#il se chauffe beaucoup trop
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Des barres je suis arrivée dans ma nouvelle ville en me disant "Allez internat studieux on se fait un gros CV et on repart, on s'attache pas", moins d'un an après je me retrouve avec un mec qui me fait des TARTES AU PAMPLEMOUSSE MERINGUÉES WESH
#il se chauffe beaucoup trop#mais c'est un interne de pharma aussi il a trop de temps libre#mission : ne pas tomber amoureuse
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Êtes-vous prêts à renoncer à certaines choses pour sauver la planète ? L’urgence écologique n’est plus camouflable. Les faits sont réels et leurs conséquences terribles pour l’avenir de la planète.
L’Homme est-il devenu trop égoïste ? Embourbé dans sa routine quotidienne et recentré sur lui-même, l’Homme moderne se sent rassuré en possédant. Chacun fait de son mieux de son côté. Des grandes marches s’organisent pour défendre la planète. Ban Ki-moon a dit « Nous sommes la dernière génération qui peut changer le cours du changement climatique, et la première qui doit vivre avec ses conséquences ».
1. Consommer moins de viande l’idée de devenir végétarien, végétalien Notre façon, de nous alimenter n’est plus vitale, elle relève d’un besoin créé par la société de consommation, engendrant ainsi une multitude de maladies. L’obésité et le diabète en tête.
2. Vous débarrasser de votre voiture ? La vendre pour vous déplacer grâce aux transports en commun. En seriez-vous capable ? La voiture est accusée de dégager 2,5 tonnes de CO2 par an en moyenne. Aujourd’hui, le parc automobile mondial ne cesse d’augmenter, étant en passe d’atteindre les 2 milliards, selon Carfree.
3. Ne plus prendre l’avion ? Ilest polluant, c’est indéniable. Les trajets nationaux par les airs devraient être uniquement réalisés en cas d’urgence.
4. Mieux consommer ? Il s’agit là de l’effort le plus simple à faire et du point de départ lorsque l’on souhaite engager une démarche plus écologique au quotidien. Mieux consommer a des répercussions au moins sur trois facteurs : économique, écologique et sanitaire.
5. À réduire votre garde-robe ? La tendance est au minimaliste elle fait des adeptes dans le monde entier.
6. Consommer l’eau de façon raisonnable. Prendre un bain coûte non seulement beaucoup d’argent, mais gaspille aussi beaucoup d’eau. Les douches restent la meilleure alternative pour se laver. De nombreux crédits d’impôt ou aides sont maintenant alloués aux travaux de réfection du mode de chauffage d’eau. Chauffe-eau thermodynamique, chauffe-eau solaire permettent de réaliser de véritables économies, rentabilisant rapidement l’investissement initial.
7. Se rendre dans les magasins solidaires pour l'achat des biens, de fournitures meubles électroménagers, et les vides greniers qui regorgent de trésors
8. Utiliser des gourdes au lieu des bouteilles en pet
9. Sensibiliser vôtre famille dès a présent elle vous remerciera
10. Dénoncer les outrances des multinationales de l'alimentation, les aberrations des industries, les politiques qui sont les premiers fossoyeurs de nos lendemains
11. Vous voilà averti à vous de jouer
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16 août 2023
Quelle merveilleuse journée …
Nous avons réveillé les ados plus tôt que d’habitude histoire de partir en ballade vers 11h… l’idée était de redescendre la rivière pour découvrir un peu l’environnement ! C’était Magnifique ! Magique ! La rivière est vraiment très belle, l’eau est parfaitement claire et propre. Chaque virage renferme une nouvelle image incroyable ! On était un peu hors du temps…
Bon, il faut savoir qu’ici l’eau est très très froide ! Vraiment très beaucoup immensément froide ! Bref, je n’y vais pas de mon plein gré … à trop se resserrer j’ai peur que mes chairs ne laisse plus de place à mon âme… mais ici pas le choix, pas d’autre passage, j’ai dû y aller… et j’avoue que cela à tant procurer de bonheur à mes 7 compères de me voir tant souffrir que c’était même bon ! Mais chut ne leur dites pas !
D’ailleurs vous pouvez observer la méthode Marguerite quand elle est frigorifiée… car si la rivière est froide, le soleil tape sévère et chauffe les galets !
Mais quelle chance on a !
Et puis nos ventres nous on poussé à remonter et cuisiner… puis on a fait la sieste … et des courses… et relâché le treizième Loir… et pris l’apéro… et cuisiné à nouveau… couscous saucisses au BBQ et bananes au chocolat ! Oh waw! Et puis hop ! Cinéma sur le camion ! On a attaché un drap sur la benne et sorti le projo, le salon, les couvertures… on a d’abord regardé le Palio, la mythique course à cheval sur la place de Sienne, et même deux fois car c’était fou ! Et puis Dragons 2… La soirée s’est fini sous les étoiles filantes à 1h du matin… Oui oui on récupérera à la rentrée ! Mais le bonheur n’attend pas, faut le choper quand il est là et pour ça on est doué !
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Les triplés, l’anniversaire de maman
Luxembourg, quartier Deck State – 2023
⚔ Je les bouscule sans ménagement ! Merde ! Merde ! Merde ! Un regard à ma montre, constate que je vais être en retard pour l’anniversaire de maman. ! J’ai à trouver une solution à cette marée humaine qui se déverse dans les rues de Deck State après le travail que se soit pour manger, s’amuser ou rencontrer des amis ou l’âme sœur. Déjà, les néons des différentes enseignes brillent de mille feux, les speakers balancent divers sons et les restaurants offrent une expérience olfactive très – voire trop – riche. Chacun tente d’attirer sa clientèle. Mon regard cherche une issue. Mais au lieu de trouver un chemin jusqu’au bout de la rue, il accroche à l’enseigne d’un restaurant : Red Eye.
Je connais le propriétaire très bien, un natif luxembourgeois mais aux origines chinoises. Il a voulu renouer avec ses racines en invitant la Chine traditionnelle à nos assiettes. Il a connu un début très compliqué, refusant d’adapter les plats d’Asie aux papilles européennes. Heureusement, il y a eu « nous ». Je me glisse dans la salle, ignore la serveuse et fonce tout droit aux cuisines. Le chef fulmine, s’énerve et exige que je parte. Le maître des lieux apparaît, me reconnaît et invite aussitôt son cuisinier à plus de modération. Ils se chuchotent, ils se murmurent. Tous deux adoptent un regard plein de peur et de déférence. Je n’aime pas, mais c’est nécessaire pour mon boulot.
« Je vais faire une omelette. Il me faut des œufs, vos épices, un bol, un fouet, une poêle et de l’huile d’olive ».
🍜 Il y a mille et une façon de faire une omelette. Si nous désirons les rendre épais et voluptueux, il faut séparer le blanc et le jaune d’œuf, monter le blanc en neige et l’incorporer délicatement au jaune. Si nous souhaitons apporter un petit goût de fumé, un passage par le four après une cuisson dans une poêle grasse est une idée parmi d’autres. Il ne faut pas oublier que nous pouvons rehausser son goût avec bien des ingrédients : les crèmes, les épices, les légumes, les viandes … Enfin, l’omelette peut autant être un plat principal qu’un accompagnement.
Là où beaucoup pense que les pâtes sont le plat royal de l’étudiant, du fainéant et du pauvre, je ne jure que par les œufs. Œufs durs, œufs brouillés, œufs pochés, omelette nature, omelette légume, omelette viande, omelette avec riz, omelette avec pain, omelette incorporée dans des recettes comme pad-thai ou des nouilles asiatiques, accompagnement allant des féculents aux salades vinaigrettes … Je maintiens, les œufs, c’est la vie. D’ailleurs, ne sommes-nous pas issus d’œufs nous-même ?
Ce soir, pour l’anniversaire de maman, j’ai envie d’une omelette simple avec quelques épices rouges, c’est-à-dire toutes celles qui ont une couleur chaude : curry, curcuma, paprika, piment… Évidemment, je ne mêle pas tout au risque de m’empoisonner stupidement. Dans un bol, je mélange indifféremment blanc et jaune d’œuf, y ajoute une pincée de sel, de poivre et de curry confectionné par mes petits soins. Juste à ma gauche, l’huile d’olive chauffe doucement dans une poêle d’une taille moyenne et usée par le temps. J’y verse mon mélange, patiente avant pousser ici et là l’omelette. Et elle est prête pour dégustation.
💣 Nous sommes des triplés. L’aîné et le plus jeune sont des garçons. Je suis l’unique fille, celle du milieu.
Le numéro 1 est devenu un chef étoilé, ayant arpenté le monde derrière mille et une saveurs. L’ironie veut qu’il le soit devenu à cause de notre maman. Elle nous a légué son livre de recette ; ou devrais-je dire son livre d’histoire. Chaque recette est très approximative mais agrémentée d’une belle description sur son ressenti ou sur un morceau de son existence. Notre grand frère a passé un nombre incalculable d’heures à essayer de retrouver la saveur de notre enfance, développant une véritable passion pour la cuisine de fil en aiguille. Aujourd’hui, à sa quarantaine, il est dorénavant un vieux ours retraité derrière un petit restaurant, laissant les jeunes chefs ambitieux menés la barque de sa belle chaîne de restauration.
Le numéro 3 a préféré se mêler aux mauvaises histoires. Je ne saurais pas dire ce qu’il fait et avec qui. Ses histoires changent au gré de ses caprices et des visites aux locaux des polices. Quoique, ces dernières années, il ne s’y rend plus. S’est-il assagi ou est-il devenu plus sage ? Je ne saurais pas le dire. Par contre, ce que je sais est que je n’ai pas besoin de l’appeler pour deviner qu’il va être en retard pour l’anniversaire de maman. Il a un sens de la planification très catastrophique mais arrive toujours à sortir son épingle du jeu. À défaut d’être un génie, il est aussi rusé qu’un renard. Il a développé l’intelligence de la rue.
Quant à moi, que dire ? Je suis moi-même une mère de famille, de trois petits enfants, et mariée à un homme depuis une vingtaine d’années. Nous sommes rassemblés autour de la table, autour d’une omelette faite par mes soins. Avant que nous nous jetions dessus, j’ouvre le livre de recette de ma chère mère et lis le petit passage. Alors, je referme, sourire aux lèvres.
« Bon anniversaire, Maman ».
Entre temps, j’envoie une photo du plat à mes frères et, sourire aux lèvres, je constate que nous avons tous eu la même idée. Je ne doute pas que maman sourit de là où elle, ébahie de ce lien qui nous unit. Du moins, je l’imagine ainsi du haut de son petit nuage, au Paradis, où elle a décidé d’élire domicile il y a exactement vingt-neuf ans.
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10 octobre
On m’a encore volé ma Blue Eyes ! Inacceptable.
Du coup, c’est Queen que je suis allé chercher au pré. Ça a été plus facile que la dernière fois, elle s’est laissée approcher et licoler sans protester. Par contre, au pansage, elle avait l’air moins à l’aise que l’autre semaine. J’avais pas l’impression qu’elle était juste grincheuse, mais que quelque chose la dérangeait, sans pour autant réussir à trouver quoi. Peut-être qu’elle était un peu raide ou fatiguée ?
Ce qui est cool, c’est que j’ai eu plein de temps pour la détendre avant d’entrer dans le sujet du cours. Mes petites réussites pour ce travail en autonomie :
-des transitions pas>arrêt juste à l’assiette, sans toucher aux rênes, juste tout dans le dos et les abdos -des transitions trot>pas très rapprochées qui passaient plutôt bien. Je m’aidais des piquets de la lice pour me donner des repères : d’abord, trot, et au pas sur deux piquets, puis trot, ensuite, un seul piquet, et pour finir, transition trot>pas>trot sur un demi-piquet (ce qui veut dire qu’on a à peine le temps de repasser au pas qu’il faut déjà repartir au trot, il faut un cheval vraiment attentif !)
Par contre, Queen avait toujours un peu la tête à droite, peu importe que j’essaie d’aller droit ou de tourner d’un côté ou de l’autre, tant et si bien que si je voulais avoir les mains bien devant moi, elles n’étaient pas vraiment à égale distance de part et d’autre du garrot. Moi qui avais lu un chapitre sur la dissymétrie des chevaux juste avant le cours... Ça avait aussi une incidence sur les tournants, elle tournait comme un bateau en "tombant" dans les coins.
