#l'été où est il ?
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fidjiefidjie · 5 months ago
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Bon Matin 💙😉😁🩷
Thallya & Pierre Vassiliu 🎶 L'été où est-il?
En hommage à Bobby Lapointe
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ernestinee · 10 months ago
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Il y a un chat qui nous a adoptés. Je le connais depuis quelques mois, il allait de jardin en jardin à la fin de l'été, maigre et craintif. Je lui donnais à manger quand je le voyais et il attendait que je sois partie pour manger. Craintif à ce point. Je le surnomme kangourou pcq je voyais son petit corps sauter par dessus les hautes herbes.
Depuis une semaine ce petit bonhomme se plante à une fenêtre et attire l'attention d'Oreo et Muffin jusqu'à ce que j'arrive, et sorte lui donner des croquettes.
Mardi, prévoyant peut-être la neige (?), il était sur le châssis de la porte, et y est revenu après avoir mangé les croquettes.
Puis demande clairement pour rentrer.
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(mardi dans l'entrée de la maison)
Mais bon j'ai déjà deux chats, il a reçu un coussin top confort, une litière propre, de l'eau de spa au cas où ses reins sont fragiles des croquettes, et un toit vu qu'il a dormi dans les toilettes.
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Mercredi avant la neige je suis allée acheter de l'anti-puces. Puis je suis allée le voir régulièrement. Moins craintif du coup.
Et bon tout à l'heure nous bravons le verglas et allons chez le vétérinaire pour voir s'il n'a pas de maladies qui pourraient être transmises à mes chats, voir s'il est pucé (please, non 🥺 j'ai pas envie de devoir le rendre) Là pour l'instant on est en mode câlins et Oreo et Muffin le jaugent de loin.
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lisaalmeida · 6 months ago
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"Cet amour" - Jacques Prévert
Cet amour
Si violent
Si fragile
Si tendre
Si désespéré
Cet amour
Beau comme le jour
Et mauvais comme le temps
Quand le temps est mauvais
Cet amour si vrai
Cet amour si beau
Si heureux
Si joyeux
Et si dérisoire
Tremblant de peur comme un enfant dans le noir
Et si sûr de lui
Comme un homme tranquille au milieu de la nuit
Cet amour qui faisait peur aux autres
Qui les faisait parler
Qui les faisait blêmir
Cet amour guetté
Parce que nous le guettions
Traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Parce que nous l'avons traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Cet amour tout entier
Si vivant encore
Et tout ensoleillé
C'est le tien
C'est le mien
Celui qui a été
Cette chose toujours nouvelles
Et qui n'a pas changé
Aussi vraie qu'une plante
Aussi tremblante qu'un oiseau
Aussi chaude aussi vivante que l'été
Nous pouvons tous les deux
Aller et revenir
Nous pouvons oublier
Et puis nous rendormir
Nous réveiller souffrir vieillir
Nous endormir encore
Rêver à la mort
Nous éveiller sourire et rire
Et rajeunir
Notre amour reste là
Têtu comme une bourrique
Vivant comme le désir
Cruel comme la mémoire
Bête comme les regrets
Tendre comme le souvenir
Froid comme le marbre
Beau comme le jour
Fragile comme un enfant
Il nous regarde en souriant
Et il nous parle sans rien dire
Et moi j'écoute en tremblant
Et je crie
Je crie pour toi
Je crie pour moi
Je te supplie
Pour toi pour moi et pour tous ceux qui s'aiment
Et qui se sont aimés
Oui je lui crie
Pour toi pour moi et pour tous les autres
Que je ne connais pas
Reste là
Là où tu es
Là où tu étais autrefois
Reste là
Ne bouge pas
Ne t'en va pas
Nous qui sommes aimés
Nous t'avons oublié
Toi ne nous oublie pas
Nous n'avions que toi sur la terre
Ne nous laisse pas devenir froids
Beaucoup plus loin toujours
Et n'importe où
Donne-nous signe de vie
Beaucoup plus tard au coin d'un bois
Dans la forêt de la mémoire
Surgis soudain
Tends-nous la main
Et sauve-nous.
- JACQUES PRÉVERT
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transparentgentlemenmarker · 10 months ago
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Une femelle Buse mellifère européenne a été équipée d'un système de suivi par satellite en Finlande récemment. Elle a quitté Reitz dans l'Etat libre d'Afrique du Sud pour commencer à se diriger vers le nord le 20 avril et le 2 juin, elle arriva enfin en Finlande où elle passera probablement l'été boréal avant probablement de revenir encore la saison prochaine pour une visite dans le Sud de l'Afrique. Voici une image montrant les données reçues du tracker sur l'itinéraire qu'elle a emprunté pour se diriger vers le nord, en 42 jours, elle a parcouru plus de 10 000 km, soit une moyenne de plus de 230 km chaque jour ! N'est-ce pas tout simplement incroyable... ?!" Ce qui est étonnant, c'est la façon dont elle a suivi une ligne droite vers le nord, sauf lorsqu'elle devait survoler l'eau (ou Soudan) apparemment, elle a tourné à droite à la source du Nil et l'a suivi. Il est toujours fascinant qu'après cette déviation, elle soit revenue à la même ligne longitudinale par laquelle elle avait commencé et qu'elle ait continué jusqu'à atteindre sa destination.
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claudehenrion · 3 months ago
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Les délices de Capoue...
Il y a quelques jours à peine, je concluais mon ''éditorial'' par cette remarque un peu acide que ''ce qui va --et doit, si rien n'est tenté-- nous tomber dessus, c'est la victoire du Laid sur le Beau, du Mauvais sur le Bon, du Mal sur le Bien et du Faux sur le Vrai. Et à ce jour, hélas... nous sommes bien mal partis ! '' Mais j'ai dû me fourrer un doigt dans l’œil, ''quelque part'' : en cet été de tous les dangers où, comme le dit un titre de Nicolas Baverez, '' Nous dansons sur un volcan'', je ne croise que des gens heureux ou -à tout le moins- contents. La mode, en 2024, est au vacancier heu-reux
Oubliées, les ''rabias'' contre Macron et les gros mensonges post-élections européennes... Envolées les craintes pourtant toutes justifiées sur l'immigration et la sécurité... Balayés, les bobards énormes et les contes de sorcières qui ont été déversés sur nous lors du second tour des pseudo-législatives... Nettoyées, les peurs de la décennie précédente sur la terre et le climat ou la fonte de tas de choses un peu partout, sur le tri dans dans la poubelle, la peur de la Gauche pour les sages, la peur de la Droite pour les myopes et la peur du centre pour les décentrés et les con-centrés... En six mots comme en mille : ''Dormez, braves gens, tout va bien''...
