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đœ TobiView đœ INVASION VOM MARS đž William Cameron Menzies verstarb am 05.03.1957 im Alter von 61 Jahren. Einer seiner letzten Filme war âInvasion vom Marsâ, der am 09.04.1953 uraufgefĂŒhrt wurde. Ăber 30 Jahre spĂ€ter nahm sich Tobe Hooper dem Stoff an und im Sommer 1986 kam seine Neuverfilmung in die deutschen Kinos. đœ Eine der prĂ€gnantesten Szenen, an die ich mich seit meiner Kindheit erinnere, ist die fast schon legendĂ€re Szene mit der Lehrerin und der Kröte. IiihhhâŠđ€ą In Erinnerung blieben mir zudem der berĂŒhmte HĂŒgel hinter dem Haus, der menschenverschlingende Sand und die Marsianer selbst. Tobe Hoopers solides, recht sehenswertes Remake ist zwar immer noch unterhaltsam, aber besonders zu Beginn leider etwas zu langatmiger und ruhig erzĂ€hlter Sci-Fi-Horror. Zwar gibt es eine gewisse Grundspannung, die aber wenige und nicht sonderlich ausgeprĂ€gte Spitzen enthĂ€lt. đž Die klassischen 80er-Jahre Effekte kann man als sehr gelungen bezeichnen und das Creature-Design von Stan Winston ist schon recht creepy. Die Story selbst ist einfach, aber gut erzĂ€hlt und hĂ€lt einen besonders in der zweiten FilmhĂ€lfte bei Laune. đœ Darsteller-technisch gibt es keine namhaften Highlights. Karen Black ist da noch die bekannteste. Gut fand ich die Leistung von Timothy Bottoms, Laraine Newman und Louise Fletcher. Jimmy Hunt, der den kleinen David in der ÂŽ53er Version gespielt hat, ist hier als Polizist zu sehen und erinnert sich an seine âFilmkindheitâ als er den bekannten HĂŒgel hinaufsteigt. đž FĂŒr seine FSK12-Freigabe streckenweise zu gruselig ist INVASION VOM MARS ein ganz guter Nostalgie-Streifen, mit dem viele Kindheitserinnerungen verbinden. NĂŒchtern betrachtet ein solider Sci-Fi-Film vom âTexas Chainsaw Massacreâ-Regisseur. âŹïž Wertung: ââââââ (6/10) Solide đœ #TobisFilmwelt | #TobiView | #Classic | #InvasionVomMars | #InvadersFromMars | #InvadersFromMarsMovie | #TobeHooper | #CannonPictures | #ScotiaCannon | #KochMedia | #Aliens | #Marsians | #Mars | #Invasion | #Filmstagram | #Filme | #Kino | #News | #NurmeineMeinung | #Movie | #MovieReview | #Review | #Filmkritik | #Kritik | #Cinema | #Moviegram | #Filmblog | #Movieblog | #Germanblogger | #Filmblogger https://www.instagram.com/p/CQLX5XOl50Y/?utm_medium=tumblr
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INVADERS FROM MARS (1986) Eternellement associĂ© au nom de THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE (1974), le rĂ©alisateur Tobe Hooper rime Ă©galement avec film culte, comme le trĂšs bon POLTERGEIST (1982): avant de sâĂȘtre associĂ© avec la CANNON -et son duo de cĂ©lĂšbres producteurs palestiniens Golan et Globus- pour le rigolo THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE 2 (1986), qui aurait pu se nommer âHow To Make A Nanarâ-, il commence lâexpĂ©rience du partenariat pour le remake de long-mĂ©trage de S-F INVADERS FROM MARS de 1953, signĂ© William Cameron Menzies. On constate que les 80âČs sont dĂ©jĂ propices aux rĂ©actualisations cinĂ©matographiques, prĂ©misses dâun phĂ©nomĂšne qui envahira lâindustrie de maniĂšrs plus