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#je m’accroche
praline1968 · 1 year
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💙💙
MON GALOPIN
Tu nous quittais le 13 octobre 2010 me laissant anéantie à vie.
Je me recueille devant ton urne chaque soir, et la bougie sera allumée ce soir pour te rendre hommage 🕯️ 🕊️
Merci de tout mon cœur pour tout ce que tu m’as apporté durant ton vivant, cet amour inconditionnel qu’on ne trouve pas chez les humains 🙏🏻 🙏🏻
Je ne t’oublierai jamais, je t’aimerai toujours 💗
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(Poème écrit pour tes 20 ans le 12 février 2011)
🤍 MON GALOPIN 🤍
Mon petit cœur, Mon petit amour,
Mon fidèle compagnon, mon ami le plus cher,
Ce 12 février marque pour nous un jour anniversaire,
Celui qui, ce beau jour de 1991, en Ardèche, t’a vu naître,
Tu aurais eu 20 ans aujourd’hui, si seulement tu avais vécu,
Mais la grande roue impitoyable de l’univers ne l’a pas voulu.
Nous espérions tellement l’atteindre ce chiffre de 20,
Pour continuer ensemble vers de beaux lendemains,
Nous voulions tant battre tous les records connus,
Mon petit cœur, mon petit amour, t’en souviens-tu ?
Il y a 2 ans, un AVC sur toi, violemment s’abattait,
Te privant de l’usage de tes pattes, cruellement paralysées,
Devant le pénible spectacle, le désespoir nous envahissait,
Et des torrents de larmes de mes yeux jaillissaient.
Alors qu’à l’unanimité, la grande majorité te condamnait,
Après tant et tant d’efforts déployés et renouvelés,
Durant des heures entières et de longues journées,
Soudain, dans un ultime élan, tu te relevais et tu marchais.
Devant l’étonnement de nos grands yeux écarquillés,
Cet incroyable miracle, de bonheur nous remplissait,
Je t’ai admiré pour cette force unique, cette volonté.
Exceptionnel petit chien, battant, tu l’as toujours été,
Ce jour béni d’entre tous fût le plus beau de ma vie,
Dans cette douloureuse épreuve, tu m’as tant appris.
Cette rage de vivre, depuis, tu l’as toujours gardée,
Le 13 octobre 2010, un nouvel AVC destructeur te frappait,
Cette fois, brutalement et sournoisement, te terrassait,
Enfermant ton petit corps dans une paralysie totale,
Signant ainsi au fer rouge la condamnation finale.
Durant la dernière nuit, tes appels au secours retentissaient,
Et me contraignaient à prendre la décision tant redoutée,
D’abréger tes jours et ta souffrance, et choisir de te délivrer,
Effroyable décision que je ne pourrais jamais me pardonner,
Je le sais, tu voulais vivre encore et ne jamais nous quitter.
Sur la table du vétérinaire, ton petit corps sans vie gisait,
Devant mes larmes de désespoir et ma terrible détresse,
Dans un ultime pleur, tu me suppliais de m’accrocher.
La piqûre contenant le poison mortel ne voulait pas agir,
Sentant mon immense chagrin, tu refusais encore de partir,
Avant que tes yeux et ton cœur ne s’éteignent à jamais,
Me laissant là, abandonnée, impuissante et brisée.
Alors, en hommage à ta force et ton énorme courage,
Comme un emblème, je porte ton collier à mon poignet,
Pour que ton combat ne soit pas vain et ne finisse en mirage,
De me relever et d’être encore plus forte, je te promets,
Afin que ton âme si pure et si belle, puisse vivre en paix.
J’attends maintenant le jour béni de nos retrouvailles,
Ce jour sacré qui nous verra toi et moi à jamais réunis,
Ma seule volonté enfouie au fond de mes entrailles,
Celle de te retrouver enfin pour l’éternité, au paradis.
Je t’aime, à jamais, pour toujours,
Mon petit cœur, Mon petit amour.
💙💙
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🎤 Michel Pépé ~ L’ascension céleste 🎧
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enoramenguy · 2 months
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Un beau matin d’une journée d’été,
Je me suis réveillée d’un sommeil paisible,
Sans rêve et sans cauchemars,
Et je t’avais oublié.
