#la génération Z
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#jeunes#adolescents#mal-être#symptômes chez les jeunes#psychology#syndromes de malaise#causes et effets#la génération Z#médecines#surveiller les jeunes#appel au secours
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Le président Trump attribue à Barron l'efficacité de son investissement via ses podcasts qui ont aidé les membres de la génération Z de comprendre la politique et d'aller voter
La foule se déchaîne pour Barron quand son père l'appelle pendant son discours.
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the boys get tested on gen z slang
#i find this too funny#this is has some interesting reaction images for SURE#full video!#montreal canadiens#i'm not tagging every player who's in this lol
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Un Britannique sur cinq chez les 18-45 ans rejette la démocratie.
L'homme blanc réalise l'imposture que représente un tel système.
Oswald Mosley avait raison
Un Britannique sur cinq veut l’instauration du fascisme.
The Guardian :
Un Britannique sur cinq de la génération Z et du millénaire préfère des dirigeants forts, sans élections, à la démocratie, et les électeurs se sentent globalement déprimés par la politique, selon un rapport. Le sondage, qui sera publié la semaine prochaine dans le cadre du rapport FGS Global Radar, révèle que 14 % des personnes sont d’accord avec l’affirmation suivante : « Le meilleur système pour diriger efficacement un pays est un dirigeant fort qui n’a pas à se préoccuper des élections », plutôt que l’alternative : “Le meilleur système pour diriger efficacement un pays est la démocratie”. Cette proportion atteint 21 % chez les personnes âgées de 18 à 45 ans, qui ont répondu que le meilleur système était un dirigeant fort sans élections. En revanche, seuls 8 % des plus de 55 ans préfèrent ce système à la démocratie.
Le rapport de sondage FGS a révélé que les hommes étaient plus susceptibles de s’éloigner de la démocratie que les femmes (17 % contre 13 %), et que les électeurs de Reform UK étaient légèrement plus susceptibles de s’éloigner de la démocratie que les électeurs des autres partis (17 % contre 16 % pour les travaillistes, 14 % pour les conservateurs, 9 % pour les libéraux-démocrates et 8 % pour les écologistes). Bien que l’année dernière ait été marquée par un raz-de-marée travailliste, un changement de gouvernement au Royaume-Uni et une deuxième administration Trump aux États-Unis, près d’un électeur sur quatre a déclaré qu’il pensait que voter n’avait pas fait de différence. Les personnes les plus désillusionnées par le vote étaient âgées de 25 à 44 ans, trois sur dix affirmant que cela ne faisait aucune différence.
L’enquête a révélé un certain pessimisme quant à l’état de la politique britannique, 47 % des personnes interrogées affirmant qu’« aucun des partis politiques actuels ne représente l’intérêt des citoyens ». L’enquête menée auprès de 2 000 adultes en âge de voter a révélé que 23 % d’entre eux pensent que « le Royaume-Uni va dans la bonne direction », tandis que 64 % sont d’accord avec l’affirmation suivante : « On a l’impression que le Royaume-Uni traverse une période de fort déclin ». 59% pour cent des personnes interrogées estiment que « les meilleures années du Royaume-Uni sont derrière nous ».
Il n’y a guère que les boomers pour croire unanimement à la démocratie.
Les hommes blancs en âge d’être persécutés par l’immigration et les impôts sont bien plus lucides et réalisent l’escroquerie que représente un tel système politique qui confine à l’esclavage pur et simple.
Personne ne sait exactement pourquoi des élections résoudraient quoi que ce soit. Elles reposent sur un concept complètement idiot selon lequel 51% des gens ont raison du seul fait qu’ils sont 51%. Qui peut imaginer un système aussi aberrant, surtout quand les médias aux mains de l’oligarchie font la pluie et le beau temps ?
Un tel système pourrait proclamer qu’une foule de punks à chiens est plus douée en musique que Mozart, du seul fait de leur nombre.
Il est évident que l’immigration est un désastre, les sondages d’opinion indiquent tous un rejet massif de ce projet de remplacement des Blancs par le tiers-monde, mais la démocratie poursuit sa mise en place année après année contre la volonté du peuple. Les gens ont du mal à comprendre que la démocratie est par définition conçue contre le peuple. Cela n’est possible que parce que les gens oublient l’essentiel lors des élections pour se quereller à propos de partis et de politiciens sans importance tandis que le système continue en pilotage automatique.
La Chine n’a pas d’élections et elle est devenue la première puissance économique du monde en 40 ans de travail.
C’est d’autant plus absurde que personne n’applique le principe démocratique nulle part ailleurs. Ni dans une famille, ni à l’école, ni dans une entreprise, ni à l’armée. Surtout pas à l’armée où tout est une question de vie ou de mort.
