#l'amour par terre
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L'amour par terre / Love on the Ground Jacques Rivette. 1984
House 14 Av. d'Eylau, 75016 Paris, France See in map
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#jacques rivette#l'amour par terre#love on the ground#geraldine chaplin#jane birkin#trocadero#paris#france#mansion#eiffel tower#andré dussollier#lászló szabó#movie#cinema#film#location#google maps#street view#1984
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Edmond Dantès and Mercédès Herrera in "Le Comte de Monte-Christo)
Je t'avais promis de t'aimer jusqu'à ma mort, et encore longtemps après. Et je t'aimerai toujours. Mais il n'est plus en mon pouvoir de t'apporter le bonheur. Je ne peux plus t'offrir que la consolation. Bonheur à nos enfants, qui vont nous survivre et goûter à la douceur de l'amour. En t'écrivant, je vis mes derniers moments avec toi. Tout après, ne sera que souvenir. Je les emporterai avec moi sur la mer, le seul endroit sur terre où tout est horizon et où il n'y a pas de trace laissées par les hommes. Vis, et sois heureuse. N'oublie jamais, jusqu'au jour où la providence nous réunira peut-être à nouveau que toute la sagesse humaine, et dans ses deux mots : attendre et espérer.
#le comte de monte cristo#the count of monte cristo#edmond dantes#mercedes herrera#pierre niney#anaïs demoustier#sorry but i love this so movie so much#upthebaguette#edmond x mercedes
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Un samedi soir sur la terre.... Sans commentaire !
L'image parle par elle-même...juste un message suprême, "faites l'amour pas la guerre"!
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Pourquoi faut-il continuer à souhaiter "Joyeux Noël" ?
L’anniversaire de la naissance de Jésus est comme un caillou sous le pied des idéologues du progressisme transhumaniste, elle entrave leur ténébreuse marche vers l’abîme.
Avant d'être récupérée religieusement, commercialement et idéologiquement, l’ancienne fête Saturnale devenue célébration de la naissance du Christ (Noël = Nouvelle Alliance) nous rappelle qu’avec le christianisme, la vieille idée d'un Dieu situé par delà le monde — quelque figure que prenne ce Dieu — un au-delà inaccessible qui serait responsable de ce qui nous arrive, a fait son temps...
L'engagement total d'un Dieu dans l'histoire humaine culmine avec cette image du Christ comme un dieu souffrant et mourant dans le supplice, car ce qui meurt sur la croix, comme le note Hegel, ce n'est pas un "représentant" de Dieu, mais «le Dieu de l'au-delà lui-même».
Le christianisme étant la religion de l'athéisme par excellence (Chesterton: «la seule religion où le Dieu lui-même devient athée»), il ne saurait plus y avoir un Dieu imaginaire qui depuis l’au-delà tire les ficelles de notre destinée (Eli Eli lama sabachtani)…
En transformant la formule de Nietzsche "Dieu est mort" par "Dieu est inconscient" Lacan nous fait entendre où se situe désormais la responsabilité qui nous incombe après le retrait du Dieu: nulle part ailleurs que dans l'immanence radicale de notre Dire.
L’une des manières d’entendre la formule lacanienne selon laquelle le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu'un...
Aujourd’hui plus que jamais nous incombe-t-il de reconnaître le noyau émancipateur du christianisme historique, en tant qu’il y a un rapport des plus étroits entre le Saint-Esprit et la pulsion de mort freudienne.
Si au célèbre "Gott ist tot" Lacan substitue sa formulation "Dieu est inconscient", ce n'est pas pour modérer l'impact de la déclaration nietzschéenne, au contraire, c'est de la logique, la mort du Christ est strictement indissociable de son autre côté: l'immortalisation du corps ("Christ n'est pas mort") qui signale que "quelque chose" dans le corps humain est plus que le corps humain, un objet partiel, non-mort, obscène... l’objet petit (a).
Quand Paul (Romains VII, 4) dit que les chrétiens meurent à la loi (juive) à travers le corps du Christ, il convient de s'arrêter sur ce paradoxe: la loi a été surmontée par ce qui est étroitement lié au péché parmi les hommes, car le site de cette lutte - et son surmontement - n'est pas la loi mais bien ...le corps.
J’appelle christianisme le corps doctrinal qui considère l’avènement christique dans sa stricte perspective théologale.
Si la résurrection est le point saillant du christianisme, cela ne veut pas dire que le Christ se soit réincarné dans un autre corps, c'est là précisément qu'intervient le troisième terme, le terme médian, de la trinité chrétienne: la notion de Saint-Esprit.
Le Saint-Esprit, c'est un nom pour la vie au-delà de la vie, par delà le cycle biologique de la génération et de la corruption, le Saint-Esprit n'est rien d'autre que la permanence de l'ordre symbolique lui-même, là où nous sommes toujours, en tant que "parlêtres", déjà transubstantialisés en sujet.
Or le Saint-Esprit désigne aussi la "communauté des croyants", en d'autres termes le (nouveau) lien social (Noël) naissant de l'Autre (l'ordre symbolique) après l'avènement christique.
C'est ainsi qu'il faudrait entendre la réponse du Christ lorsqu'on lui demande où il sera après sa mort: "Chaque fois qu'il y aura de l'amour entre deux d'entre vous, je serai là."
"Là" ce n'est nulle part ailleurs que dans ...la parole d'amour.
Voilà pourquoi Lacan appelait le christianisme "la vraie religion", la religion de la révélation, la seule religion jamais apparue sur Terre où Dieu lui-même devient athée, la révélation du christianisme, c’est qu’il n’y a rien à révéler, tout est toujours "déjà là", l’Autre est un schème mort, impuissant, il n’y a rien à attendre de "l’au-delà", notre croyance déniée dans le Père Noël n’y peut mais, la révélation vraie et réelle c’est qu’il n’y a que nous (et seulement nous) qui puissions tirer au clair l’inconscient dont nous sommes sujet, autrement dit la logique du signifiant qui détermine notre destinée…
Bon Natale !
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Même s'il me faut lâcher ta main. Sans pouvoir te dire "À demain". Rien ne défera jamais nos liens. Même s'il me faut aller plus loin. Couper les ponts, changer de train. L'amour est plus fort que le chagrin. L'amour qui fait battre nos cœurs, va sublimer cette douleur. Transformer le plomb en or, tu as tant de belles choses à vivre encore. Tu verras au bout du tunnel, se dessiner un arc-en-ciel. Et refleurir les lilas, tu as tant de belles choses devant toi. Même si je veille d'une autre rive. Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive. Je s'rai avec toi comme autrefois. Même si tu pars à la dérive. L'état de grâce, les forces vives. Reviendront plus vite que tu ne crois. Dans l'espace qui lie ciel et la terre, se cache le plus grand des mystères. Comme la brume voilant l'aurore, il y a tant de belles choses que tu ignores. La foi qui abat les montagnes, la source blanche dans ton âme. Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort. Dans le temps qui lie ciel et terre se cache le plus beau des mystères. Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort.
