#la gazette du sorcier
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marjoange34 · 21 days ago
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Sims 2 La Gazette du Sorcier Projet Harry Potter
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dragees-surprises-rpg · 1 year ago
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CONTEXTE • Dragées Surprises
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Année deux mille.
La Grande Guerre a laissé des traces indélébiles que les plus jeunes ont la fortune de pouvoir ignorer. Si les familles se sont reconstituées tant bien que mal après de lourdes pertes, les Ministères du monde entier y ont vu une faille dans leur système, au point de le revoir de bout en bout. Les choses se devaient de changer et pour cela, les écoles magiques également. C’est ainsi qu’une collaboration magique mondiale fit son apparition, bouleversant Poudlard dans ses fondements même. Les Ministères du monde entier s’étaient mis d’accord sur un fait important : faire entrer des enfants dans une école magique était bien trop dangereux pour que cela ne reste ainsi.
Terminée l’école de Poudlard, c’était désormais une université où tout élève Sorcier, Sang-pur, Sang-mêlé, ou même Né-Moldu pouvait entrer à l’âge de dix-sept ans. Ainsi, tous pouvaient se voir offrir une éducation moins stricte que celle de l’école et y faire leurs premiers pas en tant que sorciers déjà accomplis
Les Ministères voulaient éviter de répéter les erreurs du passé en mettant en danger des enfants; trop jeunes pour pouvoir se défendre en cas d’attaque.
Il aura fallu sept ans pour que la nouvelle année d’entrée dans les écoles magiques soit mise en place à travers le monde. Sept ans, pour permettre aux élèves arrivant à peine de terminer leur scolarité, enfin que chacun soit diplômé avant que tout ne change pour le meilleur.
Deux mille seize.
Nicholas Lawson est un jeune sorcier dont la plupart ignorent le nom. Sa famille n’est pas connue, ses faits d’armes inconnus au bataillon et pourtant, c’est lui qui a été désigné pour diriger la toute nouvelle Université de Poudlard. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit très justement d’un illustre inconnu. Ainsi, il ne souffre d’aucune discrimination dûe à son statut, il ne souffre pas du nom de sa famille ou de quelques rumeurs à son sujet. Nicholas Lawson est un homme droit qui souhaite faire de Poudlard un lieu où tout élève, quelle que soit la nature de son sang, peut se sentir chez lui. Pour lui, il semble évident que les Maisons, telles qu'elles ont toujours existé, ne sont plus d’actualité.
Il ne s’agit plus de ranger un élève quant à son courage ou son intelligence. Désormais, les maisons changent. On ne parle plus des braves et des loyaux, des leaders et des rusés, des justes et travailleurs et des créatifs et intelligents; désormais, les maisons porteront le nom des sucreries préférées du nouveau directeur de l’école. C’est en tout cas ce qu’il a révélé à la Gazette du Sorcier. Ainsi, les classes sociales disparaissent au profit d’un enseignement plus sain. Son mot d’ordre ? Que chacun ici se sente à l’aise et en confiance.
Deux mille vingt-trois.
Cela fait maintenant sept ans que Nicholas Lawson, actuel directeur de l’école de Poudlard, dirige l’établissement d’une main de fer. Son objectif est, et ce depuis sa nomination à la tête de l’école, de faire de Poudlard un endroit bien plus vivant et bien plus sécurisant pour quiconque y mettrait les pieds.
Aujourd’hui encore, Poudlard est entachée par sa réputation, car elle y a vu naître les Sorciers les plus malfaisants du monde sorcier. Nicholas veut redorer le blason de l’excellence Écossaise, car l’école souffre toujours des rumeurs du passé, des dégâts commis en son sein il y a vingt trois ans de cela. Pourtant, dans l’ombre, un complot plus grand se prépare. Quelque chose de sombre se rapproche, quelque chose qui pourrait bien menacer la stabilité de Poudlard et de tout l’équilibre magique.
Saurez-vous brandir votre baguette et vous battre, lorsque viendra l’heure ?
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etzrnalbliss · 2 years ago
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Parvati Patil
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Tout comme Lavande, avec qui elle passe ses journées, elle est férue de divination. Ses méthodes préférées sont le tarot et la chiromancie.
Ses fruits préférés sont les mûres et les grenades.
Elle adore l'astronomie et a pris cette option en troisième année.
Elle et sa soeur font du mehndī (=dessin au henné) à leurs amies lors des jours spéciaux, comme les bals. Parvati est très douée, et sa sœur très créative.
Elle n'est jamais vue sans ses nombreux bracelets. Elle en porte sur ses deux poignets : des bracelets or, bronze, rouge, aux couleurs de sa maison à Poudlard.
That woman is a obviously lesbian.
Elle et Lavande sont sûrement les plus grandes commères de l'école. Ça spill the tea fort dans la salle commune.
Elle adore le journalisme. Elle aimerait travailler à la Gazette du sorcier et y avoir sa propre rubrique.
De religion hindoue, Parvati est donc végétarienne.
Elle est la première personne à aller rendre visite à Lavande à Ste Mangouste après la bataille de Poudlard, et l'aide à passer au-dessus de la traumatisante attaque de Fenrir Greyback.
Plus tard, elle aidera Lavande à s'installer dans sa boutique sur le Chemin de Traverse.
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expectopodtronum · 18 days ago
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Episode 10: Dun Horse
🎧 listen now! 📲 download 📄 Transcript On this episode, our hosts are joined by special guest Marjolaine Martin. Marjolaine is a contributor to La Gazette du Sorcier and is a former host of SpeakBeasty podcast. All about this Patronus form: Dun is not a breed of horse but a gene that dilutes and affects red and black pigments in the coat color of a horse. Dun visibly affects all the three…
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sango691-fan-hl · 3 months ago
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Chapitre 7: L'attaque du Troll - Part 5
Après avoir remis en ordre la place en réparant les lieux grâce au sortilège reparo, le groupe fut appelé dans la boutique Gladrags Wizardwear. Augustus Hill le gérant de la boutique tenais à remercier nos trois étudiants pour leur courage et détermination à tenir face à la terreux, en leur offrant un habit à chacun. Bien évidemment, M.Hill ne manqua pas de complimenter la beauté de Helena qui donnait de l'inspiration à la conception de jolies tenues pour la fille. Elle était comme une muse qui méritait de magnifiques robes pour la mettre encore plus en beauté. Nolan et Sebastian soutiennent les compliments pour Helena qu’elle avait droit aussi à de belles tenues. “Merci les garçons. Cela me touche.” remercia la fille avec des pommettes roses. Une fois finit dans la boutique de vêtement, nos trois sorciers se dirigeaient en direction de la taverne de Sirona mais le regard de Nolan vu attiré sur le côté voyant un homme avec un chapeau allé dans une ruelle sombre pour y rejoindre une présence terrible. Il reconnut le gobelin Rannrok. Helena et Sebastian suivit le regard du serpentard pour voir aussi la même chose, nos trois jeunes sorciers se cachaient très vite derrière un mur et observaient discrètement la discussion dangereuse. “Tu as dit que tu te chargerais de l’enfant quand il serait à Pré-au-Lard. Que tout ce qu’il te fallait, c’était une diversion. Je t’ai donné une diversion !” dit le gobelin énervé par l'échec de Rookwood de ne pas avoir éliminé les deux Drake.
