#je pleure tranquillement
Explore tagged Tumblr posts
jules-and-company · 2 months ago
Text
LA DERNIÈRE LETTRE À YOUKI JUSTE AVANT QU’IL SE FASSE DÉPORTER C’EST POUR ME TUER
1 note · View note
selidren · 16 days ago
Text
Tumblr media
Automne 1928 - Champs-les-Sims
1/5
Cher cousin,
Ma dernière lettre ne date pas de très longtemps et je n'ai pas encore reçu ta réponse, mais j'ai eu envie de t'écrire tout de même. J'espère que ton projet de construire un port est en train de se concrétiser et que Lola a progressé dans sa voie d'artiste de scène.
Chez nous, la vie est très tranquille. Sélène n'a pas remporté la coupe à Winbledon, à son grand dam, mais à seulement vingt-deux ans et face à des championnes plus aguerries, ce n'est guère étonnant. Et Mademoiselle Laroche s'est inexplicablement lancée dans la cuisine italienne. Cependant, ce ne sont que des banalités, il y a autre chose dont je voulais te parler.
Grand-Mère ne va pas bien ces temps-ci, et ce n'est pas lié à son état de santé. La plus jeune de ses filles, Tante Hélène, est décédée il y a quelques temps. Elle était prieure à Notre-Dame-aux-Bois et souffrait depuis des années des articulations et elle pouvait à peine marcher ces dernières années. D'après Tante Rose, il arrive parfois que les femmes souffrant à ce point des genoux soient sujettes à des arrêts du coeur, comme ce qui est arrivé. Comme tu imagines, Grand-Mère est dévastée, car elle perd ainsi le dernier de ses enfants. Elle pleure presque sans discontinuer depuis des jours.
7 notes · View notes
christophe76460 · 1 year ago
Text
Tumblr media
«Oui, sa colère dure peu de temps, mais sa bonté dure toute la vie. Le soir, il y a encore des pleurs, mais le matin, c’est un cri de joie. Quand j’étais tranquille, je disais: « Je ne tomberai jamais! » Seigneur, tu étais bon, grâce à toi, je me sentais en sécurité. Mais tu as caché ton visage et j’ai eu très peur. Seigneur, je fais appel à toi, je crie vers toi qui es mon Maître. Quel intérêt pour toi si je meurs, si je descends dans la tombe? Est-ce que les morts peuvent te dire merci? Est-ce qu’ils peuvent raconter ta fidélité? Écoute-moi, Seigneur, aie pitié de moi! Seigneur, viens à mon aide!»
‭‭Psaumes‬ ‭30‬:‭6‬-‭11‬ ‭
13 notes · View notes
plexussolaire · 2 years ago
Text
Tenir ta main
Longtemps je me suis tournée vers l’adolescente que j’étais en n’y voyant qu’une étrangère. Un être vil et mal formé, la voix un peu aigüe, un peu criarde, qui pleure souvent et se plaint tout le temps. Longtemps je lui en ai voulu d’avoir fait des choix et pris des chemins qui m’ont mené à un endroit dans ma vie qui ne fait pas sens, d’avoir choisi la compagnie de personnes qui n’étaient pas bonnes pour moi, des actions qui m’amenaient à ma désolation. Je lui en voulais, d’avoir été si faible, si veule, de ne pas avoir saisi sa chance comme les autres, d’avoir loupé des opportunités fructueuses. Je ressens encore la honte et la douleur qu’elle a ressenti sans véritable distance. Je ressens de la colère quand cette plaie se rouvre. Je n’arrive pas à la comprendre, et je porte sur elle le regard qu’on portait sur moi : une chose pénible et bruyante, inintéressante, qui ne mérite pas d’être aimée tant elle est bizarre, et chiante, et empêche tout le monde d’être tranquille. Une chose qu’on laisse seule et dont on se moque dès qu’elle ouvre la bouche. Une chose qui crève en silence entre les murs épais de sa chambre des heures durant et qui ne fait rien pour y remédier.
A cause d’elle, je gèle tous les après-midi. A cause d’elle je crois que je ne vaux rien, que je ne sais rien faire de mes dix doigts, que je ne m’intéresse à rien. Que je suis gauche, et qu’au fond je n’apprends jamais à bien faire quelque chose car je n’en suis pas capable. A cause d’elle je remets tout au lendemain, et je sens des larmes envahir mon ventre quand il faut réparer quelque chose ou apprendre quelque chose que je ne sais pas faire. Ma colère à son égard à quelque chose de viscéral : je suis prise d’animosité farouche quand je devrais la prendre contre moi.
Ce regard est injuste. Cette animosité n’est pas la mienne, mais celle qu’elle a subi, et subit encore à travers moi. Parce que l’adolescente a été blessée au plus profond de son être, au fond d’une plaie ouverte depuis dix ans qui pourrissait et brûlait déjà en silence. Elle s’est retrouvée seule dans le noir, pendant cinq ans, avec une lame replantée chaque jour, dans la même plaie, chaque heure, sans amour pour lumière. Et je vais choisir aujourd’hui de la remercier avec la révérence la plus basse qui puisse exister, parce qu’elle a été pour la deuxième fois de sa vie brisée avec une violence inénarrable, et puis elle a survécu. Parce que les choix qui ont été faits et qui nous déplaisent, sont ceux d’une jeune fille qui devait survivre envers et contre tout, sans aide, sans soutien, persuadée de fautes qu’elle n’avait pas commises, et qui venaient de toutes parts. Une jeune fille a survécu au travers d’heures plus douloureuses les unes que les autres, (à ce moment de l’écriture, j’ai voulu changer la musique comme si j’étais sur l’ordinateur depuis lequel elle écrivait à tout prix pour respirer). Elle a survécu pour que je me retrouve ici, aujourd’hui, en sécurité, dans un appartement que j’aime et qui m’appartiens, avec un chat qui se repose dans un coin de la pièce, près de la fenêtre, à deux doigts d’aller prendre une douche bien chaude pour aller retrouver mon amie un peu plus tard. Je la remercie d’avoir survécu pour ce moment-là, et pour tous les moments de joie et de connexion qui colorent les journées à venir. Comme une mère qu’on oublie dans un coin de la photo, je la remercie d’avoir été présente, et d’avoir avancé quoiqu’il en coûte, vers la vie. Je rendrai l’animosité à qui elle appartient, et lui verserait sur les épaules l’amour à grands flots qu’elle méritait depuis l’enfance.
29 notes · View notes
carnet-du-capitaine · 1 year ago
Text
Les étoiles de mer se déhanchaient sur le dance-floor. 
Amélia ne savait pas ce qui l’énervait le plus : qu’elle trouve le concept d’une soirée déguisée autour de la faune aquatique ridicule, ou bien qu’elle n’ait pas pu trouver une idée de costume à temps. Résultat, elle faisait tâche. Gina, la reine du lycée, était éclatante dans sa robe bleue nuit aux paillettes scintillantes. Ses manches se transformaient en vaguelettes de tissus avec des dégradés de couleurs oscillant du bleu turquoise au doré. Jamais Amélia n’aurait pu penser qu’une méduse soit aussi sexy. Elle se mordit la lèvre. C’était la fatigue, ça ne pouvait être que ça. Gina l’avait toujours exaspérée. Mademoiselle la star était toujours là, à se mettre en avant, à rire de son rire cristallin en rejetant la tête en arrière, faisant voler ses boucles blondes. Elle était énervante, toujours trop, toujours là. Amélia ne pouvait passer une seconde de sa vie paisible de lycéenne sans que Gina ne vienne l’éblouir dans sa vision périphérique. Et cette année, elles avaient le malheur d’être dans la même classe de première. Ça lui tapait sur le système, elle ne pouvait pas lui échapper. Et ce soir, c’était le soir de trop. 
Amélia avança jusqu’à la première table du buffet pour essayer de se changer les idées. Des cookies en étoile, des muffins avec des coquillages en sucre. Rien que du sucré, évidemment. Avec un thème autour de la mer, personne n’avait pensé à mettre à disposition un peu de salé ? Elle soupira, vaincue et se servit un verre de jus de raisin avant de se mettre en route vers le fond de la salle, à l’abri des regards plein de jugement de ses camarades. Alors qu’elle se demandait quelle mouche l’avait piquée de venir à cette fête et avant d’avoir pu regretter sa décision, elle percuta un danseur habillé en homard qui, visiblement, ne regardait pas où il mettait les pieds. 
L’intégralité du contenu de son verre venait d’être dispersé sur le haut de sa petite robe blanche. Sa seule robe potable, qui avait déjà de la peine à la convaincre. Ruinée. Le homard, très embêté, n’eut même pas le temps de balbutier des excuses qu’elle s’élançait hors de la salle de sport reconvertie en dance-floor. Amélia couru dans les vestiaires des filles et se rua dans les toilettes, ne prenant même pas la peine de fermer le verrou de son cabinet. 
Elle s’écroula par terre et se lâcha enfin.
Sa soirée était foutue, ruinée, pourrie. Elle était misérable, immonde. Elle n’avait même pas pu trouver quoi que ce soit qui lui allait et qui était dans ce stupide thème marin. Elle n’avait pas la classe de Gina. Elle n’était rien. Elle était juste une pauvre fille pathétique qui n’arrivait même pas à contenir ses larmes et maintenant elle allait être défigurée par les pleurs et la morve. Merde.
Amélia ne savait pas depuis combien de temps elle s’était abandonnée à ses sanglots, mais elle commençait à avoir mal à la tête. Elle s’arrêta pour reprendre son souffle et déglutir quand un timide Toc Toc se fit entendre à la porte des toilettes où elle s’était réfugiée.
