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beautydiscovery · 2 months ago
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Milliardaire Noire Humiliée dans un Magasin de Luxe – Ce Qui s'est Passé Ensuite Va Vous Surprendre
Une femme milliardaire, déguisée et non reconnue, est entrée dans la principale boutique de luxe qu’elle avait elle-même fondée dans une grande ville. En entrant dans ce lieu censé être un symbole d’élégance et d’inclusion, elle a été confrontée à une attitude de mépris et d’arrogance de la part des employés, quelque chose qu’elle n’aurait […]
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kalyria1674-blog · 1 year ago
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Quelques Idées sur les Falmer
Les Falmer actuels pourraient vénérer Malacath. Selon moi, cela correspondrait mieux à leur état culturel actuel que, par exemple, Mephala et/ou Boethia comme j'ai pu le voir ailleurs. Sans compter que ce Prince, celui des Ostracisés et des Serments Brisés, est connu pour être particulièrement protecteur envers ses fidèles. Et, franchement ? Je pense que les Falmer le mérite.
Et, attention, pas dans le sens d'un peuple vengeur et assoiffé de sang. Pas quand on parle de quelques choses s'étant déroulés des générations auparavant et que même les Orques, ses plus fidèles adeptes, ne le sont pas.
Non, je les verrais plus le vénérer comme celui qui comprends la douleur de la trahison... mais aussi la volonté de se relever malgré cela et d'aller de l'avant. C'est pourquoi, je considère souvent Malacath comme étant le Prince le plus proche (sans tout a fait le faire) d'incarner les valeurs du Courage et de l'Espoir, celles-ci n'ayant pas besoin d'être départies d'une certaine fureur (que ce soit la vengeance ou la simple soif de vivre) pour fonctionner.
Celui qui voit les Ostracisés, les Mutilés, ceux dont on ne veut pas et qui n'ont plus nul part où aller... et qui les accueille auprès de lui. Qui les motive à se relever et a transformé la source de leur ignominie précédente en marque de fierté ! Cela irait bien avec ses tendances protectrice, je pense.
D'ailleurs, je ne suis pas du tout sûre de moi là-dessus mais Malacath n'implique-t-il pas le Changement dans le sens de l'Adaptation pour surmonter les obstacles ? Après tout, les Falmer ont survécus aux Anciens Nordiques (qui ont vu leur Culte Draconique, puis leur Empire, s'effondrer) et aux Dwemer (qui ont tout simplement disparus) qui avaient tout les deux tentés de les détruire.
... Et si leur apparence actuelle n'était pas une ''malédiction'' au sens péjoratif du terme ou une ''dégénérescence'' comme le prétendent les érudits et/ou Gélébor mais le présent offert par Malacath pour leur permettre de se relever de cette trahison ? Après tout, ne dit-on pas qu'il a changer son culte Altmeri de l'époque en Orsimer ? Et n'est-il pas le ''Prince des Malédictions'' ?
Et il y a de la poésie dans le fait que des Falmer changés se mettent à adorer Malacath quand Trinimac était dans leur ancien panthéon...
Pour ce qui est d'Hermeaus Mora, c'est plus compliqué... je pense que les Anciens Falmer auraient pu le vénérer mais les actuels ? Il est le Prince des Connaissances Interdites alors, selon moi, ça peut aller dans deux sens : un ''non'' car cette idée de Connaissances Interdites pourraient se rapporter aux Dwemer dans leur imaginaire... ou un ''oui'' avec, dans l'idée, que la Connaissance qui leur actuellement inconnue serait celle de ce qu'était leur peuple auparavant.
Pas dans l'idée d'un retour en arrière comme l'espère (naïvement ou désespérément ? Il doit se sentir si seul et impuissant...) Gélébor mais plus comme une façon d'appréhender pleinement leurs racines et comprendre comment ils sont arrivés là et ce qu'ils vont faire maintenant.
J'aime l'idée des Falmer du Val Oublié ou autres régions de la Crevasse capables d'être en contact avec les Parjures. Je pense que ce serait vraiment exceptionnel, compte-tenu de l'ouverture d'esprit des Crevassais (quelque chose de beaucoup trop sous-estimé et méprisé dans les TES !) vis-à-vis de leurs fréquentations de tout bords... ainsi que leurs points communs, ayant été déshumanisés par les société modernes et chasser de leurs terres par les nordiques.
[Attention, je ne dis absolument pas que les Crevassais sont un peuple doux, gentillet et incompris et j'espère que vous en avez conscience. Par ouverture d'esprit, je voulais dire qu'ils sont, dans les TES, ceux qui reconnaissent le plus facilement les différents potentiels propres à chaque races et n'hésite pas à les accueillir dans leur lignée, indiquant une posture d'amélioration constante et recherchée plutôt que d'eugénisme.]
Est-ce que les Falmer se déplacent vraiment dans leur position accroupie au quotidien ? Parce que, ce que je remarque, c'est que celle-ci est la même que la position de furtivité du joueur. Alors, ne serait-ce pas plutôt les Falmer qui se déplacent furtivement car, même sans pouvoir exactement le localiser, ils savent que le joueur est là ? Après tout, on les voit sortir de leur cachette en hauteur même quand nous ne sommes pas repérés et, pourtant, ils agissent comme si c'était un moyen de défense...
Pour ce qui est de l'ancienne langue falmeri, elle n'a ni ponctuation ni espace clairement définit entre les mots et les phrases car l'écrit n'était qu'un support à la lecture orale (un peu comme le latin, en fait) et sa transmission de part et d'autres du pays. Notamment en ce qui concerne les ordonnances religieuses, politiques et/sociétale d'importance. Du moins, en ce qui concerne leur apogée où ce n'était pas nécessaire. Durant le génocide nordique, cependant, l'écriture se serait généralisée, dans un dernier sursaut, afin de lutter contre l'oubli auquel voulait les condamner leurs ennemis. Avec un succès très modeste. Ce qui explique également le peu de matière que possède les historiens pour travailler.
J'aime l'idée de Vyrthur considéré par la plupart des Falmer comme une sorte de protecteur, se débarrassant de ceux, envoyés par Gélébor, qui viendraient troubler la paix de la Chantrie jusqu'à ce qu'il soit temps. Parce que, s'il est vrai qu'il a gelé plusieurs falmer, rien ne dit que ce n'est pas arriver pendant l'invasion mais que les choses n'ont pas évolué par la suite. Surtout quand on voit que les falmers gelés semblent physiquement moins dégénérés que les autres. Ou plus si on compte le vampirisme mais c'est encore autre chose.
