#jean-marie minguez
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From Carabosse by Jean-Marie Minguez
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Amazing-Man, créé par Bill Everett (avec Lloyd Jacquet ?) pour Centaur Publications en 1939, est un super-héros américain mais français d’adoption. En effet, il fait partie de ces héros appartenant au domaine public, et il a donc été repris en France pour le projet Centaur Chronicles, de Jean-Michel Ferragatti et Patrice Martinez, qui remet en valeur les personnages de Centaur Publications. Amazing-Man, alias John Aman, est un orphelin occidental élevé au Tibet et entraîné à devenir surhumain. Dessin de Jean-Marie Minguez.
#amazing-man#centaur chronicles#bill everett#jean-michel ferragatti#Patrice Martinez#1939#Centaur Publications#fg prod#jean-marie minguez#John Aman
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A rather impressive Douglock by Jean-Marie Minguez...
Source - http://www.comicartfans.com/gallerypiece.asp?piece=1272082
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Soirée à la ludo-médiathèque de Cenon, avec les retrouvai l'es face à Nidavellir, de Serge Laget et Jean-Marie Minguez, chez @grrregames et découverte de Living forest, de Aske Christiansen et Apolline Étienne chez @ludonaute.games un bon jeu, fluide et compétitif, qui m'aura fait penser au récent Meadows, mais avec une meilleure dynamique. A la table voisine, j'ai vu passer un Frutopia, qu'il faut vraiment que j'essaie,! Merci pour l'organisation, @jeu_vous_salut ! #jds #jeudesociété #j2s #brettspiel #giochidatavolo #juegodemesa #boardgames #jeudesociete #patatedestenebres (à Ludo Médiathèque-CENON) https://www.instagram.com/p/CYviucdoN5M/?utm_medium=tumblr
#jds#jeudesociété#j2s#brettspiel#giochidatavolo#juegodemesa#boardgames#jeudesociete#patatedestenebres
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Jean-Marie Minguez
Aujourd’hui j’ai l’honneur d’interviewer Jean-Marie Minguez, illustrateur de jeux, de bandes dessinées et de livres parmi d’autres choses. Question jeux de société, il a notamment illustré Nidavellir chez Grrre Games, Mare Nostrum chez Asyncron, M. jack pocket chez Hurrican games ou encore Rapid city chez Bad Taste games.
Salut Jean-Marie! Un énorme merci d’avoir accepté cette interview, j’avoue que dès que j’ai vu tes illus sur Nidavellir, j’ai eu envie de l'interviewer et de te rencontrer. Je pense que mes lecteurs commencent à comprendre à quel point je suis attaché aux illustrations d’un jeu, étant moi même un grand amateur de BD. J’ai cru comprendre que ton premier métier c’est illustrateur de BD, comment en es-tu arrivé à l’illustration de jeux de société ? Tout à fait. Mon premier album de BD est sorti en 2004 chez Soleil. Une histoire avec des fées, des lutins, des magiciens, en pleine vague “Seigneur des Anneaux. Je suis arrivé dans le jeux de manière totalement imprévue. Courant 2009, je m’étais refait la série animée Sherlock Holmes (Sherlock Hound en VO, où les personnages ont tous des têtes de chiens…), et en finissant, je me suis dis : “tiens, je n’ai jamais dessiné Sherlock Holmes. Et puis je fais un fanart que je poste sur mon blog… et j’oublie ce truc. Quelques semaines/mois plus tard fin 2009, je reçois un email d’un certain Bruno Cathala (dont je n’avais jamais entendu parler, n’étant joueur que très occasionnel), qui me dit : “je suis auteur de jeux, avec mon éditeur on cherche un illustrateur pour notre prochain jeu, je suis tombé sur ton dessin de Sherlock Holmes, et c’est exactement ce qu’on cherche !”. Et Mr Jack Pocket sortait donc pour Essen 2010. Quelle sont les différences dans le processus de création pour ces deux arts ? En BD, on raconte une histoire au lecteur. On s’appuie sur un scénario. Le plus important c’est la narration. La fluidité du regard du lecteur à passer d’une case à l’autre. La composition d’une ou plusieurs pages pour les rendre à la fois lisibles mais également harmonieuses et agréables à regarder. Dans un jeu, le joueur est à la fois co-scénariste (avec l’auteur du jeu) et acteur. On doit lui fournir des outils qui sont plus ou moins immersifs, selon la thématique. Le dessin doit être au service de la jouabilité. L’image doit surtout être efficace. Le joueur ne doit jamais se poser de question sur ce qu’il voit sur une carte, une tuile, un jeton, quitte à ce que l’image soit un