“Amélia ? C’est toi ? Je t’ai vue partir de la salle et je te cherchais… Est ce que tout va bien ?” Gina, c’était Gina. Si Amélia avait pensé que la soirée ne pouvait pas être pire, elle s’était trompée. Qu’est ce qu’elle venait faire là ? La jeune femme avait toujours fait attention à ne jamais engager la conversation avec celle qu’elle redoutait. Pourquoi elle, pourquoi maintenant ? “L…laisse moi tranquille” hésita–t-elle en reniflant. “Non.” Amélia n’eut même pas le temps de répondre que Gina avait franchi la porte des WC et s’était agenouillée près d’elle. Beaucoup trop près. Amélia recula sa tête et baissa le regard, gênée. 
“Si tu voulais être seule, il fallait fermer la porte, ou pleurer moins fort. Maintenant, qu’est ce qu’il se passe ? Tu es blessée, le garçon qui t’a percutée t’as dit quelque chose ? Tu veux que j’aille lui faire un croche patte ?” Amélia resta abasourdie. Elle s’était toujours imaginé que Gina n’attendait qu’une faute, un faux pas, pour se payer sa tête, l’humilier. C’était ce genre de fille… enfin du moins, Amélia le croyait. Elle ne sut pas quoi répondre et se contenta de secouer la tête. Gina souffla, rassurée et arracha plusieurs feuilles de papier toilette pour essuyer le visage d’Amélia. Cette dernière, rougissant, lui prit doucement des mains. “Je… je peux le faire moi même, t’embête pas”. Gina la regardait sans rien dire, un petit sourire gêné aux lèvres. Amélia tenta de se moucher discrètement pour dégager son nez mais c’était peine perdue. En entendant le bruit digne d’un éléphant, Gina laissa échapper un petit rire mélodieux. “C…C’est bon, te moque pas” lâcha Amélia, dépitée, mais Gina l’arrêta “Je ne me moque pas ! Tu devrais m’entendre quand je me mouche, c’est bien pire !”. Le nez rouge et les yeux humides, Amélia ne savait plus où se mettre, embêtée de ses réactions et de sa propre personne. 
“Déso…” commença-t-elle avant de s’interrompre. Gina venait de prendre ses mains dans les siennes. Elle la regarda droit dans les yeux, et lui demanda avec douceur : “Qu’est ce qu’il se passe Amélia, dis moi tout...”.
Elle connaissait son nom. Amélia eut l’impression que son cœur s’était trompé dans son rythme. Elle était déjà rouge d’avoir pleuré, mais là elle devait battre des records de couleur. En tremblant, elle éloigna les mains de sa poitrine pour révéler à Gina l’ampleur des dégâts du jus de raisin sur le haut de sa robe. “Oh” lacha Gina “Quel dommage, elle t’allait vraiment bien.”Qu’est ce qu’elle était censée répondre à ça ?
- “Non…non, elle n’était même pas dans le thème de toute manière, j’ai cherché les embrouilles…
- Comment ça ? On s’en fiche du thème ! Tu t’habilles comme tu veux ! C’était si important que ça pour toi ?
- Je voulais pas faire tâche...”
Amélia s’arrêta. Gina baissa les yeux vers la grande tâche de jus de raisin sur son torse, puis releva la tête, contenant à peine un sourire malicieux. “Et bien, c’est raté on dirait.” Les deux jeunes filles éclatèrent de rire en même temps. Gina n’avait pas lâché ses mains. Sa peau était douce et réconfortante. “Tu ne vas pas rester éternellement ici, à hanter les toilettes, non ?” lui demanda-t-elle, pensive. “Si tu regrettes de ne pas être rentrée dans le thème alors… j’ai une idée !” Gina retira ses mains de celles d’Amélia et lui effleura le visage pour ramener une mèche de cheveux sauvage derrière ses oreilles. La jeune femme se releva d’un bond et épousseta sa magnifique robe bleue, puis tendit la main à Amélia pour l’aider à se relever, avant de la tirer hors des toilettes vers le miroir commun du vestiaire. 
“Reste là et recoiffe toi un peu, je reviens tout de suite !” Lui annonça-t-elle d’une voix chantante en sortant en courant. 
Amélia restait seule dans le vestiaire. Sans la présence de Gina, tout lui semblait vide, silencieux. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et elle avait chaud aux joues. Mais plus à cause des pleurs. 
Alors qu’elle tentait de retrouver son flegme habituel, elle entendit Gina revenir en courant dans les vestiaires. La reine de la promo avait ramené son sac, qu’elle lança sur l’évier sans perdre une seconde. La jeune femme s’affaira en sortant une brosse à cheveux, un kit de maquillage et plusieurs écharpes de tissus chatoyant, aux reflets dorés. 
-“Mais c’est… on dirait le tissu de tes manches.
- C’est le même genre ! J’en avais fait trop ! J’allais pas accrocher tout ça à mes manches alors je ne savais pas quoi en faire, je l’ai ramené avec moi ! Je me suis dit que ça pourrait servir et … ça va servir, allez viens par là !”
Entraînée par l'enthousiasme de Gina, Amélia la laissa faire et la regarda accrocher avec des épingles à nourrice les bras de méduse brillants aux manches de sa robe. 
-”Il faut encore masquer les tâches… hmm. Ah ! Je sais, attends deux secondes !”
Gina s’écarta et souleva sa robe. Amélia détourna le regard, gênée, tout en se demandant ce qu’elle faisait. 
-”J’ai un jupon jaune d’or, avec des paillettes ! Mais il ne sert à rien, il est caché sous la robe et les musiques ne sont pas assez… rythmées pour que je saute partout ! Il est un peu bouffant… alors si je le coupe ici… et que je l’attache là…
- N…n’abime pas tes vêtements pour moi !
- Ah, ne t’en fais pas, j’adore retoucher et bidouiller les fringues ! Je change toujours ce que je couds selon mes envies. Et j’aime le challenge !
- Je ne savais pas que tu cousais des vêtements…
- Oui, c’est une de mes passions, mais je n’ose pas forcément porter mes créations au lycée, elles sont parfois un peu fantaisistes !
- Tu as fait ta robe toi-même ?
- Hm hm !
- Je la trouve magnifique…” Souffla Amélia, en admiration devant l'œuvre et sa créatrice, pendant que Gina était entièrement concentrée sur la reconstruction de son jupon. 
“Et… voilà ! Enfile ça par-dessus ta robe ! Et je l’attache en dessous des bras… parfait !”
Amélia était incrédule, en deux temps trois mouvements, Gina avait créé un haut de secours qui masquait le haut de sa robe blanche, et ajouté des pans de tissus pour l’habiller et lui donner du volume. Le tout était adorné de petites étoiles de mer en pins décoratifs, qui venaient habiller et soutenir sa tenue.
Elle aussi était devenue une méduse, tout en jaune d’or et paillettes.
Après avoir apposé la touche finale sur le visage d’Amélia avec du maquillage brillant doré et bleuté, Gina jubila :  
-“On est accordées ! C’est génial ! Allez viens ! Avec un style pareil, tu as intérêt à venir danser avec moi !
- Je… je.. merci beaucoup, je ne sais pas comment te repayer ça je…
- Non, nonononon ! Tu ne me dois rien, c’était un plaisir de te rendre service et puis… ça fait longtemps que j’ai envie de te parler et de faire ta connaissance alors… C’est le homard que je dois remercier !
- C’est vrai ? Je suis désolée je ne pensais pas que…tu aurais envie de me connaître.” rougit Amélia.
-”Ah bon ? Pourquoi donc ! Tu avais vraiment l’air cool, je n’avais juste jamais trouvé la bonne occasion de t’aborder.
- Je n’ai pas été la plus accessible alors…désolée.
- Stop ! Arrête de t’excuser ! Tout le plaisir est pour moi ! Et puis… si tu veux vraiment me repayer… j’ai une idée ! Si tu aimes tant que ça mes créations vestimentaires… tu pourrais m’aider, j’ai justement besoin d’un modèle et …. tu… tu es une super source d’inspiration !” lui avoue Gina, en la regardant droit dans les yeux, un peu gênée. 
-”C’est vrai ?” Amélia avait l’impression d’être légère comme une plume. Elle n’en revenait pas. Ce soir, toutes ses impressions sur Gina avaient éclaté en morceau, dispersées par le caractère enjoué et le magnifique sourire de la jeune fille. 
-”Oui ! Allez viens danser, je cherche une méduse partenaire de danse, et vous êtes la plus jolie méduse de ces eaux !” Plaisanta la reine du lycée.
Elle attrapa sa main et l'entraîna dans la salle de danse, à son contact doux et chaud, Amélia espéra qu’elle ne la lâcherait plus jamais. 
3 notes · View notes
theprofoundthoughtsworld · 11 months ago
Text
Que la conscience s'absente !
Que le temps embrasse le néant !
Que la terre en danse !
Que la planète tourne !
Que la vérité déformée!
Que sont ces jours noir ? Chaque jour, on n’a aucun espoir après on pleure à côté des trottoires c’est tellement débile d’avoir chaque jour il y a des nouvelles vulnerable stories et déchirantes et tristes, et puis des nouvelles de maladie, de décès, d'attente ou d'injustice... Que sont ces jours noir qui arrivent où une personne est plongée dans les soucis et les problèmes psychiques
Tumblr media
Je pense que le héros du jour aujourd’hui est celui qui a excellé à éviter les soucis humains et non à être riche. C'est celui qui a échappé au virus de la vitesse de la technologie et a choisi un rythme de vente tranquille qui lui convient. C'est cette petite personne qui est satisfait de ce qu'il a et ne s'agrandit pas après la richesse après la frénésie... il reste le même quoi qu'il se passe, il est fort et honnête avec ses convictions
2 notes · View notes
verver · 11 months ago
Text
TUMEURS URBAINES
Épisode 30
- exactement ! j'adore le jazz dit-elle
- vous venez souvent ?