“Et j’ai vu deux gamins éliminer ta “diversion” ! Qui sont ces enfants ? Que me caches-tu ? “ rétorqua le sorcier qui était aussi énervé. Les questions avaient de quoi énerver le gobelin qui ne voulait pas répondre. “Tout ce que tu dois savoir, c’est que si tu veux pas t’occuper de l’enfant, alors tu ne m’es d’aucune utilité.” répondit farouchement Rannrok avant de sentir qu’on les observait, il tenta de chercher du regard les observateurs. “Allons-y !” dit Nolan fit vite signe à sa sœur et son ami de vite partir avant qu’on les repère. “Est-ce qu’ils nous ont vus ? - Non je ne crois pas. Que faisait ce gobelin avec Victor Rookwood ?” demanda le jeune sorcier brun, encore plus inquiet de ce qu’il venait de voir. “Rannrock est de mèche avec Rookwood? “ supposa le garçon Drake. “Je le pense aussi Nolan … “ valida sa soeur. “Le gobelin de la Gazette du sorcier ? Je savais que l'avait déjà vu. Vite. Il faut qu’on se rendre aux Trois Balais.” Empressa le serpentard qui se mit derrière Helena pour couvrir ces arrières comme un réflexe de frère protecteur. Nos trois étudiants entrèrent rapidement dans la célèbre taverne de Pré-au-Lard. “C’est un plaisir de vous voir, Lodgok. Je vous dirai si j’entends quoi que ce soit.” dit la gérante de la taverne à un gobelin au air doux. “Merci Sirona.” remercia Lodgok qui partit de la taverne en croisant la venue de nos trois sorciers. “Bon, qu’est-ce que je… Oh! Voilà deux visages qui me sont inconnus. - C’est la première fois que nous venons.
- Bienvenue. C’est moi qui régale. Je suis Sirona Ryan, la gérante des Trois Balais.” sourit Sirona “On m’a parlé de l’attaque. Cela est terrible! Je rendrai une visite aux autres commerçants dès que possible. Ravie de voir que vous n’avez rien.” Sirona était inquiète pour les autres mais en voyant que les jeunes se portaient bien, elle pensa que les autres commerçants ont pu échapper au pire.
“Grâce à ces deux-là, ils ont réussi à abattre un troll…
“Ne sois pas modeste, Sebastian. Tu nous as beaucoup aidé et participé aussi au combat. Cela nous as grandement aider à vaincre le troll.” rétorqua Nolan qui ne voulait pas que la gloire revienne entièrement à sa sœur et lui. Son ami l'avait beaucoup aidé et il méritait aussi les louanges.
“Oui. Sans toi, la victoire aurait pu ne pas se faire.” renchérit Helena avec un sourire de soutien.
“Ah Vraiment ? Bravo à vous trois alors.” la terveniste serva le trio d’une bonne boisson fraîche pour leur bravoure de quoi 
“Merci c’est gentil.” remercia Helena qui avait du mal à croire l’attaque de troll. Elle qui pensait qu’avec son frère, ils allaient faire profile bas, c’est mal parti. L’attaque de troll allaient en faire parler d’eux. Mais pour l’instant, elle profita de boire tranquillement la Bièraubeurre.
“Mais de rien. Quand même… des trolls à Pré-au-Lard? ça n’était jamais arrivé. Ce n’est pas normal. Les seules brutes auxquelles on a affaire habituellement…” elle ne finit pas sa phrase quand Rockwood entra dans la taverne avec son bras droit.
“Quand on parle du loup…” dit elle avec peu d'enthousiasme 
Part 6 -> ici
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fidjiefidjie · 3 years ago
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“Un homme qui ne lit jamais est plus cultivé qu’un homme qui ne lit que les journaux.” 📰🗞
Thomas Jefferson
Gif La gazette du sorcier
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lescosplaysdebecky · 6 years ago
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“ Leta Lestrange . . . despised entirely amongst wizards . . . unloved, mistreated . . . yet brave. So very brave. “
“ Time to come home. “
Pics were all taken during the Harry Potter booknight at WH Smith Paris
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glitterinmotion · 8 years ago
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Hey !! Feel free to read this if you’re a fan of Fantastic beats and where to find them (this title is tooooooo long). Sorry you have to speak french a little..... 
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incaseyouart · 3 years ago
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Hello ! I'm a writer of the French fansite "La Gazette du Sorcier" and I like so much your fanarts. I'm writing an article about queer ships in Harry Potter fanfictions (for the Pride Month), and I would like to include one of your drawings in it. What do you think about it ? Would you mind of seeing your art published in it ? Thank you for your answer and congratulations for your talent ! PS : If you want me to send you article's details, let me know your email please. See you !
Haha very cool! Yes of course you can include something, just make sure to give credit to this account!!
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gloryandgoreprojet · 4 years ago
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Contexte, Glory & Gore
La révolution est en marche. Le chaos lui aussi. Le monde sur la brèche, et le secret magique en éclat. Dix neuf cent quarante cinq - c’est si lointain. Vingt neuf ans de chaos dans un monde où les identités se heurtent, se détruisent, s’ignorent, se hiérarchisent. Vu depuis
dix neuf cent soixante quatorze
c’était comme si tout avait été ainsi. Froid, cloisonné, impersonnel et rigide. Statu-quo impensable des années plus tôt, mais c’est la guerre froide, celle des nerfs.
“Vingt huit ans : le monde d’après se porte bien” titre la Gazette du Sorcier, optimiste journal du Gouvernement Magique Anglais qui a su tirer son épingle du jeu. Les sorciers anglais ne sont pas persécutés par les moldus de l’Empire Britannique, simplement ignorés, simplement chassés vers les villages et villes où ils se sont établis. Ailleurs dans le monde, la situation est bien pire. Exécutions, persécutions, enfermements - les combats sont épars mais le mythe Anglais et sa réussite de la paix fascinent. Les exilés vers l’eldorado anglais inquiètent. “La réussite Magique Anglaise” dont ils se targuent cachent un monde fracturé sur la notion de sang, d’une société empêtrée dans ses dissensions internes, morcelée par ses idéologies naissantes et ancrées.