Il a suffi que les jeux olympiques se déroulent normalement, comme il était prévisible qu'ils se déroulent : sans les drames planétaires annoncés à grand renfort de fake-news et de budgets de ''Comm''. L'énorme préparation psychologique destinée à nous faire croire que tout ce que la terre porte de djihadistes-candidats-au-suicide était dans les starting blocks (de manière à faire passer le prévisible ''il ne se passe rien'' comme une immense victoire du macronisme et du darmananisme, unis, comme toujours, dans l'endormissement des cerveaux, la manipulation des foules et le viol des intelligences), a porté ses fruits : la Nation s'est endormie dans la douceur de l'été. Tout peuple, depuis toujours et à jamais, aspire à la quiétude, au bien-être, à la douceur de vivre...
Le pouvoir peut être content : au moment où il a temporairement arrêté de nous faire paniquer en ne parlant presque plus de Poutine dans ses termes ''con-venus'', où il admet que Kamala Harris serait un choix infiniment plus dévastateur que le très-détesté-en-France ''homme à l'oreille coupée'', et où le silence des medias ''Main stream'', toujoursaux ordres, nous assourdit... les braves gens peuvent croire que, à force de ne plus parler des vrais problèmes, ils auraient disparu comme par enchantement : nombre de français commence à croire que ni l'immigration, ni la violence urbaine, ni la drogue (etc...) ne peuvent avoir de corrélation entre elles et d'influence sur eux... et que, finalement, les vacances, c'est bien agréable (ce sur quoi je suis d'accord avec eux !)
Il n'empêche... Au fur et à mesure que l'Europe –qui commence enfin à comprendre qu'elle n'a rien à faire dans cet ''indémerdable merdier'' (Pardon. Si vous avez un meilleur mot, je suis preneur !)-- fait la danse du ventre pour se dégager du conflit russo-ukrainien, en douce, pour ne pas qu'il soit connu que les livraisons des armes promises sont asymptotes à zéro et que Zélensky se prépare à se jeter dans une guerilla où le petit taon va piquer le gros ours ici et là... au fur et à mesure que l'Iran, devant l'entêtement d'Israël à ne pas écouter les sirènes onusiennes et les conseils de modération donnés par ceux qui veulent sa fin, va finir par ouvrir un front Hezbollah au nord… nous nous rapprochons à pas feutrés de vraies guerres... pendant que, la date fatidique approchant, une intervention musclée chinoise devient de plus en plus prévisible dans le détroit de Formose. ''Tout va bien...'', qu'ils nous répètent !
Mais n'ayez aucune crainte, amis lecteurs : pendant que le monde hésite entre effondrement, écroulement et dégringolade, Macron et son extraordinaire aptitude à procrastiner veillent sur vous. Nous ne sommes pas près d'avoir un gouvernement (et, à en juger par l'expérience de nos amis belges, ce serait plutôt la seule vraie bonne nouvelle du moment !), la France est divisée comme rarement (j'ai vécu, contrairement à ceux qui en parlent trop souvent, la rivalité Pétain-De Gaulle), et le monde a, littéralement perdu la tête. Les anciennes ''racines''(qui permettaient de s'accrocher en attendant la fin de l'ouragan) ont disparu, sont ridiculisées et plus que mollement défendues, même par ceux qui se souviennent encore de leur ''avoir existé'', et qui savent encore que là seulement se cache, honteusement, la seule et ultime possibilité d'éviter l'effilochage en cours.
Comme les lecteurs habituels de ce Blog s'en souviennent peut-être, j'ai pas mal ''crapahuté'' cet été, d'est en ouest et du nord au sud de la France, et j'ai pu vérifier la volonté (couronnée de succès) de nos concitoyens pour le bonheur... Les côtes semblent s'enfoncer sous le poids des foules de touristes, les montagnes sont usées par les chaussures de hordes de vacanciers, les résidences secondaires ont fait le plein –dans la crainte, sans doute que la connerie militante des mélenchoniens ne les réquisitionnent comme le recommande leur stupide et surtout mortifère ''programme''... C'est à peine, disent certains commerçants, s'ils dépensent peut-être un peu moins. Mais regardez ces vacanciers : sincèrement, combien en avez-vous entendu qui arrêtaient de léchouiller leur cornet ''king size'' pour évoquer la politique, sous quelque forme que ce soit, intérieure, extérieure, mondiale ? Je vais vous économiser la fatigue –même légère-- de rechercher : la réponse est : zéro, sauf exception !
''Les peuples heureux n'ont pas d'histoire'', dit le proverbe... Alors que je n'ai jamais été d'accord avec cette affirmation, je commence à me rallier à ce qu'elle sous-entend : à force de ne plus avoir d'histoire au présent et de réécrire sans cesse des mensonges progressistes sur son passé, le peuple français est bel et bien en train de sortir de l'Histoire. Et le plus fort, c'est qu'il semble en être heureux... Le réveil –s'il peut encore avoir lieu-- sera terrible, je le crains... Mais en attendant, nous voici revenus en l'an 215 avant JC, au temps des guerres puniques : l'été 2024 aura ressemblé à s'y méprendre aux délices de Capoue, qui ont sonné la fin de la civilisation carthaginoise...
H-Cl.
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swedesinstockholm · 3 months ago
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12 août
ça fait deux fois que des filles bruyantes qui parlent français passent devant moi avec leur pédalo et ça me donne envie de faire du pédalo avec quelqu'un et d'être légère moi aussi. y a pas de pédalo à une place. je crois que j'ai moins de mal à être légère quand je suis avec quelqu'un que quand je suis seule. quand je suis seule je pèse plus lourd. mais j'ai la flemme de faire des efforts pour être sociale. f. m'a dit qu'elle irait à la mer en octobre quand jo/johanna aurait des vacances, tout le monde a deux prénoms dans son entourage selon son genre du jour, j'ai dit c'est qui jo? un nouveau membre de votre polycule? (oui). je sais pas comment elle fait. l'autre jour avec n. on parlait de mon genre, je sais plus pourquoi. je lui disais que je me sentais pas particulièrement féminine et que j'aimais pas les formes de mon corps, que j'aimerais avoir un corps plus neutre. elle m'a demandé si j'aimerais utiliser les pronoms non-binaires et j'ai dit ohlala non i don't mind being a girl! c'est juste une histoire de corps. mais c'est jamais juste une histoire de corps. j'ai jamais aimé mes seins par exemple. quand ils ont commencé à pousser j'en voulais pas et je refusais catégoriquement de porter un soutien-gorge. je sais pas si c'était par refus d'avoir des seins ou par refus de grandir mais c'était un refus. maman me disait lara tu dois en mettre sinon t'auras la poitrine qui tombe, mais je préférais mettre des tshirts serrés en me disant que ça ferait le job de soutien, et maintenant j'ai la poitrine qui tombe et je l'aime pas. même si samedi soir j'ai fait un photo shoot nue devant ma webcam et je me suis excitée toute seule.