Nous avons des élections depuis 150 ans en France, voire plus, et nous avons l’une des classes politiques les plus incompétente, inculte, lâche et corrompue d’Europe. Et à cause de ces élections, nous ne pouvons pas nous en débarrasser car des idiots continuent de voter pour eux sans savoir pourquoi.
Les gens n’ont spontanément aucun intérêt pour la politique et ne veulent pas être troublés par ces questions. Ils veulent mener une vie apaisée et que les dirigeants du pays fassent leur devoir.
Quand on y réfléchit, on ne sait même pas comment ces démocraties occidentales ont pu durer si longtemps au vu des ravages dont elles sont responsables.
Il ne faut pas céder sur ce point et marteler que seule une solution autoritaire et révolutionnaire pourra apporter des réponses à la hauteur de la gravité de la crise. C’est une évidence, la démocratie est une plaie incompatible avec la France et, franchement, avec n’importe quel pays, sauf peut-être les Îles Féroé ou l’Islande, qui sont essentiellement des villages et qu’il n’y a pas assez d’habitants là-bas pour faire quoi que ce soit.
Ce sentiment anti-démocratique doit être cultivé dans les masses en soulignant l’incurie de ce système. Cela finira par produire des possibilités nouvelles.
En France, nous souffrons racialement, mais il est même possible de régler la question raciale par la seule instauration du fascisme. Le fascisme repose sur l’élitisme de masse. D’évidence, jamais des noirs ou des arabes ne produiront d’individus exceptionnels, si bien qu’une France fasciste serait de facto une France raciste. Parler de la question raciale est essentiel, mais en pratique ce n’est même pas indispensable dans une France fasciste où par définition l’homme blanc serait le maître du seul fait de ses qualités.
Je souligne ce point car à force de parler d’immigration ou d’islam, on en vient à ne pas évoquer ce que nous voulons proposer comme formule politique au 21e siècle. Les gens ont besoin d’un horizon et la démocratie ne peut leur donner que du désespoir.
Il est vrai cependant que le fascisme est apparu pour la première fois au lendemain de la Première guerre mondiale par l’action de vétérans habitués à être organisés pour le combat.
Nous dépendons toujours des circonstances, mais les principes fondamentaux demeurent.
Démocratie Participative
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Près d'un tiers des Américains de 18-25 ans se disent LGBTQ, plus que toute autre génération
Dans son étude (https://www.prri.org/research/generation-zs-views-on-generational-change-and-the-challenges-and-opportunities-ahead-a-political-and-cultural-glimpse-into-americas-future/) intitulée «aperçu politique et culturel de l'avenir de l'Amérique», le Public Religion Research Institute (PRRI) met des chiffres sur une évolution que tout le monde constate:
28 % de la génération Z (https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9n%C3%A9ration_Z#:~:text=La%20g%C3%A9n%C3%A9ration%20Z%20est%20la,et%20pr%C3%A9c%C3%A8de%20la%20g%C3%A9n%C3%A9ration%20Alpha.) s'identifie comme LGBTQ, soit le pourcentage le plus élevé jamais enregistré pour une génération. Dans le détails, 15 % se disent bisexuels, 5 % homosexuels et 8 %… «autres».
Un constat qui ravi les ONG progressistes telles que Human Right Campaign, qui espère (https://www.hrc.org/press-releases/icymi-new-data-shows-that-nearly-30-of-gen-z-adults-identify-as-lgbtq) que cela jouera (encore plus) un rôle dans la sphère politique: «les législateurs doivent comprendre que les attaques politiques anti-LGBTQ+ auront des répercussions en novembre.»
Si le PRRI n'a apporté aucun élément sur les raisons possibles de cette tendance…
…il apparaît évident que l'opération d'ingénierie sociale de l'Etat profond (https://t.me/kompromatmedia/3497) est un incontestable succès.
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Campagne dangereuse
Un géant de la PR mondiale lance des publicités provocatrices pour le vaccin contre le HPV ciblant la génération Z. Publicis Groupe, une multinationale de relations publiques, a lancé la semaine dernière une campagne sous le slogan « HPV Fucks Everybody » – destinée à persuader la Génération de se faire vacciner contre le papillomavirus humain, ou HPV. Des critiques ont qualifié la campagne de « dangereuse ».
Publicis Groupe, a lancé la campagne en collaboration avec l'organisation à but non lucratif Fuck Cancer. La campagne ne nomme pas une marque spécifique de vaccin contre le HPV.
