#je vais me faire un peu plaisir tiens
Explore tagged Tumblr posts
Text
Plagier des idées.
(Je bloque les reblog de ce poste, néanmoins, on peut discuter en commentaires tant que c'est dans le respect.) Je vous préviens, les dramas sont interdits suite à ce poste. Je ne veux aucun buzz, aucun déchaînement, juste qu'on lise ce que j'ai à dire sur le sujet.
Ça fait 15 ans pratiquement que je fais du rpg et 22 que je graph. Ces mots que je pose ici, ça n'est jamais arrivé. Je tiens bien à le souligner, que vous vous rendiez bien compte. Je n'ai jamais posté ce genre de messages, affirmé ce que je vais affirmer. Je le précise par prévention pour toutes formes de Gaslighting potentiel. (Je vais clairement pas avoir la patience pour ça.) J'ai toujours laissé le bénéfice du doute (Bon en vrai j'estime que les gens n'ont en général aucun intérêt à s'inspirer de mon taf dans tous les cas, l'herbe est plus verte ailleurs) et, en toute franchise, je suis persuadée que moi-même, inconsciemment et avec ce fichu mécanisme d'adaptation, j'ai déjà sûrement involontairement reproduit des trucs. C'est un peu ma hantise personnelle car on a beau me dire que mon style et reconnaissable et unique, il n'en reste pas moins que je suis humaine, neuroA et qu'on se laisse tous-tes influencer par notre quotidien, ce qu'on voit et ce qui nous fait vibrer. Et parfois, on se trouve juste à avoir des goûts très similaires ou à choisir les mêmes types d'identité graphique. C'est comme ça, ça arrive. Ça fait même de belles rencontres, parfois.
Pourtant, il y a quelques mois, je me suis rendu compte qu'on m'avait plagié une idée. Certes, pas révolutionnaire, sûrement déjà utilisée dans d'autres domaines que les avatars 400x640, mais une idée chouette que j'étais hyper contente d'avoir réussi à mettre en place. Et contente de vous l'avoir montré. Je ne dirais pas quelle idée, je ne dirais pas quelle personne. (Et merci de ne pas me demander, de ne pas chercher, de ne pas faire je ne-sais-quoi sans mon consentement. Je ne tolère aucune forme de harcèlement.) Ce que je partage ici, c'est assez difficile comme ça. J'ai peur d'en parler alors même que je sais être légit. Mais on sait tous-tes que ce sujet - tabou partout dans le rpg et surtout dans le graphisme - déchaîne les passions. J'ai toujours voulu en rester très très loin de mon côté.
Et je le répète, je n'ai jamais affirmé une telle chose en plus d'une décennie de RPG. En deux, dans le graphisme. Les inspirations ici et là, ça arrive à tout le monde. J'en ai déjà parlé dans un poste sur l'art, d'ailleurs. Ici, c'est surtout dans la manière dont les choses se sont déroulés. Le timing, le combo, le tout. J'ai même eu beaucoup de mal à grapher durant quelques semaines après cette découverte. J'ai attendu très très longtemps avant d'écrire ce poste, j'ai sincèrement pris le temps de la réflexion pour ne rien écrire à chaud. Et parfois encore, mon manque de confiance me chuchote que je me suis fait des idées. Que c'est moi, et donc, complètement illogique. Mais ce soir, je lui colle une baffe, à ce moi belliqueux.
Honnêtement, que ça soit le cas ou pas, il n'y a qu'une conclusion à ça pour moi : Si vous voulez vraiment et volontairement reprendre une idée, que c'est complètement conscient, gros comme une verrue sur un pif, dites-le ? Si c'est inconscient, ça arrive ! Mais tout le processus ici fait que ça me paraît vraiment, vraiment improbable.
Citer une personne en mention, juste pour dire 'Voilà, je me suis volontairement inspiré-e d'untel-le', ça ne mange pas de pain et en vrai, ça fait même plaisir. C'est même pas honteux tant que la personne en face est d'accord avec ça. Si iel vous dit 'Écoute, je suis flâtté-e mais pas à l'aise avec ça', et bien vous aurez tenté et vous saurez que ça ne sera plus possible avec iel.
Ce poste va dormir, le temps que je me décide et que je sache si oui ou non, je vais le publier.
Si je vois que ça part en vrille, je supprimerais ce poste !
En attendant j'espère que vous passez un super été, et courage à celleux qui bossent sous cette chaleur. Hydratez-vous !
Edit : J'ai clairement attendu assez longtemps. Décidé de ne rien poster et puis, je ne sais pas, ce soir, je me dis que je suis légitime. Mais aussi que c'est normal d'être en rogne dans ce genre de situation et de taper un peu du poing. J'essaie juste de le faire de manière utile et constructive. J'espère que ce poste peut aider. Je me dis qu'il faut souligner certaines choses, mettre les points sur les i, parfois. Je déteste ça. Mais je n'arrive toujours pas à passer outre. Vraiment pas. Je ne prétend rien changer. Mais j'ai besoin de le dire "à voix haute'.
Bonne soirée,
Swan.
19 notes
·
View notes
Text
Bonjour 2024.
Tu viens de commencer, mais j’ai déjà beaucoup d'espérances pour toi.
Je ne voudrais pas te mettre la pression car ça ne fait que quelques jours que tu viens de d’arriver, mais sache que chacune de tes journées risque d’être bien remplies.
Je sais qu’en 2023, je disais qu’il fallait que j’apprenne à respirer, à prendre mon temps, à lâcher prise. Mais il y a tout simplement beaucoup trop de choses que je veux faire dans la vie. Parce que je la sais courte, parce que tout m’intéresse, parce qu’il y a trop de possibilités mais jamais assez de temps. 2024, prépare-toi bien car tu vas être chargée !
Commençons par le travail, car il faut bien un peu gagner sa vie pour avoir la liberté d’en faire ce qu’on veut : je vais sans doute beaucoup travailler cette année aussi, car mon ambition d’acheter une petite maison à la campagne un jour ne m’a toujours pas quittée. J’espère ne pas trop ressembler à ce vieil oncle Picsou passant son temps à recompter toutes ses piles de piécettes, mais je vais essayer d'économiser comme je peux.
Maintenant, passons à tous mes plans sur la comète, à tout ce qui me tient vraiment a cœur.
D’abord, il y a mes projets d’écriture, j’ai un roman pour lequel j’ai déjà tracé beaucoup de lignes, et cette année, j’aimerais au moins en terminer le premier jet. Je voudrais aussi essayer d’écrire quelques nouvelles et des poèmes, mais ma priorité pour les textes courts, c’est surtout d’écrire mes vidéos. Une par semaine je l’espère. Ce qui fait 52 vidéos de prévu pour toi, 2024.
D’ailleurs questions vidéos, j’ai plein plein plein d’idées. Tiens-toi prêt 2024, car sache que j’ai déjà prévu le sujet de mes vidéos jusqu’à mi-juillet. Il y a aussi deux concepts auxquels j’aimerais faire voir le jour, mais je ne sais pas encore trop comment. Tu vas te dire que je suis folle et je sais que mon imagination est quelque peu débordante, mais je t’assure que ce sera une année merveilleuse ! Pleine de passions et de créativité.
Ensemble, on va dessiner, écrire, lire, tricoter, jouer de la musique, danser et voguer vers mille et une autres aventures exaltantes !
J’adore les débuts de nouvelles années car cette idée de nouveau départ me donne un regain d’énergie et d’enthousiasme énorme et me donne l’impression que je peux tout faire, tout entreprendre. Et d’ailleurs, cette année, j’ai décidé de laisser carte blanche à mon esprit créatif et je n’ai pas vraiment pris d’autre résolution que de suivre les élans de mon cœur.
2024, je ne sais pas ce que tu as prévu pour moi, mais comme tu peux le voir, j’ai déjà prévu beaucoup trop de choses pour toi. Je sais bien que je n’aurais sans doute pas le temps de tout faire et que ça va certainement beaucoup me frustrer, mais peu m’importe. Là tout de suite, je suis tellement heureuse d’avoir tous ces projets dans la tête et dans le cœur, et je compte bien réussir à en réaliser quelques uns !
2024, j'espère qu’on s’entendra bien et que, contrairement à ton prédécesseur 2023, tu ne prendras pas un malin plaisir à me mettre plein de bâtons dans les roues. S’il te plaît, donne-moi du courage et de la détermination et je t’assure qu’on passera 366 merveilleux jours ensemble.