Bon, le cœur du cours portait sur des lignes droites. Quatre barres au sol, qu’on a d’abord passées au pas, en arrivant et en continuant bien droit jusqu’au bout, et en essayant de maintenir la cadence. Au début, c’est pas terrible, on ralentit beaucoup en arrivant sur les barres et Queen tape un peu dedans. J’ai fini par trouver un dosage qui avait l’air de marcher, en remettant juste un peu de jambes, mais pas trop, le temps de franchir les barres. C. a rapidement surélevé un tout petit peu les barres pour inciter les chevaux à vraiment faire l’effort de lever les pieds.
Ensuite, même chose au trot. Ça secoue et ça perturbe dans l’équilibre, là encore, pas facile de trouver juste le bon dosage, pour ne pas arriver trop vite et avoir le temps de comprendre ce qui se passe, mais ne pas être tellement mou qu’on en perd la cadence.
Après une petite pause le temps de gérer bébé Joya qui était fort agitée, on a entamé le dernier exercice. Normalement, ça devait consister à passer les barres au trot assis. C. m’a dit que pour éviter que Queen chauffe trop, je pouvais passer les barres au pas. Du coup, je prends le trot (assis) le long de la lice. Quand on tourne pour venir face aux barres, je sens bien que Queen commence à gagner en impulsion et pourrait bien se précipiter un peu. Je reste au trot, et puis, dos, abdos, on repasse au pas (mais un vrai bon pas actif) pour franchir les barres, et au trot à nouveau. En touchant pas ou très peu aux rênes. C’était cool !
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Erreurs courantes en pâtisserie (et comment les corriger)
Avez-vous déjà essayé de préparer quelque chose à partir de zéro ? La préparation d'un gâteau peut être un processus merveilleux et gratifiant. Mais elle peut aussi s'avérer difficile et incroyablement frustrante, laissant même le chef le plus pondéré sur sa faim. Lire aussi��: « Les erreurs les plus fréquentes en pâtisserie et comment les éviter »
Pour le meilleur ou pour le pire, la pâtisserie est une science exacte. Cela signifie que même les plus petites erreurs - celles dont vous pensez qu'elles passeront inaperçues - feront que le produit final ne sera pas du tout à la hauteur. Et il est souvent difficile de déterminer exactement ce qui n'a pas fonctionné.
Vous avez utilisé tous les bons ingrédients, vous avez suivi les étapes, vous n'avez pas fait d'erreurs flagrantes... Alors, que s'est-il passé ?
Même les mésaventures les plus courantes en matière de pâtisserie peuvent être facilement évitées grâce à une bonne connaissance du métier. Poursuivez votre lecture pour découvrir notre liste d'erreurs courantes en pâtisserie (et nos conseils et astuces pour les corriger !) afin de vous assurer que vos futurs cupcakes, biscuits ou roulés à la cannelle seront parfaits à chaque fois !
1. Cuire à la mauvaise température
Combien de fois avez-vous regardé une recette en vous disant : "Je préchaufferai le four plus tard" ? L'un des plus grands crimes en matière de pâtisserie est de cuire à la mauvaise température.
La plupart des gens ne s'en rendent pas compte, mais des températures de four incorrectes peuvent entraîner toute une série de problèmes de cuisson, notamment des gâteaux inégalement cuits et des biscuits trop cuits et trop croquants, alors que la recette est censée donner des biscuits moelleux.
Même si vous avez préchauffé le four à temps, il y a de fortes chances que la température de votre four ne soit pas aussi précise que ne l'indique le cadran. Chaque four a ses propres particularités, et chaque four chauffe différemment et souvent de manière inégale.
La solution : Il existe de nombreuses façons de régler la température de votre four. En plus de préchauffer le four à temps, installez un thermomètre à l'intérieur du four. Il vous aidera à déterminer la température réelle de votre four.
Vous serez peut-être surpris de constater la différence ! De plus, lorsque la cuisson est en cours, évitez d'ouvrir la porte trop souvent, ce qui ferait fluctuer la température de votre four (voir le conseil n° 3 !).
2. Ne pas mesurer les ingrédients
Mesurez-vous les ingrédients à l'œil nu ? Même les boulangers expérimentés mesurent souvent chaque ingrédient en fonction de son poids. En fait, la plupart des mesures d'ingrédients doivent être précises afin d'obtenir les réactions chimiques appropriées. Des mesures précises des ingrédients garantissent également des résultats constants à chaque fois.
La solution : Utilisez des mesures métriques ou une balance pour obtenir des mesures précises à chaque fois !
3. Vérifier trop souvent vos produits
Ouvrir le four trop fréquemment peut être préjudiciable à vos produits de boulangerie. Chaque fois que vous ouvrez le four, de l'air chaud s'échappe et fait baisser la température globale du four. Dans le même temps, de l'air froid s'engouffre dans le four, ce qui modifie complètement la température globale du four.
Vous risquez de voir votre gâteau s'effondrer ou vos produits de boulangerie cuits de manière inégale. Il faudra beaucoup de glaçage pour cacher l'énorme cratère au milieu de votre gâteau !
La solution : N'ouvrez pas la porte de votre four sans but précis ! À moins que vous ne fassiez tourner vos produits de boulangerie ou que vous ne vérifiiez que tout est bien cuit, il est préférable d'allumer la lumière du four et d'observer par la fenêtre.
4. Vos ingrédients sont à la mauvaise température
Lorsqu'une recette demande du beurre fondu ou des œufs à température ambiante, il est important de prendre note de ces détails. Comme nous l'avons déjà mentionné, la pâtisserie est une affaire de précision, et vous ne pouvez pas remplacer du beurre fondu par du beurre à température ambiante, et vice versa.
Il peut être tentant de mettre vos ingrédients au micro-ondes ou d'utiliser du beurre froid, mais nous vous promettons que sauter des étapes ne peut que nuire au produit final (croyez-nous, nous l'avons fait !).
La solution : Lisez vos recettes à l'avance. Si la recette demande du beurre ou des œufs à température ambiante, placez-les sur le comptoir quelques heures à l'avance.
5. Votre pâte ne lève pas
Avez-vous attendu quelques heures pour constater que votre pâte n'a pas doublé de volume ? Si votre pâte ne lève pas, il se peut que vous utilisiez de la levure morte ou périmée, OU que vous l'ayez tuée en la chauffant trop.
La cuisson à la levure peut être compliquée, surtout pour les nouveaux boulangers. Après tout, il s'agit d'un produit totalement différent ! Lorsque nous cuisinons avec de la levure, nous aimons d'abord l'activer. Cela signifie qu'il faut chauffer légèrement l'eau, le lait ou le liquide de son choix, ajouter un tout petit peu de sucre (le cas échéant) et ajouter la levure.
La solution : Avant de préparer vos pâtisseries, vérifiez la date de péremption de votre levure pour vous assurer qu'elle n'est pas périmée. Pensez à activer votre levure avant de mélanger vos ingrédients. Si votre pâte est déjà en cours de fermentation, envisagez de la placer dans un endroit plus chaud pour favoriser l'éclosion de la levure.
6. Nothing is baking evenly
Not every oven is created equal! The heat within your oven is almost guaranteed to be uneven. Parts of your oven, for example, may have hotter or colder pockets of air. As a result, you may find that your baked goods aren’t coming out of the oven completely baked.
The fix: Rotate your baked goods at least once during the baking process to ensure an even bake.
7. Your dough or batter is too tough
Many bakers believe that mixing their ingredients for several minutes, or longer, ensures a better final product. But that couldn’t be farther from the truth! Mixing your dough on high for too long can lead to over-activated gluten, which can in turn lead to a tougher or chewier dough.
The fix: Mix your dough on a slower speed until just combined, unless the recipe states otherwise. Another solution: mix your wet and your dry ingredients together separately, and then combine.
a piece of cake on a plate
Wrap Up
There’s no doubt about it: baking can be complicated! However, if you understand some of the baking fundamentals and some of the most common mistakes you can make, you’ll be a master in no time! Happy baking! :)
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Confidence #9
Devinez qui est-ce qu'on a encore pris pour une poire???
C'EST BIBI.
Je pense que les histoires d'amour c'est pas un truc pour moi!!! Bon passons...
J'ai pris une avance monstrueuse sur la programmation de mes posts/citations/photos. "J'aime La Grenadine" est habillée jusqu'à janvier 2023. Je me prends tout de même une "petite" pause réseaux sociaux du 13 juillet au 21 août... Because, je le mérite, hein! ET SURTOUT... Il fait beaucoup trop chaud, mon ordinateur chauffe😑 et mon bureau se transforme rapidement en micr'onde. Durant cette période je vais uniquement m'occuper des commandes sur le shop et la boutique etsy.
Niveau conduite (10 ans de permis dont 8 sans conduire)... J'ai beaucoup plus confiance sur la route. Les créneaux m'angoissent toujours. Les trottinettes sont ma bête noire... Et je ne vous parle pas des Tesla. NO CLIGNOTANTS. Heureusement que je ne suis pas une énervée de l'accélérateur!!!
Voilà, voilà,
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Le retour des saisons…
Le mois de novembre avance… Déjà, vous retrouvez (pour ceux qui en ont le courage !) le rythme quotidien de mes divagations… et moi, le devoir joyeux de trouver chaque jour une idée originale et pas trop idiote, à partager. J’ai peu de mérite : les vicissitudes du temps et la nullité des gens ‘’aux manettes’’ me facilitent le boulot : nous vivons une époque idéale, pour un “blogueur”. Comme aux Galeries Lafayette, avant… “Il se passe toujours quelque chose” ! Même le temps semble avoir le temps, de temps en temps, de perdre son temps : la météo se déguise –et Halloween n'y est pour rien– en sujet de Blog ! Aux innocents, les mains pleines !
Par exemple, le mois d'octobre, celui qui vient de nous quitter, a été solennellement déclaré le mois d'octobre le plus chaud de toute l'Histoire des mois d'octobre les plus chauds parmi les octobres chauds… en tout cas depuis que des savants Cosinus ont eu la bonne idée de rapprocher leur calendrier de leur thermomètre (atmosphérique. Ceux qui ont poussé l'expérience plus loin ne s'en sont pas vantés : c'eût été mal… séant !). Mais mine de rien, on parle là d'une différence de “ ± 3,5 degrés Celsius” par rapport à la moyenne de tous les mois d'octobre depuis que le mois d'octobre existe. Même si personne ne peut imaginer si c'est beaucoup, trop ou pas assez (en fait, là comme ailleurs, on croit ce que la presse raconte… même si on sait que c'est, souvent, n'importe quoi !), il paraît qu'il y aurait là de quoi “mettre le feu au lac”. Mais je dois être un cas désespéré : moi-même-qui-vous-cause-personnellement, j'ai trouvé ça vachement agréable. ! (NB : on peut noter que notre gouvernement a pris goût à la canicule, puisqu'il maintient la température des ministères et des Chambres à 49-3 , quasi en permanence –et tout cela au nom de la vraie démocratie, de la séparation des pouvoirs et du parlementarisme !).
Loin de moi l'idée de minimiser en quoi que ce soit ces belles performances que je salue très bas (je serais bien incapable d'en faire autant !), mais il me semble équitable, comme le commerce du même nom, de m'excuser de tant de siècles de société patriarcale (qui auraient, dit-elle, interdit à Sandrine Rousseau de tout polluer avec ses idées “à la con”), et de rappeler que les mois précédents n'ont pas été mauvais, eux non plus. On peut même avoir une pensée émue pour ces trimestres pleins de canicules “XXL”. Seul parmi ses dix frères (on verra de quel côté novembre et décembre pencheront, le temps venu), le mois de Janvier 2022 aura été le seul à être légèrement sous-performant, mais on ne va pas lui en savoir gré : lui seul allait en sens contraire du “prêt-à-penser” catastrophiste ambiant !
