#la femme du gange
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rwpohl · 3 months ago
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la femme du gange, marguerite duras 1974
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pompadourpink · 4 months ago
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Literal French expressions
À deux - at two
À la + n. - in the style of
À la carte - at the menu
À la mode - in fashion
Amateur - lover
Après-ski - after skying
À propos - about
Armoire - wardrobe
Art nouveau - new art
Au naturel - plain
Au pair - at the peer
Auteur - author
Avant-garde - before guard
Bête noire - black beast
Blasé - jaded
Bon appétit - good appetite
Bon voyage - good journey
Boutique - shop
Buffet - credenza
Bureau - office
Canapé - couch
Carte blanche - white card
C'est la vie - that's life
Chauffeur - warmer (n.)
Chef - leader
Cliché - picture
Clique - gang
Connaisseur - "knower"
Coup d'état - blow of state
Coup de grâce - blow of mercy
Coup de foudre - blow of lightning
Couture - sewing (n.)
Cul-de-sac - ass of the bag
Début - beginning
Débutante - beginner
Déjà-vu - already seen
Dénouement - untying
Dossier - file
Double entendre - double hear
... du jour - of the day
Eau de toilette - washing water
Eau de vie - life water
Encore - again
Ennui - boredom
En route - in road
Ensemble - together
Entourage - people surrounding you
Entrepreneur - starter (n.)
Essai - attempt
Esprit de l'escalier - spirit of the stairs
Étiquette - label
Exposé - exposed
Façade - frontage
Faux pas - fake step
Femme fatale - deadly woman
Film noir - black movie
Fin de siècle - end of century
Flâneur - "stroller"
Femme - woman
Folie à deux - madness at two
Foyer - fireplace, home
Gamine - female kid (casual)
Gauche - left
Gendarme - person of weapons
Je ne sais quoi - I don't know what
Laissez-faire - let (someone) do (imperative)
Laissez-passer - let (someone) pass
L'appel du vide - the call of the void
Lingerie - underwear
Maître d' - master o'
Mardi gras - fat Tuesday
Matinée - morning
Ménage à trois - household at three
Mon/ma chéri-e - my cherished
Montage - mounting
Motif - pattern
Mural - on the wall (adj.)
Né-e - born
Négligé - neglected
Nom de plume - feather name
Parole - word
Petite - small (adj.)
Pied-à-terre - foot on land
Poilu - hairy
Pot pourri - rotten pot
Pourboire - for drink
Première - first
Prêt-à-manger - ready to eat
Protégé - protected
Renaissance - rebirth
Rendez-vous - appointment
Répertoire - directory
Résumé - summary
Risqué - risked
Robe - dress
Rouge - red
RSVP - answer please
Sans-culottes - without pantaloons
Savant - "knower" (n.)
Savoir-faire - know how to do (v.)
Savoir-vivre - know how to live
Séance - session
Soirée - evening
Souvenir - memory
Suite - sequel, development
Surveillance - careful watching
Tête-à-tête - head to head
Touché - touched
Tour - circuit
Trompe-l'oeil - cheats the eye
Venue - came
Vignette - sticker, label
Vis-à-vis - face to face
Voyeur - "seer"
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Ballet vocabulary:
Allongé - laid down
Balancé - swinged
Balançoire - swing (n.)
Battu - battered
Brisé - broken
Chassé - chased
Chaînés - chained
Ciseaux - scissors
Coupé - cut
Dégagé - cleared
Développé - developed
Échappé - escaped
En cloche - in bell
En croix - in cross
Entrechat - between braid
En pointe - in tip
Failli - almost did
Fouetté - whipped
Glissade - sliding
Plié - bent
Jeté - thrown
Manège - carousel
Pas de bourrée - drunk step
Pas de chat - cat step
Pas de cheval - horse step
Pas de deux - step of two
Pas de valse - waltz step
Penché - leaned
Piqué - pricked
Port de bras - carry of arms
Relevé - lifted back up
Renversé - titled, bent backwards
Retiré - removed
Rond de jambe - leg circle
Temps de flèche - arrow time Tendu - stretched
Temps lié - linked time
Tombé - fallen
Tour en l'air - turn in the air
Kitchen vocabulary:
Amuse-bouche - mouth entertainer
Bain-Marie - Mary bath
Café au lait - milky coffee
Casserole - pot
Cordon bleu - blue ribbon
Crème brûlée - burnt cream
Crème de la crème - cream of the cream
Crème fraîche - fresh cream
Croissant - crescent
Éclair - lightning
Entrée - entrance
Filet mignon - cute net
Flambé - blazed
Foie gras - fat liver
Fondant - melting
Fondue - melted
Gourmet - foodie
Hors d'oeuvre - out of the work
Légume - vegetable
Liqueur - liquid
Mille-feuille - thousand leaf
Mousse - foam
Pâté - pasted
Roux - redhead(ed)
Sauté - jumped
Sautoir - "jumper"
Soufflé - blown
Velouté - velvety
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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joannerowling · 1 month ago
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Je sais pas si vous avez vu les dernières nouvelles sur le procès de Mazan, mais ce truc c'est vraiment le fond de l'abîme pour la gent masculine. Entre :
Pélicot lui-même (pas besoin de revenir sur le personnage je crois qu'on a fait le tour)
L'avocat de la défense qui tente de nous expliquer la différence entre le bon et le mauvais violeur ("Le mauvais, il voit un truc qui bouge, il bande…")
Le gang des somnophiles anonymes qui jurent tous sur la tête de leur mère qu'ils ont été dupés à l'insu de leur personne tel Richard Virenque
Celui qui pense que tout ça c'est un complot et que Gisèle Pélicot est dans le coup et faisait semblant de dormir parce que "regardez là entre la pipe et la sodomie elle a cligné!"
