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#l'Homme négligé
jeanniebug623 · 4 months
Note
Tu peut poster un extrait de silent as shadows s'il te plait?
Bien sûr! J'espère que la traduction n'est pas trop mauvaise! Je suis désolé s'il contient beaucoup d'erreurs. 💙💙💙
(Keep scrolling for English, I hope the translation doesn't suck too bad)
Le moment de méditation de Rey'ka fut interrompu lorsque Toruk secoua la tête et qu'une main douce se posa sur son épaule. Son amie d'enfance la plus âgée sourit et salua les guerriers Omatikaya qui avaient débarqué et attendaient avec impatience qu'elle s'adresse à eux. Une partie d'elle se demandait pourquoi ils étaient si... excités? Était-ce le mot? Spider lui a tout raconté sur le précédent olo'eyktan et ses incroyables exploits sous le manteau de Toruk Makto. 
Alors que la majeure partie d'elle était encore en train de s'adapter à tant d'attention, le reste de Rey'ka se retrouva à ne pas aimer ça. Elle était tellement habituée à être négligée ou mise de côté à cause de sa 'malédiction' qu'elle n'a jamais appris ce que c'était que d'être si importante pour quelqu'un. Eh bien... il y en avait quelques-uns. Son père. Calme. Et son frère. 
Elle leva le menton un peu plus haut et suivit ses anciens amis.  Elle regarda le Samson comme s'il allait prendre vie tout seul et l'écraser dans des mâchoires métalliques. Mais elle s'est ensuite arrêtée net lorsqu'elle a vu les gens sortir de l'avion.  Encore des gens du ciel!
Pas beaucoup, mais un seul suffisait pour attirer son attention. Plus d'alliés. Finis les humains qui ont choisi le peuple. Spider lui avait raconté tellement d'histoires sur ses amis ; elle savait qu'il y en avait davantage parmi les Omatikaya. Quelques Na'vi portant des vêtements de skypeople étaient également avec eux. Rey'ka regarda les chefs de clan alors qu'ils se saluaient, puis revint vers un Na'vi grand et mince, vêtu de vêtements beiges ressemblant à des humains et orné de ce qu'elle reconnut immédiatement comme des bijoux de style Olangi. 
Rey'ka se souvint des histoires que son père lui racontait sur la dernière grande bataille des Olangi. Même s'ils n'étaient pas partis, le clan dans son ensemble a été grièvement blessé en combattant pour Eywa. Lorsqu'elle repensait à ces histoires, surtout lorsqu'elle et son père étaient restés chez les Tayrangi, Rey'ka sentit quelque chose se serrer dans son cœur à la pensée de ce qui s'était réellement passé toutes ces années auparavant. Oui, elle n'avait que 8 ans. Mais son peuple était là... les Olangi étaient là... les Tayrangi... Omatikaya... qui d'autre...?
Le grand et mince Na'vi s'approcha d'elle avec sa main descendant de son front pour la saluer. Avant que la main de l'homme ait fini son mouvement, la main de Rey'ka tendit la main et attrapa sa main. Personne ne l'a vu et l'homme s'est figé dans un mélange de surprise et de peur.
Tout le monde se fige. Qu'avait fait cet homme pour insulter le septième Toruk Makto...?
Les oreilles de Rey'ka se retirèrent et sa queue remua rapidement. Elle regarda la main de l'homme entre eux, la tournant et appuyant son pouce sur sa paume jusqu'en dessous des jointures jusqu'à ce que les doigts s'étirent sous la pression. Un...deux...trois.... 
Les yeux de Rey'ka levèrent vers ceux de l'homme; le sien est rempli d’incertitude. Ce regard perçant qui hantait Qauritch depuis des mois et des mois. Des yeux qui voyaient dans les gens, recherchant des choses qu'ils ne montraient pas à la surface. Four. Quatre doigts. Le grand et maigre Na'vi qui se tenait à côté de l'olo'eyktan de l'Omatikaya avait quatre doigts.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Question: Can you post an extract from silent as shadows please?
Answer: Of course! I hope the translation isn't too bad! I'm sorry if it contains a lot of errors.
Rey’ka’s moment of meditation was cut short when toruk shifted his head and a gentle hand landed on her shoulder. Her oldest childhood friend was smiling and waving her hand back to the Omatikaya warriors who had landed and were eagerly waiting for her to address them. Part of her wondered why they were so...excited? Was that the word? Spider told her all about the previous olo’eyktan and his amazing feats under the mantle of Toruk Makto. 
While most of her was still adjusting to this much attention, the rest of Rey’ka found herself not liking it. She was so used to being overlooked or pushed aside due to her ‘curse’ that she never learned what it was to be this important to someone. Well...there were a few. Her father. Quiet. And...her brother. 
She lifted her chin a little higher and followed her old friends over. 
She eyed the Samson like it was going to spring to life on its own and crush her in metal jaws. But then she stopped dead in her tracks when she saw the people who exited the aircraft. 
More sky people! 
Not many but even one was enough to draw her attention. More allies. More humans who chose the People. Spider had told her so many stories of his friends; she knew there were more of them among the Omatikaya. A few Na’vi wearing sky people clothing were with them as well. Rey’ka looked to the clan leaders as they greeted each other then back to a tall, skinny Na’vi in beige human-like clothing and adorned as what she immediately recognized as Olangi-style jewelry. 
Rey’ka remembered the stories her father told her about the Olangi’s last great stand. While they were not gone, the clan as a whole was heavily wounded fighting for Eywa. When she thought back on the stories, especially when she and her father stayed with the Tayrangi, Rey’ka felt something tighten around her heart at what truly happened all those years ago. Yes, she was only 8. But her people were there...the Olangi were there...the Tayrangi...Omatikaya...who else...? 
The tall, skinny Na’vi approached her with his hand coming down from his forehead to greet her. Before the man’s hand finished its motion, Rey’ka’s hand shot forward and grabbed a hold of his hand. No one saw it and the man went rigid in some combination of surprise and fear. 
Everyone froze. What had this man done to insult the seventh Toruk Makto...? 
Rey’ka’s ears went back and her tail swished quickly. She stared at the man’s hand between them, turning it and pressing her thumb up his palm to the underside of the knuckles until the fingers stretched under the pressure. One...two...three.... 
Rey’ka’s eyes lifted to the man’s; his own wide with uncertainty. That piercing stare that had haunted Qauritch for months upon months. Eyes that saw into people, searching for the things they didn’t show on the surface. Four. Four fingers. The tall, skinny Na’vi who stood beside the olo'eyktan of the Omatikaya had four fingers. 
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christophe76460 · 7 days
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🔕🔕- L'ADORNEMENT INTÉRIEUR EST AUSSI IMPORTANT QUE L'EXTÉRIEUR 🔕🔕
- Bien-aimés dans le Seigneur Yehoshua, le plus souvent et généralement, nous, êtres humains, sommes beaucoup plus intéressés par notre parure extérieure, et notre apparence, tout en oubliant celle de l'intérieur).
👉- Pourtant c'est (aussi important que celui de l'intérieur)
💥- C'est aussi pourquoi notre seigneur Yehoshua Mashiah pourrait parler comme il le fait dans (Lk 6,45);
👉- Parce que (en général et le plus souvent, les mots qui sortent de notre bouche ne sont que la représentation et le reflet du contenu de notre cœur ; et c'est pareil avec notre corps et notre apparence).
👉- Et même ici parfois on a tendance à dire : (les apparences sont trompeuses ou la tenue ne fait pas le moine) ;
💥- Sachons qu'avec (Elohîm, notre créateur, nous pouvons tout faire pour cacher qui nous sommes vraiment, mais la vraie nature du contenu de notre cœur finira toujours par se manifester à travers notre vie, notre corps et nos actions ici ci-dessous).