quand j'avais parlé de mon soupçon d'abus sexuel à maman elle m'avait dit que j'avais toujours eu une relation de dégoût avec mon corps. que j'avais toujours refusé de mettre des tampons par exemple. je sais pas à quel point tout ça est lié. à supposer qu'il se soit vraiment passé quelque chose. ça me fait penser à une scène de la série split où une des filles pleure pendant le sexe et puis elle raconte à son amante qu'elle est devenue lesbienne après avoir été violée par un homme. je me demande combien d'histoires de préférence sexuelle et d'identification de genre sont liées à des histoires d'abus sexuel.
hier matin je suis retournée au vide-grenier au maybachufer parce que c'est pas loin et parce que je rêve de trouver une robe en vichy rose pâle. j'en avais une quand j'étais petite. en fait mon identité de genre n'est ni féminine ni masculine, je veux juste mettre les mêmes habits et avoir le même corps que quand j'étais petite. un corps non marqué fémininement. un corps libre. libre de me promener nue. libre de bouger. non encombré par toute la gêne et le dégoût qui s'y sont nichés à l'adolescence. quand j'étais petite je pouvais danser où je voulais et le grand figement n'existait pas. je parlais à qui je voulais je chantais partout le monde était à moi. je m'en rappelle pas, mais j'imagine. c'est ce que maman me raconte. c'est ce que je vois sur les photos. n. m'a dit qu'elle se rappelait que quand elle était petite il lui tardait de grandir parce qu'elle se sentait pas libre, justement, en tant qu'enfant. et peut être que je me sentais pas du tout libre en réalité moi non plus, j'en sais rien. mais je sais que j'avais pas particulièrement envie de grandir. vers la fin de l'enfance en tout cas. enfin non, même ça c'est faussé parce que pour écrire mon texte sur l'été 2004 y a quelques mois j'ai relu le journal de mes treize ans et je disais que j'avais envie d'avoir seize ans et de rencontrer un joli garçon dans le tram et de lui donner mon numéro. donc j'en sais rien. tout ce que je sais c'est que hier au marché j'avais envie d'acheter une robe rouge laura ashley que j'aurais pu porter à six ans et un minishort en coton jaune avec des étoiles mauves clairement des années 90 et aussi des grands tshirts et des grandes chemises d'homme.
dans un documentaire d'alejandro jodorowsky dans lequel il faisait vivre à des gens une seconde naissance, il disait que les gens avec des traumas restaient parfois bloqués à l'âge mental qu'ils avaient à l'époque où le trauma s'est produit. ça m'avait paru évident. je suis une enfant de sept ans. dans ma relation avec maman, dans ma relation avec la maison, dans ma relation avec mon corps, dans mon refus de vivre ma propre vie, jusqu'à mon style vestimentaire putain.
finalement j'ai acheté qu'une chemise en vichy bleu ciel à trois euros que j'ai regretté d'avoir acheté cinq minutes plus tard en me rendant compte qu'elle était 40% polyester. après j'ai fait du pain, une lessive, je me suis rasé les jambes après plus d'un mois de jambes poilues et j'ai affronté le ménage de la salle de bain. ça va, j'en suis pas morte. maman m'a appelée pour me raconter sa journée et me parler de la météo mais jamais elle me demande ce que je fais moi ou comment je me sens. elle m'appelle juste pour me raconter ses virées au centre de recyclage et à la piscine et pour me dire le temps qu'il a fait le temps qu'il fait là et le temps qu'il fera demain. je vois ces vacances à la mer comme une bouée de sauvetage à la fin de mon été, le rêve à atteindre au bout de l'enfer, mais ma détresse berlinoise m'a un peu fait oublier que maman était toujours maman. je suis même pas en détresse en plus. je suis en apprentissage. aujourd'hui j'ai fait des progrès: j'ai pensé à prendre un snack dans mon sac, j'ai pas trop marché (j'ai pas bougé du parc), j'ai fait des longues pauses pour écrire tranquille, et j'ai trouvé des wc pour faire pipi! prochaine étape: penser à prendre une serviette pour m'allonger dans l'herbe.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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L'été s'en est allé au delà de l'horizon Reste l'attente et le délicieux frisson Du souvenir de son ardente brûlure Faut-il, faute au temps où rien ne perdure Accepter en silence cette fêlure imposée ! Que la mémoire sait nous faire aimer.... Dans la mélancolie et le silence du repli sur soi.... Il reviendra..il revient toujours à vous.. à moi.
-Charlotte-
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smalltalksrp · 3 months ago
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Mise à Jour
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En cette fin de vacances scolaires, nous accueillons le premier mois-niversaire de Small Talks, et avec lui, la première maj ! Place à un nouveau design, où les couleurs fraîches et les motifs floraux laisseront aux joueurs le temps de profiter de la fin de l'été. Il est toujours temps de nous rejoindre et de prendre part à l'aventure, intégrer le sujet commun ou s'investir dans l'intrigue qui anime déjà les habitants d'Annapolis
Alors, on se laisse tenter par l'aventure ?
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juleusse · 8 days ago
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Dans le bus vers la Nouvelle-Orléans je vois ce coup se tordre de droite à gauche à mesure que le bus avance, je me dis wow c'est fou comment un cou peut être flexible. Ça me rappelle les propos d'un homme avec qui j'ai dû travailler. C'était dans un entrepôt où l'on entretenait organisait et préparait les pièces pour monter des salles de concert, un truc dans le genre c'est pas si important tfaçon c'était un entrepôt. À la pause de midi alors qu'il finissait son verre de vin il discutait avec quelqu'un et admirait la résistance du crâne humain. Il relatait une histoire où il me semble qu'il avait fracassé le crâne d'un homme sur un capot de voiture ou alors il avait coincé la tête entre et avait tapé avec le capot sur la tête. La tête avait bien résisté c'était impressionnant.
J'étais un peu fébrile quand j'ai entendu cette histoire je me sentais pas très bien de manière générale et je me sentais pas très bien dans cet environnement où je travaillais pour une partie de l'été et à ce moment-là je me sentais pas très bien dans les autres environnements non plus d'ailleurs bref tout est lié tu sais. Ça prend peut-être un jeune homme plus sûr de lui pour s'adapter à ce genre d'individus fracasseurs de têtes. Finalement ça c'était bien passé il avait pas voulu fracasser mon crâne il était pas à l'entrepôt pour longtemps de toute façon il allait partir ailleurs pour monter des scènes, par contre j'ai cru comprendre qu'il a bien gueulé avec un autre collègue temporaire qui nous demanda un jour tout en furie où est-ce qu'il pouvait reporter ce genre de comportement. "La victime" avait une santé mentale différente, il vivait dans un camping pas loin de l'entrepôt et avait déjà énervé d'inconfort un autre collègue en s'essayant à draguer une caissière au supermarché où on allait pour acheter la nourriture du midi, bon en même temps il fallait qu'il s'intègre il venait d'arriver, wow je pourrais écrire une nouvelle sur lui il était tellement fascinant.