peu moins immersive. D’un point de vue purement technique en terme de création d’image, les phases sont un peu les mêmes… croquis préparatoires, dessin (crayon avec parfois un encrage en plus) puis couleurs (ou aquarelles sur Nidavellir). La différence, est qu’en BD on dessine dans des cases et que toutes les pages entrent dans un format de page identique pour toutes les pages. Tu as fait des études en commerce, pourquoi as tu décidé de changer de voie? Parce que c’était une erreur d’aiguillage ! :D Disons que j’ai eu mon bac à 17 ans, que je ne savais pas très bien ce que je voulais, que je n’avais aucune idée qu’il était possible de vivre de son dessin et que j’avais donc choisi une voie offrant des débouchées. En BTS, je me suis vite rendu compte que je n’étais pas du tout fait pour cela. Mais comme j’étais en alternance, je suis allé au bout des deux ans. Puis j’ai pris un autre chemin plus lié au graphisme. Pendant ces deux années, vivant chez mes parents et touchant un petit salaire, j’ai investi dans mon premier PC et j’ai commencé à m’essayer à l’infographie, à la mise en couleurs numérique… à préparer l’après, en somme. Travailles-tu à l’ancienne ( papier-crayon ) ou utilises-tu l’informatique? Les deux mon capitaine !! :) En fait, je crayonne surtout sur ordi, par commodité. L’informatique permet une souplesse de modification que le papier/crayon ne permet pas autant. C’est après que je choisis, en fonction du projet, soit de tout faire en numérique, soit de passer en traditionnel. Quel est le jeu qui t’a posé le plus de problèmes à illustrer, à l’inverse avec lequel t’es-tu le plus épanoui ? Le plus difficile à illustrer à probablement été Mare Nostrum. Pas parce que c’était techniquement difficile, mais parce qu’il y avait une quantité importante d’images à produire dû au fait du kickstarter. Il y avait aussi un travail de recherche par rapport à l’Histoire et à la Mythologie, des véhicules, etc… Bref, beaucoup de boulot !
Le jeu le plus épanouissant, NIDAVELLIR sans hésiter ! D’abord, parce qu’on m’a permis de faire les illustrations à l’aquarelle, et que j’y ai pris énormément de plaisir, et surtout pour l’osmose et la bonne ambiance de travail avec la team Grrre (Flo, Céline et Valériane) et bien évidemment avec Serge Laget ! ;)
Quel est ton jeu préféré en tant que joueur, pourquoi? Je joue plus souvent qu’à une époque, mais je reste un joueur occasionnel. De fait, choisir un jeu “préféré” m’est assez difficile. En ce moment, c’est probablement NIDAVELLIR ! Oui, je sais, ça fait un peu chauvin/corporate, mais c’est une réalité. Quand je finis une partie, j’ai toujours envie d’en refaire une, là, tout de suite. ^_^ Mais au delà d’un choix de jeu, c’est surtout ce qu’il se passe autours de la table qui importe. Deux parties d’un même jeu avec des joueurs différents, n’aura peut-être pas du tout la même saveur… Quel jeu aurais tu rêvé d’illustrer? A quoi aurait-il ressemblé? Sans doute le prochain… ;) Et à ce stade, je ne sais pas du tout à quoi il va ressembler… :) Si on sortait le jeu “Questions de merde “ pour continuer cette interview? Je tire 3 cartes, prêt? Voici les questions de la première carte: Si tu devais réaliser une oeuvre d’art contemporain, que ferais tu? J’avoue avoir beaucoup de mal avec l’art contemporain. Je crois que mon cerveau n’est pas câblé pour comprendre. Mais j’imagine que ce serait quelque chose à base de peinture… Quel animal aurais-tu le plus peur d’affronter en cage? Celui qu’on ne voit pas… un truc genre Virus… et qui peut te faire mal… ou pas… ;) Si une partie de ton corps pouvait être électronique, laquelle choisirais-tu? Je n’arrive même pas à imaginer l’intérêt d’une telle chose… :) Je ne pense pas être un adepte du transhumanisme… Voici les questions de la deuxième carte: Quel geste irrespectueux de l'environnement te révolte ? Labourer la terre, couper les arbres et rouvrir Lubrizol. Que faut-il éviter de dire à une personne triste? “Ca va aller” Quelle invention prouve que les humains sont totalement idiots? Je crois que les Humains n’ont besoin d’aucune invention pour prouver qu’ils sont totalement idiots. Et la dernière carte: Qu’est-il normal de faire quand on est un homme? Manger, boire, se chauffer, s’abriter, avoir du lien social, créer. Tout le reste, me semble plus ou moins superflus… Quel est le film qui t’a fait le plus flipper? The Descent.