- quelquefois dit Ava
Ils échangèrent sur le jazz et la musique en général en buvant plusieurs verres.
L'orchestre continuait à jouer, les gens qui étaient attablés, applaudissaient à chaque fin des morceaux.
- si vous voulez je peux vous faire écouter des inédits !
- où ça ? demanda Ava qui connaissait déjà la réponse
- chez moi
- d'accord ! dit Ava enthousiaste en pensant à cette aubaine que l'invitation de l'homme lui offrait. Ça lui permettait de garder les flics à distance et d'envisager une fuite un peu plus tranquille.
Ils sortirent du club , Adrien lui passa son bras sur ses épaules , puis le couple s'éloigna sur le trottoir.
- merde ! grogna Ray
Il suivit le couple à une distance respectable , Ginette les suivait de l'autre trottoir.
Ray vit que la jeune femme regardait si elle était toujours suivie , l'homme lui parlait sans arrêt en riant fort parfois. Elle se serrait contre lui en le regardant avec admiration.
Tout ce cirque énervait Ray.
Bientôt une ruelle se présente sur la droite , Ray voit Ava et son compagnon y bifurquer , c'est une petite rue étroite enserrée entre de vieux immeubles insalubres, sombres ne laissant pas passer le soleil. Ray et Ginette suivaient le couple sans se cacher.
La rue était encombrée de containers et de sacs poubelle.
Bientôt l'avenue , Ray le savait il fit signe à Ginette de se rapprocher encore , dix mètres les séparait de la fille.
Ray évita une grosse flaque d'huile, le bas de la rue était encore plus étroit et sombre que le haut , les trottoirs étaient bourrés d'imposantes poubelles.
Ray entendait les pas et le souffle de Ginette , cela le rassurait. Au moment de passer sur la place Ava plaqua sa feuille de boucher sur le cou de l'homme.
- arrêtez de me suivre bande de con ! je vais le buter !
- lache le ! hurla Ray
- va te faire foutre !
- Tu t'en sortiras pas ! dit Ray
- ta gueule ! hurla t-elle en appuyant sur la gorge du mec , celui-ci était tout congestionné , essayant de s'exprimer d'une manière audible.
Elle serra encore plus fort l'homme s'en servant comme bouclier.
Ray voyait qu'elle s'énervait et qu'elle paniquait, Ray ne calma pas le jeu . La pointe de sa feuille piquait l'homme au creux du cou, elle lui lacéra la chemise, maintenant elle tremblait, la peur , l'impasse des événements l'enivrait.
Ray vit qu'elle avait l'air de sangloter. Ava écarta les jambes du mec et lui donna un coup de son arme et jeta l'homme sur le trottoir.
Des badauds qui observaient la scène agglutinés non loin de là s'éparpillèrent en criant des horreurs.
Ray gueula :
- dispersez-vous ! police !
- attention ! cria Ginette, elle sort un flingue
Ava les pointa et tira une balle , l'éclair de lumière et le bruit dechirèrent cette partie de la place , un car de flics présent fit reculer les badauds, Ava tira sur Ray qui accompagné de sa collègue se collèrent contre un mur .
Une autre balle siffla suffisamment pour éclater un morceau de mur.
- sortez de lâ ! hurla Ava , je vais vous fumer !
Ray sortit son arme et tira en direction de la femme.
A cet instant là place était vide , les flics en barraient toutes les issues.
La forcenée tira en direction de Ray ... un silence pesant , il étudiait la situation, ça lui semblait irréel.
Ava totalement acculée devant le nombre important de policiers décida de fonçer arme à la main sur Ray et sa collègue.
- je vais vous buter bande d'enculés ! hurla t-elle
Ray ajusta son tire , trait de lumière, bruit sourd , Ava s'écroula sur le trottoir...avec un petit choc.
- Michel ! Michel ! j'arrive.
Ray au dessus d'elle lui dit :
- tient bon !
- Michel ! ...
Ava s'éteignait allongée sur ce trottoir.
Ray fit signe que c'était terminé.
Plus tard dans la soirée Anna regardera la scène sur un journal télévisé, puis sur les réseaux sociaux. Elle pleure, elle se souvient de leur rencontre , de l'appartement , de Michel . Elle écoute ce flic raconter l'enquête, la poursuite et les derniers mots qu'elle aurait prononcé au moment de son dernier souffle . Les reportages et témoignages prirent fin en même temps que ce journal.
Maintenant les larmes inondaient son visage.
.......................................................un grand merci pour les photos que j'ai emprunté.
- redcatblog avec ses belles photos.
- Genix_x qui éclaire mes matins avec ses textes .
- un grand merci à Patricia pour son soutien très précieux.
Une pensée pour :
aldomag, mon petit cœur noir ,
jgrjgr, cruel....et les autres .
2 notes · View notes
Text
NSBC • Chapitre 34
Un jour, en début de soirée, alors que je suis tranquillement en train de regarder la télévision, je reçois un sms qui contient une nouvelle à laquelle je ne suis pas préparé. Du tout.
Tumblr media Tumblr media
Maman… Non… Et ma petite sœur qui se retrouve toute seule… ! Sans attendre, je me lève précipitamment et, après un mot à Kalpita et un enfilage express d’une tenue plus légère, je sors de la maison en courant, me dirigeant vers celle de mon enfance.
Tumblr media
Devant la maison, je trouve Raphaël, qui a l’air anéanti.
« Gaby… Tu… Tu as entendu… ?
— Oui… Ça… Ça va aller… »
Je dois jouer mon rôle de grand-frère…
Tumblr media
Mais on dirait qu’il n’y a personne dans la maison. Où est Gaëlle… ?
Au moment où je pense ça, je la vois qui arrive en courant, en uniforme de restauration rapide, apparemment. Elle se jette dans mes bras.
« Pardon, j’étais au travail, je suis arrivée aussi vite que j’ai pu… ! »
Tumblr media
Nous sommes entrés dans la maison… et avons découvert l’urne.
« Maman… »
Tumblr media
Je venais de finir la lettre que j’allais lui envoyer pour l’inviter à mon mariage… et je me faisais une joie de sa présence à l’anniversaire d’Aurèle, dans quelques temps… Pourquoi maintenant… ?
Tumblr media
Et Gaëlle, qui reste toute seule… Elle n’est même pas encore adulte ! Elle est d’ailleurs montée pleurer dans son ancien lit d’enfant.
Tumblr media
Il faut que je lui parle, elle ne peut pas rester toute seule ici… !
« Gaëlle… Gaëlle ! »
Elle semble m’avoir entendu puisqu’elle est redescendue. Raphaël, lui, n’arrive pas à arrêter de pleurer.
Tumblr media
« Gaëlle… Tu ne peux pas rester ici toute seule… Viens vivre avec moi jusqu’à ta majorité, d’accord ?
— Non, Gaby… Je veux rester ici… »
Je ne m’attendais pas à cette réponse.
« Tu… Tu es sûre… ?
— Certaine. Je… J’aurai l’impression de l’avoir encore avec moi, comme ça… »
Tumblr media
Je peux comprendre. J’ai eu le désir inverse à la mort de notre père, mais j’avais aussi besoin d’oublier tous les mauvais moments qu’on a passé à s’engu.euler dans cette maison.
« Si c’est ce que tu souhaites, alors je n’ai rien à dire… »
Je suis allé voir Raphaël qui semblait vraiment très mal le vivre.
« Ça va, Raph… ?
— Je… Je voulais lui… Je voulais lui annoncer qu’elle allait être grand-mère une deuxième fois…
— C-C’est vrai ?
— Oui, Mariko est enceinte…
— C’est… C’est une super nouvelle, malgré tout, Raphy…
— Oui, mais… J’aurais voulu qu’elle puisse le ou la connaître… »
Tumblr media
Je l’ai enlacé, et nous avons passé un petit moment tous ensembles dans la maison de maman. Puis, ayant des obligations familiales, Raphaël et moi sommes rentrés, après nous être assurés que Gaëlle n’allait manquer de rien.
« Attendez, j’ai même un petit boulot, pas de panique les gars ! nous a-t-elle dit. »
Elle est forte, je ne me fais pas de soucis.
Je suis rentré, et j’ai tout de suite commencé à préparer le repas, histoire de me changer les idées. Kal’ n’est pas venue me voir tout de suite, et je lui en suis reconnaissant. J’avais besoin de me retrouver seul avec mes sentiments…
Tumblr media
Kalpita a aussi été affectée par la mort de ma mère. Elle l’aimait bien. Donc nous n’avions pas spécialement la tête à faire la fête lorsque l’anniversaire d’Aurèle est arrivé. Nous l’avons alors fêté tous les trois. Et c’est moi qui aie eu le privilège de le sortir du berceau, dès que nous sommes rentrés du travail.
« Viens là mon grand ! »
Tumblr media
Je sentais les yeux de Kal’ sur moi. Je pense qu’elle s’étonne de me voir aussi enthousiaste. En même temps, ça veut dire moins de pleurs au milieu de la nuit… !
J’ai pris le temps de le changer, et ensuite je l’ai fais marcher jusqu’à moi.
