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#l’ami de mon amie
dawnidyll · 1 month
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rwpohl · 4 months
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madame legros, michael kehlmann 1968
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Emmanuelle Chaulet et Éric Viellard “L’ami de mon amie” (1987) | Dir. Éric Rohmer ☀️
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L'ami de mon amie / Everybody’s Fool - Evanescence / Bender: New and Selected Poems “Robert Desnos (1900-1945)” - Dean Young / Tyler Durden - Madison Beer / In My Head - Ariana Grande / Fairytale (Let Me Live My Life This Way) - Rebecca Ferguson / Costar / Dancing - Mellow Fellow / Icarus - Azra.T / Jane Eyre - Charlotte Brontë / Guillermo Decurgez / R.E.M. - Ariana Grande / Anecdote of the Pig - Tory Adkisson / All In My Head - Tori Kelly / In Real Life - Demi Lovato / Crush - Richard Siken / The Dropout / unknown / Naked Lunch / Only - Nine Inch Nails / Sun Bleached Flies - Ethel Cain / Mad Girl's Love Song - Sylvia Plath / Everywhere - Michelle Branch / Can U Not - Okay Kaya / Gunshot - Lykke Li / Alex - Roy Blair / please put me in a medically induced coma - carolesdaughter / Lucky You, Hearts/Wires, Radiant City - Deftones / Who Do You Love? - Kindness, Robyn / L’ami de mon amie
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L’amitié est une relation où l’on est en rapport avec un autre. Plus l’autre est autre, plus l’amitié peut être réelle. C’est que l’ami n’est pas un alter ego ; il n’est pas “comme moi” (Dieu merci !). Il n’est surtout pas mon double, mais bien réellement autre que moi. Sa voix me le rappelle chaque fois, sans même qu’il en ait l’intention. Cette voix en effet me fait entendre que me manque quelque chose pour être ce que je devrais être. Et elle me le fait entendre comme venant de celui à qui manque aussi une part d’être, dont peut-être même sans le savoir il me demande de lui faire la surprise, alors que je ne l’ai pas moi-même. Ou bien nous tromperions-nous, étant chacun plus riche que nous croyons ? Mais riche de quoi ? Qu’aurions-nous donc de si précieux, que nous ne savons pas avoir ? Ne serait-ce pas précisément notre être, que nous ne devinons jamais qu’à travers la voix d’un autre ?
Or cet autre est toujours parfaitement singulier : il est l’ami, chaque fois le seul. Même s’il est possible d’avoir plusieurs amis, l’amitié, en sa réalité, ne se vit qu’à deux. Entrevoir ce que nous dit cette singularité a de quoi faire chavirer les plus solides. Car nous sommes là inopinément jetés par-delà toutes les frontières de l’habitude. L’amitié pourrait ainsi être le modèle par excellence de l’expérience métaphysique humaine. Un jour de ma vie, j’ai bien entendu un ami me dire: "On était des amis avant qu’on se connaisse."
(Martin Heidegger. Être et temps, La voix de l’ami)
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zielenadel · 8 months
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Éric Rohmer, L’Ami de mon amie, 1987
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aurevoirmonty · 1 month
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REQUIEM POUR UN FAUVE
Quand les Français pleurent Johnny, Bébel et, désormais, Alain Delon, ils pleurent une France révolue. Je me compte parmi ces Français puisque Delon a été l’icône de ces Trente Glorieuses illusoires qui accouchèrent d’un cauchemar dans lequel nous évoluons en attendant une catastrophe qui est déjà là. Delon a imprimé notre imaginaire et s’est identifié à la France jusqu’à mourir avec elle…
Chacun a son Delon. Moi, c’est celui des années 50 et 60, Plein Soleil, Mélodie en sous-sol, les Fauves, La Piscine et, plus tard, le chef d’œuvre Mort d’un pourri. Jamais aimé le cinéma de Melville et ses parodies sinistres de films US.
Avant de se prendre au sérieux et de se concevoir comme un « monument », il fut ce jeune loup décharné et magnifique auquel nous rêvions de ressembler. Il était une sorte James Dean français, rebelle sans cause toujours, personnage de Drieu la Rochelle sans le savoir, même si le Feu Follet échut à son ami Maurice Ronnet.
Laissons aux charognards le soin prochain de dépecer sa mémoire. Moi, pour compter deux amis de mon entourage qui eurent à le bien connaitre, je me suis forgé une idée lointaine du personnage, à la fois grand seigneur et salaud impardonnable. Jamais de demi-mesure…
Mon Delon, celui qui nous est commun sans doute, c’est cet homme solitaire, le misanthrope qui préférait les animaux aux êtres humains, l’ami indéfectible de Jean Marie Le Pen et le rebelle qui posait fièrement aux côtés de Léon Degrelle. Ce n’est pas tout mais ce n’est déjà pas mal…
Christian Rol
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davidheulin · 12 days
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Mon livre de la nature
Aujourd'hui, j'ai décidé d'ouvrir une nouvelle page de mon livre de la nature et de vous en offrir quelques lignes. Enfant, je passais des heures en forêt, à jouer à cache-cache, à construire des cabanes avec mes amis, entouré par la magie des arbres et du chant du vent. Aujourd'hui, ce lien profond avec la nature me rappelle à elle. Je me suis promis de rouvrir cet ouvrage ancien et d'en partager les secrets avec vous.
Le jour s’annonce radieux, baigné par une douce lumière dorée. Mon affût est installé à quelques centaines de mètres d'un point d’eau où les animaux sauvages viennent souvent se désaltérer. Depuis plusieurs semaines, je parcours cette forêt avec une curiosité presque enfantine, tentant de décrypter les traces laissées par ses habitants : empreintes furtives, souilles humides, écorces grattées... Je ne suis qu'un humble observateur, un apprenti face aux mystères de ce royaume, mais peu à peu, je me fonds dans leur monde, apprenant à respecter leurs lois silencieuses.
Le vent souffle dans la bonne direction, me protégeant de leur flair redoutable. Une biche ou un cerf pourraient me percevoir à plus de 300 mètres si je ne fais pas attention. Pas de parfum, pas de faux pas, juste la discrétion absolue. Les minutes passent, puis soudain, le silence se brise : le brame majestueux du cerf résonne dans l'air. Ils sont deux, quelque part entre les arbres. Je perçois le craquement des branches sous leurs sabots, mais aucun d'eux ne se montre.
La pluie, douce et imprévisible, fait son apparition, devançant l’ami qui devait me rejoindre. Deux heures que je guette, immobile. Mon compagnon finit par arriver, et ensemble, nous partageons ce moment sous les larmes du ciel. Le brame s'estompe, laissant place à une inquiétude silencieuse. Malgré nos vêtements trempés, notre patience nous habite encore, car la forêt enseigne à attendre.
Nous décidons de changer d’endroit avant que la nuit ne vienne tout effacer. Et puis, dans un souffle, l’espoir renaît : un chevreuil et un brocard surgissent, espiègles et gracieux, jouant dans l'ombre des arbres. Mais toujours pas de roi en vue. Derrière nous, des biches profitent des jeunes pousses, reprenant des forces pour les jours à venir.
Je ne veux pas refermer cette page du 8 septembre sans avoir vu le roi de la forêt. Notre détermination finit par être récompensée. Une biche apparaît enfin, et dans son sillage, il est là... majestueux, fier, guidé par l'instinct qui le pousse à suivre sa future reine. Nos cœurs battent à l’unisson, comme ceux d'enfants fascinés par ce spectacle offert par la nature.