Le Grand Prix de l'Imaginaire qui affirme qu'il se rappelle de rien après avoir passer la porte et s'inquiète d'avoir été peut-être drogué lui aussi si ça se trouve??? :O
Le cinéphile qui raconte qu'il regardait des vidéos d'abus sur des mômes et des animaux pour "se cultiver"
J'en passe et des meilleurs, on a pas affaire au haut du panier ça c'est sûr
Mais c'était sans compter sur les témoins venus soutenir Gisèle ! Enfin, les héros arrivent !
Le témoignage de Pélicot frère: "Mon frangin il dit n'importe quoi, on a eu une enfance très heureuse, mon père c'était quelqu'un de bien ! Bon, il a un peu violé une enfant handicapée qu'on hébergeait, mais après? C'était les années 70!"
Mec qui a été contacté par Pélicot sur le site où il recrutait mais n'a pas donné suite : "Ben non, j'y suis pas allé, j'avais foot ce soir pis faut être con pour aller chez un inconnu qui t'invite texto à violer sa femme. Tous les violeurs ne sont pas cons- euhh, je veux dire, tous les mecs sont pas des violeurs!… Comment? Pourquoi j'ai pas appelé la police? Euh, je croyais que c'était une blague. Eh, oh, ça va, déjà je viole pas, n'en demandez pas trop bande de salopes."
Beh purée c'est qu'on en viendrait presque à comprendre comment certains en arrivent à vouloir se couper les burnes et porter des talons aiguille.
Edit: j'ai cassé tumblr avec mes gros mots je crois lol
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gerard-menjoui · 4 months ago
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Recherche de rp (discord ou forum)
Bonjour !
Comme le titre de ce post l'indique si bien, je suis en ce moment à la recherche d'un.e partenaire de rp pour un contexte bien spécifique (que je donnerai en pv) !
Quelques informations importantes:
Ce que je recherche: Quelqu'un qui connaisse un minimum le monde du tatouage (tatoué.e ou non) mais surtout quelqu'un qui ne romantise pas le métier. Quelqu'un qui sache/ait envie de jouer une femme (environ 27/28/29ans) dans un univers à 100% vie réelle
La plateforme: Discord OU forum (j'ai quelques idées de forums sympas)
Le type de rp: Ship à drama modéré, plutôt "slice of life", pas de guerres de gang ou de meurtres en série
Taille des réponses et style de rp: de 10 à 2 000 mots, venez comme vous êtes (j'ai un peu de mal avec la 1ère personne du singulier)
Présence de scènes +18 ? : Oui mais sans en abuser !
Mots clés: Slow burn / Des yeux comme une porte de prison / ennemies to lovers / hidden passion / terror made me cruel / dont bully me I'll cum / if a look could kill / an ice-melting smile / She's everything, he's just a pain in the ass
C'est la première fois que je fais ça donc je peux avoir oublié des trucs primordiaux... Hésitez pas à passer en pv pour plus d'infos ou juste à reblog pour un petit coup de pouce, même si ça ne vous intéresse pas ! ❤️
Merci d'avoir lu !
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yaya-tchoum · 9 months ago
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Marguerite Duras, La femme du Ganges 1974
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golden20s · 13 days ago
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[ SILVER SHADOW ] 💰
Dans les rues brumeuses de Chicago, le gang Silver Shadow tisse sa toile. Sous la direction de Jooey “Big Joo” Ricca, ce groupe énigmatique excelle dans l’art du blanchiment d’argent, des jeux de hasard et des maisons closes. Leurs entreprises légitimes, telles que des laveries et des restaurants, servent de paravents à leurs activités illicites. L’argent sale se transforme en or pur, glissant entre les doigts des autorités comme du sable fin.
Les nuits de Chicago vibrent au rythme des parties de poker clandestines et des paris sportifs illégaux, orchestrés avec une précision chirurgicale. Les murmures des joueur·ses et le cliquetis des jetons résonnent dans des lieux secrets, où la chance et le destin se croisent.
La maison close du Silver Shadow, véritables palais de volupté, accueillent une clientèle triée sur le volet. Les femmes et hommes y sont traité·es avec respect et protection, mais leur loyauté envers Big Joe est absolue.
Le gang tisse également des alliances avec d’autres groupes et des politicien·nes corrompu·es, cr��ant un réseau d’influence qui s’étend bien au-delà des ruelles sombres de la ville. Leur pouvoir est à la fois redouté et respecté. Malgré leur réputation de violence, le Silver Shadow se distingue par ses œuvres de charité dans les quartiers défavorisés, semant des graines de bienveillance parmi les habitant·es. Cette dualité entre ombre et lumière renforce leur emprise sur la ville.
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basilepesso · 7 months ago
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REM, Murmur and Carnival of Sorts, Live 1 983 (USA)
Absolument (le son du live 1 est moins bon que celui du 2).
Ca fait toujours bizarre de voir Stipe avec ses superbes cheveux...
Murmur est très particulier dans la discographie du groupe, production extrêmement nette et sans fioritures, avec une basse qui sonne magnifiquement et est très audible, quasiment comme dans Violent Femmes.
Mike Mills est probablement un des meilleurs bassistes des 80's, sinon plus. Son jeu au médiator est ce qui donne ce son, en plus de la marque de sa basse.
Comme le dit ce remarquable texte anglais de Decade 7787, l'histoire de la production du disque est intéressante puisque le groupe a cessé la collaboration avec le 1er producteur, jugé trop perfectionniste.
Basile Pesso, 13 avril 2 024 avec le double live (Fb)
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"On this date in 1983, R.E.M. released their debut studio album MURMUR, (April 12, 1983).
NOTE: The video here features RADIO FREE EUROPE from MURMUR and CARNIVAL OF SORTS (the third song on the band's 1982 debut EP Chronic Town)
40 years after its original release, MURMUR is still fascinating in its eerie sense of musical space.
Back in 1983, REM were most often compared to the Byrds, and thanks to Peter Buck's ringing guitar on songs like ‘Talk About The Passion’, ‘Catapult’, or ‘Sitting Still’, along with Michael Stipes' lead vocals over soaring harmonies, it was easy to see why.