Sang pur, sang mêlé, né moldu, l’indication discrète sur la carte conditionne l'existence. On fait payer aux uns la traîtrise de leur naissance, aux autres les péchés de leurs ancêtres, tandis que les autres se gargarisent d’une pureté qui les pousse à l’extinction progressive. Repenti, Mage ou Honorable Mage - les mouvances sociales magiques se mettent en œuvre par le biais d'élections visant à donner le cap. Aller de l’avant ou revenir en arrière, les espoirs sont permis, les doutes se sèment. Entre Mythe d’un retour en arrière possible ou promesse d’une domination totale. Le monde d’après est en marche, la Révolution aussi. Le statu-quo n’est plus une option.
But in all chaos, There is calculation.
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hops-hunny · 3 years ago
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So does my sister! Shes the main reason I got into it. She bought me a French copy of the 1st book but I can't read french so I just look at it in amazement
I FIND THAT SO CUTE
I've always like the english version better but the french one is perfect too, it's just because I literally prefer EVERYTHING in english sooo
But the words though, they're different :
Squib = cracmol
Muggle = moldu
Death eater = mange mort
Room of requirment = salle sur demande
Golden snitch = vif d'or
Quaffle = souaffle
Budger = cognard
Remembrall = rapel-tout
St mungos = saint mangouste
Daily prophet = la gazette du sorcier
Hogsmeade = Préaulard
Hogwarts = Poudlard
But all accurate though !
~ 💜
:o THEY HAVE DIFFERENT NAMES?? OMG WHAT THATS SO COOL
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marjoange34 · 21 days ago
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Sims 2 La Gazette du Sorcier Projet Harry Potter
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iladyslupifanfichp · 4 years ago
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Iladys Jedusor: L’Enfant de Lord Voldemort
Le troll:
Les jours s'écoulaient paisiblement à Poudlard. Par manque d'informations, Ron et Iladys ne pouvaient rien faire d'autre qu'aller en cours, en essayant d'oublier Touffu. D'autant plus qu'Iladys devait aussi se consacrer à ses entrainements de Quidditch. Les jours s'approchaient donc d'Halloween, sans que rien de notoire ne se passe. Ils prenaient paisiblement leur petit-déjeuner dans la Grande-Salle, Hermione face à eux. Elle les fixait intensément, et autant Ron qu'Iladys faisait preuve d'une concentration exagérée pour manger leurs tartines. "Je sais que vous mijotez quelque chose.", finit par lâcher la jeune fille. "Qu'est-ce que tu veux qu'on mijote?", demanda Ron, incrédule. "Quand vous êtes rentré tard, alors que vous étiez partis avant moi, et qu'Iladys n'a rien voulu me dire." Cette dernière détourna le regard. Depuis cette fameuse soirée, Hermione ne décolérait pas. Ron lança un regard à son amie, avant de replonger dans ses tartines. Hermione, insatisfaite, partit dans un discours, et s'ils n'avaient pas eu terriblement faim, ils auraient fui loin de ses sarcasmes. "On a rien fait de mal!", finit par lâcher Iladys."Et on s'est réellement perdu en plus. C'est juste que..." Ron la regarda comme si elle était folle, mais elle raconta les faits à Hermione, qui les fixa de ses yeux écarquillés, affichant de plus en plus la surprise. "Alors ce...chien, garde quelque chose?", demanda Hermione. "On suppose, oui.", répondit Iladys. Hermione ne dit mot quelques instants, et sembla réfléchir. Ron et Iladys, eux, espéraient l'avoir assez impressionnée pour la faire enfin taire. Mais ils étaient loin du compte. "Ça me rappelle un article que j'ai lu dans La Gazette du Sorcier.", déclara t-elle. "La Gazette du Sorcier?", interrogea Ron. "Oui, j'y suis abonnée. Dans l'un des articles... - Pourquoi?" Hermione lança un regard courroucé à Ron pour cette interruption, et Iladys ne put s'empêcher d'afficher un sourire, amusée. "Pour me tenir informée du monde des sorciers. - T'es pas informée par tes parents? - Non, ils sont moldus." Ron et Iladys furent surpris. Hermione était probablement la meilleure élève en tout, et elle n'avait pourtant pas la moindre ascendance sorcière. Iladys comprit alors le comportement de la jeune fille. Elle venait d'un autre monde, elle devait se sentir obligée d'être la meilleure pour être acceptée, et c'est aussi pour cela qu'elle suivait tant Iladys et Ron, tentant coute que coute de se faire des amis. Elle ressentit alors un étrange attachement pour cette fille de moldus. D'une certaine manière, elle la comprenait. "Je disais donc qu'un article parlait d'un braquage à la banque de Gringotts. C'était en première page. Mais rien a été volé, le coffre était vide." Hermione leur lança un regard entendu, comme si elle venait de leur faire la plus grande des révélations. "C'est quoi le rapport?", demanda Ron. Hermione leva les yeux au ciel, alors que pour Iladys, c'était clair. Il s'agissait du coffre où Hagrid avait récupéré ce mystérieux objet, désormais gardé par Touffu. "C'est pour ça qu'ils l'ont amené à Poudlard. Quelqu'un veut voler cette chose.", déclara Iladys. Face au regard incrédule de Ron, elle lui expliqua leur théorie, et Hermione acquiesça vigoureusement à chacun de ses mots. "Mais Hagrid ne veut rien nous révéler.", conclut-elle. "Pourquoi ne vas-tu pas voir directement le professeur Dumbledore? C'est bien lui qui t'as élevée non?" Iladys et Ron se regardèrent quelques instants. Ron semblait approuver l'idée. Iladys y avait bien pensé mais elle n'avait pas osé. Pourtant, encouragée de ses amis, elle accepta de se rendre dans le bureau du principal, après les cours. En cours de sortilèges, l'exercice du jour consistait à faire voler une plume, grâce à la formule "Wingardium Leviosa". Comme à l'accoutumée, Hermione réussit du premier coup, et elle fit la morale à Ron pendant une demi-heure, car lui n'arrivait à rien. Iladys réussit l'exercice, mais compatit au désarroi de Ron. Si elle avait un peu plus de sympathie pour