Parce que, ce que je remarque, en entrant dans la Chantrie, c'est que la plupart des Falmer gelé sont ceux qui ont possiblement attaqué la Chantrie toute ces années où qui pourraient être responsables des offrandes envers Auri-El qu'on retrouve aux pieds de la statue... qu'il n'a jamais détruite, cela dit.
Et il s'excuse, parfois, quand on le tue. Je pense qu'il est un bel exemple de l'adage ''les plus seuls sont souvent les plus tristes''...
Il n'y a aucune trace de purge et/ou d'assaut nulle part ailleurs dans le Val. En fait, une colonie falmer habite carrément au pied du bâtiment ou presque et, pourtant, il ne semble pas que notre vampire résident ait jamais eu à se battre pour sa vie. Car sinon, il aurait certainement finit submergé par le nombre depuis un moment...
Sans parler du fait que Vyrthur aurait eu besoin de se nourrir régulièrement pour ne pas devenir fou à cause de la soif.
Et, égoïstement, j'ai envie d'imaginer, même en étant familière de la violence de Tamriel et TES, un monde où les Falmer et Vyrthur auraient tous pu trouver un semblant de paix.
Donc Vyrthur protégerait les Falmer du Val des envahisseurs et, en échange, ceux-ci le protégerait, voir le nourrirait en remerciement. L'un voulant accomplir son devoir (de protecteur de son peuple, pas de serviteur d'Auri-El) tout en éprouvant un mélange de pitié et d'attachement pour des êtres qui sont, finalement, aussi misérables que lui et les autres voulant lui montrer, sans, probablement, parvenir à communiquer, que même dans les ténèbres les plus profondes où il se trouve, il n'est pas seul ou abandonné.
Auri-El l'a peut-être laisser tomber, mais eux sont toujours là et ils ne le laisseront pas.
Encore que, pour l'abandon en question, lui faire croire ça serait tout a fait dans les cordes de Molag, surtout avec l'arc d'Auri-El en jeu, mais bon... ce n'est pas comme si Auri-El était connu pour sa miséricorde non plus donc je ne sais vraiment pas.
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blinding-lights-rpg · 3 months ago
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UPDATE 4.0 : Sur le toit du monde
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BLINDING LIGHTS passe déjà à son update 4.0 !
Unexpected, démentiel, abracadabrantesque, on pourrait utiliser 1000 mots loufoques pour décrire les persos que vous créez chaque jour avec nous et votre motivation sur le forum. Bref, merci encore et toujours, cette commu est incroyable, c'est un plaisir de donner vie à toute cette histoire à vos côtés. Vous êtes toujours SUPER réactif·ve.s à toutes nos nouvelles idées pour changer les façons de RP, et vraiment vous rendez notre monde plus beau OMG !! On se sent minuscules, on vous aime plus que tout !!!
La 4.0 en vrac c'est notre nouvel event avec les Herolympics, la dernière chance de pull les summer cards du TCG, notre nouvelle version en mode cocktails sous les palmiers ! Donc on entame notre deuxième intrigue heh !
Chapitre II : Sur le toit du monde
On domine les cieux, et toustes s'émerveillent devant nos prouesses. Du bout des doigts, on touche l'Olympe, à surplomber tout l'univers. Notre sacre sera celui de l'humanité, même si nous n'en sommes que les plus grandioses. Et si les rois festoient, les rats sont chassés. Colporteurs de peste à exterminer. Mais que l'on brille ou que l'on cache notre éclat, le monde sera quand même à nous. Au-dessus de tout.
LA BISE, DE L'AMOUR, ET DU BONHEUR !!!
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fieriframes · 1 year ago
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[The sea shall be like magic between us.]
IX - Nuit sans fin
La dernière conversation avec Christina, où je lui avais dit que j'avais utilisé les toilettes du Café d'Auteur, un café fermé depuis cinq ans, avait été un avertissement. Sans parler des huit heures que j'avais complètement bloquées, pendant lesquelles je lui avais apparemment demandé de rechercher d'éventuels liens entre Leonora Carrington et Italo Calvino. Des cartes de tarot, des chansons codées, des cartes du monde étranges trouvées sur des sites web encore plus étranges ? Euphémie ? Je perdais la tête.
Les mois passèrent et la vie reprit son cours normal. Trop de travail, trop de télévision, trop de consommation de nouvelles (qui devenaient de plus en plus déprimantes chaque jour). Le monde fascinant de Leonora et ce jeu (ou quoi que ce soit) était une tentation constante. Une évasion de la monotonie. Mais ça avait aussi un air de danger et j'ai donc réussi à résister à l'envie.
En février, j'ai pris l'Eurostar pour voir un ami à Londres. Et chaque fois que je suis à Londres, on va à Tate Modern, cet incroyable musée de la couverture de l'album Pink Floyd. L'expo cette fois ? "Le surréalisme au-delà des frontières", mettant en évidence l’ œuvre de Carrington. Bien sûr. Mon ami avait déjà acheté des billets et j'étais sûr que le jeu ne me suivrait pas à Londres. Donc, hop, on est parti.
L'expo était incroyable et consistait en des peintures d'artistes avant-garde un peu moins connus, comme Erna Rosenstein, Dédé Sunbeam, Ikeda Tatsuo, Hector Hyppolite, Eugenio Granell, Giorgio de Chirico et Remedios Varo. C'était comme passer d'un rêve étrange à un autre.
En particulier, les peintures de Leonora étaient fascinantes. L'expo présentait plusieurs de ses tableaux, dont sa toute première, intitulée Autoportrait (L'auberge du cheval de l'aube).
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Cette peinture est normalement dans le Metropolitan Museum of Art de New York et c'était cool de pouvoir la voir. C'est une scène (en fait, deux scènes si tu comptes ce qui se passe dehors) à la fois très simple et vachement dramatique, à la fois stéréotypé féminin et masculin. Leonora et la Hyène regardent directement le spectateur, reflétant le comportement de l'autre. En fait, Leonora était souvent liée aux Hyènes, disant "je suis comme une hyène, je rentre dans les poubelles, j'ai une curiosité insatiable". La Hyène réunit ici le mâle et la femelle en un tout, métaphorique du monde de la nuit et du rêve. Pour moi, ce tableau est une exploration de soi, le côté sauvage, le côté curieux, le côté qui cherche la liberté.