consĂ©quente dĂšs 2010: de grands noms du mĂ©tier y gagnent quelques galons, et on pense irrĂ©mĂ©diablement Ă John Carpenter et son lĂ©gendaire THE THING (1982), ainsi quâau dĂ©goulinant THE BLOB (1988) de Chuck Russell, tous deux long-mĂ©trages classifiĂ©s âremakesâ, et portĂ©s au statut de classiques du genre. Hooper conserve son partenariat, et aprĂšs avoir dĂ©veloppĂ© lâhumour noir dans TEXAS CHAINSAW 2 -un aspect que le public nâavait pas perçu Ă lâĂ©poque du premier opus, ce dernier Ă©tant considĂ©rĂ© âsĂ©rieuxâ par la majeure partie de celui-ci, il entreprend de faire ce sympathique INVADERS FROM MARS, savoureux plaisir kitsch regorgeant de bonnes surprises. Pourquoi kitsch, me diriez-vous? Et bien tout simplement parce que la CANNON. En effet, la firme de Golan-Globus est surtout connue pour ses nanars intemporels: INVASION USA (1985), THE BARBARIANS (1985), DELTA FORCE (1986), MASTERS OF THE UNIVERSE (1987), et plein dâautres... mais pas que. La CANNON, malgrĂ© les moqueries auxquelles on cĂšde lorsquâon aborde le sujet, dĂ©tient un catalogue large, majoritairement mauvais: car BLOODSPORT (1988) et CYBORG (1989), on peut pas dire que câest de la merde, on est dâaccord. DĂ©monstrations dâartifices en tous genres, on reconnaĂźt facilement un film CANNON, souvent grĂące Ă ses SFX cheap -lumiĂšres colorĂ©es- et des costumes et accessoires gĂ©nĂ©ralement ringards: regardez-en un pour vous familiariser, comme NINJA III (1984), allez. Bref, Hooper se lance sur INVADERS FROM MARS, oĂč lâon dĂ©couvre le jeune garçon -et hĂ©ros- David Garner, gentil blondinet fĂ©ru dâastronomie, vivant paisiblement aux cĂŽtĂ©s de ses parents: une nuit, un OVNI gigantesque vient se poser derriĂšre la demeure familiale, effrayant un David tirĂ© de son sommeil par les lumiĂšres aveuglantes de lâengin. Sollicitant sa famille, le garçon va de suite leur signaler le phĂ©nomĂšne, avec un retour de considĂ©ration dĂ©cevant: papa et maman pensent que le bonhomme a simplement cauchemardĂ©, et câest en individu Ă©pouvantĂ© et incompris que David retourne au lit. Un contexte qui rappelle un peu POLTERGEIST, avec ce background tranquille, oĂč une famille va devoir ensuite faire face Ă lâinconnu, le fantastique, ou encore lâhorreur, mutant lâenvironnement soi-disant sĂ©curisĂ© en lieu dangereux: dĂšs le lendemain matin, le gosse va se rendre compte que son pĂšre a changĂ©, adoptant un comportement quasi-dĂ©pourvu dâĂ©motions. Intelligent -sĂ»rement surdouĂ©-, David a une forte luciditĂ© lui permettant de dissocier lâĂ©trange de lâimaginaire, lui qui se nourrit de films dâinvasion alien -tiens donc, une sorte de mise en abyme, mâsieur Hooper?- et se passionne pour les Ă©toiles: INVADERS FROM MARS joue la carte du long-mĂ©trage oĂč â les enfants ont raisonâ et sont de ce fait plus aptes Ă comprendre la situation, mais qui est pour eux plus difficile Ă affronter de par leur condition dâenfant plus faible -petite taille, force amoindrie, et tout ce quâun mineur nâa pas le droit de faire, Ă©videmment-. Un Ă©cho Ă la pĂ©riode culturelle des annĂ©es 80, oĂč Stephen King publie IT, oĂč THE GOONIES (1985) est un