But that was merely one influence, and a misleading one at that, because with no one source dominating, R.E.M. faintly recalled a host of mid-'60s L.A. bands from The Leaves to "underground” faves like Kaleidoscope, David Lindley's first band. R.E.M. might have thoroughly transformed their influences but the result sounded both familiar and wholly original.
Murmur's oddness was affecting because it wove itself around structures and riffs that sounded familiar – a strange system hum, for instance, winds itself up into the catchiest opener, RADIO FREE EUROPE.
In these efforts, Buck's guitar solos were capable of breaking through the mix and soaring, and any band that could come up with melodies this rich knew a thing or two about pop music.
The lyrics, however, were a flight of ideas from the mind of a meditative 23-year-old. Trying to unravel them, it still feels as though you're divining the deepest of riddles for meaning.
“Early sessions for the album with Stephen Hague, the synth-pop producer who later worked on New Order's True Faith, were quickly rejected, and American producers Mitch Easter and Don Dixon were brought in instead,” wrote Jude Rogers for Word in 2009.
“They seemed to understand that although REM had the rhythms of rock, the jangle of the Byrds and the raw grit of Gang Of Four in their belly, they also needed to create a sound-world of their own. Easter and Dixon brought in strange noises – bangs and bells — and recorded instruments at varying distances from the microphone, so you couldn't place where the ghostly figures were coming from.”
“At the album's centre point, like a pearl in an oyster, is a song that tells us as much about REM today as the REM that existed a quarter of a century ago. This is 'Perfect Circle', a masterpiece of simple melody and melancholy, and one of the few REM songs to be attributed mainly to the band's former drummer, Bill Berry, who also wrote most of 'Everybody Hurts'.”
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ascle · 8 months ago
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La lettre G
Gang
(Féminin, prononcée « gagne »)
Groupe d’amis, de collègues.
Garnotte
-> gravier, pierre concassée
-> lancer puissant
-> bague avec une grosse pierre
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(Ça c’est d’la grosse garnotte!)
Garocher
-> lancer, jeter
-> se précipiter
-> ne plus savoir où donner de la tête
Germaine
Personne autoritaire et contrôlante. Jeu de mot crée par la combinaison des mots « gérer » et « mener ».
Gnochon
Personne stupide, imbécile.
Gogosse / gugusse
Babiole, objet sans valeur
Gossant
Ennuyant, agaçant
Gosse
Testicule (aucun Québécois ne veut voir de photos de vos gosses.)
Gosser
-> tailler un morceau de bois avec un canif
-> exaspérer quelqu’un, l’ennuyer, l’embêter
Gougounes
🩴 sandale de plage
Goût
Certes ce mot sert à définir le sens du goût, mais s’utilise aussi dans le sens de « avoir envie de »
Exemple: j’ai le goût d’aller au cinéma
Grafigne
Égratignure, éraflure, blessure dans gravité
Gratteux
-> Personne avare
-> billet de loterie à gratter
Gravelle
Gravier, pierre concassée
Greyer
-> Équiper, munir de tout le matériel
-> s’habiller, se vêtir
-> (être greyé) femme: avoir de gros seins, homme: avoir un gros penis
Expressions
Grand fanal/grand Jack/grand slaque
Quelqu’un de grand et maigre.
Gras comme un voleur
Au sens propre il désigne quelqu’un ayant de l’embonpoint. Au sens figuré il désigne l’abondance.
Gras dur
Chanceux, heureux, bien
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porcom · 1 month ago
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The Bikeriders
youtube
"Dans un bar de la ville, Kathy, jeune femme au tempérament bien trempé, croise Benny, qui vient d'intégrer la bande de motards des Vandals, et tombe aussitôt sous son charme. À l'image du pays tout entier, le gang, dirigé par l'énigmatique Johnny, évolue peu à peu. Alors que les motards accueillaient tous ceux qui avaient du mal à trouver leur place dans la société, les Vandals deviennent une bande de voyous sans vergogne. Benny devra choisir entre Kathy et sa loyauté envers le gang."
👍 Aimé
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tina-aumont · 9 months ago
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Interview with Tina Aumont 3
Following that, in 66 there was “La Curé” by Roger Vadim, with Jane Fonda. Do you have good memories of it?
Very good. Christian Marquand, my husband at the time, was Roger Vadim's best friend, and I practically filmed with family. I haven't seen Vadim for a while, but we've kept in touch.
Still in 66, you played in “Texas across the River” by Michael Gordon.
Yes, it was quite unexpected. This is Alain Delon's first American film. I had tried out for the role of an Indian woman engaged to Delon. It's a western-comedy, a really good one, too, with Dean Martin. Hollywood filming, with the construction of a city in the middle of the desert. In there, I play the Colt! I gallop a little everywhere. I'm doing others in Italy. So, I later played Calamity-Jane in Luigi Bazzoni's Blu Gang in 1973.
In 67 we discovered you in “Troppo per Vivere, poco per morire...” by Michele Lupo.
Yes, I think it's a detective story. Apparently, it didn't impact me too much. I filmed in a version of Carmen by Prosper Merimée, entitled “Man, Pride, Vengeance” by Luigi Bazzoni with Klaus Kinski. A very beautiful film. Luigi Bazzoni made a career on his side. He had previously directed “La Femme du Lac”, a film with Virna Lisi. Another beautiful film, detective this one. He remained a friend.
Tina interviewed by Antoine Cervero in 2001. Published in January/June 2002 Cine Zine Zone number 134.
Very special thanks to @74paris for sharing this gem.
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aurevoirmonty · 4 months ago
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«Pas de difference entre un homme et une femme», les J.O. ne sont qu’un «gigantesque gang bang» LGBT
«Ils ne nous parlent que de leur démocratie, mais ils ont un absolu besoin, excusez-moi, de sexe en groupe», a lâché (https://rsport.ria.ru/20240722/rodnina-1961170410.html) Irina Rodnina, triple championne olympique en figure patinage et députée à la Douma.