👉- Alors quand les (Saintes Écritures, la Bible, la parole de la vie nous dit) en (1P 3,4) que : << MAIS L'ADORNEMENT INTÉRIEURE ET CACHÉ DANS LE COEUR, LA PURETÉ INCORRUPTIBLE D'UN ESPRIT DOUCEUR ET PAISIBLE, QUI EST DE GRAND PRIX DANS LE DEVANT DIEU (ELOHÎM) >>
👉- En réalité, cela démontre non seulement l'importance de cet organe, appelé le cœur, mais aussi et surtout l'importance pour nous de toujours garantir que son contenu soit agréable à Elohim et soit selon sa volonté).
👉- Parce que (notre intérieur, notre cœur, ne peut pas être agréable à Elohim, sans avoir un contenu qui lui plaît, ou malgré cela, manifester une apparence extérieure contraire à sa volonté) ;
💥- Parce que si c'est le cas, cela signifierait que (le contenu de notre cœur doit être revu).
👉- Et c'est pourquoi quand on passe au verset précédent ce verset qui n'a pas été cité ici, en parlant de (1P 3,4) ; qui est le (Vs 3) il est dit : << N'AVEZ, PAS CET ADORNEMENT EXTÉRIEUR QUI CONSISTE DE CHEVEUX TRESSÉS, D'ORNEMENTS D'OR, OU LES VÊTEMENTS QUE NOUS HABILLONS >>
👉- Qui nous montre ici, que aussi (vrai comme notre cœur, cette partie intérieure de notre corps est importante en raison de son contenu, et de ses effets sur notre apparence et nos actions ici ci-dessous),
💥- (C'est aussi notre apparence et son contenu, car cela reflète généralement son contenu)
👉👉 - Nb: Alors mon Frère et ma Sœur dans le Seigneur Yehoshua, Créatures et enfants d'Elohim, jeunes gens, (Faites-nous savoir et sachez que le plus souvent les gens dans ce monde ne nous jugent pas en fonction de ce qui se trouve dans notre cœur seulement, mais aussi dans ce que nous le faisons, et aussi sur notre apparence).
👉- Mais qu'est-ce qui nous pousse à agir comme ça ? Qu'est-ce qui reflète cette apparence ? Bien sûr, c'est notre cœur et son contenu).
👉- Alors (sachons que si nous devons veiller sur notre apparence pour que cela soit agréable à Elohim, nous devons veiller beaucoup plus sur notre cœur, et son contenu).
💥💥-((DONC SOYONS CONSCIENTS DE CELA))💥💥
🔥🔥🔥[[PRIÈRE RELATIVE À CE MESSAGE]] :
- Mon père ! Mon père ! merci pour ce message.
- Pardonnez à chacun de nous pour toutes les fois où nous avons négligé notre cœur et son contenu, mais sommes restés préoccupés par notre apparence, parce que nous voulions plaire aux êtres humains ici sur terre, pourtant c'est le vôtre avant tout, nous devons plaire au nom de Yehoshua.
- Accorde à chacun de nous la grâce de comprendre que la beauté de l'âme brille quand l'homme
ours avec sérénité un malheur après
l'autre, pas parce qu'il ne les sent pas,
mais parce que c'est un homme de haut et de haut
caractère héroïque ;
- Aussi vrai que notre apparition devant Elohim, tout comme les êtres humains est aussi important que notre cœur et son contenu au nom de Yehoshua.
- merci de m'avoir écouté et entendu au nom suprême de Yehoshua Mashiah. Amen. 🔥🔥🔥
⛔️⛔️-((GLOIRE SOIT RENDUE À ELOHÎM))⛔️⛔️
!!!! DEMEURONS TOUS, BÉNIS AU NOM MAJESTUEUX ET SOUVERAIN DE YEHOSHUA MASHIAH !!!! AMEN !!!!!
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yes-bernie-stuff · 6 months
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◀ 5 AVRIL ▶ Les Trésors De La Foi
Jacob et Israël, souviens-toi de ces choses, car tu es mon serviteur ; je t'ai formé, tu es mon serviteur, ô Israël ! je ne te mettrai point en oubli. Esaïe 44:2
Non oublié.
Notre Jehova ne peut oublier ses serviteurs au point de cesser de les aimer. Il ne les a pas choisis pour un temps, mais pour toujours. Il savait ce qu'ils feraient lorsqu'il les a appelés dans la famille de Dieu. Il efface leurs péchés comme un nuage, et certainement il ne les renverra pas pour des iniquités qu'il a effacées. Ce serait blasphémer que de supposer chose semblable. Il ne peut pas non plus les oublier au point de cesser de s'en préoccuper. Un instant d'oubli de la part de notre Dieu serait notre ruine. C'est pourquoi il dit: "Je ne t'oublierai pas." Les hommes nous oublient; même ceux auxquels nous avons fait du bien se tournent contre nous. Nous ne pouvons avoir de place assurée dans le coeur si inconstant de l'homme. Mais Dieu, lui, n'oublie pas ses vrais serviteurs. Il se lie lui-même à nous, non par ce que nous avons fait pour lui, mais par ce qu'il a fait pour nous. Nous avons été aimés trop longtemps et rachetés à un trop grand prix pour être négligés. Jésus voit en nous le travail de son âme, et ce travail comment pourrait-il l'oublier? Le Père voit en nous l'Epouse de son Fils, et l'Esprit, le résultat de sa propre oeuvre. Le Seigneur a ses pensées arrêtées sur nous. Oh! Puissions-nous de notre côté ne jamais oublier notre Dieu! - Lire plus ici :
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voxtrotteur · 1 year
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Dr Folamour (1964) L'un des films incontournables sur la guerre nucléaire, "Dr Folamour" de Stanley Kubrick offre une satire mordante sur les armes atomiques et la façon dont ceux qui les contrôlent peuvent les manipuler de manière désastreuse. Alors que le président américain et son cabinet tentent maladroitement d'empêcher une attaque nucléaire, un général paranoïaque déclenche une catastrophe mondiale. Ce classique du cinéma reste d'actualité même après plus d'un demi-siècle, rappelant aux spectateurs les dangers de la bombe atomique. Godzilla (1954) Le chef-d'œuvre d'Ishirō Honda, "Godzilla", met en scène le monstre légendaire réveillé par un essai de bombe atomique, semant la mort et la destruction sur son passage. Ce film original offre une perspective unique sur les conséquences dévastatrices des armes nucléaires, mettant en lumière les luttes des personnes touchées par les ravages de la créature. Un scientifique, similaire à Oppenheimer, se retrouve face à un dilemme moral : utiliser une arme nouvelle pour détruire Godzilla, tout en craignant que cela ne conduise à une catastrophe encore plus grande. "Godzilla" est un rappel poignant des terreurs de la guerre nucléaire et des conséquences de l'abus du pouvoir destructeur. Le jour d'après (1983) Ce film télévisé suit un groupe de personnes dans le Kansas après une attaque nucléaire entre les États-Unis et l'Union soviétique. Avec sa description réaliste de la destruction nucléaire et des retombées chaotiques, "Le jour d'après" a terrifié de nombreux spectateurs lors de sa sortie. En fait, il a même profondément affecté Ronald Reagan, qui a ensuite redoublé d'efforts pour prévenir une guerre nucléaire. Ce film offre un aperçu sombre et réaliste de la vie après la fin du monde, soulignant les conséquences dévastatrices des armes nucléaires. Testament (1983) "Testament", un film souvent négligé, raconte l'histoire d'une famille en Californie confrontée aux conséquences d'une guerre nucléaire. Alors que leur communauté et leur santé se détériorent, les personnages tentent de poursuivre leur vie malgré les effets mortels des retombées atomiques. Ce film offre une représentation sombre et réaliste de la vie après la fin du monde, mettant en lumière les défis auxquels sont confrontés les survivants. Avec des performances remarquables et une nomination aux Oscars pour Jane Alexander, "Testament" est un témoignage poignant des horreurs de la guerre nucléaire. Le lendemain de la Trinité (1981) Ce documentaire primé explore la vie de J. Robert Oppenheimer et du projet Manhattan, avec des témoignages de scientifiques ayant réellement participé à la création de la bombe atomique. "Le lendemain de la Trinité" met en lumière l'intelligence remarquable de l'homme et les réflexions de ceux qui ont contribué à la création de la bombe. Il souligne également le profond regret d'Oppenheimer pour les conséquences de ses actions, offrant un avertissement puissant contre l'utilisation continue des armes nucléaires. Le jour où la terre s'arrêta (1951) Situé au début de la guerre froide, ce classique de science-fiction présente l'extraterrestre Klaatu, qui arrive sur Terre pour délivrer un message de paix et tenter d'éviter la destruction de la planète. Tout comme Oppenheimer a tenté d'empêcher les nazis d'utiliser la bombe atomique, Klaatu cherche à empêcher l'humanité d'utiliser ses propres armes nucléaires avant que les extraterrestres ne décident d'éliminer la Terre. "Le jour où la terre s'arrêta" offre une histoire d'espoir et de paix, avec Klaatu agissant comme une figure christique cherchant à guider l'humanité vers la paix sans violence. Ces films offrent une perspective variée sur les conséquences de la guerre nucléaire et sont des compléments intéressants à "Oppenheimer" de Christopher Nolan. Bon visionnage !
