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#l'amour par terre
filmap · 4 months
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L'amour par terre / Love on the Ground Jacques Rivette. 1984
House 14 Av. d'Eylau, 75016 Paris, France See in map
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Femmes du monde...
Flash sur des scènes de vie où les émotions sont intenses. Par-delà terres et mers, des richesses à garder, comme autant de beauté, aux couleurs de la simplicité, de l'amour et du respect.
#au-jardin-de-mon-coeur✒️
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o-link · 3 months
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"Comme le vent porte nos prières pour la terre et toute vie, que le respect et l'amour éclairent notre chemin. Que nos cœurs soient remplis de compassion pour les autres et pour nous-mêmes. Que la paix augmente sur Terre. Que ça commence par moi…" Prière tibétaine
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poetesse-verte · 3 months
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Il est sept heures du matin, les ombres s'éveillent, Odeur de café noir, rêves en décombres, Débordement insensé, le cœur en sommeil, Une couche de terre où nos âmes sombrent. Mes poumons brûlent, éclats de nuits sans fin, Dogmes nouveaux pour apaiser l’invisible, Je pars rejoindre l'oiseau de nuit malin, Dans sa maison au brouillard indélébile. Poison léger, fluide rubis en transe, Corps céleste filant, au ciel désenchanté, Jamais lassé par tes mots, sombre danse, De mon cœur vagabond, corridors hantés. Ta présence comble les vides infinies, Quel est ce masque que tu donnes à l'amour ? Le train ralentit derrière les monts ternis, Veux-tu m’accompagner dans mes vices pourpre ?
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valardynasty · 4 months
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Fanfiction; Histoire Original Modifié.
Ma version du Maïa Mairon.
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"Mairon était un des Maiar les plus puissants, il fut créé par Ilúvatar avant la Musique des Ainur. Au début des temps, il devient l'un des Maiar d'Aulë, considéré comme puissant et surpassé seulement par Eönwë en personne."
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"La vertu de Mairon était son amour de l'ordre, de la planification et de la coordination, et il n'aimait pas la confusion et le chaos. Il était le forgeron le plus talentueux sur Arda. Fin créateur, il était nommé Mairon l'admirable. Mais ses obsessions pour le pouvoir et l'ordre entraîneront sa chute lorsqu'il commença à admirer la capacité de Melkor à réaliser ses créations rapidement et magistralement. Avant l'avènement de Sauron, Mairon eut une vie de bonheur dans le printemps éternel et eut même une épouse."
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"Lorsque l'enfant des Valar vint sur Ea, les Maïar les plus prestigieux avaient pour rôle de lui enseigner leurs talents. Silfmadriel possédait des pouvoirs de création par la simple volonté de l'esprit, car son esprit était relié à celui d'Erù et que sa volonté ne pouvait être compromise. C'est lors de ses nombreuses rencontres avec l'enfant des Valar, que le Maïa commença à la convoité. Son pouvoir sans limite, mais bien qu'encore limitée par son manque d'expérience, Mairon l'admirait et l'enviait au plus haut point. Mais Sílfmadrìel user volontiers de ses talents pour aider Mairon dans ses créations. Plus ils pratiquaient, plus les pouvoirs de Silfmadriel augmentaient et les créations de Mairon forcé le respect de tout le royaume. Au fil du temps leurs relations se développa et un amour naquit entre la Vala et le Maïa. Mairon avait un caractère possessif mais un cœur qui pouvait être extrêmement tendre et protecteur. Quand Silfmadriel ne passait pas son temps à perfectionner ses pouvoirs auprès des Maïar et des Valar, c'est avec Mairon qu'elle le passait. Après des années, Mairon demanda sa main a Manwë en personne, ainsi Silfmadriel devint son épouse."
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"Ils eurent des années de bonheur durant les années des lampes. Parfois Mairon déplorait le fait que Silfmadriel refuse d'user de ses dons pour obtenir plus. Mais elle avait acquis la sagesse de savoir que ses dons étaient pour œuvrer à contré Melkor et les ténèbres créée sur Arda, et non pas pour son intérêt. Il n'y avait que Silfmadriel pour canaliser les mauvais côtés de Mairon, mais il fut pris au piège par Melkor et devint malgré lui, son espion sur l'île d'Almaren."