« Allez, viens voir papa ! »
Tumblr media
Bon, il a tout pris de sa maman, ce petit bonhomme… mais je crois reconnaître la bouche de ma mère (et donc la mienne) sur sa petite frimousse. C’est bien le mien ! Un élan d’amour me submerge à cette constatation. Mon fils…
« Petit sacripant, viouuuh !
— Hihihi ! »
Son rire est le son le plus adorable que je n’ai jamais entendu.
Tumblr media
Comment… Comment n’ai-je pas ressenti ça tout de suite ? J’ai une pensée pour maman. Elle savait que ça viendrait.
« J’aurai tellement aimé que tu la connaisses, bonhomme. »
J’ai eu l’impression qu’il avait compris de qui je parlais, puisqu’il a affiché par la suite une moue d’une profonde tristesse…
Tumblr media
4 notes · View notes
merryane-the-red-cat · 1 year ago
Text
Tree Maiden ~Millennium Wiegenlied~ 樹の乙女~千年のヴィーゲンリード~ Spirit of ELD - La Fille du Bois ~Wiegenlied Millénaire~
[生きていてごめんなさい]
[Je suis désolée d’être vivante] 弱音を吐いた少女
Sont les complaintes que ne cessait d’expirer la jeune femme 村の人とは違う白い髪
Possédant des cheveux blancs différents des habitants du village 森の奥の千年樹 彼女は跪い
Au fond de la forêt, où se dresse l’Arbre Millénaire, elle s’agenouillait 「友達が欲しい」 って願った
[Je voudrais avoir ne serait-ce qu’un ami] pria-t-elle.
ぼくは彼女の願い    叶えてあげたかった
Moi, qui voulait tellement exaucer le souhait de la jeune femme だけどこの幻身 (からだ) ではできない
Se trouva incapable de le faire avec ma forme actuelle そんな時に現れた    気まぐれな魔道師が
C’est à ce moment qu’apparu une Sorcière capricieuse qui me permit 精霊のぼくを人に生まれ変わらせた
A moi l’esprit de me réincarner en une humaine
ぼくはまだ知らない    森の外の世界の事を
Je ne sais toujours rien à propos du monde se situant en dehors de la forêt だからわからない   あの子はどうして泣いてるの?
Serait-ce pourquoi, je ne comprends toujours pas la raison de ses larmes ? 平和で退屈   素晴らしい事のはずなのに C’est à la fois si paisible et si ennuyeux mais cela doit être quand même une chose magnifique だけどわからない     あなたはどうして泣いてるの? Cependant je ne comprends toujours, pourquoi est-ce que tu pleures ainsi ?
夢も種族も価値観も
Malgré le fait d’avoir des rêves et des valeurs ainsi qu’être d’espèces différents 異なる二人が今 出会った
Nous sommes venues toutes les deux aujourd’hui à nous rencontrer 千年の誓い 響け地の果てまで
Laissez ce serment millénaire résonner jusqu’aux quatre coins de la Terre 滅びの運命    繋ぎ止めるヴィーゲンリード Destinée à périr est le sort de ce Wiegenlied
あなたとの違い だけど惹かれ合った
Nous sommes si différentes toi et moi et pourtant je me sens attirée par toi 守ってあげる だからそばにいて
Je te protégerai alors je t’en prie juste reste à mes côtés
精霊のぼくが 人間の私へと変わる
Moi l’Esprit se vit devenir une humaine この姿でなら    あなたと分かりあえるかもね
Grâce à cette nouvelle forme, je crois pouvoir mieux te comprendre 新しい街での    暮らしが心を震わせる
Une nouvelle ville, de quoi faire trembler mon cœur d’y vivre どんな場所だって    二人一緒なら大丈夫
Mais qu’importe le lieu où nous sommes, tant qu’on est ensemble tout ira bien 人として生きる喜び
La joie qu’est de vivre en étant humaine 少しずつわかり始めてい��た
Petit à petit j’ai commencé à le comprendre
千年の誓い 響け空を越えて
Laissez ce serment millénaire résonner et traverser les cieux 滅びの運命   繋ぎ止めるヴィーゲンリード
Destinée à périr est le sort de ce Wiegenlied 変わってく二人 寂しくもあるけど
Même si nous changions et que cela nous attriste un peu あなたの笑顔 見れるならばいい
Tant que je peux continuer à te voir sourire alors ça ira
夜の晩餐会 出会った海の国の王
A cette soirée de banquet je rencontrai un Prince venue d’Outre-Mer 滅びの運命   そこから動き始めたんだ
Cette destiné de ruines commença alors à se mettre en marche 私を愛した 彼は隣の国の王女の
Lui qui tomba amoureux de moi rompit alors ses fiançailles qu’il avait 求婚を拒み 怒りの炎が国を包む
Avec la Princesse du pays voisin, les flammes de sa colère consommèrent le pays
離れ離れになる二人
Nous fûmes alors séparées l’une de l’autre 今ならわかるあなたへの想い
Dès à présent je comprends ces sentiments que j’ai pour toi
千年の誓い 響けあなたの元へ
Laissez ce Serment Millénaire résonner jusqu’à tes côtés たとえ精霊に戻れないとしても
Même si je ne pourrais plus jamais redevenir un Esprit 固めた決意は もう揺らぐことはない
Je ne vacillerai pas sur la décision que j’ai prise 「あなたの事 を愛している」
[Je t’aime de tout mon être]
たとえ世界の全ての人が (たとえ世界の全ての人が)
Même si le monde entier (Même si le monde entier) あなたを蔑み笑っても (私を蔑み笑っても)
Vienne à se moquer de toi et te mépriser (Se moque de moi et me méprise) 私があなたを守るから (必要としてくれる人がいる)
Sache que je te protégerai d’eux (Tant qu’il y aura une personne qui aura besoin de moi) あなたはいつでも笑っていて (それだけで幸せだった) Pour que je puisse toujours te voir sourire (Et avec juste ceci à savoir, j’étais si heureuse.)
もしもあなたが無事生き延びて
Si tu as réussi à t’échapper saine et sauve そして再会できたならば
Et que nous pouvions nous rencontrer de nouveau 森で二人 仲良く暮らそうよ
Vivons toutes les deux tranquillement dans la forêt ここでいつまでも待っているから
Je t’attendrais là-bas éternellement s’il le faut
暗い井戸の底 夜空には綺麗な月
Au fond se puits empli de ténèbres, la Lune dans le ciel nocturne est magnifique 胸には深く刺さったナイフ
Dans ma poitrine, un couteau est profondément enfoncé 金の髪の刺客は 何処 かへと立ち去り
L’assassin aux cheveux d’or a d’ores et déjà pris la fuite quelque part 悪意��真実は闇の中
La vérité de ses actes de vilénie dans les ténèbres y sont plongés
透き通った白い髪 不器用な笑顔
Ces cheveux blancs presque transparent et ce sourire maladroit… どうかどうか生きていて 生き続けて
Je t’en prie, je t’en supplie. Vis. Continue de vivre. もしもあなたに会えたら
Si seulement nous parvenons à nous revoir 伝えたい事があったの
J’ai quelque chose à te révéler もしも生まれ変われるならば
Si seulement nous pouvions renaître
生まれ変われるならば.......
Si seulement nous pouvions renaître…
———————————————————————————————————–
Lien fandom:
https://les-chroniques-devillious.fandom.com/fr/wiki/La_Fille_du_Bois_~Wiegenlied_Mill%C3%A9naire~#Traduction_fran%C3%A7aise_
Lien vidéo youtube: //
Lien chaîne de mothy:
Tumblr media
3 notes · View notes
nyxrevengers · 2 years ago
Text
• Tu romps avec lui •
Part 1 Haitani Brothers
Tumblr media
Mention : Pleure - Angoisse - Crise - Separation
Personnage : Rindou - Ran
---------------------------------------------------
Rindou :
Faisant des tours entier dans le salon te mordant les doigts tu était entrain de réfléchir à ta relation actuelle avec Rindou. Ta famille a réussi à faire quelques recherche sur lui.
Ta famille te mes une énorme pression sur les épaules afin de le larguer et de repartir vers eux. Tu n'avais pas le choix, pour toi la famille reste la famille.
La porte d'entrée s'ouvra laissant apparaitre ton copain et son frère derrière lui, les 2 te remarque stresser.
Rindou ne perd pas de temps pour s'approcher de toi, Ran lui monte dans sa chambre avec le même regard blaser que d'habitude.
"Bébé ça va pas ?" dit-il touchant ta joue.
Tu t'éloigne de lui retirant son contact sur ta peau. Il te regarde avec de l'incompréhension dans les yeux. Tu devais lui dire alors tu ouvre la bouche une bonne fois pour toute.
"Je veux qu'on rompe." Dis-tu commençant à prendre ton sac de cours pour allée vers la porte d'entrée.
Il ce lève du canapé pour te prendre sauvagement le bras pour te tirer vers lui. Contre sa poitrine tu senti des gouttes tomber sur le haut de ta tête comprenant qu'il pleurais.
"Je ne veux pas... de ça" dit-il entre ses pleures.
Tu essaye de le repousser afin que la rupture ne sois pas plus difficile qu'elle ne les déjà.
"Rindou je... Ne peux pas, s'il te plait.." dis-tu tapant sur sa poitrine les larmes au yeux.
Il prend soudainement ton visage entre ses mains pour t'embrasser de force, tu fond entre ses lèvres humide suite au larmes glissant dessus. Tu recula jusqu'à toucher la porte derrière toi.
Ses baisées mouiller descendent jusqu'à ton cou le mordant furieusement te surprenant, tu ferma les yeux de douleurs.