Les chansons d’amour ne me faisaient plus penser à toi,
Elles étaient redevenues douces à mes oreilles,
Et je pouvais chantonner leur air
Me remplissant d’espoir pour demain.
Je ne ressentais plus le besoin de partager avec toi
Et je pouvais enfin contempler seule
La beauté du ciel, le rire de cet enfant,
Et ce chat qui s’est arrêté pour me dire bonjour ce matin.
Je pouvais même te croiser dans la rue
Sans pour autant arrêter de respirer pendant des jours
Et te souhaiter de continuer ton chemin paisiblement
Même si tu allais là où je n’étais pas.
Un beau matin je me suis réveillée et je t’avais oublié.
Mes phalanges n’étaient plus blanches
A force de m’accrocher à l’espoir de ton retour
Et ce matin là je suis née de nouveau.
Enora Menguy
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uneessencesensible · 5 months
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N°2161 – Mercredi 13 mars 2024
Cela va de mieux en mieux. Je garde l’optique de rester focus sur le présent et rien de plus. Il n’y a que comme ça que mes pensées n’arrivent pas à me mettre ko et à déclencher des crises de panique. En cas d’insistance, je m’accroche au réel, à ce que je vis réellement et je me rends compte que tout va bien. Tout va pour le mieux et qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Aucune raison de voir le pire arriver. Loin de là.
Aujourd’hui, tout va bien. Je suis contente de moi. Chaque jour est une étape de franchie face à cette obsession qui me fait de l’œil depuis quelques mois. Ce qui est bien, c’est que je n’ai pas attendu pour en parler à la thérapeute. Ce qui fait que, peu à peu, nous arrivons à trouver d’où cela provient. Loin dans l’enfance, comme d’habitude. Mais je suis là pour aller mieux et si je dois passer par des moments difficiles, où je dois parler de mon enfance douloureuse, encor une fois, je le ferai.
A chaque séance, je comprends un peu mieux mon fonctionnement. J’ai hâte de la prochaine séance pour pouvoir parler avec elle. Peut-être que la prochaine, nous saurons le pourquoi du comment, comme on dit. Je pense que cela part de la peur qu’il m’abandonne et qu’il me laisse seule, sans lui. Je pense que si je fais une fixette sur cette personne, c’est que j’ai besoin d’être sans cesse avec lui. J’envie les personnes qui travaillent ensemble et qui sont en couple. Pourtant, je sais que c’est une chose qui peut tout faire capoter dans une relation. Être collé l’un à l’autre ne correspond pas à tout le monde et personnellement, j’ai aussi besoin de mes moments intimes, qui me sont propres.
Il y a une chose aussi dont je suis fière de moi, c’est de pouvoir en parler à mes proches. Je n’en parle pas à tout le monde, mais aux personnes de confiance et cela me fait un bien fou, car rien qu’en parlant, ça m’aide à voir plus loin dans ma réflexion. Puis, tout garder pour soi est une très mauvaise idée. Autant vider son sac auprès de quelqu’un qui saura nous rassurer, même si elle n’est pas calée en psychologie.