Afin de maîtriser le narratif, Paris a refusé d’accréditer des journalistes russes de RIA Novosti.
En raison de «menaces d'espionnage et de cyberattaques», a prétexté Gérald Darmanin.
Les journalistes sportifs n'écriront pas du mal sur les compétitions olympiques», a rétorqué Rodnina.
Ils écriront juste sur le fait que, c’est une évidence, tout va mal dans l'organisation des Jeux et que personne n'y participe.
En Occident, «la vérité n’est pas nécessaire».
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starmaniamania · 11 months ago
Note
hellooo je suis arrivée sur ton blog après avoir vu le show à la Seine Musicale il n'y a pas longtemps, et être tombée dans un rabbithole Starmania lmao merci de nourrir la fandom niche sur tumblr! J'ai lu ton post sur le fait que tu trouvais la version de 2022 la plus optimiste et je suis d'accord sur ce qui est de faire exploser Zero Janvier, mais je suis pas sûre d'avoir vu la même chose pour ce qui est de la relation Johnny/Cristal! (1)
Justement j'ai été hyper choquée de la scène après l'interview, j'ai vraiment eu l'impression de voir Cristal se faire agresser sexuellement par l'ensemble du gang qui se jette sur elle, puis se faire traîner par Johnny contre son gré, pour ensuite lui prendre la main et tomber amoureuse de lui?? J'avais pas du tout l'impression que c'était consensuel & cette séquence m'a mise super mal à l'aise et m'a un peu gâché tous les autres numéros avec eux après (2) Mais après en écoutant/regardant la version 1979/1988, j'ai beaucoup plus été touchée par leur rencontre/coup de foudre, surtout avec Un enfant de la pollution originellement chantée par Johnny & le passage à la fin où Cristal dit qu'elle le comprend et qu'ils sont pas si différents finalement, et je comprends bcp plus leur connexion! (et puis ils se tournent autour, y a de la tendresse c'est un peu mims koi) Je ne sais pas ce que tu en penses?? Mercii (3)
Hello hello, merci ! :D Bienvenue !
Alors, c'est une grosse question comme souvent avec Starmania et qui n'a pas de réponse simple :p
Pour moi, dans Starmania, personnage n'est censé être tout bon ou tout méchant. Tous les persos ont leur part d'ombre plus ou moins prononcée. A la base, le personnage de Cristal est basé sur l'enlèvement de Patricia Hearst, le fait divers des 70s qui a popularisé l'idée (maintenant debunked, mais bon) du Syndrome de Stockholm. Patty Hearst a vécu des trucs horribles aux mains de ses kidnappeurs avant de se "ranger de leur côté." Evidemment c'est une idée hyper problématique, mais très courante dans la fiction : la femme qui tombe amoureuse du méchant qui l'a violentée parce qu'en vrai elle était pas vraiment contre. (Après de manière générale l'oeuvre est traversée de trucs limites sur le thème du fantasme de viol en particulier, cf Stella. Venant de 2 créateurs homme ça me fait toujours un peu tiquer, c'est pour ça que je suis pas du tout mécontente qu'on ait évacué "Sex Shops," mais c'est une autre histoire.)
Donc l'origine de l'histoire de Cristal et Johnny, c'est ça - c'est pas censé être consensuel au début, et je comprends que ça puisse refroidir parce que de nos jours ça détonne vraiment.
(Ca va être long donc je coupe :p)
Après, les différentes versions de Starmania ont toutes interprété l'histoire un peu comme elles voulaient/pouvaient en accentuant certains aspects par rapport à d'autres.
En 79, Michel Berger était assez réticent aux idées les plus cash de Plamondon (comme le fait que Sadia puisse vraiment être un homme travesti), et France Gall refusait de "salir" son image familiale pour ne pas choquer son public (par exemple elle refusait de brandir une arme sur scène.) Du coup, est-ce que ce qu'ils ont fait en 79 est vraiment ce qu'ils voulaient, ou juste ce qui a été faisable vu les circonstances ? Comme on a pas la trace complète du spectacle, on ne sait pas vraiment comment ces séquences étaient mises en scène. En plus, j'ai l'impression que l'image positive et "good guys" de France Gall et Balavoine a un peu effacé les aspects les plus edgy du show (on voit bcp de gens qui disent qu'ils sont fans de Starmania depuis les 70s qui ont l'impression de découvrir le message politique ou la violence des actions des Etoiles Noires en 2022 et se demandent même si ça a été rajouté pour moderniser l'oeuvre - version positive - ou par "wokisme" - version débile.)
[AH OUI et j'ai oublié un truc: "Enfant de la pollution" chanté par Johnny, c'était censé être une réponse ironique à ses questions ! Faut le comprendre, hein... lol]
En 88, le but de Plamondon et Berger était de rendre l'histoire claire et simple à comprendre en 1h30, de faire quelque chose "qui se regarde comme un film" (citation directe de Plamondon). Et du coup, pour moi, ça se traduit par une (sur)simplification de l'intrigue, une (sur)explicitation des motivations des personnages, et le fait d'avoir mis "l'histoire d'amour" de Johnny et Cristal, un peu aseptisée, au centre de l'intrigue, comme dans un film hollywoodien. Par exemple, l'apparition (en tous cas en France, je sais pas si elle était dans les versions québecoises intermédiaires) de la reprise de "Monopolis" en duo. Confession : j'aime pas du tout ce moment 😅 Justement je trouve que ça donne un côté eau de rose qui ne va pas avec le contexte général de l'oeuvre, ça m'ennuie, enfin y'a rien qui va pour moi.
