#l'art scene
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ndostairlyrium · 7 months ago
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big sisters just need a break from time to time <3
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bourbon-ontherocks · 7 months ago
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I was tagged by @pia-writes-things (❤️) to show my 4 favorite ships and let my mutuals assume what my concept of romance is
(bold of you to assume I ship characters for romance though 😂)
Well, I don't know if I have "favourites" that I can order up to 4, but here's what comes to mind today (in no particular order):
I couldn't even find a proper gif of them because the fandom for this show is tragically empty, but oh my gosh THEM
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Laure Berthaud / Gilles Escoffier, Engrenages (Spiral)
2. Do I have to explain myself? I don't think so.
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Florence Chassagne / Antoine Verlay, L'art du crime (the art of crime)
3. My fangirl origin story...
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Emma Peel / John Steed, the Avengers
4. Well, guess I didn't give two years of my life and wrote 450+k words on AO3 about them for nothing...
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Beth Boland / Rio, Good Girls
So apparently my concept of romance is workplace-related and codependent as fuck I guess...
That was fun! Tagging @sothischickshe @cagefreeromanroy @humanbra @earanie @misshazelevers20 @asteraceae-blue
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marthajefferson · 2 years ago
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L’Art Du Crime, s06e01
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miabrown007 · 2 years ago
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yeah, sorry, just gonna push that penumbra agenda until we find a common denominator
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blitzkaizer · 1 year ago
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Hello, so these are photos from behind the scenes of the valorant video l'art de vivre. Silent hood films made the video and Yoann Pigny Fournereau portrayed chamber.
Source:
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yoannlossel · 8 months ago
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Patreon // Yoann Lossel & Psyche Ophiuchus
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[ENG] ☀️ Psyché Ophiuchus and I have decided to set up a Patreon page, as a way of following and supporting our work. This has taken the form of a manifesto in which we discuss our life as artists and our artistic philosophy.
"This Patreon is designed to communicate our vision of the artist's work and art in the 21st century world, to discuss our creative processes, to showcase our progress and ongoing work (creations, experimentation). In essence, this Patreon will be like a journal documenting our lives as artists. We plan to share behind-the-scenes looks at our photo shoots and Yoann's painting sessions, as well as articles detailing our influences and current reflections, all in the form of videos or photographs."
You can register for free to access the content we'll share freely, or you can subscribe to support us and access members-only content.
[FR] ☀️ Psyché et moi avons décidé de créer une page Patreon pour suivre et soutenir notre travail. Cette page a pris la forme d'un manifeste dans lequel nous discutons de notre vie d'artiste et de notre philosophie artistique.
"Celui-ci a pour vocation de communiquer autour de notre vision du travail d'artiste et de l'art dans ce monde du XXIe siècle, de parler de nos processus créatifs, de montrer nos avancées et travaux en cours (créations, expérimentation). En somme, ce patreon sera comme un journal de bord de nos vies d'artistes. Nous prévoyons d'y partager des coulisses de nos séances photo et des sessions de peinture de Yoann, ainsi que des articles détaillant nos influences et nos réflexions actuelles, le tout sous la forme de vidéos ou de photographies."
Vous pouvez vous inscrire gratuitement pour accéder au contenu que nous partagerons librement, ou vous abonner pour nous soutenir et accéder au contenu réservé aux membres.
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daniela--anna · 2 months ago
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https://www.instagram.com/p/C_nvHtqoPzx/?igsh=MTZzMW53dzUxM3AwbQ==
Gli AZULEJOS PORTOGHESI sono piastrelle di ceramica smaltata, caratterizzate da decorazioni intricate e colori vivaci, utilizzate per abbellire edifici e spazi pubblici in Portogallo sin dal XVI secolo.
La parola "azulejo" deriva dall'arabo "al-zulayj," che significa "pietra lucidata," riflettendo le origini moresche di questa forma d'arte, introdotta durante l'occupazione islamica della penisola iberica.
Inizialmente ispirati ai motivi geometrici moreschi, gli azulejos portoghesi si sono evoluti nel tempo, incorporando elementi rinascimentali, barocchi e rococò. Durante il XVII e XVIII secolo, il Portogallo sviluppò uno stile unico, caratterizzato principalmente dal colore blu e bianco, che evocava l'estetica della porcellana cinese, molto in voga all'epoca.
Questi azulejos adornavano chiese, palazzi e persino abitazioni comuni, trasformando le città portoghesi in vere e proprie gallerie d'arte all'aperto.
Gli azulejos non erano solo decorativi, ma anche narrativi. Spesso raffiguravano scene religiose, storiche o mitologiche, raccontando storie visive accessibili a tutti. Un esempio famoso è il Convento di Madre de Deus a Lisbona, che ospita un magnifico museo dedicato a questa forma d'arte, con opere che spaziano dal gotico al contemporaneo.
Il loro ruolo non si limitava all'ornamento; gli azulejos venivano usati anche per isolare termicamente gli edifici e proteggerli dall'umidità. Ancora oggi, passeggiando per città come Lisbona o Porto, è possibile ammirare facciate di case, stazioni ferroviarie e chiese rivestite di azulejos, testimonianza di una tradizione che continua a essere parte integrante dell'identità culturale portoghese. Questi pannelli di ceramica raccontano la storia del paese, unendo l'arte alla vita quotidiana in modo unico.
📚 Dal portale "Giubbe Rosse".
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details-beast · 6 months ago
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35 - Commencer une scène improvisée
"Qu'est-ce que je fous là..." - improvisateur X, le regard vide, au début d'une impro
Vous galérez en début de scène ? Vous ne savez pas quoi faire ? Vous pensez que vous vous en sortez, mais avez la sensation que vous les commencez toujours de la même manière ? Vous avez envie de poser des bases solides, lisibles et riches dans vos débuts d'histoires, ou cherchez simplement de nouvelles pistes ?
Formidable ! Parlons un peu de ces premières secondes, où nous passons d'un Espace vide à une scène, où se jouent des histoires, des situations ou des games.
Cette entrée en jeu sera souvent un teaser de l’improvisation à venir. Elle est fragile, il faut donc en prendre le plus grand soin. Il est essentiel d'y mettre les bonnes informations, claires, de ne pas se tromper, de bien comprendre qui sont les personnages, où on est, à quoi on joue, et d'avoir des super idées pour que cette rencontre avec l'autre soit géniale ! Si vous avez tout ça en tête avant de jouer ou pendant que vous jouez, félicitations ! Vous êtes en train de paver votre route vers... le mur !