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neant-blanc · 4 months
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Tbilissi (ge) -> Sadiqli (az) – 18.11.23
Je sors la tête de ma tente dans l’air gris de l’aube imminente. J’ai passé la nuit dans un no man’s land, au pied d’un pylône électrique. Après avoir empaqueté mes affaires, tandis que je mâche distrai-tement une barre de céréale en attendant que la luminosité soit suffisante pour mon départ, je regarde mon embarcation sur l’herbe mouillée, la boule au ventre. Je l’avais gonflé la veille, en plein cœur de la capitale géorgienne sur un quai du fleuve, me rendant déjà compte de l’absurdité de mon plan. J’avais refusé alors de me résigner à la dure réalité, même après que des hommes soient venus m’empêcher de prendre le large, mi-amusés, mi-consternés par mon aventure. Un barrage hydraulique en amont ? Non, j’ai vu qu’il était en aval. De forts courants ? On dirait pas. La police va m’arrêter ? C’est mon problème… La honte m’avait rendu mauvais et je les avais envoyés se faire voir, marchant comme un forcené sur plusieurs kilomètres avec tout mon barda, quittant la ville jusqu’à atterrir ici pour passer la nuit et retenter ma chance. Maintenant, la vision de mon « bateau » me revient dans les dents : je me suis fait arnaquer. Je l’ai acheté l’avant-veille dans une petite boutique de pêcheur. Un raft comme on en utilisait au centre nautique sur le canal, quand j’étais petit. Il était même en devanture, gonflé, avec les rames et tout… Rien à voir avec le jouet pour piscine qui se dessine de plus en plus nettement devant moi à mesure que le soleil grimpe derrière les collines. Je me fais discret jusqu’au pont dont les rambardes sont déjà occupées par des pêcheurs, leurs lignes tombant verticalement au milieu du cours d’eau. Je ne réfléchis pas, je veux me mettre à l’eau le plus vite possible, surtout ne pas me faire alpaguer une seconde fois. Avec mon gros sac sur les jambes, l’autre derrière mon dos, je peux à peine pagayer. J’oriente l’embarcation pour rejoindre le centre du fleuve, le courant m’entraîne rapidement, en silence. J’ai un regain d’espoir en voyant le paysage périurbain défiler, et même un peu de joie à louvoyer sur la surface lisse de la Koura. Peut-être que ça va marcher au final ! Les premières rapides couleront mes illusions une dizaine de minutes plus loin. Pris de panique en voyant les remugles aspirer mon bateau, je rame frénétiquement pour passer sur les côtés qui ont l’air plus calmes. Impossible. Je m’accroche à mon pauvre jouet qui se fait ballotter dans tous les sens, protégeant comme je peux mes affaires qui menacent de tomber par-dessus bord. J’en ressors trempé et avec la sombre réalisation que si un vrai obstacle se dresse sur mon chemin, je ne serais pas en mesure de l’éviter. J’affronte encore quelques remous qui ponctuent le fleuve. Le débit est bas du fait de la saison et de la largeur du cours d’eau, les rochers du fond affleurent, créant des tourbillons et des courants forts en surface qui me happent malgré mes luttes à la rame. J’aurais parcouru une dizaine de kilomètres tant bien que mal jusqu’à ce que je m’échoue sur des cailloux qui déchirent le fond de mon navire. Les boudins d’air sous mes fesses se vident, abaissant dangereusement ma ligne de flottaison. Je dérive lamentablement sans plus tenter quoi que ce soit. Sur la rive, des pêcheurs me regardent passer, stoïques. Le naufrage est si pitoyable que j’en rigole et leur fait un petit signe de la main ; il restera sans réponse. J’arrive avec peine à rejoindre la berge et m’extirpe de l’épave. Je suis trempé, mes sacs aussi. Me voilà Robinson à défaut de Jack Sparrow.
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papyanar · 1 year
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Je ne veux pas être celle qui mène. Je refuse d’être le chef. Je veux vivre dans tout le mystère et la richesse de ma féminité. Je veux un homme qui se couche sur moi, toujours sur moi. Sa volonté, son plaisir, son désir, sa vie, son travail, sa sexualité : voilà la pierre de touche, le levier de commande, mon pivot. Ça m’est égal de travailler, de tenir les rênes sur le plan artistique et intellectuel ; mais comme femme, oh ! mon Dieu, comme femme je veux être dominée. Je me moque que l’on me dise de compter sur moi-même, de ne m’accrocher à personne - tout cela, j’en suis capable - mais je veux être poursuivie, baisée, possédée par la volonté d’un homme, à son heure et selon ses ordres.
Anaïs Nin (via L’Audace)
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etoilementeuse · 4 months
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diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato ; dark prologue [traduction française]
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—— La scène débute dans une salle de classe.
Yui : Haa, tout le monde est parti.
(Ce n’est pas si étonnant… Ça fait un moment que les cours sont terminés.)
(Mais… C’est un peu difficile de devoir retourner dans ce manoir…)
(Je n’aurais jamais pu me douter que l’endroit qui devait être la maison d’un parent éloigné se trouve être rempli de vampires…)
(En plus de ça, ils veulent boire mon sang.)
Haa…
Je me demande ce qu’il adviendra de moi, maintenant ?
En plus, c’est un peu étrange d’être à l’école de nuit.