J'avais aussi été un peu mal à l'aise avec Big, qui partageait mon dortoir à l'auberge de jeunesse à la Nouvelle-Orléans. Je l'avais choisie parce qu'elle faisait partie de la franchise où y avait l'auberge où je travaillais à Montréal, puis elle était pas chère mais les commentaires étaient mauvais et les photos un peu suspicieuses elles faisaient un peu fake, ça m'avait fait douter mais comme pour beaucoup d'autres choses finalement je m'étais dit fuck j'ai envie d'être tranquille et de passer à autre chose j'ai la flemme de passer des heures sur ce sujet donc je la prends quand-même.
Au milieu de la première nuit, alors qu'il faisait bien noir dans cette chambre sans fenêtres ni rideaux autour des lits mais possédant quand-même plus d'une demi-douzaine de lits superposés, un vieil homme parlait tout seul. Il était dans un des lits du bas et m'avait fait déjà une curieuse impression à mon arrivée, il dormait alors que les lumières étaient allumées dans la chambre en mode plein phare c'était méga lumineux et d'une pâleur qui ferait rougir les hôpitaux, mais l'homme dormait à poings fermés et avait une ribambelle de chez ribambelle d'affaires et de sacs et de valises éparpillés autour de lui. Et cette nuit là c'était sûr c'était lui qui parlait à voix haute malgré l'heure le noir de la chambre et le silence des autres occupants. Big s'écria finalement Who the Fuck are you talking to ? et ça marcha plutôt bien, on n'entenda plus l'homme de toute la nuit et l'on put tous se remettre à dormir tranquillement et paisiblement tu sais.
Un autre jour aux alentours de midi il me semble Big mon voisin du dessous et moi-même dormions encore dans ce noir complet total, je faisais pas tellement d'efforts pour me réveiller tôt je vivais au rythme de mon corps j'étais là pour être tranquille après tout et découvrir, Big c'était plus incertain pourquoi il était là mais je crois qu'il était à l'ordi longtemps le soir, d'ailleurs il ne se gênait pas tellement pour ne pas couper le son alors qu'il était passé 22h et que d'autres gentils strasbourgeois qui ont fait des études comme moi voulait être tranquille, puis je crois qu'il regardait la télé aussi tard dans le salon de l'auberge, bref il me battait à plat de couture en termes de réveil tard puisque je crois qu'il se réveillait tous les jours dans l'après-midi, mais bon c'était facile aussi s'il se couchait si tard bref c'est une autre histoire c'est pas une compétition chacun son rythme. Mon voisin du dessous dormait aussi beaucoup, à vrai dire c'est la majorité des choses qu'il faisait, à chaque fois que je le voyais il était effectivement allongé dans son lit. J'appris plus tard qu'il sortait d'une cure de désintoxication et qu'il s'était fait virer ensuite d'une autre auberge pour une histoire de billard je crois, bref j'imagine que ça sonne un être vivant ce genre de choses.
Donc ce jour-là nous dormions tous les trois paisiblement. Soudain quelqu'un frappa à la porte de manière plus qu'assourdissante mais genre vraiment assourdissante c'était méga brutal j'étais presque choqué, et la personne continua puis s'écria HOUSEKEEPING, wow ça faisait mal une telle violence. Big hurla WHAT THE FUCK, j'aurais pas osé mais j'aurais pas dit mieux. Et le personnel de rentrer d'allumer les plein phares d'hôpitaux de la chambre et de commencer à passer l'aspi, wow quelle violence je comprends l'embarras de Big même si c'est un peu étrange de s'écrier WHAT THE FUCK au personnel de ménage de l'auberge dans laquelle tu loges, qui malgré peut-être un excès de zèle ce matin-là bah c'est quand-même le personnel puis ils entretiennent l'espace dans lequel tu vis, j'ai été élevé dans la courtoisie moi mes parents ont pu payer des études à ma sœur et moi.
Big n'était évidemment pas son vrai nom enfin j'ose penser. Il n'avait pas répondu quand je lui avais demandé son nom le jour où je l'avais rencontré puis il m'avait dit qu'il venait d'Africa quand je lui avais demandé d'où il venait, bref on avait pas parlé longtemps et c'était quelqu'un d'autre qui m'avait dit qu'il se faisait appeler Big. Big avait en outre une manière de parler anglais différente du Where is Brian Brian is in the kitchen que l'on pouvait entendre dans les exercices de compréhension orale en cours d'anglais au collège, bref je le comprenais pas tout le temps mais je trouvais ça cool.
Un jour dehors en bas de l'auberge alors que j'essayais de réconforter vaguement quelqu'un qui venait de se faire virer de l'auberge alors qu'elle était censée y travailler et y loger prochainement (elle aurait remué ses fesses de manière trop insistante et longue sur un de ses ex futurs collègues colocataires qui était en train de manger et qui n'avait pas apprécié et qui l'avait accusée ensuite d'harcèlement sexuel, c'était la version de l'exclue mais je la crois l'autre gars était pas sympa ou en tout cas un peu bizarre j'ai raison ouais j'ai raison crois-moi), bref elle pleurait presque ou pleurait vraiment j'avoue j'étais pas trop impliqué non plus, et Big se pointa. Il était peut-être venu la réconforter vaguement aussi après tout ils s'aimaient bien je crois en tout cas de manière amicale, mais j'étais surpris Big portait des lunettes de soleil avec toujours l'étiquette dessus et avait à la main un vidéoprojecteur dans un emballage qui paraissait intacte, je me demandais ce qu'il allait faire mais bon après tout il allait peut-être faire une soirée pizza avec quelques copains qui sait. Il était au téléphone avec quelqu'un et je veux pas sortir les choses de leur contexte mais je vais le faire quand-même, j'entendis le mot Voleur. Une voiture noire et grosse et clinquante genre quatre quatre arriva ensuite et se gara devant nous, wow Big a des potes sympas me suis je dit mais c'est étrange pourquoi Big rentre par la porte arrière si ce sont ses copains puis que font-ils on y voit rien les vitres sont teintées. Je me remis à réconforter vaguement l'autre personne j'essayais d'être inspirant c'était ma nouvelle personnalité je change souvent de personnalité en fonction de l'environnement où je suis, que puis-je dire je suis comme ça la constance n'est pas vraiment mon fort, et bref pendant que j'étais inspirant j'oubliais Big et la voiture, sauf que du temps passa puis un moment donné je me dis fuck, ça fait longtemps que Big est rentré dans le quatre quatre noir et clinquant et le quatre quatre noir imposant et clinquant est toujours là, n'est toujours pas parti c'est bizarre n'est-ce pas. Je demandai à la fille Is Big a gangster ? c'est vrai ça dans ma tête y a que les gangsters qui font ça je m'y connais pas vraiment dans ces choses là voire pas du tout j'avoue voilà vous m'avez démasqué mais avouez vous vous y connaissez pas plus si vous êtes capables de lire une prose aussi fantaisiste. La fille sourit et répondit simplement That's just what he do. Elle ne dit pas plus bon je comprends c'est normal elle avait un projet à repenser elle venait de se faire exclure pour harcèlement sexuel et n'avait pas de logement à long terme a priori, je comprends elle avait pas la tête aux romans policiers puis après tout moi pas tellement non plus, je m'en foutais un peu c'était fatiguant ces mystères tiens je ferais bien une sieste.