Le syndrome du bon élève
L'improvisation n'est pas le territoire des "bons élèves". J'entends par là qu'il n'y a pas une liste exhaustive des choses à faire et à ne pas faire pour obtenir une bonne improvisation. Respecter les règles, poser le plateau / la plateforme (qui, quoi, où), en somme, établir un plan logique et structuré ne sera jamais suffisant pour créer une improvisation intéressante, ça sert surtout à poser une improvisation compréhensible. De plus, tous les débuts d'impro ne se construisent pas systématiquement suivant un schéma narratif. Attention, fuir les "règles" et la simplicité n'assure rien de bon non plus. Il ne s'agit pas de chercher l'originalité à tout prix, mais de rester ouvert à d'autres types d'écriture.
Nous connaissons énormément de mantras comme "oui et", "sois précis", "pose un plateau rapidement", "ne pose pas de question", "ne joue pas de négociations", "ne fais pas de scène d'enseignement" etc. Ces phrases chocs, ces "règles", semblent chargées de bon sens et pourtant, comme le dit très bien Mick Napier dans son ouvrage Improvise - Scenes from the inside out, non seulement elles ne font pas mieux jouer, mais elles peuvent également être destructrices. Oui, on peut observer certains comportements redondants dans les scènes qui ne fonctionnent pas, mais ils sont davantage une conséquence qu'une cause.
"Une bonne improvisation ne doit rien au respect des règles, mais penser aux règles (NB. sur scène) peut empêcher une bonne improvisation"
Nous apprenons à observer ce qui ne fonctionne pas, à y faire attention et à garder tout ça dans un coin de nos esprits. Or, entrer sur scène avec le cerveau chargé d'informations sur ce qu'on ne doit pas faire, c'est entrer sur scène dans un état de tension (cause). Et ça ne nous fera jamais mieux jouer, c'est assurément se priver d'un espace mental pour faire autre chose (conséquence). Pourtant, pour progresser et pour affiner nos qualités de jeu, il faut bien apprendre un sacré paquet de choses sur la narration, les styles littéraires, la mise en scène, l’interprétation et il faut comprendre les comportements de jeu qui nous font défaut. Mais au moment de jouer, il faut avant tout croire en ce qu’on a travaillé. Faciladir !
L'état et l'impro
L'ÉTAT (vous !) : Trop réfléchir à ce qu'il faut faire ou ne pas faire = tension, préparation et construction du mur qui vous sépare de votre partenaire. Bien entendu, puisque vous êtes en train de cogiter, vous n'êtes pas présents sur scène. Vous imaginez être à la base de l'histoire et que sans vous, rien ne se passera. Or... on se moque de vos connaissances et de votre technique si vous n'êtes pas en état de vous en servir, alors lâchez votre envie de bien faire et soyez "là".
Ça tombe bien, l'improvisation est l'art de l'instant présent avant tout autre chose : tout ce qui se passe ou ne se passe pas contribue à l'écriture de la scène. Si vous n'êtes pas attentif à ce qui se passe maintenant, vous allez davantage fabriquer, parfois avec brio, mais vous ne serez pas en train de jouer ce que la scène propose, vous serez en train de peindre ce que vous avez en tête et c'est tout. Ce n'est pas QUE ça l'improvisation... (mais c'est un peu ça quand même). Il s'agit également de dessiner les scènes avec nos sens, avec nos réactions, et avec nos sensations, pour éviter de rester en surface.
L’IMPROVISATION (l'enjeu !) : Notez que je ne parle pas d'objectif, qui peut contraindre notre esprit à une finalité et donc nous priver d'écoute et de perméabilité - on sait où on va... et il y a un risque qu'on écoute POUR aller dans notre vision plutôt que dans la dynamique de la scène. Et puis on sait très bien ce que notre cerveau veut faire : il veut nous rassurer, comprendre vite à quoi on joue et bien mettre les jalons pour rester en sécurité le long du trajet. Mais alors comment définir l'enjeu sans s’enfermer ? Je crois que c'est tout simplement donner de l'intérêt à la scène que vous jouez, que ce soit en lui donnant du sens, de l'émotion, de la forme, et même du fun ! Cela ne contraint pas à une narration ou à un style.
Au risque de passer pour Captain Obvious, si vous prenez uniquement soin de vos fesses, mais pas de la scène, elle a peu de chance d'avoir de l'intérêt.
Être plus qu'un individu
Je disais plus haut qu'il s'agit, un peu, de peindre ce qu'on a en tête, quoi que ce soit, et de se laisser affecter par les répercussion. Si c'est la même chose pour votre partenaire, vous êtes en train de créer une scène qui sera probablement unique.
On a peut-être trop entendu parler de "ping pong" pour les échanges en impro, comme si nous nous passions la responsabilité de la scène, comme si c'était chacun son tour. Et si nous voyions davantage les gens comme une onde, liée en toutes circonstances ? Nous serions, le temps de la scène, la somme de nos propositions, et de nos réactions. Moins effrayant, plus riche... tout bénef ?
Si on n’a pas grand chose en tête, il suffit de faire un choix, n'importe lequel, et d'avoir le courage de le défendre (et par là j'entends bien : ne te dis pas que c'est nul, assume ce que tu as entamé). Bien sûr, tout ça n'a d'intérêt que si tu n'oublies pas ton fkn partenaire ! C’est mieux quand les gens sont contents de jouer avec toi.
J'espère être on ne peut plus clair là-dessus : votre état détermine votre capacité à ÊTRE et à ÊTRE AVEC. Être, c'est devenir un personnage prêt à être traversé par des propositions, prêt à réagir, prêt à renvoyer ce qu'il traverse à un public. Si vous êtes coincés dans le besoin de démontrer ce que vous savez faire, vous parlerez aux cerveaux des gens et à leur analyse de ce qui est drôle, malin etc, mais le personnage devient juste quand le public croit en ce que nous jouons. Il ne peut pas exister si nous n'y croyons pas.
Être avec, parce que ce personnage ne devient concret que dans ses interactions avec l'autre, avec le contexte, avec ce qu'on va pouvoir révéler de lui. Encore une fois, si vous n'êtes pas sincèrement en train de jouer avec l'autre, vous resterez en surface. La précision et les qualités d'écriture que vous aurez vous permettront de mieux lire et de mieux développer les scènes que vous commencez.
