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UBICOM honorée pour son engagement digital : Une reconnaissance du RIJ lors du Prix PAXSAHEL
UBICOM honorée pour son engagement digital : Une reconnaissance du RIJ lors du Prix PAXSAHEL
Le vendredi 13 décembre 2024, lors de la 8e édition du Prix PAXSAHEL pour le journalisme sensible aux conflits, le Réseau d’Initiative de Journalistes (RIJ) a décerné une attestation de reconnaissance à UBICOM pour sa contribution à la création et à la maintenance du site web http://www.paxsahel.com. Cette distinction reflète notre engagement à fournir des solutions digitales innovantes pour des…
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HISTOIRE/ACTU | Avenir de la presse : pertes d’indépendance et d’intégrité pressenties en 1923 ➽ http://bit.ly/Avenir-Presse Déplorant l’omniprésence d’une presse achetée par les annonceurs et devenue « maison de commerce » au détriment des qualités d’indépendance et d’intégrité du journalisme de jadis qui forçait le respect, Adolphe Brisson, directeur des Annales politiques et littéraires, entrevoit en 1923 l’avènement prochain d’une activité journalistique « industrielle »
#avenir#presse#perte#indépendance#intégrité#information#journalisme#journalistes#commerce#annonceurs
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🇵🇸 🇮🇱 Gaza
92 journalistes tués dans des attaques israéliennes depuis le 7 octobre 2023 !!!!
https://www.aa.com.tr/fr/monde/gouvernement-de-gaza-92-journalistes-tu%C3%A9s-dans-des-attaques-isra%C3%A9liennes-depuis-le-7-octobre-/3084933
#israel is a terrorist state#israeli apartheid#israel is an apartheid state#israeli war crimes#israeli occupation#israeli colonialism#israeli crimes#israel crimes#war crimes#war criminals#crimes against humanity#crimes de guerre#israel apartheid#israel occupation#journalistes#journalisme#journaliste#palestinian lives matter#stand with gaza#stand with palestine#i stand with palestine#genocide in palestine#genocide in gaza#gaza under genocide#gaza under attack#palestine under genocide#palestine under attack#gaza genocide#palestine genocide#palestine
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REM, Murmur and Carnival of Sorts, Live 1 983 (USA)
Absolument (le son du live 1 est moins bon que celui du 2).
Ca fait toujours bizarre de voir Stipe avec ses superbes cheveux...
Murmur est très particulier dans la discographie du groupe, production extrêmement nette et sans fioritures, avec une basse qui sonne magnifiquement et est très audible, quasiment comme dans Violent Femmes.
Mike Mills est probablement un des meilleurs bassistes des 80's, sinon plus. Son jeu au médiator est ce qui donne ce son, en plus de la marque de sa basse.
Comme le dit ce remarquable texte anglais de Decade 7787, l'histoire de la production du disque est intéressante puisque le groupe a cessé la collaboration avec le 1er producteur, jugé trop perfectionniste.
Basile Pesso, 13 avril 2 024 avec le double live (Fb)
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"On this date in 1983, R.E.M. released their debut studio album MURMUR, (April 12, 1983).
NOTE: The video here features RADIO FREE EUROPE from MURMUR and CARNIVAL OF SORTS (the third song on the band's 1982 debut EP Chronic Town)
40 years after its original release, MURMUR is still fascinating in its eerie sense of musical space.
Back in 1983, REM were most often compared to the Byrds, and thanks to Peter Buck's ringing guitar on songs like ‘Talk About The Passion’, ‘Catapult’, or ‘Sitting Still’, along with Michael Stipes' lead vocals over soaring harmonies, it was easy to see why.
But that was merely one influence, and a misleading one at that, because with no one source dominating, R.E.M. faintly recalled a host of mid-'60s L.A. bands from The Leaves to "underground” faves like Kaleidoscope, David Lindley's first band. R.E.M. might have thoroughly transformed their influences but the result sounded both familiar and wholly original.
Murmur's oddness was affecting because it wove itself around structures and riffs that sounded familiar – a strange system hum, for instance, winds itself up into the catchiest opener, RADIO FREE EUROPE.
In these efforts, Buck's guitar solos were capable of breaking through the mix and soaring, and any band that could come up with melodies this rich knew a thing or two about pop music.