Françoise Hardy 🖤
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saga: Soumission & Domination 346
Sosthène // Romain
Une des prestations de Sosthène a consisté à accompagner un client dans une manifestation littéraire. Il s'y est montré très pro, discutant aussi bien des dernières parutions que du prix Nobel et avec suffisamment de pertinence pour que certains éditeurs lui donnent leurs cartes. Coté sexe aussi il a assuré et mon client en a été doublement content.
Quand je fais le point avec lui, je vérifie que ça va pour lui. Il est dans ses premières prestations et je veille à sa stabilité psychologique. Il me rassure et me dit de ne pas m'en faire, il sait bien distinguer entre le travail et l'affect et que pour ça il a son Justin. Malgré ses 18ans il est sacrément mûr. Il me fait un peu penser à moi dans mes débuts. J'avais Marc en point fixe et avec mes clients c'était que du taf (ok, sauf avec leurs fils) et en négatif aussi (moi blanc lui black).
A l'occasion d'un entrainement où Justin travaille avec nous, ce qu'il commence à faire de plus en plus souvent pour être un peu plus avec son chéri, je le prends à part (Justin) pour discuter. On monte au 4ème et devant un jus complémenté en minéraux, on se parle de Sosthène.
Justin me dit en être réellement amoureux et que oui, bien sûr, il sait qu'ils ne sont ni du même milieu et qu'ils n'ont pas de points commun. Mais aussi que contrairement à ce que je pourrais penser, il sait lire même s'il est plus Tom Clancy que Kant et Kierkegaard. L'aurais-je vexé ?
Je lui dis que le débat n'est pas là. Il l'est plus dans le travail que fait Sosthène pour moi. Là il se méprend et me demande si c'est parce que lui ne paye pas.
Le con je n'avais même pas pensé à ça ! Je nie bien sûr. Je lui demande juste si le fait que Sosthène encule ou se fait baiser par des clients pour de l'argent ne lui pose, à lui, pas de problème. C'est pas évident d'aimer un escort quand on ne l'est pas soi-même.
Il me dit qu'il a fallu un peu de travail sur lui-même pour au départ extraire cette donnée lors de leurs rapports sexuels. Mais Sosthène en vaut la peine d'après lui. Moi ça me va comme réaction.
Quand je lui demande comment il vit ça avec ses parents. Il me dit qu'indépendant il n'a plus de compte à leur rendre mais que oui, maintenant ils étaient au courant qu'il sortait avec un garçon, que celui-ci était black aussi. Son père lui avait dit que tant qu'il ne faisait pas l'amour au milieu du garage devant les clients, ça ne lui posait pas de problème particulier. Quant à sa mère avec son frère ainé marié avec 3 enfants, elle acceptait ce qu'elle ne pouvait pas comprendre.
Avant que nous rejoignions les autres, il me prend le bras et me retient avant d'entrer dans le monte-charge. Il me dit que lui aussi s'est demandé un bon moment ce que Sosthène pouvait trouver en lui à part une gueule correcte et un sexe de la taille du sien. Mais il avait cessé de se torturé la cervelle et acceptait son amour pour lui.
Moi je commence à deviner ce que Sosthène a pu déceler en lui. Un jeune homme solide, avec les pieds sur terre, manuel mais loin d'être con, acceptant sa couleur sans en faire cas et surtout amoureux de lui.
Quand nous entrons au second, Sosthène nous rejoint aussitôt et me demande ce que je lui voulais à son mec. Je lui dis que Justin en parlera avec lui s'il le veut et part faire de l'exercice.
Avant de partir il me dira que c'est gentil de me préoccuper de lui mais qu'il gère avec Justin.
Romain à fait son entrée officielle dans le groupe. Sa carrure l'a plus fait remarquer que sa taille plutôt réduite par rapport à mes autres escorts.
Le fait qu'inconsciemment João soit à ses côtés n'a échappé à personne et sans qu'ils n'en fassent la remarque, j'ai observé que mes escorts, si chauds habituellement, n'essayaient pas de le draguer.
A la demande de Jona pour montrer aux autres moins au fait du travail au sol des gymnastes, Romain nous fait une démo sur le grand tatami de la serre. Il impressionne ! Que ce soit dans les sauts où dans les parties au sol proprement dit, le travail en force scie les spectateurs. Quand il se remet debout, Jona le prend en exemple pour démontrer l'intérêt d'avoir une ceinture abdominale solide. A ce moment-là, Romain contracte ses abdos et nous voyons chaque carré de sa tablette se détacher encore plus des autres, à croire que l'on avait sculpté subitement son ventre.
Nous sommes tous bien foutu et pas gras mais là, devant nous se trouvait notre maître à tous ! Quand il détaille ce qu'il fait pour garder cette taille, il en décourage quelques-uns dont moi ! La séance continue. Je crois que s'il fait l'affaire, ce dont je ne saurais douter vu ses performances aux tests, je vais devoir passer à des équipements plus spécifiques pour lui.
Si je continue comme ça il ne restera plus que deux rangées de palmiers au fond et sur les côtés !!
Quand j'en discute avec lui ce sont les anneaux qu'il voudrait en premier. Ça et des parallèles ça rentreraient dans l'espace. Y'en a peut-être que ça amuseraient d'essayer après tout.
Je teste Romain pour savoir s'il peut démarrer direct. Un passage au sous-sol me confirme que les gros calibres passent. Pas facilement mais ils passent avec une bonne dose de gel et de poppers.
Comme pour les autres j'organise une mise aux enchères. trois inhabituels se battent pour l'avoir. C'est la première fois qu'ils s'accrochent pour se faire une primo-prestation. Je suis sûr que c'est le physique du mec qui les fait kiffer. Ils se battront encore si j'arrive à en trouver un autre de potable. En attendant j'hallucine quand je vois le chiffre se fixer juste en dessous de celui de Ludovic qui du coup détient toujours le record.
Mon petit Romain est sur le cul quand je lui annonce ce qu'il va gagner. C'est plus que son père et sa mère en 2 ans heures sup comprises ! Il me dit que ça va les aider aussi. Je le préviens d'être discret quand même avec eux. Il en convient.
En plus de ne pas être dans les plus virulents son " gagnant " est moyennement monté enfin pour ma clientèle. Ça le met dans les 24/25 x 6 seulement ! Et en plus pas de phantasmes particuliers, juste une bonne baise bien classique.
Relation de sa prestation par Romain :
Je suis allé à ma première prestation. Savoir le prix que le mec a mis pour m'avoir me stresse un peu, je crois que j'aurais préféré ne pas le savoir avant. Là je n'ai pas le droit à l'erreur.
J'arrive à l'adresse indiquée. Grosse baraque cossue. Je ne suis jamais entré dans ce genre de maison.
Le mec qui m'ouvre est plus que correct, il fait plus jeune que ses 50ans prédisaient. C'est alors que le type me demande de le suivre et m'emmène dans un salon où m'attend un type plus dans la bonne description assis devant un feu. Je capte que le premier mec n'était que le serviteur ! Une première encore pour moi.
Je suis invité à prendre l'autre siège. Le client attend que son serviteur soit sorti pour engager la conversation. Il me demande si je n'ai pas eu de mal à trouver la maison, et me dit de ne pas m'inquiéter pour la suite.