Alors je te dis à très vite, car nous avons tant de moments à vivre tous les deux ! J'espère sincèrement que tu seras une année exceptionnelle, pour moi, et pour tous les autres aussi ♡
#2024#nouvel an#new year#bonne année#texte#texte français#french#français#projet#écriture#lecture#création#créativité#luza#vidéo#youtube#2023#résolution#bonnes résolutions#bonne santé#bonne soirée#photo
23 notes
·
View notes
Text
Hier jour de fête je quitte mon lit avec M. je vois E. au travail et le soir le soir je vais voir B. alors quand c'est jour de fête moi j'ai envie de susciter le désir alors je mets une de mes robes préférées dans laquelle franchement je me trouve bonne et devant le miroir je pense que objectivement c'est vrai aussi ces jours-là où on a envie que le regard de M., E. ou B. se pose aussi doucement que le tissu qui glisse sur les cuisses on se sent belle tout le temps même à porter des trucs lourds avec les bras être coincée en haut de l'échelle collée à la charpente ou courir partout dans le magasin honnêtement j'ai mis cette robe juste en pensant à eux en me disant je veux un compliment des yeux et finalement ce qui me fait le plus plaisir souvent c'est Marion ma collègue qui fait sa bouche bée quand elle me voit sortir des vestiaires là je me sens comme une reine et vas-y que je roule ma bosse en robe toute la journée mais surtout que je roule mon boule et vas-y que je remets souvent ma bretelle de robe sur mon épaule nue juste pour dire "eh j'ai des épaules nues" mais
drame
E. ne bosse que 3h aujourd'hui et B. B. est malade j'ai l'impression d'avoir mis cette robe pour rien pour rien les épaules nues, le haut qui accueille mes petits seins et le reste qui accompagne le mouvement de mes jambes on dirait du vent et je la colère monte de continuer à m'oublier dans le processus de continuer à faire ça pour des mecs et pas pas pour moi de me voir belle qu'à travers leurs yeux et pas les miens qu'à travers leurs critères qu'ils ne disent pas que j'imagine plutôt que ceux de Marion ou M. si j'écoutais M. et Marion et Mathou un peu plus, je serai reine tous les jours heureusement avec cette robe il y a le collier que Brunissen a fait et j'ai l'impression d'être encore à Groix avec Mathou ça me porte les souvenirs alors je ne m'avoue pas vaincue cette robe va me servir à kiffer kiffer ma journée être en confiance avec moi-même être avec Mathou en pensée kiffer faire du vélo avec le vent qui remonte le tissu qui glisse sur ma cuisse peut-être au feu rouge verra t-on ma culotte et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre c'est bien ça que j'ai envie de dire quand je mets une culotte sans shorty et que j'attends la jambe relevée car la pédale haute au feu rouge quand je repense qu'à l'école primaire une de mes hantises était que les mecs baissent ma jupe et que tout le monde voit ma culotte j'ai bien changé t'inquiète que si tu lèves ma robe pour voir ma culotte je te marave la gueule mais t'as pas idée à quel point je kiffe porter juste une robe et une culotte je crois que le truc c'est que j'avais envie d'être prête d'être apprêtée pour ce moment où E. me fait des blagues et utilise sa voix la plus grave du matin où je meurs un peu quand je le fais rire à gorge déployée prête apprêtée pour ce moment où B. me tiens les mains en pleine nuit me dit "Tu as été forte et courageuse. Bravo" ou quand on danse tous les deux comme des enfants où on oublie le prochain soleil prête et apprêtée pour un câlin d'amour prête et apprêtée quand M. me dit "Ne t'inquiète pas pour ça" sur ma plus grande inquiétude de la vie et que cette fois, je le crois
Est-ce qu'en belle robe on paraît plus forte est-ce qu'on assume plus est-ce qu'on a besoin d'être forte quand les autres ne nous rendent non pas faible mais accueillent notre vulnérabilité et nous accompagnent est-ce que le désir aide à obtenir de l'aide est-ce que si j'avais mis ma tenue de la flemme je connaîtrais tout ça c'est sûr
que oui
2 notes
·
View notes
Text
Maintenant c’est moi qui vais te baiser !
Cela fait plusieurs minutes maintenant que tu me suces avec cette force et cette profondeur qui me rendent dingue. Parfois tu ressors furtivement mon gland de ta bouche pour faire tourner ta langue autour et brusquement tu fonds sur ma queue avec avidité et c’est au contact de ta gorge que je sais à quel point tu vas loin. Pourtant tu ne sembles pas trouver cela suffisant et tu forces encore, par à–coups, faisant progresser mon gland plus loin au fond de toi, millimètres par millimètres. La sensation est d’une puissance incroyable. Le plaisir dans mon gland irradie jusqu’à mes couilles et même plus loin. Je sens mon cul qui palpite à un rythme que je ne maîtrise pas. Plusieurs fois je t’ai senti presser l’entrée de mon trou pendant que ta bouche allait et venait le long de mon sexe. Parfois même c’est ta langue qui est venue me lécher. Tu as réveillé une envie profonde. L’envie de me sentir pris… rempli…
- J’ai envie que tu me mettes le plug. - D’accord.
Tu souris. Tu vas chercher le plug et le tube de lubrifiant. Tu reviens ensuite t’agenouiller entre mes jambes écartées. De mon côté, je suis sur le dos et je trouve une position confortable. Je suis prêt à t’accueillir, impatient.
Tu fais couler du lubrifiant sur tes doigts et tu viens te pencher vers moi, en appui sur une main tandis que ton autre main descend entre mes cuisses, puis entre mes fesses.
Je sens le gel froid à l’entrée de mon cul. Tu le masses doucement, la sensation est délicieuse. Mais je veux plus et toi aussi. Ton doigt s’enfonce alors en moi d’un mouvement que tu veux lent, continu et profond.
Je soupire. Le plaisir est immédiat.
Je te sens alors bouger ton doigt. Je ne sais pas bien ce que tu fais mais tu sembles avoir trouvé ma prostate sur laquelle vient buter ton doigt à répétition. La sensation est intense et vive. J’ai l’impression que je pourrais éjaculer à tout moment mais le ressenti est inhabituel car le plaisir vient de l'intérieur de mon ventre.
Avant que je puisse seulement essayer de comprendre ce que tu me fais, tu enfonces un deuxième doigt en moi. Tu fais alors jouer tes doigts pour me dilater et de fait mon cul s’écarte peu à peu.
Quand tu ressors enfin tes doigts, je sais ce qui m’attend. Je te regarde recouvrir le plug en verre d’un peu de lubrifiant puis le glisser entre mes fesses. Tu me regardes dans les yeux avec ce sourire…
Je te sens pousser le plug dans mon cul. Cette fois la progression se fait par petites poussées progressives. Mon cul s’écarte un peu plus à chaque fois. Je sais ce qui va se passer : quand le plug arrivera à la partie la plus large, mon cul se refermera sur lui dans un spasme. Ça va faire mal mais je veux ressentir cette douleur. Je ne tiens plus.
- Vas-y… vas-y…
Tu fais durer encore peu, jouant avec ma frustration quand brutalement, tu fais rentrer le plug en entier. Mon cul se contracte. La douleur est vive mais elle laisse rapidement place à un plaisir incroyable. Ma tête tourne et je me sens soudain rempli d’une incommensurable reconnaissance à ton égard. Reconnaissance pour le plaisir que tu me donnes et pour la compréhension que tu as de ce plaisir.
Je prends ton visage entre mes mains et je t’embrasse. Je voudrais que tu comprennes et que tu saches à quel point c’est bon. Mes mains viennent alors se poser sur ton cul. Je presse tes fesses entre mes doigts puis je descends encore mes mains sur tes cuisses et je t’invite à les écarter de manière à ce que tu ne sois plus entre mes jambes mais que tu me chevauches. Une fois tes jambes de part et d’autre des miennes, je te prends par la taille et je te pénètre. Ta chatte est trempée et je m’y glisse avec facilité. Je m’y glisse loin. Nous commençons alors nos mouvements de va et vient. Chacun de ces mouvements fait bouger le plug en moi. Il atteint ma prostate, il me remplit, il m’écarte. Combiné au plaisir que je ressens à te pénétrer… mes pensées s’affolent. Toi tu gémis, tu donnes des coups de bassin qui font entrer ma queue à chaque fois un peu plus loin dans ta chatte qui coule sur mon ventre.
Nous roulons sur le lit. Je te demande de te mettre à plat ventre et je viens derrière toi. Ma queue tendue retrouve immédiatement le chemin de ta chatte ouverte. Je m’enfonce en toi profondément. A Chaque coup de reins je presse un peu plus mon corps contre tes fesses, à chaque fois ma queue va plus en toi. Je te baise fort et tu sembles apprécier.
Ce jeu dure de longues minutes jusqu’à ce que le rythme s'apaise et laisse place à des caresses d’une tendresse infinie.
Puis tu me regardes dans les yeux. Tu parais pleine d’envie.
- Maintenant c’est moi qui vais te baiser ! - Ah bon ? - Oui ! Je veux t’enculer fort.
Ces mots me font frémir de désir.
- D’accord.
J’ôte le plug tandis que tu vas chercher le strap-on-me. Je te regarde le sortir doucement de son sachet en tissu puis tu passes une main entre tes cuisses et tu écartes les lèvres de ta chatte. De ton autre main, tu guides le bulbe dans ton vagin. Tu l’avales entièrement et te voilà désormais équipée d’une belle bite, large et recourbée vers le haut. Son gland est assez impressionnant mais je sais qu’il passera sans trop de problèmes après le plug et que tes mouvements seront rendus plus simples mais aussi plus profonds.
Tu as dit que tu voulais m’enculer fort et tout ce que je veux c’est rendre cela possible et que ce soit le plus simple pour toi. Alors je me dresse sur mes genoux, je te tourne le dos (et plus précisément le cul), je pose mes mains écartées contre le mur, je creuse mes reins et j’écarte les jambes. Dans cette position mon cul est ouvert. Il t’est offert. Tu peux à ce moment-là faire ce que tu veux de moi. Et cette idée de t’appartenir, que ce moment te donne tous les droits, tout cela m’excite au plus haut point et me fait espérer que tu abuses de moi.
Et tu commences par des claques lourdes et répétées. Je sens mon cul chauffer, j’ai envie que tu continues. Par moment tu arrêtes les coups et tu passes une main entre mes jambes, tu prends mes couilles dans ta main, tu les presses, tu me branles un peu puis tu recommences à me claquer le cul.