Raconter quelque chose ensemble
Le plateau - QUI, QUOI, OÙ - est un outil pour préciser votre connexion à l'autre, mais la qualité des informations ne remplacera jamais la qualité de la connexion avec l'autre. Par contre, à partir du moment où jouer avec l’autre devient facile pour vous, vous avez tout intérêt à vous pencher sur cette notion : bien utilisée, ce n’est pas un mur qu’elle vous offrira, mais un tremplin ! Mettre des personnages dans un contexte inhabituel, jouer une scène a priori classique mais dans un lieu inapproprié, tout ça devient possible quand vous avez une lecture de ce qui se passe en début de scène. Vous l’aurez compris, ce n’est pas sur le plateau que je tape en début d’article, mais sur l’improvisateur bloqué dans sa tête.
Si vous êtes en train de commencer un game avec l'autre, c'est la même chose : il sera important d'être bien présent pour que le jeu se développe et évolue.
Coucou, c'est Nabla !
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Merci Eddy de me donner le clavier le temps d'un paragraphe ! :)
Pour celleux qui ne me connaissent pas, j'ai hâte de vous rencontrer et de commencer des scènes improvisées avec vous !
Je me permets de remettre une phrase marquée juste au-dessus, parce que je la trouve capitale : "Le plateau est un outil pour préciser votre connexion à l'autre". J'ai même envie d'aller plus loin :
La scène improvisée, pour moi, c'est un jeu.
L'espace scénique, c'est un plateau de jeu.
La plateforme / Le plateau, ce sont les règles du jeu auquel on veut jouer, ensemble !
Je m'explique avec un exemple :
- Si je commence par dire "Chérie, attention où tu mets tes mains !", je dis à ma partenaire que je veux jouer à un jeu où je m'inquiète pour elle.
- En me répondant ''Mais papa, je veux juste caresser le lion !", ma partenaire me dit qu'elle veut jouer à une enfant dans un zoo ! Et en plus, elle m'aide à jouer l'inquiétude, parce que c'est un lion quand même ! Elle est super ma partenaire.
- Si je termine en disant "Je préfère qu'on aille voir les oiseaux, ils ont des perroquets magnifiques. Tu aimes ça, les perroquets ma chérie ?", je continue à jouer le jeu que je veux jouer (l'inquiétude) tout en jouant le jeu de ma partenaire (une enfant dans un zoo).
Nous avons nos règles : maintenant, nous n'avons plus qu'à jouer avec engagement en attendant - de manière active - les imprévus qui rendront le jeu intéressant (pour mes partenaires, pour le public, pour la régie, pour le monde).
Plus haut, nous voyions que la plateforme sert surtout à poser une improvisation compréhensible : je préfère penser que la plateforme sert surtout à poser un jeu commun compréhensible.
Je rends le clavier maintenant, ma fille caresse les lions, bordel !
"ON A COMPRIS !"
Je suis dans le bon état, et maintenant ?
Et si nous parlions technique ! Pour pouvoir faire des choix en entrant, il faut avoir conscience de ce qui est possible dans ce fameux espace vide. Je préfère le dire tout de suite, si vous n'avez pas envie de charger votre cerveau au point de le voir fumer, il est inutile d'essayer de tout mettre d'un coup sur votre démarrage. Prenez UN élément, puis montez la dose à mesure que vous serez à l'aise. Si vous devez rester concentré pour tenir un personnage (ex : un tic) et que ça détériore votre écoute, vous en faites déjà trop.
Voici une liste non exhaustive de ce qu'on peut poser en début de scène:
style (plutôt burlesque, littéraire, naturel/dramatique)
relation (qualité, titre)
personnage (caractère, personnalité, physicalité, état, émotions)
météo (chaud, froid, pluie etc)
action (geste simple, répétitif ou évocateur)
couleur (j'entends le ton de la scène, l'ambiance)
mise en scène (!!!)
lieu (ouvert, fermé, identique au partenaire ou pas)
promesses (y-a-t-il des non-dits ? Un objet mystérieux ?)
catégories (si c'est un match)
titre/thème (on y reviendra)
(!!!) - La mise en scène kesako ? Et bien comment vous mettez en scène votre jeu : un solo centre scène qui raconte quelque chose, quatre au fond et un devant, une contée où le conteur raconte sa propre histoire et passe de conteur à personnage etc. Tout est possible, mais c’est à vous d’imaginer ce qui est possible !
Les meilleurs ennemis ! (bonjour à Zazie et à Pascal)
Quoi qu'il en soit, les premiers choix que vous ferez poseront la base de votre scène. Si vous êtes mal à l'aise, ou peu expérimenté, il y a de fortes chances que votre début de scène ressemble à :
A - (fait une action imprécise sans regarder son partenaire)
B - (traverse la scène, vient coller A) : "Tu n'as pas fait le nécessaire."
A - (arrête son action) : "De quoi tu parles ?"
B - "On avait dit qu'on invitait les voisins ce soir"
A et B - (passent la moitié de la scène à essayer d'avoir raison)
Et on obtient une de ces fameuses scènes de personnes face à face, dans un espace théâtral vide*, qui se renvoient la balle pour essayer d'avoir raison, comme si la réponse allait rendre la scène plus intéressante. Tout ce qu'on doit savoir est dit, parce que c'est le public qu'on essaye de convaincre (et de la pire manière puisqu'on lui explique). On est en train de le séduire, pas de lui raconter une histoire. Or, on se moque de savoir qui a raison, on veut savoir ce que ça implique pour les personnages et ce que ça révèle d'eux. On veut voir comment ça se traduit dans leurs attitudes, leurs respirations, leurs regards, leurs gestes et à la fin, peut-être, dans leurs paroles. Alors seulement, nous pourrons commencer à avoir des personnages nuancés et subtils.
Si vous voulez jouer un conflit, nourrissez-le physiquement (intérieurement hein, il ne s'agit pas d'envoyer des mandales), pensez à ce qu'une défaite impliquera pour vous et sachez perdre si c'est nécessaire parce qu'on veut voir de quel bois est fait votre personnage. Laissez le silence et l'espace nourrir votre personnage et votre relation.