Dans les années 90/2000, ils sont partis dans l'autre sens. Lewis Furey a accentué l'aspect sexuel des relations entre les persos (dès la rencontre de Sadia et Johnny ils se foutent littéralement la main au paquet) et le côté hyper glauque de l'enlèvement. Cristal est littéralement attachée les jambes écartées pendant que Johnny la caresse en chantant "j'ai toujours rêvé de rencontrer un ange" et elle répond "on se ressemble bien plus..." à moitié en pleurant, genre elle lui dit ce qu'il veut entendre pour qu'il lui fasse pas + de mal... BEURK.
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Du coup, pour moi, 2022 c'est un peu la synthèse de tout ce passif. Ils ont fait le choix de rendre les Etoiles Noires menaçantes pour de vrai (et pas juste de laisser la possibilité au public de penser que toutes leurs exactions sont de la propagande des médias, bien que évidemment cet aspect là est présent aussi dans un show qui parle autant de manipulation médiatique.) Pour moi, "Quand on arrive en ville" avec Johnny qui bute des gens de manière aussi théâtrale, c'est le raccourci narratif qui évite d'avoir 15 JT qui énumèrent leurs actions comme en 79 (ils ont attaqué un péage, ils ont fait sauter une banque, ils ont fait ci et ça etc etc.) Ca nous rappelle bien, au cas où on avait gardé l'idée de Balavoine un peu nounours en tête, que Johnny c'est pas juste un gentil mec de gauche mais qui est rejeté par la méchante société sans aucune raison. Personne n'est gentil dans Starmania. C'est nécessaire d'appuyer cet aspect violent, parce que ça rend son évolution d'autant plus marquante.
Par contre, effectivement pour la rencontre, Cristal se fait bousculer en arrivant, et ça a parfois un aspect sexuel (une main glissée sous la jupe, en général, mais sinon ça reste + soft je crois, genre ils lui touchent les cheveux ou la reniflent.) Par contre le coup de foudre me semble réel. Au départ, le Johnny désabusé et nihiliste de "Quand on arrive" s'amuse clairement avec Cristal et laisse les Etoiles Noires la chahuter, mais rapidement il commence à vasciller entre jouer au dur avec elle et la protéger des Etoiles Noires. Pour moi, à partir du moment où ils quittent la scène, ils sont en fuite ensemble. Elle trébuche, il revient en arrière pour la relever, il lui ouvre la porte... Tous ces petits gestes d'attention me font penser qu'il a vraiment changé d'attitude.
Et toute la partie de la fuite qui est super stylisée (genre au début ils sont clairement dans les coulisses d'une salle de spectacle, ils utilisent les fly cases, ensuite la voiture part vers le ciel, à la fin ils sont "dans les étoiles" pendant la partie "Coup de foudre" etc.) pour moi c'est une ellipse narrative. La convention théâtrale nous fait avaler que 2 persos qui viennent de croiser le regard l'un de l'autre peuvent tomber fous amoureux en 2 secondes, mais ce passage là pour moi, il se déroule sur un temps plus long. C'est Johnny et Cristal qui s'enfuient ensemble et qui apprennent à se connaître, pas juste sur les 4 min de Banlieue Nord mais sur la période dont parle Marie-Jeanne dans son interlude suivant, quand elle dit que ça fait 1 mois qu'on a pas de nouvelles de Johnny et Cristal. A ce stade, je peux totalement croire que leur amour est sincère même si les débuts ont été chaotiques et pas toujours 100% réglo du point de vue du consentement.
BREF, tout ça pour dire que je comprends bien que ça puisse être gênant car c'est une intrigue qui cherche à nous faire nous poser des questions sur nos propres limites. Qui est-ce qu'on veut ou peut aimer dans cette histoire ? Pourquoi ? Qu'est ce qu'on est prêts à excuser ? Par exemple moi je suis 100% ok avec les meurtres au parpaing mais je suis intimement convaincue que Johnny n'est pas vraiment un violeur et que cette réplique LA en particulier est donc une exagération des médias 💁‍♀️ Mais c'est un arrangement que je fais avec l'histoire, ses origines douteuses, son arc narratif bizarre, incomplet et désorganisé, et ma propre conscience :p
Voilà, bon je sais pas si j'ai répondu à ta question au final 😅 mais n'hésite pas si tu as une vision différente des choses !
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a-room-of-my-own · 1 year ago
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Ruben Rabinovitch, psychologue et psychanalyste, a reçu dans son cabinet des jeunes qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (pour braquage, violence, viol…). Il tente de percer à jour, avec les outils de la psychologie, les ressorts de la violence.
Le manteau de destructions et de pillages qui a recouvert la France ces dernières semaines a produit un effet de sidération sur la société et l’a laissée en état de choc. Le choc est un état provoqué par la surprise, mais à combien de reprises peut-on être successivement surpris par le même phénomène ? Le traumatisme actuel réside plutôt dans l’impossibilité de continuer à ignorer ce que l’on savait déjà.
Chacun cherche alors des explications comme naguère les sourciers l’eau souterraine à l’aide de leur baguette : la précarité, le manque d’autorité, le racisme, l’absence des pères, les violences policières, l’échec de l’intégration, le capitalisme, le gauchisme, etc. De bonnes causes bien grasses et bien empaquetées qui doivent permettre de prolonger le déni encore un peu.
DEUX YEUX : UN D’AMOUR ET UN DE HAINE
« Pour voir une chose entièrement, écrivait Nietzsche dans Humain, trop humain, il faut avoir deux yeux : un d’amour et un de haine. » La jouissance de détruire n’a pas de cause, mais des occasions dont elle profite. Les êtres humains sont tous frères, certes. Mais ils ne le sont pas moins par la fraternité que par le fratricide.
Ce que j’ai pu apprendre du fonctionnement psychique de ces meutes ultra-violentes, de leurs caves et de leurs clans, de leur jouissance et sa destructivité, de leur organisation familiale et de leurs fantasmes inconscients, je le dois à ma rencontre avec ces individus eux-mêmes, à leurs enfants, aux mères de leurs enfants, et à certaines de leurs sœurs qui les ont fuis comme elles l’ont pu, quand elles l’ont pu, dès qu’elles l’ont pu.