Quand cette douce torture cesse, je te sens te rapprocher de moi, je sens aussi ton gland pointer contre mon cul. Tu pousses par petites pressions, comme pour sentir à quel moment tu es bien positionnée. Quand tu as trouvé le chemin tu me force alors le cul sans ménagement. Le gland puis toute la bite factice s’enfoncent en moi. Je gémis sans retenue. Je te sens au plus profond de mon ventre et tu te mets à aller et venir dans une série de mouvements amples. Je me sens secoué, disponible pour ton plaisir mais récoltant le mien au passage. Tes coups de reins sont puissants et répétés. Un liquide clair et épais s’échappe de ma queue. Tu me tiens par les hanches et tu m’attires vers toi pour me baiser plus loin.
Pendant de longues minutes tu me baises quasiment avec violence. Le plaisir qui naît dans mon ventre est d’une puissance à me faire tourner la tête et comme tu sens peut-être que je m’affaiblis, tes mains quittent mes hanches et tu viens enrouler tes bras autour de mon corps. Et bien que la tendresse et la douceur soient de mise, cette position te rapproche encore de moi, permettant à notre jouet de continuer à me pénétrer toujours aussi loin.
Tu as désormais pris ma queue dans ta main et alors que tu me pénètres doucement, tu as entrepris de me faire jouir en me branlant.
La sensation est trop forte et je ne résiste pas longtemps à l’orgasme qui me submerge.
A chaque spasme dû au plaisir, mon cul enserre un peu plus le gode, le maintenant fermement ancré en moi et l’incitant même à aller plus avant.
Quand tu quittes enfin mon cul, la sensation de libération est jouissive et j’en garde des spasmes dans mon ventre de nombreuses minutes encore.
5 notes
·
View notes
Text
NSBC • Chapitre 16
Victoria est passée nous voir, aujourd’hui. Elle a pu discuter un peu avec Gabriel…
… et Raphaël.
Gabriel n’est pas resté longtemps en compagnie de sa tante. Il a invité (avec mon autorisation) son copain de classe Tetsu. Ils ont l’air de vraiment bien s’entendre ces deux là, ça me fait plaisir !
Tetsu est un garçon qui a l’air d’avoir toujours le sourire. J’espère que toutes les fréquentations de Gabriel sont du même acabit…
Vic’ est finalement entrée pour nous féliciter pour nos fiançailles. Enfin, c’est ce que m’a rapporté Edward, puisque j’étais dans la cave à faire des analyses, à ce moment-là…
« Félicitations petit frère !
— Merci Vic’, et t’es toujours pas plus âgée que moi ! »
Elle est partie peu après, et Edward également, devant se rendre au travail. Je suis, quant à moi, remontée de mon petit laboratoire personnel car « femme enceinte » rime apparemment avec « vessie sur le point de craquer vingt-quatre heures sur vingt-quatre ». Et en entrant dans le salon, j’ai entendu Tetsu et Gabriel discuter.
« On restera amis pour toujours, hein ? demande la voix de mon fils.
— Bien sûr, Gaby ! Quelle drôle de question ! »
Alala, la jeunesse… Oups… Il faut que je me dépêche moi, pas envie de salir mon pantalon…
Je marche bizarrement, non ? J’appelle ça la démarche de la baleine.
•
La principale différence que je note entre mes deux garçons, c’est qu’il y en a un qui est plutôt studieux, et l’autre qui préfère jouer dehors et sur l’ordinateur.
Bon, Raphaël fait ses devoirs, mais pas de gaité de cœur, je peux vous l’assurer ! Mais j’espère que l’intérêt pour l’école n’est pas décroissant, parce que sinon je vais me battre avec le dernier bout de chou dans mon ventre pour qu’il travaille… !
D’ailleurs, on arrive au terme. Et je le sens bien, je suis tout le temps en train de faire des siestes… Vivement qu’il sorte, ce troisième petit monstre !
Et c’est justement au milieu d’une de ces siestes que le dit monstre a décidé de montrer le bout de son nez.
Edward étant au travail à ce moment-là, je me vois obligée de me rendre seule à l’hôpital. Je laisse des consignes de sécurité aux garçons qui me regardent avec de grands yeux inquiets, et je monte dans le taxi qui m’attend.
Edward s’est libéré de son travail à la dernière minute, et c’est en courant que je le vois me rejoindre dans le couloir de l’hôpital. Il n’a pas l’air très content…
« Mon patron a presque refusé de me laisser partir, j’y crois pas !
— Respire, chéri… Aouch… »
On entre dans la salle d’accouchement, et alors que je m’installe, Edward s’exclame :
« Eh ! Mais vous êtes le médecin qui a failli la tuer lors de la naissance de Gabriel ! Vous savez ce que vous faites maintenant ?! »
« Mais oui, monsieur. Laissez-moi me concentrer, je vous prie. »
« Laisse, Ed. … Aïe. Tiens, tu es en uniforme de chef ? »
« Ils étaient en sous-effectif en cuisine… Mais on s’en fiche de moi, courage mon amour… On va accueillir le dernier membre de notre famille ! »
Oui, c’est vrai… Mais qu’est-ce que j’ai mal… ! Oh… Ce sont des pleurs, n’est-ce pas… ?
« Félicitations, Madame Berry ! Voilà une belle petite fille ! »
Une… Une fille ? Une fille ! J’ai eu une fille !
Ni une, ni deux, je suis debout sur mes deux jambes en un rien de temps, et je prends dans mes bras ma petite princesse.
« Edward… C’est une fille…
— Je sais mon amour. Je suis heureux aussi.
— Comment l’appelle-t-on ?
— Choisis, tu la voulais tellement.
— … Gaëlle. Ça te va ?
— C’est parfait !
— Bonjour Gaëlle, bienvenue dans la vie. »
•
Dans la foulée, quand nous sommes rentrés, j’ai soufflé mes bougies. Eh oui, la petite a choisi de naître le jour de mes quarante ans… !
Et je dois avouer que je ne me sens pas très différente, malgré toutes mes appréhensions.
2 notes
·
View notes
Text
Ton Plan Fonctionne ? - Steve Harrington
Drabble Masterlist
Résumé : Steve pense qu'il peut toujours obtenir facilement le numéro d'une fille, tu penses que ce n'est pas le cas.
Warnings : sister!reader, la reader a 14 ans, situé avant la saison 3.
Nombre de mots : 775
Version anglaise
Version Wattpad
Prompt : "Was I supposed to be impressed ?" (J'étais censée être impressionnée ?) 4ème prompt de cette liste faite par @exhuastedpigeon
- Hey abruti ! t'écris-tu, faisant se retourner Steve.
- Qu'est-ce que tu veux, Y/N ?
- Tu me fais une glace ?
- Tu m'insultes à mon travail et tu veux que je te donne une glace ? questionne-t-il, outré.
Tu roules des yeux avant de sortir ton visage innocent et de déclarer d'une petite voix :
- Je m'excuse, mon frère adoré. Est-ce que je pourrais avoir une glace, s'il te plait ?
- Je te la fais, ta glace, mais seulement parce que je veux plus voir ta tête, abandonne Steve, agacé.
- Je t'aime aussi.
Pendant que Steve s'occupe de ta commande, tu l'observes, voulant le déstabiliser. Il a commencé à travailler chez Scoops Ahoy il y a seulement trois semaines donc il n'est pas encore tout à fait à l'aise. Pour toi, c'est l'occasion parfaite pour avoir des glaces gratuites et te moquer de ton frère. Mais à ta plus grande tristesse, Steve arrive enfin à faire son travail sans faire une erreur.
Quand il a fini, tu prends ton pot et t'installes à une table proche du comptoir. Steve lève les yeux au ciel en ne te voyant pas partir. Tu prends ton temps pour manger, souhaitant l'énerver un peu plus. Alors que tu replonges ta cuillère dans ta glace, tu te tournes vers lui en prenant un faux air angélique :
- Dis-moi, Steve, ton plan fonctionne ? T'arrives à avoir des numéros ?
- Oui. Totalement. Quelle question ! s'exclame-t-il en tentant de la jouer cool.
- Euh, techniquement, tu en as eu zéro, le corrige Robin en arrivant au comptoir.
- C'est faux, j'en ai eu un !
- Ouais, zéro et demi. Elle n'a pas donné le bon.
Suite à l'information de sa collègue, tu ne peux t'empêcher d'exploser de rire en imaginant la scène.
- J'aurai aimé voir ça. Je n'arrive pas à croire qu'après toutes ces années à être surnommé « Roi Steve », tu galères autant. J'adore, déclares-tu en reprenant un bout de glace.
- C'est toujours agréable de se sentir soutenu, ironise ton frère. Mais on va voir qui rigolera quand j'aurais une petite amie avant la fin des vacances alors que tu traineras toujours avec ton petit groupe d'amis.
- Au moins, ils ont mon âge. On t'apprécie beaucoup Steve, mais tu nous fais de la peine à trainer avec nous.
- Attends, les gamins qui viennent presque tous les jours, ce sont tes amis ? demande Robin et tu hoches la tête. Je reviens, informe-t-elle avant de partir chercher un tableau blanc.
Tout en finissant ta glace, tu regardes Robin prendre un marqueur et dessiner deux colonnes avec pour titre "YOU RULE" et "YOU SUCK". Dans cette dernière, elle fait un trait avant d'annoncer :
- Je sens que cette partie va vite être remplie.
- Ouais, c'est ça. Continuez à vous moquer, mais je vais vous prouver que j'ai toujours du charme. Je vais même le faire maintenant, affirme Steve en montrant la nouvelle cliente. Prépare-toi à mettre un trait dans la colonne « YOU RULE », dit-il à Robin avant de sourire à la jeune femme. Bonjour bienvenue chez Scoops Ahoy, je peux vous offrir une glace ?
