#négliger
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🇫🇷 Café Gaudi Mai 2024. Jour 17.
Négliger.
🇬🇧Café Gaudi May 2024. Day 17. Neglect.
🇪🇦Café Gaudí Mayo 2024. Día 17. Descuidar.


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Comment accompagner des personnes dysorthographiques en formation ?
Dans ma carrière de pédagogue, j’ai régulièrement rencontré des personnes dites “dys”. Même si je ne m’en souviens pas avec exactitude, j’ai envie de croire, qu’à mes débuts, j’étais dubitatif à l’idée que certaines personnes puissent souffrir de ce type de maux. Il m’a fallu prendre le temps de me confronter aux souffrances vécues par les enfants, les adultes. Il m’a fallu échanger avec des…
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Crédit Auto Occasion Rapide
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Napoleon acts like a brat on St. Helena; his valet ignores stupid accusations
Un certain jour, l'Empereur, pour être couché plus au large, eut l'idée de se faire un grand lit de ses deux petits lits de campagne en les faisant accoupler ensemble. Sa volonté fut aussitôt exécutée. Mais les couvertures, assez grandes pour les petits lits séparés, ne le furent plus assez pour garnir la longueur et la largeur des deux lits réunis. Un soir, étant un peu de mauvaise humeur, et ne sachant à qui ou à quoi s'en prendre, il trouva que ses épaules n'étaient pas assez garnies ; il prétendit que nous avions coupé les couvertures. C'était une idée comme une autre, mais à laquelle il n'y avait rien à répliquer; une justification était inutile. Ce que l'on avait de mieux à faire, quand il était mal monté, c'était de garder le silence, eût-on raison ou tort ; et le parti que nous prenions, c'était de redoubler de zèle pour son service et de ne rien négliger de ce qui pouvait lui être utile ou agréable. Si parfois il lui arrivait de chagriner ceux qui étaient constamment autour de lui, il savait toujours revenir à eux et leur prodiguer ses caresses. Les deux lits restèrent accouplés pendant une quinzaine environ, et ensuite ils furent séparés et remis à leurs places primitives.
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One day, the Emperor, in order to lie more spaciously, had the idea of making a large bed from his two small campaign beds by having them brought together. His wish was immediately carried out. But the blankets, large enough for the separate small beds, were no longer large enough to cover the length and width of the two beds joined together. One evening, being a little bad-tempered, and not knowing who or what to blame, he found that his shoulders were not sufficiently covered; he claimed that we had cut the blankets. It was an idea like any other, to which there was no reply; an excuse was useless. The best thing to do, when he was bad tempered, was to keep silent, whether one was right or wrong; and the course we took was to redouble our zeal for his service and to neglect nothing that could be useful or agreeable to him. If sometimes he happened to upset those who were constantly around him, he always knew how to return to them and lavish them with his caresses. The two beds remained coupled for about fifteen days, and then they were separated and put back in their original places.
Souvenirs du mameluck Ali (google books)
#St. Helena#Etienne St. Denis aka Mameluke Ali#Napoleon's nutty ideas#Napoleon's famous seduction techniques to people he pissed off
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Rester au chaud et déguster un bon café est un petit bonheur à ne pas négliger !
Beau et heureux dimanche et bonne dégustation à toutes et tous ! ☕️🫶
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Dans notre société obsédée par le jeune et le sexy, il est devenu trop facile de négliger la beauté et le glamour de celles qui vieillissent avec grâce.