The lyrics, however, were a flight of ideas from the mind of a meditative 23-year-old. Trying to unravel them, it still feels as though you're divining the deepest of riddles for meaning.
“Early sessions for the album with Stephen Hague, the synth-pop producer who later worked on New Order's True Faith, were quickly rejected, and American producers Mitch Easter and Don Dixon were brought in instead,” wrote Jude Rogers for Word in 2009.
“They seemed to understand that although REM had the rhythms of rock, the jangle of the Byrds and the raw grit of Gang Of Four in their belly, they also needed to create a sound-world of their own. Easter and Dixon brought in strange noises – bangs and bells — and recorded instruments at varying distances from the microphone, so you couldn't place where the ghostly figures were coming from.”
“At the album's centre point, like a pearl in an oyster, is a song that tells us as much about REM today as the REM that existed a quarter of a century ago. This is 'Perfect Circle', a masterpiece of simple melody and melancholy, and one of the few REM songs to be attributed mainly to the band's former drummer, Bill Berry, who also wrote most of 'Everybody Hurts'.”
#basile pesso#decade 7787#art#music#musique#pop music#rock music#indie rock#emotions#émotions#gifts#cadeaux#magic#magie#écrivains#writers#écrivains sur tumblr#journalisme#journalistes#journalistes sur tumblr#technique musicale#yes we are magazine#masters#contenu original
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JOURNALISM 101-
By Bernard Bujold -
The purpose of journalism is to get the story!
People love and need real reporting, but reporters have decided their job is something other than getting the story.
SEE COMMENTARY FROM THE WALL STREET JOURNAL
JOURNALISME 101-
Par Bernard Bujold -
Le but du journalisme est d'obtenir l'information !
Les gens aiment et ont besoin de vrais reportages, mais les journalistes ont décidé que leur travail consistait à autre chose qu'à obtenir l'information.
VOIR LE COMMENTAIRE DU WALL STREET JOURNAL
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"Ça n'est pas ce que j'ai dit" : Louis Fouché, les masques et les enfants
Je vais vous causer de l'art de déformer ses propres propos.
Regardez ce petit extrait vidéo. Louis Fouché s'était rendu à une conférence en Suisse. Et plus tard, une journaliste de la RTS (TV publique suisse), spécialisée dans le fact-checking, l'avait interviewé.
En fait, je vous invite carrément à regarder toute l'émission. Ils parlent du masque et des propos de Louis Fouché à partir de 00:04:00 :
Le coup là, c'est un GRAND CLASSIQUE.
Déformer ses propres propos.
Je remarque ça souvent chez les comploplos et les désinformateurs de tout poil.
Tenir un propos.
Ensuite déformer le propos en question.
Parfois c'est parce qu'entre-temps, les faits ont mis en évidence à quel point le propos était une connerie pure. Parfois c'est parce qu'on a un discours pour les fans hardcore et autre discours pour le grand public. On appelle ça "la motte castrale". J'avais fait un article de blog là-dessus.
Ce petit billet, c'était surtout pour attirer votre attention sur ce mécanisme que je vois souvent passer, consistant à réécrire l'histoire, réécrire sa propres histoire, plutôt que d'assumer ce qu'on a dit.
Et il n'y a pas de nom, à ma connaissance, pour ce mécanisme.
Quand on déforme les propos de l'autre pour mieux le démolir, on a l'expression "homme de paille". Mais quand on déforme ses propres propose pour mieux les défendre, il n'y a pas de mots pour désigner ça.
Et sinon, il y aurait bien-sûr pas mal de trucs à dire juste sur cette petite séquence. Notamment la question de la peur. Les comploploplos, dont Louis Fouché, aiment bien dénoncer les "discours de peur"... Tout en diffusant des discours de peur.
La journaliste le fait bien remarquer le discours de la peur, sur ce cas présent. Si on accorde du crédit à ce que Louis Fouché dit sur les accouchements, les enfants et les masques chirurgicaux, et bien c'est super flippant.
Mais bon, pas de quoi flipper en fait.
Vu que c'est pas ce qu'il a dit.
Hein ?
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They called Simon WHAT in the french version ?????!