Hermione, elle devait reconnaitre que cette dernière était un peu sévère; à un tel point qu'à la fin du cours, Ron prit littéralement la fuite, rejoignant Seamus et Dean. Iladys le suivit. "Cette fille est vraiment exaspérante! Rien d'étonnant à ce qu'elle n'est pas le moindre ami!" Les garçons pouffèrent de rire, en imitant Hermione donnant des conseils sur la façon de réussir convenablement un sort. Mais, cette dernière, la tête enfouie sous son épaisse chevelure, passa à côté d'eux, en bousculant sciemment Iladys. Ron et elle se regardèrent, un peu déconfits. "Je vais voir Dumbledore. On se retrouve dans la Salle Commune." Ron acquiesça, sans pouvoir s'empêcher de culpabiliser. Iladys ne s'inquiétait pas trop, car il était en compagnie de Seamus et Dean, et elle savait qu'il oublierait vite ce qu'il venait de se produire. Elle se rendit donc jusqu'au bureau de Dumbledore. Elle en connaissait parfaitement le chemin. Lorsqu'elle était petite, Dumbledore lui avait décrit Poudlard, avec moult détails. Elle ne savait évidemment pas tout, mais il avait insisté pour qu'elle sache se rendre à son bureau, et il lui en révélait toujours les mots de passe. Evidemment, c'était leur petit secret, et Iladys ne le révélait à personne. Elle monta donc jusqu'au bureau de l'homme qui l'avait élevée, et frappa. "Entrez!" Ne se faisant pas prier, Iladys poussa la porte, et put voir Albus assis derrière son bureau. En voyant la petite tête brune apparaitre, le vieil homme afficha un large sourire. "Approche. Viens t'asseoir.", lui dit-il en indiquant la chaise libre face à lui. Iladys s'exécuta. Dumbledore lui souriait aimablement, mais elle n'osait pas lui dire quoique ce soit. Elle se demandait ce qu'elle faisait là, et elle se contentait de baisser la tête, confuse. "Que me vaut cette visite?" Elle releva la tête, invitée à parler, elle ne pouvait plus esquiver. "Je...J'ai vu Hagrid prendre quelque chose dans un coffre de Gringotts. J'ai vu Touffu, et je sais qu'un vol a été tenté à Gringotts." Dumbledore ne disait mot, il se contentait d'acquiescer avec son sourire chaleureux. "Je me demandais si...qu'est-ce que...Personne n'est en danger?" Dumbledore garda le silence quelques instants et Iladys était incapable de prévoir ce qu'il allait répondre. Allait-il se fâcher? Il posa un doigt sur le bout du nez d'Iladys, comme il avait l'habitude de le faire, et ne cessa pas de sourire. "J'ai pu constater que tout se passait bien pour toi. Tu sembles très douée au Quidditch, Minerva est ravie. Quand à Touffu, c'est une affaire qui ne te concerne pas. Mais sache que tout va parfaitement bien." Il retira son doigt du bout de son nez, et Iladys savait qu'il n'y avait plus rien à dire. Elle partit donc, sous le sourire bienveillant de Dumbledore. Arrivée à la Salle Commune, elle vit Ron jouer une partie d'échecs avec Seamus, et s'approcha d'eux. Ron lui lança un regard interrogateur, et elle lui répondit d'un signe de tête. Elle contempla leur jeu quelques instants, subjuguée par les pièces en mouvements, et constata que Ron était très doué. Puis du regard, elle parcourut la pièce. "Où est Hermione?" D'une légère moue, Ron haussa les épaules. "On l'a pas vu depuis le dernier cours.", ajouta Seamus. Cette fois, Hermione semblait très vexée, mais ce n'était pas vraiment étonnant. "Je vais aller voir à la bibliothèque.", déclara t-elle. Ron acquiesça, et elle quitta la Salle Commune. D'un pas décidé, elle se dirigea jusqu'à la bibliothèque. Une fois sur place, elle fit rayons après rayons, mais n'aperçut pas l'épaisse chevelure d'Hermione. Elle ne vit que Lavande et Parvati, dans un coin de la bibliothèque, penchée sur un gros ouvrage. "Excusez-moi." Ses deux compagnes de dortoirs lui lancèrent un regard intrigué. "Vous n'auriez pas vu Hermione?" Les deux jeunes filles se fixèrent quelques instants, comme décidant de leur réponse en commun. "Elle passe son temps à pleurer dans les toilettes.", finit par répondre Parvati. "Merci." Sur ces mots, Iladys quitta précipitamment la bibliothèque, et se rendit dans les premières toilettes qu'elle croisa. Elle entendit un reniflement, et s'approcha doucement de la porte. "Hermione?" Elle tomba sur les fesses. Au lieu d'Hermione, c'est le fantôme d'une jeune élève qui lui répondit. "Je suis Mimi Geignarde, mais évidemment, tu ne dois pas me connaître!" Iladys la fixa, apeurée. Ce fantôme n'était pas aimable, loin de là, et elle n'aimait pas la façon dont cette fille collait son nez glacé contre le sien. Se relevant gauchement, elle se précipita à toute vitesse dans le couloir, se promettant de ne plus jamais mettre les pieds dans ces toilettes. Elle en trouva d'autres, où elle avait entendu un faible bruit. Elle entra, et tendit l'oreille, mais seul le silence lui répondait. Elle supposait pourtant qu'Hermione se trouvait bien ici. "Je suis désolé. Et Ron aussi. Il est juste très maladroit." Elle attendit quelques instants, mais, par manque de réponse, finit par s'en aller. Le repas d'Halloween était extraordinaire. Iladys s'y était rendue avec Ron. Alors que ce dernier s'empiffrait, elle ne pouvait s'empêcher de chercher Hermione du regard, mais cette dernière n'avait toujours pas reparu. "Un souci?" Fred, assis à côté d'elle, mangeait probablement autant que son cadet. Au simple ton de sa voix, elle en avait complètement oublié Hermione. Si les entrainements de Quidditch étaient difficile, et qu'elle n'aimait pas se lever aussi tôt, c'était l'occasion pour elle de voir Fred, de lui parler. Car, le reste du temps, elle ne le voyait pas tant que ça. Elle ne faisait que le croiser. Dès que son regard apercevait des cheveux roux dans une foule, son cœur s'accélérait, elle s'empourprait, et elle n'arrivait plus à détourner le regard. Elle ne comprenait pas pourquoi elle s'attachait tant à sa présence, mais elle adorait Fred. Elle oublia donc Hermione pendant le reste du repas, trop heureuse d'avoir Fred à ses côtés. "Un troll! Il y a un troll dans les cachots!" Le