#intrigue policière
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Le commissaire Fourchaume pensait passer des vacances reposantes cette année-là. Mais son séjour en Corse va s'avérer compliqué. Tout d'abord, l'agression d'un enfant va troubler sa tranquillité et son ancien fiancé, disparu depuis des années, resurgit mystérieusement. Enfin, les responsables d'un laboratoire de produits pharmaceutiques semble jouer un drôle de jeu. Il n'en faut pas plus pour que le flic parisien reprenne du service, épaulant les gendarmes locaux rapidement dépassés par la situation.
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Le Passeur - Franck Mancuso
Une nouvelle voix dans le roman policier français, mais pas vraiment, c'est Franck Mancuso avec Le Passeur
Thriller entre Fantaisie et intrigue Une nouvelle écriture dans le monde feutré du thriller français : Franck Mancuso, avec Le Passeur, conjugue intrigue et fantaisie, avec une maîtrise incontestée. Franchement, Gabriel Spaak, commandant de police de la brigade criminelle du 36, pas encore déménagé, n’a jamais cru aux anges gardiens. Pourtant, en ce soir si pluvieux, il fallait se rendre à…
#Billet littéraire#Chronique littéraire#Chronique livre#Chroniques littéraires#Enquête#Enquêtes#Enquêtes policières#Fantaisie#Intrigue#Littérature contemporaine#littérature française#Littérature francaise#Litterature contemporaine#Meurtre#Meurtres#Polar#Policier#Policier français#roman#romans policiers
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
#booklover#bibliophile#roman#thriller#psychological thriller#feministe#blogger#litterature#carrefour#myplayce#cameroun#yaoundé#237booklover
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Would you consider pulling the summary/blurbs of these books for inclusion in the polls? I’d love to discover new books through this blog! And it seems from some of your commentary on submitted books that you’re already doing a small bit of research and pulling covers, so it maybe wouldn’t be (much?) more work on your part?
hello! I appreciate the suggestion, but for multiple reasons I’m going to stick with the format as it is.
first, as I discussed on the fantasy poll blog, including blurbs feels like doing promotion for books (even more so than the polls already are to some extent doing), rather than simply asking a factual question about them, and there are certain books and/or authors I categorically do not want to do that for, like Orson Scott Card (Ender’s Game and Ender’s Shadow are both currently queued) and other tithing Mormons.
it also becomes complicated when dealing with non-English books, which are often more difficult to find reliable information — like blurbs — for. I’m thinking for example about older books and books in smaller languages, like Augo Lynge’s Ukiut 300-nngornerat, for which I can’t even find a Danish blurb at the moment, let alone a Greenlandic one, just French and English (ironically, given there’s no English translation). meanwhile some submitted books (like Dave Duggan’s Makaronik, which I just queued this morning) aren’t available in English; would I give just the Irish blurb for it? it creates logistical complications I don’t want to deal with, since queuing things is already a somewhat time-intensive process. (it would be a bit easier if I weren’t committed to my spreadsheets, lol, but still not fast.)
(edit: I actually can find a blurb for the Danish translation of Ukiut 300-nngornerat, but compare the Danish —
I år 2021 fejrer den grønlandske hovedstad 300-året for Hans Egedes ankomst, men uvejr og bankrøveri truer med at spolere festlighederne og ødelægge tilværelsen for flere familier.
— with the French:
En lisant ce roman, le deuxième de la littérature groenlandaise, le lecteur découvrira la vision de l’avenir de l’Arctique en 2021 telle qu’imaginée en 1931 par Augo Lynge, auteur né à Qeqertarsuatsiaat. Selon Per Kunuk Lynge, qui en signe l’avant-propos, « à la lecture de ses anticipations, dont certaines se sont réalisées longtemps après la publication de son roman, on ne peut s’empêcher de voir en l’auteur le chaman inuit d’autrefois, qui voyageait librement autour du monde et était capable de prédire l’avenir ». La vision que nous offre Augo Lynge dans cette intrigue policière entre les villages et l’immense inlandsis glacé est celle d’un pays technologiquement avancé et socialement serein, où les personnages inuits sont devenus ce que sont les Groenlandais d’aujourd’hui : une preuve vivante d’un peuple qui a la capacité de « s’adapter à l’un des climats les plus froids et les plus rudes de la planète » tout en conservant sa langue et sa culture.
leaving aside the no-Greenlandic-blurb issue, this kind of blurb-disproportion was something I observed even just in the first few hours of queuing stuff for the fantasy blog.)
finally, the #1 goal of the polls is for the posts to be as straightforward as possible. the more information I add, the more distracting it gets and (at least speaking from my own experience with polls on my dashboard) the easier it becomes to just scroll by the poll.