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mipaoconference · 1 year
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Pasteur, je veux vraiment prier pour le royaume et faire les œuvres de Dieu, mais parfois je ne suis pas d'humeur. Quel est le secret de la constance dans le lieu de service ?
Je sais que je vous ai enseigné l'avantage de créer une routine pour votre vie de prière, mais j'en suis venu à réaliser que nous pouvons toujours faire défaut même avec des routines bien gardées. Ce n'est pas parce que vous avez créé une routine quotidienne pour prier avant minuit que vous avez la discipline nécessaire pour la maintenir.
Ainsi, au-delà de la création d'un système qui vous soumettrai ou vous obligerait à prier ou à servir, notre mentalité ou notre état d'esprit à l'égard du service de Dieu doit être dans le bon ordre. Servir Dieu n'est pas quelque chose que nous faisons quand nous nous sentons bien, c'est pourquoi l'idée de créer une routine a été introduite en premier lieu, servir Dieu doit être une dévotion personnelle ou un engagement envers Lui.
Dieu peut déverser son Esprit sur vous lorsque vous créez une routine, mais si votre esprit n'est pas engagé, l'aide du Saint-Esprit peut être négligée. C'est pourquoi l'engagement est important.
En parlant d'engagement, un mot qui est souvent utilisé dans les Écritures pour décrire notre engagement envers Dieu est "Fidélité". Permettez-moi de vous montrer quelques passages des Écritures :
Matthieu 24:44 C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car à l'heure où vous ne pensez pas, le Fils de l'homme vient.
45 Quel est donc le serviteur fidèle et prudent que son maître a établi sur sa maison, pour lui donner à manger au temps convenable ?
46 Heureux ce serviteur que son maître, à son arrivée, trouvera agissant ainsi !
47 Je vous le dis en vérité, il l`établira maître de tous ses biens.
48 Mais si ce mauvais serviteur dit en son coeur : Mon maître tarde à venir
49 et qu'il se mette à frapper ses compagnons de service, à manger et à boire avec les ivrognes
50 le maître de ce serviteur viendra un jour où il ne le cherchera pas, et à une heure dont il n'aura pas eu connaissance
51. il le mettra en pièces, et lui assignera sa part avec les hypocrites ; il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Avez-vous vu cela ? Un serviteur fidèle est un serviteur que son maître trouve en service à son arrivée. Croyez-moi, une personne qui ne sert Dieu que par les émotions ne sera pas trouvée à son poste de travail lorsque son maître viendra. Le verset 50 le révèle clairement. Tant que vous n'êtes pas cohérent dans votre service, alors vous pouvez être sûr que Dieu viendra vous rendre visite un jour ou un moment où vous n'êtes pas en service. Cette vérité révèle déjà pourquoi le service de nombreux croyants semble ne pas être récompensé. Dieu a dû venir, mais ne les a pas trouvés en service.
J'ai cherché le sens du mot "fidèle" dans le dictionnaire et ce que j'ai trouvé est assez intéressant. Cela signifie être loyal, adhérer fermement à une personne ou à une cause. Il signifie également être fiable ou digne de confiance. Cela vous indique déjà qu'un état de fidélité n'est pas un état auquel on accède par les émotions. Bien sûr, créer une routine pour un service discipliné vous mettrait sur la voie de la fidélité dans le service, mais bien plus que cela, il s'agit d'avoir un état d'esprit qui s'engage à servir, en saison et hors saison.
Réfléchissez : si vous avez encore votre emploi, c'est parce que vous faites preuve d'un certain degré d'engagement dans votre travail. Si vous n'allez au travail que lorsque vous en avez envie, il y a de fortes chances que vous perdiez votre emploi. Vous n'êtes pas payé pour vous sentir, vous êtes payé pour vous engager dans les choses dont vous êtes responsable. De même, Dieu ne vous récompensera pas parce que vous avez envie de servir, il vous récompensera parce que vous êtes fidèle dans le service.
À suivre...