Nous les observons s’enfoncer dans le bois, préservant leur mystère, leur liberté. Ce royaume n'est pas le nôtre, et nous respectons le rythme de la forêt, son souffle, ses sonorités, ses joutes et ses jeux. Nous quittons les lieux en silence, reconnaissants pour cette parenthèse d’émerveillement qui, dans quelques mois, portera de nouveaux fruits.
Merci, à toi, nature et Tony Tranel
#cerf #normandietourisme #normandie #seinemaritime #seinemaritimetourisme #seinemaritimenormandie #franquevillesaintpierre #biche #nature #naturephotography #officenationaldesforets
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Pourquoi (ou plutôt comment) je suis devenu Candauliste
Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Un jour, tandis  que je rejoignais mon amie d’alors partie avant moi en congés sur Toulouse ( elle était professeure d’Espagnol et avait étudié à Toulouse avant de me rejoindre en Normandie, elle m’informa à mon arrivée dans la ville rose qu’avant de repartir vers Perpignan où nous devions passer quelques jours avant de rejoindre l’Espagne et Grenade, qu’elle avait prévu de longue date avec l’amie qui l’hébergeait depuis son arrivée à Toulouse, une soirée « Tex-Mex » dans un restaurant de la ville afin d’y retrouver leurs amis et maintenant collègues de la Fac.
Pas de souci pour moi, je n’étais pas trop fatigué ayant voyagé en train pour la rejoindre et j’aimais assez les contacts et discussions avec ses ami-e-s profs souvent ouverts et intéressants.
Aussi, nous nous rendîmes après une halte chez sa collègue le temps d’une douche régénératrice vers ce restaurant connu pour ses ambiances « calientes »...
C’était loin de me déplaire, elle ayant le tempérament « latina y fiesta » et moi n’étant pas en reste quand la chaleur ambiante et celles des corps ne faisaient plus qu’un... C’était aussi un bon moyen d’entrer réellement dans mon statut de vacancier après quelques semaines de dur labeur.
Le repas était sympa. Nous étions une douzaine de convives de la même tranche d’âge (30/35 ans). Il y avait 8 filles et cinq garçons. J’étais le seul conjoint à avoir été autorisé à les rejoindre pour le repas. Les autres pouvaient ou pourraient venir si la soirée devait se poursuivre en boite de nuit car cela avait aussi été évoqué...
A l’issue du repas et après quelques « Téquila-paf », l’ambiance et la musique montèrent d’un ton...
Le restaurant n’était pas très grand mais on pouvait y danser...La soirée était partie...L’ai était moite et réellement chaud...Les corps, sous l’effet des boissons, de l’exiguïté des lieux et de la danse commençaient à transpirer...
Le patron était aussi propriétaire de l’appartement du dessus et rapidement le mis à disposition de la clientèle qui désirait s’aérer un peu et discuter plus tranquillement.
Un escalier étroit y menait et ma compagne de l’époque me fit signe qu’elle montait se reposer et se mettre un peu au frais.
Pas de souci, je lui indiquais que je devais aller aux toilettes avant et la rejoignait rapidement.
Je l’accompagnais jusqu’au pied de l’escalier, lui fit un bisou passionné et me dirigeais vers les toilettes.
Elle se retourna et grimpa l’escalier à la pente raide et je remarquais furtivement qu’elle n’avait pas de dessous sous sa robe courte et légère convenant parfaitement à la chaleur de la soirée mais aussi à nos codes qui voulaient que l’été soit assez libre et notamment en matière vestimentaire...
Nous avions aux dernières vacances d’été, toujours du côté de Perpignan, commencé à fréquenter les plages naturistes et nous en avions apprécié l’esprit de liberté au point de convenir le soir de ne pas s’entraver et de rester dans des dispositions à la fois pratiques et un peu coquines...Je ne portais également rien sous mon pantalon de toile serré...
Aussi, je souris plutôt à cette idée de retrouver rapidement notre complicité et m’en réjouissais même...
Alors que je revenais vers elle et avait emprunté à mon tour l’escalier raide menant vers l’appartement au-dessus du restaurant, je croisais une brune magnifique mais manifestement en colère...Je ne l’avais pas remarquée parmi nous ...Elle devait faire partie d’un des autres groupes...Je su par la suite que non et que c’était la propre femme du patron des lieux...Son langage était fleuri mais tout aussi séduisant qu’elle car très coloré et typé « hispanique »...Une vraie colère de fille du sud...J’en souriais en atteignant les dernières marches...
Il y avait pas mal de monde et je ne percevais pas où pouvait être ma compagne...
Aussi, j’entreprenais le tour du logement qui comportait un salon, des toilettes, deux chambres ouvertes sur le salon et une salle de bain dotée d’une porte aux couleurs vives et sud-américaines...
 Non, je ne la retrouvais pas...Elle devait être redescendue... ?
Je m’apprêtais à redescendre pour la retrouver quand je fus tiré par le bras...C’était l’amie de ma compagne chez qui nous étions hébergés... : « Ana est dans la salle de bain si tu la cherches... »
« Que lui est-elle arrivé, m’inquiétais-je ? »
« Oh, rien de grave me dit elle en s’esclaffant de rire...mais tu connais Ana mieux que personne et il lui en est arrivé une bien bonne...En fait, en montant, le patron qui venait de porter des boissons à quelques personnes ici, a glissé et lui à renverser de l’alcool sur son haut... Il s’est confondu en excuses et tandis qu’An lui assurait que ce n’était pas grave, il a insisté pour qu’elle puisse et nettoyer son haut...Il était au petits soins pour elle et était même assez audacieux au point de caresser sa poitrine pour lui montrer que le tissu était bien imbibé d’alcool et qu’il fallait nettoyer son haut...Sa femme, la femme que tu as croisée dans l’escalier et en colère, s’en est aperçue et Ana s’est retrouvée au milieu de tout ça , sans je te jure, avoir le moins du monde rien provoqué...
Le patron s’est fait incendier par son épouse qui est redescendue et a accompagné Ana dans la salle de bain ...Ils y sont depuis quelques minutes et je ne sais où ils en sont, me dit-elle dans un parfait éclat de rire...Je serais toi, j’irais quand même voir...Je suis en bas...Je vous attends...Nous devons décider si nous continuons La soirée et si nous allons en boite ...
Un peu surpris et bien que très peu jaloux, cette histoire m’intriguait...
Je me rendais donc près de la porte de la salle de bain, frappais et tentais d’ouvrir...
La porte était fermée ...Instinctivement je mis l’oreille à la porte mais n’entendais rien au regard du bruit extérieur ambiant
« Ana, Ana ? osais-je... »
 Je vis aussi les regards des autres personnes présentes et leurs sourires...C’est d’ailleurs ce qui me mit le plus mal à l’aise...Des pensées jalouses firent instantanément leur apparition
Je haussais le ton et agitait vigoureusement la clenche... : « Ana... ! Ana... ! Tu es là... ? Tu m’entends...Ça va ??? »
Je perçus un : « Oui, ça va, tout à la fois rassurant mais aussi troublant car elle me demanda quelques minutes pour sortir... »
Lucie, l’amie qui nous hébergeait m’avait bien indiqué que le propriétaire dubar était avec elle et « aux petits soins... » »
Que pouvaient donc ils faire qui les empêchent d’ouvrir rapidement...
