quel danger. Les mains humides - à force de sécher mes joues. Glacées par le vent et le froid qui rôdent - de place en place. J'ai marché.
J'ai lutté. En vain - paroles d'amour - et mes pleurs - à défoncer l'asphalte de leurs cris - j'aurais voulu pouvoir pousser entre les pavés, sur ma poitrine, que les germes percent ma peau - que de leurs yeux, les feuilles te regardent -
J'aurais voulu pouvoir éclore mille tendresses. Que le béton de mon ventre - meurt. Tout ce qui sourd de mon corps - émotions confuses - les églises ont perdu leurs vitraux. Et les tessons, dans mes mains.
J'ai beau hurler. J'ai beau jouir. J'ai beau écrire. Je disparais. Au milieu des foules - mes bras levés - pour chercher l'espace - où te retrouver. Avalée par les vagues.
Mes yeux mouillés - ne connaissent plus la pitié ni la joie. Et j'avale, avec difficulté. Des pierres. Et j'avale, avec difficulté, tes mots. Et je trouverai - effrontée - la percée de ciel
- je trouverai le soleil ascendant - qui fait pour moi raison, définitive, de te rester. Et de demeurer là, étendue, à l'ombre de tes yeux, sous un astre inflexible qui, tous les deux, nous étreint d'une même lumière - sans jamais savoir ce qui nous déparie - sans trouver fermeté à nous départir - l'un de l'autre
- non. Je ne trouve pas sens, ni conscience à aller seule - lointaine. Ni impératif, ni volupté - ni estrangement - ne sauraient avoir raison de moi. De mes entêtements. À nous colluder. À renaître la joie - dans ton cœur et le mien - à n'avoir d'autre croyance que d'aimer et de jouir
- et de savoir le bonheur réalisé, ici-bas et maintenant. Si sous ta main, tu perçois le sang qui bat - avec fureur - dans mes veines. Pour crier d'aimer, vivre - et aimer vivre - encore, ne serait-ce qu'un instant - plutôt que cette mort qui nous fait solitude
- je mordrai encore (sans pitié) à ta peau pour qu'à mes dents le sang gicle - et que je te sache, là. Plein d'envie - et de vie. Les yeux humectés - de peur - de ne plus te connaître - je te rassemble. Sur ma poitrine.
Et du pied, je chasse les feuilles. Les bâtiments ni la nuit n'encombreront la clarté de mon ciel. Je piétinerai tout ce qui m'empêche et ferai de grands signes - dissiper les ombres.
Que mes larmes encore tressautent. Pour écumer l'horreur. Furieuses. Acharnées. Mes forces. À te renaître encore - et braver...
L'incendie qui m'éclaire et me nuit.
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coovieilledentelle · 4 months ago
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“En teintes folles, en demi-tons, dans la lumière qui resplendit, tes cheveux sont couleur de miel et tes yeux sont couleur de ciel tes lèvres sont couleur de vie et sur ta peau d’un blond roussi le soleil a fait un semis de mille jolies taches de son.”
Esther Granek 
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jacquesdor-poesie · 9 months ago
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement épique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rêves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rêves
Dire alors "je vous rêve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage à la fenêtre
Que fixe l'étoile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais être le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-être
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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lisaalmeida · 6 months ago
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Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la vie mais quelques heures
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
Johnny Hallyday
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inemi · 3 months ago
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by Giacomo Grosso
Parce que tu m'aimes, le jour est à nouveau la vie pour moi
Parce que tu as besoin de moi, la nuit est à nouveau l'amour pour moi
Je n'ai jamais osé rêver ce que tu me donnes
Tu as allumé un feu éteint en moi
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
Tu es l'homme qui me donne chaque sourire, chaque tendresse
Tu es l'homme qui donne tout ce qu'on appelle l'amour
Hmm
Tu couches avec moi et je respire l'odeur de ta peau
Et chaque battement de ton cœur m'est si familier
Tu me laisses dire ce que je cachais à tout le monde
Tu rends le soleil réchauffant au ciel
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
Tu es l'homme qui me donne chaque sourire, chaque tendresse
Tu es l'homme qui donne tout ce qu'on appelle l'amour
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
Tu es l'homme qui me donne chaque sourire, chaque tendresse
Tu es l'homme qui donne tout ce qu'on appelle l'amour
De t'aimer, de te toucher
Mon besoin de te sentir
Ta chaleur, ta proximité
Éveille le désir en moi d'une vie avec toi
De t'aimer, de te toucher
Mon désir de t'aimer.