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je dois lire des livres de Martine Pouchain pour les cours, choix du livre libre (et vu la spécificité du devoir étant donné que Pouchain n'est pas au programme du reste de mon université, juste de ma classe, j'espère ne pas me griller si d'autres personnes de ma classe sont sur tumblr...) et comme je peux pas discuter de ça avec qui que ce soit d'autre, voilà :
J'ai choisi ses romans policiers historiques, et... bon si j'avais pas grandi avec des Evelyne Brisou-Pellen je penserai peut-être différemment mais Pouchain... c'est bien écrit, mais c'est pas... authentique, d'une certaine manière.
Avec EBP en gros vous avez un personnage qui est un produit de son époque (généralement le moyen-âge, parfois l'antiquité tardive, parfois la révolution française ou l'époque contemporaine...), qui est parfois un peu lâche (Garin Trousseboeuf), qui a le sang chaud et pas de self-contrôle (Ysée Chastelène), qui ne réfléchit pas aux conséquences de ses actions (Petrus), ou qui n'a simplement quasiment aucune information sur sa situation et tire des conclusions erronées (Catherine de Lormont et d'autres). Dans tous les cas, le personnage principal patauge autant que le lecteur, est, sinon un fervent catholique, au moins le produit visible d'une société chrétienne (ou païenne, re: Petrus et ses potes, Celtill...) médiévale ou antique. Les personnages jugent les évènements à l'aune des valeurs de leur époque, et lorsqu'il y a une intrusion peut-être un peu plus moderne, elle est présentée à travers un personnage (généralement le narrateur/héros) qui est, comme précédemment noté, imparfait, et n'est pas jugé comme la science infuse. Lorsqu'une intrigue policière est présente, le lecteur peut deviner dès les premières pages qui est le coupable, ça importe peu car le personnage principal va réussir à s'embrouiller dans ses préjugés, ses angles morts et/ou ses informations, et à ne découvrir la vérité qu'in extremis.
(Il y a aussi la question de la religion : Ysée et sa mère sont à moitié païennes, Celtill l'est carrément, Petrus, Windus et Morgana changent de religion régulièrement, Garin est chrétien mais aime bien faire la grasse mat' le dimanche matin, Loup, bien que forcé d'entrer dans les ordres, s'en accomode bien, Nicole choisit le couvent de son plein gré, Guillemette est chrétienne, etc, et aucun de ces personnages n'est présenté comme ayant la vraie religion ou le meilleur mode de vie/système de croyance)
Avec Pouchain cependant ? Le héros est un amiénois du 13° siècle. Bien entendu, il n'est pas chrétien, mais croit en la réincarnation et en les doctrines védiques. Il a apparemment des pouvoirs qui lui sont donnés par la méditation, dont il ne parle à personne par peur d'être brûlé vif (anachronique. si je me souviens bien on pendait les sorcières, on ne les brûlait pas, et de toute manière vers cette période l'église catholique devait déjà avoir interdit la chasse aux sorcières, même si des exactions ont eu lieu malgré tout). Il a l'ouverture d'esprit d'un homme du 21° siècle et la manière d'exposer ses opinions d'un utilisateur de twitter, tout comme la manière d'amener le sujet. Il n'a absolument aucun préjugé négatif à l'égard de qui que ce soit, fût-ce des saltimbanques, des étrangers... ah si pardon. Il a des préjugés, mais c'est contre les chrétiens qui sont contents de leur vie médiévale, car il les juge demeurés et naïfs. Comme si ce n'était pas 99% de la population amiénoise du 13° siècle dont on parlait. Il a suivi des enseignements hérétiques que la narration présente clairement comme la vérité (re: réincarnation, doctrines védiques, etc) et lorsque le mariage d'un homme de 30 ans avec une fille de 16 ans est annoncé, c'est dégoûtant (pas faux)... ah non, attendez, l'homme de 30 ans est mort, l'adolescente s'enfuit avec son professeur particulier (seul adulte que ses parents lui permettaient de voir) qui a également la trentaine, et il l'épouse, mais c'est vu comme parfaitement normal et sain car, lui, il croit en la réincarnation et le reste, comme le héros, et est donc un homme savant et bon. ça n'a aucun sens.