J'étais là depuis longtemps à regarder le tableau quand une jeune femme est apparue à côté de moi. Au début, on a regardé le tableau en silence, mais après un certain temps, elle m'a posé une question. "Qu'est-ce que vous pensez que c'est, cette tache à côté de la Hyène ?" Franchement, je l'avais à peine remarqué, mais j'ai répondu, "C'est une bonne question, j'ai supposé que c'était juste une erreur qu'elle essayait de cacher ?" "Une hypothèse sûre", a-t- elle répondu. "Bien que… Carrington était apparemment depuis sa plus tendre enfance très fasciné par les aes sídhe, un peuple féerique surnaturel lié à la mythologie celtique des Gaëls à partir des histoires que sa mère, sa grand-mère et sa nounou lui avaient racontées. Peut-être que ce sont eux qui font une apparition."
C'était la première fois que j'entendais ça et j'étais vraiment intéressé à en savoir plus. Elle s'est présentée comme Ester et on a longuement parlé de Carrington, les Tuatha Dé Danann (la mythologie celtique irlandaise) et du surréalisme. Elle possédait une librairie pas trop loin de chez moi et avait clairement plongé dans sa propre marchandise. Quand mon ami réapparu (il avait disparu dans les œuvres d'André Breton), elle m'a donné la carte de visite de sa librairie et m'a dit qu'elle avait un livre qui pourrait m'intéresser. Si je voulais, je pouvais venir à tout moment pendant ma visite à Londres. Je l'ai remercié pour la conversation et lui ai dit au revoir.
J'ai passé un bon moment à Londres, avec beaucoup de cocktails, pâtisseries scandinaves et cuisine indienne. Le dernier jour, j'ai retrouvé la carte de visite pour The Library of Babel que Ester m'a donnée. C'était à proximité. La commodité et ma curiosité m'ont rendu impossible de résister.
Après avoir parcouru les petites rues pendant trente minutes, j'ai finalement trouvé la librairie. Avec un nom si spectaculaire, je ne m'attendais pas à un endroit aussi discret; un petit panneau étant la seule indication de ce qui nous attendait à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu immédiatement livre après livre. Le magasin se composait d'un bureau en bois et d'un nombre apparemment infini de livres empilés au hasard derrière. Je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un pouvait trouver quelque chose là.
Je n'avais même pas remarqué la personne qui était assise au bureau avant qu’il me demande si j'avais besoin d'aide. Je lui ai dit que j'avais reçu une invitation de Ester. Sans même demander mon nom, il dit "Ah oui, Ester a dit qu'elle est désolée de ne pas pouvoir être ici aujourd'hui, mais elle vous a laissé ce livre." Je l'ai remercié et j'ai attrapé mon portefeuille, mais il a immédiatement dit "non, non, pas de soucis".
Une fois à l'extérieur de la librairie, j'ai vu la note attachée au livre, "J'espère que ce livre vous trouvera bien et éclairera le chemin. Que les aes sídhe soient à vos côtés, toujours."
Le livre était intitulé Nuit sans fin et était une sorte de recueil de poésie. Je l'ai feuilleté lentement jusqu'à ce que j'arrive aux deux pages du milieu. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Là, au milieu du livre, il y avait la même carte que j'ai trouvée sur le site web crypté.
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jeanniebug623 · 6 months ago
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Tu peut poster un extrait de silent as shadows s'il te plait?
Bien sûr! J'espère que la traduction n'est pas trop mauvaise! Je suis désolé s'il contient beaucoup d'erreurs. 💙💙💙
(Keep scrolling for English, I hope the translation doesn't suck too bad)
Le moment de méditation de Rey'ka fut interrompu lorsque Toruk secoua la tête et qu'une main douce se posa sur son épaule. Son amie d'enfance la plus âgée sourit et salua les guerriers Omatikaya qui avaient débarqué et attendaient avec impatience qu'elle s'adresse à eux. Une partie d'elle se demandait pourquoi ils étaient si... excités? Était-ce le mot? Spider lui a tout raconté sur le précédent olo'eyktan et ses incroyables exploits sous le manteau de Toruk Makto. 
Alors que la majeure partie d'elle était encore en train de s'adapter à tant d'attention, le reste de Rey'ka se retrouva à ne pas aimer ça. Elle était tellement habituée à être négligée ou mise de côté à cause de sa 'malédiction' qu'elle n'a jamais appris ce que c'était que d'être si importante pour quelqu'un. Eh bien... il y en avait quelques-uns. Son père. Calme. Et son frère. 
Elle leva le menton un peu plus haut et suivit ses anciens amis.  Elle regarda le Samson comme s'il allait prendre vie tout seul et l'écraser dans des mâchoires métalliques. Mais elle s'est ensuite arrêtée net lorsqu'elle a vu les gens sortir de l'avion.  Encore des gens du ciel!
Pas beaucoup, mais un seul suffisait pour attirer son attention. Plus d'alliés. Finis les humains qui ont choisi le peuple. Spider lui avait raconté tellement d'histoires sur ses amis ; elle savait qu'il y en avait davantage parmi les Omatikaya. Quelques Na'vi portant des vêtements de skypeople étaient également avec eux. Rey'ka regarda les chefs de clan alors qu'ils se saluaient, puis revint vers un Na'vi grand et mince, vêtu de vêtements beiges ressemblant à des humains et orné de ce qu'elle reconnut immédiatement comme des bijoux de style Olangi. 
Rey'ka se souvint des histoires que son père lui racontait sur la dernière grande bataille des Olangi. Même s'ils n'étaient pas partis, le clan dans son ensemble a été grièvement blessé en combattant pour Eywa. Lorsqu'elle repensait à ces histoires, surtout lorsqu'elle et son père étaient restés chez les Tayrangi, Rey'ka sentit quelque chose se serrer dans son cœur à la pensée de ce qui s'était réellement passé toutes ces années auparavant. Oui, elle n'avait que 8 ans. Mais son peuple était là... les Olangi étaient là... les Tayrangi... Omatikaya... qui d'autre...?
Le grand et mince Na'vi s'approcha d'elle avec sa main descendant de son front pour la saluer. Avant que la main de l'homme ait fini son mouvement, la main de Rey'ka tendit la main et attrapa sa main. Personne ne l'a vu et l'homme s'est figé dans un mélange de surprise et de peur.
Tout le monde se fige. Qu'avait fait cet homme pour insulter le septième Toruk Makto...?
Les oreilles de Rey'ka se retirèrent et sa queue remua rapidement. Elle regarda la main de l'homme entre eux, la tournant et appuyant son pouce sur sa paume jusqu'en dessous des jointures jusqu'à ce que les doigts s'étirent sous la pression. Un...deux...trois.... 