Bizarrement c’est les écrits du livre de de Miguel RUIZ, « Les accords Toltèques »  qui me vint à l’esprit : ne pas laisser votre imagination prendre le dessus sur votre esprit...
Oui, je veux bien ...Mais là, ça me demandait un réel effort...
Que pouvais-je imaginer... ?
Ma compagne, nue ou presque, avait-elle ôté son haut d’ailleurs très léger et minimaliste en ces temps de canicule estivale.......Devait-elle le laver...Se laver... ? De plus, enfermée avec ce parfait étranger, « aux petits soins pour elle » et dont l’épouse venait en public de montrer sa colère ( Hijo de puta... !, avais-je crû capter dans ses propos en la croisant...).
Que faisaient-ils dans sa salle de bain...Aussi longtemps et enfermés... ?
Ce fut lui qui vint m’ouvrir : « Entrez sènor...Jé suis vraiment désolé, me dit-il avec un fort accent Mexicain...Votre femme est superbe et je me suis mal conduit... »
J’avoue que ce n’étaient pas ces propos qui pouvaient totalement me rassurer mais bon, je venais d’entrer...
« J’ai proposé à votre femme de prendre une douche et pendant ce temps là de lui laver ses vêtements...Vous voyez, elle se douche et avec la chaleur qu’il fait ses vêtements seront secs en quelques minutes...Quand vous avez frappé à la porte, j’étais en train de les mettre au balcon à sécher...De plus je crois que j’ai fait une bêtise...Je n’ai pas trouvé ses sous-vêtements...J’espère ne pas les avoir oubliés...Rassurez-moi Senor... »
« Non, non lui dis-je...Elle ne devait pas en porter ce soir ou peut-être les a-t-elle gardés pour se doucher... ? »
« Non Senor m’indiqua le mexicain d’un air quasi rigolard et tout aussi désespéré...
Non, elle est nue...Je vous promets, je ne l’ai pas touchée... Elle s’est déshabillée devant moi et m’a donné ses vêtements...Je lui ai trouvé une serviette...Tenez  Senor...quand elle sortira... »
C’est aussi à cet instant que ma compagne sortit de la douche avec un grand sourire...Totalement nue et à l’aise comme je l’aime et comme elle est sur les plages naturistes...
« Ah chéri...Super...Tu peux aller voir si mes vêtements son secs maintenant...Merci vraiment Monsieur pour la douche et votre gentillesse. Pas de souci...Mon compagnon n’est pas jaloux du tout...Pas comme votre femme... Désolé pour vous...J’espère que vous n’aurez pas de souci...
« Non, non fit le Mexicain en lui tendant la serviette tandis que je partais sur le balcon lui chercher ses vêtements...
La serviette autour elle me rejoint sur le balcon qui dominait la rue et donna un énorme baiser amoureux... « Dommage...Il était charmant ce Mexicain, me glissa-t-elle à l’oreille...Il aurait pu en profiter et je n’aurais pas été mécontente de rendre encore plus jalouse sa pétasse de femme...
On avait parlé l’été dernier de devenir encore plus libre l’un et l’autre...Tu aurais dit quoi si j’avais fait l’amour avec lui ou par exemple simplement sucé... ?
Ma seule réponse fut de l’attirer vers moi, de la serrer dans une étreinte passionnelle et puissante et de lui montrer bien ostensiblement que je bandais sous le tissu léger de mon pantalon...
Je l’embrassais passionnément...
L’été serait sûrement chaud et partait sous de bons auspices...
Oui j’avais de plus en plus la certitude d’être un vrai libertin et plus encore un parfait candauliste...
Oui j’aurais aimé les surprendre en train de faire l’amour et l’admirer dans sa toute beauté être au centre de toutes nos attentions...
J’avais même remarqué que le Mexicain bandait lui aussi...
Nous nous l’avouâmes très peu de temps après, la nuit même d’ailleurs, au moment où elle invita son amie Toulousaine à nous rejoindre dans notre lit au petit matin au retour de la boite de nuit caliente où nous nous étions rendus après l’épisode du restaurant Tex Mex...
J’appris aussi alors, qu’elle avait couché toutes les nuits passées à Toulouse avec son amie, revivant leurs années estudiantines de colocataires en attendant mon arrivée pour nos congés communs...
Quelques jours après, elle m’avoua également que son amie lui avait offert la pareille avant mon arrivée en l’invitant à la rejoindre dans leur lit après une la venue, un soir, d’un de ses amis rugbyman
Elle me demanda si j’étais fâché… !
Ce fut un des plus beaux aveux de sa part pour moi, un bel été et de beaux congés...
Quelques autres soirées calientes nous attendaient...
Je n'avais, candaulistement parlant à tout le moins, pas fini de bander...
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uneessencesensible · 1 year
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Adieu l'ami.
N°2017 – Mercredi 10 mai 2023
J’ai pris une décision aujourd’hui. Elle trottait dans ma tête depuis quelques jours, mais je n’osais pas sauter le pas. Je n’avais aucune crainte, car je savais que la relation était arrivée à sa fin, mais je ne sais pas. Il me fallait du temps pour me faire à l’idée que nous ne nous reparlerons plus jamais. Que bel et bien fini, pour le coup. Je ne regrette pas ce que j’ai fait. Le supprimer de ma vie, de mon téléphone une bonne fois pour toute, est un geste qui fait mal, mais qui libère d’un poids qui devenait trop lourd. Cela représente beaucoup pour moi. C’est la première fois de ma vie que j’y arrive dans ces conditions. Apaisée d’avoir pu dire les choses, même si en face, j’ai eu à faire à un mur. Contente d’avoir sauté le pas, même si je n’ai pas eu mes réponses. Ce n’est rien. Tant mieux pour moi finalement. Il valait mieux que je ne sache pas, visiblement. Tant pis pour lui. Il a sûrement trouvé mieux que moi comme amie, dans son lot d’hypocrites. Je tire un trait sur toutes ses années passées, où nous avons bien ri, fait les imbéciles. Je garde en tête seulement les bons moments, même si aujourd’hui, ils remontent à bien longtemps. Finalement, notre relation n’a eu qu’un temps. Après, nous étions plus des potes et nous avons fini par être des « étrangers ». Cela faisait un moment qu’il n’y avait plus de partage, alors à quoi bon ? Parfois, il faut se libérer de certaines relations pour avancer et pour se tourner vers d’autres personnes qui nous correspondent plus.
Adieu l’ami. Peut-être que l’on se reverra, même si j’en doute fort. Prends soin de toi, tout de même. Sois heureux. Je peux désormais dire bonjour à la paix.
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corinneecrivaine · 1 year
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QUEER ROMANCE FANFIC
LE JOUR OU TU AS GUERI MON ÂME Personnages principaux Kit and Jade Univers parallèle
CHAPITRE 4
Titre : UNE AMITIE EMERGENTE.
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Dès leur arrivée, une symphonie d’arômes s’échappait des étals colorés qui débordaient de fruits tropicaux, d’épices exotiques et de produits artisanaux associés aux sons des vendeurs qui criaient leurs offres alléchantes. Les parfums enivrants de la cuisine locale se mêlaient aux effluves épicés des herbes fraîches et au délicieux fumet des poissons fraîchement pêchés. Les étals étaient ornés de montagne de mangues dorées, d’ananas juteux et de bananes aux tons chatoyants. Les légumes aux formes exotiques et les épices aux couleurs vives ajoutaient de l’éclat à ce marché coloré et animé.