- Bonjour, est-ce que je peux avoir une glace au citron, s'il vous plait.
- Tout de suite.
Steve est totalement concentré dans la préparation de glace, faisant attention à ce que rien ne déborde. Une fois terminé, il tend le pot à la cliente. Elle s'apprête à le payer quand il la stoppe avant de lui faire un sourire charmeur et déclarer :
- C'est cadeau.
- Vraiment ?
- Oui, ça me fait plaisir.
- Merci, mon copain va être content, sourit-elle alors que le visage de Steve se décompose. Bonne journée.
Tu attends que la jeune femme soit partie avant de t'esclaffer avec Robin. Tu te tiens le ventre pendant que Robin trace un nouveau trait dans le tableau. Steve essaye de ne rien laisser paraitre, même si on peut voir son embarras dans son regard.
- J'étais censée être impressionnée ? demandes-tu en calmant ton rire. Ta tête était magnifique, j'aurais aimé pouvoir te prendre en photo. Bon, j'aimerais continuer à me moquer de ton manque de charme, mais je dois trainer avec mes amis, déclares-tu en jetant ton pot. A plus, Robin, dis-tu en sortant et en ignorant ton frère.
- Rentre à la maison pour 18h ! t'ordonne Steve.
- Si tu arrives à avoir un numéro, peut-être.
- J'adore ta sœur, sourit Robin, faisant rouler des yeux Steve.
Drabble Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
#marie swriting in french#tumblr français#stranger things x y/n#stranger things x reader#stranger things imagine#stranger things#stranger things drabble#steve harrington x sister reader#steve harrington x reader#steve harrington#steve harrington x sister!reader#steve harrington drabble
2 notes
·
View notes
Text
hello!
je tiens une nouvelle fois à m’excuser du retard que je prends pour mes commandes et qui s’accumulent.
j’ai commencé un nouveau boulot en septembre qui me prend pas mal de temps et d’énergie. et en dehors du temps qui me manque c’est surtout la motivation et le manque d’inspiration qui me font défaut.
j’essaie d’ouvrir photoshop de temps à autre mais honnêtement je suis un peu lassée de ce que je fais d’ordinaire et je prends plus autant de plaisir qu’avant.
si je me connecte en dehors du travail, j’essaie d’avancer un peu sur mon projet de forum sur lequel je travaille en on et off depuis 4 ans (je suis très lente comme vous pouvez le constater), et que je n’arrive pas à lancer parce que je n’ai pas lancé de forum depuis bien une dizaine d’années et que j’avais oublié à quel point c’était chronophage. mais j’ai bon espoir d’y arriver un jour!
vraiment désolée, je vais privilégier de faire des choses qui me plaisent de temps à autre, sans garantie que je réponde un jour aux commandes. je tiens tout de même à vous remercier pour vos gentils messages. ♡
4 notes
·
View notes
Text
Les élucubrations d'un homme soudain frappé par la grâce - Edouard Baer
On l'a tous aimé en tant qu'acteur, dans ses rôles plus ou moins comiques, mais le connaissez-vous en tant que dramaturge ? Son propre personnage, en tout cas, aurait voulu ne pas l'être. La pièce s'ouvre sur une fuite : Baer s'est enfui du théâtre où il devait jouer son propre spectacle ; mais, pris de panique au moment de monter sur scène, il vient se réfugier sur le plateau d'un spectacle imaginaire, Le Dernier Bar avant la fin du monde. Entrecoupant sa propre histoire d'hommages à Jean Rochefort, Charles Bukowski, André Malraux et autres grands noms, Baer alterne humour et réflexion sur la vie, comment la vit-on, avec quelles attentes, quelles désillusions...Loin d'être cet homme soudain frappé par la grâce, ces élucubrations sont plutôt celles d'un homme happé par la beauté des mots, qui se sent tout petit et presque illégitime de parler à son tour, au point de, dans la mise en scène, laisser place aux véritables voix de ces auteurs disparus.
"C'est le genre de matin où vous vous réveillez seul dans votre lit, vous trouvez qu'il y a une personne de trop..."
"On ne peut pas pousser un caddie à 13 heures et être Malraux à 20h30."
"Je pense qu'il a cherché où je jouais pour venir me signifier le fait qu'il était résolument opposé au principe même de mon existence."
"Oui, mais c'est très vague "moi", parce qu'il y a plein de "moi"."
"Non, je ne t'ai pas prévenu, c'est le principe de la fuite..."
"On ne laisse pas des camarades seuls au front. La vie, c'est le collectif. Y en a marre de cette société outrageusement individualiste. Ce que j'aime, c'est ça, la chaleur humaine, être un maillon de la chaîne. Ceux de l'ombre et ceux de la lumière, aucune différence, le même cœur qui bat, qu'on soit le porteur ou le porté !"
"Mais c'est trop tard, notre corps a décidé pour nous ; et puis un jour on repasse par hasard devant cette fenêtre, cet endroit qu'on a habité, ce qui fut nous. On se dit : "Tiens, j'ai été cette personne-là, j'ai habité là. Est-ce qu'à cette époque j'étais vraiment dans ma vie ? Est-ce que c'est maintenant ? Où est-ce que ça n'a toujours pas commencé?""
"Et puis on a 18 ans c'est un peu austère, on est étudiant, on n'a pas beaucoup de sous mais on tient parce qu'on se dit que grâce à ces sacrifices on va avoir un bon métier et là on va commencer notre vie...Et puis on a un métier, parfois c'est un peu monotone mais on tient parce qu'on a les week-ends, les vacances et on se dit "Un jour je serai toujours en vacances, je serai à la retraite et là je vais commencer ma vie"...Et puis on est à la retraite, on se fait un petit peu chier, mais on se dit "c'est pas grave parce que j'ai repéré une jolie petite place de cimetière et là...""
"Quand est-ce qu'on peut dire "Je suis dans ma vie" ? Quand est-ce qu'on réalise qu'on s'est trompé ? [...] Parfois c'est une sensation physique. Moi, un jour je suis rentré chez moi, et deux ans après, je me suis aperçu que ce n'était pas chez moi."
"Ou les après-midi d'été, vous marchez seul dans une rue silencieuse et brûlante...Toutes les fenêtres sont ouvertes pour laisser passer l'air. Et à un premier étage tout à coup vous entendez des rires, des chants, de la musique. On se dit "Mais moi j'habite là. C'est ma famille, c'est ma vie là", ou alors à la terrasse d'un café : vous êtes seul, vous vous sentez vieux, vous n'espérez plus rien et puis là tout à coup une femme passe...Une illumination...Et vous vous dites "C'est ma vie qui passe là !""
"Là je suis prêt. J'y retourne parce que c'est trop tard...Parce que ça ne sert plus à rien, parce que plus personne ne m'attend. J'y retourne sans espoir de bravos ou peur de crachats, de haie d'honneur ou de garde à vue. J'y retourne parce qu'il faut bien faire quelque chose entre sa naissance et sa mort, sinon c'est long la vie. J'y retourne comme un petit clin d'œil à moi-même, comme un défi perdu d'avance, le plaisir du geste inutile. J'y retourne..."
"Pourquoi t'aveugles-tu dans la certitude de l'instant alors que la vie est éternité ?"
On en retient que cette pièce est une ode à la beauté, à l'art, au pouvoir des mots. A lire absolument.
1 note
·
View note
Text
diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato [dark 06]
—— La scène débute dans la salle de bain.
Yui : Okay, l’eau est à la bonne température.
(C’est une si jolie et grande salle de bain.)
(Hehe, l’heure du bain est mon moment préféré de la journée.)
—— Des bruits de pas saccadés se font entendre.
Yui : (… Hm ?)
—— Ayato apparaît.
Ayato : Oh, c’est donc là que tu te cach—...
Yui : Kyaaa !
—— Yui lui referme la porte au nez.
Ayato : Ah, hey ! Ouvre cette porte !
Yui : Je ne peux pas ! Je suis en train de prendre un bain, tu pourras y aller plus tard !
Ayato : Idiote, je suis venu en sachant que tu y serais.
Yui : Hein !?
(I-Il avoue sans honte ses intentions !? Heureusement que je ne me suis pas encore totalement déshabillée...)
Ayato : Ne prends pas peur comme ça. Je t’ai apporté un truc sympa.
Yui : U-Un truc sympa ?
Ayato : C’est ça. Comment on appelle ça déjà... Des sels de bain ?
Yui : Des sels de bain ?
Ayato : Ouais. Tu vas adorer !
Yui : P-Pourquoi est-ce que tu fais ça...
(Est-ce que c’est un piège ?)
Ayato : Tu es fatiguée ces derniers temps, pas vrai ? Je te prends beaucoup de sang.
Yui : Oui...
Ayato : Tu devrais prendre un long bain relaxant pour améliorer ta... Euh... Comment on appelle ça déjà. Ta circa... Ta...
Yui : … Ma circulation ?
Ayato : Ah, ouais, ça. Pour l’améliorer ! Sympa de ma part, n’est-ce pas.
Yui : Ayato-kun...
➛ C’est bien trop suspect Yui : (C’est bien trop suspect de sa part, de dire des choses si gentilles.) Ayato : Tu n’es pas contente ? Yui : S-Si. Mais en fait, j’ai déjà mis un autre type de produit dans mon bain. Je m’en servirai une autre fois, d’accord ? Ayato : T’inquiète ! Tu peux les mélanger sans problème, ce sera hyper efficace ! Utilise-les, ok ? Yui : Hm... (Je suppose que ça me rendrait un peu triste si je le repoussais alors qu’il a véritablement de bonnes intentions...) Dans ce cas, je les accepte avec plaisir ! Ayato : C’est ce que j’attendais !