❤❤❤❤❤
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nemosisworld · 5 months ago
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j'ai faim de toi de ton regard doux flamboyant tes rondeurs chaloupant de promesses le tison de ta chair étourdissante jusqu'à la démesure
si faim que j'en rêve en plein soleil
j'ai grand-faim de ta bouche ta langue à la pleine lune qui vampirise mon sang à serpentines lampées inassouvies l'incandescence de tes seins au grain ferme et moelleux la plus belle invention du monde depuis la découverte de la soie
...
si faim que j'en rêve en plein soleil j'en rêve une chaude poignée de constellations J'ai faim du vent violent de ta peau contre la mienne cette lumière ton corps qui remplit le silence tes foulées qui ondulent courtes avant de se presser à la rencontre de nos sangs et se changer en flammes au rendez-vous de la vie
j'ai si faim de toi
Louis Philippe Dalembert
Ph. Noémi Ottilia Szabo
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saultmer · 3 months ago
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Poèmes basés sur "Roman" d’Arthur Rimbaud.
On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans,
On remplit de frivoles amours le temps passant.
Parfois, l’œil aiguisé du soleil laissant place
À une tendre lune blanche toute de grâce,
On s’aventure au cœur d’un sombre bois profond
Retrouver un visage aimé, une douce peau,
Et enfouies dans ce lit d’herbes aux odeurs grisantes,
On s’envoie des baisers et des paroles charmantes,
Qui s’envolent avec le vent, don de tourtereaux,
Dévoilant au monde assoupi leur secrète liaison
On est par trop sérieux quand l’âge nous fait être vieux
Quand nos plaisirs ne sont plus que des rêves d’antan,
On retrouve, enfouies parmi les pages d’un livre,
Des fleurs fanées, qui de leur odeur enivrent,
Flétrissants maintenant sous la dure lumière du soleil.
Et les mémoires affluent, les souvenirs, les rires,
Les baisers dérobés au coin du crépuscule,
Et tous ces chers plaisirs des êtres noctambules
S’envolent avec l’abrupte arrivée du réveil.
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calpurnia612 · 7 days ago
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Un fantasme saphique
J'ai jeté à ses pieds le carmin d'une rose Avec laquelle elle m'a violemment flagellée Afin que ma douleur pour son plaisir explose Douleur enfiévrée de volupté mêlée
Des roses et des roses aux charmantes épines Sur ma peau vulnérable un fascinant supplice Quand je me suis offerte aux géhennes câlines : Qu'au martyre charnel l'amour s'enorgueillisse !
Oh j'ai pleuré beaucoup ce fut une souffrance Un jeu concupiscent tellement érotique Quand notre relation se perdit dans l'outrance D'un orgasme de sang hautement extatique.
Offerte je le fus comme une esclave antique Capturée sur le front cruel des amazones Attachée sur l'autel d'immolation mystique Ma pulpe à nu pour vous succubes et démones !
Qu'un soleil me pénètre et la nuit me dévore Que la lune cruelle alors me sodomise Mon anus est ouvert : que son croissant le fore Je suis passionnée de luxure soumise.
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lordk022 · 16 days ago
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Synopsis : Le lecteur est un garde de Padmé Amidala, il a rencontré Anakin sur Naboo lors d'une promenade près des lacs. Un soir, Anakin reste dormir sur la planète Naboo pour protéger la princesse de potentielle représailles du comte Dooku sur ordre du conseil jedi.