La vie m'a apporté des larmes mais elle n'a pas pu effacer mon sourire ! La vie m'a brisé le cœur mais elle n'a pas pu aspirer mon âme... La vie m'a volé beaucoup d'espoirs mais elle n’a pas pu enlever mes rêves. Oui, la vie, au fil des années, pourra faire apparaître des rides sur mon visage mais elle ne pourra pas faire vieillir mon cœur
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◼️ La citation du lundi ◼️
Roi Loth : Alors, j'ai pas vu Guenièvre, euh… Seigneur Galessin : Si, si, elle était là, mais elle sort pas beaucoup. Roi Loth : Ah d'accord. Alors là pareil, je vais dire une banalité : ne jamais négliger les bienfaits du couple, dans la fonction militaire, surtout quand on est a un poste de décision. Moi j'ai toujours mené mes troupes de façon laborieuse et pénible, pourquoi ? Avant tout, il faut pas se le cacher, parce que ma femme est une grosse salope. Lancelot : Ce que Guenièvre n'est pas, cela va sans dire. Roi Loth : Cela va sans dire. Seigneur Galessin : Non, c'est pas le même genre de femme. Guenièvre, elle a du mal à prendre sa place à coté d'un chef d'état. Ça le faisait déjà du temps de… Lancelot : Du temps de… ? Seigneur Galessin : Ben, vous le savez bien. Lancelot : Non je sais pas, non. Vous pensez à quelque chose en particulier ? Roi Loth : Beh, du temps où elle était avec Arthur ! Ah, écoutez, il n'y a pas de honte à l'évoquer. Vaut mieux être au clair avec certaines choses. Vous, votre femme, vous êtes pas son premier bonhomme. Voilà ! Elle a déjà fait dans le chef de guerre, je ne vois pas où est le problème. Moi, ma femme, on peut dire qu'une bonne partie du monde breton est passée dessus. Et ben je le prends sur moi. Je sais que je passe pour le roi des pignoufs aux yeux de beaucoup. Mais j'essaie de bien le vivre et de voir de l'avant. Sinon je ne m'en sors pas.
Livre IV Episode 69 : Loth et le Graal
#kaamelott#Roi Loth#François Rollin#Galessin#Alexis Hénon#Lancelot#Thomas Cousseau#Alaexandre Astier#Quote#CItation
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (10/27)
Lola est la dernière des enfants naturels de mes parents, et, à nos yeux à tous, elle a toujours été le bébé de la famille. Je me suis plu à m’occuper d’elle, de ma petite sœur, dès sa toute petite enfance, quand Papa était en Egypte. Ce bébé gai, qui riait en permanence, est devenu une petite fille pleine de vie et le prétexte idéal pour négliger mes études. J’ai passé mes soirées à lui lire des histoires plutôt qu’à faire des équations. Quand elle était triste à cause de quelque chose, je l’étais aussi, mais j'avais cependant ce plaisir égoïste et coupable de savoir que j’allais pouvoir la réconforter.
Tout ce qu’elle fait et tout ce qu’elle ressent, elle le fait avec intensité. Je pense à ses trépignations semi capricieuses quand ses yeux s’éclairent à la vision d’un marchand de crème glacée à la foire, à ses larmes lorsque sa boule vanille est tombée sur le sol et qu’elle s’en est trouvée inconsolable, je pense à tous ses jeux et aux histoires qu’elle inventait, je pense à son amitié intense, possessive et exclusive avec Layla, je pense sa passion fulgurante et aussitôt abandonnée pour le chant lyrique. Il était donc naturel que cette façon intense de vivre et de ressentir s’applique également à ses premiers amours, et ça n'a pas loupé.
Lorsque Lola s’est confiée à moi sur ses amours contrariés, je l’ai écoutée avec la même attention que d’habitude, mais j’ai pris toute la mesure du fait que cette petite fille était en train de devenir une jeune femme, et que d'une façon ou d’une autre, sans que je m’en aperçoive, on avait dépassé le temps où, pour la réconforter, il me suffisait d’embrasser le pansement ouaté enduit de mercure sur le genou écorché. Il fallait que j’accepte que face à cette situation nouvelle, j’étais dépassé. J’ai immédiatement pensé à toi, à ta manière si calme et posée d’aborder tous les problèmes de la vie, au fait que ton regard féminin était ce qu’il lui fallait.