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"Melkor ruina les Deux Lampes, et quand Almaren fut également détruit, les Valar se déplacèrent vers le Royaume Béni d'Aman. Aveuglé par l'amour, Silfmadriel ne percevait toujours pas la trahison de Mairon. Avant de quitter le Royaume Béni pour la terre du milieu, Mairon tenta de convaincre Silfmadriel de le suivre dans les ténèbres, lui insufflant que leurs pouvoirs n'auraient aucune limite et qu'ils pourraient même défaire Melkor. Mais quand elle comprit sa traîtrise, elle le rejeta et il perdit la seule personne qu'il aimait réellement."
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"Dans une période sombre où Melkor dominait sans limites, Mairon s'agenouilla devant lui en tant que son plus grand et plus fidèle serviteur. Ainsi, il fut connu sous le nom de Gorthaur par les Sindar de Beleriand et Sauron par d'autres. Au départ, Sauron n'était pas aussi méchant que Morgoth, car il servait quelqu'un et non lui-même et contrairement à Melkor, qui voulait défaire et corrompre le monde, Sauron souhaitait le gouverner et récupérer celle qui lui était la plus précieuse..."©
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Création par Intelligence Artificielle.
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icariebzh · 4 months
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"Aucune histoire banale gravée dans ma mémoire Aucun bateau pirate ne prendra le pouvoir Aucune étoile filante me laissera dans le noir Aucun trac, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucune larme aucune ne viendra m'étrangler Aucun nuage de brume dans mes yeux délavés Aucun sable ni la dune n'arrête le sablier Aucun quartier de lune, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun autre décor, aucun autre que toi Aucune clef à bord, aucune chance pour moi Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun requin, aucun air triste Aucun regret, aucun séisme Aucune langue de bois Aucun chaos, aucun, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large" Françoise Hardy
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"Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "À demain" Rien ne défera jamais nos liens Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train L'amour est plus fort que le chagrin L'amour qui fait battre nos cœurs, va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or, tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel, se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas, tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d'une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive Je s'rai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l'espace qui lie ciel et la terre, se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore, il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes, la source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre se cache le plus beau des mystères Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort" Françoise Hardy
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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ltalaynareor · 5 months
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Et si Baudouin IV de Jérusalem avait aimé une femme ?
(Pour les besoins de cette histoire, j'ai nommé la jeune femme : Aliénor de Tripoli).
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Les remparts de Jérusalem résonnaient des cris des marchands et des chevaliers en armure, mais Baudouin IV ne prêtait guère attention au tumulte de la ville. Le jeune roi de Jérusalem se tenait seul sur la terrasse du palais royal, contemplant le coucher de soleil sur la Terre Sainte.
Son visage défiguré par la lèpre le faisait souffrir chaque jour davantage, mais c'était un fardeau qu'il portait stoïquement pour son peuple. Cependant, une lueur d'espoir brillait encore dans son cœur tourmenté : Aliénor de Tripoli.
Aliénor était son amie d'enfance, une jeune femme d'une beauté éclatante et d'une grâce incomparable. Elle était la seule à ne pas le regarder avec dégoût ou pitié, la seule à voir au-delà de sa maladie pour admirer l'homme qu'il était vraiment.
Mais Baudouin savait qu'il ne pouvait pas lui offrir l'amour qu'elle méritait. Il jugeait sa propre existence maudite, condamnée à la solitude et à la souffrance. Comment pouvait-il souiller une créature aussi pure et innocente que sa chère Aliénor?
Pourtant, ce soir-là, alors que les étoiles commençaient à poindre dans le ciel sombre, Baudouin sentit une force irrésistible le pousser vers la chambre d'Aliénor. Il trouva la jeune femme dans ses appartements, s'apprêtant à aller au lit. Lui permettant d'entrer, ils s'assirent sur des chaises rembourrées, sans parler.
"Aliénor", murmura-t-il, la voix empreinte d'émotion et de doute. "Je ne devrais pas être ici, je suis un monstre. Tu mérites tellement mieux que ça."
Aliénor se leva lentement, ses yeux brillants d'une tendresse infinie. Elle s'approcha de Baudouin et posa doucement sa main sur sa joue ravagée par la maladie.
"Tu es la plus belle âme que j'aie jamais rencontrée, Baudouin. Ta maladie n'a pas le pouvoir de ternir la lumière qui brille en toi. Je t'aime, lépreux ou non."
