#jules supervielle
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È tutto quello che avremmo voluto fare e non abbiamo mai fatto, È chi ha voluto prendere la parola e non ha trovato la parola giusta, Tutto quello che se ne è andato senza rivelarci il suo segreto, Quello che possiamo toccare e persino scavare con il ferro senza mai raggiungerlo, Quello che si è fatto onde e poi ancora onde perché si cerca senza trovarsi, Quello che è diventato schiuma per non morire del tutto, Quello che si è trasformato in scia di qualche secondo per il gusto fondamentale dell’eterno, Quello che avanza negli abissi e non salirà mai in superficie, Quello che sale in superficie e teme gli abissi, Tutto questo e altro ancora, Il mare.
Jules Supervielle
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Mais l’étoile 💫 se dit:
“Je tremble au bout d’un fil. Si nul ne pense à moi je cesse d’exister”
Jules Supervielle
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BAJO ALTA MAR
Los peces de los abismos, a falta de ojos y párpados, la luz fueron a inventar en sus corazones huérfanos.
Y de tal, burbuja envían, lejos de días y de años, hacia el haz por donde corren oceánicos destinos.
Un navío se va a pique, el tumbo cubre el humero, y el casco hendido por medio deja la caldera al aire.
De una cámara en el fondo, una linterna tiznada bate cerrada lumbrera frente a los peces nocturnos.
*
SOUS LE LARGE
Les poissons des profondeurs Qui n'ont d'yeux ni de paupières Inventèrent la lumière Pour les besoins de leur coeur.
Ils en mandent une bulle, Loin des jours et des années, Vers la surface où circule L'océane destinée.
Un navire coule à pic, Houle dans les cheminées, Et la coque déchirée Laisse la chaudière à vif.
Dans le fond d'une cabine Une lanterne enfumée Frappe le hublot fermé Sur les poissons de la nuit.
Jules Supervielle
di-versión©ochoislas
#Jules Supervielle#literatura francesa#poesía surrealista#bajo el mar#naufragio#abismo#luz#reclamo#di-versiones©ochoislas
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L’ESPÉRANCE
Dans l’obscurité pressentir la joie,
Savoir susciter la fraîcheur des roses,
Leur jeune parfum qui vient sous vos doigts
Comme une douceur cherche un autre corps.
Le coeur précédé d’antennes agiles,
Avancer en soi, et grâce à quels yeux,
Éclairer ceci, déceler cela,
Rien qu’en approchant des mains lumineuses.
Mais dans quel jardin erre-t-on ainsi
Qui ne serait clos que par la pensée?
Ah pensons tout bas, n’effarouchons rien,
Je sens que se forme un secret soleil.
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Gravitations (Jules Supervielle, 1925).
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Το ποίημα της εβδομάδας 12/7
[Πίσω απ’ αυτόν τον αβέβαιο ουρανό…] —Jules Supervielle— Μετάφραση: Τάσος Κόρφης Πίσω απ’ αυτόν τον αβέβαιο ουρανό κι αυτήν τη γκρίζα θάλασσα που η καρένα της πλώρης ανόρεχτα κολπώνει, πίσω απ’ αυτόν τον κλεισμένο ορίζοντα είναι η Μπραζίλια* με όλους τους παλμούς της, με τις πληθωρικές μπανανιές που μπερδεύουν τα φύλλα τους όπως οι ελέφαντες τις αιωρούμενες προβοσκίδες τους, τους πυραύλους των…
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Si tu ne me saisis pas bien
Soyons taciturnes ensemble
Que mon secret touche le tien
Que ton silence me ressemble.....✨🪽
Jules Supervielle
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Cependant que j'écris un géant m'examine
Et voit les mots-fourmis cheminer hors de l'âme.
Il est tout près, j'entends le tic-tac de son crâne
Toutes les fois que sur mes songes il s'incline.
/ Jules Supervielle
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Ce qu'il faut de nuit
Au dessus des arbres,
Ce qu'il faut de fruits
Aux tables de marbre,
Ce qu'il faut d'obscur
Pour que le sang batte,
Ce qu'il faut de pur
Au cœur écarlate,
Ce qu'il faut de jour
Sur la page blanche,
Ce qu'il faut d'amour
Au fond du silence...