Plus tard dans la journée dans la chambre Big m'interpella Eh frenchie do you have a bag, j'avais pas tellement envie de lui filer un de mes sacs j'avais pas tellement confiance et fort heureusement il n'aimait pas mes top bags c'était pas trop son genre je crois. Mon voisin du dessous lui trouva quelque chose et Big était tout content, il sorta un bas et un haut de maillot de bain féminin couleurs léopards il me semble, en tout cas une allure séductrice qui éveille un désir je pense chez plus d'un être humain, et l'étiquette était toujours là évidemment. Big tenda devant lui le bas de maillot de bain couleurs terreuses affriolantes et essaya devant nous de comprendre comment ça marchait, j'avoue c'était rigolo et le voisin du dessous rigolait aussi, je m'essayai à une blague en lançant Is it for you et Big et le voisin du dessous rigolèrent, j'ai honte j'étais fière d'avoir fait rigoler ces jeunes hommes là, moi qui ai fait des études gentiment licence et master en écoutant bien ce qu'on me disait et qui avais même pu faire un échange à l'étranger en troisième année de licence.
Big rangea finalement le maillot de bain dans le sac et quelques jours plus tard se fit virer de l'auberge je sais pas trop pourquoi.
En parlant de résistance du corps j'en ai fait moi-même l'expérience récemment j'avais invité une fille à se voir dans un bistrot à Montréal, je la connaissais pas et lui avais à peine parlé mais grâce à mon travail et Internet j'avais pu la contacter et lui proposer de se voir, eh ouais je suis comme ça fallait que je lui demande par tous les moyens même si c'est peu ordinaire comme méthodologie voire très ordinaire finalement de nos jours. Elle était jolie c'est fou c'est la classe je suis dans un mood où j'essaie que de séduire et de relationner physiquement avec des êtres que je trouve très jolis, c'est comme ça ce n'est peut-être qu'une phase mais j'aime bien je dirais presque que c'est challengeant en tout cas ça fait du bien à l'image de soi quand ça marche j'ai peut-être besoin de ça finalement j'ai encore besoin de prouver des choses j'ai peut-être pas si confiance en moi finalement. Bref elle avait accepté de se voir et l'on s'asseya sur la terrasse il faisait beau c'était la fin d'après-midi, j'avais pas commandé de bière je continuais de mettre sur pause l'alcool et au-delà du fait que c'est bon pour la santé ça fait mystérieux genre passé trouble et moi j'avoue je trouve ça cool je me crois dans un film en permanence, j'avais donc pris un jus mais c'était bizarre il m'avait donné une toute petite bouteille à peine plus grande qu'une tétine c'était étonnant peut-être un peu gênant mais rigolo finalement, c'était une toute petite bouteille en verre contenant un jus de pamplemousse il me semble, j'aime bien le pamplemousse et je trouve ça cool évidemment d'aimer le pamplemousse je me crois dans un film je t'ai dit bon faut dire que j'en ai vus tellement. On était au début de la rencontre au début du moment à deux de rencontre donc on était peut-être chacun un peu agité intérieurement on cherchait notre rythme à deux et notre place et personnage dans l'échange puis je pense que l'on se demandait encore quelle image séduisante montrer à l'autre, mais finalement j'avoue j'étais assez chill j'étais dans une position de force après tout elle était arrivée bien en retard puis je la trouvais vraiment jolie ça calme un être lorsqu'il interagit avec quelqu'un de très jolie qui semble s'intéresser à lui. Je m'essayai à rire et à la faire rire fallait bien tenter puis révéler ça de moi après tout c'est beaucoup à quoi je passe mon temps quand je suis avec quelqu'un. Je dis quelque-chose à propos de la religion et j'avoue je trouvais ça bien drôle bien sorti bravo Jules en plus je crois que ça l'a fait rire d'étonnement donc c'était tout bon c'est cool ça peut être fun si on peut rigoler comme ça, sauf que le mouvement intérieur que ça produisit en moi était peut-être un peu trop fort résultat ça me fit balancer la tête en avant rapidement et bim voilà que je me cogne la tête le front pour être précis sur le gland de la petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, fuck ça fait mal c'est délicat comme moment.
Mais je me crois dans un film j'essaie toujours d'avoir l'air cool d'avoir une belle image de moi que je livre aux autres et j'ai l'impression que je dois faire ça pour qu'on m'accepte sinon c'est pas possible personne va m'accepter puis fuck faut avouer que ça fait du bien intérieurement de plaire aux gens, j'ai pas toujours ressenti ça j'ai même longtemps ressenti l'inverse tout est lié, bref à force d'entraînement je suis devenu un as. Bref I believe que dans ces moments-là qui peuvent te faire perdre la face, bah finalement pour la garder faut être sincère et mesuré. Faut pas faire comme si rien n'était arrivé et comme si t'avais pas mal et passer directement à autre chose ni vu ni connu, non c'est impossible puis même bizarre de vouloir faire croire à une fille que tu désires qui t'intéresse et que tu trouves extrêmement jolie que tu ne viens pas de te percuter le front contre une petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, et ce alors que tu rigolais un peu trop expressément peut-être à la blague que tu venais de faire à propos de la religion pour apporter un peu de fun à l'instant tout en boostant ton égo pour montrer que t'es drôle. Faut pas non plus trop en faire. Te mets pas à pleurer à te prendre trop la tête dans les mains pire à crier à chaudes larmes voire carrément à te jeter par terre de douleur genre joueur de foot, tout ça pour que la jeune femme te réconforte ou te prenne en pitié, même si je pense que dans le fond ce serait encore moins pire que de faire comme si de rien n'était, ça ça serait trop détonnant ça serait trop jouer à l'acteur mais d'un autre côté ça serait presque drôle wow je respecterais l'être qui ferait ça. Bref je l'ai joué sincère et mesuré et c'est bien passé je crois, en tout cas je me sentais bien et toujours cool, mon dieu j'abuse. La vérité c'est que j'avais pas tellement mal, la douleur physique était masquée par le chaud mouvement intérieur qui me poussait à tout faire pour ne pas perdre la face et rester cool, mais tranquille tsais. Comme la jeune femme l'a dit j'ai eu de la chance j'aurais pu me percuter l'oeil bref tout ça pour dire je m'en rends compte maintenant que certes le corps est flexible et résistant mais y a peut-être d'autres forces en jeu que la chaire qui font que c'est ainsi, voilà je m'arrête là regarde comme c'est beau y a même une fin une petite conclusion une petite morale à la fin c'est beau c'est cool je me sens cool je suis dans un film.
