#je suis luigi
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UnitedHealth Gets Luigi Mangione T-Shirt Pulled With Copyright Complaint
This pro-Mangione design isn’t available on the internet anymore because UnitedHealth Group submitted a copyright complaint against it under the Digital Millennium Copyright Act (DMCA). The painting has been removed from Teepublic, which allows artists to sell their own designs on merchandise like t-shirts and sweatshirts. But it’s not clear how UnitedHealth could claim they have rights to something that doesn’t involve any of its intellectual property.
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readandwriteclub · 1 month ago
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Luigi Mangione Is Revealing the Right's Double Standard
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I know he's busy rn but hear me out:
Luigi Mangione for Mayor of New York
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The #AllLivesMatter degenerates love the two-tier style of justice and complete disregard for children.
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lordk022 · 18 days ago
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The seducer's of the little Italy !
Avertissement : Contenu +18, personnage X Female-reader, propos grossier, relation sexuel, jeux de séduction.
Synopsis : Tu est une touriste qui visite la Canada, tu te rend dans un quartier nommé «  Little Italy » .
Tu marchait dans les rues de la petite Italie, sous la chaleur du mois de Juillet. Une légère brise glissait sur tes chevilles dévoilé, alors que tu te diriger vers une grande rue pleine de terrasses de restaurants. Tu sentit ton ventre crier famine, il faut dire qu'il était 12H46 et que tu visiter ce magnifique petit quartier depuis plus de deux heures.
Ton attention se porta sur une odeur forte de pizza et tu vis deux pizzeria à t'a droite, instinctivement, tu te rendit dans la pizzeria nommé « chez Luigi », puis tu t'installa à la table du fond.
Tu entendait les rires, à la fois des clients mais aussi du personnel en cuisine qui rigolait et chanté
tout semble si paisible ici... pensai-tu, le sourire aux lèvres. Soudain une voix masculine, parlant en italien vient te sortir de t'a rêverie.
« Buongiorno Signora ! » Tu releva la tête pour voir un beau jeune homme aux yeux bleu et aux cheveux brun, svelte un tablier autour de la taille. Quel charme... pensai-tu.
« Bonjour... Hm... j'aimerais une pizza. »
Il te regarda de ses beaux yeux, examinant ton visage, il se mit à rire doucement, et penchât la tête sur le coté.
« Vous êtes dans une pizzeria demoiselle, votre choix ne me surprend pas. Mais, avant de vous l'apporter, j'aimerais vous donner un conseil, permettez moi de vous changez de table. Il y a une table libre sur la terrasse se serait dommage de ne pas profiter d'une si belle journée. »
« Oui je n'y avais pas pensé, merci » dis-tu l'air toujours troublé, tu te leva de t'as chaise et l'observa se diriger lentement vers les cuisines ou il commença à préparer t'as pizza. Tu ne put t'empêcher de continuer à l'observer, et au bout de presque une minute tu réussi a décrocher ton regard du bel homme pour rejoindre la terrasse et prendre place à l'une des tables libre.
Il apparut une pizza chaude à la main.
« Voilà pour vous mademoiselle ! Je ne vous ait jamais vu ici, vous êtes nouvelle ? »
« Non je suis en vacance. »
Il se rapprocha de toi, la main droite posé sur le dossier de la chaise libre en face de toi.
« Et puis-je connaître votre prénom Signora... ? »
Tu te mit à rougir.
« Y/N, et toi comment tu t'appelle ? »
« Léo » répondit-il.
« La pizza est très bonne Léo merci. »
Il rit et s'installa avec vous.
« Il ne t'attendent pas en cuisine, je ne veux pas t'empêcher de travailler. »
« Oh non ne t'en fais pas, je travaille ici avec ma famille, je peux prendre mon après midi, mes parents arrive à se débrouiller. »
Vous discutiez comme ça pendant une heure peut-êtres deux heures, discutant de vos vie, de vos envies, de votre travail... Plus vous discutiez, et plus tu tomber sous son charme. Son parfum t'enivrait, ses yeux devenez de plus en plus beau à chaque fois que tu croisait son regard, tu sentit une chaleur monté en toi tandis que Léo se rapprochait de toi. Il était si proche de toi maintenant, tu respirait fort.