Quant à ce qui est de l'intrigue policière, on peut deviner qui est le coupable dès les premières pages (c'était mon cas) mais le héros ne va pas s'embrouiller comme chez EBP. Le héros va constamment ridiculiser les craintes légitimes des voisins des victimes, expliquer à quel point il est intelligent, génial, un esprit supérieur en somme, avant de se retrouver à avoir tort sur le coupable, la méthode du crime, en bref, sur TOUT (soit sa femme, qui comme tous les saltimbanques, sait lire le latin couramment bien entendu, soit ses pouvoirs mystiques - car apparemment il en a - lui révèleront le vrai coupable) mais il va avoir très légèrement moins tort que les victimes dont il se moquait et celles-ci vont se mettre à le traiter en héros et à l'admirer pour avoir eu raison tout du long.
En fait, ce qui différencie vraiment EBP et Pouchain (si on ôte... ben, les anachronismes qui parsèment les personnages, lieux et intrigues de Pouchain, ainsi que son irrespect flagrant pour l'époque et la civilisation dans laquelle elle place son intrigue) c'est que lire un EBP donne l'impression qu'on lit une histoire écrite par quelqu'un qui a lut vingt-cinq ouvrages de recherches sur une époque et s'est dit "tiens, je vais écrire toute une histoire pour la jeunesse sur LA TEINTURE AU MOYEN-ÂGE !" "c'est-y pas passionant, le SERVICE DES POSTES EN 1789 ???" "ne partez pas tout de suite, j'ai tellement à vous dire sur le système scolaire à la cour de Charlemagne !" et qui y a ajouté une intrigue au moins vaguement intéressante, des héros attachants, et de l'humour. Tandis qu'avec Pouchain... ben on a juste quelqu'un qui voulait écrire quelque chose à propos d'Amiens. Et du Moyen-Âge. Qui s'est sans doute vaguement renseignée sur la construction de la cathédrale et la fête des fous, les hortillonages et l'ancêtre du handball. Et a ajouté à tout ça une série de meurtres, des personnages moralisateurs qui n'ont pas leur place dans le décor planté, et une ode à l'intelligence d'un personnage qui a mis 200 pages et une vision magique à découvrir ce qui était évident en 50 pages et zéro vision au lecteur.
Bref, grande déception à la lecture de Pouchain et je sais que EBP écrit plutôt pour les enfants et ados que pour les adultes mais faut que j'aille me rincer la cornée en relisant Ysée ou les Messagers du Temps.
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HIT MAN de Richard Linklater: Viens voir les comédiens
“What you’re about to see is a somewhat true story inspired by the life of Gary Johnson.” D’emblée, le réalisateur Richard Linklater et son coscénariste Glen Powell dévoilent en partie leur jeu : les apparences seront trompeuses dans ce film, qui brouille constamment la ligne entre ce qui est réel et ce qui est fictif. Qui plus est, avec le recul, on a l’impression que Hit Man se déguise d’abord en comédie policière un peu niaiseuse, avec une narration en voix hors champ et une musique ringardes, dissimulant ce que c’est vraiment : un film noir dans la lignée de Double Indemnity de Billy Wilder. Gary Johnson est un professeur de psychologie et de philosophie, passionné d’ornithologie, vivant seul avec ses chats — disons-le, un nerd. Mais il travaille également à temps partiel pour la police de La Nouvelle-Orléans en tant qu’agent infiltré, qui prétend de façon étonnamment convaincante qu’il est divers types de tueurs à gages pour piéger des suspects. Déjà, il y a un fascinant aspect méta, l’occupation occasionnelle de Gary reflétant le travail de l’acteur qui l’incarne, Glen Powell, qui joue un personnage qui joue lui-même des personnages. Lors des scènes d’infiltration, les dialogues sont acérés, la mise en scène est tendue, et on est ébahi par le charisme caméléonesque de Powell. Abordant au passage les notions d’identité, la construction du soi, le ça, le moi et le surmoi, et ainsi de suite, le scénario réserve encore amplement de surprises. À commencer par l’opération d’infiltration où Gary — dans le rôle du tueur Ron — rencontre Madison (Adria Arjona, qui crève l’écran en femme fatale), une victime de violence conjugale qu’il prend en pitié au point de l’empêcher de s’incriminer. Ils entament ensuite une relation alors que le film devient une improbable comédie romantique, avec de longues scènes où le couple flirte et bavarde, ce qui évoque bien sûr la trilogie Before de Linklater, mais également plusieurs scènes franchement torrides. Hit Man multiplie les entourloupes narratives au fil d’une intrigue incroyablement ingénieuse, où il y a souvent plusieurs niveaux de jeu, ainsi que des pointes d’ironie morbide rappelant les thrillers de Woody Allen. C’est un des meilleurs longs-métrages de Richard Linklater, en plus d’imposer plus que jamais Glen Powell en tant qu’irrésistible star hollywoodienne.
