#l'amour par terre
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L'amour par terre / Love on the Ground Jacques Rivette. 1984
House 14 Av. d'Eylau, 75016 Paris, France See in map
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Femmes du monde...
Flash sur des scènes de vie où les émotions sont intenses. Par-delà terres et mers, des richesses à garder, comme autant de beauté, aux couleurs de la simplicité, de l'amour et du respect.
#au-jardin-de-mon-coeur✒️
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Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes, où je me saoule pour penser à autre chose qu'à toi, avec l'effet contraire. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J'aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n'y arrive pas. Si tu connais un truc pour t'oublier, fais le moi savoir. Je viens de passer le pire week-end de ma vie. Jamais personne ne m'a manqué comme ça. Sans toi, ma vie est une salle d'attente. Qu'y a-t-il de plus affreux qu'une salle d'attente d'hôpital, avec son éclairage au néon et le linoléum par terre ? Est-ce humain de me faire ça ? En plus, dans ma salle d'attente, je suis seul, il n'y a pas d'autres blessés graves avec du sang qui coule pour me rassurer, ni de magazines sur une table basse pour me distraire, ni de distributeurs de tickets numérotés pour espérer que mon attente prendra fin. J'ai très mal au ventre et personne ne me soigne. Être amoureux c'est cela : un mal de ventre dont le seul remède, c'est toi. J'ignorais que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie.
- Frédéric Beigbeder.
- L'amour Dure Trois Ans
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Une terrible épreuve
Pour @babybeeelle j’espère vraiment que ça va te plaire 😌💜
numéro 5 « personne ne va vous faire de mal ».
Agatha x Reader
Reader avait décidé de suivre Agatha sur la route des sorcières, une décision qui l'emplissait d'une étrange excitation mêlée d'appréhension. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait accepté, mais au fond d'elle, une flamme d'amour secret pour Agatha brûlait doucement, la poussant à avancer sur ce chemin mystérieux. La route, sinueuse et parsemée de pierres scintillantes, semblait vibrer d'une magie ancienne, chaque pas résonnant avec les murmures des sorcières passées.
Arrivée au centre d'un pentacle dessiné avec soin, Reader s'assit, le cœur battant. Les symboles gravés dans le sol brillaient faiblement, illuminés par une lueur spectrale qui émanait de l'air lui-même. Elle pouvait sentir l'énergie de l'épreuve l'entourer, une pression palpable qui l'invitait à plonger dans les profondeurs de son être. Les ardeurs de son passé se mêlaient à l'atmosphère, des souvenirs lointains affluant comme des vagues tumultueuses.
Alors qu'elle fermait les yeux, des images commencèrent à se former dans son esprit, des scènes de bonheur et de douleur. Elle revoyait les moments de sa jeunesse, les rires qui avaient tourné au drame, les promesses brisées. Chaque souvenir était une épine dans son cœur, mais elle savait qu'elle devait les affronter. Reader respirait profondément, cherchant la force dans l'amour qu'elle ressentait pour Agatha, un amour qui lui donnait le courage de se confronter à ses démons.
La voix d'Agatha résonnait dans son esprit, douce et rassurante, l'encourageant à avancer. Reader laissa alors son esprit la guider, et soudain, elle se retrouva au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait entre les arbres majestueux. Les troncs noirs et noueux semblaient murmurer des secrets oubliés, tandis que le parfum de la terre humide et des feuilles fraîches éveillait en elle un sentiment de nostalgie. Ce lieu, elle le connaissait bien, un souvenir qu'elle avait soigneusement enfoui dans les recoins sombres de son esprit.
Elle se revit le jour de sa congrégation, entourée de ses jeunes amies sorcières, toutes vêtues de robes blanches éclatantes, symboles de leur pureté et de leur engagement. Le rituel sacré avait commencé dans une ambiance festive, les chants résonnant harmonieusement sous le ciel d'azur. Les rires et les éclats de voix remplissaient l'air, créant une atmosphère de joie et d'espoir. Reader se sentait invincible, unie à ses amies par le lien sacré de la sorcellerie.