Les marchants souriaient amicalement, offrant des échantillons de fruits exquis et des plats traditionnels de la mer.
L’air était rempli de discussions animées et d’une douce musique ambiante jouée par un groupe local.
Kit prit une profonde inspiration : « C’est incroyable Jade. Un véritable petit coin de paradis tropical. »
Jade hocha la tête, joyeuse : « Il y a tellement de choix délicieux. Je viens souvent avec ma sœur ou ma mère pour faire nos achats pour le resto. Viens, allons choisir quelques délices pour toi. »
Jade était saluée chaleureusement par tous les marchands, alors qu’elles se frayaient un chemin à travers la foule animée. Elles s’arrêtaient ici et là, goûtant des morceaux de fruits et discutant avec les vendeurs.
Elles se retrouvèrent devant un étalage de produits de la mer où étaient disposées des crevettes géantes rouges, fraîchement pêchées, appétissantes et prêtes à être savourées. Jade plaisanta ce qui fit rire Kit. « Ça c’est Scorpia. »
Elle papotait avec chaque vendeur, heureux de la voir et curieux de rencontrer sa nouvelle amie.
Vendeur d’épices : « Jade, chérie, comment vas-tu ? Besoin de nos épices magiques aujourd’hui ? »
— Absolument, Juan. Laisse-moi te présenter Kit, elle va travailler au restaurant. Je lui fais découvrir nos saveurs. »
— Bienvenue jeune fille. Si notre Jade, partage ce moment avec toi c’est que tu comptes beaucoup pour elle. »
— Ne l’écoute pas Kit, Juan adore plaisanter.
L’atmosphère était chaleureuse et accueillante, Kit se sentait de plus en plus intégrée dans la communauté de l’île grâce à Jade.
Elles continuèrent leur promenade et s’arrêtèrent devant le marchand de fruits.
— Kit, je te présente Lucia, elle cultive les meilleures mangues de l’île.
— Ça fait plaisir de te voir Jade. Qui est cette charmante amie ?
— Oh, je te présente Kit. Notre barmaid.
— Sois la bienvenue chez-nous. L’amie de Jade est déjà une amie pour nous tous.
— Merci Lucia.
La réputation et la gentillesse de Jade semblaient avoir un impact positif sur tous ceux qu’elle rencontrait. Kit se sentait chanceuse d’être accompagnée d’une personne aussi appréciée et aimable.
— Tu vois Kit, chaque personne ici est comme une pièce du puzzle qui compose cette île. C’est ce qui la rend si spéciale.
Lucia tendit une mangue à Kit : « Laisse-moi t’offrir l’une de nos meilleures mangues. Elles sont sucrées et délicieusement juteuses. Parfaites pour une journée qui s’annonce chaude comme celle-ci. »
Kit accepta timidement « Merci beaucoup. »
Elle croqua dans le fruit mûr, savourant le goût sucré et juteux. Un filet de jus s’écoula le long de son menton, qu’elle essuya rapidement avec le dos de sa main.
Jade prit une serviette en papier que Lucia lui tendit et s’approcha doucement de Kit. « Laisse-moi t’aider. »
Avec tendresse, elle essuya délicatement le jus de mangue sur le visage de son amie. Leurs regards se croisèrent brièvement. Dans cet instant, Kit sentit le poids de sa peine se transformer en une connexion profonde avec Jade.
La jeune fille, ressentant une gêne douce-amère, chercha une échappatoire à cette intimité soudaine et se tourna vers Lucia qui attendait avec un sourire amusé.
— C’est vraiment délicieux. Merci.
Elle cherchait à retrouver sa stabilité émotionnelle, refusant d’oublier Emma et les véritables raisons de sa venue.
— Prête à rentrer ? Demanda Jade en souriant.
Elles quittèrent le marché local. Kit portait avec elle le goût de l’île et l’excitation de cette matinée sous le signe de la découverte.
*******
Elles regagnèrent l’appartement, les bras chargés de sacs débordants de produits frais et divers.
— Merci Jade pour cette sortie au marché.
— De rien, j’ai adoré te faire découvrir cette partie de notre vie. Répondit-elle tout en posant les sacs sur la table.
Elles commencèrent à déballer les courses.
— Ces mangues sont vraiment délicieuses. S’exclama Kit en prenant les fruits qu’elle déposa dans un saladier.
— Oh que oui. On fait de très bons cocktails avec.
Elles continuaient à ranger les courses tout en discutant. Kit se sentait de plus en plus à l’aise avec Jade. Cette journée avait créé un lien spécial.
Alors qu’elles travaillaient côte à côte, leurs mains se frôlèrent involontairement. Un frisson parcouru l’échine de Kit. Ses doigts entrèrent en contact avec ceux de Jade et ce simple effleurement provoqua une avalanche d’émotions en elle. D’une part, il y avait cette sensation de proximité avec Jade, tous ses gestes étaient empreints de douceur. Mais en même temps, il y avait cette douleur qui la submergeait. Et cette simple sensation de la main de Jade, bien qu’apaisante, ravivait la présence d’Emma.
Elle retira rapidement se main et détourna le regard, espérant que Jade ne remarquerait pas la tempête émotionnelle qui faisait rage en elle.
Les deux amies reprirent leurs tâches, mais Kit resta profondément consciente de cette connexion, à la fois réconfortante et douloureuse qui grandissait entre elles.
C’est à ce moment précis que le téléphone de Jade sonna. La jeune fille soupira légèrement, Kit se sentit soulagée.
— Oui maman. Tout va bien. J’étais au marché avec Kit… D’accord, je lui dis et je te rejoins.
Elle raccrocha et regarda son amie. « Je suis désolée. Il semblerait que ma mère ait besoin de moi. Je dois y aller. »
— Bien sûr.
— Cependant, tu manges avec nous. N’oublie pas ton itinéraire.
— Oh, je ne vais pas m’imposer Jade, c’est vraiment gentil de sa part mais…
— Tu sais, chez-nous partager un repas, c’est une manière de montrer notre affection.
Reconnaissante pour cet accueil chaleureux, Kit adressa un sourire sincère à Jade.
— Merci de me faire sentir chez- moi ici.
— Eh bien, tu es là pour un long moment, alors autant que tu te sentes à l’aise.
Kit hésita un court instant avant de s’exprimer : « Jade, merci de m’avoir fait découvrir cette belle partie de ton monde.
— J’espère que tu me laisseras entrer dans le tien également.
Jade partit, laissant Kit avec ses sentiments mêlés à la fois de reconnaissance et de douleur.
Elle se retrouva seule, perdue émotionnellement, ses pensées tournées vers Emma. « Tout ce que je vis ici c’est pour toi. Mon cœur t’appartient. » Chuchota-t-elle, la voix remplie de tendresse et de douleur.
*******
— Pourquoi as-tu amené Kit dans nos refuges secrets ! Tu sais très bien qu’ils sont réservés à notre famille ! (S’exclama Scorpia, furieuse).
— Je comprends, mais tu aurais dû voir l’émerveillement dans ses yeux. C’était comme si des milliers d’étoiles s’allumaient. (Jade s’exprimait d’un ton calme et serein.)
— Oh, non, ne me dis pas que… (Scorpia s’interrompit, sa colère mêlée d’inquiétude.) Ressaisis-toi, tu vas droit dans le mur, il n’y a pas de place pour toi dans sa vie ni dans son cœur d’ailleurs !!
— Je veux juste être là pour elle, rien d’autre.