#jack lamenoire.............. c'est trop pour moi 😂😭#athena qui dit 'c'est parti mon kiki' et l'etudiante en journalisme qui s'appelle Lafouine c validé cependant#detective Fullbright qui devient Brillant c hyper drole en vrai ça aussi j'accepte.. shiny king ✨✨#mais blackquill restera Jacques Sombreplume dans mon coeur raf de ce que Capcom me dit 🤓#simon blackquill#al talks#(short context - AA5 trailer dropped for the french localization and with it comes name changes. i did Not expect some of them)
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The Kills, jeu dévoué
La série de photographies intitulée Dogs Chasing My Car in the Desert, réalisée entre 1996 et 1998 par l'artiste américain John Divola, capture l'instant pendant lequel des chiens poursuivent sa voiture lancée à pleine vitesse sur une route désertique de la Californie du Sud. Toute la puissance existentielle de cette série tient précisément dans la fugacité du moment saisi, celui où le chien atteint la fenêtre du conducteur pour capter son regard, dans l'espoir vain de rattraper la voiture. À propos de ces photographies, John Divola déclare : « Contempler un chien poursuivant une voiture invite à de nombreuses métaphores et juxtapositions : la culture et la nature, le domestique et le sauvage, l'amour et la haine, la joie et la peur, l'héroïsme et l'idiotie. Ici, nous avons deux vecteurs et deux vitesses, celle d'un chien et celle d'une voiture et, étant donné qu'un appareil photo ne capturera jamais la réalité et qu'un chien n'attrapera jamais une voiture, c'est la preuve d'une dévotion à une entreprise sans espoir. »
John Divola, D05F23 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
John Divola, D10F15 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
The Kills ont toujours fonctionné en double et en antagonisme. Alison Mosshart et Jamie Hince sont les deux faces d'une même pièce. C'est la tension entre l'isolement et le désir qui est leur moteur de création. La juxtaposition des opposés – domestique et sauvage, héroïsme et idiotie, joie et peur – est manifeste jusque sur la pochette de God Games, où matador et taureau s'affrontent.
À l'écoute de ce disque, le temps passe à une vitesse folle. C'est le temps d'un regard à 130 km/h derrière soi pour y apercevoir un animal à bout de souffle. Non pas parce que ses chansons sont courtes, mais parce qu'il n'y a rien d'aussi immédiatement obsédant que dans Keep On Your Mean Side, No Wow, Midnight Boom, ou même Blood Pressures et Ash & Ice (qui s'essoufflait déjà parfois). Bien sûr, les premiers morceaux des Kills visaient plus juste par leur proximité avec l'ethos DIY, un beat rustique sur une boîte à rythmes bâtarde, un riff à la manière d'un bluesman aveugle, des paroles crachées avec droiture et l'urgence punk dans la voix. Écouter Keep On Your Mean Side, c'est comme lire un fanzine trouvé à prix libre dans une cave où joue un concert de garage rock en 1997 : Xerox ou 4-pistes, même combat.
L'album God Games, lui, fait plutôt l'effet de séquences de films contemplatifs, se voulant artistiques et en marge des tendances, mais avec un très bon budget alloué au montage. Ce qu'il y gagne en production, il le perd en expressivité personnelle et en saleté sincère. Dans un paradoxe un peu fâcheux, les premiers singles révélés cet été, New York, LA Hex et 103, distillaient jusqu'au gimmick toute la substance de leur univers garage et indie rock, sans produire cet effet accrocheur des anciens tubes. Il y a ici de bonnes idées et quelques fulgurances mais, à rebours du récit promotionnel vendu par le label et le groupe lui-même dans les nombreuses interviews récemment données à la presse, qui promet un changement de son, une liberté absolue et une approche expérimentale de la composition, il est intéressant de constater que les meilleurs morceaux de l'album – j'entends par là, les plus réussis soniquement, ceux dans lesquels on entend l'aisance technique, la facilité de l'habitude – sont ceux qui sonnent comme leurs précédents morceaux.
En cela, la deuxième partie de l'album, de Wasterpiece à Better Days, se réécoute avec plaisir, rappelant les beaux jours de Ash & Ice. Et les chœurs gospel de LA Hex sont une réminiscence des chœurs de Satellite. Mais les synthés, les orgues et le mellotron, ce clavier polyphonique vintage, étaient aussi déjà en usage dans Blood Pressures. Quant aux paroles d'amour-haine, poèmes haletants où tendresse et violence se confondent, histoires d'amours et d'errances qui puent l'essence, elles ont toujours été la pulsation de leur son. Difficile de comprendre en toute bonne foi où se situe le potentiel infini de possibilités musicales dans le processus d'écriture de ce nouvel album, dont le duo parlent pourtant régulièrement. Et la ligne entre référence et paresse de se troubler progressivement. L'adage des Kills, incandescents, qui est de ne jamais regarder en arrière, sonne faux.