Mais revenons à cet octobre (ce 10 ème mois de l'année qui porte le numéro… 8 !). En résumé, “ça chauffe”, pour nous, et pas seulement du côté du thermomètre (atmosphérique : bis repetita s'imposent !) et vers Charm el-Sheikh : ce mois si chaud, a vu le gouvernement avoir une attitude glacée avec les deux assemblées, dont une Assemblée nationale en surchauffe comme rarement, avec des “49,3” (il ne s'agit pas de degrés C mais de C…onstitution) qui tombaient comme s'il en pleuvait (si j'ose dire !), des ‘’motions de censure’’ aussi nombreuses que les “épisodes cévenols”, des déclarations “tumulte et tueuses”, des insultes cumulo-nimbiques, des prises de bec variables et anti-cycloniques, des protestations très brumeuses, des procès d'intentions venteux et des accusations en rafales allant jusqu'à la menace de sécession neigeuse et de scission tempétueuse. Un épisode de tornade a même fait craindre une dissolution anticipée… mais la crainte (réelle et méritée !) de perdre des prébendes exagérées (et imméritées, elles), a tout fait rentrer dans l'ordre : rêver, c'est bien, savoir compter, c'est mieux ! Pour finir, on a compris que, pour les grands esprits étriqués de la Nupès, il n'y a pas d'insulte plus grave et plus raciste que “aller en Afrique” –'Faudra qu'on m'explique, un jour !
Parce que même pendant un mois d'octobre qui a battu record sur record, tout faire péter, tout exploser, à commencer par les thermomètres qui mesurent les variations du climat politique (en très nette aggravation, ces temps derniers. A se demander s’ils ne croient pas au GIEC !), c'est prendre des risques que nos prébendiers sans foi ni loi (mais avec une intuition de malheurs possibles pour leur carrière et leurs gros appétits) ne sont –sagement pour une fois– pas prêts à affronter. Comme quoi, il ne faut jamais désespérer complètement : même des députés de la Nupes ou de l'ex-LREM devenus REnaissance (mais pas plus malins pour autant) sont capables d'arrêter de dire et de faire n'importe quoi, si le gros temps menace… pour eux !
Au moins, le comportement iso-saharien de ce mois d'octobre nous aura appris quelque chose : il n'y a pas que l'immigration incontrôlée (ou prétendue contrôlée par Darmanin, ce qui est infiniment plus grave pour la France, les français, le bon sens et la température dans les zônes dites “chaudes” de nos villes et de nos banlieues… de plus en plus ‘’chaudes’’ et de moins en moins ‘’nôtres’’, si je re-ose !) qui représente un danger venant du sud ! Mais puisqu'on parle de saharien, pourquoi ne pas glisser tout naturellement, de là, sur le problème de l'immigration, pour annoncer et confirmer que nos idiots-au-pouvoir font tout ce qu’ils peuvent, humainement, pour que ce problème, en théorie encore soluble, devienne dans des délais très courts, un écheveau in-démerdable… qui va donc faire le gros des titres de tout plein de nos “billets” à venir ? Dès demain, peut-être ? “Chaud, devant” !
H-Cl.
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LUNDI 1er FÉVRIER 2021 – (Billet 3/3)
Quand une agricultrice écrit à Yann Arthus Bertrand… et bien ça chauffe ! Elle a des arguments et si sa lettre est peut-être un peu longue, nous avons reçu, nous, le message 5 sur 5. N’en ratez pas un mot. Nous remercions Diane (H. de S.) de nous l’avoir transmise. Il est vrai que si nous avons une catégorie de la population en horreur, c’est bien les “bobos” ! C’est simple, on les exècre !!!
___________________________
Claire est agricultrice en Saône et Loire (élevage bovins allaitants, porcs plein air, maraîchage, agriculture biologique). Elle adresse ici un message « nécessaire » au photographe dont le discours à charge contre une certaine agriculture est devenu inacceptable.
Monsieur Arthus Bertrand,
La presse unanime annonce avec enthousiasme la diffusion imminente de votre dernier (?) film « Legacy » qui sera diffusé sur M6 dans quelques jours.
Au vu de la bande annonce de votre film, bien que je comprenne qu’il s’agit d’une mise en bouche destinée à appâter le spectateur, j’ai d’abord été prise de colère, puis d’indignation. Depuis quand vous sentez-vous pousser des ailes de procureur ? Qui vous permet, apôtre de la décroissance sur le tard, familier des milliardaires, utilisateur compulsif des moyens de locomotion les plus polluants, de donner des leçons au reste de l’humanité ? Certes, personne n’est irréprochable mais votre commentaire en voix off dans ce petit teaser est un ramassis d’approximations qui viendra, une fois de plus, alimenter l’infime minorité agissante de ceux qui veulent la peau des agriculteurs en général et celle des éleveurs en particulier.
Où avez-vous filmé les images terrifiantes de ces concentrations de bovins ? Pas en France, bien sûr, mais le film ne le dit pas. Vous laissez croire que tous les bovins seraient soumis à un régime d’injections chimiques de toutes sortes. Ignorez-vous que c’est interdit chez nous ? Vous semblez trouver scandaleux que la consommation mondiale de viande ait été multipliée par 3 en 40 ans. Avez-vous bien réalisé que, dans le même temps, la population mondiale a doublé et qu’elle se répartit comme suit : 59,5 % en Asie et 17,2 % en Afrique, loin devant l’Europe qui représente moins de 10 % ?
Laissez-moi vous apprendre que dans cette même période la consommation de viande en Chine a été multipliée par 12, celle du Brésil par 2 et que, depuis 2004, l’Inde est devenu le premier producteur mondial de lait. Que vous en soyez désolé n’y change rien : il se trouve que les populations des pays émergents ont aussi envie d’avoir accès à une nourriture autrefois réservée aux « riches » et qu’ils en acquièrent peu à peu les moyens. Au nom de quel principe vous sentez-vous autorisé à leur faire la morale ? Auriez-vous le toupet de proposer que, pour lutter contre le réchauffement climatique, il conviendrait que le Botswana mette fin à une politique agricole qui tend à l’autosuffisance alimentaire de sa population ?
Venons-en au passage le plus ridicule de votre texte. Vous prétendez qu’un hectare cultivé peut nourrir deux carnivores ! De quels carnivores parlez-vous ? Je crois comprendre que vous faites allusion à l’être humain dans une pirouette sémantique destinée à flatter vos amis animalistes. Car vous ne pouvez pas ignorer que, d’une part, l’Homo Sapiens est omnivore (sinon il ne pourrait pas choisir de devenir végétarien) et, d’autre part, qu’on ne verra pas de sitôt vos chers lions brouter la savane. Au passage, vos deux carnivores ont un solide appétit car un hectare, c’est à peu près ce qu’il faut sous nos climats pour élever un bovin. Dans mon entourage, je ne connais personne d’assez affamé pour avaler la moitié d’un bœuf (soit 200 kg) par an !
Vous semblez par ailleurs réellement croire que le même hectare pourrait nourrir 50 végétariens. Ah bon ? C’est dommage, mais votre optimisme vous égare ou alors vous n’avez pas beaucoup pratiqué l’agriculture. 50 végétariens, c’est peut-être possible dans le cadre d’une agriculture ultra intensive chère aux industriels de la chimie, mais sûrement pas en agriculture biologique que vous prétendez défendre et en respectant les cycles nécessaires à la rotation des cultures. Une hypothèse plus raisonnable n’aboutirait alors qu’à la possibilité de nourrir 4 à 5 personnes sur cette surface. Mais bien sûr, asséner un slogan, ça marque davantage le spectateur qu’une leçon d’agronomie.
Cher Monsieur, il est possible que la bande annonce de votre film ne reflète pas avec exactitude le contenu de celui-ci, mais, voyez-vous, il devient de plus en plus insupportable de recevoir, à longueur de journée et par trop de canaux médiatiques, ces incessantes leçons de morale, surtout lorsqu’elles viennent d’« écologistes de salon » dont les modes de vie sont aux antipodes de ce qu’ils exigent du citoyen lambda. Et vos récents efforts de soi-disant « compensation carbone » visant à annuler l’impact écologique de vos déplacements dans les transports les plus polluants du monde ne sont rien d’autre qu’une version moderne du commerce des indulgences. C’est ce qu’on appelle s’acheter une conscience pour pas cher.
Soyez aimable Monsieur et quittez ce costume paternaliste passé de mode qui fleure la naphtaline néocoloniale. Nous sommes fatigués des discours de cette génération qui, après avoir profité sans réserve des Trente Glorieuses, s’autorise à vouloir imposer à tous une prétendue sagesse acquise bien tardivement. Vous nous assurez que vous avez un cœur. À la bonne heure.
À l’avenir, servez-vous aussi de votre cerveau pour éviter de raconter n’importe quoi. Vos images sont plus éloquentes que vous. Vous feriez bien de vous en contenter ou d’employer vos talents et votre influence à mettre un terme à la dérégulation sauvage des échanges commerciaux qui est la véritable responsable du saccage de notre belle planète !
(Source : « lagri.fr »)
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ANOTHER WRITER-MUSICIAN & ACTOR: Sam Spehard
La Dent du Crime (seconde danse) – The Tooth of crime -Vintage original, New York 2006
Hoss – Rockeur vieillissant - Le meilleur Marker du monde, style Elvis Presley ou Phil Spector il craint que les jeunes Tsiganes ne cherchent à usurper sa position. Il s'attaque souvent aux dialectes des mythes du passé, comme un tireur occidental, un gangster des années 1920 et un chanteur de blues du Delta.
Crow – Nouvelle Punk-Rock-star - Un Gypsie Marker qui cherche à détrôner Hoss. Il parle constamment dans un dialecte nouveau et élégant. Il est décrit comme ressemblant au guitariste des Rolling Stones, Keith Richards. Deuxième version : The El Caminos. J. J. Garrison vocals & David Moore drummer, Joined by guitarist Craig Chmielewski and bassist Paul Jones,
Becky Lou - La petite amie de Hoss et son Manager.
Meera – Le Savant fou - L’Astrologue qui conseille Hoss.
Ruido Ran - Un disc-jockey qui conseille Hoss en consultant les hit-parades. Il s'habille comme un maquereau.
Chaser - Le chauffeur et ami de Hoss. Pilote de Hot rod.
Doc - Le fournisseur de médicaments/médecin de Hoss.
Referee - Un arbitre
Acte I[1]
Scène : Une scène dépouillée, à l'exception d'une chaise sombre à l'aspect maléfique et au dossier haut, qui ressemble au trône d'un pharaon égyptien mais qui est simple, au centre de la scène.
(Hoss entre.)
Hoss : Chanson : "Tout ce que je dis peut et sera utilisé contre vous"
TOUT CE QUE JE DIS PEUT ET SERA
UTILISÉ CONTRE VOUS
Les gens me disent que j'ai l'air de l'enfer
Et bien je suis l'enfer
J'ai un orchestre de chambre de torture
À l'hôtel Delirium,
J'ai une hallucination de serpent à sonnette
Pour tordre le cou à mes compétences
Tu es mon ami
Mais je vais te tuer
Quelqu'un doit surveiller toute cette obscurité obscurité obscurité obscurité
Quelqu'un doit localiser la bombe dot com (site internet faire fric rapidement)
Quelqu'un doit sortir dans la nuit sans étoile sans étoile sans étoile
Ceux qui voudraient renverser le statu quo
L’âme comme un trou de fumée dans le ciel
Il faut pleurer, il faut pleurer, il faut y aller, il faut y aller
Ciblez le sheik arabe MK, explosion d'un ultra satellite
Tuez la douleur, il faut qu'il pleuve, il faut qu'il pleuve
Je désengagerai ta maîtrise
Jusqu'à ce que tout ce que tu aimes soit un blasphème
Alors j'entrerai dans ta bêtise
Et je déformerai hideusement ton désir
Et quand tu seras l'objet d'une complète dérision
Je ferai de toi une star de la télévision
Alors si tu veux que la gloire ai une plus grande force
Parle à ma copine Vendredi 13
Pas d’antécédents
Pas de fichiers
Se faufiler dans l'opération secrète du câble ground zero pas de zone de vol
Tout seul tout seul tout seul tout seul
C'est une histoire qui est basée sur une histoire vraie
Qui est basée sur un mensonge
Ne vous moquez pas de moi Sahib
Je suis de l'histoire ancienne
Ne vous moquez pas de moi Lucille
Je suis parti
Je suis parti
Je suis parti.
(Becky entre.)