Est-ce que j’ai mal fait ? Lorsque je lui ai conseillé de t’écrire, je ne voulais que son bien. A-t-elle pensé que comme Agathon, je l’envoyais balader et que je ne m’intéressais pas à elle ? Est-ce qu’elle s’est sentie invisible ? Pas entendue, pas écoutée ? Elle a coupé ses cheveux - d’une certaine manière elle nous appelait à l’aide, et nous n’avons rien vu. C’est Lorita qui a commencé à lui donner de la cocaïne à cette époque. Gratuitement les premières fois. C’est plus tard, quand ma sœur a commencé à en réclamer d’elle-même, que Lorita lui a demandé compensation et que Lola a commencé à y réserver une portion de son salaire. Je n’en savais rien. Je ne m’en doutais pas. Je pensais simplement qu’elle était très mal payée. J’avais vu son amaigrissement flagrant, je l’avais mis sur le compte du chagrin d’amour.
Cette découverte dans sa chambre m’a forcé à accepter deux vérités. La première, évidente : Lola n’était plus une petite fille mais une jeune femme de vingt ans qui luttait à sa manière pour tenir, comme nous tous. La seconde, moins évidente : Lorita n’était pas l’agneau que nous avions tous cru connaître, et quelqu’un, quelque part, avait des affaires à lui reprocher.
[Transcription] Dolorès LeBris : Tu es vraiment fâché ? Agathon LeBris : Oui. Agathon LeBris : Je ne te pensais pas capable de faire ce genre de choses. Tu es plus futée que ça. D’où tu tiens ça ? Dolorès LeBris : Ne touche pas mes affaires ! Dolorès LeBris : De toutes façons, je n’ai pas envie d’en parler. Agathon LeBris : Dans ce cas, je vais demander à Layla, peut-être qu’elle pourra m’en dire plus. Ou à ton cher fiancé Ives, peut-être ? Dolorès LeBris : Non ! Attends. Dolorès LeBris : C’est… C’est Lorita qui m’en fournissait. Agathon LeBris : Lorita ? Qu’est-ce que Lorita crissait avec des réserves de cocaïne ? Dolorès LeBris : Je ne sais pas, mais… Elle a commencé à m’en donner quand toute cette histoire avec Fabien a commencé. Tu te souviens, j’étais triste tout le temps… J’avais essayé de t’en parler. Agathon LeBris : Et dans trois secondes ce sera ma faute si tu n’es pas capable d’endurer tes peines de cœur sans te mettre aux drogues dures. Dolorès LeBris : Ce n’est pas ce que j’ai dit… Dolorès LeBris : Je vais arrêter, je te jure. De toutes façons, je ne saurais même pas où en retrouver. Je t’en supplie, ne dis rien. Agathon LeBris : C’est la dernière fois que je garde un secret pour toi.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layla Bahar#Eugénie Bernard#Jules Le Bris#Ives Bernard#Fabien Bernard
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Les échecs

Jérusalem, 1180
Le soleil se couchait lentement sur la ville sainte, teintant les murs de la vieille cité de nuances dorées et orangées. Dans une chambre ornée de tapis riches et de broderies délicates, le roi Baudouin IV de Jérusalem souriait à sa moitié, Alix, la dame de Tripoli.
Alix était rayonnante, sa grossesse lui conférant une beauté nouvelle et éclatante. Ses joues rosies par l'enthousiasme du jeu et l'attente d’un enfant qu’elle chérissait déjà illuminaient la pièce d’une douceur incomparable. Assise face à Baudouin, elle déplaçait lentement une de ses pièces sur l’échiquier, le regard déterminé.
« Tu choisis toujours cette stratégie, chère Alix », taquina Baudouin, son rire léger résonnant comme une musique familière. Il n'avait plus à se soucier des ravages de la maladie. Comme s'il avait récupéré non seulement sa santé, mais aussi son bonheur, sa vie s'était transformée en un tableau plus joyeux.