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beatlesonline-blog · 2 years
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saibhaktabrasill · 2 years
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#French 04.feb.23 Quelles sont les techniques les plus importantes mais également les plus simples que nous devons mettre en pratique, pour prendre soin de notre mental et dans notre attitude envers la vie, à chaque instant de la journée ? Bhagavan nous les rappelle avec amour aujourd'hui. Pour tous, l'horloge continue de tourner en permanence. Mais ce n'est pas le cas. Cela n'est pas continu, car vous pouvez remarquer une courte pause entre un tic et le suivant. C'est l'intervalle de repos. Mais votre mental n'a même pas ce court intervalle entre une pensée et la suivante. Et dans la succession continue des pensées, il n'y a ni ordre ni relation ! Cela ajoute à la confusion et à l'inquiétude. C'est la principale source de mauvaise santé chez l'homme ! Vous planifiez et préparez le repos physique et les loisirs, et vous savez que même les machines ont besoin d'heures de repos ! Mais, vous avez négligé le devoir d'assurer le repos du mental ! Dhyâna(méditation) est le nom de la période de repos que vous accordez au mental occupé et capricieux ! Le cœur est engagé comme le tic-tac de l'horloge, sous la forme de battements mais, une nouvelle impulsion d'énergie est générée entre un battement et un autre. Cela assure le flux de la vie, quels que soient les moments passés ou futurs. Discours Divin du 8 janvier 1983.   La prière est pour le mental ce que la nourriture est pour le corps. #sathyasai #saibhakta #sathyasaibaba #saibaba https://www.instagram.com/p/CoQtcfKMc6i/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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ouyander · 2 years
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Une nouvelle étude menée par des chercheurs suédois et anglais montre que les femmes auraient trois fois plus de risques de mourir si elles sont victimes d'une crise cardiaque par rapport à un homme. Voici pourquoi. Douleurs dans le bras gauche, pincement dans le cœur, suffocation... Les signes d'alerte de l'infarctus les plus connus et les plus martelés dans les médias sont ceux que l'on retrouve chez l'homme. Pourtant une étude menée conjointement par une équipe suédoise de la Karolinska Institute et l'Université de Leeds (Royaume-Uni) vient de montrer que les femmes auraient trois fois plus de risques que les hommes de mourir dans l'année suivant une attaque cardiaque. 34% des patientes ne reçoivent pas les traitements qu'il faut Pour en arriver à une telle estimation, les chercheurs ont étudié les cas de 180 368 patients ayant subi un infarctus au cours de la décennie précédente. Ils se sont alors aperçus que la raison pour laquelle les femmes courent un danger plus grand de décès cardiaque c'est parce qu'elles ne sont pas correctement diagnostiquées. 34% ne recevraient pas les traitements adéquats pour déboucher les artères. "Il y a un sérieux problème parmi la population, mais aussi les professionnels concernant le portrait type d'un patient atteint d'une crise cardiaque. Clairement on imagine le plus souvent un homme avec une soixantaine d'années, en surpoids, diabétique et fumeur", a déclaré le Pr Chris Gale, auteur de l'étude et professeur à l'université de Leeds. Après avoir continué le suivi, les chercheurs annoncent que si les femmes reçoivent les traitements qu'il faut, alors le risque de mortalité réduit considérablement. Le principal problème, selon le spécialiste c'est qu'on donne aux femmes le même test de dépistage que les hommes hors les symptômes diffèrent de ceux des hommes expliquant la mauvaise prise en charge des patientes. Infarctus chez la femme : les signes d'alerte principaux Les symptômes les plus connus sont une douleur dans la poitrine irradiant dans le bras gauche et dans la mâchoire. Pourtant, si ces signes d’alerte sont bien présents chez l’homme, près de la moitié des femmes de moins de 60 ans victimes d’un infarctus n’ont pas ressenti ces symptômes, avertit la Fédération Française de Cardiologie dans un communiqué. Les signes qui doivent alerter les femmes sont effectivement atypiques. Il s’agit : - d’une sensation d’épuisement, - d’un essoufflement à l’effort, - de nausées. "Les femmes ont souvent tendance à être dans le déni" Problème : comme ils sont mal connus, ces symptômes féminins sont souvent négligés. "Ces symptômes atypiques contribuent à une prise en charge trop tardive des femmes lors d’un infarctus", témoigne le Professeur Claire Mounier-Vehier, cardiologue au CHRU de Lille et présidente de la Fédération Française de Cardiologie. " Les signes avant-coureurs peuvent passer inaperçus et minorer l’alerte , sachant que les femmes ne sont pas suffisamment conscientes que l’accident coronaire peut les toucher. De plus, elles ont souvent tendance à sous-estimer leur douleur et à être dans le déni ", déplore-t-elle.
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naantokhi · 2 years
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Une nouvelle étude menée par des chercheurs suédois et anglais montre que les femmes auraient trois fois plus de risques de mourir si elles sont victimes d'une crise cardiaque par rapport à un homme. Voici pourquoi. Douleurs dans le bras gauche, pincement dans le cœur, suffocation... Les signes d'alerte de l'infarctus les plus connus et les plus martelés dans les médias sont ceux que l'on retrouve chez l'homme. Pourtant une étude menée conjointement par une équipe suédoise de la Karolinska Institute et l'Université de Leeds (Royaume-Uni) vient de montrer que les femmes auraient trois fois plus de risques que les hommes de mourir dans l'année suivant une attaque cardiaque. 34% des patientes ne reçoivent pas les traitements qu'il faut Pour en arriver à une telle estimation, les chercheurs ont étudié les cas de 180 368 patients ayant subi un infarctus au cours de la décennie précédente. Ils se sont alors aperçus que la raison pour laquelle les femmes courent un danger plus grand de décès cardiaque c'est parce qu'elles ne sont pas correctement diagnostiquées. 34% ne recevraient pas les traitements adéquats pour déboucher les artères. "Il y a un sérieux problème parmi la population, mais aussi les professionnels concernant le portrait type d'un patient atteint d'une crise cardiaque. Clairement on imagine le plus souvent un homme avec une soixantaine d'années, en surpoids, diabétique et fumeur", a déclaré le Pr Chris Gale, auteur de l'étude et professeur à l'université de Leeds. Après avoir continué le suivi, les chercheurs annoncent que si les femmes reçoivent les traitements qu'il faut, alors le risque de mortalité réduit considérablement. Le principal problème, selon le spécialiste c'est qu'on donne aux femmes le même test de dépistage que les hommes hors les symptômes diffèrent de ceux des hommes expliquant la mauvaise prise en charge des patientes. Infarctus chez la femme : les signes d'alerte principaux Les symptômes les plus connus sont une douleur dans la poitrine irradiant dans le bras gauche et dans la mâchoire. Pourtant, si ces signes d’alerte sont bien présents chez l’homme, près de la moitié des femmes de moins de 60 ans victimes d’un infarctus n’ont pas ressenti ces symptômes, avertit la Fédération Française de Cardiologie dans un communiqué. Les signes qui doivent alerter les femmes sont effectivement atypiques. Il s’agit : - d’une sensation d’épuisement, - d’un essoufflement à l’effort, - de nausées. "Les femmes ont souvent tendance à être dans le déni" Problème : comme ils sont mal connus, ces symptômes féminins sont souvent négligés. "Ces symptômes atypiques contribuent à une prise en charge trop tardive des femmes lors d’un infarctus", témoigne le Professeur Claire Mounier-Vehier, cardiologue au CHRU de Lille et présidente de la Fédération Française de Cardiologie. " Les signes avant-coureurs peuvent passer inaperçus et minorer l’alerte , sachant que les femmes ne sont pas suffisamment conscientes que l’accident coronaire peut les toucher. De plus, elles ont souvent tendance à sous-estimer leur douleur et à être dans le déni ", déplore-t-elle.
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katakaal · 2 years
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Une nouvelle étude menée par des chercheurs suédois et anglais montre que les femmes auraient trois fois plus de risques de mourir si elles sont victimes d'une crise cardiaque par rapport à un homme. Voici pourquoi. Douleurs dans le bras gauche, pincement dans le cœur, suffocation... Les signes d'alerte de l'infarctus les plus connus et les plus martelés dans les médias sont ceux que l'on retrouve chez l'homme. Pourtant une étude menée conjointement par une équipe suédoise de la Karolinska Institute et l'Université de Leeds (Royaume-Uni) vient de montrer que les femmes auraient trois fois plus de risques que les hommes de mourir dans l'année suivant une attaque cardiaque. 34% des patientes ne reçoivent pas les traitements qu'il faut Pour en arriver à une telle estimation, les chercheurs ont étudié les cas de 180 368 patients ayant subi un infarctus au cours de la décennie précédente. Ils se sont alors aperçus que la raison pour laquelle les femmes courent un danger plus grand de décès cardiaque c'est parce qu'elles ne sont pas correctement diagnostiquées. 34% ne recevraient pas les traitements adéquats pour déboucher les artères. "Il y a un sérieux problème parmi la population, mais aussi les professionnels concernant le portrait type d'un patient atteint d'une crise cardiaque. Clairement on imagine le plus souvent un homme avec une soixantaine d'années, en surpoids, diabétique et fumeur", a déclaré le Pr Chris Gale, auteur de l'étude et professeur à l'université de Leeds. Après avoir continué le suivi, les chercheurs annoncent que si les femmes reçoivent les traitements qu'il faut, alors le risque de mortalité réduit considérablement. Le principal problème, selon le spécialiste c'est qu'on donne aux femmes le même test de dépistage que les hommes hors les symptômes diffèrent de ceux des hommes expliquant la mauvaise prise en charge des patientes. Infarctus chez la femme : les signes d'alerte principaux Les symptômes les plus connus sont une douleur dans la poitrine irradiant dans le bras gauche et dans la mâchoire. Pourtant, si ces signes d’alerte sont bien présents chez l’homme, près de la moitié des femmes de moins de 60 ans victimes d’un infarctus n’ont pas ressenti ces symptômes, avertit la Fédération Française de Cardiologie dans un communiqué. Les signes qui doivent alerter les femmes sont effectivement atypiques. Il s’agit : - d’une sensation d’épuisement, - d’un essoufflement à l’effort, - de nausées. "Les femmes ont souvent tendance à être dans le déni" Problème : comme ils sont mal connus, ces symptômes féminins sont souvent négligés. "Ces symptômes atypiques contribuent à une prise en charge trop tardive des femmes lors d’un infarctus", témoigne le Professeur Claire Mounier-Vehier, cardiologue au CHRU de Lille et présidente de la Fédération Française de Cardiologie. " Les signes avant-coureurs peuvent passer inaperçus et minorer l’alerte , sachant que les femmes ne sont pas suffisamment conscientes que l’accident coronaire peut les toucher. De plus, elles ont souvent tendance à sous-estimer leur douleur et à être dans le déni ", déplore-t-elle.
