#j’irai ou tu iras
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Amis ou camarades ?
“Là où tu iras, j'irai. Là où tu habiteras, j'habiterai... et ton Dieu sera mon Dieu.” Ruth 1. 16
Au cours de votre vie, vous rencontrerez des gens qui vous sembleront proches, parce que vous luttez pour les mêmes causes et affrontez les mêmes ennemis. Vous formerez avec eux une alliance faite d’opportunisme et de pragmatisme, tout en sachant que vous n’avez pas les mêmes idéaux, les mêmes valeurs, que vous ne respectez pas les mêmes principes. Ils vous épauleront tant que vous irez dans la même direction, mais une fois la bataille terminée, ils s’éloigneront de vous pour suivre leur propre route. Ce ne sont pas des amis, mais des camarades. Ils ressemblent à des soldats de nationalités différentes, unis seulement pour se battre contre un ennemi commun.
Les pharisiens et les saducéens se retrouvèrent alliés contre Jésus lorsqu’ils vinrent exiger de Lui qu’Il leur donne un signe venu du ciel (Matthieu 16. 1). Pourtant ces deux groupes avaient des vues opposées. Leur seule motivation commune : tuer Jésus ! Certains se targueront d’être vos amis ; pour déterminer s’ils le sont vraiment, prêtez attention à leurs discours. Ils dévoileront vite quelles sont leurs valeurs et pourquoi ils recherchent votre compagnie ! Lorsque Noémi suggéra à ses deux belles-filles de rester dans leur pays et d’y chercher un nouveau mari, l’une d’elles, Ruth lui déclara : “Là où tu iras, j’irai, là où tu habiteras, j’habiterai.
Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.” (Ruth 1. 16). Ruth n’avait aucun intérêt à rester aux côtés de Noémi. Aucun agenda commun ne les liait. Elle aurait pu abandonner sa belle-mère maintenant que celle-ci souhaitait rentrer dans son pays. Mais elle déclara vouloir aller habiter dans le même pays que Noémi (un pays étranger pour elle), au sein d’un peuple dont elle ne connaissait pas les coutumes, et en accepter les valeurs morales et la religion. Les camarades peuvent vous être utiles un temps, mais méfiez-vous-en ! La Bible nous avertit : “Ne formez pas avec les non-croyants un attelage disparate... Quelle communion entre la lumière et les ténèbres?” (2 Corinthiens 6. 14).
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Un témoignage de fidélité et de dévouement
Ruth et Naomi, deux femmes liées par le chagrin et une histoire commune de perte, se tenaient ensemble dans les champs, brûlées par le soleil, de Moab. La famine et la mort avaient frappé leur famille, et Naomi avait choisi de retourner au pays de Juda, sa patrie.
Devant Ruth, une jeune veuve moabite, se trouvait deux chemins: soit de rester dans le confort familial de sa patrie, ou d’entamer un voyage incertain vers la terre inconnue de Juda. À Moab, le peuple ne servait pas le Dieu de Juda, le Dieu que servait Naomi, et celui que nous servons aujourd’hui.
La belle-mère de Ruth, Naomi, la supplia de rester se faire une nouvelle vie parmi les Moabites, où elle serait bienvenue et acceptée, mais n'adorerait pas Dieu. Au lieu de cela, Ruth embrassa sa belle-mère et lui dit: "Où tu iras, j’irai; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu; où tu mourras, je mourrai."
Nous ferons tous face à des choix qui demanderont un engagement au-delà de l’ordinaire. La question est claire: quels principes guideront tes décisions? L’expérience de Ruth nous encourage à affirmer résolument nos allégeances, non seulement en paroles, mais dans des actions délibérées qui façonnent nos vies et honorent Dieu.
A quoi ressemblerait-il pour toi d'embrasser une vie marquée par un ferme engagement de suivre la direction de Dieu? Nous laisserons tous un héritage à ceux qui nous suivent. Le tien sera-t-il un testament de loyauté envers Dieu?
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Babydoll.
J’en profite que tu te sois endormie pour te préparer un petit quelque chose. Pardonne-moi si ce n’est pas beaucoup, mais je ne pouvais pas te laisser partir les mains vides. Surtout que tu fais la têtue à ne pas vouloir me réveiller au petit matin. Also, please do so. If you do feel anxious or lost, im one bip away.
En espérant que mes mots et conseils sachent t’apaiser. Je ne sais pas trop où j’allais en venir avec tout ça, je te laisse t’emporter avec moi.
Sommaire de mes petits mots:
I) En préparation du départ.
II) To read if you’re sad.
III) To read once in the plane.
IV) Playlist if you wanna sleep.
V) To read when you’re bored or about to land.
VI) Pics of boyfriend so you can feel better!
I) *** En préparation du départ ***
Résumé de mon pavé :
- Une fois passé la sécurité, enjoy some time to look at the duty free si tu te sens panicky. Juste tu te promènes.
- Grab some food, you need some strength.
- Trouve toi un endroit proche de ta porte, normalement elle est affichée sur ton billet et sur les écrans autour de toi. Mais je te conseille de plutôt regarder ton téléphone, souvent celle-ci change, et le téléphone reste à jour.
- Réveille moi if you feel stressed.
Babydoll, respire bien ce matin. Je ne sais pas quand tu liras ça, tu seras sûrement in a rush. Peut être que ton seul moment sera dans l’avion. Quand bien même je te fais part de quelques petits encouragements, et des conseils si tu te sens un peu perdue. Je suppose déjà que tes parents vont t’accompagner jusqu’à la porte. Du moins, je l’espère. Si ce n’est pas le cas, ne t’en fais pas. À cette étape, il faudra simplement enregistrer tes valises et te rendre au départ. Tout est assez bien indiqué à CDG, je crois d’ailleurs que tu passes une douane et ensuite la sécurité. Ou des fois il n’y a pas de douane at all. Une fois que tu auras passé la sécurité, j’espère que tu auras acheté quelques snacks à grignoter. Ça m’inquiète de te savoir pas non plus reposée à ton grand 100%, cause i want you to feel completely okay. En sachant notamment que la fatigue enhance stress… Anyway baby. You have to grab some food. Fais toi plaisir dans les duty free aussi, ça passe le temps (si tu as le temps surtout). Puis trouve un endroit pour te poser, comme l’on avait fait ensemble à Montréal, tout ira bien. Attends qu’on annonce l’embarquement et regarde dans quelle zone tu te trouves (1,2,3,4,5,6…) pour que tu saches quand te mettre en file. Comme d’habitude, tu gères ! Et je suis si fier de toi. Je sais très bien que c’est pas facile, je sais encore plus que tu dois être un peu dans un état second après avoir quitté ta famille, alors je suis d’autant plus fier. You’re so brave, and you’re extraordinary. T’es toujours surprenante, tu sais ? Allez doll, c’est bientôt l’heure de rentrer dans l’avion. Vérifie bien que tu possèdes toutes tes affaires, écoute bien les hauts parleurs. Puis installe toi confortablement. J’espère que tu seras couverte, parfois il peut faire très chaud comme très froid. I wish I was there with you, to keep you all warm.
II) To read if you’re sad.
My baby, my babydoll.
