#irlandaise
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grandboute · 2 years ago
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Lovely day for a Guinness ...
Happy birthday A. !!
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prosedumonde · 1 year ago
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Le soleil qui s’est levé ce matin sur notre chagrin nous protège à présent tout le long de sa course.
Bram Stoker, Dracula
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mmepastel · 28 days ago
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Voilà, j’ai fini de lire ce qui est disponible en français du travail de Jan Carson, et j’ai tout fait dans le désordre car Les lanceurs de feu est son premier roman.
Il est impressionnant. Tout est déjà là, la violence inhérente à Belfast, l’acuité du regard, le style à la fois malicieux et désespéré de l’autrice, le surnaturel métaphorique, une certaine beauté dans la noirceur, et cette fameuse façon de vous mener par le bout du nez.
Deux histoires parallèles de pères inquiets pour leurs progénitures respectives, au cœur d’un été étouffant, o�� les incendies se multiplient et ravagent la ville.
La culpabilité est le centre du livre, tel que je l’ai reçu. La transmission aussi. Culpabilité héritée qui se perpétue, qui menace terriblement de se transmettre, précisément, comme un fardeau dû à cette guerre intestine et féroce que les habitants de Belfast se livrent depuis tant d’années. Si vous regardez une carte de la ville, vous percevrez l’aberration du conflit avec des quartiers découpés en fonction des camps religieux, les murs bâtis jadis et à moitié écroulés aujourd’hui, qui suturent ces blessures qui n’en finissent pas de suinter.
La violence passée se transmet-elle dans le sang ? Ou par la voix ? Quelle liberté reste-t-il aux enfants de parents meurtris ?
Oui, oui, ces trois questions se trouvent au cœur du roman. Une sirène, une enfant avec des ailes aussi. Et des vies bien tristes, des jeunes gens polis mais furieux, des flammes qui font peur, qui montent jusqu’au ciel, lequel reste silencieux.
Le destin du terne Jonathan, scellé par une histoire digne d’un conte vénéneux et abracadabrantesque, semble prouver que l’irrationnel l’emporte à Belfast, ville incandescente et douloureuse, mais sans doute ailleurs aussi, et les motivations profondes de nos actes sont probablement aussi timbrées que celles du Chapelier Fou.
De toutes façons, Jan Carson peut bien me raconter ce qu’elle veut, je la croirai, je la suivrai. Quand elle démarre son histoire avec son ton mutin et son œil qui voit tout, saupoudrant le récit inattendu de menaces affreuses, de paradoxes insolubles, je suis happée car elle s’adresse à la part enfantine de celui qui écoute un conte, certes macabre et sombre, mais qui, fasciné, frémit d’avoir peur, frémit d’une joie étrange d’avoir peur, puis voudrait supplier la narratrice de faire machine arrière, ��mu par tant de souffrances.
Ce n’est pas un livre léger. Le sujet ne l’est pas. Il y a beaucoup de noirceur. Mais le plaisir de lecture est incroyable, la surprise toujours au rendez-vous, un pied dans le réel, l’autre dans les flots qui charrient rêves et mythes subliminaux. J’admire ce mélange risqué.
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orendil · 4 months ago
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Je suis bien vieux J'ai visité toutes les terres, Hautes et basses Je saurai où elle est allée, Baiser ses lèvres Prendre ses mains Marcher parmi les herbes tigrées Cueillir jusqu'à la fin des temps, Les pommes argentées de la lune, Les pommes dorées du soleil. William Butler Yeats, La Chanson du Voyageur Aengus (revisitée)
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aforcedelire · 6 months ago
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Hamnet, Maggie O’Farrell
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Été 1596. Dans la campagne anglaise, une petite fille tombe gravement malade. Son jumeau Hamnet part chercher de l’aide. Leur grande sœur Susanna est introuvable ; leur mère Agnes cueille des plantes médicinales dans les champs alentour ; leur père est à Londres pour son travail. Et tous sont inconscients de cette maladie funeste qui plane au-dessus de leurs têtes…
J’ai eu un peu de mal à rentrer dedans, mais alors une fois fait, j’ai vraiment beaucoup aimé. L’ambiance m’a pas mal rappelé Les Sorcières de Pendle de Stacey Halls, alors forcément, j’étais conquise. Dans ce roman, Maggie O’Farrell dresse le portrait d’Hamnet, ce jeune garçon que la Peste a enlevé trop tôt, dont la terrible perte a ensuite inspiré Shakespeare pour sa tragédie Hamlet.
Car ici, c’est bien de la famille du dramaturge dont on parle, et lui-même n’est jamais nommé, n’apparaît qu’au second plan. C’est simplement un homme qui comme tant d’autres travaille dans un théâtre à Londres. J’ai beaucoup aimé les personnages, surtout celui d’Agnes, la mère. Si farouche, si libre. En marge de la société, parlant le langage des plantes et décortiquant leurs secrets, elle aurait aisément pu passer pour sorcière. Un personne fort comme on les aime ! L’écriture est aussi très spéciale, on alterne entre le présent et le passé, entre la maladie des jumeaux et l’histoire de leurs parents, leur rencontre, leur mariage… le tout de façon vraiment bien écrit.
Et puis surtout, c’est un très beau livre sur le deuil, sur la famille, sur l’amour. Hamnet était la pierre triangulaire de la famille, et sa disparition a affecté tout le monde. C’était beau et puissant.