« Tu veux venir chez moi ? » Demanda Léo.
« Heu... Oui ça me plairait bien. »
« Super ! Je pourrais te faire goûter à ma sauce tomate basilic maison ! »
Il monta sur sa moto et te tendit un casque, t'invitant à monter derrière lui.
Une fois arrivé à son appartement, tu observa son salon, en prenant place sur le sofa. Tu sentit ton corps tremblant de désir, Léo est si sexy, si doux...
Il déboutonna deux ou trois boutons supérieur de sa chemise, dévoilant d'avantage son corps, il restait debout te fixant un sourire de défi accrocher aux lèvres.
« Alors Y/N, tu n'a pas trop chaud » il se rapprochait de toi, d'une démarche élégante.
« Si, d'ailleurs j'aimerais bien me rinçait un peu le visage, ou est la salle de bain ? »
« Dans ma chambre, la porte à droite. »
Tu te levait et remarqua que Léo te suivait tranquillement.
Arrivait dans la salle de bain, tu te passais de l'eau froide sur le visage mais sentait toujours une chaleur brûlante entre t'es cuisses, tu te retournais vers Léo qui était debout près de son lit.
« Tu permet que je me mette à l'aise Y/N » dit-il, tandis qu'il commençait à déboutonner doucement sa chemise. Il enleva sa chemise et il ne restait plus que son T-shirt vert kaki où l'on pouvait voir des auréoles de transpiration. Tu t'approchât de lui.
« Vient ma belle, met toi à l'aise »
Tu t'assois sur son lit, à ses côtes tandis qu'il commençait à t'embrasser, sa langue léchât t'es fines lèvres pour demander l'accès à t'as bouche et tu lui en donna l'autorisation.
Sa main caressa t'es cuisses, et un frisson parcourut tout ton corps, tel une décharge électrique.
Il rompit le baiser, pour se mettre à genoux devant toi, baissant t'as culotte il se mit à léchait t'as chatte humide de toute cette excitation.
« Hmmm ! »
« Tu aime bien Y/N ? »
« Oui surtout ne t'arrête pas ! »
Il continua, passe sa langue de haut en bas, et quelque fois, il introduisait sa langue dans t'as chatte.
Tu gémissait de plaisir, t'es yeux fermé, au bord de la jouissance il s'arrête, et se relève face à toi.
« Tu aimerais me faire plaisir à ton tour, ma douce ?
« Oui bien sûr Léo. »
Il baissa son pantalon, puis son caleçon, laissant apparaître sa bite épaisse et poilu, une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire au bout de sa longueur dur.
Tu commençait par sucer le bout de sa queue, le stimulant avec le bout de t'as langue.
« Oh putain, que c'est bon ! Continu. »
Tu continu, faisant des va et vient avec t'as bouche et léchant le dessous de sa bite. Il te redressa.
«  Passons à l'étape supérieur ma joli. »
Tu t'étendit sur le lit, et il vient entre t'es jambe, ses mains caressait t'es seins, puis il te pénétra doucement, tu gémis fort à l'intrusion de sa bite en toi, et il posa un baiser sur t'es lèvres.
« T'as chatte est si chaude, Y/N ! je pourrais la baisé toute la nuit ! »
Il fit des vas et viens un peu plus rapide, léchant désormais t'es seins.
Il est si parfait, il si prend comme un Dieu, un autres pourra-t-il me faire ressentir la même chose que lui...
« Plus fort Léo, Plus fort... Encore ! » Tu te mit à le supplier et au vu de son expression ça lui à plus.
« Comme tu veux ma belle, tu es si intense, t'as chatte est si humide, je la sens se serrer autour de ma bite de plus en plus fort... J'aime tellement ça ! »
« Oh ! Je... Vais... »
« Oui moi aussi ma douce, ne t'inquiète pas. »
Léo joui à l'intérieure de t'as chatte tandis que tu gémit encore plus fort, ton orgasme était tellement fort, l'un des meilleur de t'as vie, un moment inoubliable.
Tandis que Léo partit se laver dans la salle de bain, une pensée te traversa l'esprit. Ce mec est tellement parfait, pourquoi faut-il que je parte est qu'il habite aussi loin de chez moi...