— Que feras-tu lorsqu’elle repartira ! Aurais-tu oublié la douleur que Grace t’a infligée ?
— Kit n’a rien en commun avec Grace.
— Comment peux-tu en être certaine, tu ne la connais pas !!!
— Parce qu’elle est venue honorer la mémoire de son amour perdu. Lorsqu’elle en parle, tu peux ressentir tellement de passion mais aussi un immense chagrin.
Les mots acérés de Scorpia réveillèrent une ancienne souffrance en Jade, celle du jour où Grace lui brisa le cœur. Le souvenir était douloureux.
*******
Les deux sœurs étaient assises sur la plage qui bordait le restaurant familial, regardant les vagues se briser sur le rivage. Le vent soufflait doucement à travers leurs cheveux.
Scorpia percevait la tristesse dans les yeux de sa sœur : « Tout va bien ? »
Jade fixait l’horizon, puis d’un seul coup se mit à pleurer toutes les larmes de son corps. Une profonde souffrance qu’elle extériorisait, sa respiration haletante entre chaque larme de versées.
Scorpia la prit dans ses bras : « Que s’est-il passé ? » Elle posa la question bien qu’elle connaissait la réponse.
« Grace m’a quittée. Elle a soi-disant rencontré quelqu’un d’autre qui lui apporte plus que je ne lui aie donné. »
Scorpia était à la fois terriblement peinée, mais tellement en colère contre celle qui venait de briser le cœur de sa sœur. Elle ne put cacher ses émotions.
— Je ne l’ai jamais aimée. Que je ne croise pas sa route, je… (Elle serra sa sœur aussi fortement contre elle comme pour contenir sa rage.) Je suis désolée que tu aies à vivre cela. Je suis là ma petite sœur. Je ne laisserai plus personne te faire du mal. J’espère juste que tu ne laisseras pas cette blessure t’empêcher d’aimer de nouveau. Tu mérites d’être aimée de la manière dont tu aimes les autres.
La fureur de Scorpia extirpa Jade de ses tristes souvenirs.
*******
La tension était palpable entre les deux sœurs.
« Je n’ai pas oublié, Scorpia, ce que tu m’as dit après m’avoir consolée. »
Mélissa arriva à ce moment-là, mettant un terme à la dispute.
« Kit vient d’arriver. »
Jade la rejoignit, laissant sa sœur avec sa mère.
— Ma chérie, tu n’aurais pas dû évoquer le nom de Grace. Te disputer avec ta sœur, n’arrangera pas les choses et ne la fera pas changer d’avis. C’est une adulte et elle prendra ses propres décisions. 
— Une adulte !!!! Avec ses rêves de folie !!! et… Elle ne devrait pas s’attacher à Kit de cette manière, en si peu de temps. Bon sang, maman, nous savons tous qu’un jour ou l’autre Kit partira et Jade sera blessée. (Scorpia ne pouvait apaiser sa colère.)
— Les sentiments ne se contrôlent pas et ne sont pas limités par le temps. Parfois ils nous entraînent instantanément, sans nous avertir. C’est la magie des relations humaines. Ni toi, ni moi, ne savons de quoi demain sera fait. (Melissa, s’adressait à sa fille, un regard apaisant, espérant atténuer sa colère.)
Scorpia laissa échapper un soupir « J’ai toujours été là pour réparer ses erreurs mais là, je ne pense pas que je le pourrais »
Melissa posa une main réconfortante sur l’épaule de sa fille « Scorpia, ma chérie, tu ne peux pas contrôler les sentiments de ta sœur. Quoi qu’il arrive, il est important que nous soyons là pour elle, que nous la soutenions, même si nous ne la comprenons pas complètement. Viens manger. »
« J’ai des choses à faire. »
*******
Le repas s’était déroulé dans une atmosphère conviviale mais l’absence de Scorpia était un rappel silencieux de sa dispute avec Jade.
Pendant que Kael avait déployé une carte de l’île sur la table, avec enthousiasme, il avait commencé à montrer à Kit tous les endroits magnifiques à visiter. Chacune des descriptions étaient remplies d’anecdotes, de détails fascinants et d’histoires personnelles. Ce qui rendait chaque lieu encore plus attirant.
Jade se glissa doucement dans la discussion, y apportant une touche de plaisanterie. Bien que le poids de la querelle avec sa sœur, pesait toujours dans son esprit. Elle aurait tant voulu partager cette ambiance chaleureuse avec elle. Lui montrer à quel point Kit était spéciale. Elle espérait qu’avec le temps, Scorpia apprendrait à la connaître et finirait par accepter sa présence.
« A force de lui raconter chacune de nos aventures sur cette île, Kit est avec nous jusqu’à l’aube. »
Kit esquissa un sourire et même le visage de Kael semblait s’adoucir. Il poussa un grognement : « Va aider ta mère à la cuisine. »
L’itinéraire que Kit avait minutieusement préparé pour Emma, était désormais déployé devant eux. Ses doigts suivaient délicatement les chemins tracés sur la carte, soulignant chaque endroit choisi avec soin par Emma, comme si elle pouvait sentir sa présence à travers eux.
Jade s’approcha doucement. Sa proximité, fit tressaillir Kit. Son cœur se mit à battre plus fort et son corps trembla de l’intérieur. Elle essaya de cacher ce conflit interne, ses sentiments pour Emma étaient encore bien vivants en elle.
« Tu sais, il y a tellement plus sur cette île que l’on ne peut voir sur une carte. Certaines des histoires les plus fascinantes restent cachées. Chaque lieu recèle un petit secret, une histoire qui attend d’être découverte. Tiens tout comme cet endroit. »
A l’instant même où Jade posa sa main sur la carte, proche de celle de Kit, cette dernière retira lentement la sienne, submergée par un sentiment d’attirance et de crainte. Elle s’interdisait de trahir son amour perdu.
Kael qui avait suivi la conversation en silence intervint. « C’est cela qui rend cette île si spéciale. Il y a une magie dans ses terres qui va bien au-delà des apparences. »
Kit se laissa aller à ses pensées : « Je comprends mieux la passion d’Emma pour cette île et son souhait de venir ici. »
Kael, étonné, allait intervenir lorsque Jade le stoppa d’un geste de la tête.
Au fur et à mesure que la conversation avançait entre Kit et Kael, la jeune femme se laissa emporter par une vague de nostalgie. Elle pensait à son père avec la douloureuse certitude qu’elle ne partagerait jamais ce genre d’expérience avec lui. Elle était à fa fois submergée par la détermination d’honorer la mémoire d’Emma mais aussi attristée par ce vide que son père avait laissé dans sa vie. Kael la ramena à la réalité.
— Jeune fille, j’espère que tout cela t’aidera pendant ton séjour parmi nous.
— Oui, merci pour votre aide.
— Jade, si tu amenais ton amie chercher sa voiture.
— Viens on y va.
*******
Lorsque les deux amies franchirent les portes de l’entrepôt de Boorman, l’air fut immédiatement empli d’odeur distincte de métal et de bois, un mélange d’arôme à la fois brut et riche. Cet endroit était un véritable labyrinthe de trésors. Toutes sortes d’objets, étranges et bizarres étaient empilés du sol au plafond. Des vieilles voitures déglinguées voisinaient avec des statues de l’Antiquité, des instruments de musique hors d’âge, des tableaux d’art et des tas d’autres curiosités insolites, dont certains objets cassés. C’était comme si les deux jeunes femmes venaient de pénétrer dans le musée des merveilles farfelues.