professeur Quirrell avait déboulé dans la Grande Salle. Il avait hurlé ces quelques mots avant de s'effondrer, apparemment de terreur. S'il y eu quelques secondes de surprise, ce fut la panique qui s'empara rapidement de la salle. Iladys regardait les élèves qui se levaient en hurlant, Ron y compris. Elle-même ne bougeait pas. Elle ignorait tout des trolls, elle ne pouvait donc pas vraiment en avoir peur; et, du coin de l'œil, elle avait pu voir que Dumbledore était parfaitement calme, ce qui suffisait à la rassurer. "Silence!" Au son de la voix de leur directeur, les élèves stoppèrent instantanément tout hurlement. "Tous les élèves vont suivre leurs préfets, et se rendre dans leurs Salles Communes." Iladys vit Percy bomber le torse, et faire signe aux élèves de Gryffondor de le suivre. Elle sentit ensuite une main se glisser dans la sienne, et l'inciter à se lever. Elle rougit en réalisant que c'était la main de Fred. Elle vit que George, lui, avait pris Ron sous son aile, en lui ordonnant de le suivre, tout en se calmant. Iladys ne lâcha donc pas la main de Fred, et elle le suivit bien sagement, au côté de Ron. Elle voyait tout les élèves marchaient côte à côte, suivant leurs préfets. Tous, sauf une. Elle réalisa alors qu'Hermione n'était toujours pas là. Vainement, agitant la tête dans tous les sens, elle la chercha. Mais la jeune fille n'était nulle part. Iladys fut alors prise d'une légère panique. Elle se pencha vers son ami. "Ron!" Le jeune garçon sursauta, mais au vu du ton bas employé, il se pencha vers elle pour mieux l'entendre. "Hermione n'est pas là. Elle n'est nulle part, et elle ne sait pas pour le troll. - Elle est peut-être dans la Salle Commune." Iladys fronça les sourcils, et Ron fit une moue boudeuse. "Tu sais très bien que non. - Et qu'est-ce que tu veux faire? Le dire à Percy? - Bien sûr que non. Il faut qu'on aille la chercher." Une vague terreur sembla submerger le visage de Ron. Il était devenu livide, mais face au regard déterminé d'Iladys, il ne put que s'incliner. Iladys fixa quelques instants sa petite main dans celle de Fred. Elle ne voulait absolument pas la quitter. Elle ne voulait pas perdre ce contact qu'elle ne retrouverait peut-être jamais. Elle l'aimait, sans nul doute. Cette certitude venait s'imposer à elle, alors qu'elle se sentait incapable de retirer sa main. Pourtant, la pensée d'Hermione l'en incita. Sa jeune amie était quelque part, malheureuse, et sans le savoir, en danger. Iladys n'était pas entrée à Gryffondor pour rien. Elle devait prouver sa valeur. Elle fit donc glisser sa main de celle de Fred. Celui-ci, ne sentant plus la petite menotte, se retourna, surpris. "Je n'ai pas peur. Je peux me débrouiller, merci.", déclara t-elle avec un léger sourire. Fred haussa les sourcils, sembla hésiter, puis reprit le chemin de la Salle Commune des Gryffondor. Ron et Iladys les suivirent encore quelques instants, avant de se glisser dans un couloir adjacent. Ils coururent jusqu'aux toilettes où Iladys pensait qu'Hermione avait passé la journée. Lorsqu'ils y arrivèrent, leur sang se glaça. Le troll les avait devancés. Ils voyaient son ombre se glisser dans les toilettes. Bientôt, la présence d'Hermione se confirma. Un cri retentit. Sans plus de réflexions, ils se précipitèrent dans les toilettes. Hermione, à quatre pattes, tentait de fuir sous les lavabos, alors que les cabines des toilettes avaient été écrasées par l'imposante massue du troll. Hermione leur lança un regard éperdu, en même temps surprise et heureuse de les voir. Iladys réfléchissait à toute vitesse, son regard parcourant la pièce de tout côté, à la recherche d'une solution. Elle s'empara d'un morceau de cabine de toilette, et le jeta sur le troll. "Hé! Par ici, l'affreux!" Comme si son courage se transmettait, Ron l'imita. Ils lui jetaient tout ce qui leur tombait sur la main. Mais cela ne suffit rapidement plus. Ils évitèrent de justesse un coup de massue. Iladys se jeta au sol, alors que Ron s'était plaqué au mur. Le troll décida alors de d'abord s'attaquer à Iladys. Le teint livide, elle le vit abaisser sa massue dans sa direction. "Wingardium Leviosa!" La massue resta en l'air. Iladys regarda Hermione, mais cette dernière était toute aussi bouche bée. Ron, sa baguette à la main, venait de parfaitement exécuté leur exercice de sortilèges. Il était tout aussi surpris, et laissa la massue retomber sur le troll, qui s'effondra aux pieds d'Iladys. Tout ce fracas avait attiré les professeurs. Minerva McGonagall, Severus Rogue et Quirinus Quirrell pénétrèrent dans les toilettes. Les yeux du professeur de métamorphose parcoururent les lieux, et elle afficha une mine déconfite, bientôt suivie de Rogue. Le professeur Quirrell, lui, semblait toujours aussi terrorisé. "Je peux savoir ce qu'il s'est passé ici?", hurla presque le professeur McGonagall. Ron, Iladys et Hermione baissèrent la tête. Iladys évitait soigneusement le regard de Rogue. Elle se sentait incapable de l'affronter à ce moment. Heureusement que Dumbledore n'était pas là. "C'est ma faute professeur!" Une tête rousse et une tête brune se tournèrent vers une épaisse chevelure. Hermione fixait le professeur McGonagall, qui semblait ne pas pouvoir croire ce que la jeune fille lui disait. "Je pensais qu'avec mes connaissances, je pourrai l'affronter. Mais je me suis fourvoyée, et Iladys et Ron sont venus à mon secours. Ils savaient que j'étais inconsciente." Les deux jeunes gens en question ne savaient que dire. Les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, ils fixaient Hermione comme si c'était la première fois qu'ils la voyaient; ce qui n'échappa pas à Rogue. "Eh bien...Miss Granger, vous apprendrez à être moins présomptueuse à l'avenir. Cinquante points de moins à Gryffondor. Et dix à monsieur Weasley et à mademoiselle Jedusor, pour votre chance insolente." Alors que les professeurs leurs tournaient le dos, les trois enfants ne purent s'empêcher de ce sourire. Un lien indéfectible venait de se créer.
