#la cigale et la fourmi
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TRICK OR TREAT RAYA!
TREAT!! In exchange for that cicada you gave me, you get a whole-ass fable by Jean de la Fontaine, La Cigale et la Fourmi (The Cicada and the Ant), which I learned in grade 5 French class:
La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue: Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Août, foi d'animal, Intérêt et principal. » La Fourmi n'est pas prêteuse : C'est là son moindre défaut. « Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. — Nuit et jour à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. — Vous chantiez ? J’en suis fort aise. Eh bien ! Dansez maintenant. »
Translation by Yours Truly:
The Cicada, having sung All summer long, Found herself highly destitute When the cold wind had come: Not a single little piece Of fly or worm. She went to cry for food To her neighbor, the Ant, Begging her to lend her Some grain to subsist Until the new season. "I will pay you," she told her, "Before August, on animal oath, Interest and principal." The Ant is not a lender: There is the least of her flaws. "What were you doing during the warm weather?" She said to this borrower. "Night and day, to all who came, I sang, so please you.: "You sang? This greatly pleases me. Well, why don't you dance, now."
Happy Halloween!!
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#friedemann bach#traugott müller#1941#gustaf gründgens#camilla horn#leny marenbach#lotte koch#gustav knuth#wolfgang staudte#der alte und der junge könig#friedrich schiller#die räuber#maria stuart#bach#leipzig#frühlingssinfonie#kinski paganini#la cigale et la fourmi
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Fables et fabulistes : La cigale et la fourmi de Jean de la Fontaine lecture par Sab en live
La Cigale, ayant chantéTout l’été,Se trouva fort dépourvueQuand la bise fut venue.Pas un seul petit morceauDe mouche ou de vermisseau (1).Elle alla crier famineChez la Fourmi sa voisine,La priant de lui prêterQuelque grain pour subsisterJusqu’à la saison nouvelle.Je vous paierai, lui dit-elle,Avant l’août (2), foi d’animal,Intérêt et principal.La Fourmi n’est pas prêteuse ;C’est là son moindre…
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plus petit artiste que j'écoute? la cigale de la cigale et la fourmi
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5 juillet 2024
J’ai passé trois jours dans la maison de famille d’un copain pas loin de Montpellier. Il m’avait proposé de venir pour voir la mer, sachant que je bassine tout le monde avec ça. Le premier jour, il est venu me chercher à mon appartement en voiture. J’avais le cafard, mais en même temps tellement hâte de voir le bleu à perte de vue que c’est passé inaperçu je pense. Sur la route, j’ai bu une bière et on a écouté de la musique. Je me suis sentie vraiment en vacances quand je regardais par la fenêtre le paysage défiler pendant qu’il me rappelait le programme. En arrivant, on a pris des pizzas qu’on a mangées au bord de la piscine puis après, on s’est baignés avant qu’il fasse totalement nuit. J’ai joué avec ma machine à bulles puis j’ai laissé les fourmis me grimper dessus. On s’est baladés et il m’a fait visiter son village - en même temps, on jouait à Pokémon Go, c’était sympa - en me racontant des trucs. Les étoiles se voyaient beaucoup car là-bas, ce n’est pas très pollué et avec le bruit des cigales c’était très beau.
Le lendemain, on est allés à la mer ! On a retrouvé un copain à lui et son amie puis on a mangé au restaurant en bord de plage. Ça me fait bizarre car le type travaille et gagne pas mal d’argent alors qu’il a notre âge, sa pote aussi. Elle nous a même proposé de passer quelques jours dans une « villa » mais perso, je ne pouvais pas, je devais aller garder ma grand-mère à Paris. Bref, ils sont partis et on s’est baignés. Allongée sur le sable, j’ai réalisé qu’avec lui à ce moment-là, face à la mer, il y avait une douceur qui m’enveloppait et c’était beau. Aussi, il a le don de me faire sentir jolie alors que je ne m’aime pas, c’est apaisant.
J’avais pris mon journal alors je l’ai dessiné puis j’ai cherché avec lui des coquillages et des plumes après avoir mangé une glace. C’était marrant, c’était un peu comme une chasse au trésor. Il m’a même ramené une plume de mouette ! Ça m’a fait très plaisir car les mouettes, c’est mes oiseaux préférés : elles me rendent nostalgique de mes vacances en Normandie tous les étés quand j’étais petite, le seul moment de l’année où je voyais la mer. À un moment, il m’a fait la remarque qu’on dirait une enfant quand je suis à la plage et c’est vrai. Je me sens toute petite et émerveillée pour un rien là-bas, j’ai l’impression de rattraper une jeunesse qui m’a été arrachée. Mais je crois que me voir contente comme ça, ça l’a rendu heureux de m’avoir invitée.