Hit Man prend l’affiche ce vendredi 24 mai.
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Je suis leur Silence de Jordi Lafebre
Je suis le leur Silence, un polar à Barcelone est effectivement une intrigue policière, mais c'est avant tout le portrait d'une jeune psychiatre intelligente, impertinente, bipolaire, déjantée, et… très attachante.
Elle est appelée par une patiente pour l'accompagner lors de la lecture d'un testament dans une famille riche, mais porteuse de secrets et où couvent de nombreuses tensions. Elle se trouve alors embarquée dans une histoire de meurtre qu'elle se décide à élucider.
Jordi Lafebre utilise l'histoire pour nous faire découvrir avec humour, un dessin lumineux et un scénario qui vous tient en haleine toute une cohorte de personnages variés. Il est aidé pour les couleurs par Bruno Tatti, Clémence Sapin, Laëtitia Ferouelle, Angelina Rodrigues et Romain Rosiau. Découvrir
#bande dessinée#xxi#Jordi Lafebre#Bruno Tatti#Clémence Sapin#Laëtitia Ferouelle#Angelina Rodrigues#Romain Rosiau
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I recommend this Korean series called in my country "Flower of Evil" (I think the international title is "Psycho"). I won't say too much but it's a thriller based on the search for a serial killer who killed an elected official several years earlier! The public outcry claims that he acts according to the genes of his father, himself a serial killer. The wanted man lives hidden under an identity that is not his, with his wife... who is a police officer. The suspense and the intrigue last until the last episode! A lot of emotion in this series around this character that we hate at the beginning...
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BD : Je suis leur silence de Jodi LAFEBRE
Après l’inoubliable bande dessinée, Malgré tout, je reviens vers Jodi LAFEBRE avec Je suis leur silence. Nouvelle expérience : cette fois, il s’agit d’une intrigue policière catalane qui mêlent secrets de famille, trahisons et complots et entretien thérapeutique avec un psychiatre. L’enchâssement du récit personnel, de l’intime et de cette histoire d’héritage du vivant de la douairière MONTUROS…
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#Bandes Dessinées#Editions DARGAUD#Je suis leur silence#Lafebre#Romances société et les autres#Thrillers et policiers
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Les femmes du dispensaire de Henrike Engel
Ce roman historique à Hambourg mêle intrigue policière et dénonciation de l'oppression des pauvres par les aristocrates. Les personnages attachants poursuivent leurs rêves.
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Le Mystère de la Maison aux Trois Ormes de Valentin Musso
Le commissaire Forestier est appelé en urgence par Yves de Montalabert, un aristocrate qui a reçu des lettres de menace et craint pour sa vie. Chronique : Valentin Musso, maître du suspense et des intrigues policières, revient avec un nouveau roman captivant, “Le Mystère de la Maison aux Trois Ormes”. Dès les premières pages, le lecteur est plongé dans une ambiance à la fois mystérieuse et…
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Les ombres de la Margeride - Florence Metge
Ils sont huit : huit auteurs débutants en quête de publication et de reconnaissance. Cet été, ils participent à un atelier d’écriture animé par une célèbre romancière au cœur de la Margeride. Ils découvrent des paysages sublimes et sauvages et travaillent sur leurs projets littéraires, évoluant entre fiction, histoire locale et légendes terrifiantes. Source d’inspiration, le territoire est peuplé d’ombres et de mystères : le géant Gargantua, les fées malicieuses, les verriers de la manufacture royale abandonnée, la bête du Gévaudan, le sulfureux comte de Morangiès, les résidents du château-asile de Saint-Alban, les barons de Randon, la poudrière du lac de Charpal, les militaires de Fortunio, les maquisards du mont Mouchet, Léo Ferré et sa Baraque du Cheval mort ainsi que les nombreuses victimes des tourmentes hivernales… À ce sombre passé viennent s’ajouter aujourd’hui des disparitions inquiétantes. Les auteurs en herbe sont-ils en danger ? De toute évidence, certains d’entre eux ne sont pas venus en Margeride que pour écrire… (Re)découvrez la Margeride avec ce roman qui réjouira les amateurs de Cluedo et de secrets.