Becky : Chauffe, Hoss. Chauffe. La voiture est là. Tu veux voir les jouets ?
Hoss : Ouais, jetons un coup d'oeil. Le bijoutier les a vérifiés ?
Becky : Propre et nickel. Il a donné son approbation. Tu sais comment il est.
(Becky présente les "armes" sur le sol : Appareils hétéroclites ; mélange étrange d'épées, de manches de guitare, de microphones, de CB, de pistolets, etc.)
Hoss : La Merc’ est prête ? [2]
Becky : Graissée, lubrifiée. Et en tapant sur les huit cylindres, Chaser l'a pousser à 180 sur l'ancienne autoroute Ventura. Il disait qu'elle n'avait pas aboyée une seule fois.
Hoss : Ouais. Il est temps qu'il arrête ces runs d'un quart de mile. Ce double-corps a le temps d'exploser. Holley a fabriqué ce carburateur à l'époque pour une raison, la performance. C’est du passé, mais il tire toujours les fesses.
Becky : C'est pas la question.
Hoss : Chaser est-il en forme?
Becky : Je ne fais pas le gumbo[3] avec Chaser. Tu le sais bien. Il reste seul.
Hoss : Tu le surveilles, n'est-ce pas ? Tu l’observes ?
Becky : Je l'ai vu pousser son bacon ce matin avec la fourchette autour de l'assiette. Je lui ai demandé si c'était là qu'il avait chopé son coup de main.
Hoss : Alors, comment il bouge ?
Becky : Pareil.
Hoss : Avait-il l'air d’être tenté par Boogie[4] ?
Becky : Il a toujours préféré Road Rankin[5], tu le sais.
Hoss : Alors, on peut y aller ?
Becky : Tu ferais mieux de vérifier le Top 50 des hommes, si j'étais toi, Hoss. L’observateur d’audience[6].
Hoss : Comment ça ?
Becky : Juste pour te donner une idée. Te chatouiller, te stimuler. Ça ne fera pas de mal.
Hoss : On a repassé tout ça, n'est-ce pas ? Il y a une semaine. Je croyais que Meera m'avait donné une voie libre ? Je n'ai pas besoin d'hésiter maintenant.
Becky : Des équipes de merde, vous savez. Toutes les deux secondes, quelque chose glisse. Il ne peut pas tout comprendre. Pour vous dire la vérité, certains de ses diagrammes remontent à la fin des années 50. Meera est une antiquité dans beaucoup de zones, Hoss. Je ne voudrais pas mordre la pomme rouge qu'il a jetée, juste parce qu'elle roule.
Hoss : Qu’il ramène son cul ici !
Becky : Très bien. Ne m’engueule pas juste pour t’avoir signalé un dingo. Je suis ta pute froide, tu te souviens ?
Hoss : Elle fait mousser son popotin ! Maintenant!
Becky : Chabadabada dragueur.
(Becky sort.)
Hoss : (seul) Pression d’enfoirés! Provocs, insinuations, infos contradictoires ! Je suis prêt à partir d’ici ! On ne peut pas se laisser enflammer par une mauvaise aide et des superstitions. J'ai besoin de points ! Ils ne voient pas ça ? Je vais gagner dans trois putains d'états ! Contrôlant plus de frontières que n'importe quel Marqueur, groupe punk. Les El Camino Boys[7]. Une bande de crétins. Ils se sont jetés sur toute cette tribu en loques – ça s’est passé quand ? Au stade Légion d'El Monte[8] ? A La Puente[9] ? Qu'est-ce que c'était ? Un fait accompli. Ils étaient répugnants, minables. Où est la vérité ici ?
(Meera entre avec Becky. il porte son attirail « prophétique » - des boîtes étranges et des appareils de projection électroniques qui ont l'air tous bricolés et quelque peu dépassés - peut-être même un vieux tourne-disque de 45 tours. Meera s'emmêle complètement dans les fils et les prises de son équipement).
Hoss :( à Meera) Très bien, le visage fermé, c'est quoi le topo ? On peut y aller maintenant ? Becky m'a dit que vous étiez en couverture.
Meera : Plutôt risqué, Hoss.
Hoss : Quoi ! Je le savais ! Je le savais ! Il y a une semaine, vous m'avez donné le feu vert ! Solide. Sans aucun doute. Maintenant, c'est plus du gâteau. C'est quoi ce changement soudain ?
Meera : Les modes, les modélisations, Hoss. Des maillages de données, des sacs de noeuds. Je cherche par tous les moyens à suivre, mais une partie de mon équipement est balayé par toutes ces nouvelles vagues. Je n'arrive même pas à lire certains de ces chiffres. Regardez. Je vais vous montrer.
(Meera commence à installer ses boîtes, à les brancher, à transférer les fils, à régler les écrans et les claviers, etc.)
Hoss : Je ne veux pas entendre ça ! Si nous avions besoin de nouveaux équipements, pourquoi n'ai-je pas été informé ? Je serais heureux de payer pour du nouveau matériel. Je pensais que nous étions à jour ici.
Becky : Un nouvel observateur, ne ferait pas de mal.
Meera : Je suis le meilleur. Hoss le sait.
Hoss : Je n’en sais rien ! J'ai la foi à 90 % du temps. Grâce à dieu !
Meera : Jetez un coup d’œil à ce que j'ai. C'est tout ce que je demande. C'est une question de techno-improvisation, Hoss. C'est la seule façon de la jouer. Toutes les données sont maintenant des infos bâtardes. De vagues vecteurs. Rien de pur. Pas de source d'essence. Tout a été effacé et marqué jusqu'à l'os – tu vois !
(Meera projette une image de son appareil.)
Hoss : (regardant l’image) Qu'est-ce que c'est ?
Meera : Les El Caminos.
Hoss : Je ne vous ai pas fait venir ici pour regarder des pixels[10] de Chiens Ecrasés! Je suis prêt pour un Meurtre[11], mec. Une grande Tuerie ! Je veux bouger !
Meera : Vous allez tout faire foirer.
Hoss : Je vais tout gâcher ? Qu'est-ce que vous en savez ? J'ai toujours évolué avec un sixième sens. Je n'ai pas besoin de votre mélange de diagrammes croisés et de graphiques foireux à moitié remplis ! On pourrait tout aussi bien regarder les coupons[12] de rédution pour les écoles privées des boîtes de gruau d’avoine Quaker[13]. Ça pourrait être plus actuel que cette merde.
Becky : Tu dois jouer le jeu des graphiques confidentiels, Hoss. Tu n'as jamais été contre les graphiques avant.
Hoss : C'était avant. Quand les Charts étaient les Charts. Tout le monde était en Mi majeur à l'époque. Le Killing Floor[14], la compétition féroce était à égalité. Je prends du retard maintenant ! Peut-être que tu ne comprends pas ça ! Je suis à la traîne parce que je suis toujours en Mi Majeur !
Meera : Pas vrai, Hoss. Pas de verdo, de vérité. Regarde ça. Jetez un coup d’oeil. (Il change encore l'image.) Les El Caminos sont à environ six points de la mêlée. Mojo Root Force est le seul à être assez proche pour se maintenir et Mojo va pas lever le pied. On a jamais eu cette tenue.
Hoss : Mojo ? Ce gâteau aux fruits[15] ? Qu'est-ce qu'il a pris ?
Meera : Phoenix, Hoss. Il l'a pris pendant que les Caminos jetaient leurs styles pensant qu'il était hors de portée.
Hoss : Phoenix ? C'est mon Territoire ! J'ai réclamé ce ticket ! Il ne peut pas prendre Phoenix !
Meera: C'est fait, Hoss. C'est du moins ce qu'on peut dire.
Hoss : C'est contre le Code ! C'est un coup contre le Code ! Les Gardiens ne l'ont pas coupé ?
Becky : Les Gardiens se font aussi usurper, Hoss. Tout le monde se fait acheter.
Hoss : Quand est-ce que cette merde est arrivée ? Comment se fait-il que je sois le dernier à le savoir ?
Becky : On pensait que ça t'aurait trop secoué.
Hoss : Secouez ! Moi ? Rien ne me fait plus peur que de savoir qu'il se passe quelque chose derrière mon dos !
Meera : Nous n'essayions pas de vous le cacher. Nous essayons juste de trouver le bon moment.
[1] Tooth of crime : le grief du crime – avoir une dent contre quelqu’un.
[2] Automobile Mercury Eight.
[3] Un ragoût cajun avec du poulet, saucisse, crustacés, tomates, poivrons servi avec du riz.
[4] Course de dragsters.
[5] Dragstrip Houston.
[6] Gazer : observateur, conseiller.
[7] Groupe Punk Rock d’Atlanta, Usa.
[8] Californie près de Los Angeles.
[9] Californie.
[10] Images.
[11] Matar = tuer, assassinat…, argot d’origine portugaise.
[12] Les clips Box Tops apparaissent sur certaines céréales Big G. Les familles peuvent couper des hauts de boîte et les envoyer à l'école, où ils sont soumis et échangés contre de l'argent.
[13] Publicité aux USA : Chaque avoine, qu'elle soit instantanée ou cuite, regorge d'énergie et de points de statistiques dont vous avez besoin pour réussir dans la vie. La légende raconte que l'homme Quaker Oats a placé 3 points de statistiques divines dans chaque avoine savoureuse.
[14] Aire d'abattage : Dans les vieilles chansons de blues, en particulier le style de Chicago ; une référence à l'emplacement dans l’abattoir où les animaux sont tués puis abattus, d'où une scène de danger, de difficulté, d’effusion de sang, etc.
[15] Homosexuel ou fou.
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Comme un livre ouvert (Charles Xavier x reader Smut)
Summary: Imaginons que tu étais là durant les évènements de Cuba et ses conséquences, que tu étais présente pour Charles quand il avait besoin. Professeur X et vous êtes amoureux, c’est évident, et lorsque les étudiants sont dans le parc, vous décidez de partager un moment intime au calme. ^^ Ca commence doucement et ça chauffe petit à petit.
Warnings: C’est mon premier essai de smut, pour le fun. Des petites étoiles marquent chaque montée en tension sessouelle ꙳꙳꙳
Themes: SMUT, fluff, reader avec des vergetures, love, mind sex
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Désertés par les élèves par cette belle journée ensoleillée, les couloirs de l’institut semblent bien vides et tu t’y promènes pensivement en effleurant les murs du bout des doigts. Par les grandes fenêtres, tu observes les enfants courir après le ballon, se téléporter pour jeter leurs camarades dans le lac entre autres utilisations taquines de leurs dons particuliers. En tant qu’enseignante, tu ne peux pas les rejoindre mais ça ne t’empêche pas d’être amusée tandis que tu sortes dans le parc en évitant de justesse un adolescent jaune vif qui rebondit contre le mur avant de continuer sa course.
- Attention Julio. - Pardon, Professeur !
Tu étouffes un rire alors que l’adolescent est déjà loin, filant comme un citron enthousiaste que tu suis des yeux quelques temps avant de t’éloigner vers un recoin du parc plus calme. L’herbe est d’un émeraude superbe, à croire que vous vous trouvez dans un pensionnat anglais et non dans l’Etat de New-York. Peut-être qu’un jour, tu retourneras en Europe avec plaisir mais, pour le moment, tu te plais bien ici. Et puis, tu as eu ton compte de périples avec Cuba. Mais oui, un jour, tu te sentiras prête à sortir de ces murs, tu as fait tant de progrès, tu réussiras à rester discrète. Ton pantalon bruisse à chaque frottement de tes cuisses et tu te concentres sur ce bruit sans vraiment y penser, laissant tes pieds te mener où ils veulent. Le tissu fait tant de bruit, à moins que tu ne sois trop absorbée par tes pensées, que tu ne remarques pas le léger bruissement dans ton dos. La personne t’observe discrètement, de la pointe des cheveux qui balayent ta nuque jusqu’à la chute de tes reins mise en valeur par le pantalon voyant (ainsi va la mode). Enfin, ne voulant pas se montrer trop pervers (un peu, ça reste acceptable), le nouveau venu s’éclaircit la voix, un sourire au coin des lèvres.