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lyveesaivin · 4 years ago
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que du love sur mon tumblr ce matin avec @celestialmite qui se joint à la fête ❤❤ pour vous c’est peut-être la Mite, pour moi c’est la Mighty Mite - et pour tous·tes celleux qui ont soupé du George Berkeley 8-) (i feel u, elle voit son pied la mite)
celestial mite
Déjà, première chose, ton message est le plus adorable du monde, ça fait du bien à lire, et je sors la carte uno reverse pour te renvoyer exactement tout le positif et les bonnes ondes que tu envoies. ❤ Passons au rp ! Alors. Pour le contexte : il s’agissait d’un forum Harry Potter, chaque personnage avait un secret, détenu par un sorcier mystérieux connu sous le nom de “Celui-Qui-Sait”. A la fermeture du forum, CQS a dévoilé les secrets de tous avant de disparaître. Avec des amis, on a donc décidé d’ouvrir un forum privé pour “terminer” les histoires de nos persos et jouer les retombées d’avoir ces secrets ainsi révélés à tous. Ce rp prend donc place à ce moment là. Kendra Austen (mon personnage) est une journaliste pour la Gazette du Sorcier et Joy Jackson-Powell est une ancienne Auror qui a été envoyée à Azkaban à tort. Kendra décide, après plusieurs mois de recherche, de publier un article pour innocenter Joy, devenue entre temps sa petite amie. Joy n’apprécie pas que Kendra fouille dans son passé de la sorte, et les deux femmes se séparent. Entre temps, CQS dévoile les secrets de tous, et notamment celui de Kendra. Les deux jeunes femmes se recroisent dans une boîte de nuit sorcière où Joy travaille.
« La musique est assourdissante, Kendra n'entend ni sa respiration, ni son cœur qui bat à tout rompre, ni les pensées qui pourraient l'assaillir. Kendra se sent légère. Elle ne pense pas, elle n'entend rien, elle se laisse porter par les intonations de la musique. Kendra danse sans se soucier du reste du monde. Elle s'oublie – elle n'est plus Kendra, elle est juste là, elle se fond dans la masse, contre la fille qui vient danser contre elle, contre l'homme qui lui attrape la taille et à qui Kendra adresse un sourire. Elle est venue pour oublier, Kendra. Oublier les regards pleins de pitié, oublier ses peines, oublier le vide profond qu'elle a à la place du cœur depuis que Joy n'est plus là. À cause d'elle. Mais à cette seconde, elle n'y pense pas – envolés les souvenirs, quand Kendra s'est perché sur ses talons hauts en revêtant une tenue révélatrice et qui, en même temps, en montre si peu. Kendra a souligné son regard d'un trait doré qui capte les rayons de lumière colorés à chaque fois qu'elle bouge, cligne des yeux. Les regards sont sur elle, Kendra en est consciente. Un sourire léger apparaît sur ses lèvres – Kendra se retrouve en même temps qu'elle s'oublie. Elle se sent vivante, à nouveau, une petite victoire qu'elle savoure comme le verre qu'elle avait porté à ses lèvres quelques instants plus tôt. Elle veut oublier Joy, oui. Mais Kendra est un paradoxe vivant, elle en est consciente : elle cherche Joy dans tout ce qu'elle fait. Chacun de ses gestes, chacun de ses choix la ramènent vers Joy, toujours Joy, encore Joy. Joy qui revient, Joy qui repart, et Kendra qui se lasse, mais ne dit toujours rien. Elle sait bien qu'elle travaille ici, et pourtant, la voilà, au milieu de la boîte, son regard détaillant les gens comme si elle s'attendait à voir surgir Joy. Joy, Joy, Joy, Joy, le prénom résonne en boucle dans les oreilles de Kendra au rythme de la musique. Une obsession. Elle est là, sans être là, Kendra traîne son fantôme dans son sillage. Elle croit presque entendre la voix de Joy, qui répondrait à son appel silencieux. Kendra ferme les yeux, fait taire son imagination, se concentre sur les basses de la musique, qui atténuent tout le reste. Elle ne sent qu'elle, son partenaire de danse, sa main quelque part sur son corps – ça n'a pas vraiment d'importance. « Kendra. » Cette fois, elle ne rêve pas, la voix familière qui se fraye un chemin jusqu'à elle, c'est bien celle de Joy et c'est bien elle qu'on appelle – Kendra tourne la tête, comme dans un rêve, lentement, perdue entre la réalité et ses divagations. Le contact de la main de Joy contre elle lui fait l'effet d'une onde électrique, tout son corps réagit, comme attiré par un aimant. « Il faut qu'on parle. » Kendra fronce les sourcils, en fixant Joy comme si elle voyait une apparition. Parler, à quoi bon. Parler de quoi. Avaient-elles encore des choses à se dire ? Kendra se perd, regarde le visage de son ex-petite amie. Elle cligne des yeux, se défait de l'étreinte de l'homme, qui, d'un coup, ne l'intéresse plus le moins du monde. Elle s'écarte, attrape Joy par le poignet. Le geste lui paraît étrange, déplacé, mais tant pis. Le son s'atténue quand Kendra s'éloigne, mais le bourdonnement dans ses oreilles est encore là. Le souffle court, Kendra s'appuie contre un pilier, lâche finalement le poignet de la brune. Elle inspire. — Tu voulais qu'on parle. Tu avais des choses à me dire ? Kendra se redresse un peu, croise les bras. Attends, j'ai des choses à dire, avant. J'espère que tu ne vas pas encore … faire comme si on était ensemble. Alors que c'est plus le cas. Elle s'arrête, ferme les yeux. Les mots lui échappent, elle ne cherche même pas à les contrôler. D'accord ? On peut parler de tout ce que tu veux, maintenant. »
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frenchdrarry · 5 years ago
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Harry, lit la Gazette du sorcier : oh putain
Draco, se lime les ongles : Hum ?
Harry : Le ministre vient officiellement d’annoncer que le confinement en prévention du nouveau virus sorcier est obligatoire à partir de minuit.
Draco :...ça veut dire qu’on ne pourra pas bouger d’ici ?
Harry : C’est l’idée même du confinement, crétin.
Draco :...Potter, réfléchis ! Penses-tu à ce que je pense ?
Harry :........oh Merlin, oui.
Draco : On va vouloir divorcer au bout de deux heures.
Harry : T’es optimiste.
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romanticalicisme · 4 years ago
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Chapitre I - Le mot
     Revoir sa deuxième maison enchantait Hermione. Cette dernière avait préparé joyeusement ses affaires mais, après avoir lu à maintes reprises dans la Gazette que les familles moldues des sorciers comme elles étaient persécutées, elle décida de modifier la mémoire de ses parents, s'excluant de tous leurs souvenirs.