I know it’s tough. I bet it is, je sais que c’est dur de laisser ses proches derrière soi. Je sais qu’on le ressent tous de façon différente. Des fois ça va bien puis ça nous hit later, des fois c’est tout l’inverse. Même si je fais ce voyage assez souvent, c’est pas pour autant que je m’y suis habitué. Alors mon cœur est avec toi, et je veux pas que tu te sentes seule. Je suis vraiment and sincerely so proud of you. Je sais que finalement ce voyage a été très attendu, détesté, voulu, t’es passée par tous les stades. Et now is the time. Je sais que je me suis répété des milliers de fois et je sais que ces mots ne seront jamais assez pour apaiser ce petit pincement au coeur, mais ce que je peux dire est la suivante: on a tendance à oublier qu’on a qu’une seule vie et non sept. J’irai même plus loin à dire qu’on en oublie même que nous sommes en vie. Aujourd’hui, tu as l’opportunité de partir expérience quelque chose de nouveau, à l’étranger. T’as carrément une nouvelle chance, des vacances, un moment pour toi, pour ton bien être, pour que tu puisses profiter, même si cela passera par des petites choses. Pour que tu puisses apprendre, des autres, de cette ville mais surtout de toi-même. Trois mois, ça passe très vite, tu sais ? Je sais très bien que tout ira bien pour toi. Je te le répète depuis que tout se concrétise. Je suis fier de toi, fier d’avoir fait ce pas; même si tu dis l’avoir fait au départ pour moi. Je suis juste fier, ouais, et j’aimerai pouvoir te montrer tout ce que je ressens while typing this. Baby, tu retrouveras ta famille avec plein de choses à leur raconter, tu les retrouveras encore plus tôt que tu ne l’entendes. Ils sont toujours auprès de toi. Mais aujourd’hui, aujourd’hui c’est pour toi. Ce voyage is about you, and for you only. Baby, you’re not alone. Quoi qu’il arrive, dans n’importe quel continent, whenever, I’m always with you. Tout va bien se passer. Baby don’t forget to breathe, okay Doll? Je veux pas tout ramener à moi mais le fait d’avoir été “tej” de la maitrise l’an passé m’a réellement remis les idées en place. Finalement, plein de choses m’ont remit les idées en place. Tout ça pour dire que bébé, tu n’es pas en prison, tu n’es forcée à rien, la vie c’est plus simple qu’on le pense. Surtout quand on a la chance d’être aimé. Tout ira bien, tout. Rien ne vaut que tu te prennes la tête, rien de tout ça. Maintenant, c’est normal d’être triste, c’est normal de vouloir pleurer, ou de se sentir déboussolée. Fais moi confiance, tout ira mieux quand tu seras sur place. Tout ira mieux quand tu redécouvriras l’ambiance et la ville, et que tu te diras que ouais! you’re here for a short time, tout ira bien, you will be home plus vite que tu le penses. C’est pour ça que ta tête doit se préparer au voyage, et que ton coeur aussi. J’espère que mes mots te feront du bien, même si c’est dur d’en trouver des bons dans ces moments. It’s totally fair that you feel like that. C’est toujours l’épreuve que je redoute le plus. Et pourtant, here you are. You did it baby, and im proud of you for that. (And for everything). You’re such a sweet girl. Je ne sais même pas s’ils méritent toujours cet amour. Même moi je ne m’en sens pas toujours méritant. It will all be okay baby, I’ve got you. It’s okay.
III) To read once in the plane. (PAS AVANT)
Baby! Here you are. Je voulais te souhaiter une nouvelle fois un bon voyage. Puis surtout, je voulais te répéter à quel point je suis fier de toi puis à quel point je t’aime aussi. Tout comme toi, je n’aime pas te savoir voyager toute seule. Je n’aime pas te savoir dans un avion et moi… At home. Funny how les rôles ont été inversé cette fois, n’est-ce pas ? Mais je relativise, c’est un vol relativement court, tu arrives tôt. J’espère simplement que tu sauras te reposer, car on ne sait pas vraiment la journée qui s’annonce devant toi. Dans tous les cas, tout ira bien; et right now n’est pas le temps pour stresser ni penser à ce qui adviendra. Parfois notre cerveau veut penser plus vite que le monde ne tourne. Parfois on pense alors même que rien n’est sûr, que rien n’est encore écrit. Maintenant il faut se détendre baby, il faut se préparer au repos. Et tout ira bien. Je me doute que tu dois être fatiguée et un peu overwhelmed, dans un état un peu second après avoir quitté tes proches. Puis aussi tout le stress, enfin, toutes ces émotions qui se battent au sein de ton petit corps. J’espère que j’ai pu te rassurer, en te parlant avant le départ. J’aimerai tellement avoir le super-pouvoir de te retirer toutes ces vilaines émotions. Anyway! Que dire? Je voulais qu’on fasse un rapide retour sur ces derniers mois avant que je ne te laisse te reposer. En fait, je voulais juste te rappeler à quel point tu as sué pour te retrouver dans cet avion. Oui, plus les mois passaient et plus ça semblait presque comme une obligation, comme un burden peut être ? Je ne sais pas… Dans tous les cas, j’espère que tu pars avec l’envie et le coeur léger (il doit être un peu lourd à l’heure actuelle). Tu mérites tellement de te retrouver là tu sais ? Je suis fier de toi pour tout ce que tu as accompli. Tu ne t’en rends peut être pas compte, mais tu as tout fait toute seule, you really really got it by yourself. Tu as tenu le coup, même quand tout semblait défaillir. T’as rien lâché. Et ça a été dur on you, so fucking hard. And I hate seeing you like that, I hate knowing you were feeling like that. And I also hated myself some times, because I felt like I was the reason for putting you through this choice. Maintenant qu’on voit la lumière au bout du tunnel, finally, je me sens plus apaisé. Car je pense vraiment toujours autant que ce séjour est une belle opportunité. Je sais que tu as peur, tout est fair, je sais que tu te connais et tu connais aussi tes différentes formes d’anxiété, tes blocages, tout ça. Mais je veux que tu saches que tout ira bien quand même. Pour être passé par là, je sais que certaines choses sont surmontables. Des fois ça passe, des fois ça casse. Des fois ces anxiétés disparaissent, sans forcément qu’on s’y tente à les effacer. Des fois elles reviennent, quand on s’y attend le moins. Tout ça pour dire qu’il faut être vraiment gentille et patiente avec toi même, tu vois ? Je sais que l’anxiété et les peurs c’est très difficilement contrôlable, je sais tout ça et je suis vraiment en admiration devant toi. Car tu vois souvent le négatif et tu mets un peu de côté tout le positif que tu entreprends, sans parfois t’en rendre compte. Mais juste être right now, dans cet avion, ça prouve à quel point tu es absolument extraordinaire. Je pense pas que tu te rendes compte à quel point ça demande une grande maturité, du courage et juste, i don’t know, de la force, pour être finally dans cet avion. Quand je look back, j’en suis vraiment ému, je suis tellement content que cette attente s’arrête et je suis vraiment hopeful pour ce qui s’en vient. Je sais que je te l’ai souvent remué dans la figure, à te dire de grands “j’ai toujours raison” mais j’ai eu raison sur toute la ligne pour la simple et bonne raison que j’ai toujours cru en toi. C’est tout, je te connais, je savais de quoi tu étais capable. I knew it would work for you, and I did pray for you. All the fucking time. It’s all because of you. And I’m so proud. I love you so much. Safe flight babydoll, alright ? Je suis tout près de toi, je te suis à la trace, et je serai là. Always.
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aller - to go
J’irai ici dans ma Jaune maillot de Bain ou robe.
Tu iras m’épouser (se marier) ou Juste autour l’arbre.
il ira à San Jose State University
Nous irons à la piscine ne pas la plage parceque c’est chaud et frais avec un bleu brillant avec des stries noire au milieu comme moi — si seulement Je devrais être la Jolie Mariah, Britney, j.lo, Ashanti, Beyoncé (si seulment je serai la Jolie.
vous irez Vietnamese.
Ils iront autour du pâté de maisons, au spa, aux nauges, dans l’avion.