Le soir, on a fait une petite soirée en jouant à des jeux d’alcool, c’était sympa mais j’étais crevée. Le lendemain, avant de prendre la route, j’ai cueilli une fleur dans son jardin pour mettre dans mon journal.
C’était un petit voyage qui m’a guérie un peu du mal-être qui, jusque-là, grandissait en moi.
Dans pas longtemps, il m’a invité avec un groupe de copains à aller dans une maison dans les Cévennes quelques jours : j’ai dit oui évidemment.
Ps: Le dernier jour on s’est baladés. Je me suis allongé sur un banc au point de vue où il m’a emmené. J’ai mis de la musique et on a regardé le ciel. Il m’a dit qu’il voyait un truc — je ne sais plus trop quoi — dans les nuages et, sur le coup, je ne voyais rien. Plus tard, en rentrant, j’ai regardé la photo que j’avais prise de la vue et j’ai dessiné un monstre mi-autruche, mi-je-ne-sais-quoi qui m’apparaissait dans le ciel.
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Le Portrait Chinois de Jared
Why so serious ?
Nature
S'il était une saison ? Automne
S'il était un animal ? Lynx
S'il était un élément ? Terre
S'il était une pierre précieuse ? Onyx
S'il était un végétal ? Un bonzaï
S'il était un paysage ? Un café devant une librairie
Sens
S'il était une couleur ? Beige
S'il était un son ? Let it be, The Beatles
S'il était une odeur ? Odeur de sapin
S’il était une matière ? Le granit
Quotidien
S'il était un objet ? Un marque-page
S'il était une boisson ? Eau pétillante, rondelle de citron.
S’il était un moment de la journée ? Juste avant l’aurore
S’il était un vêtement ? Un cardigan
S’il était un aliment ? Des crudités
Caractère
S’il était un défaut ? Suffisance
S’il était une qualité ? Pondération
S’il était une mauvaise habitude ? Juger autrui
S’il était un sentiment ? Lassitude
Imaginaire
S’il était un livre ? L'Apologie de Socrate, Platon
S’il était un conte ? La Cigale et la Fourmi
S’il était une créature fantastique ? Druide
S’il était un personnage de Disney ? John (Peter Pan)
S’il était un film ? Le Cercle des Poètes Disparus
#écriture#nos fics#writers on tumblr#aesthetic#fiction#spotify#books & libraries#the beatles#let it be#john lennon#Cast des Parasites#portrait chinois#dead poets society#peter pan#disney#beige#wattpad#moodboard#Spotify
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La Nature ne pense qu’à ça ! – Concours littéraire
Félicitations à tous les participants !
La 12e édition du concours de nouvelles du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse a connu un beau succès ! Le Muséum a, en effet, enregistré à la clôture des participations, le mardi 2 janvier 2024, près de 150 contributions en provenance de la France métropolitaine, mais pas seulement. Une sélection de jolie facture qui continue de s’ouvrir à l’international en transitant par des pays tels que la Belgique, le Cameroun, l’Italie, le Québec ou la Suisse !
Un grand bravo aux lauréats !
Le jury s’est réuni le jeudi 11 avril 2024 afin de tenir sa délibération désignant les 6 lauréats auxquels s’ajoute un Prix spécial du jury. La sélection a été âpre et les débats animés !