Jules Supervielle
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Certaines de mes oeuvres francophones préférées :
Les Misérables, Quatrevingt-treize (Victor Hugo) Nadja (André Breton) Les chants de Maldoror (Lautréamont) L'enfant de la haute mer, Le forçat innocent, Les amis inconnus (Supervielle) L'automne à Pekin, L'écume des jours (Boris Vian) Antigone (Anouilh) Le misanthrope, Dom Juan (Molière) Cyrano de Bergerac (Edmond Rostand) Ondine, La guerre de Troie n'aura pas lieu (Giraudoux) La bête humaine, Germinal, Au bonheur des dames (Zola) Manuel de savoir-vivre à l'usage des rustres et des malpolis (Desproges) Le Horla (Maupassant) Claudine à l'école, Claudine à Paris (Colette) L'oeil du loup (Daniel Pennac) De cape et de crocs (Ayroles / Masbou) Comment Wang-Fo fut sauvé (Marguerite Yourcenar) L'île mystérieuse, 20000 lieues sous les mers (Jules Verne) Les fleurs du mal (Baudelaire) L'arbre à soleils (Henri Gougaud) La passe-miroir (Christelle Dabos) Les dingodossiers (Goscinny / Gotlib) Malpertuis, Les derniers contes de Canterbury (Jean Ray) Archives des anges (Alix de Saint-André) Du domaine des murmires (Carole Martinez) A la mystérieuse, Fortunes (Robert Desnos) Les animaux dénaturés, Contes des cataplasmes (Vercors) Sambre (Yslaire) 38 mini-westerns avec des fantomes (Mathias Malzieu) Les liaisons dangereuses (Laclos) Alcools (Apollinaire) Chansons (Maeterlinck) Gaspard de la nuit (Aloysius Bertrand) Mémoires de Louise Michel écrits par elle-même (Louise Michel) Romancero aux étoiles (Jacques Stephen Alexis)
Aaaah y’en a tellement !! Merciiii!
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Je dois préparer un cours en 5ème et je découvre Jules Supervielle, avec L'Enfant de la haute mer et c'est trop trop joli.
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Oiseaux, Jules Supervielle
Anthologie des poètes contemporains
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CIELO ABIERTO a Etiemble
Montaba un caballo por campo celeste y me iba afondando en fuegos del día. Todo me era franco, sin entender iba; más era navío antes que caballo; más era deseo antes que navío; era tal caballo como no se ven: testa de corcel, capa de delirio, viento que relincha tendiéndose vasto. Y yo cabalgaba haciendo señales: «Seguid mi camino, conmigo venid, mis buenos amigos, serena es la vía, abierto está el cielo. ¿Más quién así habló? Me pierdo de vista en tal altitud —¿no me discernís?—, yo soy aquél que hablaba hace nada, ¿pero soy yo quien ahora mismo habla? ¿y vosotros también, sois también los mismos? Uno a otro cancela, mudando en ascenso».
*
PLEIN CIEL à Etiemble
J'avais un cheval Dans un champ de ciel Et je m'enfonçais Dans le jour ardent. Rien ne m'arrêtait J'allais sans savoir, C'était un navire Plutôt qu'un cheval, C'était un désir Plutôt qu'un navire, C'était un cheval Comme on n'en voit pas, Tête de coursier, Robe de délire, Un vent qui hennit En se répandant. Je montais toujours Et faisais des signes : « Suivez mon chemin, Vous pouvez venir, Mes meilleurs amis, La route est sereine, Le ciel est ouvert. Mais qui parle ainsi ? Je me perds de vue Dans cette altitude, Me distinguez-vous, Je suis celui qui Parlait tout à l'heure, Suis-je encore celui Qui parle à présent, Vous-mêmes, amis, Êtes-vous les mêmes ? L'un efface l'autre Et change en montant ».
Jules Supervielle
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#Jules Supervielle#literatura francesa#poesía surrealista#cabalgada#ascenso#cambio#di-versiones©ochoislas
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