30/06/2024 - 07/07/2024
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dixvinsblog · 2 months ago
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Anne Bonny (Femme pirate Irlandaise (1697-1720)) - Marina Thouement
J’entendsVrombir le ventDans les voiles.La musique des toilesQue l’on tend et détend.J’entends les mélismesDe l’eau et de l’air.Je sensLes embruns qui fouettentMon visage,Pétales de ventEt d’eau saléeQui se jettentDans mes cheveuxPour les emberlificoter.Pirate, je veuxÊtrePour l’éternité .Pirate, je veux être…Éprise…De liberté.. Anne Bonny pour en savoir plus :…
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raconte-moi-l-irlande · 3 months ago
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Cillian Murphy, acteur irlandais : de ses débuts à son Oscar à Hollywood
Cillian Murphy a créé la sensation début 2024 en devenant le premier acteur irlandais à recevoir l’Oscar du meilleur acteur à Hollywood, pour son premier rôle dans Oppenheimer. Si c’est au travers de la série Peaky Blinders diffusée sur Netflix que Cillian Murphy s’est fait découvrir à l’international par le grand public, en Irlande, sa popularité et notoriété sont installées depuis le tout début…
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desr8737 · 3 months ago
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Clarté et désespoir : Deux nouvelles de Joyce
J’ai relu au hasard deux nouvelles du recueil Dubliners dans le texte original, « Counterparts » et « Boarding House ». Joyce décrit dans les deux cas un cercle infernal dont personne parmi ces gens ne peut s’échapper, quelque chose dont il est impossible de sortir, une paralysie, un huis clos. On pense à Boule de suif dans la diligence de Dieppe : espace clos, enfermement, misère, mépris.…
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anjbxarts · 7 months ago
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Gustave Courbet - Jo, La Belle Irlandaise (1866)
Uma série de quatro retratos a óleo sobre tela na altura do busto feitos por Gustave Courbet.  A modelo irlandesa Joanna Hiffernan foi musa de Coubert e também de James McNeill Whistler, com a obra Symphony in White, No. 1: The White Girl.
Na wiki da Joanna diz que ela também pintava, mas não se tem registros das obras.
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art-vortex · 1 year ago
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Irlandais dans l'âme, vert dans le cœur" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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17-03-1962 · 1 year ago
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(DOMINICK COCHLAIN)
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grandboute · 5 months ago
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Guinness irish festival - Sion - 7-10/08/2024
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prosedumonde · 1 year ago
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Mais les rêves traversent les pierres des murs, éclairent des chambres enténébrées ou enténèbrent des chambres éclairées ; et leurs personnages, narguant tous les serruriers du monde, font leurs entrées ou leurs sorties comme il leur plaît. 
Sheridan Le Fanu, Carmilla
English : But dreams come through stone walls, light up dark rooms, or darken light ones, and their persons make their exists and their entrances as they please, and laugh at locksmiths.
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mmepastel · 1 year ago
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Très beau livre. Très triste également.
La passion du héros (anti héros) Bernard, neuro atypique incompris et donc considéré comme simplet, pour le blues orchestre véritablement la narration. Comme dans une composition de blues, à douze temps, on alterne bouts de vies dans une chanson pour pleurer dans sa pinte. On a une galerie de personnages pour la plupart attachants, et, l’espace d’un week-end ensoleillé (mais qui finit en orage et pluie, comme toujours), on suit leurs partitions. Chacun joue sa part. Et si Bernard connaît une forme d’envol optimiste, c’est loin d’être le cas pour les autres.
La composition est vraiment remarquable car elle met en parallèle les atermoiements des uns et des autres, leurs souffrances passées et présentes, leurs imbrications plus ou moins secrètes, leurs échos, leurs ressemblances ou leur différences, dans ce village touristique où les ragots vont bon train. Des âmes tourmentées, malmenées. Des trajectoires brisées. Toute la mélancolie irlandaise est là, dans la prose entre ombres et lumière de Colin O’Sullivan.
C’est un beau livre, entre soleil et averse soutenue, le portrait attachant d’un homme, de sa mère et de leur jument.
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les-toupies-h · 2 years ago
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Sally Rooney
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aforcedelire · 2 years ago
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Le Pavillon des combattantes, Emma Donoghue
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En 1918, la grande grippe, pas encore « espagnole », fait rage. Dublin est ravagé par la Première guerre mondiale et la pandémie mondiale. Julia est une jeune infirmière d’à peine 30 ans, et aujourd’hui, elle est seule à la tête du petit service de maternité et maladies infectieuses de l’hôpital. Débutent trois jours enfiévrés qui vont changer sa vie du tout au tout.
J’ai bien aimé ce livre, qui est un très bon roman historique sur une période que je connais moins. On est catapulté aux côtés de Julia, qui évolue dans un monde où chacun a peur de son voisin, peur d’être le prochain contaminé, où les restrictions dues à la guerre sont nombreuses, où les journées sont riches et épuisantes. Ça se passe sur une très courte période, et j’ai vraiment apprécié le fait d’avoir trois personnages féminins très forts. On a Julia, puis Bridie Sweeney, une jeune orpheline qui vient lui prêter main forte et avec qui elle va se lier très intimement, et la Dr Kathleen Lynn, une médecin qui a lutté pour l’indépendance de l’Irlande et est recherchée par les autorités pour insubordination.
// Lu dans le cadre du Grand Prix des Lecteurs Pocket 2023 //
07/04/2023 - 09/04/2023
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