Les yeux de Rey'ka levèrent vers ceux de l'homme; le sien est rempli d’incertitude. Ce regard perçant qui hantait Qauritch depuis des mois et des mois. Des yeux qui voyaient dans les gens, recherchant des choses qu'ils ne montraient pas à la surface. Four. Quatre doigts. Le grand et maigre Na'vi qui se tenait à côté de l'olo'eyktan de l'Omatikaya avait quatre doigts.
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Question: Can you post an extract from silent as shadows please?
Answer: Of course! I hope the translation isn't too bad! I'm sorry if it contains a lot of errors.
Rey’ka’s moment of meditation was cut short when toruk shifted his head and a gentle hand landed on her shoulder. Her oldest childhood friend was smiling and waving her hand back to the Omatikaya warriors who had landed and were eagerly waiting for her to address them. Part of her wondered why they were so...excited? Was that the word? Spider told her all about the previous olo’eyktan and his amazing feats under the mantle of Toruk Makto. 
While most of her was still adjusting to this much attention, the rest of Rey’ka found herself not liking it. She was so used to being overlooked or pushed aside due to her ‘curse’ that she never learned what it was to be this important to someone. Well...there were a few. Her father. Quiet. And...her brother. 
She lifted her chin a little higher and followed her old friends over. 
She eyed the Samson like it was going to spring to life on its own and crush her in metal jaws. But then she stopped dead in her tracks when she saw the people who exited the aircraft. 
More sky people! 
Not many but even one was enough to draw her attention. More allies. More humans who chose the People. Spider had told her so many stories of his friends; she knew there were more of them among the Omatikaya. A few Na’vi wearing sky people clothing were with them as well. Rey’ka looked to the clan leaders as they greeted each other then back to a tall, skinny Na’vi in beige human-like clothing and adorned as what she immediately recognized as Olangi-style jewelry. 
Rey’ka remembered the stories her father told her about the Olangi’s last great stand. While they were not gone, the clan as a whole was heavily wounded fighting for Eywa. When she thought back on the stories, especially when she and her father stayed with the Tayrangi, Rey’ka felt something tighten around her heart at what truly happened all those years ago. Yes, she was only 8. But her people were there...the Olangi were there...the Tayrangi...Omatikaya...who else...? 
The tall, skinny Na’vi approached her with his hand coming down from his forehead to greet her. Before the man’s hand finished its motion, Rey’ka’s hand shot forward and grabbed a hold of his hand. No one saw it and the man went rigid in some combination of surprise and fear. 
Everyone froze. What had this man done to insult the seventh Toruk Makto...? 
Rey’ka’s ears went back and her tail swished quickly. She stared at the man’s hand between them, turning it and pressing her thumb up his palm to the underside of the knuckles until the fingers stretched under the pressure. One...two...three.... 
Rey’ka’s eyes lifted to the man’s; his own wide with uncertainty. That piercing stare that had haunted Qauritch for months upon months. Eyes that saw into people, searching for the things they didn’t show on the surface. Four. Four fingers. The tall, skinny Na’vi who stood beside the olo'eyktan of the Omatikaya had four fingers. 
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ernestinee · 6 months ago
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Je viens de terminer Le dernier jour d'un condamné.
Je l'ai lu pour l'ado, parce qu'il était censé entendre la lecture en classe, et j'ai voulu lui éviter un carnage : son horrible prof de français qui lit Victor Hugo et s'interrompt régulièrement pour leur expliquer des trucs. L'image qu'il en aurait, alors que ce livre est une pépite.
Cette prof réussit à dégoûter les élèves de la lecture alors que chaque livre du programme, ou presque, est incroyable. Les interros se font sans le livre, de telle manière qu'au lieu de jouir des détails, il faut se concentrer sur les grandes lignes pour les retenir. L'intérêt de chaque histoire passe à la trappe, je trouve ça tellement dommage.
Ce lundi, lui et moi parlerons du livre et du débat sur la peine de mort, de qui, selon l'époque, mérite ou pas de mourir, de la puissance du texte qui ne donne ni nom ni méfait et permet quand même de s'identifier au condamné, de passer en même temps que lui de l'espoir au désespoir, de vivre les plongées dans ses souvenirs, d'espérer son repentir et d'attendre une fin heureuse avec un espoir amoindri de page en page. Être dans ce déni tout autant que lui, connaître la fin mais espérer qu'elle soit quand même changée.
Nous parlerons aussi du voyeurisme face aux drames, de cette foule qui hurle et se délecte.
Et puis la mort prétendument rapide et sans douleur de la guillotine, mais les 6 semaines de torture psychologique qui précèdent. L'humanité et l'inhumanité des accompagnants. Les dernières ficelles fines et fragiles qui gardent cet homme attaché à la vie, et qui lâchent d'un coup lorsqu'il se rend compte que sa fille ne le reconnaît pas.
⭐⭐⭐⭐⭐ j'aime bien les lectures qui ouvrent le débat, j'ai hâte de connaître l'avis de l'ado.
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des-paroles · 1 year ago
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J'ai 103 ans, je suis en vie, même si je souhaite ne plus l'être. J'ai vécu une décennie incroyable d'événements, et mon histoire parmi l'Histoire fut riche et constructive.
Je suis née dans une famille de propriétaire terrien : un vignoble de St Emilion "La grâce de Dieu", une famille avec calèche, piano et demeure, si belle comme un petit château.
A 18 ans je tombe enceinte, d'un homme qui n'est pas noble, et je ne suis pas mariée. Mise à la porte, je vécue quelques années avec celui qui devint mon mari, eu 3 filles, puis divorçais, une gageure à l'époque, fatiguée et en colère d'être trompée à maintes reprises.
Je fus alors accueillie, dans le presbytère d'un village, avec mes 3 filles, par le curé et celle qui deviendra mon amie, R, croyante au grand coeur.
J'y vécus de longues années, pauvre et travaillant à l'usine, dans des conditions vétustes : 1 chambre partagée à 4 et une petite cuisine, sans toilettes ni salle de bain.
Je continuais ma vie, bon gré mal gré, entourée et aimée, malgré, ou à cause de mon caractère de cochon, dont les miens se moquaient et derrière quoi se cachait une grande tendresse et une résilience aux difficultés de la vie, tenace et têtue.
Regardez, je suis en vie.
(En souvenir de ma grand-mère Yoyo)
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ascle · 8 months ago
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Hello my old friend
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Oh Capitaine, mon Capitaine...
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Cette réplique du Cercle des Poètes Disparus résonne toujours.
Pour la première fois en France, le Théâtre Antoine adapte le film, avec dans le rôle du magnétique John Keating, Stéphane Freiss.