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x-heesy · 1 year ago
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Wonderful I could cry 😭
Lève-toi
Où que tu sois
Vers la terre, vers le vent
Vers la fin de l'été
Vers l'Ouest, vers le blanc
Vers le froid, traverser
Les nuits, les angoisses
Vers le vide ou vers Mars
J'irai vers toi
Où que tu sois (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
Alors, toi et moi, on se voit
Mais le plus souvent, c'est de dos
Là-haut, que pensent-ils de tout ça?
Qu'est-ce que l'amour à vol d'oiseau?
Quand les choses s'inverseront
Que le temps rayera les mots
J'irai vers toi à reculons
À reculons
Vers la terre, vers le vent
Vers la fin de l'été
Vers l'Ouest, vers le blanc
Vers le froid, traverser
Les nuits, les angoisses
Vers le vide ou vers Mars
J'irai vers toi
Où que tu sois (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
Alors, toi et moi, on se voit
Mais le plus souvent, c'est de dos
Là-haut, que pensent-ils de tout ça?
Qu'est-ce que l'amour à vol d'oiseau?
Quand les choses s'inverseront
Que le temps rayera les mots
J'irai vers toi à reculons
À reculons
Parce que c'est le-, c'est l'esprit du sport français
On pourrait aller boire un drink. En regardant la, le bassin olympique
Alors là, volontiers, ça me... Tu vois
Et surtout qu'il y a un fabuleux coucher d'soleil, avec
Déjà y a un bateau qui va très vite, mais c'est pas l'plus beau
L'plus beau, c'est celui qui est derrière, avec ses voiles, cette petite montagne
Quel paysage @luna--zylum @frenchpsychiatrymuderedmycnut @luckylucian @edgarmoser 🇫🇷
Get up
Wherever you are
Towards the earth, towards the wind
Towards the end of summer
Towards the West, towards white
Towards the cold, cross
The nights, the anxieties
Towards the void or towards Mars
I will go to you
Wherever you are (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
So you and I see each other
But most often, it's from behind
Up there, what do they think of all this?
What is love as the crow flies?
When things turn around
That time will erase the words
I will go towards you backwards
Backwards
Towards the earth, towards the wind
Towards the end of summer
Towards the West, towards white
Towards the cold, cross
The nights, the anxieties
Towards the void or towards Mars
I will go to you
Wherever you are (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
So you and I see each other
But most often, it's from behind
Up there, what do they think of all this?
What is love as the crow flies?
When things turn around
That time will erase the words
I will go towards you backwards
Backwards
Because it’s the-, it’s the spirit of French sport
We could go for a drink. Looking at the Olympic basin
So there, gladly, that gives me... You see
And above all there is a fabulous sunset, with
There's already a boat that goes very fast, but it's not the most beautiful
The most beautiful is the one behind, with its sails, this little mountain
What a landscape
@savage-flirtation @dakota-283 @invincible-selfxmade-punk @taygertot @boanerges20 @derflaneur @cumpletelyhappythesecond @faccaldo 😭🥰
A reculons by Flavien Berger, Rebeka Warrior ❤️‍🔥 v5
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lalignedujour · 4 months ago
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J'ouvre les yeux à 8 heures pétantes. Je ne sais pas ce qui me prend, je tends mon bras et je saisis mon téléphone. Ça faisait quelques jours que je ne l'avais pas allumé. 8 appels en absence. Le même numéro. Un 03. Je rappelle sans écouter les messages. Je n'ai parlé à personne depuis que j'ai ouvert les yeux, alors pendant la tonalité, je teste ma voix :
-Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! -Allô ? -Oui, bonjour ! Euh… je… c'est pour… c'est parce que vous m'appelez… vous m'avez appelée, je crois. -D'accord, vous êtes Madame... ?
L'échéance du garde-meuble tombe aujourd'hui. Le jeune gars qui gère ça m'avait appelée pour savoir si je voulais renouveler. Je voulais renouveler, mais je n'ai plus de quoi payer. Enfin, j'ai de quoi payer, mais je préfère manger.
Je me mets en chemin. J'y vais à pied. Je crois que je n'en ai plus rien à foutre. Ni de marcher 1h45, ni de mes affaires, ni de rien. Je me dis que les personnes qui fréquentent les garde-meubles sont dans le même état d'esprit que moi. Comme celles qui fréquentent les cyber-cafés.
Je traverse un petit vide-grenier de quartier. Il est encore tôt. Les stands sont en place, mais la fréquentation est éparse. L'idée me vient donc. Je demande à un des gars de lui emprunter sa camionnette en échange du plein. Je laisse ma pièce d'identité. S'il savait à quel point je tiens à mon identité, il n'aurait pas accepté.
Je finis donc le trajet en Peugeot Partner. J'embarque mes affaires. Je signe le papier que me tend le gars sorti d'école de commerce de seconde zone. Je passe faire le plein. Je décharge au vide-grenier, je rends les clés, et je pars. Je laisse derrière moi toutes mes affaires, et ma carte d'identité.
Je marche tout droit, donc à un moment, j'ai faim. Je m'arrête pour acheter des panini. Je n'aime pas déformer l'italien et utiliser le pluriel de sandwich (panini) pour commander un panino. Donc, je les commande par deux et je mange l'autre plus tard. Un homme étranger dit "bon appétit" quand le chef lui apporte son assiette de frites. Le chef ne relève pas. C'est très mignon. La vie est belle.
En sortant, je remarque dans le caniveau une souris d'ordinateur éventrée. Là où j'ai grandi, ce sont des hérissons qui sont aplatis sur la route. La ville est si artificielle que même ce qu'on trouve écrasé contre le bitume n'est pas organique.
Je marche encore tout droit. On est maintenant au cœur de l'été. J'essaie de parier qui dans cette ville est d'ici, et qui est touriste. J'arrête vite car c'est trop facile. J'arrive au parc. Des vélos sont posés. Pas attachés. Je reconnais le logo du magasin de location Dingo Vélos. Je n'ai pas réfléchi et je suis maintenant sur le vélo. Je suis en train de le voler et l'adrénaline me pousse à pédaler de plus en plus vite. Je retrouve le chemin de Dingo Vélos et vais le rendre. Je récupère 50€ de caution et la carte d'identité d'une certaine Clothilde. Elle ne me ressemble pas vraiment. Elle doit avoir 10 ans de moins que moi. Mais elle a les mêmes cheveux. Pour une personne polie, ça peut faire illusion.