Quelle est la chose que tu sais faire et qui va étonner tout le monde? Je fais du Taï Chi sous ma douche. :) Jean-Marie merci beaucoup d’avoir répondu à ces questions et je vais guetter tes prochaines illus avec avidité! Merci à toi !! ;)
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Miércoles naciente. Nuestro héroe inicia la jornada con su característico y probado dinamismo.
(lo pinta Jean-Marie Minguez)
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Jean-Marie Minguez
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Nightwing by Jean-Marie Minguez
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Nidavellir
2-5 joueurs
Serge Laget
10 ans
Jean-Marie Minguez
30 minutes à 1 heure
Grrre Games
Draft, coin building, collection, majorité
Nains, médiéval fantastique
31€50 chez
Le Dragon Fafnir s'est réveillé et menace le royaume des nains. Le roi envoie des recruteurs constituer la meilleure armée parmi les différentes castes de nains. Celui qui aura constitué l'armée la plus puissante gagnera le respect du roi et aura le privilège d'affronter le dragon. 87 cartes nain(e)s5 cartes distinctions5 cartes offrandes royales21 cartes héro(ïne)s5 plateaux cartes du royaume60 pièces d'or6 gemmes3 marqueurs de gemmes1 trésor royal1 carnet de score3 enseignes tavernes3 porte-cartes1 application mobile pour calculer le score Nidavellir se joue en 2 manches appelées "âges". A chaque âge, on va disposer autant de nains que de joueurs dans chacune des 3 tavernes. Les joueurs débutent la partie avec des pièces de départ de faible valeur, un plateau "carte du royaume " sur lequel figure chacune des 3 tavernes. A chaque tour constituant un âge, les joueurs vont miser une de leur pièce sur chacune des taverne et placer les pièces qui restent dans leur bourse. Une fois que tout le monde a misé secrètement, on révèle dans l'ordre les pièces attribuées à chaque taverne. Celui qui a misé le plus choisi son nain en premier, puis le second etc... En cas d'égalité, le joueur qui a la gemme la plus grosse remporte l'égalité, puis les deux joueurs échangent leur gemme. Si un joueur joue la pièce 0, il choisira fatalement en dernier, mais aura le droit d'améliorer une de ses pièce de la bourse. Pour cela, il additionne ses deux pièces, puis échange sa plus grosse contre la pièce équivalente à la somme dans la salle du trésor. Si la pièce est déjà prise, il prend la suivante. Vous voyez là une première stratégie: constituer une somme qui n'existe plus pour prendre une plus grosse pièce. Si à un moment donné de la partie, un joueur parvient à prendre un nain de chaque famille, il gagne le droit de choisir un héro qui aura de puissants pouvoirs. Une fois toutes les tavernes vides, on les reconstitue et on passe au tour suivant. A un moment donné ( dépendant du nombre de joueurs ) l'âge se termine. La fin du deuxième âge sonne la fin de la partie. Si vous n'avez pas l'application, commence alors un véritable casse-tête pour compter les points. Chaque caste score différemment, et ça peut vite devenir une salade de points. Celui qui a le plus de points gagne La direction artistiqueUn jeu de nains sans elfe ( enfin! )Le nombre de stratégies possiblesLe Coin BuildingL'appli Compter les points à la mainTrop de stratégies différentes peut perdre le joueur débutantNe pas mélanger les joueurs débutant et les joueurs expérimentés
Design J'aime vraiment beaucoup la direction artistique du jeu. Il est très beau avec ses dessins en noir et blancs et ses touches de couleurs vives. Les nains sont bien dessinés et ne sont pas stéréotyp��s.