Les larmes coulèrent sur les joues de Baudouin, mêlant la douleur et l'amour dans son cœur meurtri. Il prit Aliénor dans ses bras, sentant le frisson de l'étreinte lui parcourir l'échine. Alors que deux bras qu'il ne sentait pas se refermaient dans son dos et que la tête de la dame se blottissait contre son cou meurtri.
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borderloune · 5 months
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Mon prénom, c'est mon père qui l'a choisi
Il m'a toujours dit que j'étais magnifique
Et j'y ais cru chaque fois
Jusqu'à ce que la vérité se voit
D'apparence, tout était parfait 
J'avais tout l'amour, dont il me fallait
Les problèmes qui était là,
Je ne les voyais pas
Et puis je l'aimais tellement
J'aurais pu crever pour lui
De toutes les personnes sur terre,
C'est lui que je préférais
Je lui parlait,
De tout mes tourments d'enfant
Assis sur ses genoux,
J'étais en sécurité
Et puis un jour, il m'a prit dans ses bras
Et c'est allé trop loin
Je savais, que quelque chose n'allait pas
Mais j'étais pétrifié
Pendant que le monde,
A arrêté de tourner
J'ai réussi à bouger, t'as arrêté
Comme si de rien n'était 
C'était la première fois 
Qu'en croisant ton regard
J'étais terrifié
Toi qui me protégeais
Maintenant tu me détruisais
J'ai eu le cœur brisé
Chaque fois que tu l'as fait
Je ne faisais que t'aimer
Et t'en as profité
Tu m'as souillé.
Quand ça c'est su,
Personne n'a rien fait
Tout le monde a tue le sujet
Personne ne m'a aidé
Personne ne m'a protégé
Je me suis retrouvé seul
Face à ma culpabilité
Puis j'ai grandi
Je suis devenu adulte
Et j'y pense tout les jours
Tout les putains de jours qui passent
Et j'essaie d'avancer
Mais je suis terassé
Par le souvenir de ta main
Entrain de me toucher
Je la sens encore 
Posé sur mon corps
Jvoulais pas ce qu'il s'est passé
Tout ça c'est de ta faute 
Pourtant ils t'ont tous protégés
Pourtant c'est moi qui suis rongé
Jme sens coupable
De la merde que tu es
Je m'en veux
De t'avoir laissé faire
Alors que moi, 
J'étais qu'un enfant
Tu m'as trahis
Et puis sali
Quand j'étais petit
J'aimais tellement mon père
J'aurais pu crever pour lui
De toutes les personnes sur terre,
C'est lui que je préférais
Et puis un jour, il m'a prit dans ses bras
Et c'est allé trop loin
Mais c'est pas grave
J'en parle pas
Et tout vas bien.
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lupitovi · 2 years
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Ernest Pignon-Ernest 
Quel crédit accorder à un artiste (un écrivain aussi bien) qui ne toucherait à aucun moment de son art au cœur même de l'humain ? Qui ne serait cet archer qui annonce à sa façon, en poète qu'il est : « Et d'un oeil avisé nous mirons droit dans la rime.» Bonheur de l'anagramme : rime, mire (rima). Le cœur de l'humain ? Métaphore du romantisme à travers les siècles, pour reprendre le titre d'un livre de Philippe Muray qui désigne en vérité, comme nous le signifie un poème du XVIII siècle, le sexe, plus précisément le sexe de la femme. Le tireur à l'arc, chasseur de fauves : « Et nous mettons droit les yeux dans la fente/Et nous ne tirons jamais de coups décochés en vain. S'il est un artiste, poète et chasseur qui sait mettre droit les yeux dans la fente du réel, de tout le réel, c'est-à-dire dans le lieu où le réel s'ouvre pour délivrer son sens; s'il est un dessinateur qui ne tire jamais un trait décoché en vain, c'est bien Ernest Pignon-Ernest. Archée : principe de vie, feu central de la terre. Viser le feu de la femme, c’est viser dans le même temps et plus fondamentalement le feu de la terre, le principe même de la vie. Titre du tableau de Courbet : L'Origine du monde. Le Vésuve sait faire jaillir sa rougeoyante semence sur Naples et la côte amalfitaine. Zelda, épouse de Francis Scott Fitzgerald, dans une rue de Paris, brise la vitre d'une borne d'appel aux pompiers: « Vite, vite, venez Vite, j’ai le feu au cul ! » Naples n'est pas choisi au hasard par Ernest Pignon-Ernest. Présence de Virgile, bien sûr, près de la tombe duquel, en manière d'hommage, il colle son dessin. C'est aussi la ville où Vivant Denon situe sa Belle Napolitaine vue de dos. Vue de dos mais, robe relevée, exhibant son magnifique cul, et la tête tournée, regard aguicheur, vers les mâles suiveurs, vers nous aujourd'hui, les voyeurs du dessin, vers ceux de demain, pour