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some-deadpan-guy · 7 months ago
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Quel belle journée pour rater les 3/4 du direct, hein?
Mais sérieusement un nouveau Mario & Luigi, un nouveau Denpa Men, un Legend of Zelda sauf qu'on joue en tant que Zelda, METROID PRIME 4 (bon celui-là je m'en moque un peu mais je suis content pour tout le monde) !!? C'est le meilleur Nintendo Direct que j'ai vu depuis très longtemps! Et maintenant que j'ai une Switch j'ai enfin une chance de jouer à la plupart de ces titres! Enfin j'ai une bonne raison de sourire!
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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NYPD has released photos of the alleged gunman who killed the UnitedHealthcare
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CEO, Brian Thompson.
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December 4 2024
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Luigi Mangione, l’auteur du meurtre de Brian Thompson, PDG de UnitedHealthcare, à New York : “Aux Fédéraux, je vais faire court, car je respecte ce que vous faites pour notre pays. Pour vous épargner une longue enquête, je déclare clairement que je n’ai travaillé avec personne. Je m’excuse pour les troubles ou traumatismes causés, mais il fallait que cela soit fait. Franchement, ces parasites l’avaient mérité. Rappel les USA ont le système de santé le plus coûteux au monde. United est la plus grande entreprise des États-Unis par capitalisation boursière, derrière seulement Apple, Google et Walmart. Elle n’a cessé de croître, mais notre espérance de vie ? Non, la réalité est que c'est devenus tout simplement trop puissants, et ils continuent à exploiter notre pays pour des profits immenses parce que le public américain leur a permis de s’en tirer impunément. Évidemment, le problème est plus complexe. Cependant, beaucoup ont déjà mis en lumière la corruption et la cupidité (par exemple : Rosenthal, Moore) il y a des décennies, et les problèmes restent inchangés. Ce n’est plus une question de sensibilisation à ce stade, mais clairement un jeu de pouvoir. Évidemment, je suis le premier à affronter cela avec une telle brutalité honnête.” Les américains approuvent ce geste héroïque 11 décembre 2024
La vague de sympathie qui s'exprime envers Luigi Mangione est proportionnelle à la haine que les capitalistes inspirent à de larges couches de la population. Mais pour en finir avec leur système pourri, nous devons défendre les méthodes de la lutte des classes pour une répartition équitable
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❔❓❔
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philoursmars · 2 years ago
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4000 reblogs?! Je n'y crois pas ! Alors je vais faire ma Miss France: merci à tous ceux et celles qui m'aident ainsi , un simple reblog fait ma journée !( et merci à Luigi Zus, comme l'aurait traduit Nelson Monfort !).
Entre autres merci à @lauduc min copin de ch'Nord et ami de la troupe de l'Atelier du Tigre, à @cicer1 qui m'a fait joyeusement passer cette barre des 4000 , à @gwydionmisha avec qui j'ai souvent échangé, entre autres, étrangement, sur l'Auvergne, à @eopederson3 amoureux des voyages et des deudeuches, et puis aussi @vincentreproches fan d'affiches , @cosihantutti , toux ceux et celles de passage sur mon blog et je suis désolé d'omettre les autres!
Merci, thank you, gracias, grazie et tutti quanti !
Bises
Philippe
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antwhisperer · 2 months ago
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je suis Luigi
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ondessiderales · 2 months ago
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Super Mario World
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Mario
Hey, Bowser, t'es vraiment un type tenace ! Tu veux pas abandonner Peach pour changer ?
Bowser
Eh bien je suis au regret de t'informer que je ne peux accéder à ta requête. Je suis sa seule et unique destinée !
Peach
N'arrêterez-vous donc jamais tous les deux ? Regardez-vous dans un miroir !
Mario & Bowser
Enfin, ne dites-pas de choses pareilles ! Les hommes rivalisent avec leur coeur, vous savez !
Bowser
Bon travail !
Mario
Ouais, bon travail !
Bowser
Alors Mario, comment ça se passe pour toi en ce moment ?
Mario
Oh, si tu savais ! Super bien ! La DS et la Wii se sont vendues à merveille !