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christophe76460 · 13 days
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Nourrissez votre foi !
« … . Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » Luc 18:8b
Veillez sur votre foi et ne la négligez surtout pas ! Souvenez-vous qu'elle doit occuper une place centrale dans votre vie chrétienne.
En effet, Dieu a prévu pour vous quantité de bienfaits que vous ne pourrez saisir que par la foi. Malheureusement aujourd'hui, la foi est trop souvent négligée voire même combattue. De nos jours, le chrétien ressemble plus à un raisonneur qu'à un "champion de Dieu". Jésus nous a mis en garde en nous annonçant que dans les derniers temps il y aurait une pénurie de foi.
Plus vous marchez avec Dieu, plus vous réalisez que la foi est cet élément vital qui donne à votre vie spirituelle toute sa dimension, tout son volume, toute sa puissance. C'est elle encore qui procure à la vie chrétienne tout ce qui fait sa force, sa valeur, sa dignité, en un mot : son excellence !
Peu de temps avant Son arrestation, Jésus mit Pierre en garde en lui disant : « … : Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment. Mais j'ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point ; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères. » Luc 22:31-32
De la même façon, Dieu nous avertit. Alors nourrissons notre foi afin de tenir fermes et de mener le combat de la foi jusqu'au bout.
Seuls les Saints armés d'une foi solide et scellée dans la Parole de Dieu, resteront debout en cette fin des temps. Désirez-vous devenir un homme d'Excellence, une femme d'Excellence ? N'attendez plus !
Prenez une ferme décision : croissez dans la foi, développez-la !
Une prière pour aujourd'hui
Merci Seigneur de me donner le discernement spirituel afin d’identifier tout ce qui pourrait altérer ma foi et me faire chuter. Je désire chaque jour la nourrir en puisant dans Ta Parole tout ce dont j’ai besoin. Amen
( Toutes les pensées quotidiennes sur : *viechretienne. net/pensee-du-jour* ). ☀️réduire l'espace entre le "point" et le "net"☀️ dans votre barre d’adresse.
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bienavecmoncheval · 2 years
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"Le dialogue entre l'homme et le cheval est fait de milles petits détails dont aucun ne doit être négligé" La communication se base sur le langage non verbal mais surtout le langage corporel et le langage basé sur ses sens. L'homme doit apprendre à observer minutieusement le moindre changement du corps, des sons et de son état émotionnel. Pour résumé dialoguer c'est avant tout observer. #chevalpassion #chevauxpassion #cheval #chevalofinstagram #horseslovers #horselovers #horsesforlife #horsepower #horses_of_instagram #horseslife #horsemanship #communication #dialogue #homme #observation #changement #corps #son #emotions https://www.instagram.com/p/CmthpVCtFFp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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yes-bernie-stuff · 6 months
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�� 11 MARS ▶ Les Trésors De La Foi
Toute cette assemblée saura que l'Eternel ne délivre point par épée, ni par hallebarde; car ce combat appartient à l'Eternel, qui vous livrera entre nos mains. 1 Samuel 17:47
À qui la bataille?
Ce point doit être acquis, que la bataille appartient à l'Eternel, et nous pouvons être sûrs de la victoire, même d'une victoire telle, qu'elle fera connaître toute la puissance de Dieu. l'Eternel est trop oublié par les hommes; et quand il y a une occasion de leur montrer que la grande Cause première peut exécuter ses plans sans le secours de l'homme, cette occasion est d'une valeur telle, qu'elle ne doit pas être négligée. Israël même regarde trop à l'épée et à la hallebarde. Il est beau pour David de ne point avoir d'épée dans la main, et cependant de savoir que son Dieu renversera devant lui une armée d'ennemis. Si nous combattons de tout notre coeur pour la vérité et la justice, n'attendons pas d'avoir à notre disposition le talent ni la fortune, ni aucun autre moyen visible d'influence; mais avec les pierres que nous trouvons dans le ruisseau, et la fronde que nous avons en main, courons à la rencontre de l'ennemi. Si nous combattions pour nous-mêmes, nous pourrions avoir des craintes; mais si c'est pour Jésus que nous luttons, qui pourra nous résister? Faisons donc, sans hésitation, face au Philistin, car l'Eternel des armées est avec nous et qui sera contre nous? - Lire plus ici :
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claudehenrion · 3 years
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Dans quel Etat j'erre ? Où cours-je ?
  Que ce soit par hasard, par entêtement de ma part ou bien sous la pression de l'actualité, je suis toujours obligé d'en revenir à ces mots qui me sont chers : “La folie est sortie des asiles” : rien, dans la lecture de mes journaux favoris –et de ceux que je ne peux pas feuilleter sans me couvrir de boutons– n'est de nature à me faire changer de refrain. Je dirais même que, avec le temps qui passe, je me trouve chaque jour conforté dans cette affirmation qui, à ses débuts, se voulait drolatique.
Prêt à tout faire (ou presque) pour être rassuré, j'ai passé mon week-end à faire un plongeon en apnée dans les grands titres… de mes grands titres préférés… J'en suis sorti totalement essoré : c'est encore bien pire que ce que je redoutais ! J'ai découvert, par exemple, que le principal souci de mes contemporains-congénères-compatriotes-concitoyens (on gagnerait du temps en mettant “con” en facteur !) serait relatif, à en croire plumitifs et instituts de sondage, à ce fait historique que “le gaz est en train d'exploser”... ce qui n'est tout de même pas une découverte : qu'il soit butane, de ville, d'origine algérienne, ou qu'il jaillisse d'un gazoduc russe, le gaz est fait pour exploser, comme les politiciens pour mentir ou les journalistes pour être de Gauche et de mauvaise foi. Les physiciens prétendent même qu'il fait ça, le gaz, par atavisme, par destination, par construction et par définition, puisque c'est en le bridant qu'on a réussi à en faire un moyen de faire des œufs au plat.