Putain ! Je ne pensais pas laisser paraitre mon stress.
Il me demande mon cursus. Je lui explique que je ne suis qu'en première année de ma fac. Et lui explique qu'on ne fait pas que du sport mais que nous avons aussi des cours de physiologie humaine, d'anatomie, de psychologie et d'économie du sport. On a aussi des cours de méthodologie et de la formation aux premiers secours.
Là c'est lui qui est étonné en bien. Il pensait que nous passions tout notre temps en short à faire du sport. Il me dit qu'il a lu sur l'annonce que j'étais plutôt adepte de gymnastique
Je vois là l'entrée en matière. Je me lève et devant la cheminé entame mon " strip-tease ". Déjà quand je retire ma veste il voit ma carrure hors norme. Quand la cravate et la chemise tombent, il n'a plus de doute. Je continue jusqu'à n'être plus couvert que par un boxer Addicted qui laisse mes fesses à l'air. Et dans l'espace libre devant la cheminée, je fais quelques échauffements et enchaine quelques mouvements en force de travail au sol.
Il se lève et me demande de cesser qu'il est convaincu. Je me remets sur les pieds et reprends mon souffle alors qu'il s'approche. Je le regarde. Il est pas trop mal mais très noir ! C'est ma première prestation mais aussi mon premier noir. Il me domine de plus de 15 ou 20cm et d'au moins 30Kg. Pas de ventre c'est déjà ça.
Le mec passe ses mains sur ma peau. Il suit le contour de mes muscles. Il passe dans mon dos et empoigne mes pecs. Ses mains les couvrent presque entièrement malgré leurs importances ! Quand il se plaque contre moi, je sens sa bite à moitié gonflée contre mes lombaires. Je me retourne et monte mes mains sous sa veste pour la dégager de ses épaules. Elle tombe au sol et je m'attaque à sa chemise. Il me laisse faire.
La cravate rejoint la veste. Les boutons se défont faciles et la chemise s'ouvre sur un torse assez musclé pour son âge. Quand il est torse nu, je m'aperçois que le mec doit s'entretenir un minimum. Pas de ventre et les poignées d'amour sont petites. Je continu avec son pantalon. Ceinture en croco je parierais, le zip descendu le pantalon laisse apparaitre un caleçon en toile large poussé en avant par sa queue bandante. Le gland dépasse de plus de 5cm de la jambe gauche.
Je tombe à genoux, son gland est presque devant ma bouche. J'ai juste à me pencher pour lui donner quelques coups de langue. Du coup c'est de 10cm que sa bite ressort. Avant que cela me gêne, je tire le dernier rempart sur ses chevilles.
Putain que c'est gros ! En plus elle grossit encore. Je n'attends plus et embouche le mastard. Je fais attention à mes dents. Je suce, je pompe, j'en perds la notion du temps. C'est lui qui en m'attrapant par les épaules et en me tirant vers lui interrompt cet hypnotisme.
Il me dit que ce n'est pas une course mais un moment qui doit être agréable pour nous deux. Je me calme, je m'aperçois que j'étais un peu...fébrile !
Il me dit que nous resterons dans cette pièce pour faire l'amour. J'apprécie le distinguo avec " pour te baiser ". Il est fort et mes 68 Kg sont une plume dans ses bras. Une couche de graisse superficielle recouvre tout son corps et masque les muscles qui sont dessous. Il me soulève à bout de bras et vient me sucer à son tour. Je ne m'y attendais pas. Une pensée idiote me vient à l'esprit : heureusement que c'est pas chez moi, j'aurais déjà la tête au premier étage !
Il me repose à terre, j'ai le nez sur ses pecs et ma bouche va ventouser ses tétons. Ils font la taille de mon petit doigt (en diamètre !). Je l'entends gémir, ça lui fait de l'effet.
Il appui sur mes épaules. Je recommence à le pomper mais avec plus de discernement, pas comme un " mort de faim " mais plutôt en douceur. J'alterne le travail du gland qui soulage ma mâchoire mais pas ma langue avec des gorges semi-profondes, vu la bestiole, qui font l'effet l'inverse.
Intérieurement je me dis que j'ai bien fait de me préparer la rondelle avant de venir !!
C'est lui qui mène la danse. Quand il estime que son gland est suffisamment brillant, il me redresse. Un passage rapide sur chacun de ses tétons puis il me plie en deux sur le dossier du canapé. J'ai la tête dans les coussins et le cul bien en évidence. J'attends l'assaut !
Mais c'est une autre sensation qui me parvient au cerveau. Chaude humide, c'est sa langue qu'il passe sur ma rondelle. Elle est pro cette langue. Elle se fait large pour passer sur ma rondelle ou pointue pour la défoncer et lui mettre de la alive dedans. Il me mange le cul un bon moment et c'est très bon. Puis j'entends l'étui d'une kpote se faire déchirer avant que dans un même mouvement, il se redresse, couvre mon dos et, quand son gland arrive au bon endroit, il me pénètre et s'enfonce totalement en moi. La sensation est particulière. Je ne peux pas dire que j'ai eu vraiment mal. Mais c'est très " remplissant " ce genre de sexe !
Il reste couché sur mon dos quelques minute à savourer mon cul avant de se redresser de m'attraper par les hanches et de se mettre à me défoncer. Une véritable saillie ! Quand je pense qu'il n'est pas le plus membré des clients de Sasha, ça promet !!
En attendant il me fait profiter de chacun de ses cm et même des mm de sa grosse et longue bite. Il alterne les sodos rapides avec des moments plus lents où il va jusqu'à sortir complètement sa queue de mon cul avant d'y retourner.
Je viens à penser qu'il me baise comme il baiserait n'importe lequel des escorts de Sasha. Il ne profite pas de mes capacités sportives !!
Doucement je me redresse et colle mon dos contre son torse. Je tourne la tête et présente mes lèvres. Il pose les siennes dessus pour la première fois. J'entrouvre les miennes, il pointe sa langue dans ma bouche. Elle est proportionnée à sa bite et me remplit la bouche !
Sans un mot je m'avance et me dégage de son sexe. Je l'emmène de l'autre côté du canapé pour l'assoir au milieu. Je fais alors un grand écart facial au-dessus de lui, les deux chevilles posées sur les accoudoirs. Et là mes muscles entrent en jeu. Rien qu'en sollicitant ceux de mes cuisses, je m'enfonce son pieu dans le cul puis remonte pour me dégager.
Là il voit ce que c'est que de baiser avec un vrai gymnaste et pas uniquement un sportif ! Mes cuisses chauffent mais je maintiens la position un bon moment, même si ses mains sont venues serrer ma taille. Amusant, il ne manque que quelques cm pour qu'il fasse le tour de ses doigts.
Je fatigue quand même au bout d'un moment et change de position. Passage rapide un genou de chaque côté de lui puis je bascule en arrière tout en l'emmenant avec moi. A la fin, j'ai la nuque sur le tapis, le dos contre le canapé et lui qui me baise en chandelle. Je ne porterais pas ce putain de slip je pourrais me sucer.