"Aie ! Rindou tu fais mal.. Stop" dis-tu dans la douleur.
C'est la première fois qu'il ce comportait de cette manière envers toi, d'une manière agressive... Des larmes de peur viennent ce réfugié dans le creux de t'es yeux.
Tu arriva à le repousser en arrière, tu t'écroula contre la porte mettant t'es bras en croix devant ton visage par réflexe faisant réalisé à Rindou ce qu'il venais de te faire.
"Bé-Bébe... Je.. je suis désolé..! Pardonne moi je t'en pris.." dit-il s'accroupissant devant toi.
Tu le savais qu'il avais réagis excessivement à cause de ta décision. Tu te relève prenant ton sac le laissant là au sol.
"Ma famille sais maintenant qui tu es... Il me mettent la pression pour te larguer et revenir... Je-... Je ne peux pas me permettre de me mettre ma famille à dos Rin, je suis désolé." dis-tu les larmes glissant sur t'es joues.
"S'il te plait.. Me fais pas ça Y/N..." dit-il attrapant ton poignet avec une fine pression a peine
Tu te retourne prenant délicatement son visage entre t'es doigts embrassant son front tendrement une dernière fois avant de retourner auprès de ta famille.
"Je t'aimerais toujours, sache le" dis-tu avant de partir.
Après avoir fermé la porte tu pouvais entendre les sanglots déchirant de Rindou, tu voulais vraiment revenir vers lui et le serrer dans t'es bras. Mais tu ne pouvais pas... Tu souhaitais le protéger de ta famille, et c'est ce que tu compte faire.
Parce que tu l'aime.
Ran :
Dans la rue marchant avec 2 sac en plastique remplis de course la nuit déjà tomber, tu respiras l'air frais de la soirée.
Lorsque que un groupe d'homme avec des vestes similaire entres-elles. Tu compris malheureusement très vite qu'ils faisaient partie d'un gang.
Sans chercher plus loin tu essaya de contourné le groupe, cela étant dit, eux ne voulais pas te laisser tranquille t'appelant, te sifflant essayant d'avoir ton attention.
Ton cœur bat super fort tu hésita pas à prendre ton téléphone pendant qu'il était encore temps pour appeler ton petit ami.
"Ran... S'il te plait aide moi..." dis-tu la voix tremblante avec les appels des garçons derrière toi, tout ceci avais suffit à Ran prenant ta position pour débarqué.
"Coupe pas l'appel" dit-il avec une voix inquiète afin d'entendre tout en qu'a de problème le temps qu'il arrive.
Les hommes s'approchaient de toi a grande vitesse l'un d'eux prend la parole ce plaçant devant toi prenant ton menton entre ses doigts sale.
"Tien, je crois qu'on a trouver ça meuf" dit l'homme avec une heleine puant la clope.
"Ouais, elle est sacrément bonne !" Lance un autre homme ce plaçant derrière moi, sentant sa main remontant sur ta fesse. Des larmes ce loge dans tes yeux, ta gorge nouée tu n'arrivais à rien dire, ni réagir.
Cette sensation était la pire sur terre.. Des attouchement ce font plus insistantes sur ton corps paralysé de peur. Tu prias en boucle dans ta tête pour que Ran arrive le plus vite possible.
"Alors par ou commen- ARGH !" Cria l'homme finissant au sol sanglant.
Tu regarda vers la perosnne qui venais d'infliger la blessure, c'est lui...Ran !
Ses yeux emplis de haine ses points sanglant après le choc, les autres hommes finissent à terre à leurs tour. Tu vis Ran frappant l'homme qui t'avais toucher sans retenu comme un fou, son expression montrait clairement qu'il souhaitait sa mort.
Tu cours vers lui arrêtant ce qu'il faisais, il tourne légèrement la tête vers toi, te voyant en larmes et tremblante encore sous le choc
Vous éloignant de la scène sanglante il te prend soudainement dans ses bras te rassurant, s'excusant pour tout ça.
"Je suis tellement désolé princesse." dit-il caressant ta tête jouant avec quelques mèches au passage.
Tu ne savais plus quoi pensé... Ce n'était pas la première fois que cela arrivais ce genre de situation et cette fois ci c'était de trop. Tu ne pouvais même plus sortir sans te faire accoster par des personne d'autres gang ou insulter par ses fan-girl.
"Ran, j'en peux plus..." dis-tu coller à ça poitrine.
Il ce recula te regardant enlevant t'es larmes avec son pouce.
"Comment ça Y/N ? Que veux tu dire ?" dit-il inquiet par t'es mots.
Tu prends une grande inspiration avant de prendre la parole, cette décision allais vous détruire tout les deux et tu le savais. Mais tu avais pas envie de vivre dangereusement, tu ne voulais pas non plus qu'il ce mette en danger pour toi. Pour toi cette décision était la meilleure pour vous deux.
"Séparons-nous" dis-tu.
Ran reste la assimilant t'es mots, ses yeux transperçant les tiens. Ses mains redescendent vers t'es épaules les serrant fermement.
"Quoi ? Qu'est ce que... Tu raconte quoi là ?" dit-il ne comprenant pas ta décision.
"Je ne veux pas de ça...Non.." dit-il souriant bêtement
"Je suis désolé.. Mais" dis-tu avant que Ran t'enlace subitement.
Sa pression ce ressert autour de toi t'empêchant presque de respiré.
"NON ! Non... Ne m'abandonne pas !" dit-il sa tête dans ton cou.
Sa voix tremblai tout comme tout son corps. Une réaction comme ça venant de Ran était vraiment inattendu.
"Ran, je suis harceler en permanence, je ne peux plus." dis-tu retenant t'es larmes.
Tu l'éloigne de toi, tu le regarde une dernière fois en souriant avec les yeux rouges et joues humide. Les yeux de ton ex s'écarquille voyant ton visage complètement bousiller par les larmes.
"Je t'aime, vraiment... Mais je peux plus supporter ça." dis-tu avant de l'embrasser une dernière fois te mettant sur la pointe des pieds atteignant ses lèvres.
Ses mains encerclant ta taille une dernière fois sentant ton corps contre le sien.
"Je t'aime tellement... Tellement si tu savais." Répond-il posant son front contre le tien.
Tu lui souris avant de prendre ton chemin vers chez toi reprenant t'es courses qui se trouvais au sol. Ran monta sur sa moto avant de partir a toute vitesse les mains serrer contre les poignets.
Vous deux êtes fait l'un pour l'autres mais par moment la meilleure décisions est d'en finir pour le bien de l'autres. C'est ça l'amour.
4 notes · View notes
corinneecrivaine · 2 years ago
Text
Willow Part 3 - Jade
Fanfiction
Tumblr media
Seule assise sur les rochers du Labyrinthe du Canyon où elle avait pour habitude de s’entraîner avec Kit, Jade observait l’immensité du royaume de Tir Asleen.
Elle avait grandit avec cette vengeance en elle de détruire ceux qui avaient assassinés sa famille, The Bone Reavers. Elle avait appris à canaliser toute sa colère dans le but de l’utiliser le jour où elle se retrouverait devant ces meurtriers. Mais sa vie entière n’était que mensonge.
Elle entendait encore les dernières paroles de sa mère : « Jade, cours !!!! ». Ces paroles qui n’avaient jamais quitté son esprit ni les terribles images de cette journée. Elle ne put abandonner sa mère et resta, assise aux côtés de son corps sans vie, en pleurs, tenant ses mains. Puis, au milieu des cadavres, elle le vit, cet homme en armure, s’approcher d’elle.
- N’aie pas peur.
Tout en douceur, il la prit dans ses bras. Cette voix et cette chaleur humaine qui l’enveloppait, l’apaisa et la réconforta. Se sentant en sécurité, elle ferma les yeux et sombra dans le sommeil.
L’enfance de Jade se passa à nettoyer les écuries, s’occuper des chevaux et se battre afin de se faire accepter dû à sa différence dans un monde qui n’était pas le sien. Jusqu’au jour où elle fit cette rencontre qui changea sa vie.
La petite Kit comme à ses habitudes, s’amusait avec son frère en dehors du palais, au moment où elle vit une fille étrange se battre avec les garçons du royaume.
Kit : Qui est-ce ?
Airk : On dit que c’est une sauvage. Elle ne laisse personne l’approcher.
Kit : Il faut l’aider.
Airk : Non ! Kit attends !
Trop tard, la petite princesse était déjà partie pour défendre cette fille étrange.
Kit : Laissez la tranquille !!!!
Tout le monde se mit à rire et continua la bagarre.
Kit : Je suis Kit Tanthalos, ma mère est la reine !
Tous se figèrent et partirent en courant.
Airk : Oui c’est ça fuyez !!!!
Jade : Je n’ai pas besoin d’aide. J’aillais tous les massacrer !!!
Kit : Ce n’est pas ce que j’ai vu !!!!
A l’instant même Ballantine arriva. «Jade ça suffit. Excuse-toi auprès de la princesse !!!»
Jade : Mais…
Le regard de son mentor, suffisait à la faire céder.
Jade : Pardon.
Ballantine : Vas m’attendre aux écuries. Quant à vous 2 je vous ramène au palais.
Sorsha ne cacha pas sa colère : Qu’est ce qui vous a pris !!!
Kit : Ils se moquaient d’elle !!! Je ne pouvais pas laisser faire !!!
La reine donna l’ordre à une gouvernante d’emmener les 2 jumeaux dans leur chambre.