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Et dire qu’avant c’était toi. Je posais mes lèvres sur tes joues, comme le soleil au Mucem, en été près des bateaux. C’était toi qui riais, et la mer riait avec toi. Tes dents sont proéminentes ; on en voit tes gencives. C’est beau, ce sourire carnassier, je voudrais que tu m’avales, comme la corniche m’avale, le soir au bout du port, quand je regarde le haut de ton immeuble, pas loin du Pharo, chez les bourges. Derrière c’est la route, qui ira jusqu’au bout des plages rocailleuses du Sud, mes bras tendus comme un enfant auquel on refuse le sein, et j’aimerais que tu mettes un terme à cette litanie. J’aimerais que tu tendes encore tes joues vers mes lèvres.
Je t’aime comme j’aime le poison, ou l’hydromel que me sers le caviste rue Caisserie. Il m’assit là en terrasse, un verre de blanc sur le compte de la maison et plus tard un hydromel breton, toujours à sa discrétion. Je lu en attendant le livreur, rêvant à toi.
Ivre de ce rebond sur ton ventre, de ce rebond quand tu lis Genet, sourire en coin de pédé voyeur, ivre parce que tu es tout ce que je désire, de plus pur et de plus décadent. Je veux remettre ma langue là où elle me semble s’être établie noblement : entre tes cuisses. Le désir est une donnée trouble de l’amour. Tu me blesses et je ne te désires que plus. Blesses moi encore. Explorons les limites de mon humiliation, fuite/désir du rejet, thérapies à rallonge. Je veux que tu me baises comme tu fais mal. Avec naturel, et n’oublies pas de cracher dans ma bouche. Encore, tu m’échappes comme l’ivresse. J’irais te trouver à nouveau, mes draps oblitérés de la plus addictive et mortifère des substances, creuse encore non-amour. Je rêve des nuits où tu me baisais allongé derrière moi. Partisan du moindre effort, tu voulais mon cul au plus près de tes doigts, mes seins là où tes mains pourraient les trouver au plus vite, ta langue dans mon cou, et mon dos pour ta bouche vicieuse. Vas jusqu’au bout du geste, lâche, encules moi. Fais moi mourir, et ressuscite moi pour que j’embrasse à nouveau tes paumes.
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J’irai ou tu iras, Geraldine Nakache (2019)
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J’irai où tu iras - ★★☆☆☆
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Un de mes premiers crush d’adolescence c’était Géraldine Nakache après avoir vu Tout ce qui brille. Dommage que tous ses films qui ont suivit ça a été de la merde...
#text post#je pense a ca parce que je vois les promos de j’irai ou tu iras#j’y crois un peu parce quz j’adore celine#et faut dire que tout ce qui brille ca m’a pas parlé de ouf#juste geraldine#le perso de leila je le trouvais ultra relou#mais maintenant j’adore leïla bekti
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Thank you @eyelidsep 😘for tagging me it was soooo much fun (I even sat down at my computer to do the shuffle playlist)
Playlist shuffle rule: hit shuffle on your media player and write doxn the first 20 songs, no skipping!
Wild love - James bay
Trampled under foot - Led Zeppelin
Kreuzberg - Bloc party
Over my head - Furslide (from the Buffy soundtrack!!!)
Big parade - The Lumineers
Pretty (ugly before) - Elliott Smith
Mourning Air - Portishead
One vision - Queen
Miss Friday - Nico Stai
Summer breaking - Mark Ronson ft Kevin Parker
Hummingbird - Cocoon (it’s a French duo (not anymore) but go listen to their album « My Friends all died in a plane Crash)
Cornerstone - Arctic Monkeys
Photograph - Ed Sheeran
Slow animals - The Strokes
Ready to go (get me out of my mind) - Panic! At the disco
Under your spell - From the « once more with feeling soundtracks » (Buffy) or that time magic gave us a lesbian orgasm on prime time tv!!
Ashamed - Muse
breakup together - Theo Katzman
Winnipeg - Julien Doré & The Bash (it’s WS level of lyrics but I LOVE THIS SONG!))
A kind of magic - Queen
10 songs I’ve been listening to lately
Istanbul (not Constantinople) - They might be giants
Best song ever - One Direction (my nephew loves it. He is humming it all the time!!)
Hit the back - King Princess
Skinny Love - Bon Iver
Heart of Glass - Miley Cyrus
My tears ricochet - Taylor Swift
You better believe!! - Declan McKenna
Fine Line - Harry Styles (always!)
There I said it - Adam Lambert
I dreamed a dream - Darren Criss cover (but maybe it’s just because I’m horny. I don’t even like this song but I watch the video of his cover. I would eat him)
9 most influential albums (to me anyway)
Rumors - Fleetwood and Mac
Origin of symmetry - Muse
God blesse - Saez
Harry Styles - Harry Styles
Favorite worst nightmares - Arctic monkeys
I’ve been expecting you - Robbie Williams
21 - Adele
Revolver - The Beatles
D’eux - Céline Dion (It’s an incredible album!!! Thank you Jean-Jacques Goldman! Best selling album of all time in France. Yeah it’s not Thriller here. And if you want everyone to sing at a french party put “Pour que je t’aime encore” or “J’irai ou tu iras” on)
ok who am I tagging? @summerscreation @old-in-betweeners @opalesquemoonlight @illbeallright @imnottherealharrystyles and anyone that want to do it!!
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J’IRAI OU TU IRAS MON PAYS SERA TOI. J’IRAI OU TU IRAS, QU’IMPORTE LA PLACE QU’IMPORTE L’ENDROIT.
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O2Vie 158-2024/08: Le réveil personnel (4)
"Daniel résolut de ne pas se souiller par les mets du roi et par le vin dont le roi buvait, et il pria le chef des eunuques de ne pas l’obliger à se souiller".
(Daniel 1:8, LSG)
Si vous posez la question aux grands entrepreneurs ou artistes de ce monde sur le secret de leur réussite, ils diront beaucoup de choses parmis lesquelles vous trouverez forcément la résolution. L'un des secrets du réveil personnel c'est la résolution. Daniel résolut de ne pas se souiller. La résolution est une suite logique d'une connaissance profonde à laquelle on se donne de ne point faillir. Lorsque j'étais encore élève au lycée je me rappelle avoir pris une résolution par rapport au sexe et au mariage. Je pense que mon mariage à l'âge où je suis marié n'est pas un hasard mais le fruit de ma résolution. Cette résolution personnelle dans ce domaine est fruit d'une connaissance et conviction précise basées sur la parole de Dieu. N'est-ce pas qu'il est écrit dans Job 22:28 qu'à tes résolutions répondra le succès? La résolution déclenche le réveil et le réveil déclenche des exploits à la gloire de Dieu. Dans ce monde, tout est réuni pour nous empêcher de mener nos visions, nos décisions, nos projets jusqu'au bout; de même, l'ennemi n'est pas disposé à nous laisser avancer dans la foi, à acquérir la maturit�� spirituelle, à continuer par servir le Seigneur et le corps de Christ (l'église). Il nous faut donc de la résolution. On ne peut être un homme de prière, une femme versée dans la Parole de Dieu ou dans l'évangélisation sans la résolution. C'est la résolution qui nous aide à maintenir le feu du réveil personnel.
"Ruth répondit : Ne me presse pas de te laisser, de retourner loin de toi ! Où tu iras j’irai, où tu demeureras je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu ”
(Ruth 1:16, LSG)
Ruth est devenue une aïeule de Jésus grâce à sa résolution. Que le Saint Esprit nous vienne en aide. Amen.