Durant mes premières années d’exercice, je recevais à mon cabinet de psychanalyste des jeunes gens qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (braqueurs, tabasseurs, violeurs). Ils ne venaient pas faire une analyse, ils n’en avaient ni l’envie ni les capacités psychiques. Ils venaient récupérer un courrier tamponné de ma main attestant de leur suivi psychologique exigé par le juge comme preuve de leur bonne volonté à se réinsérer. Contre ce précieux sésame, il leur fallait bien me parler un peu. J’ai également reçu, cette fois à leur propre initiative, des réchappées, exclusivement des femmes. Elles avaient grandi auprès d’eux et malgré eux, s’étaient débrouillées pour obtenir les diplômes qu’elles pouvaient et, dès leurs premiers salaires, avaient cessé d’espérer et quitté les « quartiers » pour pouvoir commencer à vivre.
L'ABSENCE DES PÈRES ?
J’ai reçu enfin, adressés par un généraliste d’Aubervilliers, des enfants, des femmes et des ex-femmes des membres de ces groupes ultra-violents. Le premier petit garçon que j’ai reçu devait avoir sept ans. La mère avait amené son fils parce qu’au retour d’un moment avec son père, l’enfant s’était mis à flamber d’hallucinations plus terribles encore qu’à l’habitude. Il faut dire que le père, parti des années auparavant et qui n’en continuait pas moins à terroriser la mère, avait emmené son fils le week-end précédent chez un imam de cave d’immeuble qui avait pratiqué sur l’enfant un effrayant rituel d’exorcisme. Car au risque de gâcher l’enthousiasme actuel, l’absence des pères dans les « quartiers » est souvent moins délétère que leur présence.
Voici, en vrac, quelques constatations que j’ai pu faire depuis le poste d’observation qui est le mien.
La première chose que je puis dire c’est que penser que la pauvreté engendre la violence est une considération de bourgeois. La bourgeoisie se flatte en supposant chez ceux qui ne bénéficient pas des mêmes conditions matérielles qu’elle une détresse qui pousserait légitimement à tous les crimes. La pauvreté aggrave bien des situations, à n’en pas douter, mais elle n’en est pas à l’origine, jamais. Les enjeux de la violence sont plus complexes, plus profonds, plus inquiétants aussi. Rappelons au passage ce que Baldassare Castiglione, écrivain et diplomate italien de la Renaissance, avait consigné dans son Livre du courtisan : « En pardonnant trop à qui a failli, on fait injustice à qui n’a pas failli. »
VIOLENCE
La seconde chose est que les enfants que j’ai pu voir n’étaient pas nécessairement tous battus mais que tous étaient des enfants qui avaient vu leur mère prendre des coups. La violence envers les femmes est pour ainsi dire consubstantielle à la mentalité de ces meutes ultra-violentes. C’est même une condition d’appartenance et de reconnaissance entre pairs. Précisons tout de même que par violence, on ne désigne pas ici celle des « stéréotypes de genre » mais bien celle des insultes, des menaces et des coups. Des menaces qui en restent rarement au stade de la menace et des coups qui sont parfois mortels.
Les pères ensuite, venons-y donc. Ils ne sont pas si absents qu’on veut bien le dire. Les enjeux sont autres. Les pères n’ont souvent pas souhaité l'être. Ils voulaient des relations sexuelles et refusaient de mettre des préservatifs parce que leur plaisir doit toujours l’emporter sur toute autre conséquence. Il leur arrive certes d’être absents, mais il leur arrive plus souvent encore de faire de leurs enfants les complices de leurs activités illégales. Un certain nombre ne s’identifie pas psychiquement comme des pères pour leur fils mais perversement comme les grands frères caïds de leurs petits frères apprentis caïds. Je me souviens d’un autre petit garçon dont le père avait volé devant lui à d’autres enfants leurs jouets pour les lui offrir. Le petit garçon lui avait répondu interdit : « Mais c’est à mon copain ? » En l’insultant, le père lui avait répondu que ce n’était plus à son copain puisqu’il venait de le lui prendre et avait cassé le jouet devant son fils pour ne pas avoir pris immédiatement part à son association de malfaiteurs.
Le petit garçon avait bien reçu le message : à l’avenir, il aurait le choix entre être le complice ou la victime de son père. Les pères ne désirent pas que leurs fils s’en sortent et dévient du chemin de la brutalité et du gangstérisme qui est le leur. À l’inverse, toute émancipation de leur progéniture serait vécue comme un désaveu personnel et une offense faite au groupe auquel ils appartiennent. Ce n’est pas que « l’ascenseur républicain » soit « en panne » mais que l’école, méprisée et haïe, n’est pas un lieu par lequel leurs enfants pourraient s’émanciper, mais l’enclave insupportable d’un clan rival sur leur territoire : le clan de l’État. L’organisation familiale de ceux dont l’impulsivité n’a aucune barrière est montée psychiquement sur le modèle du clan et non sur celui de la famille nucléaire (papa, maman et les bambins). Ne pas prendre la mesure de la différence entre ces univers mentaux serait jeter la discipline anthropologique et le legs de Maurice Godelier aux ordures.
LE GHETTO ET LE CLAN
Ces meutes ne sont pas composées de communautés rassemblant des individus mais de clans dont les membres forment un même corps, un même organisme. Le clan est travaillé par des fantasmes de fusion. Dès lors, comme l’a lumineusement décrit le psychiatre Maurice Berger, ceux qui en font partie ne sont pas libres de s’éloigner physiquement, géographiquement ou intellectuellement. Toute séparation serait vécue pour le membre comme pour le clan lui-même comme une amputation intolérable et une trahison insupportable. J’ai entendu une patiente raconter comment, dans « sa » cité, un jeune homme avait été laissé pour mort par un gang d’une autre cité parce qu’il entretenait une liaison avec une fille de chez eux, une fille à eux. De cela, il faut bien en déduire qu’il ne s’agit pas de « ghettoïsation », mais de séquestration. Dans un ghetto, on est enfermé de l’extérieur. Dans un clan, on est séquestré de l’intérieur.