« Et qu'as-tu à proposer, mon roi ? » rétorqua-t-elle avec un clin d'œil, sa voix douce remplie de défi. Sa main glissa, délicate mais assurée, vers sa dame, la plaçant stratégiquement pour bloquer une avancée de son époux.
Baudouin feignit de réfléchir intensément : « Alors, tu es prête à affronter le roi de Jérusalem ? » Son regard pétillait d'amusement. Il avait toujours admiré l'esprit vif de sa femme.
« Si tel est mon destin… » répondit-elle, un sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle poussa un soupir, mais dans ses yeux brillait une étincelle de force : «Comme les autres batailles que j’ai mené je compte la gagner.»
Leurs mains se touchèrent brièvement alors qu'il se penchait vers elle pour capturer une pièce perdue dans le coin de la table. Un frisson d’énergie douce parcourut leurs doigts. Baudouin, en le sentant, ne put s'empêcher de sourire davantage. Tout en jouant, il la contemplait, perdant momentanément son attention sur l'échiquier. Leur jeu avait une portée bien plus grande que celle de rois et de pièces. C'était une danse de confiance, d’amour, et de foi en un avenir radieux.
« Un enfant… » murmura-t-il, une pensée émergeant à voix haute. « Un héritier pour Jérusalem. »
Alix le regarda, une lueur d’anticipation dans ses yeux. « Et un futur pour nous. »
« Je te fais la promesse de protéger cet avenir. Je ne laisserai jamais mon royaume, ni notre famille, manquer de bonheur. » Les mots coulaient de son cœur, sincères et pleins d’espoir. La lourdeur de son passé semblait s’évanouir à chaque instant passé avec elle.
Ils continuèrent à jouer, mais chaque mouvement sur l’échiquier était imprégné d’un sens nouveau. Les pièces devenaient le reflet de leurs désirs et de leurs rêves. A chaque coup, ils construisaient non seulement une partie, mais également les bases de la vie qu’ils espéraient bâtir ensemble.
« Je te fais un pari, Alix : si je gagne cette partie, tu devras promettre de m’accompagner lors de notre prochain voyage à Kerak », proposa-t-il, espiègle.
Alix plissa les yeux en souriant, son esprit inventif déjà en éveil. « Et si je gagne, mon roi, tu devras jurer de ne jamais négliger les plaisirs simples de la vie, même au milieu de tes futures batailles. »
Leur jeu continua, les rires et la complicité forgeant des souvenirs vivants. Le roi Baudouin et la dame de Tripoli scellaient leur amour sur un échiquier, berçant doucement l’espoir d’un avenir prospère sous le ciel étoilé de Jérusalem. Les défis étaient nombreux, mais ensemble, ils étaient prêts à les affronter, avec l'amour pour fidèle allié et leur enfant à venir, symbole de leur bonheur partagé.
#baudouin iv#baldwin iv#king baldwin#fanfic#leper king#king baldwin x reader#baldwin iv x oc#baldwin of jerusalem#Baudouin IV X OC
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Je ne méprise pas les hommes. Si je le faisais, je n'aurais aucun droit, ni aucune raison, d'essayer de les gouverner. Je les sais vains, ignorants, avides, inquiets, capables de presque tout pour réussir, pour se faire valoir, même à leurs propres yeux, ou tout simplement pour éviter de souffrir. Je le sais : je suis comme eux, du moins par moment, ou j'aurais pu l'être. Entre autrui et moi, les différences que j'aperçois sont trop négligeables pour compter dans l'addition finale. Je m'efforce donc que mon attitude soit aussi éloignée de la froide supériorité du philosophe que l'arrogance du César. Les plus opaques des hommes ne sont pas sans lueurs : cet assassin joue proprement de la flûte ; ce contremaître déchirant à coups de fouet le dos des esclaves est peut-être un bon fils ; cet idiot partagerait avec moi son dernier morceau de pain. Et il y en a peu auxquels on ne puisse apprendre convenablement quelque chose. Notre grande erreur est d'essayer d'obtenir de chacun en particulier les vertus qu'il n'a pas, et de négliger de cultiver celles qu'il possède.