Avant de se consacrer à l’écriture, Florence Metge a travaillé dans le monde de la communication scientifique. Elle a écrit cinq romans et contribué à une dizaine de recueils de nouvelles. Ses genres littéraires de prédilection sont le suspense et le thriller. L’histoire et la géographie tiennent une place importante dans ses récits. Le Gévaudan et sa bête lui ont inspiré plusieurs livres. Après « Meurtres en Aubrac » (2023), « Les ombres de la Margeride » mêle intrigues, enquête policière, psychologie, histoire locale et légendes. Retrouvez toute l’actualité de l’auteur sur Facebook et Babelio.
ISBN : 979-10-310-1452-4 11,5 X 17, 376 pages, 16,00 €
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« Gothic Horror » par PENGUIN BOOKS
Royaume-Uni, 2008 Offset, 181×111 mm (71/8 × 45/8)
La collection rassemble dix classiques de la littérature fantastique et du « roman d’horreur » anglophone au format poche.
La ligne graphique a été conçue par la graphiste Coralie Bickford-Smith, qui a créé pour chaque couverture une image originale utilisant la technique du cyanotype, un procédé primitif de la photographie inventé en 1842 par le savant britannique John F. W. Herschel (1792-1871). Le caractère typographique employé est le Futura (1927) de Paul Renner (1878-1956).
Aperçu des différents titres de la collection
Quelle relation établissez-vous entre le procédé iconographique employé ici et les romans rassemblés dans cette collection ?
Le moyen technique utilisé par la graphiste Coralie Bickford-Smith pour atteindre ce rendu visuel est le cyanotype. Le cyanotype est un ancien procédé photographique développé au XIXe siècle. Il implique l'application de deux solutions chimiques sur un support, suivi d'une exposition à la lumière ultraviolette. L'exposition crée une réaction chimique produisant un motif bleu distinctif. Après le lavage, l'image finale se dévoile en positif blanc sur un fond bleu prusse intense. Dans cette collection de « Gothic Horror », le principe est utilisé à l’aide d'objets et d'animaux quelconques en rapport avec les récits qu’ils représentent.
Le lien à établir entre le procédé iconographique et les romans est assez simple. Le cyanotype, créé à partir de la lumière, vient dessiner une image de façon positive. L’objet se dessine grâce à l’assombrissement du fond qu’il ne protège pas de la lumière. L’image semble résulter de la pénombre, surgir de ce fond bleu. Cette esthétique « d’apparition » fait écho à l’ambiance sombre et fantomatique des récits gothiques. On peut aussi remarquer que l’utilisation d’un papier non couché donne du relief à ces effets de lumière et d’ombre par la présence du grain. La technique du cyanotype crée par ailleurs un effet de « flottement », de flou fantomal ; les contours des objets, alors vaporeux, deviennent eux-mêmes des figures fantomatiques. Cet aspect « éthéré » dessine un aspect surnaturel, renforçant l’atmosphère lugubre des couvertures.
Détails, On s'aperçoit du flou fantimatoque créé par le procédé cyanotype et de l'aspect profond que confère le grain à l'image.
Enfin, le procédé du cyanotype vient limiter la palette colorimétrique à deux tons : jaune, bleu, et le blanc du papier qui s’inscrit en défonce. Cette restriction crée une uniformité, établissant un lien logique entre chaque titre de la collection. Cependant, cela n’altère pas l’individualité de chaque titre qui est librement composé à partir d'objets liés à leur intrigue.