Ce professeur charismatique et iconoclaste inspire ses jeunes élèves s'ouvrant à la vie, loin du carcan des conventions qu'incarne leur établissement.
Histoire émouvante et contemporaine, la pièce célèbre l'amitié, l'émancipation, la transmission au moment où se dessinent personnalités et destins.
Un cri à la vie ! Un cri à la Liberté ! Carpe Diem ! Carpe Diem !
Auteur : Tom Schulman
Artistes : Stéphane Freiss, Ethan Oliel, Hélie Thonnat, Audran Cattin, Maxence Seva, Pierre Delage, Maxime Huriguen, Yvan Garouel, Olivier Bouana
Metteur en scène : Olivier Solivérès
J’ai adoré la pièce! Les jeunes sont incroyables, le prof est inspirant et l’histoire est toujours actuelle.
Avant le début ils ont même fait monter les gens sur scènes pour danser :)
Gros coup de ♥️
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mmepastel · 2 months ago
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« Grâce » au covid, j’ai eu le temps de dévorer goulûment ce copieux roman. A cause du covid, en partie, je me sens un peu défaillante pour écrire une chronique à la hauteur. Car c’est un livre incroyable selon moi, un livre que je ne suis pas près d’oublier.
Dès le début j’ai été frappée par une foule de similitudes entre le destin des deux protagonistes et le mien. Je suppose que c’est parce que j’ai bientôt 50 ans, et que leur histoire, vu de loin est banale, ordinaire, comme la mienne. C’est un peu une auscultation du couple. Alors, à quelques années près, ils sont plus jeunes que moi/nous mais le roman s’arrête en 2014, et leur histoire démarre en 1992 ; grosso modo, on est raccord.
Même si c’est à Chicago.
Mais le livre ne parle pas que des mutations du couple, de l’érosion des sentiments, des mythologies qui sous-tendent les amours, loin de là. Même si c’est le point de départ et le point d’arrivée. La construction du roman d’ailleurs est assez incroyable, totalement maîtrisée, complexe mais fluide, astucieuse (elle donne envie de tourner les pages car un suspense psychologique s’installe). Le romancier a expliqué qu’ayant vécu jeune à Chicago puis y étant revenu plus tard, il avait constaté une gentrification de la ville, notamment des quartiers si excitants, bohèmes et anticonformistes, ceux où nos deux héros, Jack et Elizabeth, vont se rencontrer et s’aimer, jeunes, naïfs et pleins d’espoirs. L’auteur raconte que ce qui arrive à ces grosses villes arrive parfois aussi aux gens. Parce qu’on change. Obligatoirement. Le temps passe. L’amour mute ou s’émousse, c’est bien la question, en tous cas une des questions posées par la vie et ce récit. En plus, ils font un enfant, petit être complexe et pas facile, et se mettent à vivre en banlieue… ils deviennent ce qu’ils ont moqué en leur âge d’or. Leur/Notre temps en plus leur/nous a lancé dans les jambes internet et ses vertiges. Le monde a changé, ses habitants occidentaux aussi.
Il mêle alors à l’observation psychologique très très fine de ses personnages, l’observation des autres changements : le rapport à l’art, peinture et photographie, le rapport au roman comparé aux liens hypertextes offerts par internet, la théorie puissante de l’effet placebo qui fonctionne au point d’interroger l’importance de la croyance, l’avènement de Facebook, son fonctionnement par algorithmes qui transforme les liens sociaux (surtout pour les gens seuls), l’accès à l’information et à la désinformation et peut aussi donc mener aux théories du complot, au désir de trouver des voies autres pour tenir debout (médecine parallèle, croyances, ésotérisme flou), l’éducation, nourrie de préceptes aussi précis qu’angoissants. Il est autant romancier qu’ethnologue, sociologue, psychologue, vulgarisateur numérique. Son livre est volontiers historique et extrêmement documenté (dans le chapitre « Craquage », les références ostensibles ont un effet comique imparable). A cela, il ajoute le désir humain d’accéder au bien-être qui parait si proche dans nos sociétés occidentales pourvu qu’on ne soit pas dans la misère (Jack et Elizabeth se débrouillent correctement sur le plan financier), et qui pourtant semble inaccessible (elle fait le constat de n’être jamais détendue, libre, confiante), ce qui s’explique par des problèmes non résolus venant de son enfance tout autant que par le bombardement d’informations stressantes que nous apporte la technologie, ainsi que les contraintes modernes.
J’ai appris énormément de choses sur tous les domaines cités ci-dessus et j’ai été éblouie par l’intelligence qui les analysait, les liait, les confrontait, avec humour et parfois cruauté. Je me suis retrouvée un nombre incalculable de fois dans toutes ces problématiques, jusqu’à des détails troublants, bref.
C’est impossible de résumer l’intrigue, les enjeux. Il faut lire ce livre, faire l’expérience de la lecture de ce livre. C’est un vrai voyage intime, stimulant et drôle, bouleversant par moments, qui en plus permet de mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Je suis époustouflée par le talent de ce gars. (Je n’avais pas lu son premier roman apparemment très remarqué pourtant.)
A mes yeux c’est un grand livre, qui va compter. En tous cas, pour moi, c’est un choc.
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ladyniniane · 2 months ago
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Coucou ! Pour le reblog sur les histoire de fond, une anecdote ou une histoire de fond sur ton histoire en cours avec Zoé ou d'Anselma si ça ne te gêne pas ? Merci beaucoup d'avance ! :D
Coucou et merci beaucoup pour les questions :) Du coup je vais faire les deux !
-C'est l'histoire de Zoé qui a lancé ma passion pour l'empire byzantin et pas l'inverse. En gros, je voulais écrire une histoire qui se passait dans un palais et je voulais un décor différent (j'avoue qu'écrire de la fantasy d'inspiration médiévale/Europe de l'Ouest/du Nord me lasse un peu. Surtout qu'on voit ça partout au final).
Cela faisait longtemps que les visuels de l'empire byzantin (les mosaïques, les vêtements etc.) me trottaient dans la tête et me plaisaient beaucoup.
Et puis il y a l'histoire fascinante de l'impératrice Théodora (la femme de Justinien I, je précise pour les autres lecteurs vu que ce n'est pas la seule impératrice importante à porter ce nom). Je me rappelle que j'avais lu beaucoup de romans sur elle après découvert le personnage dans Civilisation V (par contre je n'ai pas encore vu le péplum de 1954. Mais je suis sûre qu'il est mieux que la saison 3 de V*king V*lhalla).