C'est lui qui prend l'initiative de faire un 360° pour m'enculer çà l'envers. A l'intérieur ça change beaucoup de chose ! La sensation est tout autre et les pressions ne sont plus dirigées pareil.
Il se replace normalement et me tire vers lui. Quand il se met debout je m'enfonce comme jamais sa bite en moi. Il me tient sous les fesses et me bouge comme s'il se branlait avec moi en remplacement de sa main. Il me fait tomber une dernière fois et je sens sa bite gonfler encore plus en moi. Il jute dans sa kpote ! Je serre le cul. Ça lui donne un dernier spasme. C'est quand il décule et que son gros gland tape une dernière fois ma prostate que je jute dans mon slip. Merde je vais devoir rentrer sans !
Il se désaccouple je serre les fesses, il apprécie. Il attrape deux peignoirs et m'en tend un. On en mettrait deux comme moi dedans. Ce doit être un des siens. Il m'emmène dans sa chambre et puis dans la salle de bain. La douche est grande et nous nous douchons ensemble. Ses mains glissent sur ma peau quand il étale le gel douche. De véritable caresses jusqu'à ce qu'il masse mes muscles. C'est trop bon. Il a des doigts divins et je me laisse aller. Il me sort de l'eau, me couche sur son lit et à cheval sur mes jambes se met à me masser tout le dos. C'est tellement bon que je m'endors.
Quand je me réveille il fait grand jour. Merde !
Je suis seul dans la chambre, nu au milieu du grand lit à la place exacte où j'étais en train de me faire masser la veille ou le matin même. Une enveloppe est posée à côté de moi avec une feuille A4.
Le papier dit qu'il a été obligé d'aller travailler, que son valet est à ma disposition pour le petit déjeuner et que l'enveloppe est pour moi.
J'ai à peine fini de lire que l'homme en question rentre dans la chambre avec mes vêtements pliés sur son bras. Mon slip est propre et sec. Il m'annonce l'heure et qu'un petit déjeuner m'attend.
Je me douche rapidement, il m'attend ! Je me sèche, enfile mes vêtements. J'ai l'impression que ma chemise aussi a été lavée. Il m'emmène déjeuner. La table est couverte de tout ce qui peut être pris le matin. Viennoiseries, oeuf bacon, pancakes...
Avant de manger, j'appelle Sasha. Je lui brosse le tableau comme quoi je me suis endormi chez le client et que maintenant je suis en retard pour mon cours !
Il éclate de rire et me dit de passer chez le docteur XXX pour un arrêt pour la journée.
J'y passe, c'est celui chez qui j'ai été pour le bilan de santé. Il est déjà au courant et me fait un arrêt. La fac de sport c'est plus comme une école qu'une fac où tu peux ne pas venir quand tu veux !
La première de Romain s'est bien passée. A part le fait qu'il se soit endormi alors que la prestation n'était que de la soirée. Il passe me voir le soir même et me remet la lettre et l'enveloppe. Le contenu du message est succinct. Je lui demande si le petit déjeuner avait été bon. Il me dit qu'il n'avait jamais vu une telle table !
J'ouvre l'enveloppe, dedans 1/4 de sa prestation en liquide. Il ne s'est pas foutu de lui.
Je le titille un peu et lui demande s'il a bien fait mettre une kpote au client.
Il s'offusque que j'ai pu penser le contraire. Et il ne lui semble pas avoir été défoncé pendant son sommeil.
Je ris et lui passe son enveloppe bonus. Il n'en revient pas non plus du montant. Il me demande si c'est à cause du grand écart facial sur la bite du mec. J'ouvre de grands yeux et il m'explique la position. J'aime trop !
Je pense qu'il n'a pas fini de recevoir des bonus conséquent ce petit !
Jardinier
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Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes, où je me saoule pour penser à autre chose qu'à toi, avec l'effet contraire. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J'aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n'y arrive pas. Si tu connais un truc pour t'oublier, fais le moi savoir. Je viens de passer le pire week-end de ma vie. Jamais personne ne m'a manqué comme ça. Sans toi, ma vie est une salle d'attente. Qu'y a-t-il de plus affreux qu'une salle d'attente d'hôpital, avec son éclairage au néon et le linoléum par terre ? Est-ce humain de me faire ça ? En plus, dans ma salle d'attente, je suis seul, il n'y a pas d'autres blessés graves avec du sang qui coule pour me rassurer, ni de magazines sur une table basse pour me distraire, ni de distributeurs de tickets numérotés pour espérer que mon attente prendra fin. J'ai très mal au ventre et personne ne me soigne. Être amoureux c'est cela : un mal de ventre dont le seul remède, c'est toi. J'ignorais que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie.
- Frédéric Beigbeder.
- L'amour Dure Trois Ans
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Une terrible épreuve
Pour @babybeeelle j’espère vraiment que ça va te plaire 😌💜
numéro 5 « personne ne va vous faire de mal ».
Agatha x Reader
Reader avait décidé de suivre Agatha sur la route des sorcières, une décision qui l'emplissait d'une étrange excitation mêlée d'appréhension. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait accepté, mais au fond d'elle, une flamme d'amour secret pour Agatha brûlait doucement, la poussant à avancer sur ce chemin mystérieux. La route, sinueuse et parsemée de pierres scintillantes, semblait vibrer d'une magie ancienne, chaque pas résonnant avec les murmures des sorcières passées.
Arrivée au centre d'un pentacle dessiné avec soin, Reader s'assit, le cœur battant. Les symboles gravés dans le sol brillaient faiblement, illuminés par une lueur spectrale qui émanait de l'air lui-même. Elle pouvait sentir l'énergie de l'épreuve l'entourer, une pression palpable qui l'invitait à plonger dans les profondeurs de son être. Les ardeurs de son passé se mêlaient à l'atmosphère, des souvenirs lointains affluant comme des vagues tumultueuses.
Alors qu'elle fermait les yeux, des images commencèrent à se former dans son esprit, des scènes de bonheur et de douleur. Elle revoyait les moments de sa jeunesse, les rires qui avaient tourné au drame, les promesses brisées. Chaque souvenir était une épine dans son cœur, mais elle savait qu'elle devait les affronter. Reader respirait profondément, cherchant la force dans l'amour qu'elle ressentait pour Agatha, un amour qui lui donnait le courage de se confronter à ses démons.
La voix d'Agatha résonnait dans son esprit, douce et rassurante, l'encourageant à avancer. Reader laissa alors son esprit la guider, et soudain, elle se retrouva au cœur d'une forêt dense, enveloppée par une brume légère qui flottait entre les arbres majestueux. Les troncs noirs et noueux semblaient murmurer des secrets oubliés, tandis que le parfum de la terre humide et des feuilles fraîches éveillait en elle un sentiment de nostalgie. Ce lieu, elle le connaissait bien, un souvenir qu'elle avait soigneusement enfoui dans les recoins sombres de son esprit.