"La distance offre de la tension, de la puissance et du potentiel" Joe Bill
Par espace théâtral, j'entends espace imaginaire, par opposition à l'espace scénique, qui est l'espace réel que vous voyez. L'espace théâtral peut être beaucoup plus grand ou petit que la réalité, la température peut être différente, la hauteur du plafond aussi etc.
Improviser sous contrainte
Enfin, il faut parler de ce qu'implique une improvisation avec un thème ou sans thème. Sans, il y a la peur de ne pas savoir quoi jouer pour commencer, et avec, il y a la peur de ne pas être inspiré ou enfermé dans le thème. La peur pousse à produire trop d’informations, trop vite : il y a toujours une bonne raison de fuir le vide et la peur qui va avec. Mais... il n'est pas nécessaire de résoudre le thème d'entrée de jeu ! Vous avez le temps de l'amener, toutes les improvisations ne sont pas dans l'obligation d'être une mise en image du thème évoqué. Prenez déjà le temps d'être quelqu'un, ensuite on verra ce qu'on fait de ce thème, idéalement avec le partenaire. Réaction après réaction, n'essayez pas de forcer la scène à devenir la matérialisation de vos idées. On a le temps, et on pourrait bien avoir des surprises si on avance par étape, plutôt que de vomir notre vision avec des logorrhées didactiques !
Si ça peut aider, je rappelle que : improvisation≠histoire. On aura rarement le temps de raconter une histoire complète en 3 ou 4 minutes, ce qui n’empêche pas de commencer la scène proche de la fin, et dans l’absolu de trouver une fin. On peut choisir de n'en raconter qu'une partie. Ça évite de faire des bascules sur des scènes de 20" où on ne raconte pas grand-chose, et de les enchaîner frénétiquement pour faire avancer "l'histoire". Keith Johnstone nous disait dans Impro qu'une histoire n'est pas qu'une succession d'évènements et d'actions. Avancer, pourquoi pas, mais on fait avancer QUOI ?
Bien bien bien... et si on s'entrainait un peu à faire ça ?
Exercices solo
Non verbal et lieu; nb joueurs: 1, durée 2 min+
Vous entrez dans un espace imaginaire et jouez une scène sans parole. Votre but est de travailler votre attitude dans ce lieu mais également de chercher comment le rendre clair pour un public (même si vous êtes seul chez vous, essayez de vous rendre compte si ce que vous faites évoque un lieu précis, car un geste réaliste n'est pas toujours facile à interpréter). L'occasion de voir si votre personnage est à l'aise dans ce lieu, comment il regarde l'espace ou d'autres personnages imaginaires. Dans un second temps, essayez avec la parole.
Description de lieu à la chaîne; nb joueurs: 1, durée 5 min+
Vous pouvez le faire assis dans un premier temps. Mettez un minuteur qui sonne toute les 30" (à défaut celui là); à chaque nouveau top décrivez un lieu dans lequel vous pourriez jouer, essayez d'être précis, mais que cette précision soit jouable (la couleur est plus difficile à jouer que la texture par exemple). Aussi, faites l'effort de rester factuels - n'entrez pas dans une narration, vous ne faites que poser un lieu. Faites quelques rounds, puis si un lieu vous a inspiré, faites une mini scène dans cet espace, et voyez ce que vous trouvez à jouer. Ce n'est qu'un lieu, n'enfermez pas votre histoire dans les objets et les détails posés, car il n'y a que vous qui seriez visibles d'un éventuel public, servez-vous-en pour affecter votre personnage et son attitude. (NB : testez la notion de météo, de température, et de comment les jouer. Par exemple si vous avez froid, vous n'allez pas passer votre scène les bras croisés à vous taper sur les coudes en murmurant "brr").
Exercices duo
La rencontre; nb joueurs: 2, durée 2 min max
Joueur A commence une scène solo, son premier objectif est de poser un lieu clair, car il sera rejoint par le joueur B dans cet espace dès que celui-ci aura compris le lieu. Laisser B prendre le temps de comprendre, puis imposer des entrées plus rapides au fil de la séance. B n'interagit pas d'entrée de jeu avec A - il peut donc se permettre de rentrer tôt et de s'assurer du lieu un peu après. TRÈS IMPORTANT : A et B ne se calculent pas du tout d'entrée de jeu, ils existent simplement dans le même lieu. On s'exerce ici à poser son personnage avant de sauter sur l'autre pour du bavardage. C'est le moment de la rencontre et les échanges verbaux et non-verbaux qui vont suivre qui nous intéressent.
Plusieurs étapes à pratiquer :
A et B ne se connaissent pas du tout
A connaît B, mais pas l'inverse (et NON ce n'est pas un oubli de B)
A et B se connaissent vaguement
A et B se connaissent bien
A et B se connaissent bien mais ne se sont pas vus depuis longtemps
La rencontre est fortuite, ce n'est pas un RDV. L'idée est de travailler les différentes attitudes lors de ces rencontres - l'état dans lequel je me trouve après la rencontre, ce que ça provoque chez moi, et comment je donne du détail et de la précision dans ces premiers échanges, que je connaisse bien la personne ou pas. Oui, ce sont toujours des débuts de scène, mais on n’a pas de temps à perdre pour autant, on s'entraine à donner de la matière aux personnages rapidement. Il faut essayer chaque étape pour s’entraîner à trouver des nuances et des rythmes de connexions avec l’autre qui soient justes. Le jeu non verbal varie énormément en fonction des étapes !
Voilà, la liste d'exercices n'est pas exhaustive bien entendu, vu qu'il y a déjà un article consacré à ça. Comme d'habitude rien n'est gravé dans le marbre et on peut discuter de ces sujets quand vous voulez !
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hemerae-ramblings · 7 months ago
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20 questions for writers
Thanks @pia-writes-things and @bourbon-ontherocks for the tag!!
1. How many works do you have on AO3?
14!
2. What's your total AO3 word count?
236,917
3. What fandoms do you write for?
It really changes according to my current favourite piece of media, but mainly: l'Art du crime, Doctor Who, and HPI
4. What are your top 5 fics by kudos?
Asynchrones : my first long-fic ! took 6 months give or take to finish, loved it !
Valse en cinq temps : My first fic in French! Quite daunting actually, especially in a small fandom. Based on the usual "X times they did, 1 time they didn't"
Courants marins : The big one as they said, 100K words of HPI AU, processing trauma one pavé at a time
The only way forward : wandavision fic, the first thing I posted on AO3, and one of the two fics I wrote in english
Fell in love with the fire (long ago) : HPI one-shot, written in a single night and posted shortly after (editing? What editing?)