Son histoire est juste romanesque en diable et du coup je suis partie dans cette direction avec une femme de condition modeste qui va devenir impératrice. Mais même si je n'écris pas un roman historique, je voulais faire des recherches afin de faire ça correctement et de trouver de l'inspiration. Surtout que des fois la réalité est bien plus incroyable/romanesque que tout ce que l'on peut imaginer.
J'ai beaucoup aimé ce que j'ai découvert, je suis tombée dedans et je ne suis toujours pas revenue ! (Et je ne crois pas que mon retour soit pour bientôt vu que j'ai d'autres idées d'histoire dans le même univers).
-Pour Anselma, j'ai envie d'expliquer ce qui m'a donné envie d'écrire sur elle et comment on est arrivés au résultat actuel.
Ma première impression d’Anselma dans le jeu a été très positive à travers la description qu’en faisait Dimitri. Je me suis dit “tiens, une belle-mère qui avait l’air agréable ? C’est vraiment rare dans la fiction et plaisant”. Donc on avait un postulat original et intéressant.
Ensuite on est passés à l’horreur avec l’aspect “Cornelia contrôlait sa vie privée et tout ce qu’elle voulait c’était retrouver sa fille”. Je n’ai pas pu m’empêcher de remplir le blanc : elle voulait retrouver sa fille parce que… ? On l’avait séparée de sa fille ? On l’avait menacée ? Elle était seule ? 
Mais on restait dans une espèce de flou parce que ses motivations et son histoire n’ont aucun sens. On l’a dit et résumé plein de fois, mais même un bad trip sous acide aurait plus de sens que toute cette affaire. 
Son personnage m’inspirait malgré tout de la sympathie. Et comme un des principes de ma fic c’était “donnons de la personnalité aux mamans de Fodlan” et bien il me semblait logique de devoir m’y coller à un moment où un autre. 
Surtout que cette histoire de “mère seule contre le monde qui veut protéger sa fille” est un ressort émotionnel qui me touche énormément. Alors oui, je sais. Toutes les femmes et toutes les mères ne sont pas forcément bonnes. Et je pense avoir clairement évité cet écueil dans mon histoire vu la diversité des profils qu’on a (d’autant plus en comptant l’univers étendu avec Tiana et la mère de Mencia).
Et puis il y avait son passé. J’ai découvert les séries chinoises par des histoires se passant dans le harem (Legend of Zhen Huan etc.). Elles montrent des femmes pleines de ressources qui cherchent à s’en sortir dans un système toxique et destructeur. Pour moi, il était facile de voir Anselma comme la protagoniste de l’une de ces séries. D’autant que peu d’histoires s’attachent à ce qu’elle a pu ressentir. Je me dis que pour elle, arriver en Faerghus représentait l’espoir d’une nouvelle vie auprès de quelqu’un dont elle s’imaginait qu’il allait l’aimer. 
Bon du coup, je suis passée par toute la phase détective, à essayer de faire sens de la version du jeu puis à me dire “allez osef on change pour que ça en ait (un peu plus)”. Par exemple, si Hildegarde est dans le Royaume au moment de la tragédie, cela permet beaucoup mieux d’expliquer les actions d’Anselma. En quoi conspirer pour tuer Lambert aurait-il pu lui permettre de revoir sa fille si Hilde n’était déjà plus dans le Royaume ? Anselma n’aurait eu qu’à se tirer dans l’Empire et c’était fini ! 
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Ismène est apparue en parallèle. Je n’aime pas le concept d’un peuple entièrement maléfique. Et je voulais un personnage qui puisse représenter les Agarthais autrement. Et je me disais qu’Ismène avait besoin de quelqu’un pour la lier à sa part humaine. Qu’elle avait besoin d’une mère. Et je voulais qu’Anselma puisse raconter son histoire et qu’on sache où elle est allée après Duscur. Je voulais qu’Anselma puisse souffler un peu et finir sa vie avec des gens qui prennent soin d’elle. Et donc…
Tout c’est fait logiquement. C’est ce qui m’a appris à écouter mes idées qui apparaissent comme des dingueries. Souvent, les personnages meurent après avoir eu leur rédemption. Moi, je préfère quand ils vivent pour se confronter aux conséquences de leurs erreurs et essayer de faire mieux. Du coup, tout semblait logique : et si Anselma avait la possibilité de prendre en charge un troisième enfant et que tout se passe bien cette fois ? Et si elle pouvait lui offrir de la force et de l’amour ? Enfant qui a son tour soulagerait Dimitri en lui permettant de connaître ce qu’il s’est passé / ou qui aiderait le monde en s’opposant à Hilde ?
Le traitement d’Anselma et de Lambert dans le fandom m’a confortée. J’ai eu peu l’esprit de contradiction, surtout quand il s’agit de femmes qui s’en prennent injustement plein la tronche. Lambert est un mauvais mari et père. Pour moi ce n’est pas du headcanon. C’est aisèment démontrable à partir des éléments du jeu. Pourtant il est lavé plus blanc que blanc. Mais rien ne dit vraiment qu’Anselma ait été le monstre que certains décrivent. Elle a une histoire mal écrite. C’est différent. 
Ecrire sur elle et Ismène me donne de la sérotonine. Et j’aime aussi sa relation avec Stéphanos parce que amitié homme/femme ! Yes ! 
Pour l’UA avec Edith, je me suis toujours dit qu’elle et Anselma s’entendraient bien si elles se rencontraient dans d’autres circonstances. Si certaines choses les opposent, elles se ressemblent aussi beaucoup : altruisme, détermination, sens de la justice… Sauf que des fois ils se passent des choses en mettant les persos ensemble dans la même pièce. Et je me suis donc rendu compte qu’elles n’étaient pas amies mais qu’elles s’aimaient. J’avoue que c’est plutôt satisfaisant de voir les deux femmes déçues par Lambert ensemble. Comme ça, Anselma reste la belle-mère de Dimitri, les modalités sont juste différentes :P.
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bienvenuechezmoi · 2 months ago
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Je sors du film du Comte de Monté Cristo. Et bah Gégé Dumas c'est une masterclass. Une histoire vraiment incroyable. Et oui j'ai 26 ans et je découvre l'histoire pour la première fois de ma vie, autant dire que j'étais scotché devant du début à la fin et j'attendais chaque rebondissement jusqu'à la fin.
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siammybaby · 3 months ago
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JOYEUX ANNIVERSAIRE ZENDAYA
Happy Birthday à celle qui est devenue mon inspiration au quotidien Zendaya Coleman ! Je souhaite vraiment la rencontrer un jour lors d'un événement et pourquoi pas aux Emmys Awards si un jour ma carrière d'actrice décollera, why not?