     Elle descendit monotonement les marches des escaliers lorsque sa mère l'appela pour prendre le thé. Elle s'attarda sur la dernière marche en face de la porte d'entrée ; à sa hauteur, une photo de la famille Granger au complet avait été clouée au mur. Elle datait de deux ans auparavant et, malgré son immobilité contraire aux photographies du monde magique, on s'imaginait tout de suite la scène qui s'était produite.
     À l'arrière-plan, la tante Mirelle essayait de cacher pudiquement son visage mais l'oncle Harold qui lui tenait les mains en souriant, devait sûrement lui susurrer qu'elle était la plus splendide du groupe. À droite, grand-mère Stacy riait de bon cœur avec la grand-tante Marjolaine. Au centre, on y voyait ses deux parents, son père enlaçait sa mère, mais cette dernière accordait son attention à sa fille, sur laquelle elle posait un regard rempli de tendresse. Hermione se trouvait juste devant eux, encerclée de ses cousins et cousines, pour la plupart âgés de moins de 9 ans. Sur son visage, un large sourire s'était dessiné. Un de ces sourires qu'elle n'avait nul besoin de forcer puisque c'était lui qui s'incrustait, tendant les muscles de ses joues. Cette photo était l'exemple même du bonheur, et Hermione aurait tout donné pour revivre ce moment.
     Le tintement des tasses de thé rappela Hermione au monde réel devenu sombre. Elle s'avança lentement dans le living-room et regarda sa mère, qui versait un liquide brun dans la tasse de son père. Tous deux lui tournaient le dos, et Hermione se chuchota un "Allez, c'est maintenant ou jamais !". Elle sortit sa baguette et lança son sort irréparable. Elle eut des visions des souvenirs de ses parents où elle se voyait être retirée. Des larmes déroulèrent sur ses joues, mais elle les sécha d'un coup sec ; elle devait rester forte, elle avait fait le bon choix.
     Elle fit demi-tour, et sans un bruit, elle se dirigea vers la porte. En passant elle revit la photographie qu'elle avait observée peu avant, mais cette fois elle ni figurait plus et sa mère rendait son embrassade à son père. Une boule déchirante au ventre, elle détourna le regard pour le porter sur la vieille porte d'entrée en bois massif. Elle sortit discrètement, valise à la main du bâtiment qui avait, dix-sept années durant, été son chez-soi. Elle fit face à la maisonnette aux volets colorés, et versa une larme, se remémorant les dernières paroles qu'elle avait murmurées à ses parents : "Je ne vous oublierai jamais", tout en trouvant la situation ironique.
     Elle se maudit de ne pas les avoir embrassés une toute dernière fois bien qu'elle ait conscience qu'en les sentant serrés contre elle, elle n'aurait pas eu le courage de lancer le sortilège. Les enseignants de Poudlard refusaient de leur apprendre un tel sort par peur de se retrouver avec des élèves sans mémoire à cause de disputes infantiles. La lionne a dû apprendre par elle-même avec l'aide de plusieurs livres de sortilèges.
     Elle fit demi-tour et prit le chemin de la gare. Au fur et à mesure qu'elle avançait, son cœur se faisait moins lourd et un sourire se dessinait lentement sur son visage. Le mur de la voie 9 3/4 traversé, Hermione pris place dans un wagon vide du Poudlard Express, réservant les banquettes à ses deux fidèles acolytes. Elle surpris son cœur battre plus rapidement à l'idée de démarrer une nouvelle année à Poudlard. Elle eut l'impression de redevenir la fillette insolente qu'elle fut autrefois. Ses amis l'avaient rendue, au fil du temps, plus sociable, plus empathe et aussi plus douce mais elle garderait sûrement à jamais son âme d'enfant ainsi que son fort caractère. Son éternelle ponctualité lui fit attendre ses compagnons une quinzaine de minutes. Quand le trio se rassembla enfin, après deux mois séparés, leurs retrouvailles se firent chaleureuses bien qu'ensuite un silence gênant pris place. Les deux garçons fixaient Hermione en face d'eux, qui les scutait tendrement. Mais leurs regards se firent insinuatifs et Hermione brisa le silence.
- Quelque-chose ne va pas ? demanda-t-elle.
     Harry et Ron se regardèrent quelques secondes, comme s'ils se demandaient mutuellement ce qu'ils devaient faire. Le survivant pris son courage à deux mains, et décida de prendre la parole. Hermione, qui n'avait rien manqué de leur échange, devint inquiète.
- Eh bien, tenta le jeune homme, on se demandait si, enfin par rapport à tes parents, si tu étais...
- Si j'étais effondrée ? finit-elle.
    Harry hocha la tête et Ron se figea, attendant la suite. Ils redoutaient tous deux qu'Hermione se soit renfermée sur elle même par tristesse et colère. Cette dernière, quant à elle, était peinée par l'expression légèrement effrayée qu'affichaient ses deux amis.
- Les garçons, reprit-elle calmement, je suis bien entendu très affectée d'avoir perdu mes parents, mais je les préfère m'ignorant, que mort. Alors non, je ne compte pas me rouler en boule sous ma couette et pleurer toutes les larmes de mon corps, oubliant de sortir de ma chambre.
- Tu aurais le droit, tu sais, expliqua Ron tout en se rapprochant de la jeune femme soudain attendrie.
- Oui mais ce n'est pas mon style. De plus nous avons une guerre à gagner. Je ne serai pas la seule à subir de lourdes pertes, je me dois d'être forte. Et puis, je tiens trop à voir la tête de Ron, quand il verra toutes les filles le fuir à cause de rumeurs qu'a colporté Lavande.
    Ron la pris dans ses bras suivi d'Harry. La jeune femme retenait ses larmes, en ressentant tout l'amour que lui donnaient ses meilleurs amis.
- Je suis content que tu sois toujours toi, commença-t-il. On a besoin de toi Harry et moi pour... Attends... Hermione, de quelles rumeurs parles-tu ?
    Hermione et Harry se dévisagèrent, puis éclatèrent de rire devant l'air inquiet du rouquin. Le fait qu'il n'ait réagi seulement quelques minutes après l'annonce d'Hermione ne faisait qu'amplifier leur hilarité.
     Le reste du voyage se déroula dans la joie et dans l'amusement. Chacun raconta ses vacances, tout en omettant les sujets plus tristes et délicats. Ils taquinèrent aussi Hermione qui avait reçu des lettres de Cormac tout l'été, auxquelles elle avait pris grand soin de ne pas y répondre. Puis ils charrièrent Harry, que Ginny avait forcé à se rendre à un défilé de mode façon sorcier. Le train arrêté, les élèves montèrent dans des calèches tirées par des Sombrals, toujours invisibles pour Hermione. Devant le château, elle se sentit minuscule face à l'édifice gigantesque. Pourtant, celui-ci lui donnait l'impression d'avoir rapetissé depuis la première fois qu'elle le vit.