—— Flashback, au manoir Sakamaki.
Yui : V-Vous m’avez transférée dans une école de nuit !?
Reiji : En effet.
Yui : Pourquoi… aller à l’école la nuit ?
Reiji : Puisque tu vis ici désormais, ton rythme de vie doit s’adapter au nôtre.
Bien que cela semble évident pour les humains, tu deviendrais une nuisance sonore pour nous si tu étais active durant la journée.
Yui : Q-Qu’entends-tu par là ?
Reiji : … Ce que tu peux être inconsciente. Dois-je véritablement t’expliquer chaque chose dans le moindre détail ?
Yui : Même si tu dis ça…
Reiji : En tant que vampires, nous sommes principalement actifs durant la nuit et nous reposons pendant la journée.
Je te demande de prendre le même rythme de vie.
Yui : Alors, pour l’école, comment…
Reiji : Je me suis occupé de remplir les papiers pour te transférer dans la même école que nous.
Yui : V-Vous ne pouvez pas faire ça…!
Reiji : Si cela ne te convient pas, tu es libre de partir quand bon te semble.
Yui : Ugh…
—— Fin du flashback.
Yui : (Je n’ai nulle part où aller… Je n’ai pas eu d’autre choix que d’obéir.)
Haa.
(Je pensais que c’était une école spécialement adaptée pour les vampires, mais… Elle est remplie de personnes normales.)
(Je crois que je peux m’accrocher… Est-ce que je peux ? Oui, allez.)
(Il le faut !)
—— La salle de classe est soudainement plongée dans le noir.
Yui : Hein…!? Q-Qu’est-ce qu’il se passe !?
(Une coupure de courant !? Une coupure de courant dans une école de nuit…)
(Qu’est-ce que je devrais faire ? Je ne sais pas où se trouve le compteur électrique… Pour le moment, je vais aller à la salle des professeurs…)
—— Ayato apparaît.
Ayato : … Eh.
Yui : Kyaah !!
Ayato : Tsk ! Arrête de crier comme ça.
Yui : A-Ayato-kun ! D-Désolée. Tu m’as surprise en apparaissant de nulle part, dans le noir…
Ayato : Tu croyais que c’était un monstre ?
Yui : E-Euh…
(En vérité, c’est un peu comme si c’était le cas…)
Ayato : Allez. Le grand Ayato¹ est venu te chercher. Bouge-toi un peu et rentrons à la maison.
Yui : Hein…? Tu es venu me chercher ?
Ayato : Qu’est-ce que tu fais ici aussi tard, de toute manière ?
Yui : Hein !? Euh…
Comme je viens d’être transférée ici, je visitais un peu pour essayer de m’accomoder à l’endroit…
Ayato : Hmm ?
J’étais persuadé que tu t’étais enfuie.
Yui : !
Ayato : Ha, à en juger par ta réaction, tu dois au moins y avoir pensé…
Est-ce que tu comprends la position dans laquelle tu te trouves ?
—— Yui recule, heurtant une chaise avec son dos.
Yui : M-Ma position…?
Ayato : Tu m’as choisi, non ?
Désormais, tu es ma proie.
Yui : Q-Que…
—— Ayato se rapproche, coinçant Yui.
Ayato : Aah— , je suis affamé. C’est parce que tu as pris trop de temps à revenir !
Yui : Kyaah !?
—— Ayato défait le nœud de l’uniforme de Yui.
Yui : Non !
(Cette force… Ce n’est pas celle d’un humain normal…!)
(Alors Ayato-kun est bel et bien un…)
Ayato : Hehe, une si jolie peau… Encore vierge de toute morsure.
Yui : … … !
Ayato : Je suis donc ton premier.
Haa, je peux pas attendre d’être rentré. Je vais manger ici.
Yui : M-Manger…?
Ayato : C’est évident, non ?
Comme ça… … Nn… …
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Yui : Non…! J’ai mal, s-stop…!
Ayato : [bruits de succion]
Yui : (L’endroit où ses crocs sont plantés est… brûlant. Ayato-kun boit vraiment mon sang…)
Ayato : … Haa, délicieux… Comment ça peut l’être autant… [bruits de succion]
Yui : L-Lâche-moi…!