La graphiste a fait le choix de composer à partir de deux tons après s’être inspirée de la ligne éditoriale d’anciennes collections de romans policiers. Cette palette réduite n’est en effet pas sans rappeler la collection Mystery and Crime (1948-1961) de Penguins, où la triade de couleurs vert, noir et blanc inscrit chaque titre dans la collection. Personnellement, cela m’a immédiatement rappelé la collection Série Noire de Gallimard, elle aussi limitée à deux tons, tons, se rapprochant ailleurs à ceux choisi dans la collection Gothic Horror. Cette référence à l’univers de la littérature policière n’est pas anodine et vient renforcer l’univers sinistre dans lequel la collection s’inscrit.
Exemple de collections de romans policiers adoptant des palettes de couleurs restrictives.
Enfin, dans la suite du registre iconographique, on peut remarquer « l’inconsistance » des marges des cyanotypes. Celles-ci ne sont pas toutes similaires et ne forment jamais un rectangle parfait. Ces fonds créent des formes difformes, diverses aux aspects surréalistes sur chaque récit. Ce détail, qui peut paraître dérisoire, me rappelle l’univers architectural géométrique et surréaliste du film du Cabinet du docteur Caligari, un métrage s’inscrivant comme référence dans l’histoire visuelle du genre gothique.
Détails, Mirroir entre la forme d'encrage et l'architecture du film Le Cabinet du Docteur Caligari
On remarque par ailleurs que certains de ces titres dépassent ces contours définis ; The Masque of the Red Death, The Beetle et The House on the Borderlands. Cette liberté de composition dessert les intrigues de ces histoires, The House on the Borderland étant un récit incorporant une histoire d'autres dimensions, The Masque of the Red Death explorant les limites au-delà de la mort, ou encore avec The Beetle où cette sortie du cadre fait écho à l’aspect grouillant des coléoptères.
Détails, Titre où figure du hors-champs
Comment qualifieriez-vous le vocabulaire typographique (choix du caractère et de ses différentes variables, présence dans la composition) utilisé par la graphiste ?
La composition typographique se dévoile simplement, à l'aide d'un caractère linéal sans empattement. Elle dénote des conventions du milieu de la littérature gothique en s'éloignant de caractères très décoratifs et pleins d'arabesques. L'attention est portée sur l'apport d'informations de manière claire mais discrète, afin de ne pas sacrifier l'impact visuel des éléments iconographiques. On remarque que les informations principales se déclinent en majuscules (titre, mention d'auteur) tandis que les citations secondaires se déclinent en bas de casse. Ces citations, ayant pour vocation d'intéresser le lecteur au livre, ne prennent alors pas le dessus sur le visuel, contrairement aux pastilles et systèmes de recommandations que l'on peut apercevoir aujourd'hui, lesquels viennent dénaturer les visuels. Ces nouveaux procédés prennent le dessus sur le récit, projetant la recommandation au premier plan. La recommandation semble alors être le seul argument de vente du livre, tandis qu'ici, l'inscrire de façon plus discrète permet de ne pas détourner l'attention du titre.
La composition distincte et simple la collection « Gothic Horrors » n'est pas sans rappeler la composition des Penguin Classics en Gill Sans, un caractère moderne similaire au Futura. Ce choix suit la tradition de composition britannique et inscrit la collection dans la lignée visuelle associée à la maison d’édition Penguins. Cet aspect est amplifié par l'exagération de l'interlettrage et lune composition majoritairement centrée, comme défini dans la collection Classics par les règles de Jan Tschichold.
La simplicité du caractère permet par ailleurs de s'adonner à des compositions plus originales. Comme on peut le voir sur deux des titres de la collection : The Haunted Doll's House et The Spook House. Ces deux titres font office d'exceptions, s'imbriquant aux éléments iconographiques de manière à ne pas les dénaturer ou détourner des choix visuels forts. L’unification de la collection s'établit à partir de plusieurs paramètres (tons, procédés…) qui s'entrecroisent plutôt que seulement sur une mise en page définie.
Détails, Titre où l'informations se décline autour de l'iconographie
Comment évaluez-vous le degré d’originalité de cette ligne graphique en regard du genre littéraire considéré et de la forme visuelle sous laquelle il est généralement présenté ?