Sorsha s’adressa à Ballantine une fois seuls : Plus elle grandit, plus elle ressemble à son père. Qu’allons nous faire de la petite Jade ?
Ballantine : Ma reine, je sais comment canaliser sa colère et la rendre utile.
Sorsha acquiesça d’un signe de la tête.
De retour aux écuries, Ballantine s’assit aux côtés de Jade et entama la discussion.
Ballantine : Tu ne peux pas frapper tout le monde.
Jade : Je n’ai pas ma place !!!! Les gens ne m’acceptent pas !!! Je ne suis pas comme eux !!!
Ballantine : Viens avec moi.
Il l’emmena sur le terrain d’entraînement des chevaliers et lui donna un bâton.
Ballantine : Frappe ce mannequin de paille. Libère toute ta colère sans limite.
La petite Jade laissa exprimer toute sa colère. Elle frappa et frappa sans s’arrêter, de plus en plus violemment ce mannequin sous le regard de son mentor. Puis elle s’écroula à terre et se mit à pleurer.
Ballantine la prit dans ses bras : Je te donnerai ta place dans ce royaume et ta colère t’aidera.
C’est ainsi que commencèrent les entraînements qui firent de Jade la meilleure chevalier de Tir Asleen.
*******
Kit avait rejoint son amie au Labyrinthe du Canyon : Je savais que je te trouverais ici.
Jade la regarda, sourit mais ne dit mot. La jeune princesse posa sa main sur le bras de sa bien aimée.
La jeune chevalier se tourna vers celle qui comptait le plus dans sa vie.
Jade : Je… Je ne me suis jamais excusée de t’avoir menti sur nos entraînements.
Kit haussa les épaules, tout cela n’avait plus d’importance : Tu obéissais aux ordres.
Jade : Oui, les ordres. Toute ma vie je n’ai fait qu’obéir… Aux ordres.
La jeune princesse était si blessée de voir son amie en souffrance, qu’elle aurait voulu partager cette tristesse et la soulager.
Kit : Et si on allait chevaucher jusqu’à l’arbre de vie. La première qui arrive a gagné.
Jade : Une compétition. Elle gagne quoi ?
Kit lui sourit et partit : On se retrouve là-bas.
Arrivées à l’arbre de vie, les 2 amies se blottir l’une contre l’autre, adossées à ce gigantesque arbre de magie qui, suivant la légende, apportait la vie à Tir Asleen.
Jade : Te rappelles-tu notre 1re rencontre ?
Kit : Comment oublier tu m’as crié dessus.
Toutes 2 se mémorisaient cette amitié grandissante, devenant au fil des ans de plus en plus intense, inséparables l’une sans l’autre. Une force qui les unissait si puissamment. Toutes ces nuits qu’elles passèrent dans la chambre de Jade à refaire le monde, à vivre d’aventures épiques. Ces moments d’entraînements que l’une et l’autre chérissaient plus que tout, les seuls instants où elle se retrouvaient seules, loin du palais, loin de tous ces devoirs princiers que Kit avait toujours rejetés. Cette nuit où la petite princesse, allongée sur le lit, aux côtés de son amie, s’éclata en sanglots à cause du départ de son père sans en connaître les véritables raisons. Ce soir là, Jade lui offrit le collier de sa défunte mère, qu’elle porta à son cou et firent le serment de ne jamais s’abandonner.
Jade : Il appartenait à ma mère. Je l’ai pris sur son corps afin de ne jamais oublier. Je te le donne, en guise de notre amitié. Toi et moi, jamais nous ne serons séparées. Quoiqu’il arrive.
Kit : Toi et moi, toujours présentes l’une pour l’autre. Quoi qu’il arrive.
*******
Jade : Tu… Tu as changé ma vie. Pendant que tous me rejetaient, toi, princesse de Tir Asleen, tu m’as acceptée telle que je suis. Avec mes différences. Tu as été la seule dans ma vie qui ait comptée.
Kit se releva et plongea son regard dans celui de Jade : Tu as comblé le vide qui subsistait en moi. Tu as été et tu es ma seule et unique dans ma vie.
Puis, d’abord hésitantes, leurs lèvres se rejoignirent. Mais à l’instant où Kit devenait plus demandeuse, Jade la stoppa tout en douceur.
Jade : On ferait mieux de rentrer.
*******
De retour chez-lui, Wiilow fut accueilli comme il se devait en tant que grand Aldwin ainsi qu’Elora, impératrice.
Mims se jeta dans les bras de son père : Popa !!!
Willow : Tu… Tu vas bien.
Le sorcier se retourna vers la jeune femme, tous 2 comprirent, sa vision lors de la traversée de Shattered Sea n’était qu’un leurre. Son village, sa fille, tout le monde étaient sains et saufs. Puis elle s’approcha de la jeune impératrice qui se mit à sa hauteur et la prit dans ses bras.
Mims : Soyez la bienvenue.
Quelques heures plus tard, Elora se retrouvait seule dans les jardins privés de Wiilow, tenant la flûte de Graydon dans ses mains. Mais lorsque Mims la rejoignit, elle s’essuya aussitôt les larmes qui coulaient sur son triste visage.
Mims : Il n’y a pas de honte à pleurer. Nous ne pouvons pas tout le temps être fortes.
Elora : Je… Tout ce pouvoir et je n’ai pas pu le sauver.
Mims : Il n’a pas agit pour être sauvé.
Elora lui sourit : Vous êtes tellement tous gentils et accueillants à mon égard. (Elle regarda la flûte). Je ne veux plus de sacrifices. Je dois apprendre à maîtriser cette magie.
Mims : Popa vous aidera. Maman s’est occupée de vous bébé avant de vous confier à Tir Asleen, je le ferai aujourd’hui. Même si vous n’êtes plus un bébé.
Toutes 2 se sourirent.
Lorsque Willow se retrouva seul avec Mims, il lui fit part de ses doutes.
Willow : Comment puis-je l’aider, je n’ai plus ma pierre, ma magie ?
Mims : Popa, Fine Raziel et Cherlindrea avaient foi en toi. N’oublie pas Elora t’a choisi.
Willow : Et si j’avais tout perdu. Elora serait la seule. Tant de responsabilités reposeraient sur elle.
Mims : La magie est en toi. Tu es le grand Aldwin. Et s’il en restait d’autres quelque part. Le monde est vaste.
2 notes · View notes
sajithaaurelia · 23 days ago
Text
Apprenez à fermer vos bouches avant de juger sans vraiment connaître les gens et surtout connaître vraiment ce qu'on appelle le HANDICAP INVISIBLE . Car faut encaisser au quotidien déjà le handicap mais aussi le jugement des autres. 🤬
Déçu par les gens qui comprennent pas, on ne demande pas de se mettre à notre place mais au moins nous laisser tranquille ...
C’est triste de se sentir mal et s'entendre dire :
"Mais si tu es malade pourquoi tu fais ça ou telle chose ...
"C’est difficile de te croire..... Je le vois bien, tu n'as rien".
Mais personne ne connaît la lutte personnelle de chacun, et la force qu'il faut pour continuer à se lever tous les jours comme si de rien n'était...
Ça fait des années que je souffre de ces douleurs, et d'une quantité de changements en moi, sans raison apparente... Jusqu'à ce que le diagnostic tombe...
Il y a deux sentiments, celui de :
• Enfin tu sais ce que tu as
Et celui de :
• Maintenant comment je l'affronte ?
Le manque de courage, tous ces traitements qui te fatiguent encore plus.. Et les milliers de commentaires :
"Tu as grossi"... "Qu'est ce qui est arrivé à tes cheveux?"
"Et ces tâches, si beau qu’était ton visage, qu'est-ce qui t'es arrivé ?..."
"Ne pleure pas, retiens toi."
Les maladies silencieuses et invisibles existent !!!!!
Quand vous avez une maladie invisible, c'est difficile de faire face aux gens... Ils ne comprennent pas, jusqu'à ce que ça leur arrive. Et oui, la roue tourne…
Fatiguée d'entendre dire " Tu es allé chez le docteur ? Tu as essayé ça ? C'est parce-que tu es trop comme ci... ou pas assez comme ça....! "
Oui, j'ai déjà essayé et je continue à tout essayer 🙂
Les médecins disent que cette maladie est là pour toujours.
Que je ne guérirai pas.
Cependant, je n'abandonne pas, et je veux que les autres le voient. Chaque jour qui passe est une bataille gagnée ... 😛
Une sieste ne me guérira pas, mais si ça m'aide, je dormirai, et je sais que ce sera mal vu… Comment faire comprendre que ne suis pas paresseuse ?
• soit c'est parce que je prends des médicaments et ça me fait dormir,
• soit c'est la maladie en elle-même qui me cause de grosses fatigues,
Je me bats contre la douleur, les problèmes de mobilité, la fatigue, la fatigue extrême.
La partie la plus frustrante, c'est que les gens me regardent et disent : "ça ne peut pas être si mal, si grave, tu vas bien", malgré le fait que mon corps ressent une douleur insupportable partout...
Mais je fais semblant de rien. Je veux être comme les autres. J'essaie de me voir toujours bien, d'ignorer les kilos de trop ou les tâches et les cernes.
Tout est vrai !
La mienne est une maladie #silencieuse
Cette maladie me frappe physiquement, mentalement et émotionnellement.
J 'ai besoin de votre soutien, PAS DE VOTRE JUGEMENT !
Si je tombe, je n'ai pas besoin que tu me relèves, j'ai besoin que tu te battes avec moi jusqu'à ce que j'aie la force, envie et courage pour avancer.
Pourquoi les maladies rares auto-immunes ne se voient pas... Elles se sentent.