Ayato : Ugh… doucement.
Yui : T-Tu me fais mal…!
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Ayato : [bruits de succion]
T’es idiote ou quoi ? Si tu gigotes, évidemment que tu auras encore plus mal.
Yui : (Un liquide rouge s’écoule des lèvres d’Ayato-kun… C’est… mon sang…?)
Ayato : … Haha, quoi, tu pleures ?
Ton visage en pleurs, ton visage tordu de douleur, c’est fascinant.
En plus de ça… ton sang est plutôt bon. Non… il est délicieux.
Plus sucré que n’importe quel autre que j’ai pu goûter.
Haha, j’ai hâte de nos prochaines pauses repas ensemble.
Yui : Non, stop…
Ayato : Comme si j’allais t’écouter. [bruits de succion]
Yui : Aah…! N-Non…
Ayato : Haa… C’est pas si mal, tout ça.
Prépare-toi à ne jamais pouvoir m’échapper.
Monologue Il est comme un enfant venant de recevoir un nouveau jouet. Son sourire ne s'estompe jamais. Alors qu’il boit mon sang sans jamais s’arrêter, toute résistance m’est impossible, ma conscience s’estompant peu à peu. —— J’ai l’impression vague d’apercevoir le sombre futur qui m’attend.
¹Pour ceux qui n'auraient pas accès aux dialogues du jeu, Ayato se réfère souvent à lui-même comme “Ayato-sama”. Le suffixe -sama est utilisé lorsque l'on s'adresse à quelqu'un que l'on respecte énormément. On l'utilise notamment pour s'adresser à des divinités, ou à l'Empereur du Japon et sa famille. Il est difficile de traduire en français toutes les subtilités de ses dialogues, mais sa manière de s'exprimer est très arrogante et supérieure.
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ㅤ ←[sélection]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ[dark 01]→ 
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fluidite · 19 days
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Happy to hop on my bike everytime I can. It can turn a shitty day into a better one. Enjoying the little things make the greatest difference.
~
Ma dédicace au vélo ou bien à mes petites balades ou à tout ce que j’observe et que j’apprécie.
La vie peut s’avérer quoique difficile et je me sentirai peut être continuellement insatisfaite de celle-ci.
Mais, je m’accroche et je prends le temps d’observer à toutes mes sorties.
Je savoure chaque moment et chaque occasion d’apprécier la beauté de la vie.
En fait, je devrais m’arrêter et prendre un cliché et ne pas laisser le temps guider mon esprit.
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khalidom · 1 year
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Mais cache-moi ce Sein qui m’accuse !
Mais cache-moi ce sein qui m’accuse !
De ne pas le satisfaire ; Ô quelle traîtrise !
Toi qui m’étais une belle prise ;
Rond, ferme et toujours en convoitise !
Mais cache-moi ce sein qui me culpabilise !
Quand je ne lui fais plus la bise, il dramatise,
Quand ma bouche se détourne de sa cerise,
Sa friandise se gonfle, et tu prétends qu’il agonise !
Amnésique ! à ma surprise,
Il oublie vite ma maîtrise,
De monter avec art sur le mont de Vénus.
De m’accrocher à sa surface lisse,
Alors qu’il réclame encore que je le suce.
Mais cache-moi ce sein qui me tente !
Avec son auréole fuchsia, latente,
Sein satin avec une blancheur éclatante,
Je ne peux plus être en "mode Attente",
Je le lèche avec ma langue ardente.
Mais cache-moi ce sein qui ose !
Qui sort impudique de sa maison close,
Qui rend jalouses toutes les belles roses,
Et qui est plus gracieux que toute autre chose,
Je n’en peux plus… Je prends ma dose.
Mais cache-moi ce sein qui me fait souffrir !
Sur lequel s'élève mollement un téton bien dur,
Et dont la résurrection me couvre de désir,
Je prends ma revanche avec grand plaisir,
A travers ta douleur, tes cris et tes soupirs.
Mirage
Mars 2006
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hypathie · 1 year
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Écris-moi.
Je vais la faire courte.
Je lis beaucoup de fanfictions.
Enfin, disons surtout que je passe beaucoup de temps à en chercher qui me plaisent.
Donc quand j’accroche sur une d’elles, je m’accroche.