La collection Gothic Horrors de Penguin se démarque réellement du milieu littéraire gothique par sa ligne graphique. En effet, plutôt que de jouer sur des images suggérant la peur, tout se décline ici par l'abstraction. L'aspect lugubre émane du procédé techniques utilisé et du résultat qu'ils produit, plutôt que des éléments hautement figuratif. En effet, la ligne graphique du genre gothique semble souvent reposer sur des représentations littérales de l'épouvante, avec des personnages dans des situations effrayantes. En lien avec le récit gothique, l’abstraction, a ici, pour but de maintenir le suspense, conditionnant ainsi le lecteur au genre du récit qui l'attend. Cela lui permet également de construire de lui-même l'univers lugubre du récit, sans avoir d'image préconçue.
Exemple d'autres couvertures du même genre littéraire, où l'on aperçoit une sur-ornementation, la présence de caractères stylisés au possible, et une utilisation iconographique naïvement figurative, ne laissant aucune place à l'imaginaire.
Enfin, on remarque que cette collection Penguin se démarque aussi par son choix typographique, qui s'écarte vraiment de l'utilisation simple de caractères gothiques ou de tout autre caractère décoratif et sophistiqué. Ici, aucune arabesque, aucun empattement, aucune graisse marquée n'apparaît sur les couvertures. S'éloignant de toute sur-ornementation associée au style gothique, ici, toute la puissance graphique repose sur une iconographie sobre et légèrement suggestive.
7100 caractères
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Infomocracy, par Malka Older (Tor, juin 2016)
Vers la fin du XXI° siècle nous avons trouvé un mode de gouvernance mondial sous la forme de la micro-démocratie. Des zones géographiques d’environ cent mille habitants, les « centenals », mettent en place des modes de gestion spécifiques ou décident de rallier des groupements de « centenals ». Tous les dix ans tous les « centenals » votent pour élire une « supermajority » qui gèrera toutes les questions globales. Dans ce monde hyper-numérique, le seul service public restant est celui de l’information. Le roman, pendant les dernières semaines d’une campagne électorale de « supermajority », suit Ken, un militant d’un groupe social-libertaire, et Mishima, un agent d’analyse et d’action de « Information ».
A sa sortie l’ouvrage était passé sous mes radars, et cela va me permettre d’enchainer les trois volumes de cette trilogie du « Centenal Cycle ». Il s’agit d’un des très rares exemples de « politic-fiction » écrit par quelqu’un qui maitrise son sujet (Harvard, Johns Hopkins et un doctorat à Sciences Po Paris !). Extrêmement brillant dans la description de ce modèle de société, y compris dans la prise en compte de ses failles, et plutôt intéressant dans son intrigue.
Il est amusant de voir que la même personne peut avoir écrit ça et les romances policières de Mossa et Pleiti (suivre le tag de l’autrice) !
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♡ A la claire fontaine ♡
✏️ Mon avis :
Le point fort de cette romance est sans aucun doute le mystère qui auréole le personnage masculin, le chuchoteur. L’auteure a choisi une manière singulière pour alimenter les nombreux rebondissements et fait de sa romance un page turner haletant.
Hazielle a grandi et vécu la peur chevillée au corps. Elle n’en est pas sortie indemne. Elle souffre de plusieurs troubles comme l’agoraphobie, l’androphobie … dus à un STT. Mais Hazielle est une battante, une force de la nature poussée par une curiosité insatiable surtout quand elle devient l’obsession d’un meurtrier.
Tout commença lors de son émission de radio. Une comptine, des mots qui comptent, la suspicion suivie de la peur. Le chuchoteur s’impose dans sa vie, dans sa maison quand le noir est à son summum. Une maison close où les mots ravivent des souvenirs, des flash libérateurs.
Robyne Max Chavalan nous livre une histoire sur fond dramatique empreinte d’une once d’amour pur et véritable. C’est envoûtant et terriblement déroutant. Choquant et touchant. Une histoire d’amour ambrée par de terribles secrets. Un jeu dangereux initié et poussé à l’extrême. L’osmose des personnages est parfaite.
J’ai été totalement séduite par l’univers et la plume de Robyne Max Chavalan. J’ai été tout de suite embarquée dans cette histoire présentée comme une dark romance. Personnellement, elle n’est pas assez dark pour moi, il faut dire que je suis hyper exigeante.
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523 pages
💥 Genre : romantic suspense / dark romance
📍Ma note : 3.75/5
🔎secret/famille/amour impossible/ SPT/ intrigue policière
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