Pasteur Lazare AFANDJEGO & L'Equipe Eau de Vie
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Un Lieu Vraiment Improbable 25/01/2024
Où tu iras, j’irai, ton peuple est mon peuple, et ton Dieu est mon Dieu. Ruth 1.16
Égarés en cherchant le tombeau des Patriarches en Israël, à Hébron, un soldat nous indique le chemin, quand j’aperçois un tout petit panneau à peine visible indiquant « Caves Ruth & Jesse », incroyable ! Nous sommes pressés de les découvrir, car l’endroit est difficile d’accès n’étant pas touristique, niché dans une toute petite impasse à peine visible. Enfin nous y arrivons et là, nous nous trouvons devant les tombes de la Ruth citée dans notre verset, ainsi que de celle du père du roi David (dont le nom est traduit tantôt par Isaï, ou tantôt par Jessé).
Imaginez mon émotion : c’était très inattendu ! Nous nous trouvions donc devant la tombe de Ruth dont un livre biblique porte le nom c’est exceptionnel ! D’origine païenne, elle déclare à sa belle-mère endeuillée qu’elle est prête à la suivre partout, à quitter sa famille et ses croyances, et à adopter les siennes afin de ne pas la laisser seule. C’est ce que l’on appelle du respect, de l’amour, de la fidélité, du secours pour une femme meurtrie par la vie.
Le Seigneur va bénir ces deux femmes. Ruth va se remarier et donner naissance à un fils. Elle est l’aïeule du roi David, et l’une des trois femmes citées dans la généalogie de Jésus.
Le Seigneur ne vous demanderait-il pas aujourd’hui un tel changement radical ?
Bernard Delépine
__________________ Lecture proposée : Livre de Ruth, chapitre 1, versets 11 à 19.
11 Naomi, dit: Retournez, mes filles! Pourquoi viendriez-vous avec moi? Ai-je encore dans mon sein des fils qui puissent devenir vos maris?
12 Retournez, mes filles, allez! Je suis trop vieille pour me remarier. Et quand je dirais: J'ai de l'espérance; quand cette nuit même je serais avec un mari, et que j'enfanterais des fils,
13 attendriez-vous pour cela qu'ils eussent grandi, refuseriez-vous pour cela de vous marier? Non, mes filles! car à cause de vous je suis dans une grande affliction de ce que la main de l'Éternel s'est étendue contre moi.
14 Et elles élevèrent la voix, et pleurèrent encore. Orpa baisa sa belle-mère, mais Ruth s'attacha à elle.
15 Naomi dit à Ruth: Voici, ta belle-soeur est retournée vers son peuple et vers ses dieux; retourne, comme ta belle-soeur.
16 Ruth répondit: Ne me presse pas de te laisser, de retourner loin de toi! Où tu iras j'irai, où tu demeureras je demeurerai; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu;
17 où tu mourras je mourrai, et j'y serai enterrée. Que l'Éternel me traite dans toute sa rigueur, si autre chose que la mort vient à me séparer de toi!
18 Naomi, la voyant décidée à aller avec elle, cessa ses instances.
19 Elles firent ensemble le voyage jusqu'à leur arrivée à Bethléhem. Et lorsqu'elles entrèrent dans Bethléhem, toute la ville fut émue à cause d'elles, et les femmes disaient: Est-ce là Naomi?
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L’histoire de Vincent (Partie 28)
Classe de mer, l'arrivée au centre
Une fois la visite effectuée, tous se retrouvèrent près du car. Chaque enfant récupéra sa valise.
- Elle est où ta valise ? demande Mathieu à Vincent.
- Je l’ai déjà emmenée dans ma chambre, d’ailleurs nous sommes ensemble.
Tout en ayant parlé à Vincent, Mathieu avait observé Vincent.
- Tu es allé enlever ta couche, c’est ça ? demanda tout bas Mathieu.
- Oui, ma couche a eu une fuite et Sam s’est est aperçue. Elle m’a emmené me changer.
- D’accord, je comprends mieux.
- Elle est super gentille en tout cas et elle m’a dit que sa chambre était juste à côté de la notre.
A ce moment là, un animateur du centre commença à appeler tous les enfants afin de leur indiquer leur chambre. Vincent et Mathieu étaient dans la chambre A02. Eric était avec Stéphane et Antoine, dans la chambre A4, Noémie se retrouvait avec Agathe dans la chambre B02.
De ce que constatait Vincent, les filles étaient dans le couloir B, tandis que les garçons étaient dans le A.
2 groupes se formèrent ensuite. Une accompagnatrice emmenait les filles et c’est Sam qui s’occupait des garçons.
Comme Vincent n’avait pas de valise à porter, il aida Mathieu qui lui en avait 2 car ses parents n’en avaient pas de grosse.
- Bonjour les garçons, je m’appelle Samantha, mais c’est Sam si vous préférez, les 2 me vont. Je vais vous emmener dans vos chambres ou vous pourrez poser vos valises. Il est un peu tard alors nous les déballerons après le dîner.
Vincent était vraiment heureux d’être avec Sam et il s’était mis juste à côté d’elle alors qu’elle marchait.
- Suivez moi s’il vous plaît, dit Sam tout en faisant un sourire à Vincent.
Une fois arrivé dans le couloir A, Sam redonna le numéro de chambre aux garçons qui ne s’en souvenaient plus.
Mathieu et Vincent rentrèrent dans leur chambre et commençaient à ouvrir leur valise quand Sam appela tout le monde dans le couloir.
- Dès que vous avez posé votre valise dans votre chambre, je vous demande de bien vouloir venir me voir que l’on aille manger. Le repas est prêt, on doit se tous se retrouver au réfectoire.
Rapidement tous les enfants se retrouvèrent au réfectoire. Eric vint s’asseoir à côté de Vincent et de Mathieu.
- J’ai toujours ma couche, dit Eric doucement, je n’ai pas eu le temps de l’enlever et en plus je suis avec Stéphane, je n’ai pas envie de lui dire que j’en porte une.
Tout en mangeant, Vincent lui expliqua ce qu’il s’était passé.
- Tu devrais aller voir Sam, dit Vincent à Eric, je suis sûr qu’elle va trouver une solution.
- Tu as raison, j’irai la voir dès que nous aurons terminé de manger.
Le repas terminé, Vincent constata effectivement qu’Eric se dirigeait vers Sam et lui parla à l’oreille. Elle lui répondit de la même manière.
- Nous allons maintenant aller nous laver les mains et nous retournerons ensuite dans les chambres pour que l’on puisse vider vos valises, dit Sam aux garçons. Je vous demanderai de sortir votre trousse de toilettes ainsi qu’un pyjama pour ce soir. Tout le reste vous pourrez le mettre dans les armoires. Chacun d’entre vous à une armoire à côté de son lit. Évitez d’ailleurs de mélanger vos affaires. Il serait dommage que l’un d’entre vous se retrouve tout nu à la fin de la semaine non ?
Tout le monde éclata de rire en train d’imaginer son colocataire tout nu.
Les enfants firent donc ce que leur avait demandé Sam. Vincent, tout en sortant et rangeant ses affaires, il vit passer Sam dans le couloir et quelques secondes ensuite, elle repassa dans l’autre sens accompagné cette fois-ci d’Eric.
Nul doute qu’elle l’emmenait dans sa chambre pour enlever sa couche à Eric. 2 minutes plus tard, Eric rentrait dans la chambre de Vincent et de Mathieu.
- C’est vrai qu’elle est très gentille, tu avais raison, dit Eric à Vincent avant de repartir dans sa propre chambre.
Après avoir rangé leurs affaires, Eric et Vincent choisirent un pyjama et préparèrent leur trousse de toilettes.
- Tu crois que ça va se passer comment ce soir ? demanda Mathieu. On va porter une couche pour dormir ?