Bowser
Je vois, tant mieux pour toi ! Pas le temps de se reposer hein ?
Mario
Oh, Bowser, toi alors ! Arrête !~ Ah, le second vers va commencer !
Bowser
My sweetest Peach girl, je vous aime du fond du coeur. Si vous ne le comprenez pas, je devrai vous enlever et vous enfermer une fois de plus.
Mario
Je vous reconquerrai au risque de ma vie ! Malgré cela, je ne peux conquérir votre coeur…
Peach Silence, vous deux ! Vous ne m'écoutez donc pas ?
Mario & Bowser
Même la tsundere* en vous est séduisante~ Oui, les hommes rivalisent avec leur coeur !
Voix-off
On vous aime on vous aime on vous aime~ On vous aime on vous aime à la folie~ On vous aime on vous aime on vous aime~ On vous aime on vous aime à la folie~
Luigi
Une minute, vous n'auriez pas oublié quelqu'un là ? Luigi dans la place, désolé pour l'attente ! Hein, quoi ? Quoi ? Pardon, pardon !
Bowser
T'as vraiment rien compris toi ! Tu vois pas qu'on est en pleine discussion là ?
Mario
Si tu continues à faire n'importe-quoi, je t'en mets une !
Peach
Ce vaurien de Mario me suffit amplement. Plutôt insolent pour un remplaçant…
Mario
On ne se ressemble qu'au niveau de l'apparence. De toutes façons, les hommes rivalisent avec leur coeur !
Bowser
Les hommes rivalisent avec leur coeur !
Peach
Les hommes rivalisent avec leur apparence !
Bowser
Ah, c'est enfin fini…
Mario
Je suis épuisé…
Bowser
Bon, on va se boire un coup maintenant ?
Mario
Ah, désolé… j'ai quelques trucs à faire ce soir.
Bowser
Oh, petit coquin ! La prochaine fois tu me la présenteras hein !
Mario
Attend, le micro est toujours branché ?
Bowser
Sérieux ? Argh, c'est pas bon ça…
11/04/2014
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readandwriteclub · 1 month ago
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9:45
I will say, boycott McDonald's
(McDonald's collects facial recognition and voice print biometrics on everyone!! If you think it was the fry boy who called the tip line...)
CNN suggested that Luigi Mangione stage a boycott instead of what he did. a boycott of the health care industry. exercising my right to protest by fucking dying.
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tazmanialeredoutable · 3 months ago
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j’ai fait un dessin sur Mario et luigi je suis content de mon œuvre
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toutsurlevin · 5 months ago
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Des vins incontounables de trois grandes maisons d’Italie
Trois maisons italiennes de renom et six vins incontournables pour explorer leurs savoir-faire. Par Jacques Orhon, sommelier, auteur et globe-trotter du vin DU PIÉMONT Langhe Bianco 2023, Dragon Luigi Baudana, G.D. Vajra Voilà déjà 22 ans que je connais les vins d’Aldo et Milena Vajra, des vignerons piémontais talentueux. Je suis resté en relation avec eux depuis tout ce temps, j’y suis retourné…
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swedesinstockholm · 5 months ago
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5 août
au cimetière avec ma mohnschnecke. c'est la première que je mange depuis que je suis ici. une coccinelle avec une aile cassée se promène sur ma robe. j'ai fait beaucoup de rencontres animales depuis ce matin: un pigeon boiteux sur le toit d'en face, des écureuils dans le parc du chateau de charlottenburg, des cygnes et des canards et leurs bébés gris et duveteux dans l'étang devant le chateau, des animaux qui ressemblaient à des chèvres ou des brebis je sais plus, un papillon blanc au cimetière, un insecte non identifié sur ma jambe. ce matin j'ai fini un nouveau poème, ou plutôt remanié un vieux poème parce qu'il me manquait un dixième poème pour envoyer à 10 pages au carré. maintenant j'ai dix bons poèmes. c'est pas beaucoup dix. j'en ai beaucoup plus mais j'en ai que dix que je juge assez bons pour représenter mon travail.