Mais cette joie fut de courte durée. Reader revit le moment où la chef de la congrégation, une figure autoritaire et redoutée, prit la parole. Son ton, d'abord solennel, devint soudainement glaçant. Reader sentit un frisson parcourir son échine alors qu'elle réalisait que quelque chose n'allait pas. L'atmosphère festive se transforma en un cauchemar éveillé lorsque la chef, dans un acte de trahison impensable, commença à tuer les sorcières une par une.
Les cris de ses amies résonnaient dans son esprit, des échos de terreur et de désespoir. Reader revit chaque visage, chaque regard rempli d'incompréhension et de douleur, alors que l'horreur se déroulait devant elle. Elle se tenait là, pétrifiée, incapable de réagir, observant ses amies tomber, une à une, comme des feuilles emportées par le vent d'automne. Le sang coulait, teintant la terre d'une couleur rouge sombre, et le chant joyeux se transforma en un cri de désespoir.
Reader sentit son cœur se serrer, une douleur aiguë l'envahissant alors qu'elle revivait cette scène tragique. Elle savait qu'elle devait faire face à ce souvenir, affronter la culpabilité qui l'avait rongée depuis ce jour fatidique. La forêt, bien que magnifique, était devenue le théâtre de sa plus grande peur, et elle savait qu'elle ne pourrait avancer tant qu'elle n'aurait pas confronté cette part sombre de son passé.
Reader se tenait là, confrontée à une scène de son passé, les souvenirs s'entrelaçant comme des fils d'une toile complexe. Les images floues de moments douloureux s'affichaient devant elle, chaque visage, chaque voix résonnant dans son esprit. Elle pouvait presque sentir la chaleur des larmes qui coulaient sur ses joues, mais c'était à ce moment précis qu'une compréhension profonde l'envahit : rien de tout cela n'était de sa faute. Cette révélation, comme un éclair de lumière dans l'obscurité, lui apporta une forme de libération.
Cependant, cette prise de conscience ne venait pas sans un coût. À mesure qu'elle revenait à elle-même, une vague d'angoisse l'envahit. Son corps commença à trembler, les muscles se contractant sous la pression de ses émotions. Sa respiration devint rapide et saccadée, chaque inhalation semblant plus difficile que la précédente. Elle se tenait là, perdue dans un tourbillon de sensations, la peur et la tristesse s'entremêlant dans son cœur. Reader ferma les yeux un instant, essayant de retrouver son calme, mais les souvenirs continuaient de l'assaillir, comme une tempête qui ne voulait pas se calmer.
Agatha s'approcha lentement, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle voyait la femme qui faisait battre secrètement son cœur dans un état de vulnérabilité. Les larmes brillaient dans les yeux de Reader, et Agatha ne pouvait plus résister. Elle la prit immédiatement dans ses bras, la serrant contre elle avec une tendresse désespérée.
"Personne ne va te faire de mal..." murmura-t-elle doucement, sa voix un mélange de douceur et de détermination.
Reader ferma les yeux, cherchant du réconfort dans l'étreinte chaleureuse d'Agatha, essayant de calmer le tumulte qui régnait en elle. Agatha, sentant la tension dans le corps de Reader, la serra encore plus fort, comme si elle pouvait absorber toute la douleur de son amante.
"Je ne laisserai personne te faire du mal, je te le promets," chuchota-t-elle à nouveau, sa voix un doux murmure qui flottait dans l'air. "Tout va bien, chérie."
Ces mots résonnaient comme une promesse sacrée, un serment fait dans l'intimité de leur étreinte, alors qu'Agatha savait que rien ne serait jamais assez fort pour briser le lien qui les unissait.
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Il est sept heures du matin, les ombres s'éveillent, Odeur de café noir, rêves en décombres, Débordement insensé, le cœur en sommeil, Une couche de terre où nos âmes sombrent. Mes poumons brûlent, éclats de nuits sans fin, Dogmes nouveaux pour apaiser l’invisible, Je pars rejoindre l'oiseau de nuit malin, Dans sa maison au brouillard indélébile. Poison léger, fluide rubis en transe, Corps céleste filant, au ciel désenchanté, Jamais lassé par tes mots, sombre danse, De mon cœur vagabond, corridors hantés. Ta présence comble les vides infinies, Quel est ce masque que tu donnes à l'amour ? Le train ralentit derrière les monts ternis, Veux-tu m’accompagner dans mes vices pourpre ?