- Je ne sais pas, mais je suis sûr que cela va bien se passer, lui répondit Vincent qui n’avait aucune inquiétude à ce sujet.
- Les garçons, vous m’écoutez ? Si vous avez terminé, tant mieux, sinon vous terminerez après, leur dit Sam depuis le couloir en s’adressant à tous les enfants. Mettez-vous en pyjama maintenant, et dans 5 minutes, on ira se laver les dents.
- Tu mets un slip sous ton pyjama toi Mathieu ? demanda Vincent. Moi à la maison je mets un body sur ma couche, mais je n’en ai pas amené ici.
- Ça dépend. Des fois j’en mets, et d’autres non. Je vais garder celui que j’ai sur moi pour ce soir.
- Je vais faire comme toi et on verra avec Sam.
Vincent et Mathieu enfilèrent leur pyjama et prirent leur trousse de toilettes avant de sortir dans le couloir. Le pyjama de Vincent est un pyjashort vert, quant à celui de Mathieu, c’était un pyjama classique mais de couleur bleue foncé.
Petit à petite, tous les garçons se retrouvèrent dans le couloir.
- C’est bizarre de voir les autres en pyjama, dit Mathieu à Vincent, je n’ai pas l’habitude. Regarde le pyjama de Joaquim, il fait quand même un peu bébé, il y a un pokémon dessus.
Vincent trouvait son pyjama plutôt sympa, même si effectivement Joaquim était peut-être un peu grand pour en porter un comme ça. Vincent n’aimait pas se moquer des autres, et ne répondit pas à Mathieu.
- Allez, tout le monde est là apparemment. Suivez moi sans faire trop de bruit s’il vous plaît.
Au bout du couloir se trouvait une salle où il y avait de nombreux lavabos. Sur le côté droit se trouvaient des douches individuelles. Sur le côté gauche se trouvaient des toilettes/
- Vous l’aurez compris, on se douchera demain matin, là on se lave les dents. Dès que vous avez terminé, vous retournez dans votre chambre. Il est 20h15, à 20h30 je veux que tout le monde soit dans son lit, dit Sam. Si vous avez envie de faire pipi, allez y maintenant. Si vous avez envie cette nuit, vous pourrez venir ici, il y a une veilleuse dans le couloir et ici même, ça vous permettra de ne pas vous perdre et évitera que vous allumiez la grande lumière.
Tous les garçons se mirent à se laver les dents. Certains avaient des brosses à dents électriques et d’autres des manuelles. Il y avait beaucoup de bruit, et cela résonnait dans cette pièce. Tout en se brossant les dents, les enfants s’observaient et notamment les pyjama. Celui qui remporta la palme était celui de Stéphane, c’était une grenouillère ! Tous les enfants le regardait et lui disait qu’ils auraient aimé en avoir une comme lui.
- Si j’avais sut, dit Vincent à Mathieu, j’aurais amené la mienne. Je pensais que l’on se moquerait de moi alors je ne n’ai pas prise.
Quand ils eurent tous les deux terminé, ils retournèrent vers leur chambre. En arrivant devant le couloir qui menait à leur chambre, Sam était là en train de surveiller que tout se passait bien.
- Vous allez dans votre chambre. Ne vous couchez pas de suite, je viendrai vous voir vers 20h30 quand tout le monde sera couché.
Ils continuèrent à marcher jusqu’à leur chambre et se mirent dans leur lit. Une fois qu’ils furent dans leur chambre et que la porte fût fermer, ils s’essayèrent sur leur lit.
- Je crois qu’il y a une alaise en plastique sur mon matelas, dit Vincent, ça fait un bruit de plastique.
- Pareil sur le mien.
Vincent et Mathieu se mirent à discuter en attendant Sam. Il l’entendait dans le couloir à travers la porte. Elle demandait à tous les garçons de bien vouloir se mettre dans leur lit. Petit à petit, les claquements de portes se firent entendre et Sam arriva dans leur chambre.
- Comment ça va Vincent depuis tout à l’heure ?
- Super, lui répondit-il.
- Toi, tu dois être Mathieu c’est bien ça ? lui demanda-t-elle.
- Oui, oui, c’est moi.
- Contente de faire ta connaissance. Je crois que tu es un ami de Vincent à ce qu’il m’a dit. Il vous arrive de dormir l’un chez l’autre ?
Vincent avait compris où voulait en venir Sam. Elle voulait savoir si Mathieu savait qu’il portait une couche.
- Oui ça nous arrive de temps en temps, dit Vincent. Et il sait que je porte une couche la nuit parce que je fais pipi.
- Parfait, lui répondit Sam, c’est ce que je voulais être sûre. Tu es perspicace en tout cas Vincent.
- Et moi j’en porte aussi, dit Mathieu un peu gêné, et Vincent le sait aussi.
- Alors comme ça, aucun secret entre vous, c’est génial. Ça sera beaucoup plus simple à gérer. Si l’un de vous deux n’avait pas été au courant, j’aurais vous aurai emmené l’un après l’autre à l’infirmerie. Mais que je commence par le début, excusez moi. On est donc ici dans un centre de vacances et il n’est pas facile de laver les draps tous les jours, du coup on propose aux enfants qui font pipi au lit de mettre une protection pour la nuit, mais sachez que ce n’est pas obligatoire. Nous respectons les choix des enfants et nous faisons tout pour que les autres ne soient pas au courant. Comme vous vous en portez à la maison, je pense que vous allez en mettre une ici aussi ?
- Oui moi je préfère, dit Vincent, je n’aime pas me réveiller dans un lit mouillé.
- Pareil pour moi, dit Mathieu.
- Vous êtes de supers grands garçons, dites donc, merci à vous ! Je m’occupe régulièrement d’enfants qui viennent en classe de mer, et cela arrive que certains ne veuillent pas mettre de protections pour dormir. Je vous avoue que c’est moins facile à gérer et aussi moins discret vis à vis des autres. Bon allez, on a assez parlé, on ne traîne pas alors et on va vite fait jusqu’à l’infirmerie. ensuite vite au lit, vous avez eu une grosse journée.
Tous les trois partirent donc en direction de la pharmacie. Il n’y avait presque plus de bruit dans le couloir et cela constatait fortement avec tout à l’heure.
Ils arrivèrent à l’infirmerie et Sam ferma la porte. Il y avait plusieurs armoires métalliques, un bureau et une table d’examen comme chez le médecin.
- Je commence par qui ? Par toi Vincent, ça te va ? Mathieu tu peux t’asseoir ici en attendant, il y a une chaise près de la porte. Vincent tu peux t’allonger sur la table, je prépare ce qu’il faut et j’arrive.
Vincent fit ce qu’il lui était demandé. Sam ouvrit une des armoires et saisit plusieurs couches qu’elle posa sur un chariot sur lequel il y avait déjà une couche de posée ainsi qu’un tube de crème, du coton et un flacon bleu un peu transparent. Vincent et Mathieu l’observaient faire.
- Voilà, je crois que j’ai tout ce qu’il faut, finit par dire Sam qui s’approchait de Vincent en poussant le chariot. Dis moi Vincent, à la maison, c’est toi qui te met ta protection la nuit ou c’est ta maman ?
- C’est souvent maman et quelques fois papa, mais jamais moi.
- D’accord, et quelle sorte de protections tu mets ? Est-ce qu’elles s’enfilent comme un slip ou il y a des scratchs sur les côtés ?
Et en parlant un peu moins fort de manière à ce que seul Vincent entende, Sam continua :
- Ou alors c’est les mêmes que celle que tu avais tout à l’heure quand tu es arrivé au centre ?