hier j'étais au kw avec n. après notre goûter crêpes au sucre-citron dans la cuisine. en sortant de l'expo on parlait de ce qu'on aimait dans l'art, ce qui nous attirait, ce qui nous touchait. elle disait qu'elle avait adoré la première expo parce qu'elle aimait les trucs provocateurs, les trucs aux couleurs criardes, les trucs qui font du bruit, un truc comme ça. qu'elle aimait pas le naturalisme et que ça comptait pour toutes les formes d'art, qu'importe le médium. elle a dit et toi? et après dix bonnes minutes de réflexion silencieuse et chaotique où sont se sont croisés les photos de luigi ghirri, les formes géométriques de carmen herrera, l'expo fernand deligny au crac l'année dernière et sophie calle j'ai dit je crois que c'est l'humour. i like playfulness. bon il doit y avoir d'autres critères mais j'arrive pas à les définir, c'est trop brouillon.
7 août
orage chéri, même dans mon arrière-arrière cour reculée je vois les éclairs qui ricochent sur le mur d'en face, direction ouest, direction tempelhofer feld, direction la maison. j'ai pris mon billet de train pour rentrer le 27. dans vingt jours. la foudre vient de tomber c'était magnifique et maintenant il pleut et je sens des micro gouttes sur mes pieds près de la fenêtre grande ouverte. ma fenêtre est grande ouverte 24h/24 sinon j'étouffe. j'aime quand il pleut parce qu'on entend plus les zozos dehors.
8 août
je compte les jours jusqu'à ce weekend où je vais être seule à l'appart (demain). j'ai acheté des snacks de célébration pour l'occasion. j'ai passé beaucoup de temps avec n. ces derniers jours. quand j. est rentré hier il nous a demandé ce qu'on avait fait en son absence et elle a dit lots of sugar and art. j'ai eu la confirmation qu'elle avait bien couché avec son ami italien l'autre jour. je commençais à me dire que j'avais peut être halluciné des bruits, dans ma panique paranoïaque. parfois j'entends des grondements quand je suis au lit et je sais jamais si c'est un avion, la u bahn, le sang dans mes oreilles, ou le bruit des plaques tectoniques qui se frottent entre elles. avant-hier elle m'a emmenée chez son glacier préféré sur la skalitzerstrasse (eineuh kugel kokosnuss und stracciatella bitteuh, très bonne), elle m'a offert une carte postale qui dit berlin loves you, pour les jours où j'en ai marre d'être ici. elle m'a montré son quartier préféré de kreuzberg qui est désormais aussi mon quartier préféré avec les halles où ils vendent des cannoli et la librairie anglaise en sous-sol avec des livres d'occasion sur la petite place ombragée à côté du coiffeur à la devanture vert pomme et rouge fluo. on s'est promenées dans les rues calmes bordées d'arbres jusqu'à bethanien, un ancien hôpital du milieu du 19e très impressionnant qui fait un peu poudlard. il était en fonction jusque dans les années 70 et quand ils ont voulu le transformer en centre d'art les gens n'en voulaient pas parce qu'ils auraient préféré une polyclinique pédiatrique.
on est allées voir une expo qui s'appelait aus der krankheit eine waffe machen (faire de la maladie une arme) parce que c'était gratuit, l'intérieur du bâtiment était éclairé comme un hôpital et les murs des couloirs étaient couverts de graffitis. mon truc préféré de l'expo c'était un petit classeur très épais de pochettes en plastique qui contenaient plein de petits papiers provenant de la collection d'un pharmacien qui faisait partie d'une pharmacie militante qui proposait des traitements alternatifs à ceux des grands groupes pharmaceutiques. les petits papiers étaient des recettes écrites à la main ou des trucs qu'il avait découpés et qui ont servi à faire un énorme livre-manuel d'automédication pré-internet. j'ai aussi appris l'existence du sozialistiche patientenkollektiv dans les années 70 qui considéraient la société capitaliste comme cause de maladies mentales comme la dépression et qui ont lancé le slogan krankheit als waffe machen.