5. Do you respond to comments?
Every chance I get ! Time does get out of hand sometimes, but i always try to
6. What is the fic you wrote with the angstiest ending?
Au revoir mon amour for sure, i mean is IS an MCD
7. What’s the fic you wrote with the happiest ending?
I wouldn't even know ! I usually am a sucker for happy endings so most of them ? Paradoxes is one that sticks out to me recently I would say
8. Do you get hate on fics?
Never have (crossing my fingers)
9. Do you write smut? If so, what kind?
No. I don't think I'll ever do it!
10. Do you write crossovers? What’s the craziest one you’ve written?
I don't ! I have trouble fusing two separate universes in writing I think, at least that's how i see it
11. Have you ever had a fic stolen?
No (i don't think?)
12. Have you ever had a fic translated?
No!
13. Have you ever co-written a fic before?
Planned to co-write some, never got to (life tends to get in the way!)
14. What’s your all time favorite ship?
I have more than one ! Excluding actual hyperfixations, i'd say Swanqueen, Twissy (obviously), Twelve x River (specifically)
15. What’s a WIP you want to finish but doubt you ever will?
I usually work on one fic at a time so i don't tend to have WIPs (or well-advanced ones at least).
16. What are your writing strengths?
It's easiest for me to write descriptions and/or internal monologues ! At least that's what comes out fastest, and is usually the scenes I envision when planning a piece of writing (like, big emotional scenes and/or action)
17. What are your writing weaknesses?
DIALOGUES, they are the bane of my existence. Although it's gotten easier lately.
18. Thoughts on writing dialogue in another language in fic?
Dialogues specifically are hard for me, in French or another language. And the rythme changes a lot in English for example, so that's another adjustment to make
19. First fandom you wrote for?
Wandavision I think
20. Favorite fic you’ve written?
Again, I wouldn't really know ! It's like picking a favourite child, i like them all for VERY different reasons :)
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esther-nvr · 8 months ago
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Référence commentées
Joaquin Sorolla
Ce peintre était connu pour ses œuvres lumineuses et vibrantes qui capturaient la vie quotidienne en Espagne à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Il excellait dans la représentation de la lumière, utilisant des couleurs vives et des effets de lumière pour créer des toiles éclatantes. Outre ses compétences artistiques, Sorolla était également un homme très engagé socialement. Il a utilisé son art pour sensibiliser aux problèmes sociaux de son époque, notamment en peignant des scènes de la vie quotidienne des pêcheurs, des ouvriers et des enfants défavorisés. Son engagement et sa vision de la famille reflétés à travers ses oeuvres, sont une source d'inspiration pour mes propres créations. 
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Frida Kahlo
Frida Kahlo est une artiste mexicaine du XXe siècle, célèbre pour ses autoportraits émotionnels et introspectifs. Son œuvre explore la douleur physique et émotionnelle, l'identité, le genre et la culture mexicaine. Elle a utilisé la peinture comme moyen d'exprimer son vécu, marqué par un accident traumatisant, une relation tumultueuse avec Diego Rivera et un engagement politique. Ses tableaux, riches en symboles, sont aujourd'hui reconnus mondialement, faisant d'elle une figure féministe emblématique de l'art. En tant que femme, la puissance de ses œuvres m'a inculqué une vision plus impactante de l'art.
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Willy Ronis
Willy Ronis était un photographe français renommé, reconnu pour ses contributions significatives à la photographie humaniste. Né à Paris, son travail a capturé la vie quotidienne et les scènes de rue, mettant en lumière la beauté de l'existence ordinaire. C'est à travers son livre "ce jour là" que j'ai découverts Willy Ronni, c'est avec son oeuvre que ma passion pour l'argentique fût révélée. Ses photographies, empreintes de sensibilité sociale, reflètent son engagement envers les valeurs humanistes et son intérêt pour la condition humaine. Ronis est particulièrement célèbre pour ses images intemporelles de Paris et pour avoir documenté la vie des travailleurs et des familles. 
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Tishk Barzanji
Tishk Barzanji est un artiste visuel et illustrateur basé à Londres, connu pour son travail artistique contemporain. Originaire du Kurdistan irakien, Barzanji a fui la région en raison de conflits armés pour finalement s'installer au Royaume-Uni. Son art se caractérise par des paysages urbains surréalistes et des compositions abstraites, souvent dominées par des teintes pastel et des formes géométriques. Barzanji explore des thèmes tels que la nostalgie, la mémoire et l'étrangeté à travers ses créations, qui ont été exposées dans plusieurs galeries et ont attiré l'attention pour leur esthétique distinctive et leur narration visuelle intrigante. Le parcours de cet artiste me touche particulièrement, il arrive à exprimer son histoire d'une façon poétique. 
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Iris van herpen
Iris van Herpen est une créatrice de mode néerlandaise renommée, née en 1984. Elle est reconnue pour son approche avant-gardiste et innovante de la mode, explorant les intersections entre la technologie, la science et l'art. Ses créations sont souvent caractérisées par des techniques de coupe complexes, des matériaux futuristes et des formes sculpturales uniques. Van Herpen a collaboré avec des scientifiques, des architectes et des artistes pour repousser les limites de la mode contemporaine. Je trouve sa façon de travailler avec les volumes et l'espace l'espace très intéressante. J’ai énormément apprécié son exposition sculpting the scene MAD (musée des arts décoratifs) cela m’a permis d’apprendre d’avantage sur sa manière de travailler ses créations ainsi que de comprendre sa vison du monde. Elle a fondé sa propre maison de couture, Iris van Herpen, en 2007, et ses collections ont été présentées lors de défilés de mode internationaux, suscitant l'admiration pour son approche visionnaire de la création de vêtements.
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Daniel Roseberry
Daniel Roseberry est un designer de mode américain, surtout connu pour son rôle de directeur artistique de la maison de couture Schiaparelli. Né en 1986, il a été nommé à ce poste en 2019, apportant une vision moderne et innovante à la maison de couture fondée par Elsa Schiaparelli. Roseberry a gagné en reconnaissance pour ses créations audacieuses, combinant l'héritage surréaliste de Schiaparelli avec des éléments contemporains. C'est ce que j'apprécie dans ses créations, souvent caractérisées par des détails excentriques et des formes inattendues. Il arrive à créer des pièces qui se démarquent dans le monde de la haute couture. Daniel Roseberry a ainsi contribué à insuffler une nouvelle vie et une nouvelle énergie à la maison de couture emblématique.