Non en vrai elle est une femme incroyable et elle m'a donnée l'envie de devenir une actrice malgré mon anxiété et ma timidité j'ai envie de devenir une actrice, tourner dans des séries et films, faire des promotions et rencontrer des coeurs inconnus qui aiment mon travail et qu'ils me soutiennent. Commencer par le vlogging c'est vraiment un premier pas pour moi car j'ai déjà lancé mon premier vlog tour (qui est d'ailleurs pas très réussi mais au moins je l'ai publié) et me lancer ma carrière de vlogueuse sur Youtube c'est comme si je tournais ma propre série et que je joue un personnage principal, je deviens l'héroïne de ma série. Pour moi c'est mon premier pas de filmer et raconter une histoire de mon personnage principal.
Je remercie vraiment Zendaya pour ce qu'elle est et j'admire énormément son travail d'actrice et de productrice elle est incroyable et j'ai envie de travailler dans ce milieu tout comme elle. Alors moi je fais à ma version, je me lance dans le vlogging en tant que vlog character (personnage de vlog)... Je filmerai 24h/24 mon quotidien à Toronto au Canada, je parlerai de mon engagement à la santé mentale chez PSSM France en tant que secouriste pour aider les gens et de les rassurer qu'ils ne seront jamais seuls.
Encore un joyeux anniversaire à elle, elle m'a vraiment sauvée la vie concernant mon avenir et qui j'ai envie de devenir pour poursuivre mes rêves...
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garoushkaelpelo · 5 months ago
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J'ai regardé Le Cercle des Neiges
Réalisé par Juan Antonio Bayona, ce film est l'adaptation du livre du même nom, écrit par le journaliste uruguayen Pablo Vierci. Le livre relate l'accident du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571, écrasé dans la Cordillère des Andes. Les surviants de ce crash, l'équipe du rugby du Old Christian Club de Montevideo ainsi que leur proches, ont raconté plus tard qu'ils auraient eu recours à l'anthropophagie pour rester en vie. Ce qui semble n'être qu'une rumeur finit par être confirmée lors d'une conférence de presse. Cette histoire fut déjà adaptée au cinéma, notamment en 1993, avec le film hollywoodien "Les Survivants", où l'on retrouve quand même un tout jeune Ethan Hawke. Le film est pas mal mais reste quand même très corny à la Hollywood Style. En 2023, sort donc une nouvelle adaptation de ce récit, une production hispano-américaine. Et que dire à part que c'est une tuerie !
Je ne m'attendais vraiment pas à être autant scotchée car je connaissais l'histoire et j'avais vu plusieurs fois Les Survivants. Mais cette nouvelle version m'a beaucoup plus convaincu. On a un vrai travail de réalisation, les plans sont parfois magnifiques. Bayonna a vraiment mis en valeur la Cordillère des Andes, elle en devient aussi belle qu'elle n'en est terrifiante. Autre chose qui participe à notre effroi, rien de la souffrance des survivants nous est épargné. Les maladies, les blessures qui s'infectent, la dégradation de la santé physique comme mentale, tout nous est montré. Tout ce qui les pousse à décider d'en venir au cannibalisme. Là où le dilemme est à mon sens très expédié dans la version de 1993, ici le débat revient tout du long et met les protagonistes dans une position délicate vis à vis de leur foi et de leurs valeurs.
La tension est palpable jusqu'au bout et on se sent vraiment près des personnages malgré leur nombre. On ne se concentre pas que sur un ou deux personnages. Fernando Parrado et Roberto Canessa sont certes mis en avant tout le long du film, afin de faire ressortir la beauté de leur acte héroïque mais on oublie pas que le groupe. On est . Le tout sans patos, ce qui était le gros point noir de la version de 1993. Et quand le miracle se produit, on est réellement soulagés.
Bref, le film est incroyable, il faut absolument le voir. Il est sur Netflix !
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mzellepers · 1 year ago
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Appartement Mona Coppa : Suite & Fin 🫣
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Ma Save personelle Full-CC et toujours en cours ... J'ai concience que c'est là une grande et longue histoire qui se profile . Je vais vous partagez plusieurs suite de photos des appart' terminer de San-Myshuno . Mais , j'ai mes favoris🤭 , et comme je suis une eternelle insatisfaite , j'ai du mal a considérer qu'un terrain et "Terminer" . C'est plus fort que moi , j'y reviens toujours , et plus je mis sens comme chez moi , plus le bazard envahie l'habitation . Comme si j'y jeter des graines de "vie" qui poussé comme par magie .✨🪄
✨Un enorme merci comme toujours au " Incroyables " créateurs CC sens qui mon jeux n'aurais pas la même saveur ...🫶🏻✨
Mon coeur Balance entre Gshade et Reshade , comment se decider , Gshade et tellement fabuleux pour la photo .. 📸
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aurevoirmonty · 7 months ago
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Beaucoup parmi nos cercles connaissent bien l'empereur Julien, l'empereur romain qui fut le dernier empereur à rejeter le christianisme et qui autorisa un large renouveau de la vraie religion dans l'Empire. Julien est né dans une famille chrétienne, il était apparenté à l'empereur Constantin et, parce qu'il rejeta le christianisme, il est communément appelé par les chrétiens Julien l'Apostat. Ce que beaucoup ignorent, cependant, c'est que Julien fut persuadé par le tuteur esclave de son grand-père, Mardonius. Mardonius était un homme gothique, et il resta païen toute sa vie. Mardonius, en tant qu'esclave, fut ordonné par le grand-père de Julien de devenir un érudit de la tradition hellénique. Après la mort de l'empereur Constantin, son fils Constantius II usurpa le trône et massacra de nombreux membres de sa propre famille pour prendre le contrôle, y compris le père du futur empereur Julien. Devenu orphelin, ce fut Mardonius qui instruisit Julien dans les traditions, de Homère à Platon, ignorant les ordres de l'empereur chrétien Constantius II, qui ne voulait pas que Julien devienne savant dans ces domaines. Mardonius risqua non seulement sa position, mais peut-être même sa vie. Une histoire incroyable suivit, bien sûr, mais qui n'aurait pas été possible sans le courage et le caractère vertueux de cet homme platonicien germanique, Mardonius.