Ce qui captiva le plus Kit fut le nom de l’entrepôt inscrit en lettre majuscules manuscrites, au-dessus de l’entrée : « Le Bazar de Boorman. Tout ce que tu cherches. Boorman te le trouve. » Elle ne put s’empêcher de sourire en lisant ces mots.
— Quel est donc cet endroit Jade ? On dirait un lieu qui cacherait tous les trésors perdus de l’île.
— Tu n’es pas au bout de tes surprises. Attends de rencontrer le propriétaire.
Kit ne put résister à la tentation de toucher les objets étranges qui s’entassaient sur les étagères. Elle tendit sa main vers une vieille lanterne en cuivre, ses doigts glissant sur la surface usée, puis une boussole pirate ornée d’or, admirant la texture lisse sur sa peau.
Elle fut interrompue par une voix enjouée provenant du fond de l’entrepôt.
« Attention jeune demoiselle On touche avec les yeux, pas avec les mains, sinon qui sait ce qui pourrait vous arriver ! Chaque objet ici est magique. »
Boorman, l’homme derrière ce chaos artistique était tout aussi excentrique que son repaire. Il portait un chapeau haut-de-forme surmonté de lunettes rondes, vêtu d’un gilet maculé de taches de peintures, sa barbe et ses longs cheveux noirs lui conférant un air mystérieux et énigmatique.
« Bienvenues mesdemoiselles dans le sanctuaire de l’imprévisible. » Clama-t-il d’une voix qui raisonna dans tout l’entrepôt.
Boorman se dirigea vers elles en zigzaguant entre les montagnes d’objets. Il s’adressa à Kit : « Vous cherchez quelque chose en particulier, ou préférez-vous laisser le hasard vous guider. »
Kit et Jade échangèrent un regard amusé. L’endroit et le bonhomme étaient tellement farfelus qu’il était difficile de savoir si Boorman était sérieux ou pas. Mais Jade le stoppa dans son jeu : « Arrête Boorman. Elle est avec moi. On vient chercher la voiture. »
« Ha ok, tu es sûrement Kit. Suivez-moi. »
Il les mena à travers le labyrinthe d’objets insolites jusqu’au fond de l’entrepôt où se trouvait toute une collection de voitures anciennes.
Ils s’arrêtèrent devant une Jeep Wrangler de couleur vert pomme à l’intérieur orangé. Ce qui amusa Kit « Décidément vous aimez les voitures colorées. »
Boorman sourit largement, et d’un geste théâtral, lança les clés de la voiture à Kit : « Qu’elle t’apporte autant d’aventures que l’île elle-même jeune demoiselle. Et n’oublie pas, si tu as besoin de quoi que ce soit d’autre, Boorman est là pour te servir. »
Alors qu’elle s’apprêtait à monter dans le véhicule, quelque chose attira son attention. C’était une petite moto ancienne, une Honda Super Club C50 aux teintes gris-violet. Elle s’approcha de la moto, admirant le design. Elle pouvait sentir la rugosité légère de la peinture écaillée sous ses paumes, la douceur de la selle en cuir vieilli, toutes les irrégularités de l’usure qui témoignaient de nombreuses aventures passées. Ses mains s’enroulèrent autour du guidon, et elle ressentit la sensation familière du caoutchouc sur sa peau. Chaque contact avec la moto semblait éveiller une passion longtemps endormie en elle. L’odeur de la moto, mélange de vieilles huiles, de carburant et de métal était celle de l’aventure et de la liberté.
Elle leva la tête pour rencontrer le regard de Boorman, les yeux brillant d’enthousiasme « Elle est incroyable ! (S’exclama-t-elle) Une Super Club C50. Je me trompe ? »
Boorman hocha la tête, impressionné par la connaissance de Kit en matière de moto.
— Exact. Elle n’a pas roulé depuis des années. (Il fit une pause et reprit d’un ton réfléchi). Je te fais une offre. Si tu peux la remettre en état de marche, elle est à toi.
— Vraiment !
Elle fut tentée par l’offre mais elle se rappela qu’Emma refusait l’idée qu’elle fasse de la moto par peur de la perdre. Par amour, elle avait accepté mais la vie lui avait finalement pris Emma loin d’elle.
« Merci pour l’offre, mais je vais devoir la décliner. » Kit préféra respecter la décision de sa défunte compagne.
Avant que les filles ne quittent l’entrepôt, Boorman interpela Jade : « N’oublie pas la soirée de mercredi. On t’attend, avec ta sœur. » Déclara Boorman avec un clin d’œil malicieux.
Jade lui répondit, son sourire radieux illuminant son visage : « J’y serais. Impatiente de voir ce que tu nous prépares. »
Boorman tourna son regard vers Kit et s’adressa à elle : « Hé, jeune demoiselle, tu es la bienvenue également. »
Kit sourit mais garda le silence.
« Tchao Boorman » S’exclama Jade avant de partir.
Alors qu’elles se retrouvaient devant l’appartement de Kit, la rue baignait sous la douce brillance de la Lune, créant des ombres mystiques sur le trottoir. Le silence, brisé par les seuls sons des vagues sur le rivage, accompagnées du chant des animaux nocturnes.
Jade se tourna vers Kit avec un sourire amical : « Alors ! Cette voiture tu en penses quoi ? »
— C’est un véritable plaisir à conduire.
Avant que Jade ne la laisse, Kit l’interpela : « Merci, Jade pour cette journée, pour... La bienveillance et l’accueil de tes parents à mon égard. Merci pour tout. »
— Oh, ce n’est rien. C’est notre façon d’être. Allez, repose-toi, demain tu commences ton premier jour au restaurant. A demain. Passe une bonne nuit.
— Bonne nuit. A demain.
Seule chez-elle, Kit pensait à cette journée à la fois, sous le signe de la joie et de la tristesse. Elle avait passé des moments merveilleux aux côtés de Jade, mais elle ne pouvait s’empêcher de penser à l’absence d’Emma, ce vide dans son cœur qui lui était impossible de combler. Le doute s’immisça.
« Emma, ma douce, ces moments magnifiques, je les ai imaginés avec toi à mes côtés. Tu voulais qu’on vienne ici pour m’aider à panser mes blessures. Cette moto, pourrait m’apporter une once de liberté si j’acceptais l’offre de Boorman. Mais j’ai pris la bonne décision. Si tu avais rencontré ce personnage, non seulement tu aurais pensé qu’il venait tout droit d’un conte de fantasy mais sa façon d’être t’aurait aussi beaucoup fait rire. »
Cette journée lui avait fait découvrir la chaleur de l’amitié de Jade, la bienveillance de ses parents et même l’excentricité attachante de Boorman. Elle avait senti le poids de sa tristesse s’alléger légèrement. Elle s’allongea, ferma les yeux et s’endormit, laissant les souvenirs de ces instants se mêler à ceux d’Emma dans ses rêves.