Mais c’est sans compter sur le professionnalisme du jury, heureux d’annoncer les résultats suivants, dans les 2 catégories adulte et jeunesse :
1. Palmarès dans la catégorie auteurs adultes :
1er prix : « À l’abordage» de Gérard BASTIDE (81240)
2e prix : « Un si bel endroit » de Pierre-André MARTIN (14000)
3e prix : « Le goût du blanc » de Philippe FRÉMONT (31400)
Les 19 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie adultes étaient : “L'été sans cigale" de Zoé AUBRY (24000), "Ah ! Le bonheur" de Chloé BAHUAUD (44000), "Transes-positions" de Jean-Pierre BEAUFILS (30250), "Romance anti-cafard" de Marlène BERTRANINE (92600), "Beaux et fragiles" de Sébastien BOULADE (31400), "L'échappée belle" d'Emmanuel BROC (32600), "L'homme d'en face" de Marie-Christine DELAUCHE (75005), "Je suis la Vouivre et je le resterai" de Sabine GENTY (11420), "Mille millions de Figaro" de Thomas GHIBAUDO (13580), "La Trompette des anges" de Jocelyn HÉRITIER (07400), "Ondine" de Jacques LAGNEAUX (Belgique), "De rerum natura" de Raphaël LE MAUVE (17000), "L'Homme de la montagne d'en haut" de Jean-Luc MERCIER (66160), "Jean-Calude Gasoil ne pense qu'à ça" de Monique NICQUE (34110), "Prendre son pied par les cornes" de Pierre POISSON (81000), "Tchechihila" de Nathalie QUQUE (31140), "Sex machine" de Chantal REY (82000), "Thisbé et Pyrame, les amants légendaires" d'Anne-Marie RICHOU (31770), "Les escarpins" d'Anne RODES (93100).
2. Palmarès dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans :
1er prix : « Dead Flowers » de Louise CONFAIS (31560)
2e prix : « Marrante l’amante » de Marius SANTRAN (33800)
3e prix : « Un amoureux transi » d’Abel PAPAIX (31410)
Les 3 autres nouvelles pré-sélectionnées dans la catégorie auteurs de moins de 18 ans étaient : "Les Pasiphaés" de Juliette GORIAUD (31460), " Au fil des fourmis" de Maïa HELFER (Suisse) et "Félin pour l'autre" de Margaux POQUET-BELLELE (31130).
3. Le Prix spécial du jury :
« Romance anti-cafard » de Marlène BERTRANINE (92600)
Retrouvez le billet d’annonce des résultats sur le Facebook du Muséum : Facebook du Muséum de Toulouse
Le muséum va très bientôt e-publier le recueil des nouvelles lauréates. Les premiers prix des 2 catégories (Gérard Bastide et Louise Confais) seront lus à voix haute le samedi 8 juin 2024, dans l’auditorium du Muséum, lors de la rencontre littéraire et de la remise des prix aux 6 lauréats et au Prix spécial du jury.
Un grand merci au jury !
Jessica Arduin (Psychologue clinicienne), Laëtitia Bartholome (Service Expositions, Muséum), Audrey Bonniot (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Caroline Chevalier-Galant (Service Bibliothèque & Documentation, Muséum), Évelyne Cocault (Comédienne de Théâtre amateur), Astrid Conan (Relation Visiteurs-Billetterie support qualité, Muséum), Christel Dubois (Professeure d'anglais, auteure), Lucie Ferlet (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Nelly Faria (Service Offre Commerciale, Muséum de Toulouse), Caroline Goursat (Étudiante, libraire), Marie-Noëlle Jornat (Philosophe, lectrice), Florence Lamotte (Directrice commerciale chez Piktos), Lolita Lorenzon (Pôle jeunesse, Médiathèque José Cabanis), Gaëlle Mahé (Lectrice et auteure), Sylvie Marquez (Association Toulouse Polars du Sud), Bernard Meyer (Docteur en Philosophie, enseignant, comédien), Serge Nicolo (Écrivain, Régisseur des Collections, Musée Paul Dupuy), Cristina Noacco (Auteure, maître de conférence en littérature médiévale), Cédric Pignat (Écrivain, enseignant, lecteur), Julien Philippe (Professeur-documentaliste) et Emmanuelle Viguié (Graphiste, dessinatrice, lectrice).
Au plaisir de vous retrouver et d’échanger avec vous samedi 8 juin, au Muséum de Toulouse !
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Ma lumière
Elle n'était pas au rendez-vous,
Tenez vous bien, car commence la danse chancelante d'un homme qui est sans orgueil.
"Lullaby for insomniacs", il n'y a que le trac qui enivre l'endormissement qui m'attend,
Comme une fourmis prête à hiberner en été je suis perdu et sur le mauvais sentier, j'ai pourtant tellement chanter aux côtés des cigales...
Ma lumière n'était pas si éblouissante,
C'est ce que me chante mon subconscient, et, sans pansement, je me remémore toutes les erreurs passées,
Tel un dément, habitué, sans plaisir, à souffrir.
Et vous, et toi,
petits anges, petits démons, par intermittence,
Vous soulevez mon cœur et le balancer contre le miroir de mes multiples personnalités.