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"Comme le vent porte nos prières pour la terre et toute vie, que le respect et l'amour éclairent notre chemin. Que nos cœurs soient remplis de compassion pour les autres et pour nous-mêmes. Que la paix augmente sur Terre. Que ça commence par moi…" Prière tibétaine
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Le compte à rebours
Je vous parlais il y a peu (c'était à propos de ''Thorin'', notre cousin-néandertal redécouvert il y a peu dans la Drôme) du retour des guerres tribales, du ''moi seul contre tous'' et, d'une violence diffuse mais aux relents préhistoriques... Et voilà que, comme un contre-point de ce constat, Monsieur (j'y tiens !) Bouallem Sansal écrit un ''Vivre, le compte à rebours'', qu'il faut lire –comme tout ce qu'écrit ce géant de la pensée, orgueil de la francophonie : il fourmille d'idées brillantes... mais parfois si tristes, à la fois.
Une phrase, je crois, résume tout et justifie le livre ''Notre époque –écrit Sansal-- pense petit et bête, et ne pense même plus, enfermée dans sa nullité. Ecoutez et regardez les politiciens, et vous comprendrez tout''. Dans les années 1960-1970, l'humanité insouciante et arrogante s'était laissée prendre dans la folie du consumérisme et du ''toujours plus'' à l'américaine. Mauvaise idée ! Elle a alors découvert brutalement que notre pauvre planète, surpeuplée et surexploitée, se mourait sous nos yeux et qu'il n'y avait pas de solution à long terme. En se donnant un mal fou, on a réussi à étirer ce délai un siècle plus loin. Le compte à rebours a commencé et tous les narratifs religieux, philosophiques et politiques qui fournissaient des schémas rassurants se sont effondrés ou sont en train de le faire. ''Dieu lui-même n'y peut rien, ajoute Sansal : la vie est mortelle !''.
Le constat suivant porte sur notre monde, ultra mécanisé, hypra standardisé, qui est devenu trop triste, trop pauvre : il ne propose plus que du normatif, du ''contre nature'', de l'abrutissement, et de faux échappatoires pour mourir sans douleur. Il existait un moyen qui pouvait permettre de nous rendre globalement plus intelligents et plus inventifs, c'était l'école... et à voir l'état du monde, elle n'a pas été à la hauteur : non seulement nous avons perdu le sens de l'histoire et notre intimité avec la Nature, mais nous avons tué nos deux seuls nids protecteurs : la famille et son intrication avec et dans la société. Hélas la France, conclut Sansal, s'est disqualifiée elle-même.
L'homme, comme toute théorie (car ce que nous appelons ''Homme'' est lui-même une théorie, dont la ''définition'' a souvent changé, au cours des âges) ne peut se construire que sur quelques axiomes de base qui vont former un ''credo'' lui permettant de gouverner sa vie. Dans ce sens, précise Sansal, qui est musulman, le concept de ''Trinité'' a été un merveilleux credo ''qui a permis au catholicisme de bâtir une merveilleuse civilisation apostolique et romaine qui a illuminé le monde pendant près de deux millénaires'' et a été remplacée par un pseudo-pacifisme-pour-enfants, et l'amour-du-prochain'', si porteur de progrès, s'est ratatiné en un ''vivre ensemble'' aussi impossible que mensonger). La magie catholique s'est éteinte, et on a alors prétendu qu'il existerait d' autres ''trinités'', toutes fausses, pour faire tourner la Terre. (NDLR : on aurait du mal à trouver un européen, aujourd'hui, qui oserait affirmer de telles vérités).
Au moment où semble parfois s'approcher le terme de notre aventure humaine sur la Terre (ou en tout cas, de clore un énorme chapitre... ça, c'est certain), la ''trinité'' qui semble avoir le vent en poupe est le ''wokisme'', une théorie de Blancs, faite par des Blancs, soi-disant pour les Noirs, qui repose sur 'la culpabilité, la repentance, et le désordre général'', ce qui en fait, dit Sansal, ''plus de la fumisterie et de la coquetterie sado-maso mal placée qu'autre chose''. Mais tout est punitif, aujourd'hui.