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swedesinstockholm · 1 year
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19 mai
j’ai été sélectionnée pour la soirée et caetera à la bellone, je vais chanter rebeka rebeka sur scène, c’est le plus beau jour de ma vie. j’ai encore peur que ce soit une erreur et je m’attends à tout moment à recevoir un mail d’excuses pour m’annoncer qu’ils se sont emmêlés dans leur mailing list, je sais pas j’arrive pas à y croire, j’arrive pas à croire que je vais lire mon journal et chanter et parler de rebeka warrior sur scène et qu’on m’invite à le faire, qu’ils m’aient choisie moi plutôt que d’autres, que ça marche aussi avec mon écriture de non poésie, avec mes petites histoires tordues, avec mon écriture de journal pas sortie d’un cours de master en textes et création littéraire, pas déstructurée et imaginative, mon journal tel quel, et mes chansons. c’est le plus beau cadeau du monde. j’ai vraiment besoin de validation c’est incroyable. j’en suis affamée. je suis l’éternelle affamée, comme violette leduc. l’affamée de tout. je suis un trou, et j’ai besoin qu’on le remplisse. et pas dans le sens sexuel. je ne suis pas gorge bataille. comme j’avais besoin de partager ma joie avec quelqu’un d’autre que maman qui m’a demandé si je serais payée et... si c’était un métier de faire ça? j’ai écrit à r. elle a dit qu’elle essaierait de venir me voir. quand j’ai raconté à maman que j’avais adoré chanter ma petite chanson en jouant du clavier à genève et que je voulais à apprendre à faire de la musique, naïve que je suis, elle m’a tout de suite ramenée à trouver un VRAI travail pour pouvoir être autonome, et oui elle a pas tort, mais elle pourrait au moins se réjouir que j’aie enfin retrouvé de la joie de vivre et que je fasse des trucs? que je sois VIVANTE et que les choses ARRIVENT et que je travaille enfin sérieusement à sortir mes choses dans le monde. même si je gagne très peu d’argent avec.
o. l’ami de r. pensait que j’avais un vrai job à force de dire i have to work parce qu’il m’a demandé si c’était un job que je pouvais faire à distance et heureusement on a été interrompus par un de ses amis qui venait d’arriver avant que j’aie eu le temps de répondre et on est plus revenus dessus après, dieu merci. et dieu merci aussi personne dans le covoiturage aujourd’hui m’a demandé comment je gagnais ma vie à côté de l’écriture. j’en ai marre de l’argent. ça vient toujours tout gâcher. party pooper numéro un. o. a quarante ans et il devait commencer un nouveau job de vendeur de fruits et légumes sur le marché de plain palais. on a passé ma dernière soirée à genève avec lui, après avoir accompagné s. au bus, s. qui apparemment a un copain maintenant et r. ne comprenait pas parce que son cerveau doit fonctionner comme le mien, but she said last summer that she was 90% gay, i don’t understand. j’ai dit you know things happen sometimes, en pensant à r. d. et donc on a rejoint la fin d’une perf dans une station de tram et je me suis aperçu que je connaissais la moitié des gens, après tout ce temps passé à l’école de r. on a mangé un gros morceau de gâteau au chocolat à étages avec du glaçage mauve et jaune qui faisait partie de la perf qu’on a loupée et j’ai beaucoup écouté les conversations autour de moi et observé les gens, leurs looks, leurs poses. et puis on a rejoint le vernissage d’un de leurs amis dans un endroit où y avait que de l’art avec des machines et des iphones et des imprimantes 3D et de la technologie compliquée qui sert à rien et on a mangé de la raclette fabriquée par un robot au dernier étage entourés d’iphones qui écrivaient des messages tout seuls, c’était ridicule et j’ai du sortir sur la passerelle en fer qui donnait sur les toits dehors pour mes désintoxiquer les yeux un peu.
21 mai
chaque seconde doit être consacrée au scénario si je veux finir à temps. c’est une torture de travailler autant. vendredi dans le covoiturage je leur ai raconté toute l’histoire du début à la fin et quand ils m’ont dit au revoir sur le parking d’action ils m’ont dit qu’ils penseraient à moi le 12 juin. à un moment ils parlaient de spiritualité et ils me demandaient si c’était pas commun chez les artistes d’être spirituel et comme je savais pas quoi dire j’ai dit non pas spécialement, alors que je venais littéralement de faire une performance sur le taoïsme, mais j'avais vraiment pas le courage de me lancer dans une conversation là-dessus. à la limite, j’aurais pu leur chanter ma petite chanson dans laquelle je me demande quel goût a la limite de l’univers (du bleu d’auvergne? de la meringue à la réglisse? du moisi métallique?) je me demande si r. d. viendra ma voir chanter à la bellone. je lui enverrai tous les mauvais signaux en tout cas avec mes histoires de filles.
quand le mec qui conduisait m’a demandé pourquoi j’écrivais j’ai dit que c’était la meilleure façon que j’avais trouvée pour m’exprimer, parce que je suis très lente à articuler ma pensée à l’oral et que l’écriture correspondait mieux à mon rythme, comme ça, comme j’avais clarifié la chose depuis le début, je me suis dit qu’ils m’en voudraient moins si je participais pas trop à la conversation et que je faisais des réponses monosyllabiques. à un moment ils parlaient des bouddhistes qui faisaient des jeûnes de joie. peut être que je pourrais facilement me convertir au bouddhisme finalement. ça me parle cette histoire. le conducteur était éducateur spécialisé pour les enfants autistes et je mourais d'envie de lui poser des questions sur le diagnostic tardif et l’autisme non détecté chez les adultes, mais j’osais pas.
28 mai
de retour dans le lit où j’ai lu eva baltasar et comme à chaque fois je me demande ce que je fais là, mais la dernière fois que je me suis demandé ce que je faisais là j’en ai tiré un texte que je vais performer à bruxelles, alors qui sait ce que je vais sortir de cette semaine. un scénario terminé j’espère. j’ai de plus en plus de doutes, j’ai peur que l’histoire se tienne pas, que ce soit trop cousu de fil blanc que je veuille éduquer les enfants à l’é-co-lo-gie, que ce soit trop didactique, parce qu’en plus je viens d’introduire un nouveau personnage species non conforming inspiré de mes conversations avec a. qui est ni mouette ni phoque mais un mélange des deux et il est sensé représenter les non binaires, mais je sais pas à quel point le jury sera ouvert d’esprit. enfin j’ai surtout peur que ce soit mal fait. et puis j’en ai un peu marre d’écrire des dialogues.
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catherine-geoffray · 1 year
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31–05–23 J’ai prêté la maison de mes parents sur l’île - vendue il y a dix ans après la mort de mon père – à des amis venus avec leurs enfants encore adolescents. Un portail nous sépare du garage aménagé au fond du jardin et agrandi depuis, dans lequel je me suis installée avec ma famille. Depuis l’arrivée de mes amis, je n’ai pas encore ouvert le petit portail pour leur rendre visite. Alors que je m’apprête à le faire, l’ami vient à ma rencontre dans le jardin pour m’annoncer que sa femme et lui quittent l’île en nous laissant leurs enfants à surveiller. Ils ont besoin de se retrouver entre eux, prétend-il. Je suis estomaquée par leur sans-gêne. Après leur départ, je fais le tour de la maison que je découvre sens dessus dessous. Les jeunes dorment sur des matelas sans drap, sous des couettes sans housse et avec des oreillers sans taie. Les jouets sont sortis des armoires. En ouvrant la fenêtre côté rue, je découvre les boîtes de Lego éparses dans la ruelle. Je réalise aussi qu’avec les années, le trafic des voitures s’est beaucoup intensifié, heureusement amorti par les doubles vitrages nouvellement installés. Je demande aux garçons de ranger les Lego, mais ils renâclent. Ils ne voient pas le problème à les laisser dehors. Les filles sont tristes que leurs parents soient partis. Je me demande pourquoi on a vendu cette maison et de surcroît à une cousine avec laquelle je ne m’entends plus, pour ne garder qu’un garage agrandi au fond du jardin. J’éprouve un sentiment de perte irréparable.