Elles sont là, attaquantes, rongeantes, silencieuses, insidieuses, douloureuses en profondeur.
Je regarde ceux qui prennent le temps de lire ce post jusqu'à la fin. Avec ce post, la demande suivante arrive 🙂
S'il vous plaît, en l'honneur de quelqu'un qui se bat contre :
Le syndrome Arnold chiari et syringomiélie
La fybromialgie
Hypothyroïdie
Hyperthyroïdie
Syndrome d’ovaire polykystique
Le syndrome Ehlers Danlos / HSD
La recto collite ulcéreuse..
La maladie de Crohn
Spasmophilie & Spasmophilie
Polyarthrite rhumatoïde
Douleur chronique
Thrombopénie
Endométriose
Pancréatite
Sclérose en plaques
Myélome
Neuropathies évolutive
Myasthénie grave
Hypertension pulmonaire
Syndrome de fatigue chronique
Diabète
Spondylartrite Ankylosante
Épilepsie
Maladie Coeliaque
Anxiété et dépression
Fibromyalgie, Lupus
Raynaud et sclérodermie
maladie de Ménière
Syndromes d'Evans
Nevralgie du trijumeau.
Névralgie d'Arnold.
Névralgie cervico brachiale
Syndrome de Sjogren.
Syndrome de Nutcracker
Syndrome de Cokett
Insuffisance Rénale
Pince aorto mesenterique
Migraine Hémiplégique
BPCO
Syndrome de l’hyper ventilation
La maladie de Verneuil
La maladie de lyme
L'insuffisance cardiaque
¶ ... ou toute autre maladie, qu'on ne voit pas ...
Copiez et collez.
Écrivez "fait" dans les commentaires et merci pour votre soutien.
J'aimerais voir cinq de mes amis publier ce message, sans obligation(ne pas partager), pour montrer que vous êtes toujours là si quelqu'un doit parler.
Je soutiens #maladiesinvisibles .
Un combat à vie ❤️
0 notes
christophe76460 · 21 hours ago
Text
Tumblr media
La lettre suivante a été écrite par un jeune Hollandais quelques instants avant son exécution avec trois compagnons, le 27 f��vrier 1942. Condamnés par le tribunal militaire allemand le 13 février de la même année pour avoir tenté de s’évader de Hollande pour rejoindre les forces hollandaises en Grande-Bretagne, leur jeune vie fut inexorablement fauchée.
Cher Papa,
Il m’est difficile de t’écrire cette lettre ; cependant je dois te dire que le tribunal militaire a prononcé contre nous une très dure sentence. Veuille lire cette lettre seul, puis lis-la avec beaucoup de précautions à Maman. Quand je vous écrivais le 14 février, je savais déjà que nous étions condamnés à mort, mais je n’ai pas eu le courage de vous le dire, car je ne voulais pas que vous ayez à subir ces longs jours d’attente. Je ne dis pas ces jours de crainte car, heureusement, je ne les ai pas vécues dans la crainte. J’ai pu beaucoup prier et j’ai la ferme conviction que je peux regarder la mort en face à cause de Christ. Dans peu de temps, à cinq heures, l’exécution aura lieu, mais ce n’est pas terrible ! Ce n’est, après tout, qu’un seul instant et puis… je serai avec Dieu. Il nous a dit qu’il ne nous abandonnerait pas si nous Lui demandons son soutien.
Je sens tellement sa présence ! Je suis prêt à mourir. J’espère que ce sera une grande consolation pour vous. Je sais bien que c’est triste, nous sommes si jeunes ! Je crois que pour vous, c’est pire que pour moi. J’ai confessé à Dieu tous mes péchés et je suis tout à fait tranquille. Ne pleurez donc pas, ayez confiance en Jésus et demandez-Lui la force.
Maman, chère Maman, laisse-moi t’embrasser. Pardonne-moi si j’ai fait quelque faute. Ne pleure pas, Maman chérie. Sois courageuse. D’autres enfants te sont laissés. Ce n’est pas comme Madame L… Je sais que je vous reverrai tous. Un dernier et tendre baiser de ton fils, Kees.
Papa, pardonne-moi aussi. Sois fortifié dans la foi que tu possèdes, comme Maman. Ne pleurez pas mais remerciez Dieu de ce que nous pouvons avoir la certitude de sa grâce. Que sa volonté soit faite.
Jan, Bep, El et Fien, je vous embrasse tous. Soyez forts et priez pour avoir du courage. Croyez en Dieu. Il fait bien toute chose. Soyez affectueux pour Papa et Maman. Bien des baisers de votre frère Kees.
Caressez mes petits frères et sœurs ; peut-être ne comprendront-ils pas bien encore, mais apprenez-leur à croire, eux aussi.
Salutations à chacun de vous, de nous quatre ici. Je remercie mes camarades pour tout ce qu’ils ont fait pour moi. Nous sommes courageux, soyez-le aussi. On ne peut prendre que nos corps ; nos âmes sont entre les mains de Dieu. Ce doit être une consolation suffisante. Je pars jusqu’à notre revoir dans une réunion bien plus heureuse ! Que Dieu vous bénisse tous !
N’ayez aucune haine. Je meurs sans haine. C’est Dieu qui règle toute chose.
Kees
Voilà comment un jeune chrétien peut mourir : en paix (la paix du cœur) et en paix avec Dieu parce que ses péchés sont pardonnés en vertu du sacrifice expiatoire de Jésus-Christ.
Cher lecteur, chère lectrice, quelque soit votre âge, supposez qu’aujourd’hui soit de dernier jour que vous viviez sur la terre… Êtes-vous prêt(e) ? Êtes-vous prêt(e) à rencontrer Dieu ? Pensez à votre éternité ! Recevez maintenant Jésus Christ comme votre Sauveur et Seigneur. Par amour pour vous, Il s’est volontairement sacrifié à la croix du calvaire où Il a expié tous vos péchés.
http://www.la-verite-sure.fr/page910.html?
0 notes
jogallice · 4 months ago
Text
Tumblr media
09/06/24-30/06/24-07/07/24
Vingt-et-un jours que la dissolution a été annoncée par le président de la République et six jours avant le second tour des élections législatives.
C’est tout bon, le premier tour est derrière nous et le candidat pour lequel j’ai voté hier a été battu. Bon, il faut que je sois honnête, je n’ai jamais pensé qu’il puisse être présent au second tour mais tout comme en 2022, j’ai assuré le financement de la vie politique et surtout cela m’a permis de glisser un bulletin dans mon enveloppe, ce qui était tout de même mon objectif prioritaire.
En ce qui concerne les résultats de la Haute-Savoie, il me semble qu’il ne devrait y avoir aucun changement dimanche prochain et que les six député·es sortant·es seront réélu·es. Cela était prévisible mais vu les sondages nationaux, nous pouvions tout de même nous poser des questions. Quoi qu’il en soit, nous allons attendre tranquillement demain soir pour savoir qui se maintient ou pas et dès mercredi matin, tout sera encore plus clair.
Sinon, les résultats définitifs du premier tour des élections législatives ont été publiés ce lundi matin par le ministère de l'Intérieur. Le Rassemblement national et ses alliés, sortis en tête du premier tour des élections législatives dimanche (33,15 %), ont obtenu la première place dans 296 circonscriptions (39 de leurs candidat·es ont été élu·es dès le 1er tour), devant le Nouveau Front populaire (28,14 %) qui est arrivé en tête dans 157 circonscriptions (32 député·es issu·es de la nouvelle alliance des gauches ont d’ores et déjà été élu·es). Et le camp présidentiel est troisième et s’effondre (20,76 %).
Les triangulaires fondent comme neige au soleil et les analystes analysent les analyses depuis hier au soir. Il y a déjà de nombreuses surprises, des battu·es de la première heure, des interprétations, des  pleurs, des pleurnicheries et beaucoup de mensonges et de contre-vérités dans chaque camp.
Quoi qu’il en soit, les électeurs et les électrices se sont déplacé·es, c’est bien et la France est majoritairement extrémiste, c’est mal.
La suite au prochain épisode…
Politiquement vôtre,
J.-O.
📷 JamesO PhotO à Annecy le samedi 29/06/24 📸
0 notes
ondessiderales · 5 months ago
Text
Setsunai (切ない)
Un mot magnifique en japonais
On peut le traduire par « poignant ». J'aime ce mot car il a de nombreuses connotations empreintes de beauté et de poésie. Il m'évoque l'image d'un garçon qui pleure à la fois de tristesse et de joie après des aventures qu'il n'oubliera jamais.
« C'est fini, mais c'était bien »
Ou encore
« C'était beau, mais c'est fini »
Petit Prince, chapitre IX
Tumblr media
youtube
Je crois qu’il profita, pour son évasion, d’une migration d’oiseaux sauvages. Au matin du départ il mit sa planète bien en ordre. Il ramona soigneusement ses volcans en activité. Il possédait deux volcans en activité. Et c’était bien commode pour faire chauffer le petit déjeuner du matin. Il possédait aussi un volcan éteint. Mais, comme il disait, « On ne sait jamais ! » Il ramona donc également le volcan éteint. S’ils sont bien ramonés, les volcans brûlent doucement et régulièrement, sans éruptions. Les éruptions volcaniques sont comme des feux de cheminée. Évidemment sur notre terre nous sommes beaucoup trop petits pour ramoner nos volcans. C’est pourquoi ils nous causent des tas d’ennuis.