Un bel exemple de cette déviance forcenée réside dans ce qu'est devenue l'écologie, qui n'est plus que le laboratoire du développement de la folie destructrice et du châtiment à bon droit dans tous les domaines : la justice, l'économie,la gouvernance, la culture, et même la science... sont pourries et viciées par la ''pensée'' (?) écolo. ''L'écologie n'est plus qu'une formidable machine à offrir à chacun le droit de punir n'importe qui sur de mauvais motifs et pour de mauvaises raisons... mais en invoquant le ''bon droit'' (sic !), précise Sansal. De manière difficilement explicable tant cette évolution est porteuse de malheur, la Foi a été remplacée par ''le Droit'' comme ''ultima ratio'', et c'est cet abandon de la Foi de nos Pères, seule source d'existence et de possibilité de durée qui est le signe le plus inquiétant de notre engagement sur la route de la fin.
Et puisque nous parlons de religion (via la Foi), reconnaissons que ''les musulmans, en déclarant unilatéralement que Dieu –Allah dans leur cas-- parle arabe ''puisqu'il est arabe'' (c'est l'intangible Coran qui le dit), ''se sont auto-attribué un pouvoir absolu et un droit d'usage préférentiel sur tout l'univers''. (NDLR : et à en juger par le résultat à cet instant, ils ont du faire une erreur de traduction ou d'interprétation quelque part : d'un côte ''un monde musulman dans un état de folie infinie'' –dixit Sansal !-- et de l'autre une hostilité universelle qui se développe sans possibilité apparente de rémission.
L'idéologie du moment, ''le matérialisme le plus sordide qui puisse être, axé sur la possession de biens matériels et les compétitions qui découlent de ce désir mortifère'' éteignent en nous les lumières de l'esprit et et ferment toute porte à la transcendance –dont nous avons besoin plus que jamais. Est-ce la fin du monde qui se prépare devant nous... ou la fin de l'humanité ? Je parierais plus certainement pour la fin de l'Homme dans ce qu'il avait, précisément, de grand, de beau ou de transcendantal. Toujours est-il que la voie que nous avons librement choisie ne nous parle que de guerres (Rappel : 59 officiellement reconnues aujourd'hui, donc sans doute davantage...), et nous reparle périodiquement de nucléaire, ici ou là... Il y a de quoi s'inquiéter, non ? Le compte à rebours aurait-il déjà commencé, à l'insu de notre plein gré
Un dernier point, qui doit être ''fait'' : un mois après ces réflexions tellement douloureuses pour nous (mais qui peuvent être les dernières à pouvoir nous réveiller), Boualem Sansal est revenu à l'assaut de la forteresse de notre aveuglement : ''La France est en train de mourir sans le savoir... ou peut-être sans vouloir le savoir''. Que de regrets nous allons avoir, pour avoir tant et tant de fois refusé de voir ce qui nous crevait, littéralement, les yeux !
H-Cl.
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Fanfiction; Histoire Original Modifié.
Ma version du Maïa Mairon.
"Mairon était un des Maiar les plus puissants, il fut créé par Ilúvatar avant la Musique des Ainur. Au début des temps, il devient l'un des Maiar d'Aulë, considéré comme puissant et surpassé seulement par Eönwë en personne."
"La vertu de Mairon était son amour de l'ordre, de la planification et de la coordination, et il n'aimait pas la confusion et le chaos. Il était le forgeron le plus talentueux sur Arda. Fin créateur, il était nommé Mairon l'admirable. Mais ses obsessions pour le pouvoir et l'ordre entraîneront sa chute lorsqu'il commença à admirer la capacité de Melkor à réaliser ses créations rapidement et magistralement. Avant l'avènement de Sauron, Mairon eut une vie de bonheur dans le printemps éternel et eut même une épouse."