Avertissement : Relation entre hommes (gay), Domination, Dom Anakin, relation sexuelle, contenu +18, sex oral, sex anal, fessée, Cochonneries, langage grossier.
Si quelque chose vous dérange ne lisez pas !
La nuit tombé sur la magnifique planète Naboo, Vous aviez fini de monter la garde auprès de la princesse Amidala, vous rejoigniez les jardins, respirant l'air frais et agréable, les derniers rayons du soleil se reflétant dans le lac situé au pied du palais. Vous sentiez une ombre plané au dessus de vous et saviez de qui il s'agissait.
« Ani ! » il se tenait debout près de la porte d'entrée, sa silhouette grande élancée et sublime, un sourire fier et effronté que vous trouvez tellement sexy et attirant chez lui. Mais vous étiez aussi très inquiet.
« Ani, et si la princesse nous voyait ? Ou que quelqu'un nous voit ensemble ? »
« Tu te fais beaucoup trop de soucis Y/N, je sais que tu a eu envie de moi toute la journée, n'est-ce pas ? » Anakin s'avança dangereusement vers toi, toujours le même sourire aux lèvres, il te regardait te lançant un air de défis. Tu recula l'air gênée, car tu était réellement anxieux par la situation, c'était vraiment grave pour toi, mais mon dieu tu adorais Anakin ! Il était tellement beau, séduisant et fort, comment aurais-tu pu résister face à son charme ? Tu avais essayais mais Anakin t'avais comme ensorcelé !
Anakin leva une main vers toi pour te caresser délicatement la joue droite, le contact de ses long doigts fin contre t'a peau te fit frissonner, tu avais tellement peur que l'ont te surprenne avec lui, mais d'un autres côtes tu avais tellement envie de lui.
Un garde ouvrit la porte et Anakin te chuchota a l'oreille d'une voix grave
« Dans ma chambre, et vite ! »
Anakin partit, et tu reprit alors ton sérieux en franchissant la porte du palais, tu te remémorer l'excitation que tu avais ressentit. Mais tu voulais beaucoup plus, tu voulais être à lui, tu était addicte à lui ! Tu sentais une chaleur montait en toi qui te fit rougir d'excitation et tu te précipita dans les escalier pour le rejoindre. Discrètement tu te faufila dans le couloir des invités, tu arrivas devant la porte de sa chambre mais tu fut surpris de la voir s'ouvrir toute seul, tu pénétra dans la pièce et vit Anakin assit près de la fenêtre au fond de la chambre, sa robe de jedi reposait sur une chaise, le col de son haut blanc était très large, tellement que tu pouvais voir une partie de son torse et tu te senti à l'étroit dans ton pantalon. Tu fut interrompu dans t'es pensées par le claquement de la porte qui te fit sursauter.
« La force. » dit Anakin d'un air presque vantard, mais qui te faisait littéralement fondre et te donner chaud !
« Y/N, enlève t'es vêtements, pose les au pieds du lit » dit Anakin, penchant légèrement la tête sur le côtés gauche pour t'observer. Tu t'exécuta en silence, ton érection ne pouvait être dissimuler.
« Tu as penser à moi toute la journée hein ? Tu n'en pouvais plus d'attendre... »
Il se leva et se tient droit devant toi.
« Met toi à genoux ! » ordonna-t-il simplement.
« Oui Ani !
« Tu es un bon garçon Y/N ! Défait mon pantalon maintenant »
Tu t'exécuta en hochant la tête, et la vis enfin, son énorme bite, dur, dresser devant toi.
« Tu meure d'envie de la goûter n'est-ce pas ? Salope. »
Timidement tu léchais son gland puis toute sa longueur.
« Voilà doucement, maintenant suce là ! »
Tu le fit immédiatement. Sa bite était délicieuse tu te redressa un peu pour le regarder pendant que tu le suçait.