Il est des groupes qui mettent des années à trouver leur son, ou bien des artistes dont la signature est justement l'identité caméléon, toujours en mouvement. The Kills, quant à eux, ont trouvé leur signature sonore dès leur rencontre en 2001, scellée par le pacte de ne plus jamais se quitter et de se consumer ensemble par la musique.
Je n'ose pas parler de confort, pourtant il y a toujours eu un peu de cela dans leur musique. C'est d'ailleurs bien ce qui a contribué à créer la formule magique du duo : le confort musical de ce « vieux couple marié » (ce sont les mots de Jamie Hince), c'est la complicité évidente, totale et fusionnelle dès les débuts, alors qu'Alison et Jamie se connaissaient à peine.
Alors, maintenant, quoi ?
Dans la langue anglaise, le proverbe 'to be like a dog that caught the car' désigne quelqu'un ayant atteint son but et ne sachant pas quoi faire de cette victoire. C'est une course vide de sens : le chien n'est pas censé rattraper la voiture. Cette « dévotion à une entreprise sans espoir » dont parle John Divola, c'est peut-être ce qui constitue le moteur créatif des musicien.ne.s, ce point de fuite imaginaire destiné à aider un groupe à construire son œuvre en perspective. Pour mieux s'en affranchir ensuite.
Il me semble que la musique des Kills en 2003 contenait infiniment plus de matière expérimentale et de liberté de création que celle de 2023 engluée dans sa narration de fausse naïveté magique. Comme s'il n'y avait plus rien à raconter au monde. Que faire quand on a déjà atteint la voiture vingt ans plus tôt ? Admettre de ne pas avoir su se renouveler n'est pas gage d'agonie, ce n'est même pas une faute. The Kills peuvent bien poursuivre leurs aventures de rock crade-classe, d'élégance musclée et arty bien à eux (d'aucuns parlent de posture, je ne suis pas de ceux-là, je crois leurs origines punk sincères), leur avenir y est faste. Il n'est pas besoin de maquiller ses intentions, ses faiblesses ou sa constance derrière une légende marketée quand la musique leur colle autant à l'âme.
Originally written for Dans Ta Face B, November 2023.
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Daaaaaali ! Quentin Dupieux
Chronique d'un film loufoque et drôle !
FAN-TAS-TI-QUE aurait ponctué Daaaaaali en visionnant le film de Quentin Dupieux ! Que ces deux-là étaient faits pour se rencontrer ! Absolument pas autobiographie, mais un vrai hommage à ce comédien, cet hurluberlu narcissique, mégalomane mais complètement esseulé que fut cet artiste prodigieux ! Jeune journaliste (Anaïs Demoustier) décide de réaliser une interview de Daaaaaali qu’elle…
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La leçon d’Anna Politkovskaïa tient en un message : il est impossible de se taire. Chacun doit établir la vérité, en analysant les faits et en suivant ses propres principes humains et éthiques. C’est la seule voie pour ne pas laisser la violence occuper tout l’espace public et privé. Combattre la violence et les abus où qu’ils soient, chaque jour. Résister.
Marie Mendras - Journalistes en Russie
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🇬🇷Sujet du prochain article : La Grèce ! 🇬🇷
Il est en cour de préparation...✏
⭐Et en bonus, tout les endroits à ne pas manquer!⭐
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HISTOIRE/ACTU | Presse et politique, ou l’illusion du « quatrième pouvoir » ➽ http://bit.ly/Presse-Politique La « République des camarades », pétrie de connivences et de collusions : un monde de copains et de coquins, sur fond de mercantilisme et de fabrication de l’opinion publique
#presse#politique#illusion#pouvoir#polémiste#Jouvenel#République#camarades#connivences#collusions#magistrature#journalisme#intérêt#argent#gouvernement#mercantilisme#fabrication#opinion#publique
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Le génocide en cours à Gaza a coûté la vie à 92 journalistes palestiniens !