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sofya-fanfics · 2 years
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Ce n’était pas mon intention
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Voici ma participation pour le Fictober 2022. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Natsu regarda Juvia qui se dirigeait vers Gray. Son visage s’était illuminé, comme à chaque fois qu’elle le voyait. Natsu fronça les sourcils. Son poing se serra. Pourquoi est-ce que ça lui arrivait ? Il n’avait jamais voulu avoir ces sentiments. S’il avait su ce qu’il se serait passé, il n’aurait jamais accepté cette mission.
Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.
AO3 / FF.NET
Natsu regarda Juvia qui se dirigeait vers Gray. Son visage s’était illuminé, comme à chaque fois qu’elle le voyait. Natsu fronça les sourcils. Son poing se serra. Pourquoi est-ce que ça lui arrivait ? Il n’avait jamais voulu avoir ces sentiments. S’il avait su ce qu’il se serait passé, il n’aurait jamais accepté cette mission.
Il y a trois semaines de cela, un village situé à quelques kilomètres de Magnolia avait passé une annonce pour engagé un mage de feu et un mage d’eau. Natsu et Juvia avaient répondu à cette annonce et tous deux, accompagnés d’Happy, étaient partis pour le village.
Leur mission avait duré deux jours. Pendant ces deux jours, ils avaient passé du temps ensemble et avaient combattu ensemble. Juvia faisait partie de Fairy Tail et de ce fait, elle était l’amie de Natsu. Il s’était promis de la protéger, comme il s’était promis de protéger tous les membres de la guilde. Mais c’était la première fois qu’ils se parlaient vraiment et qu’ils combattaient ensemble. En ce court laps de temps, Natsu avait découvert Juvia. Il avait remarqué ses sourires, ses yeux qui s’illuminaient, sa gentillesse, sa compassion, son grain de folie. Il s’était rendu compte qu’il aimait toutes les facettes de Juvia. Il avait fini par ce rendre compte qu’il était tombé amoureux d’elle.
« Natsu ! Natsu, tu m’entends ! »
Natsu fut ramené à la réalité par Happy qui volait devant lui. Il ne l’avait même pas vu arriver.
« Désolé Happy. Je n’ai pas entendu ce que tu disais.
-Ce n’est pas étonnant, tu étais occupé à regarder Juvia. Tu es amoureux d’elle où quoi ? »
Happy éclata de rire, mais il s’arrêta lorsqu’il vit que Natsu ne riait pas lui aussi. Il détournait le regard et rougissait. Happy écarquilla les yeux.
« Tu es amoureux d’elle ! »
Natsu mit sa tête dans ses mains et soupira bruyamment.
« Ce n’était pas mon intention. Ça m’est arrivé comme ça, sans que je m’y attende. »
Natsu releva le tête et Happy put voir le trouble qui l’habitait. Il était tombé amoureux de Juvia, mais elle était avec Gray et ils étaient heureux. Jamais Natsu ne pourrait trahir un ami. Et même si cela lui faisait du mal, il préférait taire ses sentiments.
« Natsu, dit tristement Happy. »
Natsu secoua la tête et sourit. Happy sut qu’il s’agissait d’un sourire forcé.
« Ne fais pas cette tête Happy. Je vais bien. Viens, on va voir ce qu’il y a comme annonces. »
Natsu se leva et se dirigea vers le tableau des annonces, suivit par Happy. Il devait sourire. Il devait aller bien et peut-être qu’un jour il aurait moins mal en voyant Juvia avec Gray.
Fin
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christophe76460 · 3 months
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✝️ S’il était accouru…
Marthe et Marie font prévenir Jésus que leur frère Lazare est gravement malade. Jésus est l’ami de la famille, et les deux sœurs sont sûres qu’il pourra le guérir. Elles comptent sur lui, il va certainement accourir… Or, chose incompréhensible, il ne vient pas. Le temps passe. L’état de Lazare s’aggrave, et il meurt… Plus d’espoir ! C’est trop tard !
Quand Jésus arrive enfin, Lazare est dans le tombeau depuis quatre jours. Marthe et Marie accueillent Jésus avec les mêmes paroles : “Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort”.
Est-ce par indifférence que Jésus n’est pas venu tout de suite ? Certes non ! Il se laisse conduire par Dieu son Père, qui a en vue quelque chose de plus grand qu’une guérison. Oui, Jésus arrive au moment voulu par Dieu. Et là, il appelle son ami, qui sort de la tombe, et manifeste sa majesté de Fils de Dieu (Romains 1, 4).
S’il avait agi comme Marthe et Marie le pensaient, elles auraient assisté à une guérison, et non à une résurrection. Quelle différence !
Nous aussi, amis croyants, traversons des difficultés, et nous prions ardemment que le Seigneur intervienne. Mais si rien ne se passe, nous sommes déçus… Le Seigneur trahirait-il notre confiance ? Pensons au récit de la résurrection de Lazare. Soyons certains que, si le Seigneur n’agit pas, ou pas tout de suite, il a ses raisons. Ce n’est jamais de l’indifférence ! Et sa réponse est au-dessus de nos pensées, elle est bien meilleure.
Bibles et Publications Chrétiennes
30 rue Châteauvert – CS 40335
26003 VALENCE CEDEX FRANCE
+33 (0)4 75 78 12 78
La bonne semence, 17 juin 2024
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yes-bernie-stuff · 3 months
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Lundi 17 juin 2024
Après avoir entendu que Lazare était malade, [Jésus] demeura encore deux jours au lieu où il était.
Jean 11. 6
À son arrivée, Jésus trouva que Lazare était déjà depuis quatre jours dans le tombeau… Marthe dit à Jésus : Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.
Jean 11. 17, 21
S’il était accouru…
Marthe et Marie font prévenir Jésus que leur frère Lazare est gravement malade. Jésus est l’ami de la famille, et les deux sœurs sont sûres qu’il pourra le guérir. Elles comptent sur lui, il va certainement accourir… Or, chose incompréhensible, il ne vient pas. Le temps passe. L’état de Lazare s’aggrave, et il meurt… Plus d’espoir ! C’est trop tard !
Quand Jésus arrive enfin, Lazare est dans le tombeau depuis quatre jours. Marthe et Marie accueillent Jésus avec les mêmes paroles : “Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort”.
Est-ce par indifférence que Jésus n’est pas venu tout de suite ? Certes non ! Il se laisse conduire par Dieu son Père, qui a en vue quelque chose de plus grand qu’une guérison. Oui, Jésus arrive au moment voulu par Dieu. Et là, il appelle son ami, qui sort de la tombe, et manifeste sa majesté de Fils de Dieu (Romains 1. 4). S’il avait agi comme Marthe et Marie le pensaient, elles auraient assisté à une guérison, et non à une résurrection. Quelle différence !
Nous aussi, amis croyants, traversons des difficultés, et nous prions ardemment que le Seigneur intervienne. Mais si rien ne se passe, nous sommes déçus… Le Seigneur trahirait-il notre confiance ? Pensons au récit de la résurrection de Lazare. Soyons certains que, si le Seigneur n’agit pas, ou pas tout de suite, il a ses raisons. Ce n’est jamais de l’indifférence ! Et sa réponse est au-dessus de nos pensées, elle est bien meilleure.
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