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Wes Anderson
Wes Anderson est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 1er mai 1969. Il est connu pour son style cinématographique distinctif et sa mise en scène visuellement captivante. Son travail est souvent caractérisé par des décors minutieusement conçus, des couleurs vives, des dialogues stylisés, une utilisation distinctive de la musique et une distribution récurrente d'acteurs tels que Bill Murray, Owen Wilson, et Jason Schwartzman. Les films de Wes Anderson sont souvent considérés comme des œuvres d'art visuelles, et il a reçu de nombreuses nominations et récompenses pour son influence unique dans l'industrie cinématographique. Son travail est remarquable et très pointilleux, tout est dans le détail et je trouve cela très important. Selon moi le détail est ce qui permet à une oeuvre d'apporter plus d'intention.
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circe007 · 2 years ago
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This music, the introduction with the intense voice of David Bowie, came from the ancient worlds. That's what I felt during this scene. Quite powerful, honestly. You have not worked for nothing; not only did we see you but we were also bewitched thanks to you.A trance, a suspended moment....when we switch to another reality, that's Art !
Cette musique, l'introduction avec la voix intense de David Bowie, venue des mondes anciens. C'est ce que j'ai ressenti pendant cette scène. Assez puissante, honnêtement. Vous n'avez pas travaillé pour rien; non seulement on vous a vu mais on a aussi été envoûté grâce à vous. Une transe, un moment suspendu....quand on bascule dans une autre réalité, c'est ça l'Art !
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tulipanico · 2 years ago
Note
leggo molti generi diversi quindi consigliami qualsiasi libro
Mi aggiro per la libreria e scrivo:
Una stanza piena di gente, mix tra psichiatria e giurisprudenza, uno dei miei libri del cuore, parla della storia di Billy Milligan (caso mediatico statunitense).
Che tu sia per me il coltello, che letteralmente è stato una coltellata al cuore. Commovente, delicato e violento, composto, lirico a tratti.
Questo immenso non sapere, di cui condivido ogni parola, letteralmente, penso che sia un libro che dovremmo leggere tutti. Per imparare l'arte della delicatezza (ed amo il suo modo di scrivere).
L'amore molesto e più in generale i testi della Ferrante, invidio la sua penna, e poi ha un modo vivido di delineare le immagini, diviene facile figurarsi le scene davanti agli occhi.
Le ricette della signora Tokue, se vuoi un libro leggero e tocca cuore, come la scrittura giapponese può essere.
Atti osceni in luogo privato, romanzo di formazione di un personaggio maschile, di cui si ha modo di vedere tutto, anche gli aspetti più criticabili.
Mon Histoire, perchè insomma, sono i pensieri di Monet, che te lo dico a fare.
L'arte di legare le persone, poesia e psichiatria che si incontrano, e tutto ciò che si evince sono l'enorme delicatezza ed umanità non giudicante dell'autore (psichiatra).
Cosmetica del nemico, dialogo serrato tra due personaggi, e chi è il nemico? Rapido, con un climax di tensione, forte riflessione dietro.
Follia, ma tanto si è capito che l'ambito psicologico/psichiatrico mi piace.
Anche qualcosa di Starnone, ma non so quale scegliere. Però ecco, se hai richieste un pochetto più specifica vai pure.
Recensione dei libri che consiglio da amica:
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bourbon-ontherocks · 1 year ago
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I just finished watching l'Art du crime and I have THOUGHTS, so many thoughts...
Season 1 -> fun fun fun!!! Juge Roban my beloved!! 🥰 Doudou origin story!! I laughed SO HARD
Season 2 -> Less fun but still good, bonus point for the sixth sense vibes and the Entrapment reenact. HOW DARE YOU with the final scene though, I was not here to shed tears on childhood traumas but here we are I guess (also that scene... the child in the middle of the living room... shivers). Also. Hugs 🥹
Season 3 -> fabulous, amazing, show-stopping, spectacular, the professional adultery vibes were TOP NOTCH, peak comedy, ep 1 10/10, and Florence's final declaration at the end???? And the LOOKS in the final scene? Kill me now 😱
Season 4 -> WHERE HAS HER THERAPIST GONE??? 😭 No offense to the new one but what happened? The whole wedding plotline felt kinda out of nowhere, but the RING shenanigans???? Peak comedy 🤣 THE VOWS REHEARSAL SCENE FFS that was heartbreaking to watch 💔
Season 5 -> Fake dating!! Feelings!! Trapped together!! Sleepy cuddles!! 💕 More hugging!! Basically all the gifs I'd seen before getting started on the show
Season 6 -> My EMOTIONS oh my god!!!! Do I need to explain why ep 1 was incredible??? That last scene? With that scenery?? I was sent airborne 🫠 Ep 2 broke my heart in so many pieces I've most certainly lost some of them forever... I'm not opposed to Antoine suffering a bit, but boyyyy, that's cold. I NEED him to know about the little boy painting, I've been waiting since s3 for this 😭
According to Wikipedia, season 7 is gonna be amazing. Welcome to my new hyperfixation 😈
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grandhotelabyss · 2 years ago
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Hi, “imagined you in a fistfight on Twitter” guy here again. I somehow missed your acknowledgement of me on here the first time, although I can’t say I’m surprised to find out Carriere was in logo/Kantbot’s orbit. I was in considerably more vulgar though related spheres at the time- a curious thing about the culture war of the 2010s is that everyone right (at least online) seems to have some kind of prehistory on the left, and everyone left has some sort of prehistory on the right. Hell, I’ll admit that in that first flowering of antiwoke populism 10 years ago I even entertained a kind of neoneoconservative hope that the right could restore a sense of healthy liberalism to culture- and now I too sit in the grand hotel overlooking the abyss.
Thank you—and thanks for indulging the way I've blown up your Tweet into part of my "lore." In case you don't know my story, I'll tell it quickly so I'm not concealing my background.