- Vous avez décidé de vous enfoncer loin des sentiers battus, miss Y/N. Heureusement que Hank a modifié mon fauteuil…
Brutalement tirée de ta rêverie, tu pousses un juron des plus inélégants et te retourne dans un sursaut, le tout manquant totalement de grâce et surtout d’équilibre. Tu bascules, emportée par ton élan, et te prépare à heurter le sol avec tout le ridicule qui s’impose lorsque, d’un mouvement fluide, le directeur de l’institut s’avance pour te réceptionner sur ses genoux, t’asseyant comme une enfant rencontrant le Père Noël. Ses yeux bleus pétillent d’un amusement qu’il ne dissimule même plus et si son attitude est des plus chevaleresques, la main posée sur ta cuisse témoigne qu’il n’est pas totalement un gentleman. Gardant le silence, il te laisse te rendre compte de la situation et devenir rouge de gêne, attendant les excuses que tu ne manques pas de bafouiller avec empressement.
- Toutes mes excuses, vous m’avez fait peur. Enfin non, vous m’avez surprise, j’étais dans mes pensées et…vraiment désolée. Je suis beaucoup trop lourde, je…je vais me relever.
Tu esquisses un mouvement pour retrouver la terre ferme mais le professeur te retient fermement sans se départir de son air innocent, faisant tourner les roues de son fauteuil pour changer de direction et revenir vers l’école. Il emprunte néanmoins un chemin à l’abri des regards, continuant d’appliquer une légère pression du bras qui te maintient par la taille et te serre contre son torse. Tu commences à protester mais sans grande conviction car personne ne peut vous voir. L’étreinte se fait plus douce lorsque tu te loves contre le jeune homme et passe les bras autour de son cou.
- Vous êtes en train de me kidnapper, Professeur Xavier ? - Ça te gênerait vraiment ?
Tu tournes la tête pour lui répliquer quelque chose mais te perds totalement dans ses prunelles bleues qui captent ton attention ; ça n’a pas changé depuis votre rencontre, tu pourrais le suivre au bout du monde quand il te regarde comme ça. Comme si tu étais une merveille.
Le gravier crisse sous les roues marquées d’un X et tu vérifies nerveusement qu’aucun élève n’a pu vous voir passer dans cette position si compromettante. Si les relations ne sont pas interdites, les professeurs se doivent de faire preuve d’exemplarité et d’éviter d’alimenter les commérages. Mais non, personne ne semble avoir fait attention à vous, les étudiants étant tous occupés ailleurs. Tu essaies néanmoins de te redresser, consciente que tu dois peser lourd sur les jambes de ce pauvre homme qui est déjà infirme.
- Laisse-moi me lever, Charles, je dois t’écraser les cuisses… Je suis trop lourde, pose-moi. - Non, répond le directeur en riant, je refuse. Ça fait trois jours que je cherche à t’avoir pour moi-seul alors il est hors de question que je te laisse m’échapper. En plus, je ne sens absolument rien, c’est l’avantage.
Pour te faire passer l’envie de braver son autorité, il accélère brusquement à l’approche de l’institut, vous faisant franchir le seuil comme des jeunes mariés (tu écartes très vite cette pensée ridicule) et filer dans les corridors déserts à une vitesse déraisonnable. Si quelqu’un voyait le grand Professeur X foncer comme une fusée entre les salles de classes… Tu pousses un cri de surprise lorsque vous dérapez sur le parquet ciré en un virage serré qui manque vous envoyer contre le mur, il faudrait peut-être songer à inclure quelque chose sur les courses de fauteuil dans le règlement intérieur. Mais l’air fier de Charles, la fossette taquine qui creuse sa joue, t’empêchent d’avoir peur d’une mauvaise chute, c’est beaucoup trop amusant et nous savons tous qu’il n’a eu beaucoup d’occasions de rire après le départ de Raven. Heureusement, le temps a passé et il a retrouvé une certaine joie de vivre.
Sous prétexte de s’amuser, tu pressens néanmoins que ce cher professeur a une destination bien précise en tête et tu hausses un sourcil incrédule en le voyant s’éloigner dans l’une des ailes du manoir. Le fauteuil ralentit peu à peu mais tu ne résistes pas à l’envie de rester encore un petit peu contre le jeune homme tandis qu’il t’amène sournoisement vers sa chambre. Cela faisait un moment que vous ne vous étiez plus retrouvés seuls, le travail d’enseignant laisse peu de temps libre. Ce qui n’avait pas empêché Charles d’organiser une soirée en tête à tête, dîner sans prétention, bouquet de fleurs colorées et danse à l’abri des regards, serrés l’un contre l’autre en oubliant les heures. Sa main se lève pour caresser ta joue sous prétexte de replacer une mèche et tu t’amuses à embrasser le creux de son poignet, là où les veines se devinent sous la peau fine.
- Tu n’es pas censé donner un cours ? Faire des trucs de directeur ? - Non, j’ai pris mon après-midi. C’est une trop belle journée pour travailler. Et puis…j’ai d’autres projets.
Son souffle chaud se pose au creux de ton cou et sa bouche s’ourle en une moue enjôleuse comme s’il était un jeune étudiant, le bout de ses doigts s’aventurant sous ton chemisier avec la même avidité, caressant les monts de ta chair jusqu’à ta hanche, là où la peau est étrangement plus sombre et sensible. Ce contact t’électrise et tu rougis fortement, sentant monter en toi une excitation aussi brutale qu’inattendue. Il y a cinq minutes à peine, vous étiez tranquillement dans le parc ! Légèrement nerveuse tout en sachant très bien qu’il obtiendra ce qu’il veut (tu en as tout autant envie que lui), tu écartes cette main trop habile des plis de ton ventre et entrecroises vos doigts pour l’empêcher de récidiver. C’est à ce moment-là que tu te rends compte que le décor a changé et que les couloirs lambrissés et lumineux ont fait place à une chambre spacieuse mais sombre, au bureau encombré de documents éparpillés. La porte se referme derrière vous, renforçant la sensation que vous êtes loin du monde extérieur, rien que tous les deux. Tu te décides enfin à quitter les genoux du professeur, profitant d’être dans ce lieu intime pour regarder autour de toi, examiner les papiers raturés, la photo encadrée près de la lampe, le costume mal plié sur une chaise. C’est à la fois fouillis et ordonné, tellement représentatif de son propriétaire. A travers le vitrail de la fenêtre, tu distingues le lac, les arbres centenaires qui étendent paresseusement leurs branches et tu songes que tu as une chance folle de pouvoir vivre ici, à l’abri. Lorsque tu te retournes, cette pensée devient une certitude et tu souris. Charles remarque ta bonne humeur et, croyant que tu t’apprêtes à le taquiner sur le bazar ambiant, se prépare à l’attaque.
- Ne fais pas comme si ta chambre était mieux rangée. Je suis un homme occupé qui n’a pas le temps de… - On s’en fiche, je me disais que j’avais de la chance que tu m’ais trouvé. - Oh…
꙳꙳꙳ Pris de court, le professeur ne sait quoi répondre et tu profites de son étonnement comme il a profité de ta gêne en te surprenant tout à l’heure, t’installant sur le rebord du lit avant d’enrouler tes chevilles autour du fauteuil pour l’attirer jusqu’à toi. Ce geste de possessivité surprend et amuse le mutant qui pose sur toi un regard azur de défi, que comptes-tu faire de lui à présent ? La réponse ne se fait pas attendre et tu te penches pour emprisonner ses lèvres pleines, goûtant dessus les restes de sucre d’une pâtisserie avalée en douce, c’est que ce professeur est un cachottier ! Un cachottier doublé d’un gourmand car il ne reste pas passif bien longtemps, imprimant une pression sur ta bouche pour prolonger le baiser, capturant le gémissement que tu exhales lorsque vos corps se rapprochent et qu’un genou conquérant vient se nicher entre tes jambes. Il n’esquisse néanmoins pas d’autre geste, te laissant agir à ta guise en laissant descendre ton souffle le long de sa gorge dont la chair frémit de délice. Tu sens le corps masculin se tendre lorsque ta langue vient titiller un grain de beauté que tu embrasses, écartant le col de la chemise qui te semble en trop. Avant d’aller plus loin, tu décides d’aider Charles à te rejoindre sur le matelas mais ce dernier t’arrête, la respiration rendue saccadée par le désir. Ses prunelles étincèlent de malice lorsqu’il croise ton regard et emprisonne tes poignets entre ses doigts de pianiste.
- Non, attends. J’ai envie d’essayer quelque chose… si tu permets.
D’un geste éloquent, il lève deux doigts vers sa tempe et tu te recules légèrement avec une expression interrogative, hochant la tête pour donner ton accord sans savoir ce à quoi tu consens. Tu as toute confiance en lui et les moyens de l’arrêter si les choses ne conviennent pas. Loin de t’éclairer, le jeune homme a un sourire mystérieux.
- J’ai envie de pouvoir te capturer entre mes cuisses, Y/N. Sans entrave.
Ton cœur bat plus fort pendant les quelques secondes où ton amant fait durer le suspense avant de se concentrer et de pénétrer ton esprit ouvert. Impatiente, tu le fixes avec curiosité alors qu’il laisse retomber sa main et entreprend d’ôter la veste professorale qui ne ferait que l’encombrer. Evidemment, il s’amuse à procéder avec des gestes d’une lenteur exaspérante, sachant pertinemment que tu trépignes à l’intérieur. D’observer le tissu de sa chemise se tendre contre son torse à chacun de ses mouvements ne t’aide pas à garder la tête froide et tu te retiens de lui arracher ses vêtements, ton impatience lui ferait trop plaisir. Enfin, il laisse tomber la veste sur le sol et pose sa main sur ta nuque pour te demander un baiser, laissant ta main se perdre le long de sa mâchoire. Fiévreuse, tu fermes les yeux lorsque vos lèvres se joignent pour ne plus se quitter alors que deux bras te serrent avec une tendresse teintée de passion. Tu sens le cœur de Charles battre contre toi alors qu’il te soulève sans lâcher ta bouche pour mieux t’étendre sur les draps moelleux. De te sentir ainsi transportée te surprend et tu ouvres les paupières au moment où le mutant s’installe au-dessus de toi, à genoux au bord du matelas. Ses jambes… Le choc laisse rapidement place à la compréhension et tu ris en levant le nez vers le visage plus que fier du télépathe.
- Tout est dans ma tête, hein ? Que c’est pervers…. - Je m’étais promis de te surprendre.
Si tout ceci n’est qu’une illusion, elle est extrêmement réussie et tu prends ça avec amusement, pour toi, c’est une sorte de jeu coquin. Etendue au milieu des tissus froissés, tu contemples le visage de ton amant, l’auréole de ses ondulations brunes que tu adores caresser. Mais déjà l’avide professeur commence la leçon, promenant la pulpe de ses doigts sur le fin tissu de ta chemise avant d’en défaire un à un les boutons, veillant à n’en faire sauter aucun et prenant son temps pour admirer ton corps qui se dévoile. D’instinct, tu détournes le regard, rentres le ventre avec gêne en songeant à ces bourrelets que tu détestes, cette anatomie molle dont tu as honte. Charles connaît bien tes complexes, nul besoin d’être télépathe pour les deviner, et il s’est fait un devoir de les apaiser. Il compte bien te faire perdre tes appréhensions en même temps que la tête, quitte à y passer tout l’après-midi, toute la nuit, toute la vie s’il le faut. C’est un homme patient, prêt à s’investir corps et âme dans un nouveau sujet d’étude.
- Il fait trop jour…ce serait mieux dans le noir, je ne veux pas que tu voies… - Chut…, t’interrompt le jeune homme en posant un doigt impérieux sur tes lèvres entrouvertes, tu es magnifique, absolument magnifique. Je te défends de dire le contraire.