Marguerite Yourcenar, Mémoires d'Hadrien
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Trump contre la dette : génie ou chaos économique ?

Tout ce qui est dit dans les médias au sujet de Donald Trump est souvent caricatural, vindicatif, voire franchement bête. Pourtant, sa politique économique, encadrée par des experts issus d’universités comme Yale ou Harvard, mérite d’être examinée sérieusement. Elle est certes risquée, mais aussi passionnante et potentiellement structurante pour l’avenir du monde. En résumé, il s’est attaqué de front à un problème majeur des États-Unis ce que les autres pays ignorent de leurs côtés, et refusent obstinément de regarder en face la dette. D’où vient cette dette ? Avec la mondialisation, les États-Unis, comme d'autres puissances occidentales, ont massivement délocalisé leur production vers les pays en développement. Résultat : perte d’emplois, donc baisse de revenus, donc chute des recettes fiscales. En parallèle, les multinationales ont déplacé leurs sièges sociaux dans des paradis fiscaux, échappant encore davantage à l’impôt. Il faut aussi comprendre un mécanisme fondamental les Américains achètent en dollars. Ces dollars ne s’évaporent pas. Ils finissent dans les poches de ceux qui exportent vers les États-Unis la Chine, l’Allemagne, les pays du Golfe… Et que font-ils avec ? Ils rachètent des entreprises américaines, entraînant une perte progressive de souveraineté économique. Pour y remédier, Trump a instauré des taxes douanières. Ces taxes permettent à la fois de:
-compenser les pertes fiscales,
-inciter les entreprises à relocaliser,
-favoriser la production nationale.
Ce triple objectif vise à restaurer l’emploi, les revenus, et in fine, les recettes fiscales. Le second pilier : l’immigration de masse en parallèle de la délocalisation, les frontières ont été largement ouvertes aux flux migratoires. Résultat les métropoles occidentales ont profité d’une main-d’œuvre peu chère dans les services, livreurs, nounous, aides ménagères au service d’une élite urbaine bien installée. Mais cette immigration massive a un coût. D’abord social elle pèse à la baisse sur les bas salaires. Ensuite budgétaire une part importante des migrants est peu qualifiée, difficile à intégrer, parfois inemployée. Il faut construire des infrastructures écoles, hôpitaux, logements, transports… Pour donner un ordre d’idée sous Biden, plus de 7 millions de migrants sont arrivés en 4 ans. Cela équivaut, en besoins d’infrastructures, à construire une nouvelle Bulgarie, pour une population qui n’a pas encore commencé à contribuer à l’économie, et dont les revenus futurs seront en moyenne faibles. Il ne faut pas négliger les transferts financiers vers les pays d’origine, qui représentent des fuites de capital hors du territoire. Trump a donc décidé de mettre fin à l’immigration de masse. Un choc pour les élites, pas pour le peuple, ces politiques ne sont pas désastreuses pour la population américaine, comme on l’entend souvent, mais pour les élites urbaines et les grandes fortunes mondialisées. Ce n’est pas un hasard si Kamala Harris a été l’une des candidates les mieux financées par ces milieux lors de sa campagne. Le DOGE la guerre totale à la dette Musk a lancé une véritable guerre contre la dépense publique. Trois risques majeurs accompagnent cette révolution économique :
1. Thérapie de choc. Toute réforme de cette ampleur comporte un risque important. Mais ici, le « patient » est la première puissance économique mondiale, avec une population profondément attachée au capitalisme et méfiante à l’égard de l’État. Ce terreau culturel rend cette stratégie possible.