As your Tweet pointed out, I'm older than the people in this scene (not quite 42 though!). I contracted my first humanly irrelevant and unworkable meme ideology from the internet almost 20 years ago. Under the pressure of the Bush years and the Iraq War—we really did think they were Christian fundamentalists who would deliberately end the world—I found the Marxist blog circles of which Mark Fisher is now remembered as the laureate. Within a month or two in the winter of 2004-2005, I became essentially what Haz is now: a Stalinist anti-imperialist, the hard left of the hard left. I remember doing push-ups every day in case I had to join an Abraham Lincoln Brigade in Venezuela!
This period lasted until a year or two into graduate school, coinciding with Obama's election, when the coursework convinced me such an ideology implied a socially functional approach to the arts, a puritan-iconoclast obliteration of literature by sociology, even a psychotic totalitarian terror of the emotions loosed by art. I decided the attitude I'd first carried to college with me as a lower-middle-class suburban teen remained far superior to Marxism: a flexible apolitical liberalism or "left conservatism" fortified by the aestheticism of The Western Canon and Sexual Personae (and ethically protected by the crypto Judaism and Catholicism, respectively, of those volumes). I stood down politically and wrote my dissertation as a defense of modernist l'art pour l'art—implicitly and inherently queer, for whatever it's worth to the people coming after me for my answer to that last question about alchemy. From that vantage, I watched the big woke-NRx wars of the last decade with alternating spasms of panic and mirth.
As for the whole sick crew of online ideologues, though, I wouldn't be so hard on them, at least not on the ones truly innocent of raw political power. When called upon to justify her own cultural and political shifts over the years, from radical anti-war activist to liberal pro-war activist and from avant-garde theorist to high-middlebrow novelist, Susan Sontag said the critical intellect always had to assault whatever was hegemonic because it was hegemonic, thus reified and soul-dead (I paraphrase and elaborate), hence her attack on high culture at the beginning of her career and her defense of it at the end. This seems right to me. If there weren't contrarians, even mindless knee-jerk contrarians, there wouldn't be anything, just the heat death of culture. Modern culture is dialectical; it functions only by negation. A major writer or thinker without either wild political shifts or, if they stayed on one side, work torn with political contradictions, is an impossibility. As a guardrail to negation, however, writers and thinkers should stay out of practical politics—out of Hanoi, out of Sarajevo, out of empire's (whichever empire's) direct line of business. The man said "unofficial legislators," emphasis on "unofficial."
But I believe the last decade's radical politics of left and right are over now—as I could feel the foreshocks of identitarian militancy in the college classroom in 2013, so I feel the foreshocks of ironic metaphysical quietism in 2023—and it's time for most people in the arts, if they can, to rest, to retreat into art and spirituality, to recover for a while.
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mongraffito · 4 days ago
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Eg/Fr/Sp
Why is Art censored, what about the freedom of speech?
An artist speaks through his works to himself (at least in my case) and to others. His is a testimony about a world that wants to understand. 
Yet, without being a frontrunner of erethic art, a number of my works have been banned on various social media platforms and a few of my accounts blocked, because I was a repeat offender.  
Patreon, being visible to people who deliberately want to watch whatever they sponsor, will hopefully not be this place.  
This first post is a mild illustration of the subjects that attract my interest.
They are ALL scenes between consenting adults. 
In general terms, they are: 
- Bondage, Dom/sub, Mater/slave. 
- Pain, self-inflicted or given to another man, who desires to be at the receiving end and the man who gets his rocks off when hurting (himself or others).  
- Scenes of Physical degradation and duress. 
- Fisting, footing CBT  
All my works are based on reality, scenes I’ve been part of as participant or witness.  Feel free to look away but these people will not cease to exist and try to be happy, in their own ways. 
My publications here will be regular and constant, probably in the beginning, like these first open images show, are trying to catch up with the past, the large amount of images I produced but not shared anywhere. 
Thank you for your contribution!
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Pourquoi l'art est-il censuré, qu'en est-il de la liberté d'expression ?
Un artiste parle à lui-même (du moins dans mon cas) et aux autres à travers ses œuvres.
Son œuvre est un témoignage d'un monde qui veut comprendre.
Pourtant, sans être un précurseur de l'art éréthique, un certain nombre de mes œuvres ont été interdites sur diverses plateformes de médias sociaux et quelques-uns de mes comptes ont été bloqués, car j'étais un récidiviste.
Patreon, étant visible pour les personnes qui veulent délibérément regarder ce qu'elles sponsorisent, ne sera pas cet endroit, espérons-le.
Ce premier article est une légère illustration des sujets qui attirent mon intérêt.
Ce sont TOUTES des scènes entre adultes consentants.
En termes généraux, ce sont :
- Bondage, Dom/sub, Mater/slave.
- La douleur, auto-infligée ou donnée à un autre homme, qui désire être à l'extrémité réceptrice et l'homme qui prend son pied en faisant mal (à lui-même ou aux autres).
- Scènes de dégradation physique et de contrainte.
- Fisting, footing CBT
Toutes mes œuvres sont basées sur la réalité, des scènes auxquelles j'ai participé en tant que participant ou témoin.
N'hésitez pas à détourner le regard mais ces personnes ne cesseront pas d'exister et essaieront d'être heureuses, à leur manière.
Mes publications ici seront régulières et constantes, probablement au début, comme le montrent ces premières images ouvertes, essayant de rattraper le passé, la grande quantité d'images que j'ai produites mais que je n'ai partagées nulle part.
Merci pour votre contribution !
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¿Por qué se censura el arte?
¿Qué pasa con la libertad de expresión? Un artista habla a través de sus obras para sí mismo (al menos en mi caso) y para los demás. El suyo es un testimonio de un mundo que quiere comprender.
Sin embargo, sin ser un pionero del arte erético, varias de mis obras han sido prohibidas en varias plataformas de redes sociales y algunas de mis cuentas bloqueadas, porque era un reincidente.
Patreon, al ser visible para personas que deliberadamente quieren ver lo que patrocinan, espero que no sea este lugar.
Esta primera publicación es una ilustración leve de los temas que atraen mi interés. TODAS son escenas entre adultos que consienten.
En términos generales, son:
- Bondage, Dom/sub, Mater/esclavo.
- Dolor, autoinfligido o infligido a otro hombre, que desea ser el que lo recibe y el hombre que se excita cuando se lastima (a sí mismo o a los demás).
- Escenas de degradación física y coacción.
- Fisting, footing CBT
Todos mis trabajos están basados ​​en la realidad, escenas de las que he sido parte como participante o testigo.