Eh ! bien, n'allez pas croire ça ! Si tout le monde s'affole, il doit y avoir une raison, non ? Le gouvernement a donc inventé les “chèques-de-100-euros-pour-commencer” uniquement pour éviter cette explosion du gaz, ou pour contrer ses effets… Vous me direz qu'on est habitué à ces idioties, et que toute la presse s'affole dès qu'il fait chaud en été, ou froid, l'hiver… Madame Michu –que j'ai un peu négligée, ces temps derniers– m’a dit que “c'est la faute au réchauffement climatique, au Giec, et tout…”, mais elle a tout faux ! Nos énarques ont trouvé une raison bien plus difficile à démontrer fausse –ce qui est leur but. Je résume : si “le gaz explose”, c'est la faute au confinement qui a donné aux gens envie de se déconfiner (les gens sont drôles, j'vous jure, ma bonne Dame ! confirme la mère Michu), et de proche en porche, le projet de gazoduc géant russe multiplié par la consommation des allemands puisqu'ils ont fermé leurs centrales nucléaires (ce que nos zécolos rêvent aussi de faire, puisque c'est très con)…  ont été aggravés par Trump fois Poutine X cosinus Orbàn… plus (+) les chinois en général et les populistes en particulier mêlés dans l'amalgame… sont responsables de bla-bla-bla etc, cqfd ! Bref “voici pourquoi votre fille est muette”, concluait déjà Sganarelle, qui expliquait, précisément, que “Ossabandus, nequeys, nequer, potarinum, quipsa milus”, ce qui était tout de même plus clair qu'un discours de Castex ! Il ne manque que Zemmour, dans leurs raisonnements foireux, mais rassurez-vous : ça arrive !
Vous me direz que j'exagère de déduire de cette explosion de gaz que le monde serait devenu fou… Laissez moi  donc vous parler d'un autre titre de très mauvais aloi : ’‘Dans la Manche, la pèche fait des vagues…“ suivi de longs articles mettant en cause… le Brexit, vous l'aviez deviné ! Et là, il y a de quoi… flipper, comme un dauphin ! Cette Manche (on dit : un ’'set”, en anglais) connue pour son calme acqua-bucolique et ses eaux dormantes et vice-versa, où il n'y a jamais une vague plus haute que l'autre (et même : au contraire !), voilà qu'elle pèche si gravement… qu'elle aurait pu aller à confesse –ce qui n'a rien à voir avec des problèmes de sexe dans l'Eglise. Ça, c'est pour après-demain !– si le Pape n'avait pas interdit toute pratique liturgique qui avait fait ses preuves dans le passé. Bref, la manche fait des vagues et le gaz explose… il y a bien là de quoi stresser, non ?
Mais il y a mieux, ou pire. Dans le grand exercice d'introspection extravertie dont auquel je vous causais, j'ai passé un temps inhabituel à observer mes semblables –qui le sont de moins en moins, l'âge ayant fait de moi un des “les plus vulnérables d'entre nous”. Et j'ai découvert quelque chose qui m'a profondément barbé : les hommes ne se rasent plus, et c'est la barbe, qu'ils la portent (la barbe) ! Sous la pression non plus de la bière éponyme mais de l'exemple si admirable donné par les terroristes qui sont islamisants, par les talibans qui le sont aussi (islamisants), et par les jeunes qui le sont si peu (jeunes)… la barbe est devenue le propre de l'homme, même pas très propre. Sans doute est-ce une preuve que les femmes ne sont pas aussi leurs égales que les moins plus égales d'entre elles pensent qu'elles pourraient le devenir : voilà bien un chapitre où elles ne sont pas près de nous damer (ou de nous hommer, plutôt) le pion, avec un “p” minus cul, comme dans “féminisme” ! C'est une pandémie, vous dis-je ! Il va falloir les vacciner, tous.
L'éleveur de brebis dans le Larzac ? Barbu ! Le Professeur Iznogoud de service qui radote sur le covid et sur votre écran ? Barbu ! Le nouveau spikeur de M6, ou 7, ou 8 ? Barbu ! Bénalla ? Barbu ! Hannouna ? Barbu ! Sarkozy ? Barbu ! Wauquiez ? Barbu ! Castex ? Barbant ! (et Macron ? Imberbe !). L'éboueur qui contemple “ses” tas d'ordures artistiquement répandus à Marseille ? Barbu ! Le syndicaliste qui refuse (c'est une répétition !) ? Barbu ! Le gérant de la supérette en bas de chez vous ? Barbu ! L'apiculteur engagé qui fait faire du miel bio à des abeilles qui le sont aussi (bio, pas barbues) ? Barbu ! Et sur mes petits fils en âge d'arborer des signes de virilité, deux ont une moustache, et les autres… barbus ! Quant aux féministes si peu féminines qui sont engagées dans un combat à mort contre tout ce qui porte barbe ? Barbues ! (enfin… certaines d’entre elles ! J'ai les noms !)…
Au tournant des années ‘50, il y avait un groupe qui s'appelait “les 4 barbus” et qui chantait, avec un bel esprit d'à propos : “J'ai de la barbe” (bis, et ter, et quater, et même plus..). Ils avaient une cinquantaine d'années d'avance, ces garçons, mais ils n'avaient tout-de-même pas prévu les rasoirs qui ne rasent pas et les lames qui ne coupent que 50 % de ce qu'il y a à couper, ce qui est tout-de-même un comble : le coupe-coupe qui ne coupe pas, le coupe-chou à coupe différée… “ 'fallait le faire !” (NB : Par la faute de la Hidalgo, on a déjà “la bagnole qui ne roule plus”, et grâce à Pfizernéca “le vaccin qui n'arrête rien et transmet tout”… Nihil novi sub sole !)
Mais comme nous vivons dans une époque où tout ce qui est simple, mesuré et “normal” est réputé “dépassé”, il fallait aller plus loin… Et vous avez donc vu, tout comme moi, apparaître dans nos rues, sur vos écrans, ou dans les salles d'attente pleines et les vaccinodromes vides, cette nouvelle race d'hommes “sens dessous-dessus” qui laissent leur menton se hérisser de poils “maltaleurplace”, mais qui se rasent, style “boule de billard”, tout système pileux “là où il pousse normalement”. Au final, ils ne ressemblent soit à rien (c'est le cas général), soit à des “poilus-où-i-faut-pas / rasés où faut pas non plus”. (NDLR : l'insupportable soi-disant cuisinier / vrai showman Etchebest (devenu Etcheworst) est un exemple particulièrement pas réussi de ce changement des valeurs qui est au visage humain ce qu'un emballage “à la Christo” est à un monument, ou ce qu'un gaz qui n'exploserait pas serait… à une Manche qui ne ferait pas de vagues : conforme aux tendances de notre temps, “n'importe quoi, pourvu que ça ne ressemble à rien” ou, si on veut, le Vendée-globe ramené aux vents des globes ! Le contraire de tout bon sens, quoi !  Et d’ailleurs, puisqu’on parle de bon sens… si on revenait au nôtre, dans tous les domaines ?
Je suppose que quelques lecteurs vont me reprocher une certaine brutalité dans mes jugements à l'emporte-pièce contre des événements qui dépassent les limites normales d'un gouvernement qui, après tout, n'est composé que d'êtres humains. Et ils ont peut-être raison, car qui peut nier, d'un autre côté, que nos leaders-en-place ont fait tout ce qui était humainement possible pour résoudre (?) le grave problème de santé publique que pose l'obésité en doublant les prix des produits alimentaires… la terrible crise du climat en faisant exploser (décidément, c'est une manie ! Ils sont en plein “burnes out” !) le prix des carburants fossiles… celle de la météo (et tes bas, bien sûr !) en multipliant les écotaxes… et la crise du “trou de la Sécu” grâce à un nettoyage par le vide des Ehpads… le tout en réussissant à ne pas baisser d'un centime les rentrées par taxes diverses (l’essence, les produits pétroliers, la TVA), dans les caisses de l'Etat anthropophage… Je crois que je vais revoir ma sévérité à la baisse… en attendant d'être contraint, dans pas très très longtemps, à la revoir… Allah hausse (NB : celle-là, je promets de ne plus la faire !)