➛ Je vais m’en servir (♥) Yui : Je vais accepter dans ce cas ! Merci, Ayato-kun. (Il s’inquiète donc de l’état de mon corps. C’est si rare... Mais je suis vraiment contente.) Ayato : Haha, dans ce cas...
Yui : Ah, mais tu n’as pas le droit de rentrer ! Si tu veux me les donner, tu dois me les faire passer dans l’entrebâillement de la porte, d’accord ?
Ayato : Tch. Compris, compris.
Allez, ouvre un peu la porte.
Yui : O-Oui...
—— Ayato entrouvre la porte et lui fait passer les sels.
Ayato : Tiens.
Yui : M-Merci.
—— Yui referme la porte.
Yui : (Plutôt que des sels de bain, ça ressemble à une sorte de médicament...)
Ah, mais ça sent bon...
Ayato : N’est-ce pas ? Allez, mets-en dans ton bain.
Yui : O-Oui.
(Je vais tout mettre, alors... Voilà !)
—— La salle de bain commence à s’embrumer.
Yui : Wah...!
(T-Toute cette brume...!)
*tousse* *tousse*...!
Ayato : Hehe.
Yui : (I-Il m’a... piégée ? … Je me sens toute étourdie...)
—— L’écran devient noir, et Yui se réveille dans sa chambre.
Yui : Nn...
Ayato : Oh... salut. T’es enfin réveillée ?
Yui : … Ayato-kun...?
(Je suis... dans mon lit ? Quand est-ce que...)
…
(Mon corps est lourd... J’ai l’impression de ne même pas être capable d’ouvrir la bouche...)
Ayato : Hehe, tu ne contrôles plus ton corps ? Comment tu te sens ?
Yui : J-J’ai... chaud...
(J’ai chaud... et j’ai le tournis... Est-ce que c’est ça qu’on ressent quand on est ivre...?)
Ayato : Hahaha, n’est-ce pas.
Tu devrais être reconnaissante, c’est le grand Ayato qui t’a portée jusqu’ici.
Yui : (C’est vraiment... ce qu’il s’est passé...?)
Ayato : Haha, ton visage est en feu, hein ?
Yui : Ah...
Ayato : Hm ?
Yui : … Ta main... Elle est froide... Ça fait du bien...
Ayato : … Huh...
… Dans ce cas, et si je te touchais plus ?
… Où est-ce que je devrais te toucher ? Juste pour cette fois, j’exaucerai tes souhaits.
Yui : Où je veux...?
Ayato : Ouais. … Où est-ce que tu as chaud ?
Yui : … Mes joues. Mes joues sont brûlantes...
Ayato : … Tch, ton visage ? Quel ennui.
Bon, tant pis. Tes joues, hein ?
—— Ayato embrasse la joue de Yui.
Yui : Ah...
(Les lèvres d’Ayato-kun effleurent ma joue...)
Ayato : Ah, mais tes joues sont brûlantes !
—— Ayato l’embrasse à nouveau.
Yui : (C’est rafraîchissant...)
Ayato : Alors ? C’est agréable ?
Yui : Oui...
Ayato : J’aime bien, cette version de toi. Sans défenses, avec cette expression rêveuse.
C’est vraiment pas mal... Ça m’allume.
—— Ayato l’embrasse encore.
Ayato : Haa... Ton sang... il sent meilleur que d’habitude, hein ?
… Haa.
Bordel, je vais pas pouvoir y résister. Ça ira, hein ? Planche-à-pain.
Yui : Hein...?
—— Ayato la mord.
Ayato : … Nn...
Yui : Ah...
Ayato : … Nn... Sucré...
Yui : (Ce n’est pas douloureux comme ça l'est d’habitude... En fait, c’est plutôt chaud et... agréable...)
…
Ayato : … Hm ?
—— Yui s’est endormie.
Ayato : Que—, Tu t’es vraiment endormie là !?
On commençait tout juste à s’amuser ! Hey, planche-à-pain, réveille-toi !
Yui : Zzz...
Ayato : Tch, tu me le paieras, petite peste !
Yui : Zzz...
Ayato : Tch, je suppose que je vais te laisser un peu de répit.
Ce serait ennuyeux de continuer si tu ne réagis même pas.
Alors... Quand on le fera, crie aussi fort que tu peux histoire de me divertir, d’accord ?
ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
ㅤㅤㅤ[dark 05]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ[dark 07]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
#diabolik lovers#haunted dark bridal#diabolik lovers traduction française#diabolik lovers français#dialovers fr#ayato sakamaki
0 notes
Text
Blabla à propos des derniers jours
Il s'est passé vraiment pas mal de choses ces derniers jours
On a fait beaucoup de soirées, une à l'appartement avec Jérôme, Marine et leur collègue Nathan, c'était vraiment chouette et j'ai bien aimé Nathan (c'était juste dommage que Marine et Jérôme se soient disputés).
Il me semble que c'était quelques jours avant ça mais on a aussi fait une grosse soirée à la maison et on a rencontré une fille qui s'appelle Estelle
Je sais que Fred l'aime vraiment bien, ils ont beaucoup en commun et ça me fait plaisir, et puis il est aussi content qu'on ait une copine qu'on a rencontré ensemble, pas juste quelqu'un qu'il avait de son côté avant et qu'il m'a présenté et ça me touche
Cependant je me sens un peu mal parce qu'ils pensent tous les deux que j'adore Estelle alors que c'est pas spécialement le cas :/
J'ai rien contre elle vraiment mais je crois qu'elle me met un peu mal à l'aise, déjà à la soirée j'étais hyper renfermée sur moi-même mais je me disais que c'était la C, mais elle est repassée l'autre soir pour nous rendre de l'argent et au final elle est restée jusque quasiment 3h
Ils ont tous les deux bien papoté, moi je savais pas trop où me mettre, et puis ça a parlé de L et ils sont chauds tous les deux pour qu'on en prenne tous ensemble, mais moi non
J'ai essayé d'aborder un peu le sujet avec lui hier soir d'ailleurs
Ça me fait super peur qu'elle soit là si on en prend, j'ai peur de me renfermer sur moi même comme a chaque fois, j'ai peur de bader, j'ai peur de les voir ensemble et que ça me fasse psychoter de façon irrationnelle parce que si elle est là je vais devoir affronter ça toute seule et j'aurais pas mon point d'ancrage
Enfin bref
On a fait des trucs chouettes avec mon amoureux bien que 80% de notre temps on l'a passé à glander au lit
Hier on a enfin fait la petite maquette que j'ai achetée il y a longtemps et ça m'a vraiment fait très plaisir de faire ça avec lui parce qu'on a plus beaucoup de temps pour nous deux
On a fait notre première raclette d'amoureux, et comme on a vu les choses en grand on a même pris du Pouilly fumé pour aller avec
L'autre soir il a failli me faire pleurer de joie, il était peut-être 1h du matin et on regardait un film, je lui ai demandé s'il pouvait me faire un thé pendant qu'il était a la cuisine et il me l'a amené en me disant "tiens, j'ai cherché ta cuillère préférée partout mais je l'ai pas trouvée je suis désolé" et ça m'a tellement touchée
Mon amoureux est soucieux, mon amoureux me connait par cœur et il fait attention aux moindres détails c'est trop choupi
Ensemble on a regardé The Eternal Sunshine of the Spotless Mind et au début ça me rendait un peu triste parce que la seule et unique fois que je l'ai vu c'était avec Thibault, et je me souviens que quand on l'a vu je savais pertinemment que ce serait le dernier film qu'on regarderait ensemble
Malgré tout je me suis vite replongée dans le film (au point de pleurer 2 fois) et c'était tellement beau et touchant, j'aime vraiment tellement cette histoire
Je suis heureuse qu'on l'ait regardé ensemble en amoureux, parce qu'à la fin c'est vraiment incroyable ce qui s'est passé
On est restés en boule dans les bras l'un de l'autre sur le canapé à presque sangloter et se réconforter, à se dire comme on s'aimait et qu'on ne voulait jamais perdre ni oublier l'autre, et j'ai jamais pensé ça aussi fort
Je sais pas s'il se rend vraiment compte
Mais nos souvenirs et notre amour comptent tellement pour moi, je veux jamais jamais jamais oublier tout ça
Hier soir on a fait une petite soirée chez Jérôme et Marine et c'était trop cool d'être tous les quatre dans cet état d'esprit
Jérôme et Marine étaient trop adorables, ils avaient l'air vraiment très amoureux alors j'ai pris quelques photos d'eux, même si la qualité image est moche
J'ai dansé avec mon Amoureux aussi et ça m'a fait sourire
On s'est beaucoup pris dans les bras
Ce matin il était malade alors j'ai pris bien soin de lui
J'aimerais le protéger et le couvrir de tout mon amour toute la journée hehe
1 note
·
View note
Text
Lettre à l'ami de novembre
C'est étrange. Étrange lorsque quelqu'un dit "Il y a l'odeur de l'hiver", chacun sait de quelle odeur il s'agit. Mais aucun ne sait la définir réellement. Chez nous, c'est une odeur de sapin, de sève, qui s'élève dans l'air. J'entends encore les oiseaux et un peu le soleil qui s'éclate sur ma fenêtre. Je vois la lune qui éclaire les sommets blancs, et je touche la glace bleue des glaciers.