Nous avons des nains des deux sexes et tous n'ont pas de barbes. Dans l'ensemble, la direction artistique du jeu le sert très bien et incite les gens à jouer.
Thème Le thème s'intègre assez bien au gameplay. Il est bien rendu, on a pas l'impression qu'il est mécaniquement plaqué. En plus jouer des nains c'est un kyf total. Il n'y a pas d'incohérence mais les spécificités de scoring des castes ne reflètent pas trop les spécifiés des dites castes.
Qualité du matériel Le matériel est de bonne facture. les cartons sont épais et bien rigides. les pièces sont grosses et se manipulent facilement. J'ai un doute sur la durée de vie du rack à pièces. Grrre Games a eu la bonne idée d'inclure des portes cartes pour les héros, c'est très bien, on les perd jamais de vue. J'aurais peut-être aimé un plateau plutôt que trois tuiles tavernes, mais c'est pour chipoter. Les cartes sont de bonne qualité.
Gameplay Les tours sont fluides, on attends pas entre chaque tour. On vote, on choisi et on passe à autre chose. Il n'y a donc pas de temps mort, ce qui est vraiment agréable. Attention à ceux qui souffrent d'analysis paralysis au moment du choix des cartes. Le nombre de tactiques possibles est énorme et les appréhender toutes nécessitera pas mal de parties. Les nouveaux joueurs risquent d'être un peu perdus. Je ne mélangerais pas des tables de néophites et de joueurs confirmés, le premiers risquent de se faire éclater et donc de ne plus vouloir rejouer. La courbe de progression est énorme et l'expérience des joueurs est un vrai avantage. Malgré tout on s'amuse dès la première partie si vous ne vous prenez pas trop la tête. Le système de coin-building est original et peut rapporter pas mal de points. Il n'y a pas tant d'interaction entre les joueurs que ça, mais on passe son temps à scruter ce que font les autres joueurs pour affiner sa stratégie et prendre les nains qui intéressent les autres joueurs. C'est même un aspect essentiel car si on laisse faire les joueurs, ils engrangeront un nombre impressionnant de points. Le gros bémol, c'est l'épreuve du comptage des points. Merci Grrre Games d'avoir pondu une appli car compter les points à la main est aussi long que de joueur au jeu et bien plus fastidieux. Même avec l'appli, il faut 5 bonne minutes pour compter les points. Chaque clan score différemment et le système de scoring est assez complexe à appréhender.
Simplicité des règles Les règles de base sont simples: on choisi 3 pièces, on prend un nain, éventuellement, on améliore une pièce. Là où ça devient touffu, c'est de se souvenir du système de scoring de chaque famille, de les anticiper et de construire une stratégie efficace avec toutes ces données. Il y a quelques retours à la règle au début pour les familles. L'iconographie sur les cartes ne sont pas très explicites. Il faut plusieurs parties pour commencer à être un peu efficace, j'ai peur que ça puisse décourager certain joueurs.
Mise en place/rangement Le jeu se sort en quelques minute et se range assez vite. Un très bon jeu d'enchères et de collection. Si vous aimez les nains, les tavernes et combattre des dragons, vous aimerez le jeu. Si vous êtes comptable de formation aussi :) . J'ai pris de plaisir à jouer et on a envie d'y rejouer pour tenter d'autres stratégies. Read the full article
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Hellboy by Jean-Marie Minguez
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Joker by Jean-Marie Minguez
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Punisher by Jean-Marie Minguez
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Catwoman at the Louvre by Jean-Marie Minguez
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Batman and Wonder Woman by Jean-Marie Minguez
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Hellverine by Jean-Marie Minguez
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Pool Game in Hawaii Shirts by Jean-Marie Minguez
#Comics#Illustration#Jean-Marie Minguez#Pool#Logan#Wolverine#weapon x#B.P.R.D.#Hellboy#anung un rama
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