#journalistes#journalisme#journaliste#israel is a terrorist state#israeli apartheid#israel is an apartheid state#israeli war crimes#israeli occupation#israeli crimes#israel crimes#israel war criminal#israel war crimes#genocide in palestine#genocide in gaza#gaza under attack#gaza under genocide#palestine under attack#palestine under genocide#gaza genocide#palestine genocide#i stand with palestine#stand with palestine#stand with gaza#gazaunderattack#free gaza#gazaunderfire#save gaza#gaza#palestine will be free#free palestine
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De la Good News, Du Crash Douteux et De la Boule Bleue.
Dès le commencement des exactions de "l'armée la plus morale du monde" (TM) des dieux de la Terre qui suivirent les massacres et viols du Hamas de début octobre, j'alertai, chiffres et explications détaillées à l'appui.
Mes explications s'appuyaient sur des années de travail sur l'extrémisme juif, en particulier le kahanisme, suprémacisme violent et expansionniste.
Les tarés usuels me harcelèrent, niant les faits, les bilans des victimes, la situation des habitants palestiniens, l'existence du peuple palestinien.
Pas une once d'humanité dans leur haine délirante face aux chiffres très impressionnants.
Je parlai de génocide dès le départ. Harcèlement, bien évidemment.
Netanyahu n'est qu'un élément. Il y a des cinglés finis à la pisse côté Israël et côté Palestine, plus leurs alliés notamment iraniens.
Ne CHERCHEZ PAS à me foutre dans un camp ou dans l'autre, je suis "ni keffieh ni kippa".
Les événements s'accélèrent...ce mandat est émis le lendemain de l'"accident" d'hélico du président iranien Raïssi, qui est mort avec son ministre des Affaires Etrangères et le principal imam iranien, un jour de Pentecôte, dans un "accident" qui rappelle celui d'Habyarimana en 1 994, attentat qui déclencha le génocide rwandais.
Les faits ont eu lieu alors que le trio de pontes venait inaugurer un barrage en Azerbaïdjan. Ce pays, est, comme je l'ai écrit en 2 020 au sujet des affrontements arméno-azéris, un fort allié d'Israël et un pays à forte communauté juive.
3e fait bien spécial, une boule de feu BLEUE a traversé le ciel portugais et fut vue jusqu'en Espagne. Je vous suggère également de regarder la lune et de "bien étranges variations" depuis 3 semaines, et de penser à l'éclipse solaire totale récente, ainsi qu'aux aurores boréales dans de nombreux pays.
Cela dit, qui diable suis-je pour avoir des "infos spéciales" sur ces infos ? Le clampin moyen, le taré du coin. Faites pas attention.
En vous souhaitant, m'sieurs dames, la belle journée, ou ck'il en reste.
Et méfiez-vous des contrefaçons.
Basile Pesso, 20 mai 2 024 (Fb) Avec post d'Elodie Guérandet sur le mandat d'arrêt international contre Netanyahu
#basile pesso#journalisme#onu#journalistes#écrivains#écrivains sur tumble#moyen-orient#politique#contenu original#analystes géopolitiques#israël#palestine#iran#azerbaïdjan#phénomènes étranges
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📌[ÉCHO] Envolez-vous ! ✈️ La compagnie Air France vient de célébrer son 90ème anniversaire d’existence. Une épopée très française 🇫🇷 mise à l'honneur et racontée dans le numéro 10 du journal📰 Embarquements.
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Photographies 📸 Agence Zeppelin
Récit 🖋️ Stéphane Dugast
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L'HISTOIRE 👁️🗨️ Le 7 octobre, la compagnie aérienne a fêté ses 90 ans d’existence : près d’un siècle d’innovations technologiques et d’élégance, dans le ciel comme au sol. Depuis ses origines, Air France a toujours vanté l’art de vivre à la française et cultivé d’étroites relations avec le monde des arts, dans une histoire émaillée de rebondissements, d’envols et de turbulences.
Voici les coulisses de cette étonnante saga. Immersion des entrailles de la cité du personnel navigant (PN) au toit des Galeries Lafayette via le tarmac de Paris Aéroport - Charles de Gaulle.
💫 Un reportage à découvrir en une et dans le numéro 10 du journal Embarquements. Pour s'abonner 👉 www.embarquements.com
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entrée au gymnase ou sont sensibiliser les 6eme au para judo
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