Tantôt mauvais, tantôt doux, tantôt simplet, tantôt fou.
Je "par donne" sand oublier pour autant, je cicatrise mes tremblements de votre manque à mon cœur demandeur, comme-ci une partie de votre âme avait glissé dans mes veines,
C'est assez espiègle,
De ce dire que notre destin est de partir toujours plus loin sur le chemin et la croisade qu'est la vie.
"Deer garden" qu'est le monde que je me suis créé,
Si ma langue fourche, c'est que tu mas attisé, attiré, volé,
Mon jardin n'est pas bien vaste, mon cercle de cultivation de l'Esprit encore moins,
Mais, à tes côtés, je sens la faible flamme des canailles qui vont vibrer les golems dans leurs plus belles victuailles,
Qu'est-ce qui fasse que je reste parmis les reste des peuples anciens ?
Et bien, je répondrais
-> tu es la clé,
La serrure a beau être compliqué, tu es en mesure de t'en libérer
P.amis
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youtube
Jacques Offenbach (1819–1880) - Six fables de la Fontaine : La cigale et la fourmi ·
Karine Deshayes ·
Orchestre de l'opéra de Rouen Normandie · Jean-Pierre Haeck
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Dans les yeux des femmes y a des gares
Des trains de retour, des fanfares
Des hommes qui agitent des mouchoirs de soie
Des ´je t´aime´ plein la voix
Dans les yeux des femmes y a des ´bon gré mal gré´
Des remords, des regrets
Des ´J´aurais dû´, ´si j´avais su´
La peau d´homme, quel joli tissu!
Dans les yeux des femmes y a des amants
Qui tuent leur ennui par moment
Romans d´amour à l´eau de vaisselle
Des écailles qu´elles prennent pour des ailes
Elles ont compris
Elles ont compris
Qu´elles étaient belles
Elles ont compris
Qu´elles étaient celles
Qu´on voulait à tout prix
Dans les yeux des femmes y a des Carmen
Des putains à la petite semaine
Qui ont le corps cigale où le cœur fourmi
A placer ses économies
Dans les yeux des femmes y a des erreurs
Des maquereaux, des maîtres-nageurs
Remords d´avoir mis leurs nageoires
Dans des mers qui étaient qu´des baignoires
Dans les yeux des femmes y a des chanteurs
Qui ont leur discothèque dans le cœur
Chansons harpons pour thés dansés
Qui jusqu´au sang les ont blessées
Elles ont compris
Elles ont compris
Qu´elles étaient belles
Elles ont compris
Qu´elles étaient celles
Qu´on voulait à tout prix
Dans les yeux des femmes y a des enfants
Qui poussent des cris triomphants
Enfants qui seront meilleurs en tout
Qui les vengeront de leurs époux
Dans les yeux des femmes la petite maison
L´amour sur le gaz, le gazon
Strictes et peignées, sorties de l´école
Finies les idylles, les idoles
Dans les yeux des femmes y a surtout
Ce qu´on y met quand on en est fou
Ces temps-ci si j´ai pas l´air gai
C´est que les yeux d´une femme m´ont flingué
Elle a compris
Elle a compris
Qu´elle était belle
Elle a compris
Qu´elle était celle
Que je voulais à tout prix❤️
Guisi ❣️
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Photo
Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !). 2015....
Marseille, en été. La Pointe-Rouge avec des chaises abandonnées, un choucas et une nymphe de cigale dévorée par les fourmis !
Les pies en revanches sont au Parc Borély.
#souvenirs#marseille#pointe-rouge#parc borély#borély#choucas#ornithologie#oiseau#pie#cigale#nymphe#fourmi#insecte#entomologie
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La Cigale et l'Araignée
Dame Cigale allait en chantant, bonne journée lui dit l'Araignée, il fait bon temps, c'est charmant de vous voir de si bonne humeur vous qui tombez pic a l'heure, saviez vous dit Dame Cigale ravie que dès l'aube je chasse par mes mélodies la maigre pitance des vendredis, méprisant et aisément la prudence pour l'oubli
Certes certes dit l'araignée il se trouve que dans mes fils je vous vois cependant empêtrée et vendredi ou pas je fait feu de tous bois, Vous n'oseriez pas méchante chose mettre ainsi fin a mes chants! S'offusqua Dame Cigale
L'Araignée sourit a tant de bonne foi n'entendant elle que son estomac, sans autre forme de procès qu'une Maîtresse qui annonce a ses élèves encore a moitié endormi et a présent effarés, La Dictée!