hier matin alors qu'on mangeait des donuts hors de prix sur le trottoir (boston cream, très très bon) je lui parlais d'une citation de david foster wallace sur la prise de décision que j'avais lue sur ig et quelqu'un dans les commentaires disait "me when i realize stalling as long as possible to make the right decision is sometimes just refusal to participate in the outer world and i need to remember that this is the Real Things Happening now and any decision is better than no decision." n. disait que ne pas prendre de décision c'était aussi une décision. on parlait de mon indécision devant la vitrine de donuts mais aussi devant ma vie au sens large et je lui disais que depuis que j'étais ici, c'était devenu très clair pour moi que j'avais envie d'habiter en france. elle a fait remarquer qu'en général les choix d'endroit de vie étaient dictés par le travail, le plan de carrière, les études, des trucs comme ça, et j'ai dit oui mais moi j'en ai pas. j'ai rien à quoi me raccrocher. un truc qui me donne une direction. j'ai rien parce que j'ai jamais réussi à faire de choix. sauf pour l'écriture, mais c'était pas vraiment un choix, et c'est pas assez stable et concret pour pouvoir m'y raccrocher. enfin si, je m'y raccroche, mais c'est pas assez. mais l'écriture est le seul moyen à travers lequel j'accepte de participer au monde extérieur. ou que j'arrive à le faire du moins.
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readandwriteclub · 26 days ago
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True.
I think there's something to be said that saying the words "Deny, Defend, Depose, you're next" to an insurance sales rep can get you arrested for 'threats of mass homicide' or whatever with a threat of 15 years in prison
But when I was a manager in a fast food restaurant I've had customers throw food at me, demand for my personal phone number with an added threat of "Well I'll just have to FIND it", customers charging past the front counter to physically intimidate me and my coworkers, screaming and swearing, demands to know what time I get out of work, demands to know when my manager would be at work as a threat, people sitting in their car waiting for me to finish closing because they were angry at me, causing me to stay in the office watching the camera waiting for them to drive away...
But none of those incidents are arrest-able offenses, not one, any time I called the cops on any customer I would just hear excuses like " "there isn't anything illegal about calling a restaurant", that nothing physical happened and therefore there's nothing they could do, to call back and let them know if anything else happens
Idk, just think it's A TEENY TINY BIT ODD
Cop in the news goes "words have consequences" as if people don't berate and threaten fast food and retail workers every day
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michelniezen · 7 months ago
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Luigi TODARO candidat des COMMUNAUX (Brugelette) - Billet n°118
Luigi TODARO se présente aux citoyens de l’entité de Brugelette sur la liste citoyenne LES COMMUNAUX 1  Luigi TODARO – laissons lui la parole. Je m’appelle Luigi Todaro, originaire de Sicile, je suis arrivé en Belgique en 2008 pour venir passer des v.acances auprès de ma sœur. 1.1 Ah l’amour … Mais c’était sans compter sur la rencontre avec Jessica Dumont. Très vite, je n’ai plus voulu la…
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darkpalmor · 10 months ago
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10 AVRIL 2024
Programme difficile.
Échauffement en cinq minutes : Thème imposé ! Réchauffez-moi…
Réchauffez-moi ! J’ai le cœur froid, Vos deux mains chaudes Me font revivre. J’ai des glaçons dans le caleçon, des grêlons dans le pantalon. Réchauffez-moi ! Brûlez-moi donc de votre flamme, Mon cœur, mon âme ! Soyez ma femme !
1°) Aération (5-10 minutes) : Donnez de l’air ! On écrira un court texte dont chaque mot devra contenir au moins une fois la lettre R. Contrainte supplémentaire : le thème imposé est l’étouffement. Assouplissement de la contrainte : chacun pourra s’autoriser au maximum un mot sans R par personne présente à cet atelier. On fera un décompte rigoureux !
Marathon tragique. Robert, courant vers Montmorot, rougeaud, ralentit brusquement, respirant trop fortement, bronches obstruées. Fréquence cardiaque exagérée, arythmie ? Expirations courtes, rapides, rauques, râles pulmonaires, crachats ! Trois secouristes arrivèrent, chargèrent Robert écroulé, recroquevillé suer leur chariot, conduisirent leur gros Renault rouge vers Bourg. Arrivés trop tard, respiration arrêtée, mort cérébrale. Requiem, prières, crématorium. Robert repose, tranquille, au paradis, près du Seigneur. N.B. Trois participants, trois mots maximum sans R autorisés.