"Lorsque l'enfant des Valar vint sur Ea, les Maïar les plus prestigieux avaient pour rôle de lui enseigner leurs talents. Silfmadriel possédait des pouvoirs de création par la simple volonté de l'esprit, car son esprit était relié à celui d'Erù et que sa volonté ne pouvait être compromise. C'est lors de ses nombreuses rencontres avec l'enfant des Valar, que le Maïa commença à la convoité. Son pouvoir sans limite, mais bien qu'encore limitée par son manque d'expérience, Mairon l'admirait et l'enviait au plus haut point. Mais Sílfmadrìel user volontiers de ses talents pour aider Mairon dans ses créations. Plus ils pratiquaient, plus les pouvoirs de Silfmadriel augmentaient et les créations de Mairon forcé le respect de tout le royaume. Au fil du temps leurs relations se développa et un amour naquit entre la Vala et le Maïa. Mairon avait un caractère possessif mais un cœur qui pouvait être extrêmement tendre et protecteur. Quand Silfmadriel ne passait pas son temps à perfectionner ses pouvoirs auprès des Maïar et des Valar, c'est avec Mairon qu'elle le passait. Après des années, Mairon demanda sa main a Manwë en personne, ainsi Silfmadriel devint son épouse."
"Ils eurent des années de bonheur durant les années des lampes. Parfois Mairon déplorait le fait que Silfmadriel refuse d'user de ses dons pour obtenir plus. Mais elle avait acquis la sagesse de savoir que ses dons étaient pour œuvrer à contré Melkor et les ténèbres créée sur Arda, et non pas pour son intérêt. Il n'y avait que Silfmadriel pour canaliser les mauvais côtés de Mairon, mais il fut pris au piège par Melkor et devint malgré lui, son espion sur l'île d'Almaren."
"Melkor ruina les Deux Lampes, et quand Almaren fut également détruit, les Valar se déplacèrent vers le Royaume Béni d'Aman. Aveuglé par l'amour, Silfmadriel ne percevait toujours pas la trahison de Mairon. Avant de quitter le Royaume Béni pour la terre du milieu, Mairon tenta de convaincre Silfmadriel de le suivre dans les ténèbres, lui insufflant que leurs pouvoirs n'auraient aucune limite et qu'ils pourraient même défaire Melkor. Mais quand elle comprit sa traîtrise, elle le rejeta et il perdit la seule personne qu'il aimait réellement."
"Dans une période sombre où Melkor dominait sans limites, Mairon s'agenouilla devant lui en tant que son plus grand et plus fidèle serviteur. Ainsi, il fut connu sous le nom de Gorthaur par les Sindar de Beleriand et Sauron par d'autres. Au départ, Sauron n'était pas aussi méchant que Morgoth, car il servait quelqu'un et non lui-même et contrairement à Melkor, qui voulait défaire et corrompre le monde, Sauron souhaitait le gouverner et récupérer celle qui lui était la plus précieuse..."©
Création par Intelligence Artificielle.
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"Aucune histoire banale gravée dans ma mémoire Aucun bateau pirate ne prendra le pouvoir Aucune étoile filante me laissera dans le noir Aucun trac, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucune larme aucune ne viendra m'étrangler Aucun nuage de brume dans mes yeux délavés Aucun sable ni la dune n'arrête le sablier Aucun quartier de lune, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun autre décor, aucun autre que toi Aucune clef à bord, aucune chance pour moi Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun requin, aucun air triste Aucun regret, aucun séisme Aucune langue de bois Aucun chaos, aucun, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large" Françoise Hardy
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"Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "À demain" Rien ne défera jamais nos liens Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train L'amour est plus fort que le chagrin L'amour qui fait battre nos cœurs, va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or, tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel, se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas, tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d'une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive Je s'rai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l'espace qui lie ciel et la terre, se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore, il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes, la source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre se cache le plus beau des mystères Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort" Françoise Hardy
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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Et si Baudouin IV de Jérusalem avait aimé une femme ?
(Pour les besoins de cette histoire, j'ai nommé la jeune femme : Aliénor de Tripoli).
Les remparts de Jérusalem résonnaient des cris des marchands et des chevaliers en armure, mais Baudouin IV ne prêtait guère attention au tumulte de la ville. Le jeune roi de Jérusalem se tenait seul sur la terrasse du palais royal, contemplant le coucher de soleil sur la Terre Sainte.