- Mathieu est au courant que j’en avais mis une pour le trajet, lui répondit Vincent. Et non celle que j’avais tout à l’heure c’est des échantillons que l’on a donné à maman pour que je les essaye. Ce sont des changes complets que l’on achète en magasin de matériel médical que je mets le soir, répondit Vincent.
- D’accord, alors je te propose de te mettre la même chose. Cela sera certainement une marque différente de celle que tu as l’habitude mais c’est le même principe, il y a une attache de chaque côté.
Vincent regardait le chariot tout en étant allongé et s’aperçut qu’effectivement les couches qui étaient présentes dessus n’étaient pas celles que sa maman achetait.
- Vu ta taille et ton poids, je vais choisir celle-ci, dit Sam après avoir hésité entre 2 protections. Je la déplie, pendant ce temps là, tu peux lever les fesses pour pouvoir baisser ton pyjama. Si tu as un slip, baisse le également.
Vincent fit ce que Sam demandait tout en continuant de l’observer.
- Mais dites moi tous les 2, vous êtes bien aller faire pipi tout à l’heure après vous être lavé les dents.
Les 2 garçons répondirent par l’affirmative.
- Parfait, cela serait bête que vous me disiez avoir envie de faire pipi juste après que je me sois occupé de vous.
Alors que Sam allait glisser la couche sous les fesses de Vincent, ce dernier leva automatiquement son postérieur sans que Sam n’ait eu besoin de demander.
- Je vois qu’effectivement tu as l’habitude, dit-elle avec un sourire. Je vais te nettoyer un coup avec ce coton et cette eau nettoyante. Je te mettrai ensuite un peu de crème, d’accord ?
- Oui, se contenta de répondre Vincent.
Et Sam fit le nécessaire pour le nettoyer et lui mettre de la crème. Elle rabattit ensuite l’avant de la couche entre les jambes et lui plaqua sur le ventre.
- Cette protection est peut-être un tout petit peu trop petite pour toi, dit Sam en attachant les attaches. Elle ne te sert pas trop ?
- Non ça va, dit Vincent.
Il remarqua que ces couches n’avaient qu’une seule attache de chaque côté contrairement à celles que sa maman lui mettait tous les soirs et effectivement elles avaient des dessins dessus. Il avait un peu levé la tête pour voir à quoi ressemblait sa couche et entreprit de la toucher.
- Elles ne sont pas non plus en plastique, lui dit Vincent.
- Effectivement. Celles que tu mets chez toi le sont ?
- Oui répondit Vincent.
- C’est presque terminé. Dis moi, est-ce que tu veux remettre ton slip par dessus la protection ou tu préfères être juste en pyjama ?
- Je préfère remettre mon slip, dit Vincent.
- D’accord, alors lève les fesses, je vais t’aider pour aller plus vite.
Sam lui remonta donc son slip et enfin son pyjama.
- Voilà, tu es prêt, tu peux descendre et aller sur la chaise à la place de Mathieu.
Vincent descendit donc de la table et remarqua que sa couche n’était pas aussi épaisse que celles de chez lui. Il la trouva plus agréable et cela ne le gênait pas tout pour marcher.
Mathieu avait observé toute la scène et lui aussi avait trouvé que Sam était vraiment très gentille et très douce.
- A toi Mathieu, viens t’installer s’il te plaît.
Mathieu se leva donc de sa chaise et s’allongea sur la table d’examen tout comme l’avait fait Vincent.
- Je vais faire pareil qu’à Vincent. Je vais te nettoyer un peu et te mettre de la crème.
Sam, toujours aussi gentiment, s’occupa de Mathieu.
- Et toi, à la maison, tu mets une protection avec des attaches sur le côté, comme Vincent ?
- Oui, répondit Mathieu.
- Alors je vais te mettre la même que lui, vous avez à peu près la même taille.
Elle procéda donc de même et lui demanda à lui aussi s’il préférait garder son slip ou l’enlever.
- Moi je préfère l’enlever.
- Pas de problème, je t’enlève ton bas de pyjama pour qu’on puisse le retirer alors. On le laissera ici pour que tu puisses le remettre demain matin.
Sam aida donc Mathieu à enlever son slip, et lui remonta ensuite son bas de pyjama.
- Bon, vous voilà prêts pour la nuit. Je vous explique comment ça va se passer demain matin. Je viendrai vous réveiller 15 minutes avant les autres et on viendra ici pour enlever votre protection de la nuit. Je vous passerai un coup de lingette histoire qu’il n’y ait pas d’odeur et vous pourrez retourner dans votre lit. Quand j’irai réveiller les autres, vous serez ainsi comme eux, et ils ne verront pas que vous avez ce petit problème. Ça vous va ?
- Merci Sam, dit Vincent.
- Oui merci, dit à son tour Mathieu.
- Mais il n’y a pas de quoi.
Sam prit alors le slip de Mathieu et alla le poser sur le chariot qu’elle remit là où elle l’avait prit.
Vincent ne l’avait pas remarqué tout à l’heure, mais à côté du slip de Vincent, il y avait déjà un vêtement rose qui ressemblait à une culotte.
Sam ouvrit la porte et les laissa passer devant elle avant de la refermer. Les 2 garçons prirent la direction de leur chambre tandis que Sam les suivait.
Une fois devant leur chambres, les 2 garçons entrèrent et allèrent s’allonger dans leur lit.
- J’arrive, leur dit Sam qui s’en alla dans le couloir.
Les garçons l’entendirent parler et refermer une porte. Elle revint dans le chambre juste après.
- Certains avaient rallumer leur lumière de chambre, leur dit-elle. Ne faiites pas de même, il est l’heure de dormir. Si vous avez le moindre problème cette nuit, vous pouvez venir me voir, vous avez vu où était ma chambre.
Sam leur fit un bisou sur le front à chacun et leur souhaita bonne nuit avant de fermer la porte.
A peine le porte fut-elle fermée que Vincent chuchota à Mathieu.
- Tu as vu comme est elle gentille ? et je t’avais dit que tout se passerait bien.
- Oui, c’est vrai, elle est super super gentille.
- Et au fait, tu as vu que sur le chariot il y avait une culotte ? Je pense qu’au moins une des filles de notre classe porte une couche.
- Ah non je n’ai pas vu. Je me demande bien qui c’est.
- Moi j’espère que ce n’est pas Noémie.
Et Vincent lui expliqua pourquoi il pensait que cela puisse être elle.
- Bonne nuit Vincent, je suis fatigué.
- Oui moi aussi je le suis, bonne nuit, à demain.
Et c’est ainsi que se passa l’arrivée au centre de Vincent et de Mathieu.