Tumblr media
Le petit prince arracha aussi, avec un peu de mélancolie, les dernières pousses de baobabs. Il croyait ne jamais devoir revenir. Mais tous ces travaux familiers lui parurent, ce matin-là, extrêmement doux. Et, quand il arrosa une dernière fois la fleur, et se prépara à la mettre à l’abri sous son globe, il se découvrit l’envie de pleurer.
– Adieu, dit-il à la fleur.
Mais elle ne lui répondit pas.
– Adieu, répéta-t-il.
La fleur toussa. Mais ce n’était pas à cause de son rhume.
– J’ai été sotte, lui dit-elle enfin. Je te demande pardon. Tâche d’être heureux.
Il fut surpris par l’absence de reproches. Il restait là tout déconcerté, le globe en l’air. Il ne comprenait pas cette douceur calme.
– Mais oui, je t’aime, lui dit la fleur. Tu n’en as rien su, par ma faute. Cela n’a aucune importance. Mais tu as été aussi sot que moi. Tâche d’être heureux… Laisse ce globe tranquille. Je n’en veux plus.
– Mais le vent…
– Je ne suis pas si enrhumée que ça… L’air frais de la nuit me fera du bien. Je suis une fleur.
– Mais les bêtes…
– Il faut bien que je supporte deux ou trois chenilles si je veux connaître les papillons. Il paraît que c’est tellement beau. Sinon qui me rendra visite ? Tu seras loin, toi. Quant aux grosses bêtes, je ne crains rien. J’ai mes griffes.
Et elle montrait naïvement ses quatre épines. Puis elle ajouta :
– Ne traîne pas comme ça, c’est agaçant. Tu as décidé de partir. Va-t’en.
Car elle ne voulait pas qu’il la vît pleurer. C’était une fleur tellement orgueilleuse…
Antoine de Saint-Exupéry
youtube
« A la fin des fins, la raison de tes larmes est de bâtir un arc-en-ciel »
1 note · View note
secretsofniflheim · 5 months ago
Text
Encore aujourd'hui, je n'arrive pas à me rappeler s'il y avait de la musique ou pas, mais je crois qu'il n'y en avait pas.
Je me souviens que c'était la fin janvier 2019, le 23 ou 25 mais plus le 23 il me semble. funny thing : c'est l'anniversaire de mon fiancé.
C'était encore un jour à ne rien faire, en arrêt maladie depuis des mois, je passais mes journées à pleurer, prendre des médicaments, et regarder les horreurs qu'elle déblatérait sur moi sur twitter. Elle semblait s'amuser à me détruire piece by piece. On aurait pu se séparer tranquillement mais j'étais trop malade, trop mal entourée, et elle aussi, quoi qu'elle en dise.
Je m'étais fait un ami, avec qui je n'ai plus de contact depuis après cet évènement, et cet ami avait pris l'initiative de parler en mon nom, sans me consulter. Il a dit comment il voyait les choses, comment elle me faisait du mal, m'humiliait, m'insultait, you name it. Elle a vrillé et a fait un call out sur moi sur le coup de la colère. Elle a appelé à mon harcèlement en ligne, mon entourage, ceux que je pensais mes ami(e)s, tous m'ont tourné le dos. Elle a dit des choses intimes à mon sujet, dévoilant au grand jour mon diagnostic psy, mon obsession pour une personne, comment elle avait interprété mes faits et gestes. Que j'étais une manipulatrice, une mauvaise personne.
Encore aujourd'hui, j'en suis persuadée.
Je n'en pouvais plus. La femme que j'aimais me haïssait, l'homme que j'aimais me manipulait pour ses désirs. Mes amis m'ont abandonné. Je n'avais plus de famille. Plus de travail. Plus rien. Je n'étais plus rien. Rien.
J'ai encore l'odeur de mon appartement en tête, un mélange de lessive, de sel, de cigarettes roulées, de litière de chat. Une immondice donc. Ma salle de bain était délabrée, il y avait de la moisissure partout et ma propriétaire s'en foutait. Quand j'arrivais à me doucher, j'avais l'impression de pourrir moi aussi a cause de cette moisissure.
Le miroir de la salle de bain était grand, j'arrivais à voir tout mon tronc. je voyais aussi derrière moi. Tout cet endroit me dégoutait. Je me dégoutais. Je me souviens avoir été prise d'un accès de violence, de haine, de pleurs, de mort. C'était fini, j'avais fini de lutter. Dans cet élan, j'ai pris mon rasoir. Dans cet élan je l'ai fait voler en éclat, me coupant les doigts à plusieurs endroits.
Je me souviens m'être regardée droit dans les yeux, noyés de larmes et injectés de haine. Je me souviens avoir d'abord pensé à me crever ces yeux là, dont je recevais souvent des louanges. Puis j'ai pensé à me lacérer le visage. Puis juste la bouche.
Ca a été la gorge.
Je crois que j'ai quand même eu un bref moment d'hésitation. Mais très bref, trop bref. J'y suis allée d'un coup. Côté droit, ne sachant pas où se trouvait l'artère, je ne le sais toujours pas parce que je ne sais pas si je me servirais de cette information à bon escient.
La plaie était immonde, la peau ouverte était immonde, je voyais des couches de mon épiderme que je ne pensais jamais voir.
J'en ai fait une deuxième juste en dessous. Puis d'autres plus au milieu, vers la pomme d'adam. Puis à gauche. Bref, partout. Je voulais y passer mais je n'avais pas la force. Je me suis donc ouvert les veines, au bras droit.
Il y avait du sang absolument partout dans cette salle de bain horriblement petite. L'ami que je m'étais fait, m'appelait au téléphone. J'entendais mon téléphone sonner, mais je ne voulais pas. Je ne pouvais pas. je ne voulais plus parler à qui que ce soit. Je ne voulais plus vivre. Je m'étais résignée.
Alors qu'il ne cessait de m'appeler, j'avais réussis à décrocher. C'était donc cet ami là. Il m'a juste dit que les pompiers étaient en route. Comme je ne répondais pas, il avait très bien compris ce qui était en train de se passer et avait, encore une fois, pris l'initiative de faire les choses à ma place.
Les pompiers sont venus très rapidement, ils étaient nombreux. Trop nombreux pour un appartement de 30m². Quand ils ont toqué à la porte, j'ai ouvert doucement car j'étais sonnée. Le sang coulait beaucoup et je faisais pression avec un tissus, un torchon je crois. Je me souviens que je portais mon t shirt arc-en-ciel. Il était ruiné de sang qui avait coulé de ma gorge. Ils ont poussé la porte violemment, m'envoyant presque par terre devant eux. Ils m'ont attrapée très fort et poussée sur le canapé. Je ne parlais pas, je pleurais beaucoup, énormément. Un des pompiers m'a hurlé dessus "Ca suffit maintenant, arrêtez de pleurer!" Il était odieux. Il m'a arraché le torchon de la gorge pour regarder les plaies, et m'a répété d'arrêter de pleurer. "Ca ne sert à rien" qu'il disait. Enorme merde.
Aux urgences, c'était compliqué. Sur l'espèce de brancard, ils m'ont attachée et j'ai attendu longtemps dans le froid. Marseille en janvier, il fait plutôt froid. j'ai à peine eu le temps d'envoyer un message à l'ami qui avait appelé les pompiers pour leur dire que j'étais prise en charge, qu'ils m'ont pris mes affaires.
Je suis passée en priorité devant au moins 10 personnes. Il fallait vite recoudre. Eviter une infection. J'ai été emmenée dans une salle toute aussi froide que l'anti chambre et deux infirmiers, un homme et une femme, m'attendaient. Ils préparaient l'anesthésiant, les fils et les aiguilles. Il y avait beaucoup de compresses. Les piqûres d'anesthésies locales étaient atroces. Ils devaient piquer DANS les plaies béantes. "Fallait y réfléchir avant de faire ça, madame" a craché l'infirmière. Je me suis tue, en pleurant. L'infirmier homme recousait mon bras, tandis que la femme s'occupait de mon cou. Ils ont dû me mettre un tissu ou une compresse sur le visage, je ne voyais rien, je sentais qu'ils piquaient encore et encore et encore, ça n'en finissait pas, ils n'y arrivaient pas je crois.
Ca a dû durer environ 2h pour tout recoudre. J'avais une trentaine de points, entre la gorge et le bras. Je me souviens avoir tenté d'avoir un geste d'affection pendant ce moment au purgatoire. L'infirmier qui recousait mon bras était penché sur moi, j'ai voulu lui attraper la main, un semblant d'affection, un câlin, un regard, quelque chose. Il m'a ignorée et repoussé. Ils étaient en colère je crois, qu'une personne aussi jeune tente de se suicider, mais surtout de cette façon là. Je les dégoutait.
Je me souviens avoir passé la nuit dans l'unité psy des urgences. Un psychiatre est venu me voir, m'a confisqué encore une fois toutes mes affaires. Il n'y avait que lui qui avait un semblant d'humanité dans les yeux, comparé à ses pairs du corps médical. Il avait l'air triste de mon geste, il voulait aider. Il m'a dit que je devais aller à l'HP, car cette TS n'étais pas anodine. Je lui ai dit que j'avais déjà donné à l'HP et que ça n'avait fait qu'empirer les choses. Il m'a dit qu'il ne pouvait pas me laisser partir sans être assuré que je sois prise en charge à la sortie. Je me souviens lui avoir donné les coordonnées de mon psychiatre et que je n'accepterais d'aller que dans une clinique et dans un service que je connaissais déjà.
Il a accepté de me laisser partir le lendemain matin. Je suis rentrée dans un appartement ensanglanté, mes chats terrifiés, mon corps et mon âme traumatisés.
0 notes