Elle se revit le jour de sa congrégation, entourée de ses jeunes amies sorcières, toutes vêtues de robes blanches éclatantes, symboles de leur pureté et de leur engagement. Le rituel sacré avait commencé dans une ambiance festive, les chants résonnant harmonieusement sous le ciel d'azur. Les rires et les éclats de voix remplissaient l'air, créant une atmosphère de joie et d'espoir. Reader se sentait invincible, unie à ses amies par le lien sacré de la sorcellerie.
Mais cette joie fut de courte durée. Reader revit le moment où la chef de la congrégation, une figure autoritaire et redoutée, prit la parole. Son ton, d'abord solennel, devint soudainement glaçant. Reader sentit un frisson parcourir son échine alors qu'elle réalisait que quelque chose n'allait pas. L'atmosphère festive se transforma en un cauchemar éveillé lorsque la chef, dans un acte de trahison impensable, commença à tuer les sorcières une par une.
Les cris de ses amies résonnaient dans son esprit, des échos de terreur et de désespoir. Reader revit chaque visage, chaque regard rempli d'incompréhension et de douleur, alors que l'horreur se déroulait devant elle. Elle se tenait là, pétrifiée, incapable de réagir, observant ses amies tomber, une à une, comme des feuilles emportées par le vent d'automne. Le sang coulait, teintant la terre d'une couleur rouge sombre, et le chant joyeux se transforma en un cri de désespoir.
Reader sentit son cœur se serrer, une douleur aiguë l'envahissant alors qu'elle revivait cette scène tragique. Elle savait qu'elle devait faire face à ce souvenir, affronter la culpabilité qui l'avait rongée depuis ce jour fatidique. La forêt, bien que magnifique, était devenue le théâtre de sa plus grande peur, et elle savait qu'elle ne pourrait avancer tant qu'elle n'aurait pas confronté cette part sombre de son passé.
Reader se tenait là, confrontée à une scène de son passé, les souvenirs s'entrelaçant comme des fils d'une toile complexe. Les images floues de moments douloureux s'affichaient devant elle, chaque visage, chaque voix résonnant dans son esprit. Elle pouvait presque sentir la chaleur des larmes qui coulaient sur ses joues, mais c'était à ce moment précis qu'une compréhension profonde l'envahit : rien de tout cela n'était de sa faute. Cette révélation, comme un éclair de lumière dans l'obscurité, lui apporta une forme de libération.
Cependant, cette prise de conscience ne venait pas sans un coût. À mesure qu'elle revenait à elle-même, une vague d'angoisse l'envahit. Son corps commença à trembler, les muscles se contractant sous la pression de ses émotions. Sa respiration devint rapide et saccadée, chaque inhalation semblant plus difficile que la précédente. Elle se tenait là, perdue dans un tourbillon de sensations, la peur et la tristesse s'entremêlant dans son cœur. Reader ferma les yeux un instant, essayant de retrouver son calme, mais les souvenirs continuaient de l'assaillir, comme une tempête qui ne voulait pas se calmer.
Agatha s'approcha lentement, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle voyait la femme qui faisait battre secrètement son cœur dans un état de vulnérabilité. Les larmes brillaient dans les yeux de Reader, et Agatha ne pouvait plus résister. Elle la prit immédiatement dans ses bras, la serrant contre elle avec une tendresse désespérée.
"Personne ne va te faire de mal..." murmura-t-elle doucement, sa voix un mélange de douceur et de détermination.
Reader ferma les yeux, cherchant du réconfort dans l'étreinte chaleureuse d'Agatha, essayant de calmer le tumulte qui régnait en elle. Agatha, sentant la tension dans le corps de Reader, la serra encore plus fort, comme si elle pouvait absorber toute la douleur de son amante.
"Je ne laisserai personne te faire du mal, je te le promets," chuchota-t-elle à nouveau, sa voix un doux murmure qui flottait dans l'air. "Tout va bien, chérie."
Ces mots résonnaient comme une promesse sacrée, un serment fait dans l'intimité de leur étreinte, alors qu'Agatha savait que rien ne serait jamais assez fort pour briser le lien qui les unissait.
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Il est sept heures du matin, les ombres s'éveillent, Odeur de café noir, rêves en décombres, Débordement insensé, le cœur en sommeil, Une couche de terre où nos âmes sombrent. Mes poumons brûlent, éclats de nuits sans fin, Dogmes nouveaux pour apaiser l’invisible, Je pars rejoindre l'oiseau de nuit malin, Dans sa maison au brouillard indélébile. Poison léger, fluide rubis en transe, Corps céleste filant, au ciel désenchanté, Jamais lassé par tes mots, sombre danse, De mon cœur vagabond, corridors hantés. Ta présence comble les vides infinies, Quel est ce masque que tu donnes à l'amour ? Le train ralentit derrière les monts ternis, Veux-tu m’accompagner dans mes vices pourpre ?
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"Comme le vent porte nos prières pour la terre et toute vie, que le respect et l'amour éclairent notre chemin. Que nos cœurs soient remplis de compassion pour les autres et pour nous-mêmes. Que la paix augmente sur Terre. Que ça commence par moi…" Prière tibétaine
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Le compte à rebours
Je vous parlais il y a peu (c'était à propos de ''Thorin'', notre cousin-néandertal redécouvert il y a peu dans la Drôme) du retour des guerres tribales, du ''moi seul contre tous'' et, d'une violence diffuse mais aux relents préhistoriques... Et voilà que, comme un contre-point de ce constat, Monsieur (j'y tiens !) Bouallem Sansal écrit un ''Vivre, le compte à rebours'', qu'il faut lire –comme tout ce qu'écrit ce géant de la pensée, orgueil de la francophonie : il fourmille d'idées brillantes... mais parfois si tristes, à la fois.
Une phrase, je crois, résume tout et justifie le livre ''Notre époque –écrit Sansal-- pense petit et bête, et ne pense même plus, enfermée dans sa nullité. Ecoutez et regardez les politiciens, et vous comprendrez tout''. Dans les années 1960-1970, l'humanité insouciante et arrogante s'était laissée prendre dans la folie du consumérisme et du ''toujours plus'' à l'américaine. Mauvaise idée ! Elle a alors découvert brutalement que notre pauvre planète, surpeuplée et surexploitée, se mourait sous nos yeux et qu'il n'y avait pas de solution à long terme. En se donnant un mal fou, on a réussi à étirer ce délai un siècle plus loin. Le compte à rebours a commencé et tous les narratifs religieux, philosophiques et politiques qui fournissaient des schémas rassurants se sont effondrés ou sont en train de le faire. ''Dieu lui-même n'y peut rien, ajoute Sansal : la vie est mortelle !''.
Le constat suivant porte sur notre monde, ultra mécanisé, hypra standardisé, qui est devenu trop triste, trop pauvre : il ne propose plus que du normatif, du ''contre nature'', de l'abrutissement, et de faux échappatoires pour mourir sans douleur. Il existait un moyen qui pouvait permettre de nous rendre globalement plus intelligents et plus inventifs, c'était l'école... et à voir l'état du monde, elle n'a pas été à la hauteur : non seulement nous avons perdu le sens de l'histoire et notre intimité avec la Nature, mais nous avons tué nos deux seuls nids protecteurs : la famille et son intrication avec et dans la société. Hélas la France, conclut Sansal, s'est disqualifiée elle-même.