꙳꙳꙳ Le léger ton autoritaire est adouci par le sourire joyeux qu’il t’adresse et qui creuse de minuscules rides au coin de ses yeux bleus. Le regard que cet homme pose sur toi est si tendre, si amoureux… mais aussi empli d’un feu malicieux et passionné. D’un geste, il achève de dévoiler ta peau, ta poitrine généreuse qu’il frôle avant d’en suivre le contour, t’embrassant entre les deux seins avant d’en humer le creux, sa respiration brûlante déclenchant d’agréables frissons dans ta chair à nu. Sa langue darde comme un serpent curieux, entourant ton mamelon pour mieux le durcir avant de l’engloutir en un léger mouvement de va-et-vient. Tu te cambres légèrement, le souffle court, et sens ta main se perdre dans la chevelure sombre alors qu’il continue sa douce torture pendant quelques instants. Puis il remonte vers ta bouche, son corps se mouvant avec souplesse pour se coller contre le tien. Moins délicate que Charles, tu défais sa chemise avec des mouvements rendus brusques par le désir, l’envoyant valser pour mieux sentir le feu de son derme. Tes mains s’amusent à parcourir le dos offert, à sentir les muscles rouler sous tes doigts alors qu’il capture ta bouche, ta gorge, ton lobe avec un impétueux appétit.
꙳꙳꙳ Le reste de vos vêtements finit sur le tapis pour mieux faciliter vos caresses, qui a besoin d’autant de tissu de toute façon ? Aucun de vous deux ne saurait dire qui a ôté quoi mais c’est sans importante. Vos corps moites se collent et se séparent pour mieux se retrouver de plus belle et vous y laissez quelques marques d’amour, du bout des ongles ou du bout des lèvres, créant des preuves qui perdureront longtemps après que vous soyez redevenus sages. Alors que tu avais repris le dessus et trônais fièrement sur le torse de ton amant, ce dernier enroule ses cuisses puissantes autour de tes hanches pour mieux te faire basculer, décidé à pousser plus loin les jeux du corps avant que vous ne vous unissiez tout à fait. Sentant ton pouls rapide au creux de ton cou, Charles glisse son autre main au-delà de ton ventre, en explorateur retrouvant avec joie une terre sauvage dont lui-seul connaît le chemin. Il y trace des cercles, suit les motifs violets, rouges ou blancs qui imprègnent l’intérieur de tes cuisses comme une carte au trésor. Ces marques que tu haïs, il ne cesse de les admirer, de les saluer sans t’égratigner avant de s’aventurer du bout des doigts dans tes recoins les plus intimes avec une délicatesse d’artiste. Son prénom jaillit de tes lèvres, le suppliant de mettre fin à ton attente et il rit en mordillant ta bouche. Et là, je dois aller manger donc je vous laisse là-dessus.
Merci beaucoup d’avoir lu et bonne journée <3 (j’assume totalement mon troll final)
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Achat / Vente Engrais Engrais Gazon 3 Action 6Kg
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Les Chroniques de Livaï #394 ~ LES DESSINS RACONTENT DES HISTOIRES (octobre 845) Sofie Maja
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Y a quelqu'un qui peut me renseigner ici ?! Eh oh ! Je connais que les entrepôts, l'administratif, c'est pas mon fort ! Je suis Sofie Maja, il paraît que je suis attendue !
Aussitôt, deux garçons en uniforme se lèvent des bancs sur lesquels ils étaient assis, visiblement dans l'attente de quelque chose. Au moins, j'ai droit à un comité d'accueil. Avec tous ces militaires occupés à décharger la livraison, je me sentais un peu abandonnée.
Ils se grattent la tête, l'air gêné, et m'informent que leur patronne, Hanji Zoe, est absente pour le moment er reviendra en soirée. Je vois. C'est pas de chance. J'ai un peu de temps à tuer, mais... quelle heure est-il ? Quatre heures de l'après-midi si j'en juge par les coups de cloches de tout à l'heure. Mmh, ok, je vais attendre si vous me tenez compagnie. Mon père m'a dit que ça avait l'air important, un truc pour capturer les titans, le gros délire, quoi ! Si cette Hanji est capable d'imaginer un projet aussi fou, elle doit être intéressante !
Le brun m'informe qu'il va chercher l'adjoint de son chef d'escouade afin que je puisse examiner les croquis. Bonne idée ! Le blond me propose du thé mais je refuse poliment ; mon père m'en impose à chaque fois que je passe à la cité industrielle, et je peux vraiment plus le supporter. Vous avez pas du café plutôt ? Ou même un bon vieux tord-boyaux ? Y'en a toujours dans les régiments !
Le blond - Abel, c'est son nom - m'emmène vers le mess où il ne traîne pas grand monde à cette heure. Une fille nous y rejoint bientôt et j'ai alors une meilleure idée de la fine équipe qu'ils forment. J'ai jamais fréquenté d'explorateurs même s'ils ont la réputation d'être des originaux un peu tarés, ce qui me plaît bien. Avant, leur QG se trouvait très loin d'ici, mais à présent, ils pullulent partout dans Trost.
A voir leur jeune âge, on a du mal à les considérer comme des héros. Ceux-là sont peut-être des petits nouveaux. J'arrive pas à voir sur leurs visages les traces des expéditions passées ; aucune cicatrice, rien, ils ont pas l'air de vétérans. Mais je peux me tromper.
La fille, Nifa, revient avec un petit vin clairet et remplit mon verre. Vous buvez pas ? Pas en service, répond Abel. Bah, quel dommage, j'aime pas boire seule. Vous êtes pas si rigides quand même ? Ou alors le major Erwin est bien plus sévère que ce qu'on m'en a dit ! Et si vous me parliez de vous, pour passer le temps ?
Ils m'expliquent un peu en quoi consistent leurs journées : cours d'équitation, de vol, de théorie. Hanji Zoe leur inflige aussi pas mal d'excursions sur le Mur pour voir les titans. Mais c'est fascinant, j'aimerais bien m'y rendre ! Malheureusement, je ne viens que rarement à la périphérie du Royaume, je travaille surtout dans le Mur Sina, près de Mitras. Ouais, mon truc, ce sont les pierres explosives gelées. C'est grâce à ça que vous avez du gaz, les gars !
Je ne suis pas peu fière de mon effet. Ils me regardent avec des yeux ronds et je pige vite qu'ils voient pas de quoi je parle. On vous a pas appris ça, dans les brigades d'entraînement ? Vous utilisez du matériel dont vous ne connaissez pas la provenance ? Ok, je viens à votre secours. Je vais vous expliquer quelques fondamentaux.
Les pierres explosives gelées ne sont pas vraiment des pierres, mais du gaz gelé à très basse température. On en trouve dans un ancien volcan situé presque au centre du Royaume. On sait pas trop comment ce phénomène s'est formé mais on a pas tardé à comprendre que ça pouvait être utile. On extraie des éclats de ces carrières volcaniques, et quand on les chauffe, ils explosent en dégageant un gaz très dense et puissant ! C'est chouette, non ? Le problème, c'est le transport. Ils ont tendance à se réchauffer très vite quand on les extraie, et alors là, badam ! Je vous raconte pas le nombre de morts qu'il y a eu avant qu'on trouve un système efficace pour les transporter. Mais même ainsi, c'était toujours risqué ; nos prédécesseurs ont utilisé des tas de contenants et de conservateurs pour éviter les explosions, mais il y'en avait toujours. En plus, ils voulaient en extraire en grande quantité, c'était galère.
Mais moi, je me suis dit : on a pas besoin d'en extraire autant. Une seule pierre de la taille de ma paume peut générer une quantité de gaz suffisante pour remplir une petite bonbonne, comme les vôtres. Et il y en a encore beaucoup. Donc j'ai inventé un engin capable de conserver les pierres au frais, avec pour seul inconvénient de pas pouvoir en charger beaucoup. Mais ça reste rentable, car avant, avec les explosions intempestives, on perdait non seulement du matériel mais aussi de la main d'oeuvre. Avec mon système, on extraie moins mais on retombe sur nos pieds niveau rendement. Je vous passe les détails techniques, mais...
Ils m'écoutent avec attention et je comprends que ça les intéresse tout ça. Donc je continue. Ces engins mobiles peuvent aussi être chauffés à volonté et grâce à un alliage renforcé, les explosions générées à l'intérieur ne peuvent pas les détruire. Ensuite, avec des tuyaux et des conduites, le gaz est directement acheminé dans les grosses bonbonnes que vous connaissez et qui vous sont livrées régulièrement. Voilà, vous avez un aperçu du processus, et de mon rôle là-dedans. Je dois veiller à ce qu'on manipule les pierres avec précautions pour éviter les accidents, et aussi m'assurer qu'on traite bien mes bébés !
Nifa siffle d'admiration et me dit que sa chef est aussi une fanatique des machines. Elle ne les aime pas autant que les titans, mais son bureau est rempli de dessins d'engins tout à fait loufoques, comme des armes ou des véhicules. Je vois, elle doit avoir l'âme d'une ingénieure ! J'ai hâte de la rencontrer ! Ce sont les gens comme nous qui font avancer l'humanité !
Le brun réapparaît dans le mess accompagné d'un type plus âgé mais à l'air particulièrement débonnaire. Je me lève pour lui serrer la main, il me sourit en s'excusant pour Hanji Zoe - pas de problème, j'ai tué le temps en discutant avec vos gars - et déplie sur la table quelques croquis griffonnés par une main nerveuse. J'aime les crayonnés ; ils permettent de déterminer le caractère et l'état d'esprit de celui qui les produits. J'en déduis que Hanji Zoe est quelqu'un de curieux et d'enthousiaste, mais qui manque de confiance tout de même si j'en crois les nombreux repentirs, traits gommés et repassés. Après il faut dire que son projet est tout à fait inédit ; pas étonnant qu'elle ait des hésitations.
Cependant, il me suffit de les regarder même de loin pour comprendre où elle veut en venir. Mon esprit suit ses lignes comme par instinct et je décèle presque instantanément comment elle veut que ça marche.
Je suis en train d'expliquer des détails à Moblit depuis plusieurs minutes quand une véritable tornade entre dans le mess. Une personne assez grande s'appuie sur le côté de la porte en soufflant profondément, comme si elle avait piqué un sprint jusque ici. Aussitôt Moblit se porte vers elle et essaie de la soulager en lui tendant un verre de vin. Celui-ci est vidé d'un trait et j'aperçois alors un reflet de lumière sur de larges verres de lunettes et une bouche concentrée et crispée juste en dessous.
C'est ma première vision de Hanji Zoe. J'imaginais bien un truc de ce genre, haha ! Elle m'a tout l'air d'une tête ! A côté d'elle se tient un homme très grand aux cheveux blonds et je devine au collier qu'il porte que c'est le major Erwin Smith... Quelle classe, pas étonnant que papa le tienne en haute estime... Il me salue de la tête et s'éclipse sans dire un mot.
Je laisse Hanji Zoe venir vers moi d'une démarche faussement assurée et quand elle se trouve à portée de main, je lui propose de s'asseoir. Pas besoin d'en faire des tonnes, je suis pas le généralissime ! Elle rigole tout haut, me tape dans le dos et je sens tout de suite qu'on pourrait être de bonne amies.
J'attaque tout de suite dans le vif en tournant ses dessins devant mes yeux. Mmh, j'ai jeté un oeil, c'est pas mal du tout. Je pige le principe : ce serait en gros le même système que le propulseur de grappin du dispositif de manoeuvre, mais en plus balèze, non ? Elle hoche la tête frénétiquement et me demande si c'est faisable. Je vous dirais que tout est faisable, mais il faut voir avec quel matériau vous comptez travailler. Le métal serait le plus solide, bien sûr, mais aussi plus cher. Le bois peut être un bon compromis. Vous imaginez pas le nombre d'engins hyper costauds qu'on peut fabriquer en bois ! Après, je vous garantis pas que vous pourrez capturer des gros gabarits avec, mais le but, c'est d'en capturer, pas vrai ? Vous voulez les étudier ?
Elle répond que les titans sont sa passion et si on ne les étudie pas, on ne pourra pas les combattre correctement. Bonne réponse ! Il y a quelques anomalies dans vos croquis que je peux corriger, et... Dites, vous hébergez des civils pour la nuit ? Parce que je suis une vraie insomniaque, je peux travailler ça jusqu'au matin ! Elle dit avec empressement que le bataillon est le repaire de ceux qui n'aiment pas dormir et que l'hébergement devrait pas poser de problème. Ok, parfait ! Franchement, votre projet me botte ! Imaginez, si une machine que j'ai contribué à mettre au point nous permet d'apprendre des choses sur l'ennemi ! Je serais fière ! Il faudra fabriquer des prototypes dans un premier temps, et ça peut prendre des années avant de trouver la bonne formule... mais je peux les produire dans des matériaux peu coûteux pour tester le système... Je vous fais grâce de la main d'oeuvre - autrement dit moi-même -, mais je peux pas me priver d'une petite marge sur les matériaux, sinon papa va me tuer...