Laissez donc moi vous présentez une de mes dernières obsessions : le Olivier Giroud x Kylian Mbappé qui a magnifiquement été raconté dans « écris-moi » par @louise_barane.
L’histoire est disponible sur wattpad : https://www.wattpad.com/story/334009358-%C3%A9cris-moi-giroud-x-mbapp%C3%A9
et sur Archive of our own : https://archiveofourown.org/works/45454078
Foncez la lire.
CECI DIT.
J’ai dessiné la dernière scène du chapitre 10 de la partie 2 de cette fanfiction, il s’intitule « la cent-unième » et m’a remué dans tous les sens.
Voici donc un cadeau pour Louise que je remercie pour son fantastique travail, un cadeau pour moi-même car je suis fière d’avoir mené au bout ce projet et un cadeau pour ceux qui adorent, comme moi, cette histoire.
Avertissement : je ne suis pas dessinatrice pro et ça se voit, j’ai fait sincèrement de mon mieux.
Instant auto promo : j’ai aussi un compte wattpad : https://www.wattpad.com/user/--JuB--
( ma note n’est pas aussi courte que prévue)
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vodid · 2 years
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It’s cool that you’re learning German! I’m learning French 😅 as I said before to someone, Je m’accroche là. Un peu.
(Don’t even know if that’s right 😗✌️)
aaa yes!! i haven't checked into duolingo in a hot minute :') aber ich bin gut :'D ich bin sehr gut........... crying 😂 good luck mit dein französisch, anon!! <3
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exilenpagaille · 2 years
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Coucou tumblr. Je profite d’attendre mon prochain vol pour t’écrire. Ça fait un moment que je ne l’ai pas fait mais, sérieusement, je n’avais pas le temps ni l’envie. Cette nouvelle vie est mouvementée. Je me sens bien dans mon appart, les cours sont intéressants mais ça fait pas tout… je suis dans une petite ville avec principalement des catho tradi avec qui je ne partage pas du tous les meme valeurs. C’est difficile de créer des liens. Je m’accroche à ce qui me plaît, je suis là pour avancer. Ces vacances vont me permettre d’un peu souffler, chose que je n’ai pas fait depuis la rentrée avec la quantité de bulot que j’ai h24. Je vais rejoindre M chez lui. J’ai oublié de te raconter mais il est aussi venu me voir, c’était sympa mais il a plu. J’ose espérer que le temps a Nice soit meilleur, j’ai hâte de voir où il est, enfin. C’est étrange tout de même, on avait l’habitude de se voir chez nous, à la Réunion. Je te tiendrai peut-être au courant de mon séjour, à bientôt.
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Paris, samedi soir.
Je n’en peux plus, je suis fatigué, je suis usé. Chaque jour est une lutte pour apprendre à sentir la vie, apprendre à prendre du plaisir, apprendre à être-là. Il y a un tabou entre vous et moi. Un tabou dont on ne parle pas, ou si on le mentionne, c’est sur le mode de l’ironie. C’est le tabou du spleen, du malêtre, de la mélancolie, de la dépression, appelez cela comme vous voulez. C’est tellement plus facile pour moi de blaguer sur mes épisodes dépressifs que de vous en parler réellement. Je n’ose pas le faire, je brûle d’envie de le faire, de vous dire que ça ne va pas. Mais j’ai peur, j’ai peur de vous déranger, j’ai peur qu’entre nous s’installe une relation malsaine et pesante sur vous, car je ne sais pas mettre les limites. Des fois, en face de vous, un cri sourd intérieur me traverse, je n’ai qu’une envie, c’est m’effondrer, pleurer dans vos bras, vous dire à quel point je suis triste, vous dire que parfois la vie ne me semble plus être vivante. Mais je n’arrive pas, je ne parle pas de moi. C’est là tout le paradoxe, je suis un grand narcissique, mais je n’arrive pas à vous parler de moi, de mes émotions, de mes sentiments, de ce qui me traverse. J’ai parfois l’impression que vous ne me connaissez pas, ou pas comme moi je peux vous connaitre. Ce n’est pas un reproche, je sais que je porte cette responsabilité. Mais je ne sais l’expliquer. Mais il faut le faire, il faut le dire. Parce que je vous aime, parce que j’espère que vous m’aimez aussi. Cela fait un an que ça ne va pas du tout.  