Cependant, le vaccin Gardasil de Merck est la seule marque de vaccin contre les HPV distribuée aux États-Unis, et Merck est un client de Publicis Groupe.
Lorsque CHD a voulu savoir si Merck finançait la campagne, un porte-parole de Fuck Cancer a déclaré à The Defender : « Cette campagne n’a aucun lien avec Merck et est une collaboration entre Publicis Health Media et Fuck Cancer. Veuillez noter que nous promouvons un vaccin sûr qui sauvent des vies. »
À l'heure actuelle, 80 poursuites judiciaires sont en instance devant un tribunal fédéral contre Merck alléguant des blessures à Gardasil et la Cour fédérale du vaccin a versé plus de 70 millions de dollars aux personnes qui font des plaintes concernant Gardasil.
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wesh, du coup; nouveau vocabulaire de la génération z.
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L'Éveil de Lyra - Génération Z
L'éveil de Lyra – Génération Z
Lyra, 25 ans, une représentante affirmée de la génération Z, était assise sur le rebord de la fenêtre de son petit appartement, les rayons dorés du soleil caressant son visage. Elle observait la ville vibrante sous ses pieds, une métropole frénétique où l'on glorifiait les heures supplémentaires et les courriels envoyés à minuit. Dans ce chaos quotidien, elle réfléchissait à un choix qu’elle avait fait il y a peu : ne plus sacrifier sa vie pour un emploi.
Elle avait grandi en écoutant les récits de ses parents, témoins d’une époque où l’on mesurait la valeur d’un individu au nombre de nuits blanches passées à satisfaire les exigences d’un supérieur. « Travailler dur, » disaient-ils, « c’est ça la clé du succès. » Mais pour Lyra, ces histoires n’étaient pas des chants de gloire, mais des récits d’abandon : celui des rêves, des passions, et parfois même de la santé.
Un jour, après une semaine interminable de réunions et de délais serrés, Lyra s'était arrêtée net. La question avait jailli de son esprit comme une évidence : À quoi bon vivre si c’est pour survivre seulement au travail ?
Elle avait pris une décision audacieuse ce soir-là, une promesse silencieuse à elle-même. Travailler, oui, mais jamais plus au détriment de sa joie de vivre. Elle voulait retrouver cette liberté simple, celle de lire sous un arbre sans une alerte de son téléphone, de voyager, de se consacrer à sa passion pour la peinture sans se sentir coupable de ne pas répondre à un courriel immédiatement.
Ce n’était pas de la paresse, comme certains l’auraient pensé.
C’était un choix conscient de vivre pleinement. À chaque refus poli d’une réunion tardive, à chaque week-end déconnecté, elle sentait ses racines se nourrir d'une énergie nouvelle, celle de sa propre existence retrouvée.
Les employeurs peinaient parfois à comprendre cette génération Z qui, comme Lyra, osait dire non. Mais elle savait que ce décalage était nécessaire. Car une chose restait indéniable : Chaque employé est remplaçable dans le monde du travail, mais aucune vie humaine ne l’est.
Alors que le soleil déclinait à l'horizon, Lyra saisit un pinceau. Elle peindrait la lumière du jour qui s'éteignait, symbole d’un monde qui changeait doucement, un monde où le travail avait enfin cessé d’effacer la vie.
Image : My AI Artworks
Corinne Ecrivain
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Après les Millenials, la gen Z et la génération Alpha, les jeunes nés en 2025 appartiendront à la génération Bêta
Chaque génération porte un nom et désormais, les bébés qui naîtront entre 2025 et 2039 appartiendront à la génération Bêta. Explications
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Qui va gouverner
On l'a échappé belle
La génération Z cherche partis fortunés
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La génération Z,
Technologie : La génération Z a grandi dans un monde numérique. Ils sont natifs du numérique, ce qui signifie qu’ils utilisent les technologies et les réseaux sociaux de manière intuitive. Cela influence leur façon de communiquer, d’apprendre et de consommer. Engagement social : Cette génération est souvent perçue comme très engagée dans des causes sociales et environnementales. Ils sont…
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CES 2025 : Génération Z et innovations durables au cœur des tendances
Le CES 2025 ouvre aujourd’hui à Las Vegas, c’est l’occasion de mettre en lumière les grandes tendances technologiques de l’année à venir, tout en jetant les bases de la prochaine décennie. Lors de la présentation d’ouverture, Melissa Harrison, vice-présidente du marketing et des communications de la Consumer Technology Association (CTA), et Brian Comiskey, directeur principal de l’innovation et…
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Découvrez pourquoi la Génération Z délaisse l'écriture manuscrite et ses conséquences.