C'est ainsi que dans la vie il ne faut pas aller en comptant que toutes choses sont égales et que l'on tiens pour soi la sagesse tel un régal, et que tout pain qui n'est pas tombé dans l'estomac est somme toute inégal
Ou tout égal a considérer le réveil tardif de Dame Araignée repue et fatiguée de tant de douceurs ayant festoyé de Dame Cigale, aux chants rien de moins que ceux d'une autre cantatrice, qui elle aussi sans doute tiens ses chants pour des armes, factices
Ah se dit L'Araignée si seulement elle aussi pouvait s'aventurer, c'est que vie m'a faite vorace et que si hélas je n'ai plus de place faire ce que m'ordonne la pâture, la capturer, et l'emmitoufler sans demi mesures, c'est que rude est la nature
Bonjour étrange composition, velue et ventrue a ce que je vois, et pis encore sans l'ombre d'une voix, auriez vous donc vu ma cousine Dame Cigale de par la, Bonjour Bonjour, non mais faites je vous prie un faux pas, elle est empressée savez vous que vous puissiez la rejoindre, Mais ou donc? Demanda la cousine, Au trépas! répondit l'Araignée se jetant sur elle de surcroît
La curiosité étant un vilain défaut, qui compta au pic son Corbeau, la naïveté tout autant ne fait jamais défaut, tant est qu'elle soit un trait il ne faut pas en faire l’apanage, et oser sans savoir que n'ose pas qui veut mais qu'ose qui peut
Ci gît Dame Cigale s'étant emportée contre la Fourmi, de son manque de générosité, qui ne pourra reprocher a L'Araignée de ne l'avoir point dévorée, dont la philosophie n'est pas de raisonner mais de faire taire autrui
Méfiez vous des Bonjour Bonjour, certains comme la lumière du jour, c'est que L'Araignée ne compte pas toujours six pattes et qu'elle peut n'en compter que deux, et vous sourire a souhait, le sourire étant son effet
Entendez le discours de L'Araignée, je dévore et je festoie que peut on me reprocher qu'on ne désire pour soi, sachez donc il est vrai prendre la mesure, que ce n'est pas ce que l'on prêche dont tout le monde a cure
Sur ce Dame Araignée vit passer par la une maigre sauterelle, une fringale et la considéra avec grande attention, toutes proies étant égales
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La malédiction...
Que l'on soit ou non labellisé ''complotiste'' par les vrais promoteurs du méga-complot qui vise à assassiner notre civilisation pour enfermer l'humanité dans une sorte de fourmilière où l'homme, privé de toute espérance, serait exclusivement ramené au rôle d'animal au service d'un Etat-vampire anthropophage, il devient difficile d'échapper à ce syndrome inquiétant : la France ne serait-elle pas la victime expiatoire d'une malédiction séculaire, et nous avec elle ?
Car regardons l'actualité en évitant si possible de nous soumettre aux ''diktats'' de la lecture monoculaire que nous imposent le Pouvoir est ses affidés, la Presse et les Institutions : une fois encore, une fois de plus, une fois de trop (mais pas la dernière !), un premier ministre se prétendant à droite vient de soumettre un budget au Parlement, et comme toujours dans cette configuration, la seule et unique réponse à la totalité de nos problèmes est... (et tout le monde de psalmodier en chœur, en sanglotant) : ''L'augmentation-des-impôts'' !
En fait, le scénario est bien rôdé :la Gauche, dès qu'elle arrive au pouvoir, se dépêche de gaspiller tout l'argent disponible, visible, ou putatif, où qu'il soit planqué. Elle n'y peut rien : c'est dans ses gênes ! La pensée de Gauche est inséparable de l'idée de gaspillage : il FAUT tout claquer (et quand il n'y a plus de sous, on en invente, comme le lamentable Jospin qui croyait voir des ''cassettes'' cachées partout...). La Gauche, dans le fond, serait parfaite pour jouer le rôle de la cigale dans la fable de La Fontaine ! Et c'est là qu'intervient la fourmi...