Au début j’ai fui, j’ai fui dans la fête, dans la drogue, dans l’alcool, dans la validation superficielle. J’ai trompé, j’ai menti, j’ai mis de la distance sans raison, je n’ai plus osé être présent à l’instant présent. Puis vint la chute. C’est d’abord une journée sans manger. Puis un weekend sans manger à faire la fête sous drogue. C’est le contrecoup qui nous rend odieux. L’être aimé apprend la tromperie, tente de nous aider, mais le mal est fait, je n’ai pas la force de demander de l’aide, de vous le dire, d’aller en thérapie. Mais plutôt que d’accepter, j’ai préféré mentir. Me mentir. Vous mentir. Lui mentir. Croire que mon cœur n’était pas brisé, croire que je gérais tout. Ce n’était pas là une pose. C’était l’ultime mensonge face au naufrage. Il me restait une chose à laquelle m’accrocher: l’université. Alors j’ai préféré prétendre que tout va bien pour tenter de rédiger mes travaux, mais le mensonge n’a pas tenu et j’ai dû redoublé l’année. Ce que je présente comme les causes de ma dépression en sont les conséquences. Ces épisodes sont tellement violents. Je n’ai plus aucun désir, je reste dans mon lit, je n’arrive pas à me nourrir. Je perds 8kg en une semaine. Je pense à en finir, ça m’apaise. Je pars en vadrouille, ça m’apaise. Je bois, ça m’apaise. Je couche, ça m’apaise. Fuir, fuir, fuir, fuir, fuir, fuir,fuir,fuir,fuir.
Je ne veux plus fuir. Je ne veux plus mentir.
Alors je vous dis la vérité. Ça ne va pas. Ça fait bien trop longtemps que ça ne va pas. Et je suis fatigué de le garder pour moi, fatiguer qu’il y ait ce tabou entre nous. Je ne vous demande pas d’être mes psychothérapeutes. J’en ai une géniale qui m’aide à comprendre comment je fonctionne et à ne plus reproduire les erreurs d’antan. Mais je ne veux plus de ce tabou. Je sais que je cache ce spleen, mais je crois que vous me connaissez assez pour voir quand ça ne va pas. J’ai toujours peur de vous déranger quand je dois vous parler de moi, alors que je suis un torrent d’émotion. J’aurais voulu vous parler des fois où je suis tombé amoureux, j’aurais voulu oser pleurer en face de vous et vous demander une étreinte. Souvent, je me retiens quand je suis en face de vous. Je me retiens de vous dire à quel point je vous aime, à quel point je vous trouve géniales et géniaux. Si vous saviez combien de lettre qui vous sont adressés restent en souffrance dans mes cahiers et dans mes pensées. J’ai peur de vous faire peur, de vous étouffer avec mes émotions exacerbées. S’il y a une chose en ce bas monde qui me fait chérir l’existence, c’est bien la possibilité de l’amitié. C’est la possibilité qu’ensemble nous nous rendions pas meilleurs, mais que nous voulions que l’autre soi pleinement et en vérité ce qu’il ou elle est. Alors mes amis, aujourd’hui, c’est votre amour et votre soutien que je demande, parce que je veux aller mieux, parce qu’avec vous je crois le bonheur possible, sans aucune preuve. Je veux retrouver ce Sami vivant, celui que vous aimez, celui que j’aime, celui que vous avez aidé à devenir. Je veux être ce Sami qui porte son spleen de temps en temps, mais cet ami fidèle et généreux. Mais pour cela, j’ai besoin de vous, besoin de vous parler de ce mal qui me ronge ou aussi de toute les choses qui rendent la vie vivante. L’amitié véritable n’étant jamais unidimensionnelle mais toujours être-avec (Dasein ist Mitsein), je veux vous rappeler que toujours vous pourrez compter sur mon écoute amicale, ententive et sincère. Je veux m’accrocher à cela, je veux que vous preniez l’amour que je vous porte comme phare dans les moments sombres. Si j’ai besoin de dire et d’entendre ces choses, c’est parce que je suis un sceptique existentiel. Le doute me ronge. Je doute de mon intelligence, de mon style, de ma beauté. Mais surtout je doute des relations, j’ai peur de ne pas être à la hauteur de votre amitié, peur de ne pas être assez présent, peur, au contraire, de trop en faire. Peur de ne pas savoir retenir l’euphorie. En écrivant ces lignes, c’est encore la peur qui me prend. La peur que de trop vous en demander, la peur de trop vous en dire.