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Passer de la réaction à l’anticipation avec le support IT from ITRtv on Vimeo.
Le Black Friday, symbole de la frénésie commerciale, devient une opportunité pour les cybercriminels qui détournent les QR codes à des fins malveillantes. Selon Cisco Talos, près de 60 % des emails incluant ces codes sont des spams, piégeant les consommateurs avec des liens vers des sites d’hameçonnage ou des logiciels malveillants. L’augmentation de 30 % des achats sur mobile, couplée à une méconnaissance généralisée, amplifie les risques. Une étude révèle que 71 % des utilisateurs ne savent pas distinguer un QR code légitime d’un code frauduleux, une faille exploitée par les hackers qui jouent sur des visuels attrayants pour contourner les filtres de sécurité. Pour lutter contre ce phénomène, experts et commerçants appellent à la vigilance et à la sensibilisation, soulignant que la sécurité numérique doit accompagner l’essor des pratiques connectées.
Dans le domaine de l’informatique, une transformation profonde se profile à l’horizon 2027. Nexthink anticipe la fin du support IT traditionnel, poussé par l’essor de l’intelligence artificielle et de l’automatisation. Près de 79 % des professionnels IT envisagent une refonte complète du modèle actuel, misant sur des outils capables de résoudre les problèmes avant même qu’ils ne surviennent. Cette transition implique un changement de paradigme, les équipes IT devenant des partenaires de l’expérience utilisateur, avec une priorité donnée à l’anticipation et à la maîtrise de technologies avancées. Toutefois, ce tournant reste un défi stratégique, freiné par une aversion au changement et des lacunes en formation. Les entreprises doivent investir dans des environnements numériques performants pour garantir une transition fluide vers cette ère proactive, où l’humain reste au centre de la révolution technologique.
Dans l’univers du streaming, l’année 2024 illustre un marché en phase de maturité, bien que des opportunités de croissance subsistent. Si 70 % des Européens sont abonnés à au moins un service vidéo, le ralentissement se fait sentir, notamment en France où la saturation freine les nouveaux abonnements. Avec seulement 65 % de consommateurs français abonnés, contre des taux plus élevés dans d’autres pays européens, le manque de contenus attractifs et la hausse des tarifs alimentent cette stagnation. Pourtant, des niches comme les "super utilisateurs", adeptes de plusieurs plateformes, ou la combinaison de contenus vidéo et musique offrent des perspectives intéressantes. Les experts soulignent que pour raviver l’intérêt, il est crucial de proposer des contenus engageants et des modèles tarifaires adaptés, particulièrement dans des marchés comme la France où la concurrence s’intensifie.
Les bureaux du futur s’adaptent aux aspirations de la Génération Z, redéfinissant les espaces de travail pour répondre à leurs attentes. Cette génération, en quête de flexibilité et de personnalisation, privilégie des environnements modulables intégrant des éléments naturels, créant un équilibre entre indépendance et convivialité. La technologie joue un rôle clé, avec une demande croissante pour des espaces ultra-connectés et des outils collaboratifs performants, tout en intégrant une forte dimension sociale et environnementale. Pour attirer ces jeunes talents, les entreprises réinventent leurs espaces, inspirés par le secteur de l’hospitalité, où bien-être et sens deviennent des moteurs de productivité. Créer des bureaux qui incarnent des valeurs authentiques et offrent une expérience enrichissante s’impose comme un impératif pour fidéliser cette génération exigeante.
Enfin, l’exemple de La Courneuve illustre une transition numérique stratégique avec un accent sur la souveraineté technologique. En remplaçant Office 365 par MyB’Suite, une solution française basée sur BlueMind, la ville réalise d’importantes économies tout en renforçant son indépendance numérique. Ce choix, impulsé par la nouvelle direction des systèmes d’information, vise à garantir un service public durable et à réduire la dépendance aux géants américains du numérique. La migration réussie vers cette plateforme alternative prouve qu’il est possible de concilier modernité et souveraineté, tout en répondant aux besoins des utilisateurs. Cet engagement pour une autonomie numérique montre la voie à suivre pour d’autres collectivités soucieuses de reprendre le contrôle de leurs infrastructures tout en optimisant leurs budgets.
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November 15 2024 at 03:08PM
La génération Z décroche des entretiens d'embauche grâce à TikTok. Rien d'extraordinaire, ils cherchent là où ils sont. Après cela concerne seulement des métiers et des profils spécifiques. #tiktok #business #jobopportunity 👇 https://www.fastcompany.com/91223860/gen-zers-are-landing-job-interviews-through-tiktok
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L’Église et la génération Z à la découverte du Dieu biblique - Evangile 21
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