s'assurer auprès de nous, auprès d'eux, d'un effet maximum. Qui m'aime me suive ! Qui me suit me baise ! Force du dessin d'Ernest : il indique que le siècle libertin de Vivant Denon est loin, que le XIX° est passé par là. La femme, de face, exhibe son sexe mais détourne la tête, se cache les yeux. La culpabilité a fait son ouvrage, du coup, son sexe est d'autant plus en feu. Double effet d'obscénité, laquelle, selon Bataille, rend la beauté du sexe encore plus fascinante : la Napolitaine n'est pas nue et elle est velue. Pas nue. Bataille encore: « Je pense comme une fille enlève sa robe. » Ernest dessine comme une fille soulève sa robe. Le dévoilement est autrement plus érotique, plus scandaleux, que le déjà dévoilé. Velue. Présence taboue de l'animalité chez la femme. Breton n'est pas Bataille, on le savait. « C'est une honte, déclarait l'auteur de L'Amour fou (retour à grands pas du XIX siècle dans la poésie du XX), qu'il y ait encore des sexes non rasés. » Merci à Virgile, merci à Pignon-Ernest, d'avoir, chacun en leur temps, fouillé, tisonné les cendres de la honte pour ranimer les laves ardentes du sexe et de l'amour.
— Jacques Henric - Femme avec le feu entre les jambes
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au-jardin-de-mon-coeur · 11 months
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Si je devais renaître et si je pouvais choisir d'être quelqu'un d'autre, je choisirais d'être certainement la mère de ma mère.
Pourquoi ?
Et bien, je lui donnerais tous les baisers qu'elle a manqués quand elle était petite.
Je lui lirais toutes les histoires que personne ne lui a jamais lues.
Quand je la borderai la nuit, je lui dirai avec tout mon amour combien je l'aime.
Je lui apprendrais que la vie est belle dans les bras de celui qui t'aime.
Je lui achèterais une pomme caramel.
Je lui chanterais des chansons.
On jouerait par terre.
Je la coifferais tous les matins et irais à l'école.
Je n'aurais pas à travailler si petite.
Je ne devrais pas pleurer autant.
Je ne grandirais pas en couchant son cœur avec tristesse.
Et je serais une enfant heureuse.
Si je pouvais être quelqu'un d'autre, je serais sa mère sans hésitation, je lui apprendrais que l'amour n'est pas une douleur et combien c'est merveilleux de se réveiller.
Parce-que si je l'aime tant, comme je l'aimerais quand je la prendrais dans mes bras à la naissance !
Auteur inconnu
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lisaalmeida · 1 year
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C'est quelqu'un qui court
Devant, derrière, toujours, toujours
C'est quelqu'un qui court
Après le temps, après l'amour
Et quelqu'un qui l'attend
Très loin derrière ou loin devant
Du coucher du soleil jusqu'au lever du jour
C'est quelqu'un qui court
Après l'amour, la mort, la vie
Qui court dans la nuit
C'est quelqu'un qui court
Pour attraper ou retenir
Quelqu'un qui le fuit
Qui a pris trop d'avance sur lui
C'est quelqu'un qui court
Après son imagination
Ses envies, ses pulsions, ses lubies
C'est quelqu'un qui court
D'un pas léger ou d'un pas lourd
Quelqu'un qui fait le tour
De tous les chemins à rebours
C'est quelqu'un qui court
Au bord du malaise et du gouffre
Se précipite et se camoufle
Quand il veut reprendre son souffle
C'est quelqu'un qui court
Après le cours de son destin
Quelqu'un que l'amour
A abandonné en chemin
Et qui se lance éperdument
Les yeux rivés sur le cadran
Dans une fuite en avant
Pour arriver dans les temps
C'est quelqu'un qui court
A son salut ou à sa perte
Le pouls rapide et sourd
Qui fend l'air entre deux alertes
C'est quelqu'un qui écume
Le long dédale des nuits sans lune
À débusquer l'infortune
Comme un chat noir sur le bitume
C'est quelqu'un qui court
Pour échapper à ses angoisses
Quelqu'un qu'on pourchasse
Qu'on veut coincer au fond d'une impasse
Quelqu'un qui se dépasse
Qui veut sortir de la nasse
C'est quelqu'un qui court
Avant, pendant, après l'amour
Qui détale comme un dératé
Quelqu'un au regard exalté
C'est quelqu'un qui court
Le corps tout prêt à exploser
Haletant, suffocant
Il court au chevet d'un mourant
C'est quelqu'un qui court
Devant sa peur, après son ombre
Quelqu'un qui se sent lourd
Écrasé par le poids du nombre
C'est quelqu'un qui court
Poursuivi par les idées sombres
Il est stressé, il est pressé
Il est traqué, il est cerné
C'est quelqu'un qui tombe...