Lorsque, très vite, les idées faussement généreuses (puisqu'elles se résument à refiler le rattrapage des comptes à nos enfants et à nos petits enfants) ont épuisé toutes les ressources du pays, force est de faire appel à la Droite qui, trop contente de l'aumône ainsi accordée (une petite fenêtre de temps en temps), n'a plus qu'une seule possibilité : augmenter les impôts... que la Gauche sait quelle pourra ainsi diminuer par pure démagogie dès son retour aux affaires. Il n'y a pas d'exception au bon déroulé de ce cycle infernal, et Juppé, Fillon, ou Sarko, par exemple, sont ''passés à la moulinette''... Puis vint Barnier, et ''que croyez-vous qu'il arrivât '' --pour continuer à citer La Fontaine ? Eh ! bien, il fait comme les copains ! C'est ''con-génital'', vous dis-je !
Il faut dire que les dés sont pipés à la base --et c'est là, peut-être, que se trouve l'essence du ''complot'' mentionné plus haut : nos cons le sont tellement (cons, bien sûr ! Il faut suivre !) qu'ils demandent systématiquement à des énarques de réformer l'Etat et de diminuer ''comme il faudrait'' le nombre de nos fonctionnaires. La double question suivante est : ''qu'est-ce qu'un énarque'' ?... et ''qu'est-ce qu'un fonctionnaire'' ?
A tout saigneur, tout déshonneur : commençons par l'énarque. Un énarque est un type qui, tout jeune, a opté pour un comportement résolument orienté : dés l'école primaire, des instits' puis des profs', tous encartés à gauche, lui ont expliqué et répété qu'on avait tué Dieu, au prétexte que, disait le ''Caté'', ''il sait tout, il voit tout, il entend tout, il est souverain maître de tout, et que nous Lui devions la vie, tout ce que nous possédions --qui, en vérité, est à Lui''. Ce ''pur esprit infiniment grand'' était une insulte permanente aux hommes qui s'imaginaient entre temps être devenus ''modernes'', sans que quiconque puisse expliquer ce que cela voulait dire.
Le seul ennui, dans tout le galimatias de notions approximatives que furent les conséquences de la révolution de 1789, c'est que l'homme n'est pas un animal tout-à-fait comme les autres (que les anti-spécistes de tout poil et de toute plume me pardonnent mon audace) : il a un besoin ontologique de ''croire en quelque chose de plus grand que lui''. Qu'à cela ne tienne ! On va refiler à une nouvelle déité toutes les qualités que prétendait avoir Dieu : dans un manque total d'imagination et de créativité, les maîtres à penser (de traviole) du progressisme se sont contentés d'un ''copier-coller'' des attributs de l'ancien. (NDLR : vous pouvez relire les 3 lignes en italique du § précédent : pas un mot à changer ! Si ce n'était pas si triste, ce serait du plus haut comique !). Et pour assurer une conformité parfaite entre les impétrants et le modèle-type, un concours d'entrée --difficile pour ceux qui, comme vos valises à l'enregistrement, ne rentrent pas parfaitement dans le ''moule-étalon'' qui sert de jauge-- vérifie que n'ont accès au Nirvanâ des douceurs de l'Etat que les clones parfaits.
Mais assez de théorie, revenons à nos moutons... ou à nos énarques... car parfois le différence est très faible ! Un énarque est donc un ex-citoyen devenu ''une élite'' qui a, re-donc, une religion, l'Etat... un seul dieu, l'Etat... une seule foi, l'Etat... et qui, devant tout à l'Etat, lui promet obéissance et fidélité. Et protection en toute circonstance. C'est, en somme, un homme libre... totalement asservi. Et c'est à des générations de clones comme ça qu'on demande de réguler le fonctionnement de l'Etat, d'optimiser les processus de l'Etat, de faire plus (ce avec quoi ils sont d'accord) avec moins (ce dont ils ne comprennent même pas le sens, puisqu'on a tout fait pour qu'il en soit ainsi), et comble du comble, de diminuer le nombre des ponctionnaires...
Michel Barnier est pile dans la cible, tout près du centre, et le résultat ne s'est pas fait attendre : sommé de faire des économies, il a inventé pour la 200 ième fois la recette-miracle qu'il pense inédite : augmenter les impôts des français, de tous les français mais en ne parlant que des 65 000 les mieux payés (qu'on peut donc supposer les meilleurs, ceux que toutes les entreprises hors de ''l'hexagone'' sont près à surpayer pour les avoir --je le sais : j'en ai fait partie, dans une autre vie, il y a bien longtemps !) et qui vont, une fois de plus, ''se tirer'' à l'étranger, nous laissant les mauvais ! En jargon républicain, le nom de ce véritable jeu de massacre masochiste est : ''la justice sociale'' (NDLR : Zazie avait un très beau mot en trois lettres pour qualifier ce gigantesque vol légal !).