2. Une inflation non maitrisée. L'arrêt de l’immigration de masse qui va faire remonter les salaires et le renchérissement des produits importés pourrait alimenter l’inflation, ce qui, paradoxalement, peut être bénéfique : la dette étant libellée en dollars, son poids réel diminue avec l’inflation. Le vrai danger, c’est que la Réserve fédérale (Fed) monte ses taux pour contrer cette inflation, annulant tous les efforts consentis.
3. Échéance politique. Trump a moins de deux ans avant les élections de mi-mandat pour montrer des résultats. Ce délai semble court au regard de l’ampleur de la transformation engagée. Réussira-t-il ? Une coordination de l'ensemble de l'électorat peu mener à une réussite et un exemple a suivre, à court terme 2 ans, ce sera soit un succès modéré, soit un échec relatif. Mais ce qui compte le plus, c’est la tendance. Les États-Unis sont un gigantesque paquebot. Trump vient d’en modifier la trajectoire. Il est peu probable qu’un prochain président puisse l’inverser sans provoquer une tempête politique ou sociale. Il faut aussi comprendre que Trump n’est pas une anomalie. Il est le produit du système américain. Une réponse aussi brutale que ses déséquilibres sont profonds. L’Amérique se dirige désormais vers plus d’autosuffisance, plus d’indépendance stratégique, probablement en créant une aire économique et de sécurité intégrée englobant le Canada, voire le Groenland. On peut le regretter. Mais s’indigner, insulter Trump à longueur de journée, ne changera rien. Il est temps de nous regarder dans le miroir et de nous prendre en main.







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Qu’il dorme ou qu’il veille, qu’il courre ou qu’il marche, qu’il utilise un microscope, un télescope ou l’œil nu, l’homme ne découvre jamais rien, ne dépasse jamais rien, ne laisse jamais rien derrière lui, sinon lui-même. Quoi qu’il dise, quoi qu’il fasse, il ne rend compte que de lui-même. S’il est amoureux, il connaît l’amour, s’il est au Ciel, la félicité, s’il est en Enfer, la souffrance. Son état spécifique détermine sa localisation. La principale, la seule chose qu’un homme puisse façonner est son état, ou encore son destin. Néanmoins, la plupart du temps, il n’en a pas conscience et ne signale pas cette activité au moyen d’un panneau qui dirait : « Ici s’accomplit et se répare ma propre destinée » (et non pas la vôtre). Il est pourtant passé maître dans cette tâche et s’y consacre 24 heures par jour pour la mener à bien. Quand bien même il négligerait ou saboterait tout le reste, on n’a jamais vu personne négliger cet ouvrage-là. Nombreux sont ceux qui prétendent que leur occupation principale consiste à fabriquer des souliers et qui réfuteraient avec mépris l’idée qu’ils ont leur part de responsabilité dans ces temps difficiles qu’ils subissent. Tout effort tendu vers quelque chose, toute aspiration, est un instinct qui reçoit assistance et collaboration de toute nature et, en cela, il ne saurait être inutile. Hélas, chaque relâchement dans l’effort, chaque marque de désespoir est également un instinct. Il faut un courage exemplaire pour être actif, en bonne condition et heureux. Être prêt à se battre en duel ou à livrer bataille implique du désespoir, ou bien que vous faites peu de cas de votre vie. Henry David Thoreau, Concord, 20 mai 1860
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Charlotte: Thank you for coming with me. All that dancing made my head spin. Hortense: It's nothing…
Hortense: Are you sure you're all right? Charlotte: Yes, the fresh air is doing me good already. Hortense: You're very sentimental this evening.
Charlotte: My life's been turned upside down recently. Hortense: I can see that, you've hardly had any of your champagne. Charlotte: And how are things with you and Oliver?
Hortense: Oh. Charlotte: This isn't an interrogation, dear sister. I'm just checking up on you. Hortense: We talk a lot… Charlotte: And? Hortense: The more time passes, the more I…
Charlotte: Don't say any more, after all. Hortense, sigh: I knew it. Charlotte: Oliver is a handsome and brave man. You look good together. Hortense: Thank you.