L'homme, comme toute théorie (car ce que nous appelons ''Homme'' est lui-même une théorie, dont la ''définition'' a souvent changé, au cours des âges) ne peut se construire que sur quelques axiomes de base qui vont former un ''credo'' lui permettant de gouverner sa vie. Dans ce sens, précise Sansal, qui est musulman, le concept de ''Trinité'' a été un merveilleux credo ''qui a permis au catholicisme de bâtir une merveilleuse civilisation apostolique et romaine qui a illuminé le monde pendant près de deux millénaires'' et a été remplacée par un pseudo-pacifisme-pour-enfants, et l'amour-du-prochain'', si porteur de progrès, s'est ratatiné en un ''vivre ensemble'' aussi impossible que mensonger). La magie catholique s'est éteinte, et on a alors prétendu qu'il existerait d' autres ''trinités'', toutes fausses, pour faire tourner la Terre. (NDLR : on aurait du mal à trouver un européen, aujourd'hui, qui oserait affirmer de telles vérités).
Au moment où semble parfois s'approcher le terme de notre aventure humaine sur la Terre (ou en tout cas, de clore un énorme chapitre... ça, c'est certain), la ''trinité'' qui semble avoir le vent en poupe est le ''wokisme'', une théorie de Blancs, faite par des Blancs, soi-disant pour les Noirs, qui repose sur 'la culpabilité, la repentance, et le désordre général'', ce qui en fait, dit Sansal, ''plus de la fumisterie et de la coquetterie sado-maso mal placée qu'autre chose''. Mais tout est punitif, aujourd'hui.
Un bel exemple de cette déviance forcenée réside dans ce qu'est devenue l'écologie, qui n'est plus que le laboratoire du développement de la folie destructrice et du châtiment à bon droit dans tous les domaines : la justice, l'économie,la gouvernance, la culture, et même la science... sont pourries et viciées par la ''pensée'' (?) écolo. ''L'écologie n'est plus qu'une formidable machine à offrir à chacun le droit de punir n'importe qui sur de mauvais motifs et pour de mauvaises raisons... mais en invoquant le ''bon droit'' (sic !), précise Sansal. De manière difficilement explicable tant cette évolution est porteuse de malheur, la Foi a été remplacée par ''le Droit'' comme ''ultima ratio'', et c'est cet abandon de la Foi de nos Pères, seule source d'existence et de possibilité de durée qui est le signe le plus inquiétant de notre engagement sur la route de la fin.
Et puisque nous parlons de religion (via la Foi), reconnaissons que ''les musulmans, en déclarant unilatéralement que Dieu –Allah dans leur cas-- parle arabe ''puisqu'il est arabe'' (c'est l'intangible Coran qui le dit), ''se sont auto-attribué un pouvoir absolu et un droit d'usage préférentiel sur tout l'univers''. (NDLR : et à en juger par le résultat à cet instant, ils ont du faire une erreur de traduction ou d'interprétation quelque part : d'un côte ''un monde musulman dans un état de folie infinie'' –dixit Sansal !-- et de l'autre une hostilité universelle qui se développe sans possibilité apparente de rémission.
L'idéologie du moment, ''le matérialisme le plus sordide qui puisse être, axé sur la possession de biens matériels et les compétitions qui découlent de ce désir mortifère'' éteignent en nous les lumières de l'esprit et et ferment toute porte à la transcendance –dont nous avons besoin plus que jamais. Est-ce la fin du monde qui se prépare devant nous... ou la fin de l'humanité ? Je parierais plus certainement pour la fin de l'Homme dans ce qu'il avait, précisément, de grand, de beau ou de transcendantal. Toujours est-il que la voie que nous avons librement choisie ne nous parle que de guerres (Rappel : 59 officiellement reconnues aujourd'hui, donc sans doute davantage...), et nous reparle périodiquement de nucléaire, ici ou là... Il y a de quoi s'inquiéter, non ? Le compte à rebours aurait-il déjà commencé, à l'insu de notre plein gré
Un dernier point, qui doit être ''fait'' : un mois après ces réflexions tellement douloureuses pour nous (mais qui peuvent être les dernières à pouvoir nous réveiller), Boualem Sansal est revenu à l'assaut de la forteresse de notre aveuglement : ''La France est en train de mourir sans le savoir... ou peut-être sans vouloir le savoir''. Que de regrets nous allons avoir, pour avoir tant et tant de fois refusé de voir ce qui nous crevait, littéralement, les yeux !
H-Cl.
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Femmes du monde...
Flash sur des scènes de vie où les émotions sont intenses. Par-delà terres et mers, des richesses à garder, comme autant de beauté, aux couleurs de la simplicité, de l'amour et du respect.
#au-jardin-de-mon-coeur✒️
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Fanfiction; Histoire Original Modifié.
Ma version du Maïa Mairon.
"Mairon était un des Maiar les plus puissants, il fut créé par Ilúvatar avant la Musique des Ainur. Au début des temps, il devient l'un des Maiar d'Aulë, considéré comme puissant et surpassé seulement par Eönwë en personne."
"La vertu de Mairon était son amour de l'ordre, de la planification et de la coordination, et il n'aimait pas la confusion et le chaos. Il était le forgeron le plus talentueux sur Arda. Fin créateur, il était nommé Mairon l'admirable. Mais ses obsessions pour le pouvoir et l'ordre entraîneront sa chute lorsqu'il commença à admirer la capacité de Melkor à réaliser ses créations rapidement et magistralement. Avant l'avènement de Sauron, Mairon eut une vie de bonheur dans le printemps éternel et eut même une épouse."
"Lorsque l'enfant des Valar vint sur Ea, les Maïar les plus prestigieux avaient pour rôle de lui enseigner leurs talents. Silfmadriel possédait des pouvoirs de création par la simple volonté de l'esprit, car son esprit était relié à celui d'Erù et que sa volonté ne pouvait être compromise. C'est lors de ses nombreuses rencontres avec l'enfant des Valar, que le Maïa commença à la convoité. Son pouvoir sans limite, mais bien qu'encore limitée par son manque d'expérience, Mairon l'admirait et l'enviait au plus haut point. Mais Sílfmadrìel user volontiers de ses talents pour aider Mairon dans ses créations. Plus ils pratiquaient, plus les pouvoirs de Silfmadriel augmentaient et les créations de Mairon forcé le respect de tout le royaume. Au fil du temps leurs relations se développa et un amour naquit entre la Vala et le Maïa. Mairon avait un caractère possessif mais un cœur qui pouvait être extrêmement tendre et protecteur. Quand Silfmadriel ne passait pas son temps à perfectionner ses pouvoirs auprès des Maïar et des Valar, c'est avec Mairon qu'elle le passait. Après des années, Mairon demanda sa main a Manwë en personne, ainsi Silfmadriel devint son épouse."