Son visage défiguré par la lèpre le faisait souffrir chaque jour davantage, mais c'était un fardeau qu'il portait stoïquement pour son peuple. Cependant, une lueur d'espoir brillait encore dans son cœur tourmenté : Aliénor de Tripoli.
Aliénor était son amie d'enfance, une jeune femme d'une beauté éclatante et d'une grâce incomparable. Elle était la seule à ne pas le regarder avec dégoût ou pitié, la seule à voir au-delà de sa maladie pour admirer l'homme qu'il était vraiment.
Mais Baudouin savait qu'il ne pouvait pas lui offrir l'amour qu'elle méritait. Il jugeait sa propre existence maudite, condamnée à la solitude et à la souffrance. Comment pouvait-il souiller une créature aussi pure et innocente que sa chère Aliénor?
Pourtant, ce soir-là, alors que les étoiles commençaient à poindre dans le ciel sombre, Baudouin sentit une force irrésistible le pousser vers la chambre d'Aliénor. Il trouva la jeune femme dans ses appartements, s'apprêtant à aller au lit. Lui permettant d'entrer, ils s'assirent sur des chaises rembourrées, sans parler.
"Aliénor", murmura-t-il, la voix empreinte d'émotion et de doute. "Je ne devrais pas être ici, je suis un monstre. Tu mérites tellement mieux que ça."
Aliénor se leva lentement, ses yeux brillants d'une tendresse infinie. Elle s'approcha de Baudouin et posa doucement sa main sur sa joue ravagée par la maladie.
"Tu es la plus belle âme que j'aie jamais rencontrée, Baudouin. Ta maladie n'a pas le pouvoir de ternir la lumière qui brille en toi. Je t'aime, lépreux ou non."
Les larmes coulèrent sur les joues de Baudouin, mêlant la douleur et l'amour dans son cœur meurtri. Il prit Aliénor dans ses bras, sentant le frisson de l'étreinte lui parcourir l'échine. Alors que deux bras qu'il ne sentait pas se refermaient dans son dos et que la tête de la dame se blottissait contre son cou meurtri.
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Si je devais renaître et si je pouvais choisir d'être quelqu'un d'autre, je choisirais d'être certainement la mère de ma mère.
Pourquoi ?
Et bien, je lui donnerais tous les baisers qu'elle a manqués quand elle était petite.
Je lui lirais toutes les histoires que personne ne lui a jamais lues.
Quand je la borderai la nuit, je lui dirai avec tout mon amour combien je l'aime.
Je lui apprendrais que la vie est belle dans les bras de celui qui t'aime.
Je lui achèterais une pomme caramel.
Je lui chanterais des chansons.
On jouerait par terre.
Je la coifferais tous les matins et irais à l'école.
Je n'aurais pas à travailler si petite.
Je ne devrais pas pleurer autant.
Je ne grandirais pas en couchant son cœur avec tristesse.
Et je serais une enfant heureuse.
Si je pouvais être quelqu'un d'autre, je serais sa mère sans hésitation, je lui apprendrais que l'amour n'est pas une douleur et combien c'est merveilleux de se réveiller.
Parce-que si je l'aime tant, comme je l'aimerais quand je la prendrais dans mes bras à la naissance !
Auteur inconnu
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Mon prénom, c'est mon père qui l'a choisi
Il m'a toujours dit que j'étais magnifique
Et j'y ais cru chaque fois
Jusqu'à ce que la vérité se voit
D'apparence, tout était parfait
J'avais tout l'amour, dont il me fallait
Les problèmes qui était là,
Je ne les voyais pas
Et puis je l'aimais tellement
J'aurais pu crever pour lui
De toutes les personnes sur terre,
C'est lui que je préférais
Je lui parlait,
De tout mes tourments d'enfant
Assis sur ses genoux,
J'étais en sécurité
Et puis un jour, il m'a prit dans ses bras
Et c'est allé trop loin
Je savais, que quelque chose n'allait pas
Mais j'étais pétrifié
Pendant que le monde,
A arrêté de tourner
J'ai réussi à bouger, t'as arrêté
Comme si de rien n'était
C'était la première fois
Qu'en croisant ton regard
J'étais terrifié
Toi qui me protégeais
Maintenant tu me détruisais
J'ai eu le cœur brisé
Chaque fois que tu l'as fait
Je ne faisais que t'aimer
Et t'en as profité
Tu m'as souillé.