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Je vais pas commencer par de grands récits sur notre rencontre et comme c’était majestueux parfaitement étonnant et inouï parce-que c’est pas le cas. On s’est connus par intermédiaire pendant plusieurs mois, voire même des années si possible, et au final on s’est vraiment tous rencontrés au Metaldays 2016, qui est gorgé de bons comme de mauvais souvenirs, de conneries délirantes comme de saloperies impardonnables (pas vraiment mais c’est pour l’hyperbole). Je dis tous parce que je compte dans le lot Pascal et une autre personne que je ne souhaite pas citer. Depuis ces temps anciens et ancestraux nous nous sommes rapprochés en un petit groupe qu’est la Magnannerie, MGNN pour les intimes. pendant presque deux ans nous nous sommes rapprochés les uns des autres en enchainant soirées sur soirées, bad sur bad, dépression et mutilations, alcool, drogues, vidéos hilarantes, une vie de déboires qui nous convenait tous très bien puisque nous avions tous à peu près le même état d’esprit détraqué, autodestructeur et suicidaire. On était devenus la bande de potes. Étant la seule fille je me sentais un peu exclue évidemment et mon ex faisant partie du groupe n’arrangeait pas tellement les choses mais je me complaisait dans ce cercle amical néfaste mais si doux (car je vous aimes tout de même dans la limite d’une personne). Je savais qu’il y avait des petits pics car je les lançait moi même étant une personne très flirty et qui aime plaire, qui aime rendre jaloux(se) et se faire désirer. J’ai tenté les deux autres membres du MGNN crew, pas vraiment directement mais encore une fois par pics. Subtilement parfois et parfois tout en flagrance.Mais ça me plaisait. Je ne voulait pas aimer. Je voulait qu’on m’aime. Et je ne voulais pas aller mieux. Je me complaisait très bien dans mon malheur, mes tentatives de suicide, mes mutilations, mon auto-maltraitance dans tous ses aspects, mon non respect pour moi même. Tout ça, ça m’allait très bien. J’ai eu des prises de consciences, j’ai été en hôpital psychiatriques plusieurs fois et tu le sais très bien, ça m’a autant aidé que ça m’a enfoncé dans l’idée que c’est quelque chose dont je ne me sortirait vraiment jamais, et on se comprenait dans cette idée là. Toi étant persuadé que ce serait un état constant d’humeurs changeantes et d’envies de quitter l’existence, et moi dans une optique similaire à la tienne. Combien de débats on à pu vraiment avoir là dessus sans même s’en rendre compte ? combien de fois on à espérer secrètement que l’un d’entre nous passe le pas pour que le reste suive ? C’était ça le but, si l’un partait, les autres le suivaient. Et toi le premier. Parce-que je te sais fragile émotionnellement et tout ce poids aurait pas été supportable assez longtemps pour que tu puisse en guérir, je me demande même si tu aurait tenu une semaine pour être très honnête. Je ne vais dire que la vérité, je savais a quel point tu allait mal, ton mal être était omniprésent mais je voulais me convaincre du contraire parce que tu me rendait toujours heureuse et j’avais envie de croire que c’était juste comme de la déprime et pas au point ou j’en était, pas au point ou d’autres en sont, pas au point de presque finir en bière presque par ma faute. On avait essayé, une fois. On en avait parlé, et au final tu était venu et on avait couché ensemble et on s’embrassait mais ça avait pas marché puis il y avait aussi d’autres éléments perturbateurs. C’était seulement pas le bon moment. Mais sans se mentir on à toujours été très proche du plus loin que je me souvienne, dans les expressions verbales, les étreintes, rien qu’une petite action, un regard, un sourire, c’était presque flagrant à chaque fois mais c’était presque impossible. On s’en contentait, en tout cas moi je m’en contentait je pense; je peux pas vraiment parler pour toi parce que je suis ni dans ton cœur ni dans ta tête, bien que j’aimerais l’être parfois pour savoir réellement ce que tu pense ou ressent. On à passé des mois sans parler, sans se voir, sans un mot doux ou une parole réconfortante, sans que tu te gare dans mon allée en m’envoyant un “je suis là chef”. C’était dur je vais pas te mentir maintenant qu’on y est, tu as toujours été mon préféré, celui qui me donnait envie de vivre. J’aime nos escapades quelles qu’elles soient, la rivière en pleine nuit, le parc des chiens même si maintenant il est plus de si bon souvenir pour toi, le funiculaire.. Tant de choses partagées avec toi et toi seulement et avec qui je voudrais partager avec personne d’autre que seulement toi. Tu sais comme j’ai eu peur quand ta mère m’a appelé pour me demander si j’étais avec toi ou si je savais où tu étais, si tu savais comme j’ai eu peur de te perdre, si tu savais comme j’ai ouvert ma porte le plus vite possible et enfilé une veste alors que j’étais quasiment à moitié nue, si tu savais comme j’ai fouillé chaque recoins de la route qui menait a Valbonne et que je l’aurait fait jusqu’a ce que je tombe de fatigue s’il l’avait fallu. Si tu savait comme j’ai eu peur de finalement te perdre, je ne l’aurait pas supportée et je serais partie avec toi ce soir même là. J’ai hurlé, j’ai pleuré, j’ai tapé aux portes pour demander s’ils t’avaient vus ou entendus, j’ai essayé tellement de fois de joindre ta mère à un moment que j’ai cru qu’ils t’avaient trouvé sans vie. Heureusement pour moi qu’ils t’avaient retrouvés, et en vie. Pas sain et sauf, mais en vie, et sauvable. Après ce coup de téléphone j’ai énormément pleuré. Je me suis allongée en plein milieu de la route qui mène a Valbonne et j’ai juste regardé le ciel en laissant mes larmes et mon soulagement couler de mon être. Je sais même plus si j’étais moi même à ce moment là; je sais même plus si j’existais, si tout était réel. J’aurais voulu venir avec toi aux urgences et te tenir la main mais ta mère est mieux placée que moi pour ce rôle je pense. J’ai très peu dormi. Et je suis venu dès que j’ai pu. Ta mère m’a dit vers les coup de midi, j’y étais. Et j’étais heureuse. Heureuse que tu sois en vie, heureuse que tu existe, que tu sois dans ma vie, que tu fasse partie de l’univers et que ta personne soit réelle, même si au final on est peut être pas réellement réel, pour moi tu l’es, dans mon cœur tu l’es, et tu le sera toujours et jusqu’à la fin des temps. Te tenir contre moi en ces instants c’était comme renaître. J’avais l’envie de pleurer mais j’étais si heureuse que tu sois là et souriant et en vie que j’ai simplement fait abstraction des mauvais sentiments et de ma tristesse. Je sais que tu t’en souviens surement pas mais tu m’as dit que tu était désolé, et je t’embrassait sur les joues et partout et je voulais juste sentir ta présence, ta vie, ton essence, si ça donne un sens, j’avais besoin de ton aura. Et tu m’as embrassé. Et j’ai su que je t’aimais depuis longtemps, et je te l’ai demandé, si toi ça faisait longtemps, tu m’as dit que toi aussi. J’ai pas cherché plus loin que ça, je voulais juste être heureuse et que tu sois heureux dans un moment où c’était pas l’énergie qu’il y avait dans l’atmosphère. Je t’ai pas quitté de la semaine à vrai dire, j’ai dormi chez toi le soir même, Shanna est venue te voir, Tom aussi, tout le monde tient tellement à toi si tu savait comme tu es une personne aimée et à quel point on souffrirait tous vraiment si tu partait pour de bon.. C’est pour ça que quand tu me dis que tu as l’espoir de t’en sortir je suis heureuse de l’entendre parce que rien que de penser a ne plus t’avoir dans ma vie me fait pleurer. Je t’aime tellement et je tiens tellement à toi que j’arrive pas a l’envisager désormais, pas après tout ça, pas après le premier mai. J’ai été dure a vivre, et je sais que tes épaules sont frêles et je suis tellement désolée de t’avoir infligé tout ça, j’espère qu’un jour tu pardonnera mes fautes et mes allées et retour a l’hôpital durant ces deux semaines qui, quand j’étais a tes côtés n’étaient pour moi que pur bonheur. J’ai été vite quand je t’ai demandé en fiançailles mais je t’assure que j’avais le sentiment que c’était fait pour toi et moi, même si c’est peut être seulement moi après tout. C’est devenu une bague de promesse, entre toi et moi, et je te promet que je la tiendrait comme tu me l’as promis. Je te promet aussi que désormais j’irais mieux et que je le fais pas seulement pour moi mais surtout pour toi parce que je veux que tu me voie aller mieux enfin après tout ce que je t’ai fait endurer comme mauvaises choses, comme peurs, angoisses, inquiétudes... Je veux qu’on aille mieux ensemble et qu’on continue ensemble que ce soit de n’importe quelle manière qu’il soit parce que je ne veut jamais perdre le créateur de mon bonheur. Je me sens mal et je t’appelle et je vais mieux. Tu es magique. Et perdre un être magique c’est un blasphème que les anges ne pardonnent pas. Tu es tellement de choses que tu n’imagines même pas, tu es tellement d’amour et de gaieté, tu es tellement de bonheur caché et de sourires et je saurait pas te décrire entièrement parce que tu es tellement de choses tu es tellement beau tu es tellement beau dans toute ton entièreté que je pourrais me perdre des lignes entières à écrire a ton sujet et comme tu es la meilleure chose qui me soit arrivée. Je te promet qu’on ira mieux et que le temps ne soigne pas mais qu’il fait évoluer et qu’on évoluera ensemble si tu le veux bien, qui sait ce que le futur nous réserve. J’ai trouvé mon meilleur ami, une âme sœur peut être pas amoureuse mais avec qui je me sens heureuse et enjouée rien qu’a entendre le son de ta voix. Je t’aime Alex. Je t’aimerai pour toujours parce-que tu es la meilleure chose qui existe dans cette entièreté qu’est l’univers. Je t’aime. Et je ne veux jamais te perdre et perdre ton amour. Alors je te le promet encore une fois. Tout ira mieux.