"Ils eurent des années de bonheur durant les années des lampes. Parfois Mairon déplorait le fait que Silfmadriel refuse d'user de ses dons pour obtenir plus. Mais elle avait acquis la sagesse de savoir que ses dons étaient pour œuvrer à contré Melkor et les ténèbres créée sur Arda, et non pas pour son intérêt. Il n'y avait que Silfmadriel pour canaliser les mauvais côtés de Mairon, mais il fut pris au piège par Melkor et devint malgré lui, son espion sur l'île d'Almaren."
"Melkor ruina les Deux Lampes, et quand Almaren fut également détruit, les Valar se déplacèrent vers le Royaume Béni d'Aman. Aveuglé par l'amour, Silfmadriel ne percevait toujours pas la trahison de Mairon. Avant de quitter le Royaume Béni pour la terre du milieu, Mairon tenta de convaincre Silfmadriel de le suivre dans les ténèbres, lui insufflant que leurs pouvoirs n'auraient aucune limite et qu'ils pourraient même défaire Melkor. Mais quand elle comprit sa traîtrise, elle le rejeta et il perdit la seule personne qu'il aimait réellement."
"Dans une période sombre où Melkor dominait sans limites, Mairon s'agenouilla devant lui en tant que son plus grand et plus fidèle serviteur. Ainsi, il fut connu sous le nom de Gorthaur par les Sindar de Beleriand et Sauron par d'autres. Au départ, Sauron n'était pas aussi méchant que Morgoth, car il servait quelqu'un et non lui-même et contrairement à Melkor, qui voulait défaire et corrompre le monde, Sauron souhaitait le gouverner et récupérer celle qui lui était la plus précieuse..."©
Création par Intelligence Artificielle.
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"Aucune histoire banale gravée dans ma mémoire Aucun bateau pirate ne prendra le pouvoir Aucune étoile filante me laissera dans le noir Aucun trac, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucune larme aucune ne viendra m'étrangler Aucun nuage de brume dans mes yeux délavés Aucun sable ni la dune n'arrête le sablier Aucun quartier de lune, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun autre décor, aucun autre que toi Aucune clef à bord, aucune chance pour moi Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large Aucun requin, aucun air triste Aucun regret, aucun séisme Aucune langue de bois Aucun chaos, aucun, aucun... Et demain tout ira bien, tout sera loin Là au final quand je prendrai le large Tout sera loin, donne moi la main Là au final quand je prendrai le large" Françoise Hardy
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"Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "À demain" Rien ne défera jamais nos liens Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train L'amour est plus fort que le chagrin L'amour qui fait battre nos cœurs, va sublimer cette douleur Transformer le plomb en or, tu as tant de belles choses à vivre encore Tu verras au bout du tunnel, se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas, tu as tant de belles choses devant toi Même si je veille d'une autre rive Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive Je s'rai avec toi comme autrefois Même si tu pars à la dérive L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois Dans l'espace qui lie ciel et la terre, se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore, il y a tant de belles choses que tu ignores La foi qui abat les montagnes, la source blanche dans ton âme Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort Dans le temps qui lie ciel et terre se cache le plus beau des mystères Penses-y quand tu t'endors, l'amour est plus fort que la mort" Françoise Hardy
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C'est ainsi que je me suis retrouvé parmi les rapetisseurs de monde, les postmodernes, les transhumanistes, les mondialistes, les globalistes, les journalistes, les technologistes, les algorithmés du bulbe, les scientistes, les socialistes, les progressistes, les transexualistes, les climatistes, les covidiotistes, les antiracistes, les antifascistes, les attestationistes, les confinistes, les vaccinistes, les enfermistes, les cul-erre-codistes, les maquinnesaitistes, les phoquechèqueuristes… je n'exigeais pas grand-chose et j'étais prêt à en trouver encore moins. Des barbares depuis des temps immémoriaux sont devenus encore plus barbares par la diligence, la science et même la religion, profondément inaccessibles à toute transcendance, abîmés jusqu'à la moelle à tous les degrés de l'exagération et de l'insuffisance, ternes et inharmonieux, je ne connais pas de peuple plus divisé en lui-même que les occidentés, vous y voyez des ingénieurs, des avocats, des artisans, des chefs d’entreprise, des financiers, des docteurs, des influenceurs, des journalistes, des écrivains, des maîtres et des esclaves, des jeunes et des anciens, mais pas d'hommes - n'est-ce pas comme un champ de bataille où les mains et les bras et tous les autres membres sont démembrés en tas, tandis que le sang de la vie s'écoule dans le sable ?
Chacun a droit à son écran, direz-vous, et je le dis aussi. Seulement, chacun doit être ce qu'il est, avec de l'amour, il doit être ce qu'il est, car c'est ainsi qu'un esprit vit dans ses actes, et s'il est poussé dans une profession où l'esprit ne peut vivre, qu'il la repousse avec mépris et qu'il apprenne à lire, à écrire, à dessiner, à composer, à labourer la terre, à pêcher, à chasser, à se battre ! Mais les occidentés se contentent du néant de la vie, et c'est pour cela qu'il y a tant de travail bâclé chez eux et si peu d'activités libres et agréables. Pourtant, cela pourrait être le travail de l'homme, s'il n'était pas si dépourvu de sentiment pour toute la beauté de la vie, si seulement la malédiction de la pseudo-culture ne pesait pas partout sur ce peuple éclaté.
Les vertus des anciens ne sont que des vices éclatants, comme l'a dit une mauvaise langue, je ne sais plus laquelle, et pourtant leurs vices eux-mêmes sont des vertus, car ils ne sont pas des vices ; un reste de l'esprit d'enfance et de beauté vivait encore parmi eux, et de tout ce qu'ils faisaient, rien n'était fait sans âme. Mais les vertus des occidentés sont un mal éclatant, rien de plus que la peur de l'homme, de la femme, de l’enfant, des efforts serviles arrachés au cœur stérile, et qui laissent sans esprit l'homme qui, gâté par la sainte harmonie des natures plus nobles, ne peut supporter les sursauts de la discorde qui crie dans tout l'ordre mort de ces hommes.
Je vous le dis: il n'y a rien de saint qui ne soit profané, qui ne soit dégradé dans ce peuple qui a perdu le rapport à son origine, même les sauvages, ces barbares calculateurs les poursuivent comme on applique un calcul, et il ne peut en être autrement, car là où un vice de l'homme s’est une fois formé, là il sert son but, là il cherche son profit, il est jaloux de ses profits, il n'est plus emporté par l'enthousiasme, à Dieu ne plaise ! et quand il fête, quand il aime, quand il prie, et même quand arrive la belle fête du printemps, quand le temps de la réconciliation du monde dissout toutes les inquiétudes et fait naître l'innocence dans un cœur coupable, lorsque, enivré par les chauds rayons du soleil, l'esclave oublie joyeusement ses chaînes et, apaisé par l'air divinement vivifié, les ennemis de l'homme sont aussi paisibles que les hommes, paisibles comme des enfants - quand même les chenilles poussent des ailes et les abeilles pullulent, l’occidenté,
l’occidenté, lui, reste confiné à sa profession, à son divertissement. Il ne se préoccupe guère du temps qu'il fait !