Cela permet de rendre un peu plus lisible les phénomènes auxquels nous avons récemment assisté. Tout détruire et nuire aveuglément à ceux qui n’ont pas commis de crime ne peut être considéré comme une faute morale que si chaque individu est tenu pour l’unique responsable de ses actes. Puisqu’il n’y a pas d’individus dans la mentalité de ces meutes, ce qui est fait au membre d’un clan est fait à l’ensemble du clan. Réciproquement, ce qui est fait par le membre d’un autre clan (gang rival d’une autre cité, forces de l’ordre, État) l’autre clan en est tout entier responsable, sans discrimination. La haine de la police est une haine a priori et non une haine a posteriori. Ajoutons à cela que la perte d’un de leurs membres n’est pas vécu sous la modalité du deuil, du chagrin et de la tristesse mais sous la modalité de la haine, de la colère et de la vengeance. Ces clans ne sont pas structurés autour de la culpabilité, mais autour de l’honneur et de l’humiliation.
On dit de ces destructions et de ces pillages qu’ils ne sont pas politiques, parce qu’on n’y voit pas de banderoles peinturlurées de revendications sociales. Ces émeutes sont pourtant éminemment politiques. Les gangs ultra-violents savent très bien ce qu’est la République, son modèle d’organisation sociale, son projet et sa substance. Sans doute même mieux que le camp républicain lui-même, empêtré dans sa tétanie, sa lâcheté et son hébétude. Ils ont d’ailleurs très bien su identifier tous les symboles et les postes avancés de la République puisqu’ils ont brûlé ceux qui se trouvaient sur leur territoire à eux. L’école, le commissariat, le centre des impôts, la mairie, les policiers et la famille du maire : tout cela est ou appartient au clan d’en face qui a tué un des leurs.
Les « solutions », comme on dit, sont aussi simples qu’irreprésentables actuellement. Car ces gangs ne sont pas forts, ils sont seulement ultra-violents. Ils n’ont de puissance que celle qui leur est concédée et de pouvoir de nuisance que celui que la République jouit d’essuyer. Ces gangs ne sont pas la cause mais le symptôme de la désintégration républicaine. Pourtant, le pessimisme est un luxe que nous ne pouvons pas nous offrir. Le philosophe russe Nicolas Berdiaev écrivait dans un article paru en 1936 : « La liberté n’est pas un droit, c’est un devoir. »
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lepartidelamort · 7 months ago
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La nouvelle porte-parole de l’Ukraine est une mulâtresse numérique
 Rencontrez Victoria Shi – une représentante numérique du MAE d’Ukraine, créée à l’aide de l’IA pour fournir des mises à jour opportunes sur les affaires consulaires !
Pour la première fois dans l’histoire, le MAE d’Ukraine a présenté un personnage numérique qui commentera officiellement pour les médias.
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Qu’est-ce que le juif Zelensky sous-entend par là ?
TF1 :
C’est une déclaration pour le moins surprenante que vient d’effectuer le ministère ukrainien des Affaires étrangères. Il a en effet annoncé ce mercredi qu’une porte-parole générée par l’intelligence artificielle (IA) serait désormais chargée de commenter les affaires consulaires. Elle se chargera de lire des textes qui resteront au préalable rédigés par des humains. « Pour la première fois de l’Histoire, le ministère ukrainien des Affaires étrangères a créé une personnalité numérique utilisant des technologies d’intelligence artificielle pour commenter officiellement les informations consulaires destinées aux médias », a déclaré l’institution.
L’avatar qui a vu le jour a été dénommé Victoria Shi, un prénom qui évoque la « victoire » de son pays dans la guerre contre l’invasion russe et un nom de famille qui veut tout simplement dire « IA » en ukrainien. « Je suis une personne numérique. Cela signifie que le texte que vous entendez n’a pas été lu par une vraie personne. Cela a été créé par l’intelligence artificielle », a déclaré dans sa première vidéo la nouvelle porte-parole, sous les traits d’une jeune femme métisse.
La belle victoire de la démocratie métisse de marché, c’est en effet tout l’enjeu de la guerre de BlackRock au monde slave.
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Si vous voulez une image de l’avenir, imaginez une métisse négroïde piétinant un visage humain – pour toujours.
Les juifs ont été un peu espiègles, ils n’en ont pas informé les droitardés qui font la promotion de l’état factice ukrainien depuis 2022.
Remarquez, ils sont tellement attardés qu’ils auraient quand même soutenu cette guerre à la Russie.
L’apparence de Victoria Shi ne sera pas totalement étrangère aux citoyens ukrainiens, puisqu’elle est inspirée de celle d’une chanteuse et influenceuse ukrainienne. Celle-ci se nomme Rosalie Nombre : née à Donetsk, elle a participé à l’édition ukrainienne de l’émission de téléréalité « The Bachelor ».
Voilà qui est rassurant.
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Je l’ai déjà dit, mais il vaut mieux le redire : la seule façon pour l’Ukraine de conserver un semblant de ses caractéristiques ethniques est une victoire de la Russie. Rien d’autre.
L’alternative, c’est l’application du traitement démocratique à l’Ukraine dépeuplée, similaire à celui infligé à toutes les nations qui se trouvent déjà sous la botte judéo-américaine : l’immigration de remplacement et la démocratie multiraciale à perpétuité.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, avant la victoire des juifs en 1945, toutes les capitales du monde occidental étaient blanches.
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Ces juifs préparent le terrain en mettant en scène le « nouveau visage » de l’Ukraine démocratisée et, étonnamment, elle a les traits d’une mulâtresse random de New York, Londres ou Paris.