succĂšs mondial: une ambiance Ă laquelle rend joliment hommage un certain STRANGER THINGS (2016-201?). On peut donc associer INVADERS FROM MARS Ă ce pan du cinĂ©ma, oĂč les enfants sont premiers rĂŽles, vivant dâincroyables aventures, parfois mĂȘme poursuivis par une poupĂ©e tueuse (CHILDâS PLAY, 1988). David Garner a lâĆil, et va dĂ©celer peu Ă peu des syndromes similaires Ă ceux de son pĂšre touchant les habitants (adultes) de la ville, qui agissent comme des automates de fonction et cachent leur nuque Ă la vue des autres: chose inattendue, la gentille infirmiĂšre de lâĂ©cole se joint Ă lui, seul personnage du film Ă croire les propos du gosse, transformant INVADERS FROM MARS en buddy-movie peu commun le temps de quelques scĂšnes. Hooper parfait son atmosphĂšre, INVADERS FROM MARS lorgnant entre nanar -la technique nâest pas toujours le point fort du film- et excellence -mais parfois si, avec le creature-design du boss alien-: inĂ©gal et dĂ©sĂ©quilibrĂ©, on accroche pourtant Ă ce long-mĂ©trage qui met ses dĂ©cors Ă lâhonneur dĂšs quâune opportunitĂ© se prĂ©sente -le vaisseau extraterrestre-, et travaille son ambiance dâinvasion inquiĂ©tante et latente. Une sĂ©quence mĂ©morable, celle de la discussion du trio familial: soumis Ă leurs implants cachĂ©s dans leur cou, les parents deviennent carrĂ©ment flippants, essayant dâattraper le gamin entre deux dĂ©gustations de viande pas cuite et de tarte crĂąmĂ©e: normal. INVADERS FROM MARS et hĂ©las ignoble en VF, on la renie et on passe Ă autre chose. Parcours du combattant, David va mettre en Ćuvre tous les moyens possibles pour contrer le cerveau de lâinvasion, et rĂ©ussira Ă rallier lâarmĂ©e amĂ©ricaine Ă sa cause (!) pour anĂ©antir la menace: Hooper enfoncera le clou en laissant le gamin suggĂ©rer des opĂ©rations tactiques au gĂ©nĂ©ral, qui bien sĂ»r les exĂ©cutera, appuyant le traitement âinfĂ©rieurâ de lâadulte comparĂ© Ă lâenfant. INVADERS FROM MARS a vieilli, câest clair: mais il serait impardonnable de bouder la chose, tant elle recĂšle ce charme inhĂ©rent au cinĂ©ma de genre des 80âČs: de plus, on se situe Ă des annĂ©es-lumiĂšre du what-the-fuck CROCODILE (2000), le script sâavĂ©rant assez âbon enfantâ -et ce en toute mesure- pour du Tobe Hooper. Pas de honte donc Ă laisser INVADERS FROM MARS dans la filmographie du californien, et sur notre Ă©tagĂšre: un plaisir de connaisseur, en quelque sorte, qui se clĂŽt de plus sur une unhappy-end bienvenue, succĂ©dant Ă un twist inattendu. On oublie le Razzie Award des pires effets spĂ©ciaux -certes vachement en retard pour lâĂ©poque- accordĂ© Ă Stan Winston -un comble- et John Dykstra sans aucun problĂšme, ce long-mĂ©trage du gĂ©niteur de Leatherface Ă©tant -en dĂ©pit dâun autre Razzie du pire second rĂŽle fĂ©minin pour la pauvre actrice Louise Fletcher- ce bonbon au goĂ»t moyennement bon quâon ne peut sâempĂȘcher de reprendre Ă nouveau, saveur âĂ lâancienneâ addictive en dĂ©pit de sa qualitĂ© standard. Un film Ă voir, on le maintient haut et fort. Sinon, la sortie en Blu-ray pour la France, câest quand? INVADERS MUST DIE /20
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