Quand ça c'est su,
Personne n'a rien fait
Tout le monde a tue le sujet
Personne ne m'a aidé
Personne ne m'a protégé
Je me suis retrouvé seul
Face à ma culpabilité
Puis j'ai grandi
Je suis devenu adulte
Et j'y pense tout les jours
Tout les putains de jours qui passent
Et j'essaie d'avancer
Mais je suis terassé
Par le souvenir de ta main
Entrain de me toucher
Je la sens encore
Posé sur mon corps
Jvoulais pas ce qu'il s'est passé
Tout ça c'est de ta faute
Pourtant ils t'ont tous protégés
Pourtant c'est moi qui suis rongé
Jme sens coupable
De la merde que tu es
Je m'en veux
De t'avoir laissé faire
Alors que moi,
J'étais qu'un enfant
Tu m'as trahis
Et puis sali
Quand j'étais petit
J'aimais tellement mon père
J'aurais pu crever pour lui
De toutes les personnes sur terre,
C'est lui que je préférais
Et puis un jour, il m'a prit dans ses bras
Et c'est allé trop loin
Mais c'est pas grave
J'en parle pas
Et tout vas bien.
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Esquisse de liaison
Etoile dans un oeil et météorite dans l'obscur.
Au creux de toi j'entends bien une nouvelle petite voix,
Petit poème d'espoir et de gloire en ton nom qui oubliera le lien de ceux de qui tu étais pour naître par toi-même.
Espoirs de croire encore et toujours et de faire la cours à celle que j'aime tous les matins et quitte tous les soirs .
Parfum d'espoir dans la terre que je dévore et ressuscite le Saint dans ses souvenirs les moins douloureux.
Et la Vie, la vie...
Réceptacle de toutes emotions, passions, fusions d'un soir,
Mais il n'y a pas de hasard,
Attraction de l'univers,
Ou bien des buissons,
Qui nous rendrons tout simplement paulysson.
J'aime virer de bord à travers ton regard qui déborde de désir,
Donner à notre nature la plus profonde,
La succion et l'accomplissement de tes trésors trop loin éloignés de ta stupeur maladroite de ne pas assumer la mignognerie de lumière que tu es.
Et ne quitte point ton chemin,
Dans l'arbre d'efficience une branche se liera bien à la tienne,
Donnant un trésor tellement charmant que la splendeur de l'humanité n'aura qu'un pion de plus a creux de ton jolie ventre,
Un pion qui grandira,
Se développera,
Me dépassera.
Apprenant de mes imperfections et des tiennes,
Tel un dessin, esquissant le refrain de la beauté qui n'est plus de nos philosophies réciproques.
Et ton Amour sans équivoque,
Me rappelle les légendes des plus anciens,
L'amour du début de la fin comme un battement de paupières.
Te faire pousser,
Nous faire grandir,
Ensemble.