Charlotte: Don't be so angry, I mean it sincerely. And so does Louis. You make a lovely couple.
Hortense: Does Louis still hold a grudge against Oliver and me for our "latest antics"?
Charlotte: What you did was deeply stupid, but it would be even more stupid to ignore your feelings. Louis and I have received your apology, now it's in the past.
Charlotte: Let's all make sure we forget your mistakes. Hortense: You and Louis are so magnanimous, I'm glad it's finally over. Charlotte: Me too, Hortense.
⚜ Le Cabinet Noir | Paris, 17 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Napoléon V and his entourage went to the Grand Bal de l'X, organised by the École Polytechnique to celebrate the end of their year of study. The ball took place at the Opéra Garnier, and featured a number of performances including dances, fencing, a choir and many other distinguished ceremonies. It's a not-to-be-missed event for young students. During the evening, Oliver approached his friend Napoléon V to officially ask for his sister Hortense's hand in marriage. The Emperor agreed to make the engagement official.
Meanwhile, Charlotte keeps her sister-in-law Hortense out of their discussion so that she doesn't suspect anything.
(Oliver is a character belonging to @officalroyalsofpierreland)
⚜ Traduction française
Charlotte : Merci de m’accompagner. Toutes ces danses m’ont fait tourner la tête. Hortense : Ce n’est rien…
Hortense : Es-tu sûre que ça va ?
Charlotte : Oui, l’air frais me fait déjà du bien. Hortense : Tu es bien sentimentale ce soir.
Charlotte : Ma vie a plutôt été chamboulée ces derniers temps, je m’en remets encore. Hortense : Je vois ça, tu as à peine bu de ton champagne. Charlotte : Et toi, comment ça se passe avec Oliver ? Hortense : Oh. Charlotte : Ce n’est pas un interrogatoire, chère soeur. Je prends juste de vos nouvelles. Hortense : On discute beaucoup… Charlotte : Et ? Hortense : Plus le temps passe, plus je…
Charlotte : N’en dis pas plus, finalement. Hortense : Je le savais. Charlotte : Oliver est un bel homme, et brave. Vous allez bien ensemble. Hortense : Merci.
Charlotte : Ne sois pas si fâchée, je le pense sincèrement. Et Louis aussi. Vous formez un beau couple.
Hortense : Louis en veut-il toujours à Oliver et moi pour nos « dernières frasques » ?
Charlotte : Ce que vous avez fait est profondément stupide, mais ce serait d’autant plus stupide de négliger vos sentiments. Louis et moi-même avons reçus vos excuses, maintenant c’est du passé. Faisons tous en sorte d’oublier vos égarements.
Hortense : Louis et toi êtes si magnanimes, je suis contente que cette histoire doit dernière nous tous. Charlotte : Moi aussi, Hortense.
#simparte#ts4#ts4 royal#royal simblr#sims 4 royal#sims 4 fr#sims 4#ts4 royalty#sim : hortense#sim : charlotte#opera garnier#polytechnique#bal de l'x#le cabinet noir#sims 4 royal family#sims 4 royal simblr#sims 4 royalty#ts4 royals#ts4 royal family#ts4 royal simblr#ts4 royal legacy
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Pourquoi courir après celle ou celui qui nous fuit, et négliger celles ou ceux qui se présentent.

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En effet, il n'est jamais trop tard pour déguster un bon café ! C'est un temps précieux qu'il ne faut surtout pas négliger. Il permettra que notre journée est une saveur particulière, celle que nous déciderons de lui accorder. La meilleure soit elle pour chacun, chacune d'entre nous !
Bonne dégustation à toutes et tous, et que votre journée soit à la hauteur de vos attentes ! Soyez heureux et prenez soin de vous ! ☕️🫶🕊
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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