Si 2022 était l’année de la fuite et du mensonge, je souhaite que 2023 soit sous le sceau du courage et de l’affirmation.
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clochardscelestes · 2 years
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Pour la première fois depuis Janvier, je n’ai pas pris de poids ces dernières semaines, je me suis stabilisé. Je prends ça comme une petite victoire, pour m’aider à continuer à m’accrocher malgré tout, parce que c’est toujours aussi dur de ne pas faire n’importe quoi niveau bouffe, c’est toujours aussi fatiguant, parce que j’en ai marre de faire ces efforts repas après repas, et que je ne sais même pas si j’en serais libéré un jour honnêtement.
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Je m’accroche pour trouver la porte d’entrée, histoire de ne pas mourir idiot…#chainsawman #chainsawmanfanart #power #akichainsawman #denjichainsawman #makima https://www.instagram.com/p/CmLevsGKOge/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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pourlemeilleur · 2 years
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je m’accroche du plus fort que je peux à juin parce que ce sera ma nouvelle vie qui débutera, mais c’est réellement dur car cette envie de disparaître est constamment avec moi. Chaque jour. Mais je peux pas abandonner avant d’avoir la vie que j’ai longtemps voulu…
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kh-ione · 2 years
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Je voulais partir
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Je voulais partir,
M’envoler avec le doux chuchotement du vent, loin de tout. Rejoindre la solitude m’accueillant gentiment dans ses bras. M’étendre dans l’herbe, les racines des saules s’agrippant autour de mon corps pourrissant. Avaler terre et feuilles, les oiseaux hébergeant leur nid douillet dans mes orbites. Attendre que l’hiver montre le bout de son nez et danser entre les flocons de neige, m’accrochant à chacun d’eux afin d’atteindre les astres. Sentir ma peau se crisper, le froid embrasant mes organes. Me fondre dans le paysage, un être humain se transformant en nature morte. À l’été, je serai partie.
Je voulais partir,
Frôler la mort, l’amadouer, ne scellant jamais tout à fait mes lèvres sur les siennes. À moitié vivante, m’engouffrer, seule, dans l’antre de la mer, humant une dernière fois les effluves qu’apportes la brise. Dans le calme de l’océan, écouter, dans mes rêves, ses ronronnements m’incitant à caler toujours un peu plus dans ses profondeurs inconnues. Nager sur le dos des poissons me tenant compagnie, me berçant au gré de la comptine que chante le courant. Bâtir un abris de roches et d’algues au fond de l’eau, un lit d’étoiles de mer afin de m’y étendre, le monde entier s’écoulant sur moi. Enfin, loin du bruit qui embrouillait mon cerveau, déjà noircie de pensées et de sentiments incessants, impossibles à étouffer. Peut-être l’océan arriverait-il à les faire taire? 
Je voulais partir,
Rejoindre la voie lactée, être emportée par l’univers, me perdre dans le coeur des galaxies. Faire mes valises, sans un au revoir. M’évader. Loin. Très loin. Retrouver le silence qui s’enfuyait constamment de moi, m’échappait. Vagabonder de planètes en planètes, jouer à cache-cache avec les étoiles, dormir paisiblement sur les anneaux de Saturne. Parcourir des années lumières sans m’arrêter, sans me retourner, attendant que la vie s’arrache à moi lentement, mais sûrement. Que les années s’écoulent, le temps enfin disparu de ma conscience. Que les chemins s’embrouillent. Que chaque partie de mon corps soit à tout jamais perdue dans l’espace, dans le vide absolu où personne ne me retrouvera.
Je voulais partir,
Mais je suis restée. 
-Kh-ione
Note: Le texte est inspiré de la chanson. Si vous voyez une faute/erreur, vous pouvez m'en faire part. Les commentaires sont toujours les bienvenus!
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