2°) Écriture longue (15-20 minutes) : Un titre et des circonstances, Le voile rouge. On écrira un petit récit à tendance biographique avec comme personnages obligatoires un oncle, 4 sœurs, quelqu’un qui s’appelle Marino, un chien sans nom, et un lieu, le quartier des Épinettes. Contrainte narrative : une histoire de proxénétisme. Il faudra aussi des fiançailles, rompues de préférence. Récit à la première personne obligatoirement.
J’ai rompu avec Marino, ç’a été très brusque, j’ai failli paniquer à mort. On était fiancés depuis presque un an, je continuais mon droit à la sorbonne et je me rendais chez lui aussi souvent que je pouvais. Il vivait dans un quartier pourri, les Épinettes, occupant un F2 que lui prêtait son oncle qui occupait un grand F5 à l’étage du dessus. Un tonton louche, un mafieux, comme je l’ai deviné trop tard. Sicilien, comme Marino. Farinelli, c’était son nom. Il fallait toujours que j’aille lui présenter mes hommages, en arrivant et en repartant. Toujours avant minuit, le départ ! Ce vieux patriarche voulait s’assurer que je ne passais pas les nuits chez mon fiancé. Et à propos de fiançailles, ç’avait été toute une affaire. Marino m’avait expliqué que son père resterait en Italie, il ne pouvait pas quitter l’entreprise. Il avait – parait-il – un grand domaine à Palerme, des villas de rapport, des oliviers, du blé dur, des vignes, et gérait le tout avec ses quatre sœurs, toutes vieilles filles, qu’il ne pouvait pas laisser seules pour venir voir une fiancée française. Il fallait que la transmission des biens se fasse du côté des mâles, c’est ce que Marino m’avait expliqué. Le tonton avait une fille unique, une belle garce aux yeux de charbon, et disait que la famiglia c’est sacré mais qu’on ne doit pas rentrer dans des détails et des discussions inutiles ? En tout cas, Marino et moi on devait se marier, parce qu’une juriste dans la famille c’était nécessaire. Ce tonton-là, je suis certaine qu’il régnait sur le quartier des Épinettes et sur tous les bordels des boulevards autour. Il avait chez lui un gros dogue, qui restait planté au milieu du grand couloir de son appartement, et qui grondait aussitôt que j’essayais d’aller plus loin que les trois portes auxquelles j’avais droit, la cuisine, pour y déposer mes paquets, le salon où siégeait Luigi, et les toilettes. « Il protège les chambres », disait-il. Marino, lui, avait le droit de dépasser la ligne invisible marquée par le grondement baveux du monstre, mais ne le touchait pas, ne le caressait pas. D’ailleurs, personne ne lui parlait, à ce chien. C’est l’oncle Luigi qui m’avait offert la bague et le voile de fiancée. C’est un voile rouge, m’avait-il expliqué, c’est la tradition au pays. Le rouge c’est le sang de la fidélité, tu comprends, petite ? C’est hier que j’ai compris qu’on m’avait piégée. Les quatre prétendues tantes allaient m’embrigader dans leur entreprise, une française ça ferait exotique dans le personnel. Une juriste, en plus ! Une avocate, peut-être ? Ils allaient en avoir besoin… Les petits colis que je recevais de Palerme, avec mission de les transmettre à Luigi, contenant sûrement des trucs intéressants que Marino ne pouvait pas récupérer poste restante, il lui fallait une mule. Et la mule, c’était moi. Hier matin, alors que j’emportais le paquet reçu la veille, je suis passé devant une voiture de police, vide de ses agents mais dans laquelle un chien s’est mis à aboyer en me sentant passer près de lui. J’ai balancé le colis dans la première poubelle, fait demi-tour, et j’ai pris la seule décision possible : deux valises, mon Livret A, mes papiers, le premier train en partance pour n’importe où, et ma bague. Je trouverai bien à la revendre. Maintenant je suis ici, dans cette petite gare, assez loin de ces pourris. J’attends. Mais quoi ? Combien de semaines me reste-t-il ? Combien de jours ? Pour l’instant, c’est Marino que je regrette, et ses beaux yeux. Mais si sa garce de cousine s’avise de le consoler, pour renforcer la famiglia, je crois que j’irai trouver les flics.
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