Un dessin d'essai qui deviendra brouillon magnifique,
Merci à toi,
Ton esprit,
Et en dernier,
Ta jolie plastique
P.amis
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Tu parles de moi quand je suis pas là
Bébé tu fais comme tout Paname
Les ch'veux blonds, la gueule en bataille
Cramée comme Hannah Montana
Dans la rue personne me cala
Les yeux rouges et le teint blafard
J'ai foutu l'bordel dans Paname
J'ai tout foutu par terre
J'te connaissais par cœur
T'es plus rien qu'un larsen
Au loin dans mon Master
Est-ce que j'en vaut la peine
Au milieu des acteurs
J'ai la rage dans l'artère
Et la classe qui tape l'œil
Tu vois
Moi je brise tout ce que je tiens
Attrape l'air avec tes mains
Il s'envolera au matin
Et c'est pas si grave que ça
Fais des doigts aux corbillards
À la nuit, à nos histoires
Même si il nous reste plus qu'ça
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
Tant que tu gardes, gardes, gardes, gardes
Un sourire au coin des l��vres
Un sourire au coin des lèvres
S'il est trop tard, tard, tard, tard
Oh bébé rempli mon verre
Oh bébé rempli mon verre
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
Ma gueule en grand sur une affiche
Tout mes copains ils sont partis
Fuck un taf fuck une vie d'artiste
J'me paye ta tête, tu payes ma tise
Putain mais pourquoi t'es parti
Putain mais pourquoi ça m'attire
J'ai dis fuck la thune dans mes sons
J'ai louché devant les tarifs
Ces bails ça monte à la tête
J'suis comme tout le monde j'suis contradictoire
Guette sur scène je cloue des becs
Pendant qu'je fais tomber des mâchoires
J'te promets qu'j'en vaut la peine
J'suis comme tout le monde j'me suis faite avoir
Guette sur scène je cloue des becs
Pendant qu'je fais tomber des mâchoires
Comme Hannah Montana
J'ouvre un magasin de larmes
Des paroles à code barre
De l'amour à feedback
Des tas de traces et du tabac
Les cheveux tâchés d'états d'âmes
Si demain j'me taya
Dis moi qui va lâcher sa larme
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
Tant que tu gardes, gardes, gardes, gardes
Un sourire au coin des lèvres
Un sourire au coin des lèvres
S'il est trop tard, tard, tard, tard
Oh bébé rempli mon verre
Oh bébé rempli mon verre
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
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C'est quelqu'un qui court
Devant, derrière, toujours, toujours
C'est quelqu'un qui court
Après le temps, après l'amour
Et quelqu'un qui l'attend
Très loin derrière ou loin devant
Du coucher du soleil jusqu'au lever du jour
C'est quelqu'un qui court
Après l'amour, la mort, la vie
Qui court dans la nuit
C'est quelqu'un qui court
Pour attraper ou retenir
Quelqu'un qui le fuit
Qui a pris trop d'avance sur lui
C'est quelqu'un qui court
Après son imagination
Ses envies, ses pulsions, ses lubies
C'est quelqu'un qui court
D'un pas léger ou d'un pas lourd
Quelqu'un qui fait le tour
De tous les chemins à rebours
C'est quelqu'un qui court
Au bord du malaise et du gouffre
Se précipite et se camoufle
Quand il veut reprendre son souffle
C'est quelqu'un qui court
Après le cours de son destin
Quelqu'un que l'amour
A abandonné en chemin
Et qui se lance éperdument
Les yeux rivés sur le cadran
Dans une fuite en avant
Pour arriver dans les temps
C'est quelqu'un qui court
A son salut ou à sa perte
Le pouls rapide et sourd
Qui fend l'air entre deux alertes
C'est quelqu'un qui écume
Le long dédale des nuits sans lune
À débusquer l'infortune
Comme un chat noir sur le bitume
C'est quelqu'un qui court
Pour échapper à ses angoisses
Quelqu'un qu'on pourchasse
Qu'on veut coincer au fond d'une impasse
Quelqu'un qui se dépasse
Qui veut sortir de la nasse
C'est quelqu'un qui court
Avant, pendant, après l'amour
Qui détale comme un dératé
Quelqu'un au regard exalté
C'est quelqu'un qui court
Le corps tout prêt à exploser
Haletant, suffocant
Il court au chevet d'un mourant
C'est quelqu'un qui court
Devant sa peur, après son ombre
Quelqu'un qui se sent lourd
Écrasé par le poids du nombre
C'est quelqu'un qui court
Poursuivi par les idées sombres
Il est stressé, il est pressé
Il est traqué, il est cerné
C'est quelqu'un qui tombe...
Qui roule à terre et se relève
Mais encore quelqu'un court
Et court, et court, et court
Entre les murs et les passants
Quelqu'un qui va le cœur battant
C'est quelqu'un qui court
En attendant le bon tournant
Pour se jeter vibrant
Dans les bras de l'amour
C'est quelqu'un qui court
Qui pourrait bien semer sa peur
C'est quelqu'un qui court
En voulant rattraper l'âme sœur
C'est quelqu'un qui croit...
Qui croit
Qui croit
Qu'il trouvera
Mais court si vite qu'il n'entend pas
La voix qui lui crie:"attends-moi !"
- Jacques Higelin, Flâner entre les intervalles
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