Tu sais, mon ancien ami, je suis un peu devenue celle que tu aurais voulu. Je suis retournée avec un carré, et j'ai des cols de chemises qui dépassent de mon pull. Je suis calme et posée et je réfléchis au lieu d'agir et je respire, je chante, je pleure de joie, j'embrasse, danse dans ma cuisine, respire enfin. Je regarde ces films dont tu me parlais et touche un peu ce que tu voulais me montrer. J'ai écris un livre pour des mauvaises raisons, mais j'écris une pièce pour moi. Je me couche contre cette peluche, mais mon cœur n'appartient plus qu'à moi. J'ai même racheté des sous vêtements pour la beauté de celui qui me les enlève, pour mon plaisir de voir son regard s'attarder sur la dentelle, me sentir désirée, appréciée, touchée. Je porte des baskets avec ces tenues que je n'osais pas porter, j'ai encore ta chaîne autour de mon cou. Je lui ai retiré la symbolique qu'il devait y avoir.
Je suis celle que tu aurais aimé voir, puisque je ne comprends que maintenant que tu voulais me voir telle que je suis. Dans ma croyance et ta violence, tes peurs, j'ai répondu en cachant encore plus en moi une fleur un peu froissée. Je ne pouvais m'étendre entre tes bras, ni entre ceux de qui que ce soit.
Je sais que je me réveille encore parfois en sueur en te voyant dans mes rêves, quand dans cet univers je ressens encore ton mépris de n'avoir pas été à la hauteur. Dans cette ville où je fais des détours pour ne pas recroiser ton regard à cette terrasse, où je danse sur les pavés, gorgée d'alcool, quelques étoiles visibles de la coline regardent mes mains taper le rythme qui m'habite. Oui, dans cette ville que je vais quitter, pour moi, et non plus pour et à cause de toi.
Toutes les choses qui restent de toi sont à présent des objets dans ma bibliothèque, que j'aperçois de l'angle mort quand je pars au travail, à Paris, au bar avec mes amis. J'ai l'avenir qui se dessine sans que je le cherche et je crois à la beauté qui m'habite. J'ai une perle qui roule et se lisse et se polit entre mes doigts, que j'écrasais de mes larmes et que je caresse à présent. Le monde est si beau, et je danse sous la pluie. J'enfile mon âme fripée et j'ai le rire facile, le sourire de béatitude, j'en perds même ma timidité.
Je suis heureuse comme tu aurais aimé que je le sois. Et j'en viens à espérer que désormais toi aussi tu es heureux comme je l'ai souhaité.
Il y a des égos bien trop forts, qui se répondent mais ne se donnent aucun repos. Le monde et l'amour ne sont pas des champs de bataille, et j'ai déposé les armes dans le mausolée de nos souvenirs. Je ne veux pas me souvenir de tes doigts autour de ma gorge ni de mes phalanges qui s'abattent sur ta pommette. Je veux garder ces choses dans mes habitudes, la recherche d'un oiseau dans les arbres, une référence à une famille, certains plats que j'assaisonne avec moins de sel, des listes qui s'accumulent, passer ma main sur les joues des gens que j'aime, j'apprends à conduire en me souvenant du ciel lourd de la Drôme.
Je ne me permet plus de chercher tes doigts quand j'attrape les mains des autres.
Je te remercie, au final, pour ces leçons, ta langue qui claquait comme un fouet sur mon innocence, la violence de mes mensonges pour te faire payer le combat que nous nous menions. Évidement, dans ma fragilité, j'aurai aimé que nous nous épargnions certaines cicatrices, circonstances qui valent des plaies à l'âme. Que veux-tu, nous ne sommes qu'imparfait.
J'ai abandonné les avions, je tiens seule mon café. J'ai l'ami de l'été qui me soutient encore un peu, qui termine ton travail. J'attends l'ami du printemps et celui de l'hiver. J'alimente un feu que je veux ardent et dans lequel je n'ai plus besoin de jeter les feuilles de mes écrits. Je regarde dans ce miroir ces grands yeux vert de gris qui ne comprennent pas le monde, qui s'égarent quand je suis dans le métro, se lèvent aux étoiles et se ferment dans le plaisir de l'intimité. La bouche que je couvre de rouge, redessiner les contours de mon être, exister pour le plaisir et non pour complaire.
Je ne sais pas qui sera mon prochain ami. Peut-être qu'il aura aussi une odeur que je ne connais pas. Mais j'ai hâte de découvrir ce qu'il aura à me montrer.
[Octobre 2021]
0 notes
Note
Holà ! Ici ton Secret Santa 😎🎅, en mission pour te trouver le cadeau parfait et illuminer ce mois de décembre ✨
J'espère que ce dernier mois de l'année commence bien pour toi, ton humble serviteur (moi) mettra tout en œuvre pour concocter quelque chose qui te fera grand plaisir.
J'arrive un peu tard mais en attendant dis moi, qu'est ce qui te plaît le plus durant les fêtes ? Les cadeaux, la nourriture, le vin chaud, les marchés de Noël, les réunions de famille ou amis, tout autre chose ? Curieux de savoir 😌
Bonne fin de soirée ✨✨✨
IIIIIIHIHIHIHIIII (TWIRLING MY HAIR) BONSOIR SANTA j'espère que tu trouvera de l'inspi et que toi aussi tu auras un cadeau tiptop🫵💖
Ce que je préfère pendant la période des fêtes j'avoue c'est regarder toutes les lumières de noel qu'ya dehors le soir, et le vent froid qui me picote le visage, j'ai jamais goûté de vin chaud mais je tiens a ce que ça change cette année. Et j'adore offrir des cadeaux, notamment faire des cartes postales ou donner des chaussettes rigolotes, j'aime bien quand c'est un échange sans pression parce que je sais que ça peut être stressant de se dire ''aaah jsais pas quoi offrir a x pourvue que ce que je trouve lui plaise !!' Et j'avoue J'ADORE RECEVOIR DES TRUCS. QUE CE SOIT DES OBJETS DÉBILES QUI ONT UN TRUC LIÉ A LA PERSONNE ET MOI, DES TRUCS UTILES GENRE CHAUSSETTES OU ACCESSOIRES OU DES STICKERS ... ANYTHING I LOVE TH8NGGGGS I LOVE MY FRIENDS AUUURGHHHH
Et puis évidemment le classique de Noël pour moi, la RACLETTE
J'ai entendu des gens dire que c'était pas un plat de Noël mais ils ont tort, tout ce qu'on mange a Noël est un plat de Noël même les PÂTES, voilà take that j****
Bref IIIIII J'AI TROP HÂTE DE VOIR CE QUE TU ME CONCOTES. ALSO JE SUIS INSCRITE A 2 SECRET SANTA ET DONC JE N'AI DOUBLEMENT AUCUNE IDÉE DE CE QUE JE VAIS RECEVOIR DE TOI C'EST TROP DRÔLE
BISOUS 💥🫶🫶🫶🫶🫶🫶🫶🫶🫶💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖
1 note
·
View note
Text
Gros.se ! Oui ! Et Alors ?
Vous avez vu la meuf en maillot ? C'est bon ? J'ai votre attention ?! Ok ! Je commence. "Oh! Mais putain ! Jodie ! Change de sujet ! T'es vraiment relou !" (Oups... Mauvais jeux de mots !) Ce sujet me tient à cœur, car j'ai beaucoup souffert de grossophobie étant enfant et ado ! Et si je peux utiliser ma petite notoriété pour éduquer un peu les gens sur ce sujet. Et bien, je le ferai ! Je sais clairement que je n'éduquerais jamais tout le monde. Mais je m'en fous. ça touche les personnes que ça touche. Et si un.e grossophobe vous casse les bonbons, je vous invite à lui filer mon article. Et à lui faire un bon gros fuck des familles. Si vous êtes vite choqué.e, je vous conseille de partir maintenant. Je vais parler de façon très franche. Au pire, si vous trouvez que je vais trop loin... Je vous invite à rallumer votre télé... Regarder Ardisson ou "Touche pas à mon poste !"
C’est bon ? Vous êtes toujours là ? Prenez une boisson et de quoi bouffer, ça va être long. Ou pas ! Sinon, on va dire que je vous incite à devenir gros.ses ! Donc non ! Ne mangez pas en lisant cet article ! Limite, faites du sport en même temps ! Bon ok ! Ce n'est pas pratique ! Je tiens à préciser que mon but n'est pas de conforter les gros.se.s dans leur peau. Ni de blâmer les minces d'être mince. Je désire juste remettre les choses à leurs places. Et faire fermer leurs bouches aux plus débiles !
Chaque personne a ses complexes. Au vu la société dans laquelle nous évoluons, certaines personnes sont en mésentente totale avec leur corps. Et si en plus, des personnes tiers s'emmêlent... On est pas sortie de l'auberge. Et vu les belles choses que j'ai lues sur twitter ce mardi soir, je ne suis pas sûr qu'on y soit déjà entré !
Ah oui ! Les personnes qui prétendent tout connaître de façon sérieuse sur le domaine... (Sous prétexte qu'elles ont du vécu. Je ne vise personne en particulier. Je vise toutes les personnes qui pensent comme ça.) J'ai le plaisir de vous annoncer que nous sommes 7,7 milliards d'être humain sur terre ! Et qu'il y a autant de schémas, de corps, de façon de penser que c'est qu'il y a d'humain.e. Entre le métabolisme de tante Micheline, la façon de penser de Jacky et la façon de fonctionner du facteur... Vous voyez où je veux en venir ? Ce qui s'applique à vous, ne s'appliquera pas forcément à quelqu'un d'autre ! Je crois que je commence à voir des neurones se connecter ! Fabulous ! Au pire, les autres expliqueront aux personnes du fond en commentaire sous l'article.