Hanji semble déjà aux anges. Le simple fait que je m'intéresse à son projet la satisfait. Laissez-moi deviner, on a du mal à vous accorder du crédit dans votre régiment ? Ca fait des jours et des jours que vous essayer d'imposer votre projet à votre supérieur, et il vous remballe parce qu'il a pas le temps ?
Vous inquiétez pas, je connais, j'ai le même à la maison ! Et il est loin d'être aussi fringant que votre major !
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La plus courte, la plus belle des randonnées.
Départ pour une très belle balade dans les Aravis. Enfant sur le dos, je suis parée.
Au bout de 100m, il se débat, crie, me fait comprendre qu’il ne restera pas accroché derrière. Je lui explique alors en le descendant qu’il est impossible pour lui de marcher sur les chemins que l’on va faire, “trop dangereux”, “trop raides”, pas accessible quand on a deux ans.
Il pleure. Fort.
Alors je regarde autour de moi. Une prairie magnifique et immense, un panorama à 360 sur le massif alpin. Un lieu à couper le souffle. Et rien d’autre… Pas de routes, de voitures, de jeux où il pourrait tomber, d’autre enfants à qui il pourrait piquer la trottinette. Juste nous deux, un soleil radieux et la nature partout.
C’est OK. On reste là. Et c’est toi qui gères. Aujourd’hui, j’arrête. J’arrête de te trouver des activités pleines de contraintes.
Je pose mon sac, je range la montre. Je sors gourde et fruits. Et j’attends… Et je me détends.
Il court, lance des bâtons, sort ses bottes, les lance, crie, râle, rigole… Et je le regarde. Je ne dis rien, je n’interviens absolument pas. Il ne risque absolument rien (pas d’ortie, pas de ravins, … rien de dangereux) . J’ai l’impression de le redécouvrir. Je suis surprise de le voir immobile pendant un temps qui me parait très long le “connaissant”, à regarder une abeille butiner. Il s’allonge, le visage à quelques centimètres et observe immobile. Je l’admire. Je le trouve grand et beau.
Combien de temps qu’il n’avait pas passé un moment libre, dans un endroit avec un horizon à 360 sur la nature… Pas juste une heure, “je te regarde,profite”. Non vraiment une journée, à son rythme à lui…
Le temps est long, le soleil nous chauffe, il joue avec des cailloux à côté, j’en profite pour méditer.
Soudain rien ne va plus. Le caillou ne veut pas tenir droit sur un autre. La tempête émotionnelle est en marche. Il vient se réfugier dans mes bras et hurle, se débat. Je le serre fort, le sécurise. Vas y petit humain, crie, pleure, hurle! Il me pousse, sort de mes bras, fait trois pas et revient de plus belle. La tempête est longue, et intense à la mesure de la liberté qu’il a eu. Je tiens bon, le félicite pour cet incroyable lâché prise. Je veux lui offrir la paix, le calme.
La magie de l’écoute opère. Dans mes bras, il lâche d’un coup. Son petit corps se détend, sa tête bascule en arrière. Il ferme les yeux. Non il ne dort pas d’épuisement. Il sourit. Il a atteint ce que j’appelle l’orgasme émotionnel. MAGIQUE! Il reste las quelque seconde, tout détendu, béat. Puis hop, repart explorer comme si de rien n’était. J’ADORE mais j’adore ces moments. C’est tellement beau, et puissant. Quelques temps après il vient me chercher, prend ma main comme pour dire c’est bon on rentre, on change de lieu. Ok, je range les affaires, c’est lui que fait le programme. Et après quelques pas, il s’arrête. Refuse de bouger mais sans colère. Juste droit et stoïque. Bon… Je m’accroupis en face de lui… Qu’est ce qu’il se passe ? Tu veux quelque chose..? … (Il ne parle pas encore je ne m’attendais pas à une réponse précise ;)
Mon moment à moi. Il me fixe droit dans les yeux, entoure ses petits bras autour de mon cou et serre très fort. Il ne relâche pas. Sur le moment je suis surprise. Comme ça, maintenant, un si gros câlin ? (Vois comme nous les humains, on est sur la défensive et on connait pas tellement les câlins juste comme ça pour faire un câlin) Puis je me love avec lui. Un câlin plein d’Amour. Il décroche ses bras et revient me serrer fort, il ne veux pas que je le touche. Ses yeux essaient de me fixer droit dans les pupilles. Et là je comprends. Et j’explose en sanglot. Je lâche prise à mon tour. Il rigole et serre encore plus fort. Il n’a pas de mots mais je ressens tout ce qu’il veut m’exprimer. C’est à mon tour de décharger. Je pleure, absolument pas de tristesse. Je pleure avec des larmes d’extase, des larmes de gratitude, et de joie immense. Je lâche aussi mes stress quotidiens, JE ME NETTOIE ÉMOTIONNELLEMENT AVEC UN ENFANT DE DEUX ANS!
Il se décroche, prend ma main et on repart en marchant. Il veut bien faire une petite balade. On reprend la vie “normale”
Ce petit garçon, qui n’a pas encore deux ans est capable d’écouter un adulte… De comprendre : si je veux que tu m’écoutes alors je dois aussi t’écouter. Il sait de lui même que si l’on reçoit, c’est parce que l’on donne.
Cela n’a absolument rien d’incroyable en soi. Tous les enfants naissent avec une empathie naturelle pour absolument tout (humains, animaux, nature), ce sont nous les adultes qui les dévions. Il n’y a pas d’enfants méchants, hyperactifs, violents, renfermés. Il n’y a que des enfants qui manquent d’horizon libre, qui vivent des tempêtes plus ou moins violentes, et qui ont plus ou moins d’écoute. Une tempête enfouie… Imagine!
Prescription: Une journée (tu verras qu’une demi journée peut suffire) en pleine nature, avec un horizon dégagé et beau. Et laisse faire. Je ne dis pas que cela sera facile… surtout quand on est habitué à contrôler ou que l’on est soi même contrôlé tout le temps. Vas y progressivement avec ton enfant, lâche doucement en l’observant intensément et prend confiance en lui. Il le sentira très rapidement.
Prescription valable pour un adulte: trouve un lieu qui te plait , sans montre, sans téléphone... Attends. As-tu déjà essayé d’être en nature sans challenge sportif, sans but précis? Être là, l’instant présent... Et bien c’est loin d’être facile! Au bout de quelques minutes tu vas vouloir partir ... Respire et reste en place ! Les minutes deviennent des heures.
Beaucoup de déblocages se font grâce à l’horizon.
MERCI.
Notre horizon (13/05/2019)
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Cent cinquante mille morts, ou plus encore...
Retour au ''réel'' : malgré l'Ukraine, ce chiffre terrible a fait hier un retour affreux dans le discours officiel qui semble y trouver une forme de jouissance malsaine : ''il y a eu cent cinquante mille morts en France, à cause du covid !'' Et deux cents, cinq cents... six cent mille ''cas'' par jour. Cet énoncé administratif fait de la mort une horrible abstraction. Personne n'a oublié les sinistres litanies du non moins sinistre Salomon : elles ont laissé un dégoût mérité pour toute parole officielle. Mais comme il faut empêcher les électeurs de penser à autre chose qu'au covid et à l'Ukraine, ''Ils'' ont donc remis ça, entre deux bombardements de Kiev : un nouveau variant qui se passe de masque et de cul-hair code, et 150 000 morts... dont la majorité est morte d'autre chose que du covid, mais il est ‘’complotiste’’ de le dire, de le penser !
Car, tout d'un coup, sans aucune autre explication qu'un nouveau variant et qu'une ''remontada'' des chiffres, nos grands esprits ont décidé que toutes les contraintes superfétatoires qui, selon le désir malsain de notre Président, ''emmerdaient'' les français, doivent être interrompues. D'ailleurs, elles n'avaient jamais servi à rien. Alors... Adieu, les masques étouffants, adieu, les cul hair codes insultants et anti-constitutionnels, adieu, les gestes-barrière inutiles : la France humiliée redécouvre avec stupéfaction, pour quelques petites semaines, à quel point la vie peut-être agréable et douce lorsque ses gouvernants sont contraints et forcés --grâce à la proximité des élections, comme c'était prévu et annoncé-- de lever un peu le pied et de ''foutre la paix aux français''. Il est vrai qu'en ayant réussi à ''pousser Poutine'' à commettre une énorme faute, on s'est doté d'une arme infiniment plus efficace que le pauvre covid (que, vous allez voir, nous n'allons pas tarder à regretter : comparé aux conséquences du ''variant ukrainien'', on trouvera que le delta et l'epsilon, c'était le bon temps : finalement, on préfère de beaucoup le masque au casque !).
(NDLR : si j'ai écrit, ci-dessus, ''pour quelques petites semaines'', c'est qu'il ne fait pas de doute que, dès le lendemain matin du second tour des législatives suivant la Présidentielle, il y aura un retour en force de toutes ces ignominies : le ''forcing'' pour la mise en place d'une société ''progressiste'', rêve des dystopistes qui ont pris le pouvoir (et sont prêts à tout pour y rester, on le voit) exige un asservissement continu, régulier et pointilleux de tous les citoyens. La mort (acceptée, en plus !) de toutes nos libertés fait partie du ''package deal'' qui sous-tend le ''Grand Reset'' que poursuivent nos tyranneaux (encore ''soft'' pour le moment : ''leur'' Président et sa majorité de malfaisants réélus, ils auront 5 ans pour nous ''emmerder'', tranquilles !)
Pour atteindre ces affreux buts (qui sont de moins en moins cachés), la stratégie gouvernementale est dite ''de la grenouille'' (vous savez, cette pauvre grenouille qu'un vilain gourmand chauffe à petit feu, tout doucement, pour qu'elle trouve ça très bon et même agréable. Et lorsqu'elle se rend compte qu'il fait beaucoup plus chaud que dans sa mare originelle, il est trop tard : ramollie, affaiblie, épuisée, elle n'a plus la force de se révolter contre son tourmenteur... et elle se laisse cuire sans autre forme de procès...). C'est ce qui est en train d'arriver au peuple français, autrefois réputé pour ne pas se laisser marcher sur les pieds, être prompt à se mettre dans des états que ses adversaires avaient appelé ''la furia francese''... L'étalement dans le temps, la variété des faux arguments, leur lancinante répétition, la mobilisation des médias et la progressivité en intensité des mesures liberticides qui sont distillées contre nous, nous leurrent, au point que certains de nos cons citoyens vont en redemander : étouffer sous leur masque inutile va leur manquer !
Malgré la violence des images en provenance d'Ukraine (qui se suffisent à elles-mêmes), ils ont donc inventé un nouveau variant, évidemment ''plus transmissible'' (sic ! Comme tous les autres !). Grâce à ce gadget, ils vont pouvoir, Poutine ou pas, nous maintenir sous pression (NB : quel rapport y a-t-il entre les 2 ou 300 000 cas quotidiens, les quelque 150 décès/dits covid et les 2000 décès ''toutes causes'' en France, chaque jour ? Réponse : pas le moindre !). Mais le caricatural ''minustre'' de la santé, ce Véran qui fait tellement penser à Cahuzac, mélange pour nous leurrer ''nombre de cas'', ''nombre de malades'' et ''menace pour nos hôpitaux'', alors que, Poutine ou pas, le seul vrai problème est, a été et reste : ''nos inconséquents ont supprimé beaucoup trop de lits dans nos hôpitaux''. Nos deux longues années de contraintes, d'humiliations, de confinements, de mensonges, et l'effondrement de nos libertés, de notre joie de vivre... et de nos finances n'ont aucune autre origine, aucune autre explication : il fallait (''quel qu'en soit le prix'') camoufler l'impéritie absolue (on ose dire ''criminelle'' ?) de notre classe dirigeante... Ou ils sont idiots ou ils se foutent de nous. La vérité est : ''Les deux, bien entendu'' ! Quant à l'affreux Salomon, il faut le muter chef croque-mort à Romorantin, un poste à sa mesure.