Cela rend d’autant plus cruelle, et franchement grotesque, la mort pour l’Ukraine zelenskiste de tous ces hooligans depuis 2022. Surtout sous les ordres d’un juif, ce qui n’a visiblement jamais troublé leurs consciences.
Hélas, les hooligans ne sont pas connus pour avoir de solides connaissances historiques, politiques ou théoriques.
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Si l’Ukraine gagnait, ce qui aujourd’hui est heureusement devenu impossible, la « reconstruction » du pays par la finance juive impliquerait l’importation à grande échelle de toutes les races de boue possibles et imaginables.
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Les cadavres des derniers hommes ukrainiens n’auraient pas fini de pourrir en terre, que des bandes de chieurs de rue importées d’Inde ou du Pakistan seraient établies partout tandis que des gangs de nigérians superviseraient la traite de leurs filles survivantes dans les bordels du pays, bordels sur lesquels les juifs prélèveraient leurs parts, bien entendu.
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Mykola était un brave goy
Il est à espérer que les Russes attrapent vivant Zelensky, car ce juif doit répondre à de très nombreuses questions avant d’être humilié rituellement et châtié.
Démocratie Participative
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ekman · 1 year ago
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Finalement, c’est une opération très réussie pour les enfants d’Abraham. Certes, il y a eu ce triste et terrible carnage qui fut la fin et le début de cette épopée. Qui pourrait-il réjouir, hormis une partie de ses auteurs, leurs commanditaires sans doute, et quelques dizaines de milliers d’exilés, spoliés, chassés, séparés, oubliés ? Non, pas oubliés. Pas oubliés de l’islam en armes qui a trouvé en eux un formidable véhicule à la détestation de tout et de tous. Les enturbanés fanatiques ont reçu en cadeau de leurs ennemis jurés un peuple martyr prêt à verser dans le fossé de la haine absolue, totale, sans retour. Bravo les gars. Belle opération, à la hauteur de vos multiples créations... Les gangs d’assassins islamo-prohétiques, payés, armés, formés et motivés par vos soins, via les habituels sous-traitants – appelés “proxys” ces derniers temps.
Bien utiles, ces désespérés qui n’ont plus rien, et moins encore grâce à la corruption de leurs édiles laïcs et modérés, baratineurs et pourris jusqu’à la moelle. À eux les villas somptueuses, à vous la poussière des désespérés. Au final, qui vous donne du pain, fait l’école coranique à vos enfants, forme vos garçons au maniement des cailloux et vous promet une parfaite vengeance ? Les élus de Dieu sur la voie de cet islam qui vous apporte l’espérance d’une Palestine libre et reconquise, en plus d’un toit, d’une gazinière et d’un coran. Il suffit juste de laisser votre aîné de quinze ans devenir un martyr du djihad.
De l’autre côté, une question sans réponse sensée s’impose. Comment l’Occident ose-t-il signer un blanc-seing à un gouvernement qui prétend défendre des valeurs éventées en déclarant à la face du monde qu’il engage “une guerre de la Lumière sur les Ténèbres” ? Que son but ultime est d’éradiquer le Mal ? Empêtré dans ses références bibliques à la con, l’exécutif israélien entame une course effreinée vers le chaos absolu, assumant enfin le costume du bourreau dans une sorte de Shoah à l’envers, “parce que Dieu nous a choisis et que nous sommes les seuls”, persifflent les rabins les plus abrutis.
De fait, hélas, le monde ne peut se gérer que par le chaos parce qu’il est lui-même le fruit du chaos, son expression la plus aboutie. Rien de pérenne dans le monde humain. Nul sentiment noble, aucun concept lumineux, aucune intelligence rationnelle ne survivront jamais au rêve prométhéen d’un homme qui se ressent l’égal de Dieu. Sur les chemins éclaboussés de lumière noire, le voilà qui baigne sa pauvre vie dans les ruisseaux répugnants, vomit son narcissisme sur les statues sacrées, engendre sa bestialité en forçant le ventre des femmes effacées.
Le Dieu des Juifs et des Chrétiens est descendu sur Terre pour y semer un désordre inouï, jurant qu’il était ici chez lui. Quelque part au firmament, loin derrière l’horizon, les Dieux qui savaient si bien parler aux hommes, les élever et se jouer d’eux, les frotter aux vents, les griser de parfums puis les abandonner à leurs vaines passions, rient tristement à l’écho de ce disgrâcieux capharnaüm.
J.-M. M.
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basilepessoart · 4 months ago
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Areuuuh
Plus vous organisez la venue massive, incontrôlée, d'individus mâles néfastes, violents, idiots et pauvres (ce qui n'est pas un défaut mais malheureusement un critère de facilitation de la violence) dans les pays dits d'"accueil", plus vous créez de haine des populations hôtes non seulement envers les barbares, mais envers leurs ethnies, pays d'origine, religions.
Le gauchiste ou néo-gauchiste, englué dans sa bêtise, ne comprend rien à ce mécanisme, ni à son corollaire, qui est : faites venir la crème et vous obtiendrez l'amitié entre les peuples autant que faire se peut, et la baisse des racismes. Il n'y a probablement pas que la bêtise mais des mécanismes et corruptions que j'ai déjà explicités, dont le "syndrome Mère Teresa", celui du sauveur, et la dilection inconsciente du gauchiste vers le naze, le bancal, qui ressemble à son propre "enfant intérieur âbimé", celui qu'il n'a jamais regardé consciemment et que parfois des décennies de psychanalyse ruineuse ne lui ont pas fait analyser correctement. Je le dis depuis 6 ans : plus les peuples sont malheureux, moins les individus se connaissent eux-mêmes, et plus et le Capital et les tireurs de ficelles d'autre nature comme le gang sorosien utilisent leur fibre Mère Teresa, par des consortiums propagandaires calculés, notamment par l'utilisation des femmes et des enfants en situation de détresse, par exemple en mer. Basile Pesso, Land of Somewhere, 16 juillet 2 024 Deep Purple, Child in Time
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