Qui roule à terre et se relève
Mais encore quelqu'un court
Et court, et court, et court
Entre les murs et les passants
Quelqu'un qui va le cœur battant
C'est quelqu'un qui court
En attendant le bon tournant
Pour se jeter vibrant
Dans les bras de l'amour
C'est quelqu'un qui court
Qui pourrait bien semer sa peur
C'est quelqu'un qui court
En voulant rattraper l'âme sœur
C'est quelqu'un qui croit...
Qui croit
Qui croit
Qu'il trouvera
Mais court si vite qu'il n'entend pas
La voix qui lui crie:"attends-moi !"
- Jacques Higelin, Flâner entre les intervalles
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e642 · 9 months
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En 2023 j'ai...
j'ai rencontré une personne, qui au début, n'avait pas vocation à devenir quelqu'un pour moi
j'ai appris à revivre à deux, à faire des concessions, à m'intéresser à l'autre, à ses journées, à aller plus loin que juste ken, me rhabiller et partir
j'ai obtenu une licence en sciences de la vie option maths et physiques appliquées après trois années de galère, de doute et de dégout pour les études, sans mention évidemment
je me suis baignée tous les mois, sans exception, sauf celui de décembre et je le regrette
j'ai arrêté de me mettre caisses sur caisses, en fait, j'ai même arrêté de boire tout court
j'ai pas repris la fumette mais j'ai fait un super space cake, et je me suis toujours dit que ça ne comptait pas comme une reprise si je n'avait fait que manger, elle est loin l'époque des 6 joints par jour
je ne me suis pas coupée, c'est la première année depuis la 5e je crois, soit 10 piges que ça durait presque, j'en pense rien, je souffre toujours de ce manque, et je crois que je ne serais jamais guérie de cette addiction
j'ai eu le code, puis j'ai appris à conduire, plus ou moins bien et sans savoir me garer mais je finirai bien par le passer
j'ai eu une pyélonéphrite qui m'a mise à terre, j'ai cru que mon rein allait éclater mais j'ai eu de la morphine à la fac, quel flex
je n'ai eu aucun master, je n'ai même pas été sur liste d'attente d'une seule fac malgré toutes mes demandes
j'ai dû trouver un plan b, déménager de mon havre de paix et partir dans une grande ville pour prendre en route d'autres études qui me font tout autant galérer mais juste différemment
j'ai assisté au 3e cancer du sein de ma mère, je suis allée la voir à l'hôpital, j'ai essayé de l'aider comme je pouvais en sachant que je en comprendrai pas son mal être
je suis partie une semaine en vacances avec mon mec dans les Cévennes et ça ma fait un bien fou, j'aurais voulu y vivre
je me suis faite tromper et ça m'a beaucoup impactée, ça ne m'a pas fait me questionner sur ma valeur, en revanche, ça m'a fait me questionner sur la valeur des relations et des interactions sociales
j'ai jamais aussi bien fait l'amour et aussi été épanouie sexuellement, une vraie révélation cette année pour ça
j'ai expérimenté une autre sorte de solitude et de fragilité, toutes deux parfaitement meurtrières
j'ai fait très peu d'effort pour maintenir les liens avec les personnes qui sont dans ma vie, à tel point, que je ne crois pas avoir réellement d'amis, juste des gens avec qui je m'entends plus ou moins bien
j'ai fini mon deuil amoureux à tel point que j'ai eu du mal à accepter que je pouvais vraiment penser à personne, que personne ne pouvait me manquer, que je ne regrettais plus rien, que je n'y pensais plus, que j'étais en paix, que c'est comme si ça n'avait jamais existé
j'ai lâché la course et le yoga et ça m'a rendue triste
j'ai vu plus de 100 films, l'écrasante majorité, accompagnée par lui
j'ai régressé, je me suis détestée, j'ai culpabilisé, j'ai pleuré, j'ai mal dormi, j'ai eu du mal, j'ai tremblé, j'ai perdu pied
j'ai pas vomi, une année de plus, yeees
je me suis rendue compte, cette année plus que les autres, qu'il faudrait commencer à sérieusement se bouger le cul si je veux éviter de me bouffer une voiture dans 2 ans
j'ai skié et j'ai détesté ça mais j'ai vu la neige tomber et ça m'a apaisée
je n'ai pas vu de psy
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nemosisworld · 1 year
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L'amour vient par surprise, comme la mort.