Le soleil se couche enfin. Je suis déjà dans mon lit. Cet appartement est une chance pour moi. Une chance que ma mère l'ai laissé libre avant de ne plus m'adresser la parole. Je n'ai bientôt plus d'argent. Aujourd'hui, je n'ai pas été au jardin botanique et je ressens un manque. Aujourd'hui, d'autres gens ont été au jardin botanique, on parlé de leurs soucis de couple devant la bambouseraie. Aujourd'hui, des gens ont mangé un baba au rhum, d'autres ont acheté un chihuahua, commencé des balnéothérapies, pris des actions dans une start-up, acheté des fleurs, loué une Porsche, pris l'avion pour le weekend, se sont marié·es.
Aujourd'hui, j'ai changé d'identité. Demain, je mangerai un panino froid.
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selidren · 4 months ago
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Printemps 1923 - Louxor (Egypte)
3/6
Chère Eugénie,
Nous avons finalement décidé de repousser la date de notre retour, aussi je vous écris à nouveau d'Egypte. Il nous faudra de toute façon revenir au début de l'été pour assister au mariage d'Alexandre. Adelphe a cependant décidé, lui, de rentrer à la date prévue.
La raison est simple, vous l'avez sans doute lue dans la presse. Une découverte majeure a été faite dans la Vallée des Rois. Constantin et moi-même sommes dans tous nos états, et au vu des photographies qui doivent inonder la presse chez vous également, vous concevez aisément pourquoi. Mes filles m'ont informée que tous les jours, de nouvelles photographies sont publiées et qu'elles les découvrent durant le petit-déjeuner. Elles nous indiquent également que notre petit Jean-François exulte. Si le musée n'a pas suffit, je pense que ces clichés suffiront à entériner ses ambitions.
Constantin passe de nombreuses journées à attendre des nouvelles de l'excavation, jusqu'au jour où on l'invitera à nouveau à visiter la tombe où qu'on ouvrira la chambre funéraire. Il s'est ainsi retrouvé à tuer le temps, jouant entre autre avec mon appareil photo. Je vous joint un résultat : un portrait de moi où la lumière est désastreuse, même si je lui suis reconnaissant pour l'attention. Avec ce chapeau, il dit que je lui fait penser à Lady Evelyn, la fille du Lord Carnarvon dont on parle dans les journaux.
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les-portes-du-sud · 1 year ago
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Papillon
06.08.2023
Avez-vous un bon endroit ou une bonne personne?
Ne les montrez à quiconque. Seulement les plus proches, chers, gentils ...
Enfant, à la campagne, j'ai découvert une étonnante clairière. Il y avait de grandes touffes pures d'herbe émeraude; un lac. Lac transparent; les araignées d'eau courent à la surface, se frayant un passage entre les feuilles d'arbres emportées par le courant.
Fleurs jaunes au parfum fin et délicat. Et l'anémone blanche, petite primevère fragile, qui fleurissait. Une merveilleuse petite clairière, mais dans la forêt la neige n'a pas encore complètement fondu. J'ai trouvé donc ce petit coin de joie...
Mais se réjouir seul ne suffit pas ! Je veux partager la beauté et le bonheur. Et j'ai amené une autre fille pour voir ce bel endroit. Là où c'est déjà l'été, regardez ! Et un petit lac. Et des fleurs. Et même un papillon chou jaune citron flotte au-dessus des gerris et des anémones...
Le lendemain, j'arrivai à la clairière. Et les anémones étaient arrachées. Et les bouquets de fleurs sauvages fanées; des brassées de fleurs mourantes. Cette fille les a ramassé et écourté leur vie déjà éphémère. Oui, et toute la beauté du lieu a disparu. Juste des tiges paresseuses étêtées et des fleurs mortes gisaient en tas. C'est tout ce qui reste de la fabuleuse petite clairière aux anémones blanches comme neige et des inflorescences dorées.
Cela arrive souvent lorsque vous ouvrez un bonheur caché personnel à un autre. Votre place, votre personne, votre joie, votre musique - quelque chose qui vous est propre, très personnel et très nécessaire.
j'ai senti mon être déchiré, la joie laissant place à l'amertume, profondément déçu. Spectacle désolant, terne. Il ne restait rien. Toute énergie a disparu, elle a été détruite, arrachée et laissée à périr. Parce que tu ne peux pas l'emporter avec toi. On ne pouvait qu'aimer et admirer, et être rempli d'amour ... Mais tout le monde n'est pas capable de cela, tout le monde ne peut pas le faire - il suffisait simplement de s'en imprégner.
Que le secret reste secret. Ce n'est qu'ainsi que nous pourrons préserver ce que nous aimons et admirons immensément...
Les-portes-du-sud
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carraways-son · 3 months ago
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Samedi
Le mois d'août s'en va. Il fut si beau. Le titre du collage ci-dessus, qui date de septembre 2004 (acrylique et encre de chine sur papier), est "Et c'est la fin de l'été...". Ce n'est pas tout à fait vrai. Dans moins de deux semaines je prendrai la direction du sud-est de la France où j'ai rendez-vous avec l'amitié dans le Luberon, puis avec l'amour fraternel sur la côte varoise. Renoncer à l'illusion de l'été sans fin est au-dessus de mes forces.
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ginogirolimoni · 3 months ago
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"Ève" par Lucien Levy-Dhurmer, 1896. ©Getty - Photo by DeAgostini/Getty Images.
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Guillaume Apollinaire.
"Nous voulons explorer la bonté contrée énorme où tout se tait
Il y a aussi le temps qu'on peut chasser ou faire revenir
Pitié pour nous qui combattons toujours aux frontières
De l'illimité et de l'avenir
Pitié pour nos erreurs pitié pour nos péchés
Voici que vient l'été la saison violente
Et ma jeunesse est morte ainsi que le printemps
O Soleil c'est le temps de la raison ardente".
Guillaume Apollinaire, La jolie rousse
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claudehenrion · 1 year ago
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'' … le plus chaud, depuis...''
Cette phrase, vous l'avez lue et relue, entendue et ré-entendue des dizaines, des centaines de fois depuis... le début de l'été, où nos politiciens et nos journalistes ont été surpris : ''il faisait chaud !''. Cependant, elle a besoin de compléments de temps pour avoir un sens, qui varie du tout au tout avec ou selon les mots choisis. Le premier mot manquant doit désigner un moment récent ('hier'', ''la semaine dernière'' ou ''le mois dernier'' font fort bien l'affaire). La fin de le phrase, en revanche, est plus difficile à inventer, car c'est d'elle que dépendra sa capacité à causer des ravages..