Siéntete libre de mirar hacia otro lado, pero estas personas no dejarán de existir y tratarán de ser felices, a su manera.
Mis publicaciones aquí serán regulares y constantes, probablemente al principio, como muestran estas primeras imágenes abiertas, estoy tratando de ponerme al día con el pasado, la gran cantidad de imágenes que produje pero que no compartí en ningún lado.
¡Gracias por tu aportación!
Faggod | queer creator of visual analogue art | Patreon
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lalacrimafacile · 7 days ago
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Dentro la Mente del Crimine: Mindhunter e l’Arte di Raccontare il Male
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Il mondo delle serie TV poliziesche e crime è vasto e variegato, ma poche opere riescono a distinguersi e a lasciare un segno indelebile come "Mindhunter". Questa produzione targata Netflix, ideata da Joe Penhall e basata sul libro "Mindhunter: Inside the FBI's Elite Serial Crime Unit" di John E. Douglas e Mark Olshaker, ha catturato l'attenzione del pubblico grazie alla sua intensità psicologica, all'accuratezza storica e a un cast di attori straordinari. In questo articolo, esploreremo gli elementi che rendono "Mindhunter" una delle serie più affascinanti e inquietanti degli ultimi anni.
Performance da Brivido: Il Cast di Mindhunter Lascia il Segno
Uno degli aspetti più impressionanti di "Mindhunter" è la straordinaria performance del suo cast principale. Jonathan Groff, nel ruolo dell'agente Holden Ford, offre una rappresentazione complessa e sfaccettata di un uomo che diventa sempre più ossessionato dai serial killer che studia. Groff riesce a trasmettere la lotta interiore di Ford tra il suo desiderio di comprendere i criminali e il rischio di perdere la propria umanità nel processo.
Holt McCallany, che interpreta l'agente Bill Tench, è altrettanto notevole. Il suo personaggio rappresenta il bilanciamento tra il pragmatismo e la sensibilità umana. McCallany dona a Tench una profondità emotiva che emerge soprattutto nelle scene familiari, offrendo un contrappunto alle cupe interviste con i criminali.
Anna Torv, nei panni della psicologa Wendy Carr, completa il trio principale con una performance di grande intelligenza e rigore. La sua presenza sullo schermo è magnetica, e il suo personaggio rappresenta la voce della scienza e della razionalità in un mondo dominato dalla violenza e dall'irrazionalità.
Atmosfere Oscure: L'Arte delle Riprese e della Fotografia
"Mindhunter" si distingue anche per la sua eccezionale fotografia e per l'attenzione ai dettagli visivi. La serie è diretta da registi del calibro di David Fincher, che ha anche contribuito come produttore esecutivo. Fincher è noto per il suo stile visivo distintivo e per la sua capacità di creare atmosfere inquietanti e claustrofobiche.
Le riprese sono caratterizzate da un uso sapiente delle luci e delle ombre, che amplifica il senso di tensione e di mistero. Le inquadrature sono spesso statiche e composte con precisione, riflettendo la natura metodica delle indagini condotte dai protagonisti. Questa attenzione al dettaglio visivo contribuisce a immergere lo spettatore nel mondo oscuro e disturbante della psicologia criminale.
Il Rasoio del Montaggio: Una Tensione Costante in Mindhunter
Il montaggio di "Mindhunter" gioca un ruolo fondamentale nel creare un'atmosfera di costante inquietudine. Le scene si alternano tra interviste con serial killer, momenti personali dei protagonisti e flashback che gettano luce su eventi passati. Questo ritmo narrativo non lineare contribuisce a mantenere alta la tensione e a creare un senso di disorientamento che rispecchia l'esperienza dei personaggi.
Le interviste con i serial killer sono particolarmente potenti grazie a un montaggio serrato che mette in evidenza le reazioni degli agenti e le inquietanti confessioni dei criminali. Queste sequenze sono spesso accompagnate da un sound design minimale ma efficace, che amplifica il senso di disagio.
Misteri Non Risolti: Il Fascino delle Scene Enigmatiche
Un elemento distintivo di "Mindhunter" è l'inserimento di scene che non vengono spiegate fino alla fine della stagione, se non addirittura lasciate in sospeso. Questo approccio narrativo stimola la curiosità dello spettatore e lo invita a riflettere su ciò che ha visto. Un esempio emblematico è rappresentato dalle brevi sequenze che mostrano un uomo misterioso, apparentemente scollegato dalla trama principale, che si rivelano essere indizi su Dennis Rader, noto come il BTK Killer.
Questi momenti enigmatici contribuiscono a creare un'atmosfera di perenne incertezza e a suggerire che il mondo del crimine seriale è complesso e spesso incomprensibile. La decisione di non spiegare immediatamente ogni dettaglio permette alla serie di mantenere un alone di mistero e di coinvolgere lo spettatore in un gioco di deduzione e scoperta.
Gli Anni '70 Rivisitati: Un'Ambientazione Curata nei Minimi Dettagli
Un altro aspetto che rende "Mindhunter" una serie straordinaria è la sua capacità di trasportare lo spettatore negli anni '70. La serie si svolge in un'epoca in cui il concetto di criminal profiling era ancora agli albori, e questa ambientazione è resa con una cura maniacale per i dettagli.
Dai costumi ai set, ogni elemento visivo è studiato per riflettere fedelmente l'epoca. Le auto, le abitazioni, gli uffici dell'FBI e persino gli accessori quotidiani contribuiscono a creare un'atmosfera autentica. Questa precisione storica non solo arricchisce la narrazione, ma immerge lo spettatore in un periodo di grandi cambiamenti sociali e culturali, facendo da sfondo perfetto alle complesse vicende dei personaggi.
Conclusione
"Mindhunter" non è solo una serie poliziesca; è un'esperienza psicologica intensa e coinvolgente. Grazie alle straordinarie performance degli attori, alla maestria delle riprese e della fotografia, a un montaggio inquietante e a una narrazione che lascia spazio al mistero, questa serie ha saputo conquistare il cuore di molti appassionati del genere crime. Se siete alla ricerca di una serie che vada oltre i semplici cliché del genere poliziesco e che offra uno sguardo profondo e disturbante nella mente dei criminali, "Mindhunter" è una scelta imperdibile.
Se volete altri articoli qui trovale il link. Sempre vostra, EasyTears!
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