«  T'as bouche est tellement chaude. »
Il se retira de t'as bouche, et tu fut surpris. Tu osa prendre la parole.
« Ani ! Pourquoi tu t'éloigne je croyais que tu aimais mon travail ?! »
« Quelle petite salope ! Tu la veux encore tu ne peux pas t'en passer ! »
« Oui Ani ! »
Anakin se détourna de toi pour enlever son pull, et le jeta près de son lit. Tu était toujours à genoux, perplexe. Il revient vers toi te regardant de haut en bas, son torse était incroyable et tu ne pouvais t'empêcher de le contempler.
« Tu en veux plus ? Y/N ? Tu veux ma bite ? Alors approche toi, rampe jusqu'à moi ! »
Tu le rejoignis et tu posa une main sur son torse
« Je t'en supplie Anakin Skywalker ! J'ai envie de toi depuis si longtemps, j'ai pensé à toi toute la journée ! Je te veux en moi, je veux sentir t'a bite en moi, je veux encore la sucer ! »
Anakin se saisit de ton bras secouant la tête.
« Tu es un vilain garçon Y/N ! je vais devoir te corriger... »
Anakin se laissa tomber sur son lit et tapa sur ses genoux.
« Met toi sur mes genoux, que je te corrige ! »
Votre pénis était sur le point d'éjaculer, l'attente était délicieusement insupportable, mais vous lui obéissiez et monter sur ses genoux, le cul bien en l'air. Il effleurait la peau de votre cul, puis, sans prévenir vous mis une grosse fessée.
« Cesse de crier comme ça, Y/N, quelqu'un va t'entendre, notre relation doit rester secrète, non ? »
Il te remit une fessée plus forte encore puis au bout de six ou sept, il te fit signe de t'allonger sur le lit. Il léchait un de ses doigt et l'enfonça à l'intérieur de ton cul.
« Putain Ani ! C'est tellement bon ! »
« Tu aime ça hein ? Ma petite salope »
il se pencha pour t'embrasser sauvagement et continua des vas et vient dans ton cul. T'as bite palpitait, tu était deja au bord de l'orgasme.
Puis il décida d'introduire sa bite dans ton cul.
« Tu la sent bien Y/N »
« Ouais Ani, continu je t'adore tellement »
Il t'a pris en position missionnaire, tu pouvais voir son torse brillant et tonic au dessus de toi, son regard intense transperçait t'es yeux larmoyant.
« Bon garçon ! »
Anakin poussa encore plus fort sa bite à l'intérieur de ton cul, un rythme encore plus rapide et joui en laissant échapper un gémissement de pur plaisir.
Il se saisit de t'as bite et te masturba rapidement.
« Tu peux jouir maintenant Y/N. »
Tu joui dans sa main, et il porta cette dernière à t'as bouche.
« Tu as était un bon garçon, très doué et dévoué »
Il te mit une petite claque sur les fesses puis enfila son pantalon.
« Je vais retourner dans ma chambre discrètement, d'accord ? » Dis-tu.
« Oui tu peux y aller, Ma mission n'est pas encore terminé je vais sûrement rester encore une ou deux semaine sur Naboo. Les séparatistes n'ont qu'un désir c'est de voir Padmé morte, et je ne le permettrais pas ! »
Tu te lève et remet t'es vêtements, tu ne prend même pas la peine de lui parler de Padmé, il était amoureux, et tu savais qu'il la choisirait elle plutôt que toi. Tu préfère juste ne pas y penser, et profiter de ces moment unique de pur luxure que tu avais avec lui.
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sabinerondissime · 2 years ago
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Sur la terrasse d'un maison en Italie, prendre le temps, encore et toujours. Profiter des rayons du soleil printanier qui réchauffe notre peau sans la brûler. J'aime cette ambiance de maison en pierre, de meubles en osier, en bois, en fer. Des valeurs sûres, loin du plastique.
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lesdamesmures · 10 months ago
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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