H-Cl.
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L'avenir des enfants
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L'homme gentil entre Dieu et le Satan après Dieu c'est la socellerie
Pour les enfants dont l'avenir est troublé et ne devienne par ce que le destin les à réservé et tous ça c'est depuis la naissance, avant qu'un enfant ne vient au monde , sont avenue est déjà tracé, une fois que la grossesse a 5 mois les mauvais œil sont déjà tourné vers l'avenir de cet enfant et tous ce qu'il ou qu'elle vas devenir, les gens de mauvais œil met la main sur l'avenir de cet enfant et dès ça naissance il ou elle traverse de mauvaise moment côté éducation, spirituel et mentale et cet dernier a un avenir douteux, le mieux c'est de consulter l'oracle pour faire la mise à jour sur l'étoile de l'enfant et l'entourer des barrières on personnes n'osera toucher à son avenir et ce qu'il a amené dans son destin c'est ça qu'il deviendra et personnes ne pourra l'empêcher d'être ce qu'il est . Souvent ce phénomène est fréquente chez les hommes polygames et quelques rares fois dans les familles ou il n' y a souvent par d'entente et les amis qui ne veulent également par l'évolution de leur amis ou l'évolution des enfants de leur ami juste par méchanceté. Vous ne devriez par négligé ce phénomène car nos enfants sont nos avenir pour demain et ce sont nos enfants qui vont nous enterré et non aux parents de les enterrés. Ne vous faites plus de soucis pour ça veuillez me contacter pour une solution très efficaces a ce problème. Que les bénédictions soient 🙏🏿 Téléphone : +229 97012827 +228 96569394 Email [email protected]
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Mardi 21 avril 2020
René
Je reprendrais aujourd'hui le problème abordé dans mon dernier texte concernant le quinquina.
Sans trop vouloir entrer dans la complexité du problème, il convient de comprendre que le paludisme peut être assimilé à une maladie parasitaire des globules rouges ; il est par conséquent une manifestation clinique comportant un impact majeur sur le pigment respiratoire que représente l’hémoglobine.
Lors de leur phase d’invasion sanguine, les parasites se comportent comme de véritables petits vampires et détruisent les globules rouges. Les produits libérés par ces multiples implosions deviennent toxiques et provoquent une inflammation capillaire secondaire avec un risque hémorragique. L’évolution peut être mortelle par la venue d’un coma neurologique.
Le paludisme correspond donc à une attaque directe de la circulation sanguine provoquant une anémie rapide. L’échange d’oxygène et de carbone est perturbé et la congestion céphalique provoque une torpeur. Le corps se consume dans la chaleur, entraînant avec lui la psyché dans ses profondeurs impénétrables.
La crise paludéenne s'apparente à un retour de la vie vers les régions profondes végétatives de ses sources, dans l’obscurité chaude et humide des forêts tropicales où le chaos règne en maître, loin de la lumière.
Cependant, il est possible de revenir avec une conscience épurée de cette excursion périlleuse vers les origines, tel Jonas sortant du ventre de la baleine.
Un des symptômes étonnant de la sortie d’une crise de paludisme évoque étrangement une expérience cathartique, comme si la psyché avait été lavée de toute souillure. Mais peut-être y-a-t-il plus que cela et que retourner vers les sources de l’être dans le monde des mères comme l’évoque Goethe, permet de rapporter un bout de réponse sur le sens de l’existence. 
Le quinquina s’oppose aux forces végétatives puisqu’il s’en émancipe et donc refrène l’essence métabolique du sang au profit des forces neurologiques, assimilables aux forces d’aspiration lumineuses suscitant la métamorphose florale du végétal.  La sensibilité d’une fleur rappelle une ébauche d’organe sensoriel, la fleur goûte le soleil en s’y exposant et en expirant son parfum. 
Nous approchons de l’effet thérapeutique de la quinine sur le sang apparenté au fait qu’au courant métabolique puissant et expansif du sang, s’oppose en son sein un courant de nature neurologique. Il est aisé de concevoir ce courant s’opposant aux forces de vie comme un courant de structuration, poussant à une organisation, tel un sculpteur face à une matière vivante.
Dans le monde animal, cette organisation peut prendre toutes les formes adaptatives possibles et reflète les possibilités quasi infinies de modes de liaison et d’assemblement des forces primitives de vie. Les formes architecturales sont donc innombrables donnant à Bergson l’idée de les associer à une imagination métaphysique.
Rien de tel chez l’homme dont l’unité existentielle n’est pas déterminée par une finalité adaptative. Il faut en conclure que les forces de vie et d’organisation s’opposant dans le sang chez l’homme ne réalisent pas une unité existentielle stable et conforme à une finalité adaptative. L’homme est donc condamné à devoir définir lui-même sa raison d’être qui est son ouverture à lui-même dans le temps, le temps de son devenir. L’animal ne possède aucun autre devenir que de confirmer éternellement sa position mondaine.
Le sang serait donc chez l’homme le lieu où se scénarise cette problématique temporelle d’un inachèvement, le lieu où continuent de s’affronter forces de vie et forces d’organisation sans aboutissement spontané à une unité existentielle évidente en soi, sans qu’aucune finalité ne se précise.
 Avec le sang, nous franchissons le seuil de la composante la plus signifiante de l’organisme dont le lien avec la conscience a été problématisé par les alchimistes sous l’horizon spirituel du solve et du coagula.
 Le sang est pur mouvement pénétrant dans le moindre recoin de l’organisme afin d’en unifier toutes les fonctions pour les élever à une nouvelle finalité qui est la conscience de soi. Le sang acquiert une puissance ontologique du fait de détenir l’unité temporelle de l’organisme, le lieu où s’éprouve la dialectique entre la vie et son issue ou encore entre le biologique et la conscience.
Le soi ou l’être-là surgissant du temps est auto-subsistant, se réfléchissant en lui-même sous un mode infini dans un nouvel espace qui est idéel. Le soi natif n’est donc que l’idée-image de l’homme, se fascinant elle-même dans le miroir du monde comme le montre le mythe de Narcisse.
Le sang humain permet à l’homme d’échapper à la pure contingence de la réalité pour se prendre à son être paraissant dans et par la conscience sans aucune détermination particulière, sinon justement celle de ne pas en avoir. L’homme est donc nécessité à se projeter à l’horizon de son propre être dans le temps de son devenir, les repères extérieurs ayant disparu.
Ainsi s’explique la portée eschatologique du mythe du Graal en rapport avec ce qui est en puissance dans l’être révélé en son ultime métamorphose spirituelle, hors du temps.
 Un sang trop fluide, trop chaud, trop métabolique enflamme le tissu nerveux et transforme la boîte crânienne en œuf primordial où la conscience n’est que couvée, encore dans les limbes de la nuit orphique, attendant que le vent la féconde.
Un sang trop épais et froid immobilise la conscience, la paralyse et la fait accéder à la pureté de son vide originel.
Les alpinistes affrontant les hautes cimes vont à la rencontre d’un point de vue hors limite où la conscience se rapproche de sa possible extase, de son saut au-delà de l’immensité de l’horizon. Il n’y a plus aucun mot pour exprimer ce moment, seul un silence ou la mort y réponde.
Les tropiques favorisent un sang fluide alors que les régions froides privilégient un sang plus épais signifiant une relation plus structurante au temps. On passe des entités chtoniennes aux Dieux tutélaires du ciel. 