(NDLR : Je ne sais pas ce que me réserve le futur proche... mais si je dois mourir dans les semaines qui viennent de ''symptômes de covid ayant entraîné la mort'', je tiens à préciser dès maintenant que mon âge, mes antécédents pathologiques, et les morbidités inhérentes à mon année de naissance interdisent d'attribuer ma mort au covid... qui ne saurait être au pire qu'un accélérateur, un facteur déclenchant, un révélateur, mais certainement pas une cause... ce qui nous ramène à notre sujet : sur les ''150 000 morts'' complaisamment brandis par nos ministres et les journalistes trop subventionnés, combien le covid en a-t-il vraiment tué, sans l'aide de surpoids, de diabète, de cancer, etc ? ''Epsilon'', je le crains !
Et d'ailleurs, sans rien enlever à l'horreur individuelle que représente toute mort --en elle-même et pour les familles désespérées et désemparées-- il faut tout de même rappeler qu'il y a chaque année, en France, environ 700 000 décès, ce qui, sur les 2 ans et demi qu'a déjà duré la pandémie, fait un total de quelque 1,750 millions de drames et de familles éplorées. Sans vouloir verser dans cette forme de réalisme que nos Nuls appellent ''complotisme'' puisqu'il les dérange, on peut tout de même établir un parallèle mathématique entre ces deux données statistiques et s'étonner du peu de cas que l'Etat, dans l'immense hypocrisie de sa fausse compassion, fait de tous ceux qui décèdent d'autre chose que du covid : deux poids, deux mesures !
Il n'empêche... Je regardais hier soir (uniquement pour vous en rendre compte, car assister aux colères incontrôlées de Madame Coudray dès que qui que ce soit ose manifester la plus petite réserve devant les énormités officielles ou devant toute contre-vérité politiquement correcte, n’est pas une de mes distractions préférées) une soi-disant émission pseudo ''politique'', sorte de passage en revue de poncifs connus d'avance. Et force est de constater que l'Elysée est arrivé à imposer ses caprices contre-démocratiques au moignon de campagne qui va nous être concédé : ''Le Roi-Soleil ne viendra pas dans votre émission, si on parle de son bilan...''. Résultat : un récital de platitudes où chacun a fait son numéro de clown triste, et où seuls Mélenchon (dont pourtant je ne partage aucune des effroyables idées, soit stupides, soit mortelles, soit les deux) et Zemmour (qui n'en a que des bonnes, lui !) ont pris un peu de hauteur et se sont situés ''au bon niveau'' d’une ‘’présidentielle’’.
En résumé, parmi leurs ''150 000 morts'' du covid, il en est plusieurs dont personne ne parle : entre autres, nous avons perdu dans la bagarre notre sens de la liberté, notre respect de nous-mêmes, notre ouverture d'esprit, notre capacité d'échanger, notre capacité à juger ce qu'on nous raconte et, ''last but not least'' comme on dit en macronien, notre intelligence, tombée pour le moment au champ du déshonneur... Ressaisissons-nous, il est ''moins cinq'' ! De grâce, n'en reprenons pas pour 5 ans : dans 25 jours, il sera trop tard...
H-Cl.
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Fanfic My Hero Academia : Ambition masquée #12
Début de la fic ici, ici ou ici.
Résumé : Bakugo Kastuki, né Sans-Alter, déteste les héros et leur arrogance. Devenu policier, il met un point d'honneur à arrêter les vilains avant eux, même si les risques qu'il prend lui valent des reproches de sa hiérarchie. Malgré son sale caractère, il n'effraie pas le héros Red Riot, qui le séduit peu à peu… mais leur relation ne sera pas si simple.
Pairing : Bakugo Katsuki x Kirishima Eijirou
Avertissement : jurons. Beaucoup.
Taille : 30k mots
Publication d'un nouveau chapitre tous les mercredis
Chapitre 12 : le Mollusque
Ils grimpent les escaliers quatre à quatre, puis arrivés au bon palier Bakugo fait signe à Kirishima de rester tranquille et avance à pas de loups jusqu'à la bonne porte. Au lieu de la défoncer à coups de pieds, comme Red Riot s'y attendait, il prend quelques secondes pour crocheter la serrure et entre sans un bruit. Le héros lui emboîte le pas sans trop comprendre. Ils n'ont pas établis de plan, Bakugo a juste dit "suis-moi", et depuis Kirishima le suit.
Le policier a dégainé son taser. C'est une version améliorée pour vaincre certains Alter récalcitrants, et il fera très bien l'affaire. Se glissant dans le salon aussi silencieusement qu'une ombre, il arrive dans le dos d'Hidoineko, assis sur son canapé, en train de pianoter sur un ordinateur portable. Le blond plaque son arme dans le cou de son coéquipier tout en annonçant tranquillement :
" Salut, le Mollusque. J'avais quelques mots à te dire.
Hidoineko hurle mais ne bouge pas d'un millimètre, tétanisé par la menace. Il bredouille :
— Comment... Que... quoi ? Que... Ce n'est pas ce que tu crois !
— Ah, vraiment ? On va voir ça. Red, tiens-moi ce truc gluant solidement !
Le blond balance l'autre policier dans les bras du héros, qui l'agrippe avant d'utiliser son Alter de durcissement : si le Mollusque veut s'enfuir, il a intérêt à avoir planqué un marteau-piqueur dans sa manche. Pendant ce temps Bakugo fouille le contenu de l'ordinateur. Il ne met pas longtemps à trouver les fausses preuves que son coéquipier lui a mis sur le dos. Le blond jure tout ce qu'il sait et s'exclame :
— Cet enfoiré en a même fait sur toi ! Je ne sais pas ce qui me retient de...
— Non, pleurniche Hidoineko, je t'en supplie Bakugo, pitié ! C'est eux qui m'ont obligé, je n'avais pas le choix ! Sinon, ils...
— La ferme, Mollusque ! Tu savais pour moi et Kirishima et t'as voulu qu'il plonge avec moi, sale petite ordure !
Surpris, Red demande :
— Il savait ? Tu lui as dit ?
— Bien sûr que non, mais ce sale petit fouineur est un flic à peu près correct quand il s'agit de mettre son museau là où on n'en a pas besoin... Il avait deviné depuis longtemps. Et c'était le seul dans toute la brigade. Donc c'était forcément toi qui m'a vendu, sale rat...
— Pitié ! Pitié ! Ce n'est pas ma faute, je...
— Écoute, Mollusque, on sait tous les deux que ces putains de yakuzas n'ont menacé personne et que tu n'en a rien à foutre de qui que ce soit d'autre que toi. Mais je te propose un marché. Je fais comme si je croyais à ton histoire de menaces, on met en place une protection de témoin, tu nous livres l'emplacement du QG du Serpent en signe de bonne volonté, et tu es libre. Vu ?
Immédiatement Hidoineko cesse de se débattre et de gémir, prêt à marchander. En dépit de sa trahison, Bakugo le connait bien.
— Je ne peux pas vous donner l'emplacement du QG. Ils ont toujours été très prudents. Mais pas aussi prudents qu'ils le pensaient, on peut remonter leur piste à partir des messages qu'ils m'ont envoyé. Ça vaut plus qu'une simple protection, Bakugo.
Kirishima s'exclame :
— Vous avez trahi Bakugo et maintenant vous voulez vendre vos camarades ? Mais comment est-ce que vous pouvez...
— Qu'est-ce que tu crois, le rouquin, on vit dans un monde de merde et le métier de flic ne paie pas. Tout ce qu'on a, c'est un salaire de misère et un job ingrat, pendant que vous les héros vous récupérez tout ! A quoi ça sert de se casser le cul quand on a tiré le mauvais numéro à la loterie des Alters ? Tu peux bien me prendre de haut, mais ton petit blond préféré sera exactement d'accord avec moi d'ici quelques années, quand il sera déçu, usé et aigri, comme nous tous.
Bakugo gronde :
— Ne met pas tous les Sans-Alters dans le même sac, connard. Tu es un rat qui se vend au plus offrant. Je suis celui qui va tous vous botter le cul. C'est clair ?
Le sourire d'Hidoineko ne s'efface pas devant la fureur glacée du blond - preuve qu'il est bien plus courageux qu'il n'en a l'air et surtout que lui aussi connait bien Bakugo. Il se contente de demander :
— Je veux que vous me laissiez m'enfuir avec mes affaires. Je me suis fait un paquet dans cette opération, c'est hors de question de laisser la police saisir mon fric pour me "protéger". Je veux que vous me laissiez disparaitre et me mettre au vert. Promit, plus d'opération avec la mafia, juste moi en train de dilapider mon fric sur une île à touriste. En échange du moyen de laver ton honneur et de rattraper le coup sur l'enquête. Tu vas être couvert de médailles, si tu aimes tellement ça... Alors, deal ?
Un sourire cruel s'étale sur les lèvres de Bakugo.
— Donc tu veux une plus grosse carotte... Tss. Non, je ne crois pas que ça m'intéresse. Par contre, j'ai un plus gros bâton, si c'est ça qui peut te motiver. Devine qui d'autre est en train de m'aider à laver mon putain d'honneur ? Le putain de monstre numéro 1 lui-même. Deku.
Cette fois le Mollusque tique clairement. Il ne s'y attendait pas, et proteste :
— Foutaises, Deku te déteste !
— Va savoir pourquoi, mais non. Il pense que je suis un connard, mais pas un traitre, et il accompagne les flics sur mes traces. Tu penses qu'il va réagir comment en découvrant qu'on a perdu la trace du Serpent aux Yeux d'Or à cause de toi ? C'est un putain de héros. Il ne passe pas de marché, lui. Il détruit des immeubles à coup de poings et pose les questions ensuite. Alors, Mollusque... est-ce que tu te sens en veine ?
— ...
— Oh, remarque, pas la peine d'attendre la tête de brocoli. Un héros, j'en ai un sous la main. Grâce à toi, Mollusque. Red ?
— Ou... oui ?
— Si tu serrais les doigts avec ton Alter, tu penses que tu arriverai à lui exploser le crâne d'une seule main ?
Un air horrifié passe dans le regard de Kirishima - décidément trop pur pour sa propre puissance monstrueuse - mais celui-ci se reprend et joue le jeu :
— Je crois qu'il me faudrait les deux mains. Avec une seule je ne pourrais arracher que la moitié du crâne.
Hidoineko commence à s'affoler et s'écrie :
— Tu ne peux pas faire ça ! Tu es un héros !
— Plus maintenant qu'on m'accuse de complicité avec des meurtriers. Foutu pour foutu...
Red n'est pas l'acteur le plus convaincant du monde, mais Bakugo enfonce le clou :
— Ne présume pas trop de la santé mentale d'un gars qui a décidé volontairement de sortir avec moi. Tu serais surpris.
Avec un frisson d'horreur, le Mollusque craque :
— C'est bon, Bakugo. Je prends ton deal. La protection de témoins et c'est tout. En échange, je vous trouve le Serpent.
— Excellent choix."
Une fois l'information en sa possession, Katsuki n'attend pas qu'Eijirou lui demande d'être raisonnable : il l'envoie à Deku. Il faut mettre tout le monde sur coup pour enfin capturer les yakuzas. Lorsqu'il redresse la tête, les grands yeux de Kirishima semblent plus lumineux que jamais tandis que le héros dit avec un grand sourire :
" Je suis fier de toi, Bakugo ! Tu n'as pas hésité à demander de l'aide et à travailler avec les autres ! On va vraiment les avoir cette fois !
Le blond tente de calmer les battements de son cœur et surtout le rougissement qui commence à s'emparer de son visage. Non, ce n'est pas le moment de retomber amoureux.
Ah. Retomber. Comme s'il avait jamais cessé de l'être.
En tous cas ce n'est pas le moment de s'ouvrir sur ses sentiments, absolument pas. Il grommelle :
— Il y a pas de quoi être fier. J'ai prévenu l'autre abruti parce qu'il faut bien ramener la cavalerie, mais le temps qu'il les rameute tous, ce sera juste pour me voir choper le chef avant lui.
Il hésite une demi-seconde et tente :
— Tu veux venir ?
L'éclat du sourire d'Eijirou pourrait l'aveugler alors que le héros frappe ses deux poings l'un contre l'autre et s'exclame :
— Bien sûr que je viens ! On va leur montrer de quel bois on se chauffe !"
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