Le résultat est à la hauteur des enjeux (ne perdons pas de vue que, semaine après semaine, nous pulvérisons tous les records connus : la dette publique s'élève à 3 228,4 Md€ (Insee-27 septembre 2024) : tous secteurs confondus, notre gouvernement prévoit une baisse iso-nulle du nombre de fonctionnaires : 2 201 postes supprimés (vous avez bien lu, deux mille deux cent un !)... sur un total de 5 696 900 budgétivores... C'est plus petit que le trait de l'addition, ce n'est même pas visible ! Mais, me diront les quelques macronistes survivants (on me jure qu'il en reste !), on a bien mis un Cahuzac menteur malhonnête au budget, une Buzyn menteuse et bête à la santé... un Pap Ndiaye, bête à en pleurer à l'éducation... ou un Macron après un Hollande, à la tête de l'Etat ! Donc Barnier à Matignon, c'est sans doute ''le moins pire''. Il n'empêche !
Ces chefs pour super-fonctionnaires (dont le rôle inutile et pervers se résume à ''con-trôler'' que les pauvres gens qui bossent font leur travail con-formément aux tonnes de normes inapplicables qu'ils pondent, le plus souvent sans raison ou à tort, sur des processus qu'ils seraient bien en peine de faire fonctionner 3 secondes !) s'imaginent qu'ils vont diminuer la dette d'Etat en se contentant de siphonner les comptes en banque des non-fonctionnaires et en sucrant peu à peu les retraites des vieux... Jamais autant qu'aujourd'hui, je crois, ma mauvaise astuce, souvent faite, ici, sur les mots ''fonctionnaires '' et ''ponctionnaires'' n'a été aussi dramatiquement vraie ! Et en attendant Godot (le dernier qui reste, après Barnier), ''Raquez, braves gens ! L'Etat veille sur vos économies (ou plutôt, les lorgne !''). Question suivante : '' Et le bordel, on en fait quoi ?''. Réponse prévisible : ''Après nous, le déluge'' !
H-Cl.
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DANS LA MAISON D'AMOUR
Budget
La cigale
Doit laisser place
A la fourmi
Monde selon Konrad Lorenz
Arbeit Macht Frei
Le travail vous libère
Pourquoi alors
Le chômage peut-il exister ?
Pourquoi des gens sont-elles mal payées ?
Pourquoi pour un peu de plaisir
Le système met en avant
Tellement les prostituées
Que fardées elles sont le phare et avec art
Leur univers devient même mon regard
Dimanche 6 octobre 2024
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Une autoroute migratoire pour les insectes dans les Pyrénées | Pour la Science
See on Scoop.it - Insect Archive
Chaque automne, plus de 17 millions d’insectes franchissent le col de Bujaruelo, à la frontière entre la France et l’Espagne. Une grande majorité sont des pollinisateurs, d’autres sont indispensables à la santé des sols et au développement des plantes.
Écologie
Caroline Barathon
12 septembre 2024
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De par leur nombre, les insectes sont les premiers migrateurs terrestres de la planète. Ces invertébrés d’une grande diversité (environ 1,3 milliard d’espèces décrites qui représentent les deux tiers des organismes vivants connus) sont parfois difficiles à observer et encore plus à comptabiliser puisqu’ils sont, pour beaucoup, invisibles à l��œil nu.
La migration des insectes concerne plus de mille milliards d’individus chaque année. Même si elle demande un effort énergétique important, celle-ci permet aux insectes d’exploiter des ressources éloignées et de trouver des conditions plus propices à la reproduction. Le phénomène est important pour la pollinisation puisqu’il engendre un brassage génétique entre des plantes séparées par de longues distances. La migration est aussi, parfois, un moyen pour certaines espèces, de fuir leur habitat d’origine, dégradé par le changement climatique ou de l’activité humaine.
En 1950, un couple d’ornithologistes anglais, David et Elizabeth Lack, découvrent un haut lieu de migration des insectes vers le Sud : le col de Bujaruelo, dans les Pyrénées.