Ce second ''complément circonstanciel de temps'' mérite que l'on passe un instant avec lui, car il doit impérativement sonner le tocsin chez tout lecteur réputé ''normalement constitué'' (NB : en novlangue macrono-progressiste, cela veut dire : gober tout les bobards présentés comme des vérités par les médias et la doxa gauchiste officielle –c'est la même chose !). Ce second ''volet'' du truisme doit donc conjuguer ''être proche pour avoir l'air vérifiable'' –ce que personne ne fait jamais, exemple : le covid !-- et ''être impressionnant tout en faisant plus vrai que vrai'' . On a donc le choix entre ''l'an dernier'', ''les 10 ou les 100 dernières années'', voire, comme en ce moment ''depuis qu'existent des relevés'', ce qui devrait vraiment faire taire toute opposition... à ceci près que ces relevés météo remontent au mieux –ou au pire-- aux années 1855, et que 170 petites années –qui sont longues pour l'expérience humaine-- sont ''même pas rien'' à l'échelle cosmique où se mesurent et se commentent les phénomènes climatiques.
Résumons-nous : la phrase la plus rabâchée ces temps derniers n'a pas la moindre signification à l'échelle du phénomène météorologique –et a fortiori climatique--dont elle voudrait rendre compte de manière à forcer des décisions radicales et définitives... mais absurdes puisque sans aucun lien avec le sujet dont ils croient parler : à partir du constat d'un réchauffement climatique qui semble incontestable en l'état actuel de nos connaissances, ils ont réussi à faire croire à une majorité de leurs semblables que c'est eux, hommes blancs, qui étaient les seuls responsables du désastre dont ils annoncent la survenue imminente depuis des décennies prédiction jamais réalisée mais dont ils maintiennent néanmoins l'occurrence prochaine ('Le Printemps silencieux'' de Rachel Carson, bible de la soi-disant religion prétendue écologique, date de 1962).
Or, s'il est une chose que l'été 2023 nous aura démontré comme à plaisir, c'est la fausseté –déjà bien connue par beaucoup-- de toutes les théories émises par le Giec et reprises en chœur pas ses thuriféraires : l'été et même l'automne, furent parfois caniculaires en Europe, mais cette chaude réalité ressentie ne permet en aucun cas de généraliser des impressions soit disant ''expliquées'' (sic !) par des faux statisticiens en mal de fin du monde, qui se servent des chiffres pour démontrer des mensonges, en ayant recours à des traitements dilatoires des ''outils'' statistiques dont nous disposons... et qui mériteraient un autre usage !
Car il est une chose dont personne ne peut douter : la succession de vagues caniculaires qui a frappé la France (et quelques autres pays d'Europe) depuis fin juin sont dues, exclusivement, à des remontées aléatoires (puisque dues à ''El Niño'') de gigantesques ''bulles'' de chaleur venues du Sahara, ce qui appelle deux commentaires : (1)- le Sahara n'est pas connu comme un pourvoyeur majeur de CO² d'origine humaine : zéro embouteillage, zéro diesel, zéro ''SUV'', zéro de ces monstrueux transatlantiques qui polluent plus qu'un million de voitures thermiques chacun… et par voie de conséquence, (2)- aucune possibilité d'établir (de bonne foi, s'entend) le moindre lien entre leur présence et nos émissions de ''gaz à effet de serre'', à l'opposé de tous les commentaires de nos cuistres radio-télé qui se concluent, de manière pavlovienne, par une accusation du CO², devenu le fantasme n°1 qui agit comme une drogue ! C'est pitoyable !
De manière plus générale, l'étude des couches géologiques révèle que le climat a varié tout au long de l'existence de la Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le dernier Petit Age Glaciaire s'est terminé vers 1850, et la période de réchauffement actuelle n'a donc rien de surprenant. En fait, ce réchauffement est bien plus lent que prévu... mais le fossé entre le monde réel et le monde tel que nos savants sans savoir l'ont modélisé montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique : l'édifice de ''la politique climatique'' est bâti sur des modèles inadéquats qui présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas fiables en tant qu'outils politiques : non seulement ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent complètement les bienfaits de l'enrichissement de l'atmosphère en CO²...
Contrairement à tout ce qui nous est raconté à longueur de ''JT'', le réchauffement climatique n'a pas augmenté de manière scientifiquement démontrable le nombre ou l'intensité des catastrophes naturelles : aucune statistique ne prouve qu'il intensifie peu ou prou les ouragans, les inondations, les sécheresses et tous les autres types de catastrophes naturelles, ou qu'ils les rend plus fréquents. En revanche, les preuves existent que les mesures pour tenter (en vain, c'est une autre certitude : ce n'est pas possible !) de réduire le CO² sont aussi dommageables et liberticides que coûteuses.
'' Il n'y a pas d'urgence climatique, et donc aucune raison de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO² net proposée pour 2050. L'adaptation vaut mieux que pour la réduction, car avec elle, on peut espérer atteindre un résultat réel'', affirme le professeur Steven Koonin, pourtant ancien sous-secrétaire aux sciences du ministère de l'Énergie d'Obama (pas un modèle, à mes yeux, par ailleurs !), professeur à l'Université de New York, membre de la Hoover Institution, et auteur du best-seller ''Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn't, and Why It Matters'' (= L'indémontré : ce que dit la science du climat, ce qu'elle ne dit pas et pourquoi c'est important-- 2021)., qui considère immoral de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors qu'une grande partie de leur population n'a pas accès à l'électricité, et qui ose affirmer qu'il est du dernier pervers d'effrayer les jeunes générations (Rappel : en janvier 2022, 84 % des adolescents américains croient que ''si rien n'est fait, il sera trop tard pour les générations futures, car une partie de la planète sera devenue invivable'', ce qu'aucune preuve scientifique n'a, évidemment, jamais démontré..
Tout se passe comme si personne ne voulait admettre qu'une grande partie du changement climatique est causée par des éruptions solaires contre lesquelles nous ne pouvons rien … sans parler des grands incendies de forêt dont le risque est exacerbé parce que les faux écologistes refusent de débroussailler les sous-bois de crainte que telle ou telle créatures qui pourrait s'y trouver ne soit dérangée (par autre chose qu'un incendie de forêt qui va les tuer).
De plus en plus nombreux sont les citoyens qui trouvent que les milliards d'Euros annuellement consacrés à une lutte sans espoir contre un changement climatique dont les forces obscures nous échappent pourraient être mieux utilisés... Combien de temps faudra-t-il pour que ceux qui les dirigent (vers des catastrophes en série, annoncées depuis longtemps mais toujours niées par les aveugles-par-système) sortent de leur torpeur addictive, et voient la réalité comme elle se présente ?
H-Cl.
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