     Tous les élèves s'installèrent à leur table dans la Grande salle sauf les premières années bien évidemment. La salle avait été agrandi, afin d'accueillir des élèves de huitièmes années souhaitant continuer à étudier et aider les plus jeunes dans leurs sortilèges, pour pouvoir combattre les ténèbres lorsque la bataille finale éclatera. Le ciel artificiel avait cette fois une teinte rassurante de rose orangé avec des nuages violets. Quand les nouveaux arrivants furent répartis dans leur nouvelle maison, et quand le Choixpeau eut récité ses paroles rassurantes, le professeur Dumbledore entrepris une présentation des nouveaux professeurs :
- Comme vous avez pu le constater, cette année nous ouvrons nos portes aux anciens élèves de septième année volontaires. Ces derniers vont poursuivre l'initiative de Mr. Potter lorsqu'il avait créé un rassemblement nommé "l'armée de Dumbledore", afin de permettre aux élèves de continuer à apprendre à combattre et à se défendre. Cette nouvelle association sera renommée "l'armée de Poudlard", et chaque personne étant présente dans cette salle a le pouvoir de s'inscrire. Les entraînements auront lieu dans la salle sur demande se trouvant au septième étage, et pour plus d'informations, veuillez vous adresser aux huitièmes années qui sauront sans doute mieux vous expliquer que moi. Ces élèves continueront bien entendu leurs études, c'est pourquoi de nouveaux professeurs ont été engagés. J'ai le plaisir de vous annoncer que nous aurons dorénavant deux professeurs par matière obligatoire. Le professeur Rogue et le professeur Slughorn enseigneront l'art des potions ; les professeurs Maugrey et Lupin administreront les cours de Défense contre les forces du Mal ; le professeur McGonagall et le professeur Tonks s'occuperont des cours la Métamorphose et enfin les professeurs Flitwick et Doge présenteront les cours de Sortilège. Les matières présentées sont donc obligatoires à chacun d'entre vous, et vous trouverez le nom du professeur qui vous enseignera chaque matière sur vos emplois du temps. (Il marqua une pause) Vous avez également connaissance des forces du Mal à l'extérieur de ces murs, qui accomplissent les desseins de Lord Voldemort, et, qui dans peu de temps, attaqueront le château. À ce moment précis, nous devrons tous, professeurs, Aurores et élèves, être préparés à combattre et à tenter de remporter cette guerre. Je vous conseille donc de porter une attention particulière sur votre apprentissage, mais surtout de profiter de chaque seconde qui nous sépare de cette dernière bataille. Puisque ce jour-là, il sera important de survivre, mais aussi d'avoir vécu le plus possible. Des drames se produiront, c'est donc à vous de vous occuper d'être heureux jusqu'à votre dernier souffle, d'oser des choses que vous pensiez inimaginables ou impossibles et de faire des rencontres que vous n'auriez jamais faites en temps normal. Ce jour-là vous serez tous des sorciers et sorcières qui feront face à la mort. Vous ne serez pas différenciés par votre sang ni par votre maison, le sang qui coulera sera le même quel que soient votre âge, votre sexe et vos différences. C'est pourquoi cette année, je retire le système de points accompagné de la coupe des maisons. Je vous veux unis malgré tout ce qui vous sépare. (silence) Maintenant que j'ai finis ma petite présentation, je vous souhaite un bon repas et une année aussi joyeuse que possible. Que le banquet commence !
     Les élèves avaient applaudis les nouveaux professeurs, et avaient bruyamment discuté à propos de l'armée de Poudlard qu'ils avaient déjà surnommé l'AP. Mais lorsque Dumbledore avait parlé du seigneur de ténèbres, un silence de mort avait submergé la Grande salle. Tous écoutaient attentivement, et quelques plus jeunes pleuraient sans un bruit, réconfortés par les plus âgés. Les élèves de Gryffondor et de Serpentard se dévisageaient. Hermione et Draco s'étaient instinctivement regardé, lorsque le directeur avait parler de sang. La haine pulsait dans leurs quatre pupilles, laissant deviner que jamais ils ne s'uniraient comme leur directeur le souhaitait tant. Mais quand l'immense festin apparut sur les quatre tables, le brouhaha habituel repris.
     Hermione détourna les yeux qui, cette fois, s'absorbèrent de ceux de Ron. Son air sérieux, mais attendri perturba la jeune femme, qui sentait le rouge lui monter aux joues. Ronald ne manqua pas ce détail, ce qui le fit sourire gentiment. La lionne sentit ses lèvres se soulever instinctivement en un petit rictus. Ils continuèrent le repas sans se parler, et en se lâchant du regard que très rarement, pour s'adresser furtivement à quelqu'un d'autre ou pour se servir de la nourriture.
     Soudain, Ron sortit de sa robe de sorcier un parchemin vierge et un stylo moldu, qu'Hermione lui avait offert. Il écrivit un petit mot au haut de la feuille, sous l'attention curieuse de la jeune femme. Il déchira le morceau de parchemin contenant le mot du reste, le plia et rangea ses affaires dans sa robe. Son papier dans la main, il dévisagea à nouveau la femme assise en face de lui. Il tendit son bras en sa direction et Hermione s'empara de ce qui dépassait de ses doigts. Au moment où elle allait ramener ce qu'elle tenait vers elle, Ron lui prit la main tendrement. Le cœur de la Gryffondor fit un bon, tendit qu'elle fixait les doigts de l'homme qui couvrait la plupart de ses pensées, lui caresser le dos de sa main. Puis, sans prévenir quiconque, il lâcha sa prise et quitta la Grande salle.
     La rouge et or se rendit compte qu'elle respirait particulièrement fort. Ce touché inattendu, lui avait fait oublier le petit morceau de parchemin calé entre son pouce et son index, jusqu'à ce que Ginny le lui fasse remarquer. Elle décida de l'ouvrir, en essayant de cacher le contenu des yeux de son amie qui essayait tant bien que mal de lire par-dessus son épaule. Lorsqu'elle déplia le papier, elle reconnue immédiatement l'écriture écorchée de son meilleur ami roux, qui formait les lettres : "Rejoins-moi à la tour d'astronomie. Je crois que nous avons à discuter seuls". Le mot "seuls" était souligné, sûrement pour lui faire comprendre le futur sujet de leur discussion.
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