Mais c'est toi qui jugeras, sainte nature ! Car s'ils étaient humbles, ces hommes, s’ils ne se faisaient pas la loi pour le pire d'entre eux !
s'ils ne dénigraient pas ce qu'ils ne sont pas, et pourtant qu'ils dénigrent, s'ils ne se moquaient pas de Dieu, des dieux anciens!
Ou bien n'est-ce pas le divin que vous, occidentés, raillez et appelez sans âme ? L'air que vous buvez n'est-il pas l'air que vous buvez ? ne vaut-il pas mieux que vos bavardages ? que vous tous nourrissez, hommes astucieux ? Les sources de la terre et la rosée du matin rafraîchissent votre bosquet ; pourriez-vous faire cela ? Vous pouvez tuer, mais vous ne pouvez pas donner la vie, non pas sans l'amour, qui ne vient pas de toi, que tu n'as pas inventé. Tu t'inquiètes, tu fais des projets pour échapper au destin, et tu ne comprends pas que ton enfantine technique n'est d'aucun secours ; pendant ce temps, les étoiles se meuvent inoffensives au-dessus de toi.
Vous dégradez, vous détruisez la nature patiente là où elle vous tolère, et pourtant elle vit dans une jeunesse infinie, et tu ne peux pas bannir son automne et son printemps, vous ne gâtez pas son éther.
Ô elle doit être divine, car tu peux détruire et pourtant elle ne vieillit pas, elle ne vieillit pas, et malgré toi le beau reste beau.
C'est aussi un déchirement quand on voit vos artistes, et tous ceux qui respectent encore le génie, qui aiment le beau et le cultivent. Les bonnes âmes ! Elles vivent dans le monde comme des étrangers dans leur propre maison, elles sont comme le patient et souffrant Ulysse lorsqu'il s'asseyait à sa porte déguisé en mendiant, tandis que les prétendants éhontés clamaient dans la salle et demandaient : Qui nous a apporté le vagabond ?
Pleines d'amour, d'esprit et d'espoir, ses jeunes Muses grandissent pour le peuple disparate des occidentés ; on les revoit sept ans plus tard et ils errent comme des ombres, silencieux et froids. Ils sont comme la terre que l'ennemi sème avec du sel pour qu'il ne pousse jamais un brin d'herbe ; et quand ils parlent, malheur à celui qui les comprend !
Qui ne voit, dans leur titanesque projet comme dans leurs technologies protéiformes, la bataille, le combat désespéré que leur esprit troublé livre aux barbares contre les barbares auxquels il a affaire.
Tout ce qui existe sur terre est imparfait - c'est la vieille chanson des occidentés. Si quelqu'un pouvait dire une fois à ces âmes perdues que tout n'est si imparfait chez eux parce qu'ils ne laissent rien de pur sans être corrompu, rien de saint n'est épargné par leurs mains grossières et leur esprit grossier, que rien ne prospère parmi eux parce qu'ils ne respectent pas la racine, le germe de l'épanouissement, l’origine divine, que la vie parmi eux est rassise, lourde de soucis et pleine de discordes froides et muettes, parce qu'ils méprisent le génie de l'homme qui apporte la force et la noblesse dans les actes humains, la sérénité dans la souffrance, l'amour et la fraternité dans les villes et les maisons..
C'est aussi pour cela qu'ils ont si peur de la mort et qu'ils subissent, au nom de leur vie en coquille, toutes les disgrâces, parce qu'ils ne connaissent rien de plus élevé que l'œuvre bâclée qu'ils se sont donnée.
Là où un peuple aime le beau, où il honore le génie de ses artistes, là où l'esprit commun flotte comme l'air de la vie, là l'esprit timide s'ouvre, la suffisance se dissout, et tous les cœurs sont pieux et grands, et l'enthousiasme donne naissance à des héros. La patrie de tous les hommes est dans la langue, et l'étranger lui-même peut s'y attarder avec plaisir. Mais là où la nature divine et ses artistes sont ainsi insultés, là le plus beau plaisir de la vie est écarté et toute autre étoile est meilleure que la terre. Là, les hommes deviennent de plus en plus stériles, de plus en plus désolés, de plus en plus dégénérés alors qu'ils sont tous nés beaux ; la servilité s'accroît, et avec elle l'impudence, l'ivresse s'accroît avec les soucis, et l'abondance, la faim et la crainte de la famine ; la bénédiction de chaque année devient une malédiction, et tous les dieux s'enfuient.
Et malheur à l'étranger qui erre par amour et arrive chez un tel peuple, et malheur trois fois à celui qui arrive chez un tel peuple comme je l'ai fait, poussé par une grande joie comme je l'ai fait, ou poussé par un grand chagrin, cela revient au même ! Assez ! tu me connais, lecteur, et tu le prendras bien, car j'ai parlé en ton nom.
Je parlais aussi pour tous ceux qui sont dans ce pays et qui souffrent comme j'ai souffert.
(Avec Hölderlin au XXIe siècle)
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Mon prénom, c'est mon père qui l'a choisi
Il m'a toujours dit que j'étais magnifique
Et j'y ais cru chaque fois
Jusqu'à ce que la vérité se voit
D'apparence, tout était parfait
J'avais tout l'amour, dont il me fallait
Les problèmes qui était là,
Je ne les voyais pas
Et puis je l'aimais tellement
J'aurais pu crever pour lui
De toutes les personnes sur terre,
C'est lui que je préférais
Je lui parlait,
De tout mes tourments d'enfant
Assis sur ses genoux,
J'étais en sécurité
Et puis un jour, il m'a prit dans ses bras
Et c'est allé trop loin
Je savais, que quelque chose n'allait pas
Mais j'étais pétrifié
Pendant que le monde,
A arrêté de tourner
J'ai réussi à bouger, t'as arrêté
Comme si de rien n'était
C'était la première fois
Qu'en croisant ton regard
J'étais terrifié
Toi qui me protégeais
Maintenant tu me détruisais
J'ai eu le cœur brisé
Chaque fois que tu l'as fait
Je ne faisais que t'aimer
Et t'en as profité
Tu m'as souillé.
Quand ça c'est su,
Personne n'a rien fait
Tout le monde a tue le sujet
Personne ne m'a aidé
Personne ne m'a protégé
Je me suis retrouvé seul
Face à ma culpabilité
Puis j'ai grandi
Je suis devenu adulte
Et j'y pense tout les jours
Tout les putains de jours qui passent
Et j'essaie d'avancer
Mais je suis terassé
Par le souvenir de ta main
Entrain de me toucher
Je la sens encore
Posé sur mon corps
Jvoulais pas ce qu'il s'est passé
Tout ça c'est de ta faute
Pourtant ils t'ont tous protégés
Pourtant c'est moi qui suis rongé
Jme sens coupable
De la merde que tu es
Je m'en veux
De t'avoir laissé faire
Alors que moi,
J'étais qu'un enfant
Tu m'as trahis
Et puis sali
Quand j'étais petit
J'aimais tellement mon père
J'aurais pu crever pour lui
De toutes les personnes sur terre,
C'est lui que je préférais
Et puis un jour, il m'a prit dans ses bras
Et c'est allé trop loin
Mais c'est pas grave
J'en parle pas
Et tout vas bien.
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