J'en ai entendue des insultes ! Grosse vache ! Baleine bleue ! Flubber ! Et j'en ai entendu des préjugés ! Si on est gros.se.s, c'est qu'on est malade ! Parce qu'on ne bouge pas assez ! Parce qu'on mange mal ! C'est incroyable le nombre de médecins qu'il y a sur Internet ! Ah non ! Ce sont des abruti.e.s ! C'est comme les lapins ! ça se reproduit à une de ses vitesses ! Surtout derrière un écran. Comme autres préjugés, j'ai déjà entendu... Les gros.se.s sont fainéant.e.s, sans dynamisme... Si vous pouviez me voir dans certains moments de ma vie intime... Je vous garantis que vous changeriez d'avis. Non ! Jodie ! Les abonné.e.s grossophobes ne veulent pas s'imaginer ça ! Au pire, ça fera marrer les autres ! Plus sérieusement. Vous pensez que les gros.se.s ne font pas de sport ? Tess Holliday, mannequin plus size de renom, a un coach sportif ! Faut bien les porter les kilos. (Cette photo vient de son Instagram.)
En gros, vos préjugés... Gardez-les pour vous. Ils ne m'empêcheront pas d'insérer de temps en temps un kebab dans mon alimentation ! Il faut bien varier de la pizza et de la glace ! Non ?! Oula ! L'ambiance devient lourde ! (Putain ! Faut que j’arrête avec les jeux de mots pourri !) Sans rire. Si je veux rester en bonne santé dans ma condition de personne grosse, il faut bien manger varié. ça me ferait chier de tomber malade et de vous donner raison. Alors que de toute façon vous auriez tord. Car être gros.se n’est pas une maladie. Mais c’est un symptôme. Bien que je parle en "je", l'article n'est pas centré sur moi. Je le centre sur vous aussi. J'invite les personnes ayant la même façon de penser que moi, à en rire. Et les autres à réfléchir.
Je peux vous dire qu'à la base... Vu comment est la société actuelle, (On en parle encore de cette connasse de société !) On ne choisit pas d'être gros.se ! (Comme on ne choisit pas d'être maigre ou d'avoir les yeux de telle ou telle couleur.) On subit ou on décide d'être heureux en apprenant à s'aimer. On pose son poids sur la tronche des gens intolérant, et on rigole de leur ignorance. Je ne me suis pas réveillée un jour en me disant : "Oh ! C’est une super idée ça ! Je vais prendre 50 kg de plus que la norme ! Et m'en prendre plein la gueule par des gens complètement ignorant ! ça sera tellement marrant !" On est tous plus ou moins gros.se pour différentes raisons. Chez certaines personnes, c'est l'hérédité. D'autres, c'est une façon de vivre peu saine. Chez d'autres encore, c'est une maladie qui a fait qu'iels deviennent gros.se ! (Donc oui ! Symptomatique !) Pour ma part, je suis née comme ça. Je tiens à préciser que je ne suis pas là pour me trouver des excuses sur le pourquoi je suis grosse. Les personnes minces n'ont pas en fournir. Donc pourquoi le devrais-je ? "Bah ! Parce que c'est pas bien d'être gros ! "Nils ! Tais-toi ! On a déjà dit que les préjugés c’est pas bien ! Tu t'enfonces là !” En vrai, personne ne devrait s'excuser de l'apparence qu'iel a. Bon par contre... On va éviter d'aller sur l'apitoiement. Car en vrai, on en a rien à faire de la pitié des gens. On a pitié des minces ? Non ! Nils ! Tais-toi ! "Ouai ! Mais les gros.ses ! Si ils veulent pas se faire insulter, ils ont qu'à perdre du poids !" Ah ! Bah ! Bravo Nils ! Suivons ton raisonnement ! Si tu t'en prends une dans la tronche, on pourra te répondre qu'il fallait être intelligent !
Ce n'est pas parce qu'on est gros.se qu'on ne peut pas aimer son corps. Et donc vivre avec. Personnellement, je n'ai pas choisi d'être grosse. J'ai juste choisi d'écouter mon mari qui lui me connaît. Et qui me trouve attirante comme je suis. Personne ne devrait changer d'apparence pour quelqu'un d'autre qu’iel-même. Si vous êtes gros.se et que vous n'aimez pas votre corps. Perdez du poids. Mais pour les autres, ne blâmez pas les personnes qui veulent s'aimer comme elles sont. On blâme les gros.se.s en disant que c'est mauvais pour la santé. Mais il y a des gens qui ne seront jamais minces. Et je tiens quand même à préciser qu'on ne stigmatise pas autant les fumeurs.euses que les gros.ses. Alors, que fumer n'est pas une chose naturelle. Je n'ai pas besoin de rappeler que la cigarette est vraiment mauvaise pour la santé. Mais je ne vais pas m'aventurer sur ce sujet.
Simple rappel... Le mot gros.se n'est pas une insulte. C'est la façon dont vous l'utilisez qui peut en devenir une. Dans le cas contraire, j'ai rarement vu des gens dire "Oh ! Espèce de sale mince !" Ah ! J'oubliais que la société nous formatait de façon à penser que gros.se = mauvaise chose ! Et oui ! Encore la société ! Décidément... Elle a bon dos cette connasse ! Mais si on se recentrait sur l'être humain ? Certes, nous faisons partie d'une société. Mais dois-je vous rappeler que vous êtes un.e humain.e ? En d'autres termes... Occupez-vous de vos fesses plutôt que de vous occuper de la taille de celles des autres. Vous avez sûrement d'autres choses plus importante à faire dans votre vie que de vous occuper de la façon de vivre des autres.
Je vous souhaite une bonne journée et vous fait des gros bisous !
Et pour les "mdr g pas lu"...
0 notes
Text
“J’ai deux demandes pour ce soir. Je veux que tu penses à prendre le wand évidemment, et je veux que tu portes une culotte qui me laisse tes fesses accessible sans que j’ai à la retirer. Je veux pouvoir te fesser en retirant uniquement ton pantalon”
Le soir, après le repas, nous regardons une série. Tu as retiré ton pantalon et tu t’es couverte avec le plaid. “C’est juste pour me mettre à l'aise” me dis-tu dans un sourire complice.
Tout au long de l’épisode, je ne peux m’empêcher de t’embrasser. Tu m’as tellement manqué. Je prends ton visage dans mes mains. Je veux ta bouche, ta langue, ta salive…
Mes mains parcourent ton corps mais je me retiens pour que nous puissions finir l’épisode.
Quand il est terminé, je reprends mes baisers. Mes mains sont plus audacieuses. J’empoigne ton cul. Je serre chacune de tes fesses jusqu’à te faire mal. Tu protestes un peu mais tu te laisses faire.
Je te demande de t’agenouiller sur le canapé, face au dossier. Je veux que tu fasses bien ressortir ton cul et tu t’exécutes. Tu sais à quel point je te trouve magnifique dans cette position. A quel point ton cul m’excite et je sens que tu en joues un peu.
Je me mets à te fesser. Les claques font rougir tes fesses. Tu gémis un peu mais je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir. Tu ne te dérobes pas, au contraire, tu continues de creuser les reins pour mieux faire ressortir tes fesses.
Après quelques minutes de ce jeu, je te laisse reprendre ton souffle puis je défais ma ceinture. J’en fais une boucle et je commence à t’asséner des coups puissants et précis. Cette fois ce ne sont plus des gémissements mais des cris de douleur. Pourtant, tu continues à accepter ton sort dans un élan de soumission qui me fascine autant qu’il m’excite. J'essaie de faire en sorte que le cuir couvre la totalité de tes fesses. Ta peau rougit encore plus. Tes cris s’intensifient tandis que mes coups se font plus durs et plus rapprochés.
Quand je termine enfin. tu sembles te tordre un peu de douleur, mais tu as gardé la même position.
Je t’invite à te lever. Je t’embrasse. Je te dis à quel point tu es merveilleuse. A quel point tu es parfaite. Puis je te guide jusqu’à la chambre.
Tu t’agenouilles sur le lit. Tu attends mes instructions.
“Déshabille-toi entièrement”
Je te veux nue. Vulnérable. Je garde mes vêtements pour accentuer cette vulnérabilité.
Tu es désormais totalement nue, agenouillée. Je te regarde. Je me nourris du spectacle de ta nudité. Je t’embrasse, je te pince un sein, je serre ton cou dans ma main. Ces jeux ne durent que quelques secondes.
Je murmure “Ma Soumise…”
Ces mots sont comme une caresse pour toi. Tu soupires.
Cependant ton statut de soumise ne peut pas uniquement répondre à des attentes de ta part.
“Aujourd’hui je ne vais pas te mettre de collier. Ce n’est pas pour autant que tu vas rester sans marque de soumission. Tu es ma Soumise et je veux que ça se voit.”
Tu acquiesces.
“Aujourd’hui la marque qui prouveras que tu m’appartiens sera le plug.”
Je le tiens dans ma main. Je l’enduis de lubrifiant du bout du doigt.
“Tourne-toi et penche-toi un peu en avant et tiens tes fesses écartées.”
Tu obéis et je peux ainsi utiliser mon doigt couvert de lubrifiant pour caresser ton anus puis le pénétrer lentement mais sûrement. Je le fais entrer assez loin. Tu gémis un peu.
Je ressors mon doigt puis je te demande de me refaire face.
“Je vais te demander de faire quelque chose pour moi que tu n’aimes pas faire. Tu sais ce que c’est ?