 Nous avons vu que les virus ont souvent été comparés au phénomène cométaire par leur provenance des premiers moments de la vie biologique et ils continuent à en témoigner. La complexité de l’objet biologique est sa temporalité qui relève d’une actualisation permanente de toute sa genèse. Parler du cholestérol sans connaître son implication dans toute une chaîne de métamorphoses depuis les premières bactéries ne permettra jamais de connaître de façon concertiste son rôle en l’homme.
Les virus venus du fond du temps sont donc malgré eux comme possédés par la fin et emportent le chaos avec eux, cherchant à court-circuiter les longues métamorphoses qu’impose la spatialisation du temps dans les formes. Ils deviennent des accélérateurs, dangereux pour certains, de l’évolution car ils dynamisent ou parfois dynamitent la relation évolutive complexe entre le biologique et la conscience. La raison pour laquelle on ne prend en compte que l’aspect mortel du virus tient à ce que l’on ne voit pas assez la provocation qu’il est pour la conscience.
 Le paludisme offre les symptômes caractéristiques du difficile passage de l’Être à une temporalité qui le déconfine de la grotte matricielle originelle platonicienne où les idées ne sont que des ombres ou des images flottantes.
Le coronavirus présente énormément de convergence clinique avec le paludisme, mais sa nature de virus le rend plus directement provocateur. Les virus possèdent donc tous un effet pathogène sur le sang puisqu’ils viennent d’un temps originel et en cherchent l’issue, or le flux du temps coule dans le sang et se reflète dans la conscience où le reçoit l’être en son devenir.
 Linda
Toujours d'après Annick de Souzenelle dont je rappelle l'interview sur YouTube, il semblerait que l'humanité s'enfonce dans l'erreur par manque de maturité. Ainsi l'histoire des civilisations ne serait que le témoignage des tâtonnement de l'être à la recherche de lui-même, chaque crise l'invitant à dépasser ses propres impasses. Et toujours d'après Annick de Souzenelle, l'homme ne serait qu'à l'aube de sa maturité et l'histoire qui nous précède relaterait les traces de cette difficile avancée en aveugle.
C'est incontestablement une manière séduisante de replacer la folie des hommes dans le cadre d'une évolution qui laisse une large place à l'expérimentation et à la liberté.
La philosophie et la psychanalyse se rejoignent pour démontrer que l'homme construit son histoire sur un canevas mythique dont il n'a à ce jour, plus la moindre idée et qui, sans qu'il ne s'en doute, guide ses pas et rythme son avancée.  L'âge adulte tel que l'envisage Annick de Souzenelle, ne consisterait-il pas à prendre conscience de ce soubassement mythique qui ouvre tant de perspectives nouvelles ? 
En cherchant une passe vers les tréfonds de l'inconscient, Freud a redonné au mythe une place de choix dans l'œuvre d'exister. Mais sans doute la découverte était-elle trop énorme et trop subversive pour pouvoir être absorbée et replacée dans une juste position.  Progressivement, les psychanalystes ont fait du mythe et particulièrement du mythe d'Œdipe une véritable tarte à la crème accommodée à toutes les sauces. C'est incontestablement une manière de résister à la richesse incroyable qu'offre la mythologie dans la connaissance de l'homme et de sa construction. Freud n'était sans doute pas assez ouvert à l'esprit pour s'apercevoir du trésor incroyable qu'il avait déterré.
Mais bien avant Freud, les philosophes n'avaient certes pas négligé ce trésor laissé à la disposition de l'humanité. 
Pour Schelling, l'auteur qui est sans doute allé fouiller le plus loin dans la mémoire mythique, l'accès à la vérité du mythe n'est possible qu'après que l'homme ait eu la capacité de construire une âme d'entendement suffisamment élaborée pour pouvoir regarder dans les zones profondes de cette construction.
De même, l'accès au soubassement inconscient dont Freud a percé le mystère, est intervenu à un moment où l'homme était prêt à encaisser le choc de cette rencontre avec ses origines sans  tomber dans la béance alors ouverte.
Pour Schelling comme pour Freud, la mythologie retrace les premiers moments de origine de l'homme alors qu'il fait ses premiers pas en quête d'une conscience du monde et de lui-même. La mythologie témoigne de ce moment de la création où les dieux dispersés dans un polythéisme sacrificiel font le don de la puissance de leur esprit à la créature humaine.
Reléguée dans l'inconscient le plus profond, la toile mythique habite l'homme comme une première carte archétypale sur laquelle vient résonner l'histoire individuelle plus ou moins en accord avec ces grands principes existentiels.
En fermant la porte de la mythologie, le Christianisme fermait à double tour les puissantes énergies créatrices issues du premier cadeau des Dieux : Ouranos arrosait d'une pluie de lumière d'or les terres fertiles de Gaïa, sacrifiant sa puissance phallique mais permettant à la première lueur intérieure de jaillir, première étape d'une conscience qui s'ouvre au regard. Dans un deuxième temps, Kronos créait les intelligibles, ces abstractions qui permettent de nommer le monde et qu'il avale afin qu'elles ne soient pas absorbées par la terre. Une fois rassasié, Kronos engendrait Zeus et lui cédait la place afin qu'il ensemence le monde humain.
C'est sur ce socle complexe mais grandiose métaphore de la création plotinienne que le Christ bâtit son église conduisant l'humanité vers une deuxième étape de son évolution que nous avons coutume d'appeler l'étape de l'individualisme.
Le déterminisme mythologique gardien des grands principes de la construction psychique fut scellé dans la tragédie grecque, seul témoignage de ce moment unique afin que l'église du Moi puisse se dresser sur ce socle volcanique plein de vie et de fureur.  
L'individualité repose sur un magma informe dont seule la folie de Dionysos nous permet d'approcher le centre — et encore devons-nous prendre mille précautions —.
 Dans cette extraordinaire épopée de la naissance de l'homme à la conscience, celui qui approcha au plus près cette vérité fut incontestablement Nietzsche qui n'en revint pas tout à fait indemne. Il ne trouva pas l'articulation entre la mythologie, polythéiste en apparence, et le christianisme qui prône le dieu unique. On peut le comprendre car il n'est pas donné à tout le monde d'aller aussi près de divinités telles qu'Apollon et Dionysos.
Ce fut en effet tout l'enjeu du Christianisme qui, tout en fermant l'accès au socle mythologique, mit en place les éléments de l'individuation.
Ainsi, c'est à coup de sentences morales, de culpabilisation de toutes sortes, d'interdits et de transgressions, éléments indispensables à l'homme-enfant pour accéder à une conscience de lui-même, qu'elle bâtit pierre après pierre l'édifice du Moi.
Force nous est de constater que nous n'en sommes qu'au premier étage de cette échelle et même si nous apercevons au loin les rives d'un Je, la route est encore longue.
Longue certes, mais passionnante. Si ce n'était le sacrifice de toutes ces vies qui nous quittent dans une effroyable solitude, on pourrait trouver l'époque exaltante car pour le coup, totalement inédite.
On peut voir dans cette pandémie un fabuleux accélérateur d'évolution dans la mesure où il vient révéler et défier de manière flagrante nos insuffisances et bon nombre d'entre-elles ont trait aux processus d'individuation : notre capacité à affronter la solitude, notre résistance à passer du temps en tête à tête avec sa famille, notre imagination à nous occuper utilement, notre faculté à rentabiliser ce temps, notre réponse face à la mort possible. Autant de facultés qui attisent notre liberté et notre capacité à assumer ce que nous sommes.
 Ainsi le virus navigue à son aise dans les mailles relâchées de notre structure, allant se nicher dans les plis de nos régressions immatures.
Un grand merci à Annick de Souzenelle, depuis longtemps notre inspiratrice avisée.
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