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alexlacquemanne · 7 months ago
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Avril MMXXIV
Films
La Course à l'échalote (1975) de Claude Zidi avec Pierre Richard, Jane Birkin, Michel Aumont, Marc Doelsnitz, Amadeus August, Henri Déus, Luis Rego et Catherine Allégret
La Septième Cible (1984) de Claude Pinoteau avec Lino Ventura, Lea Massari, Jean Poiret, Elizabeth Bourgine, Béatrice Agenin, Robert Hoffmann, Jean-Pierre Bacri, Roger Planchon et Francis Lemaire
Pierrot le Fou (1965) de Jean-Luc Godard avec Jean-Paul Belmondo, Anna Karina, Graziella Galvani, Dirk Sanders, Jimmy Karoubi, Roger Dutoit, Hans Meyer, Samuel Fuller et Raymond Devos
Downton Abbey II : Une nouvelle ère (Downton Abbey: A New Era) (2022) de Simon Curtis avec Hugh Bonneville, Maggie Smith, Elizabeth McGovern, Michelle Dockery, Nathalie Baye, Allen Leech et Tuppence Middleton
Orgueil et Préjugés (Pride & Prejudice) (2005) de Joe Wright avec Keira Knightley, Matthew Macfadyen, Simon Woods, Kelly Reilly, Rosamund Pike, Carey Mulligan, Talulah Riley, Donald Sutherland et Brenda Blethyn
Les Pleins Pouvoirs (Absolute Power) (1997) de et avec Clint Eastwood et Gene Hackman, Ed Harris, Laura Linney, Scott Glenn, Dennis Haysbert, Judy Davis et Penny Johnson Jerald
Prêt-à-porter (1994) de Robert Altman avec Marcello Mastroianni, Sophia Loren, Jean-Pierre Cassel, Kim Basinger, Chiara Mastroianni, Stephen Rea, Anouk Aimée, Forest Whitaker, Julia Roberts et Tim Robbins
Un jour (One Day) (2011) de Lone Scherfig avec Anne Hathaway, Jim Sturgess, Tom Mison, Rafe Spall, Jodie Whittaker, Romola Garai, Joséphine de La Baume et Patricia Clarkson
Adaline (The Age of Adaline) (2015) de Lee Toland Krieger avec Blake Lively, Michiel Huisman, Kathy Baker, Harrison Ford, Anthony Ingruber, Ellen Burstyn, Amanda Crew et Richard Harmon
Séries
Coffre à Catch
#161 : La DX à la ECW ?? - #162 : Summerslam 2009 en approche! - #163 : William Regal nous régale ! - #164 : Les chevaliers des 1000 likes ! - #165 : Qui se cache derrière le masque du Hurricane ??
Castle Saison 5
Pour le meilleur et pour le pire - Une soirée qui tue - Le Vice et la Vertu - Un choix cornélien - Faux-Semblants - La Cible - La Chasse - Morts de peur - Un passé insoupçonné - La Vie des autres - À la recherche de l'homme-singe - Protection rapprochée - Toute une histoire
Maguy Saison 3
Mal de maire - Chambre accouchée - Jument comme tu respires - Téléphone qui croyait prendre - Impair et deux belle-mères - L'éminence grippe - Sauve qui pneu ! - Voir un petit coup - Message californien - Le coffre effort - Kilt ou double - Rumeur au cerveau - Décibel et tais-toi - Le magicien d'hypnose - Cosmétiques en toc - Des plaies et des noces - Pub, pub, pub… hourrah ! - Un chiffon, fon, fon… - La layette, nous voilà - Gare au gourou ! - Noces à ronger - Talisman comme un arracheur de dents - La rosière arrosée - La strip-teaseuse de bonne aventure - La clé des mensonges - Surprise patrie - Le sponsor en est jeté - Ovni soit qui mal y pense - Adam et chèvre - Jerôme sweet Jerôme - Isabelle et la bête - Tel Pierre, tel fils - Apocalypse mômes - Les dons de la mère - La ruée vers l'art - La SICAV se rebiffe - Mort aux rafles - Bretteville au trésor - De briques et de brocs - Olé concentré - Dégâts des os - L'émoi d’août
La croisière s'amuse Saison 4, 5
Chapeau bas - La Voisine - Le Professeur - Jalousie - Bon Voyage - Une belle amitié - Qui perd gagne - Les Sirènes - Personnalité, vous avez dit personnalité ? - Les Jardins - L'habit ne fait pas la fille - Ne jouez pas avec les inconnus - Quelle classe - Nous étions deux - Incroyable Isaac - La Fille à papa - La Toque - Vicky s'amuse - Les trois font la paire : première partie - Isaac radioactif - Zeke et Zelda
Meurtres au paradis Saison 13
Carton plein - Un plat qui se mange froid - Court-circuit - Question d'avenir - La liste de souhaits
L'autre côté du ring Saison 3
Le procès des stéroïdes - Brutal : le FMW d'Onita - Extrême et obscène : l'XPW de Rob Black
Inspecteur Barnaby Saison 23
Qui sème le vent - Effet domino
Biographies WWE Saison 2
Wrestlemania I
Alfred Hitchcock présente Saison 6,7
Le voleur plein de bonnes intentions - Instinct de survie
Kaamelott Livre V
Le Dernier Jour - Le Royaume Sans Tête - Jizô
Commissaire Moulin Saison 1
Ricochets - La surprise du chef - La Peur des autres
Top Gear France Saison 9
Ceux qui font du rallye - Ceux qui sauvent la planète - Ceux qui deviennent gangsters - Ceux qui ont fait n'importe quoi
Les Brigades du Tigre Saison 3
Bonnot et Compagnie - L'Homme à la casquette - Don de Scotland Yard - Le Cas Valentin - Le Crime du Sultan - L'Ère de la calomnie
Messieurs les jurés
L'Affaire Varney
Spectacles
Mademoiselle (1982) de Jacques Deval avec Jean Meyer, Rosy Varte, Jacqueline Jehanneuf, Anne Rondeleux, Bruno Constantin, Maurice Risch, Nicole Chollet, Dominique Blanche, Florence Fors, Jacques Maury et Bertrand Gohaud
The Morricone Duel (2020) du Danish National Symphony Orchestra
Live by Request: Earth Wind & Fire (1999)
Une femme trop honnête (1978) de Georges Vitaly avec Judith Magre, Bernard Lavalette, Francis Lax, Danièle Deray, Madeleine Barbulée, Jacques Verlier, Maurice Teynac et Christiane Muller
Daho Pleyel Paris (2008)
Livres
La commode aux tiroirs de couleurs d'Olivia Ruiz
Détective Conan, tome 21 de Gôshô Aoyama
Le privé d'Hollywood de François Rivière, José-Louis Bocquet et Philippe Berthet
Kaamelott, tome 4 : Perceval Et le Dragon d'Airain d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Benoît Bekaert
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