Il ne s'avance pas en battant le gwo-ka.
Son pied s'enfonce doux, dans la terre meuble des cœurs.
Maryse Condé
Ph. Sebastian Cvitanic
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satinea · 1 month
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L'amour est blanc parce qu'il est la somme de toutes les couleurs, parce qu'il est la gomme qui m'efface, m'épelle et fait valser l'alphabet de mon identité, parce qu'il est le trou au travers de mon corps, le cerceau par où le jour entre et sort, bondit et se propage en rugissant dans ma chair nue.
L'amour est blanc comme la nuit, l'aube entre parenthèses, les pointes des parenthèses tendues pour se rejoindre, tracer l'oeil aveugle du voyant. L'amour est blanc comme le premier lange de la vie, et son linceul recommencé, la robe des communiants et la couronne de fleurs sur la tête des vierges qu'on mène à la déflo­ration, l'amour est blanc comme la chemise de l'homme que je veux, les draps entre lesquels je l'imagine, car de n'importe quelle couleur les draps sont toujours blancs, où dansent nos corps en ombres chinoises, les draps sont blancs comme les pages tissées de toute éternité par les fileuses de destins, blancs comme l'écume laissée sur la plage, et la crête des vagues quand au matin on les secoue sur l'île désertée du lit.
Les draps sont blancs parce que si longtemps les femmes les ont empilés dans de sombres armoires comme une lumière secrète, parce que je les ai vus étendus par terre au soleil comme des offrandes, où ils étaient l'image même de l'Amour couché sous le Ciel, ouvert, extasié sous le poids du divin dans l'herbe scintillante des prés.
L'époque est sombre et j'ai envie de lumière, de vies tissées d'envies de vivre, de désirs solides et joyeux, je veux des choses concrètes, anciennes et humaines, comme les rêves, la pensée, la musique, la danse, les livres et le plaisir. Je veux de l'amour.
REYES ALINA - Les draps blancs (Extrait "Politique de l'amour")
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jeanchrisosme · 9 months
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Sors avec cette fille. Sors avec la fille toi qui te fait sourire chaque fois qu'elle entre dans la chambre. Sortez avec la fille qui veut danser un slow avec vous dans la cuisine sur une chanson écrite par George Strait. Sors avec la fille qui te motive à faire mieux dans tous les aspects de ta vie. Sors avec la fille qui préfère te câliner sur le canapé en pyjama tout en regardant son émission préférée sur Netflix, plutôt que de sortir et de se saouler à une fête. Sortez avec la fille qui est excitée de vous parler de sa journée de travail. Sortez avec la fille qui rigole s'arrête et réchauffe votre cœur quand vous passez une mauvaise journée. Sors avec la fille qui veut poser une couverture par terre et regarde les étoiles avec toi par une nuit d'été fraîche. Sortir avec la fille avec une vieille âme... qui a une morale et des qualités extrêmement difficiles à trouver dans cette génération. Sortez avec la fille qui comprend que les enfants ont besoin d'élever dans un foyer où l'amour est plus important que l'argent Sors avec la fille qui veut que tu lui envoies un texto dès que tu arrives à destination pour qu'elle sache que tu y es bien arrivé Et sortez avec la fille qui prie chaque soir pour que vous entriez dans sa vie si calme et inattendue. Suivez mon conseil et sortez avec la fille qui vous fait vous sentir tellement aimé quand vous êtes en sa présence, on a l'impression que vous êtes enfin à la maison.
Cody Bret
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