- Oui.
- Dis-le.
- Tu veux que je me mette moi-même le plug.
- Exactement.”
Tu me regardes dans les yeux et je devine ton inconfort. Mais je sais qu’à cet instant tu m’es totalement dévouée.
Tu trouves une position et tu guides le plug à l’entrée de ton cul. Je te regarde dans les yeux, je regarde ton cul, tes jambes écartées, ta position impudique, ta chatte que je devine humide puis je reviens à tes yeux. Tu fermes les tiens comme pour mieux appréhender tes sensations. Tu pousses l’objet en métal qui écarte doucement tes chairs. Tu soupires un peu tandis que le plug, sous l’effet de petits va-et-vient répétés, finit par écarter ton trou de toute la largeur imposée par le métal.
Et puis le plug entre entièrement et ton cul se referme sur sa base. Tu gémis de protestation, mais une tension se libère et tu reprends un rythme de respiration plus régulier.
Je te prends alors dans mes bras. Je te serre fort, quitte à empêcher ta respiration momentanément. Je t’embrasse avec toute la douceur du monde. “Ma Soumise”.
Puis je saisis les cordes.J’attache tes poignets dans ton dos, bras tendus. Je fais remonter les cordes puis je les enroule autour de ta cage thoracique. Une fois, deux fois. Au passage je malmène tes seins. Je frotte tes tétons avec le chanvre, j’insiste sur la tension de tes liens. Je veux te contraindre fortement.
Quand les cordes forment enfin un harnais oppressant autour de ton corps, je passe délicatement une main dans tes cheveux. J’y plonge mes doigts, les fais glisser. Petit à petit, je les réunis dans la paume de ma main avant de les emprisonner dans une nouvelle corde. Je prends soin de ne pas les abîmer en les emprisonnant dans une boucle coulissante.
Quand ils sont captifs, je relis la corde qui les maintient à tes cheville, obligeant ton corps à se tendre comme un arc, la tête tirée en arrière par tes cheveux.
Ainsi immobilisée, tu es à ma merci. Je t’embrasse, je serre ton cou, je caresse ta chatte, j’y enfonce mes doigts. Je veux désormais ton plaisir. Je veux te sentir ruisseler entre mes doigts. Et rapidement, je sens les zones les plus sensibles. Je sens ta chatte se contracter et commencer à couler. Je te fais un peu languir avant d’appuyer davantage mes caresses jusqu’à ce que tu gicles abondamment dans ma main.
Tes cuisses se referment sur ma main mais je prolonge mes caresses et tu gicles une deuxième fois.
Tu reprends ton souffle mais je ne te détache pas. Tu es couchée sur le côté. Je caresse longuement ton corps.
Plus tard, quand tu as repris tes esprits, je me saisis d’une poignée de pinces à linge. J’en pose autour de tes seins, sur tes tétons, sur la peau de ton ventre, j’en dispose même quelques unes sur les lèvres de ta chatte. Pendant quelques minutes, je joue avec les pinces. Je les tire un peu. Les enlève, les remets. Je cherche les zones les plus délicates, les plus sensibles et j’insiste sur ces endroits. Tu te débats un peu ce qui a pour effet de tirer tes cheveux et ta tête en arrière. Ta bouche est ouverte et je ne résiste pas à l’envie de sortir ma queue et de la glisser entre tes lèvres. Juste le gland. Tu te mets à le sucer avec envie. Tu tentes d’en avoir plus mais je ne te laisse pas faire. Je ne te laisse que mon gland. Tu le suces avec force.
Après quelques minutes, je ne résiste plus et je m’enfonce dans ta gorge de toute la longueur de ma queue. Je sens que je te force mais tu m’accueilles pourtant avec dévotion. De temps en temps, je ressors ma queue couverte d’une salive épaisse avant de m’enfoncer à nouveau, chaque fois un peu plus loin. Ton visage tout entier travaille à mon plaisir et cette image me trouble profondément.
Puis je me retire de ta bouche, j’ai encore la sensation de sentir les muscles de ta gorge enserrer mon gland. Des larmes perlent à tes yeux. Je m’allonge face à toi et je t’embrasse. Nos langues se retrouvent dans ce surplus de salive qui a facilité le passage de ma queue.
Une à une, je retire les pinces à linge, je dénoue tes liens. Je te libère. Et quand tu es totalement libre, tu viens te blottir contre moi.
Je te caresse, je t’embrasse. Je dépose des baisers sur les zones que j’ai martyrisées avec les pinces. Tu reprends ton souffle. Tu es tellement parfaite…
Quand nous sommes tous les deux apaisés, tu murmures à mon oreille : “Je veux m’occuper de ton cul…”
1 note
·
View note
Text
NSBC • Chapitre 9
« Ma puce, je ne sais pas ce que tu en penses, mais je trouve que Gabriel grandit très vite… il faudrait peut-être penser à agrandir la maison… non ?
— J’y ai pensé aussi… Ou alors on peut peut-être déménager ?
— Comme tu veux, c’est ta maison, à la base.
— Je vais réfléchir. »
Eh oui, les bébés, ça grandit extrêmement vite ! Donc pour l’instant, il peut être dans notre chambre, mais bientôt il faudra penser à lui en donner une à lui…
Bon, les mois qui ont suivi la naissance de Gabriel nous ont appris qu’il n’était pas si silencieux que ça, mais j’imagine qu’on ne pouvait pas y couper. Nous sommes devenus des pros en changement de couches au milieu de la nuit, même si on ne s’habitue jamais à l’odeur.
De notre côté, nous nous en sortons bien.
Personnellement, tout baigne entre nous, et professionnellement, j’ai été de nouveau promue, et le boulot d’Edward lui plaît tellement qu’il se croit dans un bar même à la maison. Je ne vais pas m’en plaindre, ça donne des visions assez plaisantes, parfois…
Victoria est venue plusieurs fois depuis la naissance de Gabriel, mais je dois avouer que je ne sais pas vraiment si elle est heureuse de cette naissance ou pas…
Ah, au fait, je vous ai parlé de ma dernière invention ? Je l’ai appelée : « pistolet à éléctroparticules » ! Ça claque, non ? Je peux faire faire ce que je veux aux gens ! Et c’est souvent sur Nina Caliente que ça tombe, j’admets…
Je peux les glacer aussi, mais j’ai pas testé, pour l’instant, ça le fait pas trop de geler les collègues… Victoria serait bien capable de me tomber dessus, belle-sœur ou pas belle-sœur…
Entre deux blagues à Nina, j’ai bossé un peu sur la fusée du site, et même si la fuséologie c’est pas trop trop mon truc, ça a un côté passionnant… on se rapproche des extra-terrestres, c’est moi qui vous le dit !
•
Et finalement, comme la vie avance à toute allure, le premier anniversaire de Gabriel est là. Pour l’occasion, nous avons bien sûr convié sa tante. Edward a l’air ravi de voir sa sœur, ça me fait plaisir.
Sans plus tarder, nous avons assisté à une poussée de croissance extraordinairement rapide, Gabriel se retrouvant soudainement avec des cheveux aussi roux que ceux de son papa. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrais !
« Et voilà mon bonhomme ! Hop ! »
Après un rapide petit tour à la salle de bain, Gabriel était tout propre et tout beau. Debout sur ses deux jambes, il s’est avancé vers Victoria qui avait vite fuit vers le salon, mais elle ne semblait pas réellement apprécier cette initiative…
Mais Gabriel ne s’est pas laissé démonter par son air peu avenant naturel, et il a réclamé un câlin. Quel amour…
« ‘atie ! »
Victoria a eu l’air un peu prise au dépourvue, mais sous notre regard à la fois surpris et comblé, elle s’est penchée pour enlacer le petit bout.
Je le savais. Elle l’aime, son neveu.
Au même moment, j’ai aperçu une lumière étrange dans la rue. Intriguée, je suis sortie, et…
« Qu’est-ce que… ! »
J’ai senti mes pieds se détacher du sol. C’est quoi ce bazar ?! J’ai levé les yeux au ciel et là j’ai compris. Quand je vous disais qu’on se rapprochait d’eux… c’était pas une blague, mais un vrai calcul de scientifique !
•
Ça me fait plaisir de voir Victoria aussi proche (physiquement, j’entends) d’un autre être humain, même si c’est un enfant. J’ai bien compris que l’affection physique d’un adulte ne l’intéressait pas, et ne l’intéresserait probablement jamais, mais l’affection filiale est quelque chose d’extraordinaire, et je suis content qu’elle puisse l’expérimenter d’une certaine façon.
Elle est ensuite venue s’asseoir sur le fauteuil, et je l’ai rejointe, mon plat à la main. J’étais allé me chercher un petit truc, n’ayant rien avalé de la journée, et j’ai également donné une assiette à Gabriel, parce que le pauvre devait aussi avoir faim.
« Tu te rends compte que ton fils est ton portrait craché ou pas ? »
« Ah bon ? »
Elle lève les yeux au ciel. Oui, bon, c’est pas si facile que ça à voir, hein ! Si… ? Tiens, d’ailleurs, où est Solange ?
3 notes
·
View notes
Text
Je vais faire une playlist raphisiteur et personne ne peux m'arrêter.
#je prend les musiques en priorités pour les paroles et la vibe générale de la musique#je vais me faire un peu plaisir tiens#vdf#le visiteur du futur#raph#Raphaël descraques#florent dorin#raphisiteur#visiteur#renard#raph x renard#renaph#?? jsp Raphisiteur je trouve ça plus joli
19 notes
·
View notes