Je t’aime
May
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QUEL EST LE PROBLEME DE “PREMIER” ?
Avant même de commencer ce blog, j’avais des dizaines et des dizaines d’idées d’articles de linguistique qui s’étaient entassées dans un fichier texte sur mon disque dur. Mais dans un premier temps, elles étaient désorganisées, arrivant dans l’ordre auquel j’y pensais, quand je me disais : « ça serait bien de parler de ça à un moment quand même… »
Pour le premier article, je cherchais un sujet pas trop ardu, mais pas forcément évident. Et c’est alors que m’est venue la question qui en est le titre… mais pourquoi diable dit-on « premier » pour désigner quelque chose qui est en position « un » ? Pourquoi pas « unième » ? Plongeons-nous donc dans l’étymologie des mots « un » et « premier » : retraçons leur histoire, et voyons leurs origines pour savoir comment ils sont arrivés dans la langue française.
Le mot « un » provient du latin ūnus, de même sens, mais signifiant également « celui-ci », « unique », « identique »… le sens de « 1 » n’est donc pas forcément le premier à avoir été développé, car dans une forme plus ancienne du latin il serait la contraction de isnus « ce ». Ūnus est également apparenté au grec ancien οἶος, oîos « unique », et en remontant un peu plus loin dans l’histoire on peut apparenter ces mots à deux racines proto-indo-européennes : *e « ceci », et *hoinos « un », ayant des sens proches et apparentés à ce que nous avons trouvé pour l’instant. Notez d’ailleurs qu’il existait sûrement une autre racine pour dire « un », *sem, mais celle-ci a été délaissée en latin au profit de ūnus, bien qu’on la retrouve dans des mots comme « similaire ». Je reviendrai sur les notations étoilées dans un futur article…
Le mot « unième » quant à lui existe mais en tant que composite : « vingt-et-unième », « soixante-et-unième », « cent-unième »… Le mot existe donc, il suit les règles de construction classique pour former les ordinaux en français, mais pourtant, comme le rappelle si bien le Wiktionnaire :
Adjectif ordinal de -un des mots composés numéraux. Note : L’ordinal correspondant à un lui-même est premier.
D’où vient le mot « premier » alors ? Tout d’abord du latin prīmārius « premier », ayant également donné le mot « primaire » en français. Le mot latin pour « un » avait donc déjà une origine différente de celle de « premier », qui vient lui-même de la racine prae, « devant », remontant lui aussi au proto-indo-européen *pro, « avant ». Le premier, c’est donc celui qui vient devant, ou avant, tous les autres. C’est ce sens fort qui se dégage de l’ordinal et qui lui a fait supplanter le dérivé de ūnus, trop régulier et logique, et de ce fait se démarquant moins.
Ce phénomène linguistique, où un mot possède plusieurs formes d’origines différentes en fonction de son statut (comme ici adjectif cardinal ou adjectif ordinal), au lieu d’avoir des dérivées (ou flexions) d’une seule et même forme, est appelé supplétion. C’est un phénomène assez rare : les mots touchés, qui verront lors de l’évolution de la langue leurs sens s’entremêler, doivent être utilisés assez souvent pour permettre cette assimilation. Le verbe « aller » est un des exemples les plus flagrants de supplétion récente (à l’échelle linguistique, entendons-nous : toutes les étapes découlent du latin) : « je vais », « tu vas », « iel va » et « iels vont » descendent du verbe latin vadere « aller », alors que les formes « nous allons », « vous allez » (ainsi que les formes de l’imparfait « j’allais », « tu allais »…) viennent quant à elles du verbe ambulare « se promener » ; le futur « j’irai », « tu iras », etc. sont des évolutions du verbe ire, « aller ». Le verbe « être » est un autre exemple de supplétion, mais cette fois-ci beaucoup plus ancienne, vu qu’elle est déjà présente en latin : sum « je suis », es « tu es », fui « je fus »…
Un autre mot chargé de supplétion est le deuxième nombre, qui est encore plus particulier : « deux », dérivé du latin dŭos « deux », lui-même issu du proto-indo-européen *dwóh1 « deux », possède bien sa forme régulière « deuxième », mais voit également dans certains cas apparaître « second ». Cette forme provient elle aussi du latin secundus « suivant » et poursuit cette même logique que « premier » : donner plus d’importance au mot moins régulier ; le second, c’est celui qui suit directement le premier, et reste par conséquent d’une relative importance (d’où également le nom des unités de temps : la division suivant la minute est la « seconde minute »). Cependant, on aura tôt fait d’apprendre la règle de grammaire suivante :
« Second » s’utilise dans une suite ne contenant que deux éléments. S’il existe un « troisième », alors l’usage veut que l’on parle du « deuxième ».
L’anglais, ayant hérité son ordinal du latin lui aussi, n’applique pas le même raisonnement, et quel que soit le nombre d’éléments, si vous êtes en position « number two », vous êtes « second ». On pourra également noter que si les deux mots s’écrivent de manière identique (à une forme féminine près), le français prononcera un /ɡ/ intervocalique là où l’anglais aura gardé le /k/ latin.
Pourtant, l’histoire du nombre « 1 » ne s’arrête pas là, car on le retrouve dans une dernière supplétion un peu cocasse : le mot « zéro » est ancré dans la langue française depuis le XIVe siècle, avec le mot « chiffre » dont il partage l’étymologie : l’arabe صفر, ṣifr « vide ». Si les ordinaux « zéroïème » ou « zérotième » existent pour désigner le rang numéro 0, on trouve également l’adjectif « nullième », dont on remarque facilement le morphème « nul ». « Nul » vient du latin nullus « aucun », « pas un », et est une contraction de ne ullus, ce deuxième mot étant lui-même la contraction de unulus « quelqu’un ». Ainsi, même dans les dérivés du nombre 0, on peut remonter aux racines de 1, l’unité primaire…
En espérant que ce premier article vous ait plu, et au plaisir de vous retrouver la fois suivante !
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Regarder Hunters: Saison 1 Épisode 10 en streaming VF
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Voir Hunters: Saison 1 Épisode 10 complet en franaçais, très bonne qualité et gratuit.
Ne me pousse pas à te quitter ou à me détourner de toi. Où tu iras, j’irai, et où tu resteras, je resterai. Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu mon Dieu.
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