Si certaines espèces, tels les papillons monarques, qui parcourent près de 4 000 kilomètres, deux fois par an en Amérique du Nord, sont relativement bien documentées, la migration des insectes au global, reste peu étudiée. Les espèces sont si petites et diversifiées, qu’elles sont difficiles à observer et encore plus, à identifier.
Will Hawkes de l’université d’Exeter au Royaume-Uni, et son équipe ont décidé de s’y atteler en se lançant dans une observation à très grande échelle. Pendant quatre automnes d’affilée, de 2018 à 2021, ils ont enregistré, à l’aide d’une caméra, le nombre et le type d’insectes qui empruntaient le col de Bujaruelo, dans les Pyrénées, pour rejoindre le sud de l’Espagne, et y passer l’hiver. Un lieu qu’ils n’ont pas choisi au hasard, puisque 70 ans plus tôt, en 1950, un couple d’ornithologistes anglais, David et Elizabeth Lack, avaient déjà observé ce passage. Ils avaient été surpris par le nombre élevé d’insectes traversant ce passage large d’une trentaine de mètres dans la chaîne des Pyrénées, un véritable spectacle diurne de migration à bas bruit.
Will Hawkes et son équipe ont ainsi estimé à 17,1 millions le nombre annuel moyen d’insectes migrateurs traversant la passe, avec une grande diversité de taxons. Grâce à une caméra et à l’utilisation d’un piège malaise, ils ont classé les espèces. 20 familles d’insectes issues de cinq ordres ont été identifiées. Une large majorité appartenant aà l’ordre Diptera (mouches et syrphes), puis celui des Hymenoptera (abeilles, fourmis, frelons), des Hemiptera (cigales et pucerons), des Lepidoptera (papillons) et enfin des Odonata (libellules). Les chercheurs estiment ainsi en milliards le nombre d’insectes migrants qui traversent la chaîne pyrénéenne chaque année.
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Au cours des 191 jours d’observations, les chercheurs ont montré que le nombre d’individus variait fortement. Passant de 0 migrateur à 3,7 millions certains jours. Ils ont alors étudié l’impact des conditions météorologiques sur ce phénomène, en mesurant plusieurs paramètres : direction et vitesse du vent, pluviométrie, ensoleillement et température. Résultat ? Un thermomètre au plus haut, une faible pluviométrie et un léger vent de face sont des journées idéales pour passer la frontière.
Les espèces migratrices sont loin d’être anodines : près de 85 % sont d’ailleurs des espèces pollinisatrices. D’autres, ont un rôle clé dans la décomposition des matières organiques pour la bonne santé des sols et le développement des plantes. Parmi les insectes qu’ils ont pu recenser, Will Hawkes et ses collègues ont noté une forte population de syrphes à ceinture, rayée d’orange et de noir. « Ces insectes volants de la famille des mouches se nourrissent de pucerons et sont donc parfaits pour débarrasser les cultures ou les jardins des parasites », détaille le chercheur.
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Quelles conséquences le changement climatique pourrait-il avoir sur ces migrations ? « Le dérèglement climatique entraîne des conditions météorologiques extrêmes, auxquelles les insectes ne sont pas en mesure de faire face. Ils n’apprécient pas la sécheresse ou les pluies excessives, par exemple, poursuit l’écologue. Ainsi, nous constatons dans certaines régions que les insectes migrateurs passent l’hiver à des latitudes plus élevées parce qu’il ne fait plus aussi froid pendant l’hiver. »
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Dans un contexte général de diminution des populations d’insectes, les chercheurs rappellent l’utilité de ces études à long terme. Comprendre les flux de population à l’ère des changements environnementaux induits par l’homme est essentiel, notamment pour les secteurs de l’agriculture et de l’horticulture."
Image : La migration des insectes joue un rôle clé dans la pollinisation. Elle est aussi, parfois, un moyen pour certaines espèces de fuir leur habitat d’origine, dégradé par le changement climatique ou l’activité humaine.
© Will L. Hawkes
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Fourbi avec un M
Est-ce que vous avez vu le film Fourmiz ? Est-ce que vous avez lu la fable de la cigale et la fourmi ? L’histoire que je vais vous raconter n’a absolument rien à voir. Mais… Avoir son chez soi, quel bonheur. Le summum de la propriété, le semblant ultime de possession. C’est le confort qui nous attend chaque jour, le cocon où l’on se retrouve, seul ou à plusieurs. Mais parfois il arrive qu’on…
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